mardi 23 septembre 2014

LA GRANDE GUERRE AU JOUR LE JOUR 21 SEPTEMBRE 1914

21 SEPTEMBRE 1914


I)
Des contre-attaques de l'ennemi ont été repoussées au nord de l'Aisne, en aval de Soissons, et aussi entre Craonne et Reims, où nous avons progressé, fait des prisonniers et enlevé le village de Souain. Des progrès ont été de même accomplis dans l'Argonne.
En Woëvre, les pluies, détrempant le terrain, l'ont rendu difficile. L'ennemi a essayé de recommencer ses attaques dans la région de Saint-Dié, mais s'y est heurté à une résistance soutenue.

L'armée Russe bombarde Jaroslaw en Galicie et ouvre les opérations contre la forteresse de Przemysl.

Le tsar a autorisé la création d'un nouveau drapeau national comprenant les trois couleurs Russes et l'emblème impérial.

La destruction, par le bombardement, de la cathédrale de Reims, que les Allemands ont anéantie sans qu'aucun intérêt militaire quelconque leur puisse servir de justification, a provoqué une stupeur et une indignation profondes. Le gouvernement Français a saisi les puissances d'une protestation diplomatique.
Les troupes Hollandaises ont tiré sur un Zeppelin qui survolait la Zélande.

La garnison Allemande de Kiao-Tcheou, 6.000 hommes, est affamée et épuisée.

II)
Marne :
L’artillerie lourde Allemande canonne notre front.
– Reims : Des obus continuent à pleuvoir sur la ville, pendant que le quartier Cérès achève de brûler.

III)
Dès le début de la Première Guerre mondiale, le Japon et le Royaume-Uni, via sa colonie Australienne, envahissent la Nouvelle-Guinée Allemande. La seule véritable bataille a lieu le 11 septembre 1914 et voit la Royal Navy et l'armée Australienne détruire la station-radio Allemande de Bitapaka.

10 jours plus tard, la Nouvelle-Guinée Allemande rend les armes. Le traité de Versailles, en 1919, la divise en un territoire de Nouvelle-Guinée et des Îles du Pacifique, mandats de la SDN, respectivement administrés par l'Australie et le Japon.

IV)
Le gouvernement dénonce au monde l’incendie de la cathédrale de Reims
Cette fois, il n’y a plus de doute, les Allemands reprennent l’offensive avec l’espoir de reconquérir les territoires perdus après leur lourde déconvenue de la Marne...

C’est la Ve armée qui repart à l’assaut des lignes Françaises du côté de Saint-Mihiel pour encercler Verdun et faire tomber la place forte qui sert de verrou à la charnière de la Lorraine... Les soldats de Guillaume II conquièrent Saint-Mihiel et parviennent jusqu’au bord de la Meuse. Le général Charles-Antoine Grand-Esnon est tué au combat.

Le gouvernement Français de René Viviani adresse à tous les États neutres une protestation solennelle après le bombardement qui a embrasé la cathédrale Notre-Dame de Reims : « Le gouvernement de la République a le devoir de dénoncer à l’indignation universelle cet acte révoltant de vandalisme qui, livrant aux flammes un sanctuaire de notre histoire, dérobe à l’humanité une parcelle du patrimoine artistique mondial.

V)
En raison de la prolongation du conflit et du coût de la guerre, un décret autorise les départements comme les communes à émettre des bons remboursables après la guerre. Le Journal officiel publie également un décret étendant aux colonies le bénéfice des allocations aux personnes nécessiteuses : «  dont le soutien serait sollicité ou qui seraient rappelées sous les drapeaux ». Le gouvernement réclame enfin au conseil de régence de la Banque de France l’ouverture d’une ligne de crédits de 3,1 milliards de francs.

VI)
[La fête de Vesyegonsk est une première, elle célèbre le centenaire de vin locaux, concernant des vins naturels à partir de baies, et notamment de canneberges. Elle a été fondée en 1914 par un commerçant nommé Efremov.

