26
août 1914
La
bataille du Cateau (26 août 1914)
Considérant
la fatigue de ses hommes, le général Smith-Dorrien décide de
stopper le repli et de faire face à l’avancée Allemande. Malgré
les ordres contraires il fait face à 6 divisions de la 1ère armée
Allemande du général Kluck le 26 août 1914 sur la ligne Esnes –
Caudry - Le Cateau. Les batteries Anglaises sont rapidement réduites
au silence. Les Allemands s’emparent du Cateau après un combat de
rue acharné. La percée de la 5ème division d’infanterie
Allemande à l’est du Cateau menace le flanc droit des Britanniques
et les contraint au repli avec le soutien du corps Français de
cavalerie du général Sordet. Le 2ème Corps de la BEF a perdu 7.800
hommes mais est parvenu à ralentir l’avancée Allemande et a ainsi
permettre la retraite des autres forces Britanniques et Françaises.
Les
avis divergent sur la réussite effective de cette première
opération Britannique en France. Dans son autobiographie parue sous
le titre «There’s a devil in the drum », Le soldat John Lucy
écrit :
« Certains
disent qu’à aucun autre moment de toute la guerre, les troupes
Britanniques n’ont été à ce point dépassées en nombre ». Le
général Kluck évoque même dans ses mémoires un échec
Britannique : « En d’autres termes Smith-Dorrien subit une
lourde défaite ». Alors qu’il s’est opposé dans un premier
temps à la décision du général Smith-Dorrien de mener bataille,
Le général French écrit plus tard :
« Dans
le rapport que je rédigeai en septembre 1914, je parlais en termes
élogieux de la bataille du Cateau ».
Pour
lui, la résistance au Cateau empêche la perte de 3 divisions
Britanniques, mais il reconnaît plus tard que :
«…
les conséquences de nos pertes à la bataille du Cateau se feront
sentir jusque pendant la bataille de la Marne et les premières
opérations sur l’Aisne ».
Ça
s’est passé il y a tout juste 100 ans ! La bataille du Cateau, le
26 août 1914, a été décisive dans le cours de la Première Guerre
mondiale. En décidant de faire face aux soldats Allemands, l’armée
Britannique, qui combat aux côtés des Français, permet de retarder
la progression Germanique qui s’abat sur les routes du Nord en
direction de la Marne. Et ce, au prix d’un sacrifice colossal qui
n’aura pas été vain.
C’est
le Jour-J, les Anglais se sont enlisés dans un combat dont ils ne se
relèveront pas…
6
h
Notre
commandant de brigade, le général Rolt, arrive sur les lieux et
nous explique notre rôle :
«
Que les choses soient claires pour tout le monde il n’est pas
question de repli ! »
Avec
nous il y a près de 4 000 hommes. On n’a pas eu trop de pertes au
combat de Mons, mais chaque régiment a laissé beaucoup d’éclopés
sur la route. Un peu après 6 h, la brume se dégage et la lumière
est plus intense. Soudain, avec leur miaulement caractéristique, des
obus tombent près de nous. Le bruit des explosions est épouvantable.
Autour de nos arrières, nos artilleurs ont installé une batterie de
canons et une autre d’obusiers. Les Allemands emploient des obus
explosifs. Dans les tranchées, les canons de nos fusils sont
toujours froids : on n’a encore vu personne... À notre droite, un
obus tombe juste sur la tranchée de la compagnie D : Les premiers
camarades morts, ça nous remue toujours le cœur. Après on n’y
pense plus, on ne songe qu’à sauver sa peau. Enfin, on voit
l’ennemi, on l’arrose vite de plomb. Il est 8 h, le combat a bien
commencé...
11 h
Trois
heures qu’on se bat maintenant. Il y a des mitrailleuses Allemandes
partout devant nous. Heureusement le relief au nord nous cache la vue
mais pas les camarades plus à l’est : Ils sont à découvert,
seulement abrités par leurs tranchées.
14 h 30
Sur
notre droite, les canons se sont tus les uns après les autres. Les
servants sont éparpillés par terre. L’infanterie ennemie est
maintenant à moins de 200 mètres des pièces, néanmoins le
courage de nos hommes ne faiblit pas. Les 2 obusiers sont remis sur
leurs trains : une équipe s’écroule avant d’avoir pu bouger son
canon, l’autre équipe a plus de chance, et s’enfuit au galop.
Nous voilà seuls. Nos officiers nous donnent l’ordre de pivoter
vers la droite, des ennemis sont arrivés sur nos arrières. Ça se
calme. On n’entend plus les canons de notre artillerie lourde...
Voilà
! Nous sommes cernés ! Je n’ai pas eu le temps de m’enfuir. Je
lève les bras : c’est fini ! C.W.
