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NOVEMBRE 2014...
Cette
page concerne l'année 904 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
LA TRÈS CONVOITÉE THESSALONIQUE...
En
904, un Tripolitain, nommé Léon, qui a abandonné la religion
grecque et embrassé l'islamisme, a dévasté les îles de
l'Archipel, dont il est la terreur,et s'est présenté devant
Thessalonique, à la tête d'une flotte chargée d'audacieux
musulmans.
En
vain les habitants de cette ville si importante par sa situation, et
la seconde de l'empire Grec, se sont défendus avec autant d'habileté
que de courage, la ville a été prise, et elle a éprouvé toutes
les horreurs que peuvent commettre, dans une ville prise d'assaut,
des barbares animés par le fanatisme et l'amour du pillage.
Que
peut Léon VI contre tant de dangers?
Ne
sachant comment résister aux Bulgares qui achèvent de le renfermer
dans un cercle de formidables ennemis, il a recours aux ressources
des faibles : Il appelle les Turcs à son secours... Les Turcs
défendent ses états, mais ils apprennent le chemin de
Constantinople.
Léon
de Tripoli est un renégat Grec et un pirate servant les Arabes au
début du Xe siècle. Né de parents chrétiens dans l'Empire
Byzantin, il se convertit ensuite à l'islam après avoir été
capturé par des Arabes. Chez ces derniers, il devient amiral...
Son
premier nom arabe est Ġulām Zurāfa signifiant le serviteur de
Zurafa. Il prend plus tard le nom de Rašiq al-Wardāmī qui le
rattache probablement à la communauté des Mardaïtes. Ce nom révèle
une origine proche de la ville d'Antalya.
En
904, Léon de Tripoli lance une offensive sur l'Empire Byzantin. Il
prend Antalya par surprise. Il passe ensuite l'Hellespont avec
l'intention de mettre à sac Constantinople, mais bat en retraite
devant la flotte d'Himérios. Il se dirige alors vers la ville de
Thessalonique, mal défendue.
Malgré
les renforts envoyés par Léon VI le Sage, la ville cède après
deux jours de siège, le 31 juillet. Thessalonique est alors mise à
sac durant 10 jours.
Cet
événement est rapporté par Jean Kaminiatès.
Nous
étions dans ces vaines occupations lorsque arrive quelqu’un pour
nous annoncer que les vaisseaux des barbares approchent déjà du
bras de mer devant l’Ekbolon. C’était le dimanche 29 juillet
6412 (902), au petit matin... Cette nouvelle fait rapidement le tour
de la ville. Tous poussent des cris, sont troublés, effrayés,
chacun a des idées différentes sur la situation et les hurlent aux
autres, tous courent s’armer comme ils peuvent et se dirigent en
hâte vers les murs. Ils ne se sont pas tous encore répandus sur les
remparts que les vaisseaux des barbares, les voiles déferlées, font
leur apparition à la hauteur du susdit promontoire.
Par
une malheureuse coïncidence, le vent souffle alors à leur poupe, à
tel point qu’il semble à la plupart d’entre nous que les
vaisseaux ne naviguent pas, mais se déplacent comme soulevés en
l’air. Comme je l’ai dit, on est au mois de juillet, lorsque
souffle davantage que les autres mois le vent qui vient du golfe et
descend des sommets de l’Olympe de Grèce : Du matin et
jusqu’à la neuvième heure, chaque jour pendant tout l’été, il
balaye la ville et en nettoie l’air... Les ennemis exploitent ce
vent pour s’approcher de la ville au début de la journée.
D’abord
ils amènent les voiles, dès qu’ils sont près du mur, et étudient
attentivement la ville pour en comprendre la disposition.
Ils
n’entreprennent pas d’opérations militaires dès qu’ils ont
mouillé, mais se donnent le temps d’observer quelles sont nos
forces, de savoir quelle résistance nous pouvons leur opposer au
combat et de se préparer en conséquence.