Ce lieu n’a pas été choisi au hasard. Depuis le XVIe siècle, Vesyegonsk est célèbre pour ses marchés. La ville est l’un des centres commerciaux les plus importants de l’Empire Russe. Les commerçants en visite à Vesyegonsk y apprécient surtout ses vins de fruits locaux. Les recettes ont été transmises de génération en génération. Longtemps l’activité viticole de Vesyegonsk se nomme justement « vinerie » de canneberge.
Durant la période soviétique, la cave produisait du vin de canneberge, d’airelle rouge, de myrtille et de sorbe. Le vin est exporté en France et vers d’autres pays Européens.
Depuis 2006, le domaine de Vesyegonsk produit du vin sous le label « Créative Wine ». L’entreprise s’est équipée d’un nouveau système pour contrôler la qualité des productions, composé d’appareils Italiens et Allemands, comme le souligne la responsable administrative du district de Vesyegonsk, Ekaterina Zhivopistseva :

« Ici, nous avons plusieurs sortes de très bons vins. Une personne vient tout spécialement de France pour contrôler la qualité des produits. L’année dernière, l’entreprise s’est mise à produire des jus de fruits naturels de canneberges et d’airelles rouges qui sont très demandés.»
En 2009, la « vinerie de Vesyegonsk » a invité le célèbre consultant en vins Français Frédéric Vauthier. Il a encadré la sortie des différentes collections de vin, parmi lesquelles une série haut de gamme de vin de canneberges, « Flirtini canneberge ». Il s’agit de la première étape dans la relance de la tradition de vin à base de baies en Russie. Il y a quelques années, la cave a lancé un projet d’œnotourisme gastronomique. La visite de la cave est l’un des moments forts de la croisière de Moscou à la mer de Rybinsk. Cette année, le programme du festival inclut une excursion à la vinerie et la dégustation de vins de baies en plein air.

En Europe, le tourisme basé sur la découverte des traditions culinaires et viticoles existe depuis longtemps. En Russie, la fête du concombre à Souzdal est de plus en plus appréciée des touristes étrangers. Mais une fête du concombre peut se dérouler n’importe où, puisque les concombres poussent partout, ce n’est pas le cas des canneberges comme le souligne Ekaterina Zhivopistseva :

« Dans la région de Vesyegonsk, nous avons de très nombreux marais riches en canneberges. C’est pourquoi notre vinerie achète sans difficulté des fruits aux habitants. En général, notre région n’est pas seulement appréciée pour ses canneberges mais aussi pour ses airelles rouges, ses myrtilles et ses forêts riches en champignons. »

On peut se rendre à Vesyegonsk en voiture ou en bus au départ de Moscou. Mais ce n’est pas tout près, environ 400 kilomètres. Il est bien plus agréable d’y venir en bateau. Vesyegonsk et ses 7 000 habitants attirent les touristes grâce à leur nature préservée. Il y a peu de monuments dans la région. Au siècle dernier, lors de la création du réservoir de Rybinsk, les deux tiers de Vesyegonsk ont été inondés. Mais le clou du spectacle est la nature. La canneberge est l’une des spécialités locales et ce n’est pas un hasard si la cave a ouvert une ferme expérimentale où sont cultivées plusieurs sortes de canneberges. A l’occasion du festival, la construction d’un monument unique dédié à celle-civa d’ailleurs être lancé, il sera ouvert dans un an.]... Il y a d'autre choses à commémorer que la déclaration de guerre...
VII)
Ouverture d’un crédit de 3,1 milliards de francs, par convention entre le gouvernement et la Banque de France, décret autorisant les départements et les communes à émettre des bons remboursables après la guerre.

