22
août 2014...
Cette
page concerne l'année 997 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
LA
MISE A SAC DE SAINT JACQUES DE COMPOSTELLE... PRISE DE CONSCIENCE DES CHRÉTIENS ESPAGNOLS... VERS LA RECONQUISTA !
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| SAINT JACQUES |
Rapporté
par les annales musulmanes : la campagne de Shant Yacoub ou le sac de
Saint-Jacques de Compostelle en 997.
Une ou deux fois par an, les armées musulmanes pénètrent en pays chrétien pour y effectuer des razzias brutales et impitoyables.
La ville située en Galice, région qu’aucune troupe musulmane n’a jamais atteinte, pas même lors de la conquête du VIIIe siècle, intéresse le dirigeant de Cordoue qui à ce moment guerroie au Maghreb contre les chiites fatimides. La situation est d’autant plus sérieuse que Bermude II souhaite profiter de l’éloignement d’Al-Mansûr pour rompre les liens de vassalité qu’il entretient avec ce dernier. Al-Mansûr alerté, souhaite démontrer sa puissance en menant un front au Maghreb contre les chiites fatimides et un autre en Europe contre les chrétiens du nord. L’attaque de la cité de Saint-Jacques-de-Compostelle, connue dans toute la chrétienté lui est alors suggérée par un noble lui-même chrétien...
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| BASILIQUE DE SAINT JACQUES DE COMPOSTELLE |
Le 3 juillet 997 une gigantesque armée musulmane quitte Cordoue pour ce qui sera la 48e expédition d’Al-Mansûr. (Muhammad ben Abi 'Amir al-Mansûr) qui gouverne en dictateur à la place du faible calife Hishâm II quitte Cordoue et, par Coria et Viseu, envahit la Galice. Il est appuyé par une flotte qui longe les côtes de l'Atlantique. En chemin, il reçoit le renfort d'un certain nombre de comtes chrétiens, ses vassaux. C'est la coutume féodale, les vassaux doivent assister leur suzerain. Le dictateur leur a fait croire qu'il vient uniquement châtier le roi Bermude II, en tant que vassal rebelle...
L’église
de cette ville est pour les chrétien ce qu’est la Ka’ba pour les
musulmans, ils l’invoquent dans leurs serments et s’y rendent en
pèlerinage des pays les plus éloignés, de Rome et de par delà. Le
tombeau qu’on y va visiter est, prétendent-ils, celui de Jacques,
lequel est, d’entre les 12 Apôtres, le plus intime avec Aïssa
(Jésus) et que l’on dit être son frère, parce qu’il est
toujours auprès de lui, certains chrétiens disent qu’il est fils
de Yûsuf le charpentier. C’est dans cette ville qu’il est
inhumé... Les chrétiens le disent frère du Seigneur (Allah soit
hautement exalté et domine pareil dire !). Jacques, nom qui répond
à notre Ya’qûb, est évêque à Jérusalem et se met à parcourir
le monde pour prêcher sa doctrine, il passe en Espagne et arrive
jusqu’en cette région, puis retourne en Syrie, où il est mis à
mort âgé de 120 années solaires... Ses compagnons rapportent ses
ossements pour les inhumer dans cette église, qui est le point
extrême où il a porté son activité.
Nul
prince musulman n’a eu encore envie d’attaquer cet endroit ni de
pousser jusque-là, à raison des difficultés d’accès, de son
emplacement tourmenté ainsi que de la grande distance... Al Mansûr
dirige contre cette ville l’expédition estivale qui quitte Cordoue
le samedi 03 juillet 997 et qui est sa 48e campagne.
Il
entre d’abord dans la ville de Coria, puis quand il est arrivé
dans la capitale de la Galice [Viseu] il est rejoint par un grand
nombre de comtes qui reconnaissent son autorité, et qui se
présentent avec leurs guerriers et en grande pompe, pour se joindre
aux musulmans et ensuite engager les hostilités de leur côté.
