11
août 1914
…/...
Suite
I)
Suite
à cet échec, l’armée d’Alsace est constituée sous le
commandement du général Pau.
Joffre
prépare son offensive avec son aile droite
La
première armée Allemande commence à traverser Aix-la-Chapelle.
G.Q.G. Français
Joffre
décide de ne prendre l’offensive le 14 août (en même temps que
l’armée russe) avec ses deux armées de droite. Il avise Dubail
que l’offensive sera déclenchée le 14 août par la I ère armée
aidée de 2 C.A. de la IIe armée.
Les
deux C.A. de gauche de la Ie armée (8e et 13e) franchiront la
Meurthe et attaqueront vers Blâmont - Cirey.
Les
C.A. de droite de la IIe armée (15e et 16e) se porteront vers
Avricourt.
Le 21e C.A. doit s’emparer du Donon.
Le 14e C.A. occupera les cols vers la Schlucht.
Le 21e C.A. doit s’emparer du Donon.
Le 14e C.A. occupera les cols vers la Schlucht.
Armée
d’Alsace
Thann
est évacué par les Français, et les Allemands occupent Massevaux
sur la Haute Doller...
L’armée
d’Alsace est constituée ( des 7e C.A., 8e D.C., 44e division, 1e
groupement de divisions de réserve, soit 11.500 combattants) sous la
direction du général Pau. Elle opérera à la droite de la I ère
armée au sud de la ligne Remiremont - Gerardmer et la Schlucht. Le
général Pau veut porter son effort de Thann à Dannemarie, la
droite de son armée longeant le canal du Rhône au Rhin.
Le
commandant du 7e C.A. donne à 3h30 l’ordre de préparer une
prompte reprise de l’offensive.
I ère armée Française
UNIFORMES FRANÇAIS |
Le
21e C.A. est relevé par les troupes alpines aux cols de Bonhomme et
de Sainte-Marie, et se trouve impliqué dans des combats à
Sainte-Marie-aux-Mines. Son commandant décide de conquérir les
passages des Vosges entre le col d’Urbeis et le col de Prayé. Dans
le couloir de Blâmont (entre Nancy et Strasbourg), le commandant du
8e C.A. se prépare à soutenir la 25e brigade. Les Allemands ne font
aucune tentative dans le couloir de Blâmont et les troupes se
maintiennent sur la ligne Montigny - Badonviller. Le 21e C.A. atteint
Provenchères...
IIe armée Française
Le
9e C.A., destiné à être envoyé dans les Ardennes, est relevé par
le 20e sur les emplacements du Grand Couronné de Nancy (série de
hauteurs à l'est de Nancy). Les Français sont chassés de Lagarde
avec de fortes pertes et, les Allemands bombardent Pont-à-Mousson.
IIIe armée Française
A
l’abri du dispositif de couverture, en arrière des 2e et 6e C.A.,
l’armée opère ses débarquements.
Deux
bataillons Français se trouvent le long de l’Othain (affluent de
la Chiers, dont le cours s’étend de Longuyon à Montmédy). Ils
sont attaqués par des troupes Allemandes assez nombreuses et
contraints de se replier, mais des renforts arrivent dans la soirée
et reprennent l’offensive.
C.C. Sordet, on signale à Sordet que des colonnes ennemies occupent le nord-est de Neufchâteau, il décide de stationner vers Maissin – Paliseul.
Armée
Belge en campagne
Ordre
est donné aux divisions de première ligne d’organiser des
positions de résistance sur la Gette : les hauteurs sur la rive
gauche entourant Tienen, à l’ouest d’Hoegaarden, au nord de
Sint-Remy-Geest, à Mélin et Lathuy. La ligne de garde sur la rive
Est de la Gette s’étend sur une profondeur de 3,5 km.
I
ère armée Allemande
Les
3e et 4e C.A. effectuent leur débarquement.
CHASSEURS ALPINS |
Von
der Marwitz essaie de tenter un coup de force aux abords de Diest. Il
ramène la 2e D.C. à Cortessem et la 4e à Looz et laisse reposer
hommes et chevaux.