VIII)
Arras
Arrivée de spahis Algériens.
Lens
Visite à Lens du ministre du Commerce, Thomson, accompagné des sénateurs Jonnart et Hayez, du directeur des mines et du sous-préfet, pour la reprise de la vie économique du secteur

IX)
3h30 debout tout le monde !
11h00 départ d'Essey -les-Nancy,Traversée de Nancy de 12h00 à 13h00 jolie ville me rappelant un peu Paris par ses belles maisons et son aspect général.(avec Louis on a le temps de prendre un bock, à la terrasse d' un café).
Puis l' on prend la direction de Toul  , et sous les fortes averses intermittentes ,on marche, on marche, on s’arrête au moins 2 heures au milieu d'une forêt , puis on repart, on traverse la Moselle et après 14 heures de marche on arrive dans un village appelé Jaillon, à une heure du matin on y cantonne, on est éreinté et mouillé et on se couche dans la paille dans ces conditions.

X
Les volontaires étrangers sont rassemblés dans des camps d’instruction proches de Paris avant d’être pour une partie, amalgamés avec des légionnaires venus d’Algérie ou du Maroc. Tous répondent à la proclamation lancée par un groupe d’intellectuels étrangers, conduit par l’écrivain Suisse Blaise Cendrar, le jour de la mobilisation générale : « L'heure est grave. Tout homme digne de ce nom doit aujourd'hui agir, doit se défendre de rester inactif au milieu de la plus formidable conflagration que l'histoire ait jamais pu enregistrer. »

Quatre régiments de marche sont ainsi constitués. Deux, le 2e du 1er Étranger et le 2e du 2e Étranger sont encadrés par des officiers et sous-officiers en provenance de la Légion d’Afrique. Le 3e R.M. du 1er R.E., formé à Paris, est encadré par des sapeurs-pompiers de Paris et des gendarmes. Le 4e R.M., baptisé lui aussi légionnaire, est entièrement constitué d’Italiens, il est commandé par le petit-fils de Garibaldi : c’est la fameuse « Légion Garibaldienne ».

Les recrues du 3e R.M. du 1er Étranger se livrent aux plaisirs du maniement d’armes à la caserne de Reuilly. La plupart d’entre eux, commerçants, artisans, artistes, universitaires, vivent en France depuis des années, aiment la France et désirent la servir. L’annonce d’un régiment étranger les comble et l’uniforme leur est désormais une sauvegarde.
Le 7 septembre, le colonel Thiébault prend le commandement du 3e R.M. du 1er R.E. Le 9 septembre, le général Gallieni vient en inspection à la caserne de Reuilly. Il est frappé par la bonne tenue des volontaires. Cette troupe est animée des traditions très vives des unités de la Légion. Tel est le prestige d’un nom, seul lien de ce régiment de hasard avec la vraie Légion. Tous les volontaires sont fiers d’être légionnaires et sont prêts à combattre comme des légionnaires.
2 photos montrent des engagés volontaires Américains du 2e R.E. à Paris en août 1914 et sur le front en septembre 1915, avec le poète Alan Seeger qui sera tué en juillet 1916 à Belloy-en-Santerre.
Jusqu’à son intervention sur le front occidental en France, la Légion Étrangère est considérée par l’opinion Française comme un corps de troupe exceptionnel, un peu mystérieux, refuge des aventuriers, des fils de famille perdus de dettes, …, troupe de choc vouée aux expéditions lointaines.
La vraie Légion de la Guerre 1914-1918 naît au camp de Mailly avec les éléments du 1er Étranger et du 2e Étranger (en principe pas d’Allemands, ni Autrichiens, ni Bulgares, en fait, il y en a quelques uns, volontaires), venus d’Afrique, ces éléments incorporent, encadrent et instruisent les volontaires arrivés de plusieurs centres de recrutement en Province... Rude besogne, qui faillit mettre sur les dents les sous-officiers de Sidi-Bel-Abbès et de Saïda, pourtant spécialistes du dressage et de la poigne de fer.
Le flot des volontaires submerge les officiers recruteurs qui laissent s’engouffrer le torrent de tous les volontaires à qui personne ne demande de papiers, mais durant les jours suivants, le tri des volontaires est effectué avec la rigueur traditionnelle de la Légion. En 4 mois, la Légion Étrangère va accueillir 12 000 volontaires.
L’élément « Vieille Légion » venu d’Afrique lie cette mixture qui ne manque pas de saveur.
Les 1er, 2e et 6e bataillons du 1er R.E., rattachés aux troupes du Maroc depuis 1907, sont groupés en un 1er Régiment de Marche du 1er Régiment Étranger qui reste à la disposition du général Lyautey, lui permettant de ne point céder un pouce de terrain. Le 2e Étranger fournit également le 1er Régiment de Marche au Maroc.