Ils
restent plutôt étonnés car le spectacle qu’ils ont sous les yeux
n’est comparable à rien de ce qu’ils connaissent : Ils
prennent conscience du fait que la ville est d’une immense étendue
et que les murs qui l’entourent sont gardés par une multitude
d’hommes...Très surpris ils retardent leur attaque, cela nous
donne un peu de courage et nous reprenons notre souffle pendant ce
moment d’attente...
Nous nous trouvons dans cet état d’esprit lorsque le chef de l’armée barbare fait le tour des murs maritimes. C’est un individu horrible et très retors, dont les actions sont dignes du nom du fauve qu’il porte : « Léon ». Sa férocité est tout à fait celle d’un lion, et son agressivité sans retenue. [...]
Nous nous trouvons dans cet état d’esprit lorsque le chef de l’armée barbare fait le tour des murs maritimes. C’est un individu horrible et très retors, dont les actions sont dignes du nom du fauve qu’il porte : « Léon ». Sa férocité est tout à fait celle d’un lion, et son agressivité sans retenue. [...]
Cet
homme sauvage, cet apostat, Léon, parcoure donc avec son vaisseau le
rivage de la mer le long du mur pour l’étudier et pour décider,
dans son esprit scélérat, où lancer l’attaque.
Les
autres vaisseaux mouillent tous ensemble à un endroit de la côte
orientale et se préparent. Les habitants de la ville prennent les
armes, se disposent le long des remparts et s’arment de courage
pour l’épreuve imminente.
Il
s’agit en effet d’une véritable épreuve, la plus dure des
grandes épreuves : Ce n’est pas la compétition d’un
athlète qui suscite l’admiration des spectateurs par les coups
qu’il sait assener sur le corps de l’adversaire, ni une
compétition qui donne une récompense matérielle pour le plaisir
fugace du vainqueur.
La
défaite ne sera pas seulement de jeté le vaincu dans la honte :
Le prix sans égal décerné à cette ville magnifique pour cette
compétition sera sa sauvegarde, ou bien elle sera frappée d’une
douleur sans remède, au cas où la menace se réaliserait....
Après avoir bien observé tous les remparts et l’entrée du port, qui est fermée par une chaîne de fer et par des bâtiments coulés, ce fauve féroce décide qu’il vaut mieux mener l’attaque là où il a compris que le piège constitué par les monolithes submergés ne représente pas un obstacle à l’approche des vaisseaux venus du large.
À
cet endroit, les vaisseaux ne subiront pas d’attaque des
combattants postés en haut du mur que nous avons construit.
Après
avoir bien repéré l’endroit où la mer est profonde et où les
flots se brisent contre la partie la plus basse du mur, il rejoint
ses compagnons, puis il lance l’attaque.
Extrait
du récit d’Eustathe de Thessalonique. Il accuse le commandant de
Thessalonique, David Comnène, d’avoir, par incompétence et
lâcheté, trahit la ville....
Ce qu’il y a de commun entre lui et un traître manifeste, c’est le mépris de l’intérêt général, de ne songer qu’à lui sans se préoccuper de l'intérêt de tous
Nos
soldats grommellent que nos catapultes ne sont pas efficaces et ne
peuvent rivaliser avec celles des ennemis... Le stratège, sans même
songer à trouver un remède qui tienne compte de ces critiques,
répond :
« Qu’y
puis-je ? »
Et
cet élégant pythagoricien s’en tient à cette réponse. Tel un
monument du silence, tant il garde par-devers lui tout commentaire.
Il
ne profère pas un seul mot, comme le font ceux qui se placent en
embuscade, ne laisse pas paraître ses méchants desseins et cache
profondément ses pensées.
Il
entend dire que le rempart extérieur, mal fortifié, est prêt de
tomber, et il répond : « qu’on l’envoie aux mères
de nos ennemis pour qu’elles se le mettent, réponse des plus
vulgaires »...
Les
défenseurs sur les murs restent sans flèches et en demandent, lui,
murmure :
« Et
où est-ce que je les trouve ? »
Il
n’en donne guère et la ville en souffre.
