27 SEPTEMBRE 2014...
Cette
page concerne l'année 961 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
OTTON
Ier D'AIX LA CHAPELLE A ROME PAR LE BRENNER DE ROI A EMPEREUR.
Otton Ier
(936-973), conquiert le royaume d'Italie en 951. Initiateur du
« Drang nach Osten », la poussée vers l'Est, il vainc en
955 les Slaves obodrites sur la Recknitz et les Hongrois à la
bataille du Lechfeld, mettant un terme à leurs raids dévastateurs.
Au soir de cette dernière bataille, ses troupes le proclament
empereur. En 961, Otton Ier descend en Italie pour recevoir la
couronne impériale des mains du pape Jean XII, le 2 février
962. Ainsi renaît le Saint Empire, nouvel avatar, aux yeux des
contemporains, de l'Empire chrétien d'Occident... En 1512, il est
pour la première fois qualifié de « Saint Empire Romain de
nation Allemande ». Cette institution perdurera jusqu'en 1806,
puis disparaîtra sous les coups des armées Françaises de
Napoléon Ier.
L'impératrice
Adélaïde est d'abord mariée au prince Lothaire d'Italie,
Fille de Rudolf II, roi de Haute Bourgogne, en vertu d'un accord politique passé 14 ans plus tôt entre Rudolf et Hugues de Provence, père de Lothaire, la jeune princesse n'a que 16 ans.
Fille de Rudolf II, roi de Haute Bourgogne, en vertu d'un accord politique passé 14 ans plus tôt entre Rudolf et Hugues de Provence, père de Lothaire, la jeune princesse n'a que 16 ans.
Quelques
années plus tard, le jeune marié Lothaire décède, peut-être
assassiné par Béranger qui doit lui succéder... Le nouveau roi
veut forcer Adélaïde à épouser son fils... Elle refuse et se
retrouve emprisonnée...
Alors
Otton Ier, roi de Germanie envahit le territoire de Béranger, libère
la royale prisonnière et l'amène à Pavie, où il l'épouse en 951.
C'est aussi un second mariage pour Otton Ier dont la première femme
est Édith, sœur du roi Anglo-Saxon Athoïstan... Devenue l'épouse
d'Otton Ier, elle participe à la conduite de l'Empire en tant que
« consors regni », accompagne son époux dans ses
expéditions en Italie de 961 à 965 et de 966 à 972, et est
couronnée impératrice à ses côtés en février 962, à Rome par
le pape Jean XII .
En
960 le pape, le successeur de celui qui naguère lui a opposé une
fin de non-recevoir, appelle à son secours Otton Ier . Ce Jean XII
n'est pas un parangon de vertu, mais il a été choisi, conformément
au vœu de son père, Albéric, le prince de Rome, pour que le
principat et le pontificat soient réunis dans la même personne...
Bérenger, le roi d'Italie qu'Otton Ier a investi, envahit les terres
du Saint-Siège, Jean XII, comme l'a fait jadis Léon III appelant
Charlemagne, promet qu'il couronnera Otton Ier en échange de son
aide.
La
proposition est acceptée. A la fin de 961, il franchit les Alpes et,
bien que Bérenger se soit échappé, il le dépose, prend sa place,
sans pour autant annuler l'autonomie du royaume des Lombards, dont
les institutions sont respectées. Aux portes de la Ville éternelle,
Otton Ier s'arrête pour prêter au pape un « serment de sécurité
», s'engageant de plus, à lui restituer ce qui appartient au
patrimoine de Saint Pierre.
Otton
Ier du Saint-Empire reçoit la soumission de Bérenger II d'Italie en
961, fait main basse sur le royaume d'Italie et fonde l'Empire
germanique en 962 (amorce de la renaissance Ottonienne).
La veuve de Lothaire d'Arles, héritière de l'Italie et fille du roi de Bourgogne et d'Italie Rodolphe II de Bourgogne, Adélaïde, qu'Otton Ier le Grand épouse le 25 décembre 951, lui permet de conserver de ce fait l'Italie qui passe de la suzeraineté Carolingienne Franque à la suzeraineté Germanique...