II)
L'habit
ne fait pas l'infirmière
Les
escrocs s'adaptent : une jeune femme déguisée en infirmière de la
Croix-Rouge quette pour son compte. Le Figaro du 26 août 1914 nous
informe qu'elle a été condamnée à 8 mois de prison...
« La
neuvième Chambre correctionnelle a condamné, à 8 mois de prison,
la femme Angèle Joutel, âgée de 34 ans, qui avait pris faussement
le costume d'infirmière de la Croix-Rouge et quêtait pour organiser
une ambulance.
Elle
se faisait accompagner d'un individu habillé en militaire qui a
disparu et que l'on recherche. » Le Figaro...
III)
Des
Allemands par petits groupes passent dans Roubaix. Le matin des
membres de la Croix Rouge Louis Wattinne, Hargrave, Boulton, Mr
Lejeune (le mari de la dame que nous voyions chez Mme Paulin Parent)
s’en vont en auto chercher des blessés, à Forest ils sont arrêtés
par les Allemands qui après avoir parlementé prennent 2 autos et
ceux qui les conduisent :
Mr Lejeune et le chauffeur de Boulton, ils laissent partir les autres et promettent de leur renvoyer sûrement les hommes et probablement les autos.
A Toufflers ils fusillent 4 habitants un jeune homme de 19 ans, Salembier fils d’un marchand de déchets, Hennion ancien gendarme, Lebeau blanchisseur, Leclercq, il est impossible de savoir la vérité sur ce qui s’est passé, a-t-on tiré un coup de fusil ou crié vive la France, peut-être même moins que cela, les Allemands sont rendu furieux d’un semblant de barricade élevé à l’entrée du village...
« Il est impossible de savoir la vérité sur ce qui s’est passé », voilà bien la phrase la plus juste de tout le journal de Marthe ! Les archives départementales du Nord font en tout cas bien état de : M. Hennion, Lebeau et Salembier, tous 3 fusillés en 1914 à lys-les-Lannoy toute proche de Toufflers.
IV)
26
août 1914 : succès et déconvenues du tsar
Sur
le front de l’Est, les IIIe et VIIIe armées du tsar Nicolas II
progressent le long du Bug et de la Zlota-Lipa. Les forces
Austro-Hongroises ont beaucoup de difficultés à se rétablir sous
la pression extrêmes des troupes Russes. Les combats qui sont
engagés devant Lemberg sont très violents et aboutissent à des
affrontements acharnés et meurtriers.
Dans
le golfe de Finlande c’est au tour de la marine du tsar de
s’engager contre les navires de Guillaume II. A bord du
« Magdebourg » qui est échoué sur l’île d’Odensholm,
les Russes s’emparent de 3 exemplaires des codes secrets de la
marine Allemande dont un est transmis aux experts de la Royal Navy...
Les
Russes sont moins à l’aise du côte de Tannenberg où ils se
heurtent à des troupes Allemandes très mobiles placées sous les
ordres des généraux Hindenburg et Ludendorff...
En
revanche, en Afrique Noire, la situation se détériore pour
l’Allemagne. Les troupes de Guillaume II au Togo capitulent...
Pour
les Britanniques, la prise de Kamina même si sa station de
télégraphie sans fil a été détruite met un terme à la campagne
dans cette zone qui n’est plus sous contrôle Allemand.
V)
L’angoisse
de l’arrivée des Allemands à Avesnes, le 26 août 1914, par
celles qui l’ont vécue
Compilées
en 1925 dans un ouvrage rare de la société archéologique et
historique de l’arrondissement d’Avesnes, des notes des dames de
la Croix-Rouge établies à Avesnes en 1914 nous renseignent, avec
une émotion préservée sur l’entrée des Allemands dans la ville,
dans la chaleur d’août 1914. Les premiers moments d’une
occupation brutale et frustrante qui durera 4 années.
Dès
le 19 août 1914, les dames de la Croix-Rouge sont en place. Comme
l’historienne Marie-Françoise Potier a réussi à le relocaliser,
leur hôpital Avesnois est situé dans le bâtiment de la rue
Cambrésienne qui abrite aujourd’hui l’école de musique et Pôle
emploi... Et dans une ville qui cède peu à peu à l’angoisse
devant l’avancée des troupes Allemandes.
«
L’invasion se fait par la Belgique, ils arrivent droit sur nous »,
Dit
une note anxieuse du 20 août. La veille de ce funeste 26 août, le
dernier train, « le dernier lien avec le reste de la France », est
parti de la gare d’Avesnes, bondé de blessés valides, tandis que
les plus mal en point, qui arrivent à flot continu à Avesnes depuis
les postes de combat, comme le Solrézis, devront rester...
