21
SEPTEMBRE 1914
I)
Des
contre-attaques de l'ennemi ont été repoussées au nord de l'Aisne,
en aval de Soissons, et aussi entre Craonne et Reims, où nous avons
progressé, fait des prisonniers et enlevé le village de Souain. Des
progrès ont été de même accomplis dans l'Argonne.
En Woëvre, les pluies, détrempant le terrain, l'ont rendu difficile. L'ennemi a essayé de recommencer ses attaques dans la région de Saint-Dié, mais s'y est heurté à une résistance soutenue.
En Woëvre, les pluies, détrempant le terrain, l'ont rendu difficile. L'ennemi a essayé de recommencer ses attaques dans la région de Saint-Dié, mais s'y est heurté à une résistance soutenue.
L'armée Russe bombarde Jaroslaw en Galicie et ouvre les opérations contre la forteresse de Przemysl.
Le tsar a autorisé la création d'un nouveau drapeau national comprenant les trois couleurs Russes et l'emblème impérial.
La destruction, par le bombardement, de la cathédrale de Reims, que les Allemands ont anéantie sans qu'aucun intérêt militaire quelconque leur puisse servir de justification, a provoqué une stupeur et une indignation profondes. Le gouvernement Français a saisi les puissances d'une protestation diplomatique.
Les troupes Hollandaises ont tiré sur un Zeppelin qui survolait la Zélande.
La garnison Allemande de Kiao-Tcheou, 6.000 hommes, est affamée et épuisée.
II)
Marne :
L’artillerie
lourde Allemande canonne notre front.
– Reims : Des obus continuent à pleuvoir sur la ville, pendant que le quartier Cérès achève de brûler.
– Reims : Des obus continuent à pleuvoir sur la ville, pendant que le quartier Cérès achève de brûler.
III)
Dès
le début de la Première Guerre mondiale, le Japon et le
Royaume-Uni, via sa colonie Australienne, envahissent la
Nouvelle-Guinée Allemande. La seule véritable bataille a lieu le 11
septembre 1914 et voit la Royal Navy et l'armée Australienne
détruire la station-radio Allemande de Bitapaka.
10
jours plus tard, la Nouvelle-Guinée Allemande rend les armes. Le
traité de Versailles, en 1919, la divise en un territoire de
Nouvelle-Guinée et des Îles du Pacifique, mandats de la SDN,
respectivement administrés par l'Australie et le Japon.
IV)
Le
gouvernement dénonce au monde l’incendie de la cathédrale de
Reims
Cette
fois, il n’y a plus de doute, les Allemands reprennent l’offensive
avec l’espoir de reconquérir les territoires perdus après leur
lourde déconvenue de la Marne...
C’est la Ve armée qui repart à l’assaut des lignes Françaises du côté de Saint-Mihiel pour encercler Verdun et faire tomber la place forte qui sert de verrou à la charnière de la Lorraine... Les soldats de Guillaume II conquièrent Saint-Mihiel et parviennent jusqu’au bord de la Meuse. Le général Charles-Antoine Grand-Esnon est tué au combat.
Le
gouvernement Français de René Viviani adresse à tous les États
neutres une protestation solennelle après le bombardement qui a
embrasé la cathédrale Notre-Dame de Reims : « Le gouvernement
de la République a le devoir de dénoncer à l’indignation
universelle cet acte révoltant de vandalisme qui, livrant aux
flammes un sanctuaire de notre histoire, dérobe à l’humanité une
parcelle du patrimoine artistique mondial.
V)
En
raison de la prolongation du conflit et du coût de la guerre, un
décret autorise les départements comme les communes à émettre des
bons remboursables après la guerre. Le Journal officiel publie
également un décret étendant aux colonies le bénéfice des
allocations aux personnes nécessiteuses : « dont le soutien
serait sollicité ou qui seraient rappelées sous les drapeaux ».
Le gouvernement réclame enfin au conseil de régence de la Banque de
France l’ouverture d’une ligne de crédits de 3,1 milliards de
francs.
VI)
[La
fête de Vesyegonsk est une première, elle célèbre le centenaire
de vin locaux, concernant des vins naturels à partir de baies, et
notamment de canneberges. Elle a été fondée en 1914 par un
commerçant nommé Efremov.