Bérenger se révolte de nouveau en 960 et s'attaque au pape Jean XII lequel, mène une politique de conquête sur l'Italie, et fait appel à son tour à l'empereur Otton Ier le Grand.
La veuve de Lothaire d'Arles, héritière de l'Italie et fille du roi de Bourgogne et d'Italie Rodolphe II de Bourgogne, Adélaïde, qu'Otton Ier le Grand épouse le 25 décembre 951, lui permet de conserver de ce fait l'Italie qui passe de la suzeraineté Carolingienne Franque à la suzeraineté Germanique...
Bérenger se révolte de nouveau en 960 et s'attaque au pape Jean XII lequel, mène une politique de conquête sur l'Italie, et fait appel à son tour à l'empereur Otton Ier le Grand.
LE HAUT ADIGE |
Il
s'attire alors les foudres de Byzance et des Romains.
Le
couronnement d'Otton Ier comme empereur le 2 février 962 est retenu
par la majeure partie des historiens comme la date de fondation du
Saint-Empire Romain, même si Otton ne veut pas fonder de nouvel
empire. On parle alors de renovatio imperii (restauration de
l'empire). L'Empire Carolingien tel qu'il existait est définitivement
mort : le processus de division entre la Francie orientale et la
Francie médiane de la Francie occidentale étant achevé. Toutefois,
Otton s'en veut le continuateur. Avec le couronnement d'Otton, le
Saint-Empire avait obtenu sa légitimation temporelle, et sacré en
tant que nouvel Imperium Romanum.
Otton
Ier est un souverain itinérant. Il va là où les affaires et les
guerres l'entraînent. Il séjourne juste un peu plus longtemps en
Thuringe et en Saxe, en particulier... L'empereur Germanique est un
chef de guerre, il dispose du droit de mobiliser 6 000 chevaliers en
Allemagne. Les Italiens fournissent aussi des contingents armés...
Malheureusement,
aucun érudit des IXe et Xe siècles n’a guère voulu escalader les
sommets des Alpes du nord pour nous laisser une analyse du paysage ou
une présentation de la région... Nulle topographie ou Cosmogonie,
mais un narrateur doit souvent décrire les lieux « pour la
plus grande intelligence des choses » et les voyageurs se pressent
pour emprunter les cols qui connaissent une importance croissante.
Tandis
que décline l’axe Rhodanien lié au trafic maritime Méditerranéen,
l’intérêt des Francs pour la Péninsule puis l’intégration de
celle-ci à l’empire font des Alpes du nord le maillon central de
l’axe majeur de l’époque, celui qui relie la Lorraine à Rome,
Aix-la-Chapelle à l’Italie.
De
fait, la Transjuranne connaît un renouveau sous Louis le Pieux. La
conjoncture peut paraître moins favorable au Xe siècle :
l’insécurité menace, la route est même par moments sous contrôle
des Sarrasins, et l’essor de la puissance Ottonienne favorise le
développement de routes plus orientales. Toutefois, la circulation
reste intense, d’autant que les échanges locaux sont stimulés par
le rattachement du Val d’Aoste au royaume de Bourgogne, et son
contrôle devient même une raison d’être des rois de Bourgogne
qui mettent en place ce que les historiens Allemands ont appelé une
« Passpolitik ». À la multiplication d’échanges aussi
bien économiques que religieux et aristocratiques, répond une
grande diversité de voyageurs... Aux cols se croisent évêques et
moines de toute l’Europe, artisans Italiens, marchands et pèlerins
Anglais, « negociatores » Francs, aristocrates Francs,
Souabes ou Bourguignons, messagers de toutes sortes…
Parmi
eux, certains ont donné un récit de leur passage des Alpes, souvent
via leurs proches. D’autres ont suscité des récits chez les
hagiographes, les historiens ou les annalistes, et des dizaines de
textes évoquent la traversée des Alpes du nord.
Ces
récits de voyage sont ainsi entendu dans leur sens le plus large et
ne peuvent renvoyer systématiquement à une œuvre viatique avec un
voyageur-narrateur pour cette époque. C’est par exemple le cas en
Bas-Valais (ou vieux Chablais) ou, à un autre degré, pour la
Transjurassienne (...)