26
août, donc.
La
veille au soir, les dames de la Croix-Rouge ont discuté avec le
médecin-chef de la possibilité de licencier l’hôpital. Elles
choisissent de rester.
«
Sauve qui peut général. Ceux qui ont des caves s’y enferment, les
autres fuient sur les routes, dans les pâtures ».
Une
attente terrible commence. On ne sait à quelle heure les premières
déflagrations retentissent.
«
On bombarde la ville », racontent les dames.
«
Quelques obus tombent sur l’église, sur Sainte-Thérèse (...) Un
obus arrive à percer le mur de l’église, juste au-dessus de
l’autel de la vierge et y fait une large ouverture, sans endommager
les Watteau ».
À
la Croix-Rouge, on s’est massé dans le vestibule, les grilles sont
fermées... On entend dire que des cavaliers sont tombés dans les
rues, que des maisons brûlent. De leur poste d’observation «
privilégié », les témoins vont assister à l’incendie du
Collège, aujourd’hui lycée Jessé-de-Forest.
«
Devant le collège une pauvre sentinelle oubliée a fait feu. Ils
incendient le Collège où va s’anéantir avec le matériel
scolaire, le musée de peintures ».
Au
passage, les dames notent que les Allemands semblent avoir :
«
un système très perfectionné pour faire flamber les maisons », à
base de « pastilles, (...) petits fagotins, (...) arrosage de
pétrole »...
Un
détachement finit par venir à la rencontre de nos témoins et
annonce en Français qu’il va incendier le bâtiment en
représailles de coups de feu tirés par les habitants contre leurs
troupes.
Les
dames répondent « Les habitants n’ont pas d’arme et n’ont pas
tiré (...) Vous ne mettrez pas le feu ici parce que nous avons des
blessés et des malades ».
Après
une fouille tendue des lieux, les Allemands font volte-face... En
s’aventurant dans les rues à mesure que la journée s’avance, on
ne voit que troupes campées à la Rotonde :
«
grises, serrées, dense, fleuve vivant »
En
marche sur les routes de Landrecies, Sains-du-Nord et Étrœungt. Le
temps est chaud et lourd...
Commence
la période de l’occupation et les privations, les frustrations ne
vont pas tarder, avec de premiers signes qui ne trompent pas :
«
On aperçoit ouvertes les maisons dont les habitants sont partis. Les
Allemands y font ripaille (...) le général Von Bulow est à la
maison Deharveng ».
Autre
signe, que la vie continue, le soir de cette invasion, les dames de
la Croix Rouge procèdent à un accouchement dans leur hôpital, qui
sera rapidement transformé en un lazaret en septembre et investi par
des infirmières Allemandes.
Si
proche et si loin du front les combats à Avesnes se limiteront à
cette journée du 26 août, les dames de la Croix-Rouge apprendront
des nouvelles parfois alarmantes, parfois porteuses d’espoir au
cours des jours suivants, que leurs notes retranscrivent...
VI)
L’abbé Saint-Aubert, curé de Haucourt, mort en martyr le soir du 26 août 1914...
En
marge des combats, cet après-midi, c’est aussi une grande poignée
d’hommes et de femmes anonymes qui ont trouvé la mort dans les
villages, coupables d’avoir porté secours aux soldats blessés.
Parmi eux, l’abbé Toussaint Saint-Aubert, curé d’Haucourt, tué
par l’armée Allemande, le soir du 26 août 1914.
En
cette sombre journée du 26 août 1914, les combats font rage sur les
hauteurs du Cateau-Cambrésis, sacrifiant quelques milliers d’âmes
sur le versant Britannique et faisant au moins autant de blessés.
Cet après-midi-là, l’abbé Toussaint Saint-Aubert célèbre la
messe au sein de l’église d’Haucourt. Selon les sources, seule
sa pieuse mère y assiste. Pourtant au moment de l’évangile, de
nombreux soldats Anglais trouvent asile dans l’église, venant y
chercher un peu de réconfort.
Naturellement,
l’homme d’église leur porte secours. Avec l’assistance d’un
honnête fermier, un certain M. Choain, domicilié à quelques
kilomètres de là. L’abbé Toussaint effectue des allers-retours
dans la journée afin de rassembler des victuailles.
Mais
au début de soirée, vers 18 h, on ne le voit plus revenir... Son
corps, tuméfié, est retrouvé peu après, non loin de l’église,
au détour d’un sentier. L’homme gît sur le sol, allongé sur le
dos, il porte des blessures importantes à la tête, ainsi
vraisemblablement qu’un coup de hache au menton, signe de
mutilation. Le curé a été achevé par une balle de revolver dont
il porte les stigmates derrière l’oreille. Avant de s’enfuir,
ses bourreaux lui ont aussi soustrait sa montre, ainsi que son
portefeuille.