Ce
lieu n’a pas été choisi au hasard. Depuis le XVIe siècle,
Vesyegonsk est célèbre pour ses marchés. La ville est l’un des
centres commerciaux les plus importants de l’Empire Russe. Les
commerçants en visite à Vesyegonsk y apprécient surtout ses vins
de fruits locaux. Les recettes ont été transmises de génération
en génération. Longtemps l’activité viticole de Vesyegonsk se
nomme justement « vinerie » de canneberge.
Durant
la période soviétique, la cave produisait du vin de canneberge,
d’airelle rouge, de myrtille et de sorbe. Le vin est exporté en
France et vers d’autres pays Européens.
Depuis
2006, le domaine de Vesyegonsk produit du vin sous le label
« Créative Wine ». L’entreprise s’est équipée d’un
nouveau système pour contrôler la qualité des productions, composé
d’appareils Italiens et Allemands, comme le souligne la responsable
administrative du district de Vesyegonsk, Ekaterina Zhivopistseva :
«
Ici, nous avons plusieurs sortes de très bons vins. Une personne
vient tout spécialement de France pour contrôler la qualité des
produits. L’année dernière, l’entreprise s’est mise à
produire des jus de fruits naturels de canneberges et d’airelles
rouges qui sont très demandés.»
En
2009, la « vinerie de Vesyegonsk » a invité le célèbre
consultant en vins Français Frédéric Vauthier. Il a encadré la
sortie des différentes collections de vin, parmi lesquelles une
série haut de gamme de vin de canneberges, « Flirtini
canneberge ». Il s’agit de la première étape dans la relance de
la tradition de vin à base de baies en Russie. Il y a quelques
années, la cave a lancé un projet d’œnotourisme gastronomique.
La visite de la cave est l’un des moments forts de la croisière de
Moscou à la mer de Rybinsk. Cette année, le programme du festival
inclut une excursion à la vinerie et la dégustation de vins de
baies en plein air.
En
Europe, le tourisme basé sur la découverte des traditions
culinaires et viticoles existe depuis longtemps. En Russie, la fête
du concombre à Souzdal est de plus en plus appréciée des touristes
étrangers. Mais une fête du concombre peut se dérouler n’importe
où, puisque les concombres poussent partout, ce n’est pas le cas
des canneberges comme le souligne Ekaterina Zhivopistseva :
«
Dans la région de Vesyegonsk, nous avons de très nombreux marais
riches en canneberges. C’est pourquoi notre vinerie achète sans
difficulté des fruits aux habitants. En général, notre région
n’est pas seulement appréciée pour ses canneberges mais aussi
pour ses airelles rouges, ses myrtilles et ses forêts riches en
champignons. »
On
peut se rendre à Vesyegonsk en voiture ou en bus au départ de
Moscou. Mais ce n’est pas tout près, environ 400 kilomètres. Il
est bien plus agréable d’y venir en bateau. Vesyegonsk et ses 7
000 habitants attirent les touristes grâce à leur nature préservée.
Il y a peu de monuments dans la région. Au siècle dernier, lors de
la création du réservoir de Rybinsk, les deux tiers de Vesyegonsk
ont été inondés. Mais le clou du spectacle est la nature. La
canneberge est l’une des spécialités locales et ce n’est pas un
hasard si la cave a ouvert une ferme expérimentale où sont
cultivées plusieurs sortes de canneberges. A l’occasion du
festival, la construction d’un monument unique dédié à
celle-civa d’ailleurs être lancé, il sera ouvert dans un an.]...
Il y a d'autre choses à commémorer que la déclaration de guerre...
VII)
Ouverture
d’un crédit de 3,1 milliards de francs, par convention entre le
gouvernement et la Banque de France, décret autorisant les
départements et les communes à émettre des bons remboursables
après la guerre.
VIII)
Arras
Arrivée
de spahis Algériens.
Lens
Visite
à Lens du ministre du Commerce, Thomson, accompagné des sénateurs
Jonnart et Hayez, du directeur des mines et du sous-préfet, pour la
reprise de la vie économique du secteur
IX)
3h30
debout tout le monde !