D’après
les ordres d’Al-Mansûr, une flotte considérable a été équipée
dans le lieu dit Qaçr Abû Dânis (Alcacer do Sal – Santa Maria do
Castelo), sur le littoral occidental, flotte transportant les divers
corps de fantassins, ainsi que les vivres, les approvisionnements et
les armes. Ces préparatifs le mettent en mesure de pousser les
opérations jusqu’au bout. Arrivée près de Porto et naviguant sur
le fleuve Douro, la flotte remonte jusqu’à l’endroit désigné
par Al-Mansûr pour le passage du restant des troupes, et, elle sert
ainsi de pont à cet effet, près du château-fort qui se trouve là.
Les vivres sont ensuite répartis entre les différents corps de
troupes, qui sont largement approvisionnés et entrent en pays
Chrétien.
Prenant
la direction de Santiago, Al-Mançûr parcourt de vastes étendues de
pays, franchit plusieurs grandes rivières et divers canaux où
refluent les eaux de l’Océan, on arrive ensuite à de grandes
plaines appartenant au pays de Valadares, de Mabàsita, d’Ad-Daîr
et des régions voisines... de là on s’avance vers une montagne
élevée, très abrupte, sans route ni chemin, et sans que les guides
puissent indiquer une autre direction...
Sur
l’ordre d’Al-Mansûr, des ouvriers emploient le fer pour élargir
les crevasses et aplanir les sentiers, de sorte que l’armée peut
passer. Après avoir ensuite franchi le Minho, les musulmans
débouchent dans de larges plaines et des champs fertiles, et leurs
éclaireurs parviennent jusqu’à Daîr Qustân et à la plaine de
Balbinûṭ sur l’Océan Atlantique, la forteresse de San Payo est
emportée et livrée au pillage, et après avoir franchi un marais on
arrive à une lieue de l’Océan dans laquelle sont réfugiés un
grand nombre d'habitants de ces territoires... En
réalité, il s'agit d'humilier profondément toute la Chrétienté.
Après avoir brûlé le sanctuaire de Padron où le bateau
transportant le cadavre de l'Apôtre a accosté... Les conquérants
les font prisonniers les réfugiés et arrivent à la montagne de
Morazo, que l’Océan entoure de presque tous les côtés, ils s’y
engagent, en chassent ceux qui l’occupent et font main-basse sur le
butin... Ils franchissent ensuite le canal de Lurqi par deux gués
que leur indiquent les guides, puis la rivière Ulla, et arrivent à
des plaines très bien cultivées et abondamment fournies, entre
autres celles d’Unba, de Qarjita et de Daîr Sontebria. Ils
parviennent ainsi au canal d’Irya où se trouve un des oratoires
consacrés à Saint- Jacques et qui, aux yeux des chrétiens, vient
par rang de mérite après celui qui renferme le tombeau... Les
dévots s’y rendent des régions les plus éloignées, du pays des
Coptes, de Nubie, etc... Après l’avoir entièrement rasé, ils
vont camper devant l’orgueilleuse ville de Santiago, et les
musulmans s’emparent de tout le butin qu’ils y trouvent et en
abattent les constructions, les murailles et l’église, si bien
qu’il ne reste plus trace de « l'orgueilleuse ville de
Saint-Jacques ». Durant
une semaine la ville est pillée et finalement incendiée,
l'armée califale pille tout ce qui peut être emporté et détruit
la ville de fond en comble y compris la basilique « dont il ne
reste plus de trace ».Tous ces beaux palais si solidement bâtis
sont réduits en poussière, et l’on ne peut pas soupçonner qu’il
existait là une ville la veille... Cette destruction est opérée le
lundi et le mardi... Cependant Al Mansour, en bon musulman, respecte
le tombeau de Saint Jacques, disciple du prophète Aïssa (notre
Jésus). Le chroniqueur raconte qu'un moine, seul de toute la
population en fuite, est resté près du sépulcre... Le dictateur
lui demande pourquoi il se tient là :
Pour honorer Saint Jacques ! répond-il et le vieux moine a la vie sauve...