Von
Kluck donne à ses C.A. leurs instructions de marche... Pour le 12
août, les têtes de colonnes du 2e C.A. doivent atteindre
Herzogenrath (lisière ouest d’Aix-la-Chapelle),
Celles
du 4e C.A., Birk,
Celles
du 3e C.A. Weiden.
Les
3e et 4e C.A.Réserve. suivront au fur et à mesure de leurs
débarquements, soit un jour plus tard que les C.A. actifs.
La
traversée d’Aix-la-Chapelle doit durer plusieurs jours. Les
colonnes de l’armée s’étendent sur 2 km (320.000 hommes et
leurs bagages) et empruntent trois routes.
IIe armée Allemande : Elle attend de recevoir l’ordre d’avancer quand les forts de Liège se seront rendus.
VIe armée Allemande : Rupprecht souhaite attaquer le front Moselle-Meurthe de Pont-à-Mousson à Nancy avec la VIe armée et de Blâmont à Saint-Dié avec la VIIe armée et il en réfère à Moltke...
L’armée
bombarde Pont-à-Mousson et incendie une partie de Badonviller.
…/...
à suivre
II)
11
août 1914 ... On a bon espoir au ministère ! Aujourd'hui, pourtant,
les nouvelles sont un peu moins sûres... Les vestibules de la rue
Saint-Dominique (ministère des armées) sont pleins : les uniformes
Anglais presqu'aussi nombreux que les nôtres. Je rencontre Henry
Bérenger.
De
parti à parti on ne sait quelle politesse se faire :
On
présente les adversaires de la veille les uns aux autres et on se
serre la main... Ma clairvoyance a consisté à calculer que
l'alliance Russe, et les affaires d'Orient, nous entraînerait dans
une grande guerre Européenne... et également que l'anarchie
républicaine appelait, et, provoquait l'intervention des Allemands.
Ils
ont été tellement sûrs que l'insurrection et la grève générale
rendraient la mobilisation impossible en France qu'ils l'ont
annoncé... Toute l'Europe centrale a cru pendant 4 jours, sur les
nouvelles transmises par Berlin :
Que
la Commune était proclamée, Paris à feu et à sang, etc...
Montesquiou,
qui revient d'Orient, a appris toutes ces gentillesses en Roumanie,
où, d'ailleurs, le ministre de France, l'adroit Blondel, est si
mal renseigné par son gouvernement que, le 1er août, il annonce
encore que les choses s'arrangeront.
Montesquiou
est rentré par Constantinople, où il a rencontré Georges
Rémond, mobilisé aussi et cherchant à rentrer en France...
Montesquiou, pariant pour la neutralité de l'Italie, est monté à
bord d'un navire Italien... Rémond, craignant d'être fait
prisonnier par les Italiens qui lui en veulent depuis son voyage en
Tripolitaine, et, les impressions qu'il a rapportées du camp Turc où
il s'était lié avec Enver, Djemal et Talaat (tiumvirat de l'Empire
Ottoman), a préféré les Messageries.
Résultat
: Montesquiou a débarqué tranquillement à Brindisi et, 24 heures
plus tard, il est en France.
A
bord du bateau, où tous les peuples d'Europe sont représentés, on
en vient aux mains entre « tripliciens » et
« triple-ententistes ». Images de l'ancien monde tout
entier...
III)
11
Août 1914
Comme
je le pensais, nous restons ici. Je viens de dénicher un certain
nombre d’outils de parc et voilà mes hommes, transformés en
terrassiers, en train de creuser des tranchées en avant du village.
Pendant que, répartis en équipes, ils travaillent avec ardeur, je
m’assois à la lisière d’une houblonnière et, armé de mes
jumelles, j'inspecte la jolie campagne qui s’étend devant moi. Le
temps est superbe, à quelques kilomètres, j’aperçois Nomény,
riante bourgade proche de la frontière. A gauche, s’élève un
mamelon surmonté d’une statue de Sainte Geneviève, notre 6e
Bataillon y exécute des retranchements. A l’horizon se dresse une
sorte d’échafaudage que le Capitaine Dard m’a dit être un
observatoire d’artillerie Allemand.
