17
SEPTEMBRE 2014...
Cette
page concerne l'année 971 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
LA
GRANDE ANNEE JEAN Ier TZIMISKES.
LINCEUL EN SOIE |
Dans
l'empire Byzantin L'armée joue un rôle vital dans sa survie ,
constamment menacé par des adversaires renouvelés, mais constituant
en même temps un des plus grands dangers pour l'exercice du pouvoir
impérial, lorsqu'à partir du VIIe siècle l'armée, formée de
contingents levés sur place, les thèmes, participent à la vie
publique par des coups d'État...
Les
empereurs doivent choisir les meilleurs généraux et leur confier
des troupes suffisamment nombreuses et valeureuses, sinon les «
Romains » seront vaincus et leur État voué à la disparition,
notamment lors des crises aiguës des VIIe- VIIIe et des XIe-XIIe
siècles.
Le
sort de l'empereur se joue également sur le champ de bataille, qu'il
soit présent ou non, car si la victoire renouvelle l'alliance
divine, la défaite reflète la colère de Dieu et l'incite à
changer son lieutenant terrestre... En même temps, tout empereur
sait qu'un général auréolé de ses victoires peut songer à
l'Empire, avec des atouts pour réussir son usurpation.
En
principe, les officiers servent une institution éternelle, l'Empire
des Romains, et, combattent comme les soldats, au nom de la défense
de la Croix. Leur attachement ne va donc pas à une personne
particulière, mais à celui qui incarne la légitimité du moment.
En réalité, les liens personnels jouent souvent un rôle capital
dans le choix des officiers desquels on attend la bravoure et des
qualités de stratège, mais dont on exige aussi la loyauté à
l'égard du souverain.
À
Byzance, il n'existe aucune académie militaire, aussi le métier des
armes, et plus particulièrement l'art du commandement, s'apprend-il
par la pratique, auprès de parents qui introduisent les jeunes dans
les camps militaires. Cet apprentissage est d'autant plus nécessaire
que les Byzantins possèdent une armée entraînée aux manœuvres
les plus savantes, condition de leur survie face à des adversaires
disposant en règle générale de la supériorité numérique.
Nous
connaissons la formation de plusieurs jeunes officiers issus de la
famille des Comnène.
Cette
formation sur le terrain favorise évidemment le maintien au sein
d'une même famille des postes de commandement, puisque les généraux
choisissent les officiers parmi leurs proches. Toutefois, le système
de recrutement n'est pas bloqué et des promotions d'hommes du rang
sont attestées. Parmi les généraux soutenant la rébellion de
Bardas Phocas contre Jean Tzimiskès en 971, se trouve un certain
Ampélas qui sait changer de camp à temps pour échapper aux
conséquences de l'échec de Bardas...
À
cette occasion, un chroniqueur rappelle que cet Ampélas, « le
Vigneron », doit son nom au fait qu'il a dans sa jeunesse travaillé
les vignes. Cet homme aura donc été enrôlé, jeune, par les
recruteurs du thème où il vivait, et ses qualités de combattant,
acquises sur le terrain, lui ont permis d'accéder à la tête d'un
thème.
Il
faut aussi distinguer entre les officiers généraux, quelques
dizaines simultanément en poste dans tout l'Empire, et les officiers
subalternes, beaucoup plus nombreux. En principe, toute fonction
byzantine est tenue directement de l'empereur, par délégation... En
fait, le stratège nommé dans son thème choisit la plupart de ses
subordonnés immédiats. Cette pratique n'est pas réservée aux
militaires, un juge de thème part le plus souvent avec ses propres
notaires. Les généraux Byzantins sont toujours accompagnés d'une
escorte toute dévouée à leur personne, composée de parents et de
serviteurs, qui suivent leur chef jusque sur le champ de bataille,
partageant son sort dans la gloire comme dans la défaite. Ce choix
des officiers subalternes par le stratège est aussi justifié par le
souci de l'efficacité militaire : en effet pour bien combattre, il
faut conserver à la troupe sa cohésion et il est bon que les cadres
soient proches des soldats. Ce principe s'applique en partie aux
soldats des thèmes, et plus systématiquement aux contingents
étrangers qu'on recrute le plus souvent en bloc.