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| SOLDATS MUSULMANS Xe SIECLE |
Le saccage de la ville est considéré comme un affront à toute la chrétienté qui se répand à travers tout l’Occident. Quant au roi Bermude II, totalement dépassé par les événements et n’ayant pas pu protéger la ville voit son pouvoir et son autorité sapés... Quant à El-Mansoûr, c'est de Saint-Jacques qu’il bat en retraite, après s’être avancé plus loin qu’aucun musulman avant lui... En s’en retournant il fait route par le territoire de Bermude II fils d’Ordono, afin de le ravager et le dévaster en passant, ne cessant les hostilités en arrivant dans le pays qui obéit aux comtes confédérés servant dans son armée. Il poursuit son chemin jusqu’à ce qu’il arrive au fort conquis de Lamego, où il donne congé à tous les comtes, les faisant défiler chacun à son rang et leur faisant, à eux aussi bien qu’à leurs soldats, des distributions de vêtements... C'est de là aussi qu’il envoie à Cordoue la relation de ses victoires. L’armée tout entière rentre à Cordoue saine et sauve et chargée de butin, après une campagne qui a été une grâce et un bienfait pour les musulmans, Dieu en soit loué !
Mais comme l’écrit l’auteur Andalous Ibn al-Athîr, Al-Mansûr ne cesse de songer au combat et il souligne son habileté et son adresse. Al-Mansûr se caractérise par sa présence sur le champ de bataille, contrairement à Abd al-Rahman III qui depuis la défaite de Simancas relégue cette tâche aux grandes familles qui gouvernent les marches d’Al-Andalus préférant rester à l’arrière afin de diriger les combats... Durant longtemps le djihâd Andalous est resté défensif... Il consiste à riposter à des initiatives chrétiennes du nord sur les terres musulmanes. Sous le règne d’Al-Mansûr, le combat devient offensif, le but n’est pas de défendre les territoires acquis mais au contraire d’attaquer l’adversaire sur ses terres...
Difficilement
prévisible car menaçant toute la péninsule comme le montrent la
cartes et d’une dureté inédite, Al-Mansûr combat les rois
chrétiens selon le poète Ibn Darradj al-Kastalli « été
comme hiver ». Les expéditions victorieuses, en plus du
prestige qu’elles apportent au sein de la population assurent à
Al-Andalus des rentrées d’argent conséquentes et aux soldats de
généreuses récompenses composées d’or, de captifs ou d’animaux.
Durant
le règne d’Al-Mansûr, les expéditions n’ont jamais menées à
une expansion territoriale. En effet, le but de celles-ci n’est pas
d’étendre les terres sous contrôle musulman mais uniquement de
soumettre et humilier les rois chrétiens... Les avantages de cette
politique sont nombreux, ils permettent de ne pas mobiliser trop de
troupes dans le maintien des nouvelles villes conquises et impose aux
chefs chrétiens de payer un tribut à l’instar des souverains de
León, de Castille, de Pampelune ou de Catalogne... Ibn ‘Idhari
dans son livre Bayan Al-Mughrib, sur Almanzor (Al-Mansûr) à
Compostelle, (v. 1320) IBN ‘IDHARI : l’expédition d’Al-Mansûr
à Shant-Ya῾qûb : Al-Mansûr étant à cette époque arrivé au
plus haut degré de puissance, secouru par Allah, comme il l’est,
dans ses guerres contre les princes chrétiens, marche contre la
ville de Santiago, qui est située en Galice et est le plus important
sanctuaire chrétien tant de l’Espagne que des régions adjacentes
de la Grande Terre... |
| LA CAMPAGNE DE SAINT JACQUES DE COMPOSTELLE |
« Al-Mansûr donna la plus énergique offensive aux territoires polythéistes, enlevant à leurs habitants rebelles toute idée d’orgueil et de jactance... il laisse leur pays gisant, et eux-mêmes plus humiliés qu’un pieu enfoncé dans le sol... toujours livrant leurs terres aux ravages, il lance droit dans leurs entrailles les flèches des calamités... la mort que manient ses mains angoisse leurs âmes... les maux qu’il leur fait empoisonnent chacun de leurs jours »...