Une
machine de guerre casse, il faut la réparer et on lui demande du
bois : Il répond de façon incongrue :
« Où
peut-on en trouver ? »
Si
on vient à savoir que quelque chose d’indispensable manque et
qu’on lui en parle, il devient comme « Silencieux », le
héros du dicton....
Il
crie, menace du fouet, de la décapitation, de l’aveuglement, du
pal, si on ne se tait pas, et prête serment sur la tête de
l’empereur pour donner plus de poids encore à ses propos.
Un
de ces importuns (et il ne s’agit pourtant pas d’un homme du
peuple) se fait casser la figure, blesser au visage à coups de
bâton, parce qu’il a osé critiquer cette façon maladroite de
conduire les opérations.
Aucun
de ceux qui assistent à la scène n’ose même murmurer.
Des
soldats, qui se permettent de parler librement et font de justes
remarques, s’entendent dire, pour toute réponse de cet homme
bizarre, qu’ils ont à tenir une position, qu’il leur faut ne
s’occuper que de cela et ne s’interroger sur rien d’autre s’ils
ne veulent pas avoir d’ennuis.
Il
doit s’assurer que le blé suffira pour toute la ville, mais il
s’en désintéresse à tel point qu’il parvient à assurer pour
son propre compte une grosse partie de ce bien précieux (pour en
faire quoi, le malheureux ?) et à provoquer la famine dans la
population... Si le fer des ennemis n’était pas parvenu à nous
atteindre rapidement, nous aurions risqué de nous dévorer les uns
les autres.
Extrait
de Jean Anagnostès : Les Turcs du sultan Mourad entrent dans
Thessalonique et pillent la ville.
Les ennemis entrent donc dans la ville en se servant des échelles ou en passant par les trous dans les murailles. Les uns sautent sur les gens et entrent dans les maisons, les autres courent vers les portes de la ville pour y faire entrer Mourad avec toute son armée.
Il
faut les voir entrer comme un essaim d’abeilles ou comme des fauves
sauvages, poussant des cris furieux et respirant l’envie de nous
massacrer ! Ils se partagent la ville, certains à pied,
d’autres à cheval.
Dès
que la ville en est pleine, ils sont partout, dans les saintes
églises, dans les monastères sacrés, dans les rues, dans les
maisons, se déroule un spectacle à faire pleurer et génère des
gémissements. Ils tombent sur nous comme des loups : Ils se
hâtent de s’emparer de tout, selon la promesse de leur seigneur...
Lors
de la bataille il a en effet affirmé que, si la ville est conquise
et s’il peut ainsi voir se réaliser son désir, chacun garde pour
soi tout ce qu’il a pris et personne ne peut le lui enlever.
C’est
pourquoi ils traînent tous ensemble hommes, femmes, enfants, tous
âges confondus, liés comme des bêtes sans âme, et les conduisent
tous au campement à l’extérieur de la ville.
Je ne dirai rien de ceux, pas moins nombreux, qui étant tombés dans les rues et sur les remparts, n'ont pas reçu l’honneur d’une sépulture, et dont les cadavres sanglants sont la pâture des chiens et des vautours...
« Il
ne s’agit pas que des hommes, mais aussi des femmes, et parmi eux
se trouvent surtout les plus vieux et les malades ».
Par
crainte de la foule, chaque ennemi se hâte de conduire dehors au
plus vite ceux qu’il ont capturés, et de les confier aux hommes
qui partagent sa tente, de crainte que quelqu’un de plus puissant
ne s’en empare.
S’il
voit qu’un des prisonniers est malade ou trop âgé et ne peut
marcher avec les autres, il lui coupe la tête et considère cette
perte comme nulle.
Alors
commencent à être péniblement séparés de leur propre sang les
enfants de leurs parents, les femmes de leurs époux, les amis de
leurs amis... Nous pensons être tous impitoyablement tués.
La
lutte contre les Arabes. — Depuis que les Arabes ont conquis la
Crète, ils sont devenus le fléau des mers Byzantines.
Chandax,
la capitale de l’île, est le repaire de la piraterie musulmane et
de là, comme de Tarse ou de Tripoli de Syrie, les corsaires arabes
ravagent toute la mer Égée. Malgré les efforts de Basile Ier pour
réorganiser l’armée et la flotte, les escadres ennemies dominent
l’Archipel.