De
leur côté, les familles en place s'efforcent de transmettre leurs
postes à leurs descendants. Le service de l'État, et notamment
celui des armes, constitue, plus que la possession de terres à la
merci d'une confiscation par le souverain ou le fisc, le meilleur
moyen de s'enrichir rapidement... Il n'est guère de lignée
importante à Byzance qui n'ait eu comme ancêtre un brillant
guerrier. Le système de transmission du patrimoine entraîne la
division égale entre les enfants, aussi était-il nécessaire, pour
maintenir son rang, de continuer à obtenir des charges qui apportent
l'honneur, mais surtout de larges traitements (rogai) et des
donations impériales... De nouveaux venus trouvent tout de même
leur place dans la mesure où, à la différence de l'Occident, les
pertes au combat sont parfois très importantes, lorsque la défaite,
tournant à la déroute, des milliers de combattants restent sur le
champ de bataille... Même lorsque les armées Byzantines ont
globalement l'avantage, elles subissent parfois de douloureux revers,
face aux Hamdanides d'Alep ou devant les Bulgares .
En
matière de recrutement, l'empereur est théoriquement totalement
libre de ses choix. Les grandes fonctions militaires et civiles
relèvent des codai dia logou, c'est-à-dire des charges conférées
par la parole de l'empereur. L'empereur nomme qui il veut, où il
veut, et le démet quand il veut par la nomination d'un successeur...
En clair, à la différence de l'Occident, jamais un serviteur de
l'État n'est propriétaire de son poste, cependant, les axiai dia
brabeiou, ce que nous appelons dignités, sont viagères... En fait,
l'empereur doit prendre en compte plusieurs facteurs :
D'abord
sa sécurité, car l'histoire de l'Empire est ponctuée par les coups
d'État militaires ou les complots.
Si
beaucoup échouent, plusieurs sont à l'origine de nouvelles
dynasties, les Héraclide, les Isaurien, les Comnène...
D'autre
part, l'empereur ne peut négliger la compétence des chefs, car,
nous l'avons dit, l'Empire, de par sa situation géographique, ne
connaît jamais la paix durable, et de mauvais choix conduisant à
des défaites ont aussi provoqué très vite la défection des sujets
et de l'armée.
En
premier lieu, les empereurs ont presque tous mis à profit la
solidarité obligée entre proches parents. Cette force du noyau
familial, dont les effets se diluent souvent au-delà des liens
unissant des cousins germains, est mise à contribution dans tous les
aspects de la vie sociale Byzantine : la réussite du parent le mieux
placé doit profiter à tout le groupe, à charge aux bénéficiaires
d'apporter leur plein concours au chef de la maison. Les empereurs
adoptent le même comportement, surtout ceux qui viennent de parvenir
au pouvoir par un coup de force et qui ne peuvent se prévaloir
encore d'une légitimité dynastique...
28
mars 971: L’empereur Jean Ier Tzimiskès inspecte 300 navires de la
flotte byzantine destinés à prendre l’armée Russe à revers sur
le Danube.
2
avril : L'armée Byzantine franchit les passes des Balkans.
4
avril : Jean Tzimiskès défait l'armée Russe de Sviatoslav Ier
à la bataille de Preslav.
23
avril : Battus à la bataille de Dorystolon, les Russes
s'enferment à Dristra ou Dorostolon (aujourd'hui Silistra). Les
troupes Byzantines font le siège de la ville.
25
avril : La flotte byzantine arrive devant Dorystolon.