Voici à ce propos l’un des faits les plus clairs, des événements les plus démonstratifs :
Un de ses envoyés, qui visite très fréquemment ces pays, se rend dans un de ses voyages auprès de Sancho III Garcia, seigneur du Pays Basque, qui le reçoit un jour de Pâques, lequel ne cesse de lui donner des marques d’honneur et de lui prodiguer les plus hauts signes de respect et de zèle.
Le séjour de l’envoyé se prolongeant, il n’y a pas de pavillon de plaisance où il ne va se divertir, pas de lieu où il n'est reçu. Il visite ainsi la plupart des églises, et comme un jour il est dans l’enceinte de l’une d’elles et promène ses regards sur les contours de l’édifice, une femme vieillie dans la captivité, droite encore malgré la durée de son malheur, se présente à lui et, l’interpellant, lui fait reconnaître qui elle est... elle demande si c’est volontairement qu’Al Mansûr, vivant dans les délices, oublie son malheur à elle et jouit des plaisirs d’une tranquillité qu’elle ne connaît pas, depuis de nombreuses années, dit-elle, elle est prisonnière dans ce « temple, vouée à l’humiliation et à l’abaissement ».
Elle l’adjure au nom de Dieu de faire connaître son histoire et de mettre un terme à son angoisse, elle lui fait prêter pour cela les serments les plus sacrés et exige de lui les engagements les plus stricts pris au nom du Miséricordieux...
L’envoyé d’Al-Mançûr à son retour fait connaître à son maître les choses qu’il a mission de lui faire savoir, ce dernier, après l’avoir écouté muet et sans l’interrompre, l’interroge :
« N’as-tu eu là connaissance de rien de blâmable, ou bien n’as-tu appris que ce que tu viens de dire ? »
L’officier raconte alors l’histoire de la femme, dit ce qu’elle lui a fait jurer de rapporter à Al-Mansoûr et les engagements qu’elle lui a fait prendre. Son maître le blâme et le réprimande de n’avoir pas commencé par là, puis aussitôt prépare la guerre sainte, passe en revue ses guerriers de toutes provenances, et, beau comme Merwân au jour du combat de Marj, saute en selle pour faire campagne...
Quand il arrive auprès du fils de Sancho III, qu’entoure ses partisans, une crainte respectueuse envahit les organes du chrétien, qui s’empresse de lui adresser une lettre pour s’enquérir de la faute qu’il a commise, lui jurer de la façon la plus formelle qu’il ne s’est rendu coupable d’aucun crime et ne s’est en rien écarté de la voie de l’obéissance... Les porteurs de ce message sont sévèrement accueillis :
« Votre maître, leur est-il dit, m’a garanti qu’il ne reste plus dans son pays ni captif ni captive, rien même de ce que peut contenir le gésier d’un oiseau de proie. Or j’ai appris qu’il y a encore telle vieille dans telle église, et je prends le ciel à témoin que je ne m’en irai d’ici qu’après l’avoir vue en mon pouvoir. »
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| LE TRANSPORT DES CLOCHES DE SANTIAGO |
Vers l’an mil a lieu une mutation d’une grande importance en Espagne : alors qu’al-Andalus (l’Espagne musulmane) entre dans une crise profonde qui conduit à son éclatement au cours du XIe siècle, l’Occident connaît un formidable essor démographique et économique, s’accompagnant d’une grande ferveur religieuse. La Chrétienté « se barde de fer » selon la formule de Munier-Jolain, historien du XIXe siècle.
Avant le XIe siècle, il est inexact de parler de Reconquista et d’ailleurs les territoires reconquis jusqu’à cette date sont négligeables. Ce n’est qu’après le double « électrochoc » du sac de Saint-Jacques-de-Compostelle et du sac du Saint-Sépulcre, que l’idée d’une reconquête légitime de l’Espagne fait son chemin jusqu’à devenir un projet dynastique pour les souverains chrétiens Espagnols. A cet égard, le royaume d’Aragon joue un rôle d’impulsion mais c’est le royaume de Castille qui s’étend le plus rapidement à l’Ouest de la péninsule. Le XIe siècle voit d’ailleurs la reconquête symbolique de Tolède, l’ancienne capitale des Wisigoths...