11h00
départ d'Essey -les-Nancy,Traversée de Nancy de 12h00 à 13h00
jolie ville me rappelant un peu Paris par ses belles maisons et son
aspect général.(avec Louis on a le temps de prendre un bock, à la
terrasse d' un café).
Puis
l' on prend la direction de Toul , et sous les fortes averses
intermittentes ,on marche, on marche, on s’arrête au moins 2
heures au milieu d'une forêt , puis on repart, on traverse la
Moselle et après 14 heures de marche on arrive dans un village
appelé Jaillon, à une heure du matin on y cantonne, on est éreinté
et mouillé et on se couche dans la paille dans ces conditions.
X
Les
volontaires étrangers sont rassemblés dans des camps d’instruction
proches de Paris avant d’être pour une partie, amalgamés avec des
légionnaires venus d’Algérie ou du Maroc. Tous répondent à la
proclamation lancée par un groupe d’intellectuels étrangers,
conduit par l’écrivain Suisse Blaise Cendrar, le jour de la
mobilisation générale : « L'heure est grave. Tout homme
digne de ce nom doit aujourd'hui agir, doit se défendre de rester
inactif au milieu de la plus formidable conflagration que l'histoire
ait jamais pu enregistrer. »
Quatre
régiments de marche sont ainsi constitués. Deux, le 2e du 1er
Étranger et le 2e du 2e Étranger sont encadrés par des officiers
et sous-officiers en provenance de la Légion d’Afrique. Le 3e R.M.
du 1er R.E., formé à Paris, est encadré par des sapeurs-pompiers
de Paris et des gendarmes. Le 4e R.M., baptisé lui aussi
légionnaire, est entièrement constitué d’Italiens, il est
commandé par le petit-fils de Garibaldi : c’est la fameuse
« Légion Garibaldienne ».
Les
recrues du 3e R.M. du 1er Étranger se livrent aux plaisirs du
maniement d’armes à la caserne de Reuilly. La plupart d’entre
eux, commerçants, artisans, artistes, universitaires, vivent en
France depuis des années, aiment la France et désirent la servir.
L’annonce d’un régiment étranger les comble et l’uniforme
leur est désormais une sauvegarde.
Le
7 septembre, le colonel Thiébault prend le commandement du 3e R.M.
du 1er R.E. Le 9 septembre, le général Gallieni vient en inspection
à la caserne de Reuilly. Il est frappé par la bonne tenue des
volontaires. Cette troupe est animée des traditions très vives des
unités de la Légion. Tel est le prestige d’un nom, seul lien de
ce régiment de hasard avec la vraie Légion. Tous les volontaires
sont fiers d’être légionnaires et sont prêts à combattre comme
des légionnaires.
2
photos montrent des engagés volontaires Américains du 2e R.E. à
Paris en août 1914 et sur le front en septembre 1915, avec le poète
Alan Seeger qui sera tué en juillet 1916 à Belloy-en-Santerre.
Jusqu’à
son intervention sur le front occidental en France, la Légion
Étrangère est considérée par l’opinion Française comme un
corps de troupe exceptionnel, un peu mystérieux, refuge des
aventuriers, des fils de famille perdus de dettes, …, troupe de
choc vouée aux expéditions lointaines.
La
vraie Légion de la Guerre 1914-1918 naît au camp de Mailly avec les
éléments du 1er Étranger et du 2e Étranger (en principe pas
d’Allemands, ni Autrichiens, ni Bulgares, en fait, il y en a
quelques uns, volontaires), venus d’Afrique, ces éléments
incorporent, encadrent et instruisent les volontaires arrivés de
plusieurs centres de recrutement en Province... Rude besogne, qui
faillit mettre sur les dents les sous-officiers de Sidi-Bel-Abbès et
de Saïda, pourtant spécialistes du dressage et de la poigne de fer.
Le
flot des volontaires submerge les officiers recruteurs qui laissent
s’engouffrer le torrent de tous les volontaires à qui personne ne
demande de papiers, mais durant les jours suivants, le tri des
volontaires est effectué avec la rigueur traditionnelle de la
Légion. En 4 mois, la Légion Étrangère va accueillir 12 000
volontaires.