On
n’en sait pas beaucoup plus sur les circonstances tragiques de sa
mort, tout juste une voisine, paralysée par la peur, a-t-elle
entendu les cris du curé implorant la grâce des soldats Allemands…
en vain.
Sa
dépouille est enterrée provisoirement dans le cimetière de
Haucourt, avant d’être exhumé en octobre 1919 :
Il
a été ramené à Cambrai, ville dont il est originaire. Il repose
au cimetière de La Porte de Paris.
VII)
Premières
désillusions :
Dans
les Vosges, Maurice Bedel est aux premières loges pour assister à
la déroute Française. L'enthousiasme de la mobilisation est
terminé... remplacée par des cohortes, de réfugiés, de blessés...
VIII)
A
Cadillac, les tombes oubliées du cimetière des « fous »,toutes
les blessures de guerre ne sont pas forcément visibles. Détruits
mentalement des centaines d'hommes ne sont plus jamais ressortis des
asiles d'aliénés où ils sont morts oubliés. En Gironde, le
cimetière de Cadillac est l'un des très rares à en témoigner.
Derrière
la porte dérobée, des dizaines de croix réchauffent leur rouille
au soleil du soir. Alignées au cordeau, elles étirent leurs ombres
bancales vers la haute enceinte de l'hôpital psychiatrique… comme
pour rappeler d'où viennent les 898 morts enterrés là, dont nombre
de tombes s'effondrent. « Parfois, on retrouve même des
ossements, une mâchoire, un tibia », confie le photographe Loïc le
Loët dont les images, il y a une quinzaine d'années, ont été les
premières à tenter de sortir le lieu de son oubli, de son anonymat.
Et
puis il y a ces 10 rangs qui comptent 98 sépultures pour 99 corps
inhumés en pleine terre. Encore plus nues et désolées que les
autres. Aucune pierre tombale…
Mais
quelques Christ en zinc dégringolés sur un aride gravier ponctué
d'herbes folles et seulement 29 noms au milieu de 70 anonymes…
Au
mur de l'ancien asile d'aliénés, une grande plaque de marbre
défraîchi résume : « Les anciens combattants de Gironde à
la mémoire de leurs camarades mutilés du cerveau victimes de la
guerre 1914-1918 »
Cet
émouvant carré de poilus qu'un projet de parking menaçait,
l'ancien praticien de l'établissement hospitalier, le professeur
Michel Bénézech, a réussi à le faire inscrire aux Monuments
historiques en 2010, sauvant du même coup avec l'Association
des Amis du cimetière des oubliés,
ce lopin des « fous » de Cadillac.
« Car
bien qu'il soit d'une extrême pauvreté, il est aussi un témoignage
rarissime d'un aspect occulté de la Grande Guerre, ce qu'on appelait
les blessures invisibles, bref, les pathologies mentales liées à la
guerre », explique ce psychiatre, qui est également professeur de
médecine légale à Bordeaux...
De
fait, dès août 1914, la guerre ne se contente pas de lacérer les
corps : elle dévaste les têtes aussi.
« Oui,
les hommes ont peur et surtout ceux susceptibles d'être appelés.
Immédiatement, on note une hausse sensible des admissions dans les
asiles d'aliénés », souligne-t-il. Ce sont d'abord des malades qui
rechutent du fait de l'angoisse, puis, très vite, des pathologies
touchant les combattants.
« La
guerre, c'est l'arrachement aux siens, la peur de la mort, les
bombardements qui rendent fou. Des centaines de milliers d'hommes
sont touchés, mais seuls les cas les plus graves sont internés »,
poursuit Michel Bénézech.
« Mélancolie
», mais aussi états d'excitation maniaques, démence précoce ou
encore délires et psychoses hallucinatoires…
Du
1er août 1914 au 31 décembre 1925, Cadillac accueillera ainsi 561
soldats de différentes nationalités dont 201 décéderont, 99 étant
finalement enterrés dans le cimetière de l'établissement. Là où,
pour la très grande majorité, leur famille les abandonnera aussi...
Une
gueule cassée, c'est honorable… mais un « fou » sans
espoir de guérison? « Une honte. Un parent qu'on préfère
oublier à l'asile jusqu'à sa mort et même au-delà », conclut le
Dr Bénézech, remarquant que, seuls, leurs camarades poilus, ceux
qui savaient, honoraient leur mémoire...
Pierre
ChallierMatricule 0220 : le blog du poilu
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L'Express-25
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