Si
le choix de cette voie répond à une multiplication des voyages et
des sources, celui de champ géographique correspond à la
possibilité d’étudier l’image d’un espace particulier, un
espace montagnard... En effet, la présence des plus hautes montagnes
d’Europe et de cols à leur pied confronte forcément le
descripteur aux spécificités d’un espace à fort relief...
Celles-ci sont d’autant plus marquées que les Alpes du nord se
distinguent par la puissance des contrastes topographiques :
D'’énormes
massifs surplombent de longues vallées, dans un voisinage immédiat
entre espaces plats et zones plus élevées, à l’échelle
régionale comme à l’échelle locale.
Dans
un premier temps, les récits de voyages seront envisagés ici comme
la représentation d’un espace identifié, comme une carte mentale.
Il s’agit de mettre en évidence la géographie de l’espace
montagnard que les récits de voyages véhiculent, de voir quel
espace montagnard on décrit véritablement et si la montagne est un
sujet en soi/un objet géographique.
« toute
perception de l’espace présente une dimension cognitive et
pragmatique ». Les récits à caractère hagiographique étant
les plus proches du récit de voyage, ils mentionnent des étapes et
des grands repères comme la Tête du lac (Léman) ou la séparation
des deux grandes routes issues du Grand-Saint-Bernard, les annales
sont presque les seules à citer les vallées (vallée d’Aoste,
Maurienne), tandis que les chroniqueurs préfèrent les points les
plus remarquables, cols et cités.
Au
total, les noms cités ne fournissent pas une géographie des Alpes,
mais plutôt et très logiquement une géographie du franchissement
des Alpes. Les deux noms les plus fréquents, le Mont-Joux, « le
plus connu des monts », et Saint Maurice d’Agaune regroupent
les deux tiers des mentions de lieux, dessinant ainsi la route
principale, celle du Grand-Saint-Bernard. Concentrés sur la
description de la route, les auteurs sont donc confrontés à la
montagne parce qu’elle en est un élément constitutif...
Pourtant,
pour nombre d’auteurs, la montagne proprement dite est un non
sujet. Certains ne la mentionnent même pas. Ainsi, Eginhard écrit
dans l’Histoire de la translation des reliques des Saints Pierre et
Marcellin que « Pavie laissée, il arrive à Saint-Maurice le
6e jour ». Cette absence textuelle de la montagne s’explique par
une fatalité face à l’obstacle :
« les
Alpes franchies par la miséricorde divine » nous dit Thancmar
à propos d’un voyage de Bernward d’Hildesheim et Richer parle de
la route qu’on ne peut éviter. Elle résulte aussi d’une
certaine indifférence vis-à-vis d’espaces marginalisés. Ainsi la
montagne n’est pas utilisée pour localiser et les visites aux
martyrs d’Agaune amènent la description de l’abbaye, du repos ou
des approvisionnements mais jamais celle de la montagne qui la
surplombe.
L’opposition
entre deux espaces est également marquée par une terminologie
partagée par tous. La montagne elle-même est surtout appelée
« mons, cluses » lorsqu’il y a une route ou encore
Alpes. Dans les récits détaillés, Alpes prend alors un sens
local : le terme renvoie aux zones les plus montagneuses et
l’expression « inter Alpes » s’applique à des
événements qui ont lieu au cœur des massifs. Au contraire, les
zones basses sont rarement désignées. Lambert de Hersfeld parle de
plaine et région, des creux des vallées opposées aux escarpements
des montes, mais nombre d’auteurs préfèrent alors utiliser les
noms des cités, localités et abbayes. Agaune est dite sur le Rhône
en Bourgogne alors que Glaber localise le Mont-Joux dans les pays des
Alpes. Cela illustre le fait que les fonds de vallées ne sont pas
conçus comme un élément appartenant à la montagne, mais plutôt
comme un prolongement des espaces plats...