Le 4e bataillon du 1er R.E., bien qu’indispensable au Tonkin, est rapatrié pour renforcer les unités de la Légion Étrangère engagées sur le front Français et d’Orient

Le 5e bataillon du 1er R.E. stationné en Algérie, le plus disponible pour l’heure, doit disparaître pour former l’ossature de deux régiments de marche (2e et 3e R.M. du 1er R.E.) constitués en France pour accueillir les milliers d’étrangers, engagés volontaires pour la durée de la guerre.
4 régiments de marche sont donc constitués en Métropole en 1914 :
Le 2e Régiment de Marche du 1er Étranger, commandé par le colonel Louis Pein.
Le 2e Régiment de Marche du 2e Étranger, commandé par le colonel Flavien Passard.

Le 3e Régiment de Marche du 1er Étranger, commandé par le colonel Thiébault.
Le 4e Régiment de Marche du 1er Étranger, sous le commandement du lieutenant-colonel Peppino Garibaldi, petit-fils du grand Garibaldi, formé à compter du 04.09.1914 et créé le 04.11.1914.


Jean BALAZUC P.P.P.
Sources principales.
  • La Légion Étrangère – Grandeur et servitudes – Historama – HS de XI-1967.
  • La Légion Étrangère - Voyage à l'intérieur d'un corps d'élite de John Robert Young & Erwan Bergot – Éditions Robert Laffont – 1984.
  • Le 1er Étranger de Philippe Cart-Tanneur & Tibor Szecsko - Branding Iron Production - 1986
  • Le 3e Étranger de Philippe Cart-Tanneur & Tibor Szecsko – Editions du Fer à marquer – 1988.
  • Histoire de la Légion Étrangère 1831-1981 de Georges Blond – Plon – 1981.
  • La Légion Étrangère de Douglas Porch – Fayard – 1994.

XI)
Autour de Charles Péguy, Alain Fournier, Louis Pergaud et Guillaume Appolinaire.
Par Robert JACOB.
Parmi les 2 millions de soldats Français morts pour la France, voici l’histoire de 4 écrivains au destin tragique, devenus célèbres avec parfois un seul livre :

Charles PEGUY, tué le 5 septembre 1914.

Alain FOURNIER, tué le 21 septembre 1914.

Louis PERGAUD, tué le 29 mars 1915.

Guillaume APPOLINAIRE, blessé le 17 mars 1916, décédé le 9 novembre 1918.

Un an après la publication du Grand Meaulnes, la disparition de son auteur sur le front de Lorraine, peu après la mort de Charles Péguy, fait la une de la presse Parisienne et Berrichonne, annoncée par de grands noms de la littérature : Paul Fort, Julien Benda célèbrent le héros de 28 ans, Hugues Lapaire, dans La Dépêche du Berry, le compare à Frantz de Galais commandant « le grand jeu ». Claudel et Romain Rolland enquêtent auprès de la Croix-Rouge.