Tout
est calme… pas un être humain ne manifeste sa présence. Ce calme
et cette immobilité des choses m’inquiétant même un peu,
j’envoie une patrouille explorer une ferme distante de 2 000 mètres
environ. Mes lascars reviennent au bout d’une heure environ et me
disent que les habitants de la métairie sont en train de déménager.
Ils
ont également trouvé dans cette habitation, un Maréchal des logis
et quelques hussards du 8e qui venaient d’échanger des coups de
sabre avec des cavaliers Allemands en reconnaissance.
L’un
de mes hommes rapporte 2 poules proprement saignées... Il m’en
offre une, m’affirmant que le fermier, en partant, leur a fait ce
cadeau… Je veux bien ne pas approfondir et accepte la bestiole qui
constituera le plat de résistance d’un de nos prochains repas de
la popote.
Au
loin, dans le courant de l’après-midi, je remarque une troupe de
cavalerie qui, tranquillement, au pas, suit une route parallèle à
notre front. Amis ou ennemis ? A cette distance, impossible de
le distinguer.
Le
Capitaine Dard survenant, je lui fais part de cette dernière
observation ainsi que du résultat de ma patrouille. A la lecture du
bout de rapport du Maréchal des Logis de hussards, il manifeste
quelque nervosité et ne parle rien moins que de faire prendre les
avant-postes, cette nuit, à tout le Bataillon.
Heureusement,
le Colonel, auprès duquel il s’est rendu, l’a sans doute un peu
calmé, car, à son retour, il donne l’ordre de ne laisser sur les
positions, pendant la nuit, qu’une demi-section par compagnie, avec
mission de lancer quelques coups de sonde en avant...
IV)
Paris,
11 août, 15 h. 15.
On signale des engagements sur le front Longwy-Longuyon-Marville-Virton.
Des patrouilles de cavalerie Allemande ont, été rencontrées au nord de l'arrondissement de Montmédy.
On signale des engagements sur le front Longwy-Longuyon-Marville-Virton.
Des patrouilles de cavalerie Allemande ont, été rencontrées au nord de l'arrondissement de Montmédy.
Dès
le début des hostilités les Allemands semblent prendre à tâche de
se rendre odieux à nos populations des campagnes... Le fait suivant
s'ajoute aux atrocités que nous avons déjà racontée.
Samedi
matin, 8 août, à la pointe du jour, deux uhlans en reconnaissance
le long de la frontière Française pénètrent dans le petit village
d'Affléville (canton de Conflans), et en sont chassés par une
patrouille composée de 3 chasseurs à cheval. L'un des uhlans est
blessé, l'autre parvient à s'enfuir.
Le lendemain, dimanche, dans la matinée, un peloton fort de 32 hommes du même régiment viennent tirer vengeance de l'incident de la veille...
Le lendemain, dimanche, dans la matinée, un peloton fort de 32 hommes du même régiment viennent tirer vengeance de l'incident de la veille...
MOUVEMENT DE TROUPES |
Ils
mettent le feu à une ferme et criblent de balles le fermier qui
essaie d'arrêter l'incendie. Courageusement le garde champêtre
intervient pour expliquer que le petit combat du samedi a été livré
exclusivement par des militaires. Les Allemands soutiennent contre
l'évidence que des civils y ont pris part... Dans l'après-midi, ils
reviennent encore. Cette fois, c'est un escadron de uhlans au
complet.
C'est
l'heure des vêpres, tous les habitants d'Affléville sont réunis en
prières dans l'église. Les uhlans se répandent dans le village
dont toutes les maisons inondées de pétrole flambent en un quart
d'heure, tandis que la population terrifiée s'enfuit de toutes
parts, sans avoir eu le temps d'emporter ni argent ni vêtements...
On est sans nouvelles du curé.