Remarquons
en passant que les autochtones partagent ce point de vue, mais d’une
façon moins nette car le contrôle de la route jusqu’au col et le
développement des alpages favorisent la complémentarité entre les
espaces « in monte et in plano » d’où une division ternaire
– « montibus vallibus alpibus »
La
notion de frontière politique correspond surtout aux périodes
troublées. Les récits de passages alpins fermés ou rendus
difficiles pour des raisons politiques, que cela concerne un individu
ou une armée sont nombreux : 837, 875, 894, 940-950 961 etc…
En
période normale, c’est plutôt le col qui marque symboliquement ou
réellement le changement d’espace : tous les textes font du
Mont-Joux une des limites de la Bourgogne Transjurane et cela même
après que l’expansion du royaume de Bourgogne en Val d’Aoste a
reporté la frontière à l’entrée des cluses du côté Italien.
Cette hésitation entre frontière de la cluse et frontière du col
correspond à une différence de perspective. La vision théorique,
lointaine, assimile frontière politique et frontière naturelle au
profit du sommet tandis que ce qui touche la traversée, concrète,
traite le massif en bloc au profit de l’entrée dans la cluse.
C’est que les Alpes sont en même temps une frontière, et un lieu
de passage par excellence...
Le
seul voyageur dont on raconte qu’il doit rebrousser chemin au
Mont-Joux est l’éléphant offert à Charlemagne. Non seulement
personne ne parle de barrière infranchissable, mais les verbes
employés à propos des Alpes montrent combien on met en avant la
notion de passage. Si quelques-uns de ces verbes (adtingere,
pervenire, superare) évoquent l’arrivée au sommet, la grande
majorité des verbes (transmereo, transcendo…) renvoient à la
traversée et transire représente à lui seul un tiers des
possibilités de ce passage.
Quand
la Passpolitik est au cœur de la puissance des Rodolphiens pour le
contemporain comme pour l’historien. L’explication réside
surtout dans la définition donnée au mot Alpes : les vallées
qui traversent de part en part les massifs et où sont installés les
sujets et les centres de pouvoir des Rodolphiens ne sont pas
considérées comme fondamentalement dans les Alpes qui constituent
avant tout la montagne elle-même. C’est donc très logiquement que
Rodolphe III est dit roi des « plus grandes cluses » et
non des Alpes.
Les
voyageurs et leurs biographes se montrent également impressionnés
par une nature puissante et dangereuse dont les éléments principaux
sont les rochers et l’eau. En 894, hors de la route normale il est
vrai, les hommes et les chevaux d’Arnulf doivent passer « par
des rochers abrupts […] à travers des précipices de roches, comme
s'ils devaient traverser un mur vertical, sautant de tous côtés à
travers les rochers, avec certains paliers cités comme des endroits
pour reprendre haleine ». La Vita Maioli décrit un ruisseau qui
« tombe des montagnes et se précipite par des masses
sinueuses, refoulé d’entre les Alpes » … Tandis que les
annales de Fulda rapportent qu’en 886 « au milieu des Alpes,
il y eut un tel emportement des eaux et un tel heurt de rochers que
la courbe et les empreintes des voies à travers les montagnes
saccagées ne peuvent d’être discernées ».
À
lieux dangereux, gens dangereux. Comme toute route, celle des Alpes
attire diverses sortes de brigands. « Robert, évêque de
l’Église de Tours, revenant de Rome, au pied des Alpes, est tué
par des brigands pendant la nuit à l’intérieur de la tente avec
ses compagnons auprès de lui ». Le danger vient aussi des païens
sarrasins voire des autorités : selon Glaber, dont le récit a
été contesté à tort, « dans de très étroits sentiers les
plus puissants de cette région, commandés par la cupidité, avaient
été institué des barrières et des gardiens pour faire payer le
prix du passage ».