24
juillet : Les Russes, enfermés dans Dorystolon, sont écrasés
lors d'une tentative de sortie. Sviatoslav de Kiev demande un
armistice. Les Byzantins signent un nouveau pacte de non-agression
avec les Russes. Le traité de commerce de 944 est reconduit.
L'empereur Jean Tzimiscès rentre triomphalement à Constantinople
avec Boris II de Bulgarie captif, il doit abdiquer et la Bulgarie
Orientale est soumise à Byzance jusqu'au Danube.
Novembre :
Jean Ier Tzimiskès épouse Théodora, fille de Constantin VII.
Jean
Ier Tzimiskès (en grec Ιωάννης
« Τζιμισκής » Κουρκούας /
Iôánnes « Tzimiskếs » Kourkoúas, parfois
orthographié Zimiscès ou Tzimiscès, né vers 925, mort le 10
janvier 976) est empereur byzantin de 969 à 976.
Son
vrai nom est Kourkouas, et sa mère est issue de la famille Phocas.
Il est ainsi le neveu de Nicéphore Phocas. Ces deux familles
originaires d'Arménie sont très puissantes en Cappadoce et parmi
les plus en vue dans l’aristocratie militaire en Asie Mineure. Il
épouse en premières noces Marie Sklérina, fille de Panthérios
Sklèros, noble Byzantin, et de Grégoria, descendante d’un frère
de Basile Ier, et sœur de Bardas Sklèros.
Son
surnom de « Tzimiskès » a deux origines possibles :
soit ce nom est dérivé de l’arménien tshemshkik, signifiant
« botte rouge », soit de l'arménien pour « petite
stature ». Les sources contemporaines de Tzimiskès le
décrivent comme plutôt petit mais svelte, avec des cheveux et une
barbe blond-roux et des yeux bleus qui lui attirent la faveur des
femmes. Il semble avoir rejoint l’armée à un âge précoce, et au
début sous le commandement de son oncle Nicéphore. Ce dernier est
aussi considéré comme son instructeur dans l’art de la guerre.
Grâce
à ses origines familiales et à ses propres talents de soldat, il
s'élève rapidement dans la hiérarchie militaire et on lui confie
un commandement en Arménie avant qu'il n'atteigne l’âge de 25
ans.
En
958, Il bat à plusieurs reprises Nagā al-Kāsakī, un des
lieutenants de l’émir abbasside de Damas Saif ad-Dawlah. Il prend
Samosate et Raban après avoir infligé une lourde défaite à
ad-Dawlah.
En
959, Il est nommé stratège des Anatoliques en remplacement de Léon
Phocas, promu domestique des Scholes d’Orient.
Jean
est aimé de ses troupes et se distingue aux côtés de Nicéphore
pendant la campagne que fait ce dernier et qui se termine par la
prise d’Alep.
En
962. Brillant général, il commande ses troupes en Asie Mineure.
Quand Nicéphore II monte sur le trône, il lui confie le
commandement général de l’armée. Il devient l'amant de Théophano
femme de Nicéphore II Phocas, qu’il fait assassiner par Léon
Abalantés. Il est même quasiment assuré qu'il assiste à
l'horrible agonie (égorgé) de Nicéphore dans la chambre même du
basileus (selon John Julius Norwich.)...
LA REDDITION DE SVIATOSLAV |
En
969 Il remporte une victoire sur les Abbassides à Adanes en Cilicie.
Assuré du soutien de l’armée, il se proclame alors empereur le 11
décembre 969. Seul le patriarche Polyeucte ose s’élever contre
lui. Alors qu’il se rend à Sainte-Sophie pour se faire couronner,
Polyeucte l’arrête sur les marches de l’église et le fait jurer
qu’il n’était pour rien dans l’assassinat de Nicéphore, de
punir les coupables, de distribuer ses biens aux pauvres et d’exiler
Théophano. Il obéit en tous points au patriarche et sa piété va
même lui concilier le clergé.