Les
malheureux habitants d'Affléville, vieillards, femmes, enfants, ont
été recueillis à Etain. Après les avoir secourus et réconfortés,
ils ont été dirigés sur Verdun.
Paris,
11 août, 1 h. 52 (communiqué) Dans la région de Spincourt :
La cavalerie ennemie qui, avant-hier, s'est présentée dans la région de Spincourt, a dû reculer. Des travaux de fortifications sont signalés comme ayant été exécutés autour du Luxembourg, au sud de Metz, vers Luppy, et sur la côte de Delme...
La cavalerie ennemie qui, avant-hier, s'est présentée dans la région de Spincourt, a dû reculer. Des travaux de fortifications sont signalés comme ayant été exécutés autour du Luxembourg, au sud de Metz, vers Luppy, et sur la côte de Delme...
Paris,
11 août, 1 h. 52 (communiqué) Dans la région de Blâmont :
Une tentative a été faite à Ogéviller et Hablainville. Elle a échoué grâce à l'appui du canon du fort de Manonviller. Notre action contre les cols de Sainte-Marie-aux-Mines et du Bonhomme fait le plus grand honneur à nos troupes.
L'infanterie, la cavalerie et l'artillerie se sont montrées bien supérieures aux troupes adverses.
Une tentative a été faite à Ogéviller et Hablainville. Elle a échoué grâce à l'appui du canon du fort de Manonviller. Notre action contre les cols de Sainte-Marie-aux-Mines et du Bonhomme fait le plus grand honneur à nos troupes.
L'infanterie, la cavalerie et l'artillerie se sont montrées bien supérieures aux troupes adverses.
Paris,
11 août, 7 heures matin :
Les incursions des Allemands dans la région de Manonviller et de Spincourt ont été complètement repoussées. On signale le débarquement des troupes Allemandes à Gerolstein, dans l'Eiffel, mais surtout en arrière de Metz et de Thionville.
Les incursions des Allemands dans la région de Manonviller et de Spincourt ont été complètement repoussées. On signale le débarquement des troupes Allemandes à Gerolstein, dans l'Eiffel, mais surtout en arrière de Metz et de Thionville.
Paris,
11 août, 1 h. 52 (communiqué) :
Le 10 août, des forces Allemandes très considérables venant de Mulheim et de Neuf-Brisach ont attaqué, au cours de la nuit dernière, les avant-gardes Françaises, qui ont été poussées sur Cernay et Mulhouse.
Le commandant des troupes Françaises retire ses forces légèrement en arrière de Mulhouse, et les assemble sur des emplacements où il arrête l'offensive de l'ennemi, supérieur en nombre. Les actions de détail ont été très brillantes pour nos troupes, qui restent maîtresses de la Haute-Alsace...
Le 10 août, des forces Allemandes très considérables venant de Mulheim et de Neuf-Brisach ont attaqué, au cours de la nuit dernière, les avant-gardes Françaises, qui ont été poussées sur Cernay et Mulhouse.
Le commandant des troupes Françaises retire ses forces légèrement en arrière de Mulhouse, et les assemble sur des emplacements où il arrête l'offensive de l'ennemi, supérieur en nombre. Les actions de détail ont été très brillantes pour nos troupes, qui restent maîtresses de la Haute-Alsace...
Par
l'arrêté en date du 2 août 1911, attendu que le prix de la farine
a été abaissé à 37 francs les cent kilos :
Article
1er. - A partir du jeudi 13 août le pain blanc en miche ronde de un
ou deux kilos, de première qualité, sera vendu à 0 fr. 40 le
kilogramme au maximum.
Article 2. - Le pain percé ou en couronne sera vendu à 0 fr. 425 le kilogramme au maximum.
Article 2. - Le pain percé ou en couronne sera vendu à 0 fr. 425 le kilogramme au maximum.
Article
3. - A défaut de pain en miche ronde, le boulanger devra vendre du
pain percé au prix du pain rond.
Article
4. - M. le commissaire central de police est chargé de l'exécution
du présent décret.