A
la fin du Xe siècle, al-Mansûr « le Victorieux », vizir du calife
de Cordoue Hisham II, mène une série d’expéditions vers les
territoires chrétiens du Nord.
En
983, la ville de Simancas est détruite et les habitants, réduits en
esclavage, sont envoyés à Cordoue.
En
985, la ville de Barcelone est prise et mise à sac... Mais
l’événement qui va frapper profondément toute la Chrétienté
est l’expédition de 997 contre le sanctuaire de
Saint-Jacques-de-Compostelle. C’est un véritable traumatisme qui
secoue le monde chrétien.
En
Orient, un peu plus de 10 ans plus tard (en 1009), le calife fatimide
al-Hakim rase le Saint-Sépulcre (remarquez la synchronicité des
événements)...
L’apparition
d’un front
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| AL MANSÛR |
Le vocabulaire employé par les textes latins traduit ce changement de la perception de la « frontière » :
Jusque vers l’an mil, les souverains utilisent le mot Extrematura (« marche ultime ou extrême ») pour désigner les bornes du Sud de leurs domaines. Vers le milieu du XIe siècle, et pour la première fois dans les documents parvenus jusqu’à nos jours, apparaît le terme de « frontière » dans le testament dressé par le roi Ramiro Ier en 1059. Le mot est réemployé 3 ans plus tard dans un texte concernant Falces (Ribagorce) où le roi précise comment l’on doit se comporter en tant que guerrier en terre de « frontière »...
La naissance de l’idéologie
C’est au XIe siècle que naît l’idéologie de la Reconquista. En 1063, le pape Alexandre II décide d’accorder la rémission de leurs péchés à tous ceux qui iront combattre les Sarrasins d’Espagne. La guerre contre les musulmans devient une « Guerre Sainte » (au sens « sanctifiant » du terme). Le roi d’Aragon Sancho Ramirez bénéficie de l’appui du souverain pontife et se rend à Rome en 1068, où il place son royaume sous la dépendance du pape, l’Espagne étant considérée comme ayant autrefois appartenu au patrimoine de Saint Pierre. En échange, le roi se voit qualifié par les actes de chancellerie de rex Hispanie, titre prestigieux dont bénéficiera aussi son fils Pedro Ier. Sancho Ramirez et le pape continuent à entretenir des relations privilégiées par la suite.
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| SANCHO RAMIREZ |
Saint-Jacques-de-Compostelle et le tombeau de l'apôtre ...
www.le-limousin-medieval.com/article-saint-jacques-de-compostelle-et-l...
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oct. 2010 - Saint-Jacques-de-Compostelle
et le tombeau de l'apôtre ... En 997,
la ville de Compostelle fut prise et la basilique fut mise à sac et
rasée.
Aux origines de la Reconquista (Xe-XIe) - Fdesouche Histoire
histoire.fdesouche.com/17-aux-origines-de-la-reconquista-xe-xie
2
déc. 2012 - Ce ne'st qu'après le double « électrochoc » du sac
de ... l'expédition de 997
contre le sanctuaire de Saint-Jacques-de-Compostelle.
... En Orient, un peu plus de 10
ans plus tard (en 1009), le calife .... Louis XIII et Richelieu
assiégèrent La Rochelle durant un peu plus d'un an, d'août
1627 à octobre 1628.
le sac de Saint-Jacques de Compostelle en 997
ultreia.pagesperso-orange.fr/997.htm
Après
avoir brûlé le sanctuaire de Padron où le bateau transportant le
cadavre de l'Apôtre avait accosté, il parvint le 10
août
devant "l'orgueilleuse ville de ...
Une des plus célèbres expéditions d'Al-Mansûr eut lieu en ...
histoireislamique.wordpress.com/.../une-des-plus-celebres-expeditions-da...
26
avr. 2014 - Le 10
août
les forces omeyyade musulmanes sont aux portes de ... d'Al-Mansûr
eut lieu en 997,
c'est celle contre Saint-Jacques-de-Compostelle.
... L'attaque de la cité de Saint-Jacques-de-Compostelle,
connue dans toute la ...
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