En
970. Théophano est exilée au monastère de l’île de Proti. Pour
légitimer son arrivée sur le trône, il épouse en novembre 970
Théodora, sœur de Romain II, et associe au trône les deux fils de
Romain II, Basile II et Constantin VIII. Par ailleurs, il gagne le
peuple en mettant fin aux famines qui sévissent à cette époque, en
construisant des hôpitaux et en visitant les léproseries où il
panse lui-même les malades... Avec l’aide de son beau-frère
Bardas Sklèros, il réprime la révolte de Bardas Phocas en 970. La
même année, les Russes, massés aux frontières de l'empire,
passent le mont Hémus en Thessalie sous la conduite de leur prince
Sviatoslav Ier de Kiev. Alliés aux Bulgares, aux Hongrois et aux
Petchenègues, les Russes ravagent les terres de l'empire Byzantin
jusqu'à la région d'Arcadiopolis (aujourd'hui Lüleburgaz dans la
province Turque de Kirklareli). Cependant le basileus annexe la
Bulgarie Orientale, après y avoir chassé les Russes, (bataille
d'Arcadiopolis) et force Sviatoslav Ier à demander la paix l'année
suivante. Jean Ier Tzimiskès assiège ensuite les Russes à
Silistria. . La scène de la reddition de Sviatoslav, dans laquelle
ce dernier arrive en bateau, est restée célèbre... En Syrie il est
confronté à un important changement géopolitique avec l'arrivée
au pouvoir des Fatimides en Égypte (969). Le général fatimide
Jafar ibn-Fellah assiège, en vain, la ville d'Antioche. La division
des musulmans en Syrie va cependant aider le basileus. En effet la
venue des fatimides chiites ne plaît guère aux sunnites
majoritaires en Syrie et qui dépendent, en termes d'obédience
religieuse, du calife de Bagdad.
En
971, Jean Ier fait le siège de Silistrie sur le Danube d'où il
chasse définitivement les Russes de Sviatoslav Ier. L'empereur Jean
Ier Tzimiskès envoie alors de l'approvisionnement aux Russes qui
meurent de faim et renouvelle leur traité commercial. La même
année, une expédition est envoyée conquérir Jérusalem. Mais
l’armée qu’il confie à un grand domestique est massacrée dans
un défilé par Abataglab, gouverneur de la province de Miafarekin
(Miyafariqin ou Martyropolis). Jean Ier vient lui-même au printemps
suivant mettre le siège devant Nisibe et force Myctarsis à lui
ouvrir ses portes.
En
972, il marie sa nièce Théophano Skleraina (de sa première épouse
et de Bardas Sklèros), avec l’empereur Otton II du Saint-Empire.
Il retourne ensuite à Constantinople où le peuple lui fait un
triomphe,
En
974 et 975 il doit reprendre le chemin de la Mésopotamie et de la
Syrie, retombées aux mains des Abbasides. Dans cette nouvelle
campagne, il s’empare à l'automne 974 de Miyafarekin et Amida, et,
le 12 octobre, entre dans Nisibe évacuée par sa population. L'émir
hamdanide de Mossoul, Abou-Taglib, fait sa soumission. Il semble que
Jean Ier soit tenté par une expédition sur Bagdad mais il y
renonce. Ce n'était là qu'une campagne de pillage.
Au
printemps 975, l'empereur entame une campagne plus sérieuse en
Syrie. Il part d'Antioche en avril, s'empare d'Homs qui paie tribut
sans résistance, puis d’Apamée et Baalbek (laquelle, pour avoir
voulu résister, est durement châtiée), et force le gouverneur de
Damas à lui payer un tribut. Ensuite, il marche sur la Palestine et,
après s'être rendu maître de Tibériade, de Beyrouth, de Nazareth,
d’Acre, de Césarée et du mont Thabor, la Ville Sainte semble à
portée de sa main, mais il y renonce... La domination musulmane sur
la Syrie n’étant plus qu’un souvenir, il préfère probablement
temporiser et ne pas surcharger de taxes le reste de l’empire par
ses besoins en approvisionnement. Le maintien des fortes garnisons
fatimides dans les villes littorales et la fidélité plus que
fluctuante des émirs musulmans de Syrie dont beaucoup restés en
place montrent les limites des résultats de cette expédition. La
mort rapide de Jean Ier ne permet par ailleurs pas de consolider les
résultats obtenus... Il tombe subitement malade sur le chemin du
retour et meurt à peine parvenu à Constantinople le 10 janvier 976.