Les
Alpes du nord ne sont pas conçues comme un espace régional clair,
mais comme un doublon dont la route est le trait d’union. D’un
côté, les vallées, sans spécificités, simples prolongements des
autres espaces, de l’autre, la montagne, un espace marginal, qui
commence dès que le chemin s’élève. À un moindre degré, les
récits se révèlent des outils adaptés à une géographie physique
et humaine du paysage. Si la description précise et l’analyse font
défaut, apparaissent l’espace vécu et l’espace imaginé. Les
Alpes du nord constituent une véritable barrière et ce sont des
lieux souvent rudes du fait des pentes et de l’altitude, mais tout
en fournissant un passage indispensable et en offrant des espaces
inégalement mais largement humanisés... Cette relative neutralité
du discours concerne tous les objets géographiques. L’irruption
des démons dans les montagnes au XIIe siècle, signe d’une
approche beaucoup plus morale, d’un discours clérical et d’une
fonction plus allégorique du récit, doit nous inciter aussi à
approfondir la réflexion sur l’évolution des conceptions
géographiques à l’intérieur même du Moyen Âge...
Le
col du Brenner (Brenner, Brennero : « passage »)
est, avec le Gothard helvétique, l'une des voies majeures de
franchissement des Alpes. Bien que cette région soit maintenant
sectionnée par la frontière Austro-Italienne, elle ne forme qu'une
seule unité géographique et ethnique. Sur le trajet le plus direct
entre l'Allemagne du Sud et la plaine du Pô, le seuil du Brenner est
un passage naturel tectonique, où la nature alpine demeure rude.
Dans
ce couloir où s'engouffrent les vents glacés du Nord, l'économie
rurale, à base de forêts et d'alpages, est beaucoup plus médiocre
que dans le Tyrol septentrional. Ce n'est pas elle, mais bien la
fonction de circulation, qui fait la fortune de la région. Le sillon
du Brenner a été approfondi, du côté de l'Autriche, par une
diffluence du glacier quaternaire de l'Inn, puis par la Sill, qui
conflue avec cette dernière à Innsbruck, et, au sud, par l'Isarco
(Eisach), tributaire de l'Adige (Etsch). Sur le versant nord, en
amont de Matrei, la vallée s'élève en gradins, et se rétrécit en
gorges, jusqu'au col, constitué par un plateau de 5 kilomètres de
long (en territoire Italien) et culminant à 1 374 mètres. Le
versant méridional est beaucoup plus raide mais un peu plus chaud et
abrité. Par Gozzo (Colle Isarco, Gossensass), Vipiteno (Sterzing) et
Fortezza (Franzenfeste), on gagne Bressanone (Brixen). Au confluent
de l'Isarco et du Talfer, une terrasse bien cultivée, couverte de
vignes et de vergers, est le site de Bolzano (Bozen), dans le
Trentin-Haut-Adige. À l'étroite parenté physique des deux volets
du col a répondu jusqu'en 1918, et répond encore en grande
majorité, l'uniformité ethnique. C'est, en effet, par le Brenner
que les Germaniques, de souche Bavaroise, ont débordé le plus
largement sur le versant méridional des Alpes. Le Haut-Adige est une
terre de vieille civilisation Allemande, depuis que l'empereur Otton
Ier l'a traversé pour se rendre d'Aix la Chapelle à Rome, avec
toute sa cour, son épouse, et son fils en 961.
COURONNEMENT
IMPÉRIAL D'OTTON I - Encyclopædia ...
www.universalis.fr/encyclopedie/couronnement-imperial-d-otton-i/
En
Francie orientale, le Saxon Henri I er, sur le trône depuis 919,
fait de son ... En 961, Otton I er descend en Italie pour recevoir la
couronne impériale des ...
Le
pontifical romano-germanique du Xe siècle. Nature, date ...
www.persee.fr/web/revues/.../ccmed_0007-9731_1963_num_6_21_125...
de
C Vogel - 1963 - Cité 1 fois - Autres articles
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v° : Ut rex noster Otto eius et exercitus hinc et inde servetur),
Otton Ier (le ..... royal d'Otton II, élu en 961 à Worms et sacré
le 26 mai à Aix-la-Chapelle48.
Otton
Ier du Saint-Empire - Franc-or
tous-les-faits.fr/otton_ier_du_saint-empire
3.1
L'expansion germanique à l'époque d'Otton Template:Ier; 3.2 La
restauration ..... le margrave de Saxe Gero, qui fonde l'abbaye de
Gernrode vers 960-961, ...
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