Lieutenant de réserve, mobilisé le 2 août 1914, Alain-Fournier est « parti content », comme son ami Péguy, comme des centaines de milliers d’autres jeunes Français , de Cambo au Pays Basque, il a rejoint sa garnison à Mirande (Gers) et, affecté au 288e régiment d’infanterie de réserve, il a quitté Auch pour le front de Lorraine. Avec sa compagnie, la 23e, il participe entre le 24 août et le 8 septembre, à 3 batailles très meurtrières autour de Verdun.

Le 21 septembre, un détachement composé de 2 compagnies, la 22e, commandée par le lieutenant Marien et la 23e, commandée par le lieutenant Fournier, reçoit l’ordre d’effectuer une reconnaissance offensive vers les Hauts de Meuse, envahis par l’ennemi. D’après le témoignage du sergent Baqué, Fournier parvient jusqu’à la Tranchée de Calonne où il est rejoint par le capitaine de Gramont qui prend la direction des opérations et décide d’attaquer l’ennemi... Voulant rejoindre la 22e compagnie de Marien qui s’est trouvée face à un poste de secours Allemand et a échangé des coups de feu, les Français sont pris à revers par des grenadiers Prussiens, dissimulés dans un fossé à la lisière du bois de Saint-Rémy. Combat confus, débandade d’une partie du détachement, l’avant-garde est décimée par la mitraille. 3 officiers (dont Alain-Fournier) et 18 de leurs hommes sont tués ou mortellement blessés.

Le Journal des marches et opérations du 288e R.I. les porte « disparus au combat de Saint-Remy, au cours des journées du 21 au 30 septembre ». Nous disposons aujourd’hui de nombreux documents sur ce bref épisode d’une bataille très violente, récits tant Français qu’Allemands, les uns très officiels, d’autres plus personnels, parfois contradictoires.
ALAIN FOURNIER

Disparition si totale qu’en dépit des recherches menées sur le terrain après la guerre, par son ami et beau-frère, Jacques Rivière, les restes d’Alain-Fournier ne seront retrouvés que 77 ans plus tard, avec ceux de ses 20 compagnons d’armes. Le lieutenant Alain Fournier a été officiellement déclaré « mort pour la France » en juin 1920, puis décoré de la Croix de guerre avec palme, enfin nommé chevalier de la Légion d’honneur à titre posthume.

La découverte de ses restes, il y a maintenant 23 ans, fait grand bruit dans la presse, déclenchant des calomnies aussi perverses qu’infondées.

À partir de 1977, Michel Algrain et ses collaborateurs ont en effet repris des recherches. Finalement, c’est le 2 mai 1991 que Jean Louis découvre, dans le Bois de Saint-Rémy, au-dessus de la vallée du Longeau, une excavation où les corps des 21 hommes, originaires pour la plupart du Gers, ont été enterrés à fleur de terre dans une fosse commune creusée par les Allemands , il les identifie aussitôt par des débris d’uniformes et par un galon de lieutenant.

Une fouille minutieuse de la sépulture, puis un examen scientifique en laboratoire de tous les ossements feront justice de la plupart des accusations hâtives.

En 1992, ces « morts pour la France » ont été inhumés solennellement dans la nécropole nationale de Saint-Remy-la-Calonne (Meuse).

Michel Baranger
ancien secrétaire de l’association des amis
de Jacques Rivière et d’Alain-Fournier



Septembre 1914 - La grande guerre au jour le jour
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HISTOIRE : La Légion Etrangère en septembre 1914
www.legionetrangere.fr/.../327-histoire-la-legion-etrangere-en-septembre...
Septembre 1914 : les volontaires étrangers sont rassemblés dans des camps
  • Alain-Fournier - Archives de France - Ministère de la Culture ...
www.archivesdefrance.culture.gouv.fr/action.../1914/alain-fournier/
Lieutenant de réserve, mobilisé le 2 août 1914, Alain-Fournier est « parti content ... au combat de Saint-Remy, au cours des journées du 21 au 30 septembre ».










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