On pense qu’il succombe à la typhoïde. Ange de Saint-Priest
avance, sans guère de preuves, qu’il a été empoisonné par le
chambellan Basile le Parakoimomène, dont Jean avait critiqué la
fortune scandaleuse.
Selon
une tradition, son nom vient du géant Athos, lequel, pendant la
bataille opposant les Dieux et les Géants, aurait jeté une grande
roche sur Poséidon. Cette roche serait devenue le mont actuel. Nulle
trace de vie communautaire. La persécution iconoclaste n'atteignit
pas la péninsule, ce ne fut cependant pas le cas au moment de
l'expansion de l'Islam, lorsque les incursions arabes vinrent
troubler la quiétude des anachorètes...
Les empereurs de la dynastie Macédonienne assurent la protection de ces derniers et contribuent à assurer l'avenir de la péninsule. Saint Athanase l'Athonite fonde le monastère de la Grande Laure de l'Athos en 963 avec l’aide de Nicéphore II Phocas.
Les empereurs de la dynastie Macédonienne assurent la protection de ces derniers et contribuent à assurer l'avenir de la péninsule. Saint Athanase l'Athonite fonde le monastère de la Grande Laure de l'Athos en 963 avec l’aide de Nicéphore II Phocas.
ICÔNE |
L'empereur
Jean Ier Tzimiskès le dote d'une première charte en 971, depuis
lors, le mont Athos est reconnu à titre de république monastique
indépendante. Le premier typikon réglementant l’organisation de
la vie monastique sur l'Athos est élaboré en 972... Ces monastères
renferment, depuis le Xe siècle, des richesses (manuscrits
enluminés, icônes, objets liturgiques, reliquaires, tissus,
mosaïques, chrysobulles, fresques) héritées des Empereurs
Byzantins et de hauts personnages, ou fruits du travail des moines au
cours des temps. Ces œuvres, faites de matières précieuses, soies
brodées d’or, bois subtilement travaillés, calices de jaspe et
d’argent doré, témoignent du raffinement de l'art médiéval à
son apogée dans l'Empire Byzantin...
Jean
Ier Tzimiskès — Wikipédia
fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Ier_Tzimiskès
Image
illustrative de l'article Jean Ier Tzimiskès .... En 971, Jean Ier
fait le siège de Silistrie sur le Danube d'où il chasse
définitivement les Russes de Sviatoslav ...
Siège
de Silistria - Histoire de l'Europe
www.histoireeurope.fr/RechercheLocution.php?Locutions=Siège+de...
En
971, Jean Ier Tzimiskès force Sviatoslav Ier de Kiev à demander la
paix. La scène de la reddition de Sviatoslav Ier de Kiev, dans
laquelle ce dernier arrive en ...
Le
Mont Athos - Odyssée - Périples et découvertes
www.odyssee-periples.org/.../MontAthos.phpTraduire
cette page
L'empereur
Jean Ier Tzimiskès le dota d'une première charte en 971 ; depuis
lors, le mont Athos est reconnu à titre de république monastique
indépendante.
Persée
: Recruter les officiers à Byzance
www.persee.fr/web/revues/.../shmes_1261-9078_1999_act_29_1_1736
de
JC Cheynet - 1998
Le
premier Comnène à s'illustrer, Manuel, acquit sa réputation par
une défense ... Phocas contre Jean Tzimiskès en 971, se trouvait un
certain Ampélas qui sut ...
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