L’élément
« Vieille Légion » venu d’Afrique lie cette mixture
qui ne manque pas de saveur.
Les
1er, 2e et 6e bataillons du 1er R.E., rattachés aux troupes du Maroc
depuis 1907, sont groupés en un 1er Régiment de Marche du 1er
Régiment Étranger qui reste à la disposition du général Lyautey,
lui permettant de ne point céder un pouce de terrain. Le 2e Étranger
fournit également le 1er Régiment de Marche au Maroc.
Le
4e bataillon du 1er R.E., bien qu’indispensable au Tonkin, est
rapatrié pour renforcer les unités de la Légion Étrangère
engagées sur le front Français et d’Orient
Le
5e bataillon du 1er R.E. stationné en Algérie, le plus disponible
pour l’heure, doit disparaître pour former l’ossature de deux
régiments de marche (2e et 3e R.M. du 1er R.E.) constitués en
France pour accueillir les milliers d’étrangers, engagés
volontaires pour la durée de la guerre.
4
régiments de marche sont donc constitués en Métropole en 1914
:
Le
2e Régiment de Marche du 1er Étranger, commandé par le colonel
Louis Pein.
Le
2e Régiment de Marche du 2e Étranger, commandé par le colonel
Flavien Passard.
Le
3e Régiment de Marche du 1er Étranger, commandé par le colonel
Thiébault.
Le
4e Régiment de Marche du 1er Étranger, sous le commandement du
lieutenant-colonel Peppino Garibaldi, petit-fils du grand Garibaldi,
formé à compter du 04.09.1914 et créé le 04.11.1914.
Jean
BALAZUC P.P.P.
Sources
principales.
- La Légion Étrangère – Grandeur et servitudes – Historama – HS de XI-1967.
- La Légion Étrangère - Voyage à l'intérieur d'un corps d'élite de John Robert Young & Erwan Bergot – Éditions Robert Laffont – 1984.
- Le 1er Étranger de Philippe Cart-Tanneur & Tibor Szecsko - Branding Iron Production - 1986
- Le 3e Étranger de Philippe Cart-Tanneur & Tibor Szecsko – Editions du Fer à marquer – 1988.
- Histoire de la Légion Étrangère 1831-1981 de Georges Blond – Plon – 1981.
- La Légion Étrangère de Douglas Porch – Fayard – 1994.
XI)
Autour
de Charles Péguy, Alain Fournier, Louis Pergaud et Guillaume
Appolinaire.
Par
Robert JACOB.
Parmi
les 2 millions de soldats Français morts pour la France, voici
l’histoire de 4 écrivains au destin tragique, devenus célèbres
avec parfois un seul livre :
Charles
PEGUY, tué le 5 septembre 1914.
Alain FOURNIER, tué le 21 septembre 1914.
Louis PERGAUD, tué le 29 mars 1915.
Guillaume APPOLINAIRE, blessé le 17 mars 1916, décédé le 9 novembre 1918.
Un
an après la publication du Grand Meaulnes, la disparition de son
auteur sur le front de Lorraine, peu après la mort de Charles Péguy,
fait la une de la presse Parisienne et Berrichonne, annoncée par de
grands noms de la littérature : Paul Fort, Julien Benda célèbrent
le héros de 28 ans, Hugues Lapaire, dans La Dépêche du Berry, le
compare à Frantz de Galais commandant « le grand jeu ». Claudel et
Romain Rolland enquêtent auprès de la Croix-Rouge.
Lieutenant
de réserve, mobilisé le 2 août 1914, Alain-Fournier est « parti
content », comme son ami Péguy, comme des centaines de milliers
d’autres jeunes Français , de Cambo au Pays Basque, il a rejoint
sa garnison à Mirande (Gers) et, affecté au 288e régiment
d’infanterie de réserve, il a quitté Auch pour le front de
Lorraine. Avec sa compagnie, la 23e, il participe entre le 24 août
et le 8 septembre, à 3 batailles très meurtrières autour de
Verdun.