Nancy,
le 11 août 1914
Le
maire,
J. LAURENT.
J. LAURENT.
VI)
Dans
leur ouvrage « Liège 1914-1918, Chroniques mensuelles »
à paraître chez Noir Dessin, Jules de Thier et Olympe Gilbart
écrivent :
« Le
11 août est encore pour les Liégeois une journée d'espérance. La
nuit précédente, beaucoup de troupes Allemandes sont passées, se
dirigeant vers l'ouest, et voilà que, dans le courant de
l'après-midi, on vit ces mêmes troupes descendre des hauteurs
d'Ans, et repasser la Meuse pour regagner la rive droite. Puis, comme
s'ils avaient voulu faciliter leur retraite, les Allemands font
hâtivement construire deux ponts de bateaux, un en aval, l'autre en
amont du pont des Arches.
Ces
ponts, qui sont établis par des entrepreneurs Belges, sur
réquisition de l'ennemi, sont posés sur des chalands choisis parmi
les bateaux garés en grand nombre dans le bief de Liège.
Il
n'en faut pas plus pour faire croire à un recul précipité devant
les armées alliées et pour donner l'essor à des nouvelles
sensationnelles telles que :
La
prise de Strasbourg.
L'incendie
de Berlin.
La
fuite du kaiser.
La
marche irrésistible des Russes qui sont aux portes de la capitale de
l'Empire Allemand.
On
colporte aussi des histoires de ce genre :
Rue
Sainte-Marguerite, des soldats ont confié aux habitants leurs bijoux
en disant qu'ils vont à la « boucherie », demandant
qu'on veuille bien envoyer chez eux ces souvenirs.
À
l'île Monsin, on déverse, dans d'immenses fosses, des tombereaux de
cadavres Allemands.
Un
officier ennemi blessé a été retrouvé sous un monceau de soldats
tués d'où il n'a pu se dégager, il était resté pendant deux
jours dans cette position, avec, sous les yeux, le poignet d'un mort
qu'entoure un bracelet-montre sur lequel il suivait la marche « trop
lente du temps » (il est improbable qu'une montre tienne 96
heures sans être remontée) !
UN TAUBE |
L’espoir s’éteint le soir : Pendant cette journée du 11, l'animation a été intense dans la ville. Sur les places publiques règne une chaleur suffocante.
De
nouveaux régiments sont arrivés : le 43e de ligne et le 4e
chasseurs. Un Taube (avion) survole la ville.
Près
de la Passerelle et du pont du Commerce, les Allemands, tout en se
réservant les fusils de luxe, ont fait jeter dans la Meuse les armes
de pacotille. Il est probable qu'à la Kommandantur on s'est livré à
un triage fructueux.
Dans
la soirée, l'espoir qui nous avait réjouis le matin s'évanouit.
Une violente canonnade retentit. L'artillerie Allemande, parvenue à
bonne distance, commence à tirer sur les forts de la rive gauche et
bombarde aussi le Couvent de Chèvremont où l'ennemi a aperçu des
observateurs du fort de Chaudfontaine. »
Association@lyon:Paysbelligérants(19141918)www.alyon.org/generale/histoire/.../pays_belligerants_1914_1918.html
Envahie
par l'Allemagne, 3-4 août
1914.
BOLIVIE. Rompt ses relations avec l'Allemagne, 13 avril 1917. BRÉSIL.
Rompt ses relations avec l'Allemagne, 11
avril .
11 Août 1914 - Canalblog
unjouruneguerre.canalblog.com
› été
1914
De
Eric Dyvorne
- Il y a 4 heures - 11
Août 1914
Comme je le pensais, nous restons ici. Je viens de dénicher un
certain nombre d'outils de parc et voilà mes hommes,...
blamont.info - Textes - Août 1914 - La Vie en Lorraine (2/3)
www.blamont.info/textes781.html
Télégramme
officiel du 11
août 1914,
es heures : Dès le début des hostilités les Allemands semblent
prendre à tâche de se rendre odieux à nos populations des ...
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