Le
21 septembre, un détachement composé de 2 compagnies, la 22e,
commandée par le lieutenant Marien et la 23e, commandée par le
lieutenant Fournier, reçoit l’ordre d’effectuer une
reconnaissance offensive vers les Hauts de Meuse, envahis par
l’ennemi. D’après le témoignage du sergent Baqué, Fournier
parvient jusqu’à la Tranchée de Calonne où il est rejoint par le
capitaine de Gramont qui prend la direction des opérations et décide
d’attaquer l’ennemi... Voulant rejoindre la 22e compagnie de
Marien qui s’est trouvée face à un poste de secours Allemand et a
échangé des coups de feu, les Français sont pris à revers par des
grenadiers Prussiens, dissimulés dans un fossé à la lisière du
bois de Saint-Rémy. Combat confus, débandade d’une partie du
détachement, l’avant-garde est décimée par la mitraille. 3
officiers (dont Alain-Fournier) et 18 de leurs hommes sont tués ou
mortellement blessés.
Le
Journal des marches et opérations du 288e R.I. les porte « disparus
au combat de Saint-Remy, au cours des journées du 21 au 30 septembre
». Nous disposons aujourd’hui de nombreux documents sur ce bref
épisode d’une bataille très violente, récits tant Français
qu’Allemands, les uns très officiels, d’autres plus personnels,
parfois contradictoires.
ALAIN FOURNIER |
Disparition
si totale qu’en dépit des recherches menées sur le terrain après
la guerre, par son ami et beau-frère, Jacques Rivière, les restes
d’Alain-Fournier ne seront retrouvés que 77 ans plus tard, avec
ceux de ses 20 compagnons d’armes. Le lieutenant Alain Fournier a
été officiellement déclaré « mort pour la France » en juin
1920, puis décoré de la Croix de guerre avec palme, enfin nommé
chevalier de la Légion d’honneur à titre posthume.
La
découverte de ses restes, il y a maintenant 23 ans, fait grand bruit
dans la presse, déclenchant des calomnies aussi perverses
qu’infondées.
À
partir de 1977, Michel Algrain et ses collaborateurs ont en effet
repris des recherches. Finalement, c’est le 2 mai 1991 que Jean
Louis découvre, dans le Bois de Saint-Rémy, au-dessus de la vallée
du Longeau, une excavation où les corps des 21 hommes, originaires
pour la plupart du Gers, ont été enterrés à fleur de terre dans
une fosse commune creusée par les Allemands , il les identifie
aussitôt par des débris d’uniformes et par un galon de
lieutenant.
Une
fouille minutieuse de la sépulture, puis un examen scientifique en
laboratoire de tous les ossements feront justice de la plupart des
accusations hâtives.
En
1992, ces « morts pour la France » ont été inhumés
solennellement dans la nécropole nationale de Saint-Remy-la-Calonne
(Meuse).
Michel
Baranger
ancien secrétaire de l’association des amis
de Jacques Rivière et d’Alain-Fournier
ancien secrétaire de l’association des amis
de Jacques Rivière et d’Alain-Fournier
Septembre
1914 - La grande guerre au jour le jour
grande.guerre.pagesperso-orange.fr/septembre14.html
Septembre
1914. Semaine du 1er au 6 septembre. Il faut distinguer entre
l'offensive allemande qui ..... Samedi 19 septembre. Nos troupes ont
progressé à l'aile ...
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Septembre
1914 - La grande guerre au jour le jour
grande.guerre.pagesperso-orange.fr/septembre14.html
Septembre
1914. Semaine du 1er au 6 septembre ..... Il n'est pas indifférent,
en effet, de rappeler que le 21, M. Winston Churchill, ministre
britannique de la ...
HISTOIRE
: La Légion Etrangère en septembre 1914
www.legionetrangere.fr/.../327-histoire-la-legion-etrangere-en-septembre...
Septembre
1914 : les volontaires étrangers sont rassemblés dans des camps
- Alain-Fournier - Archives de France - Ministère de la Culture ...
www.archivesdefrance.culture.gouv.fr/action.../1914/alain-fournier/
Lieutenant
de réserve, mobilisé le 2 août 1914, Alain-Fournier est « parti
content ... au combat de Saint-Remy, au cours des journées du 21 au
30 septembre ».
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