En
904, Thessalonique est prise par Léon de Tripoli et sa population
presque entière emmenée en captivité.
En
907, il rassemble une flotte à Tarse et à Laodicée avec laquelle
il vogue vers les Dardanelles et s'approche de Constantinople.
En
mai 912, Léon de Tripoli et son camarade Sarrasin Damien de Tyr
défont Himérios, le logothète du drome, en représailles d'une
attaque sur des Arabes Chypriotes.
Finalement,
en 924, la flotte Byzantine conduite par Jean Radinos défait celle
de Léon de Tripoli alors que ce dernier ravage Lemnos. Au cours de
cette défaite, Léon de Tripoli échappe de peu à la capture.
Malgré
quelques succès de la marine Byzantine, en 907, en 924 surtout dans
les eaux de Lemnos, les expéditions dirigées contre la Crète
n’aboutissent qu’à des désastres (911 et 949). Il faut envoyer
contre l’île que Dieu confonde le meilleur général de l’empire,
Nicéphore Phocas (960). Il réussit à débarquer en Crète, et
après un siège de plusieurs mois il emporte Chandax d’assaut
(mars 961).
La
maîtrise des mers orientales revenait aux Byzantins.
En
1185, ce sont les Normands de Sicile qui se livrent aux mêmes
massacres.
En
1430 enfin, les Turcs mettent la ville à sac et en prennent
définitivement possession.
De ces 3 événements catastrophiques nous rendent compte trois témoins oculaires, Nicétas Caminiatès, Eusthate de Thessalonique et Jean Anagnostès.
Tous
3 ont connu les prémisses de l’assaut :
L’installation
du siège.
La
défense rageuse des habitants.
La
fuite des défenseurs.
L’irruption
brutale des assaillants.
Le
meurtre et l’incendie, la capture enfin, et pour certains l’évasion
hors des ruines... Les récits formidablement saisissants qu’ils
nous livrent sont comme la relation d’un même scénario 3 fois
répété, le scénario partagé partout et toujours par les villes
assiégées enlevées par la force.
Le
déchaînement de la furie des attaquants, l’effroi des habitants,
le courage ou la lâcheté des uns ou des autres, les sacrilèges,
les carnages, les humiliations imposées par les vainqueurs se
reproduisent à des siècles d’intervalle dans les mêmes rues, les
mêmes places, sous les mêmes cieux. La violence dont chacun de nos
narrateurs est victime a le même visage derrière le masque des
Sarrasins, des Normands ou des Turcs.
Pourtant,
dès lors qu’ils passent de l’expérience vécue à l’écriture,
les enjeux littéraires prennent le pas sur la restitution de
l’événement.
L’outrage
des violences infligées par les barbares (qui sommes toutes
n’agissent que conformément à leur nature), doit être recyclé
dans des réquisitoires impitoyables contre le pire ennemi, celui de
l’intérieur, afin que puisse s’exprimer la détresse des
vaincus.
On
cloue au pilori la soldatesque des défenseurs incapables de la
ville, qui se sauvent par les égouts ou font cause commune avec
l’ennemi, de même que sont évoqués les affronts, les offenses et
les atteintes à la dignité des captifs abandonnés à leur sort.
Le
récit des malheurs collectifs se trouve inséré dans la trame plus
intime des souffrances individuelles, et les blessures ne peuvent au
fond être extériorisées que dans ces morceaux de
littérature...
Caminiatès, en compagnie de 4 parents proches, fait face à des soldats venus le massacrer, et leur propose un marché : La vie sauve contre un trésor enterré quelque part en ville. Nos 5 héros malgré eux se retrouvent ainsi parmi les prisonniers de marque, échangeables et donc protégés.
Caminiatès, en compagnie de 4 parents proches, fait face à des soldats venus le massacrer, et leur propose un marché : La vie sauve contre un trésor enterré quelque part en ville. Nos 5 héros malgré eux se retrouvent ainsi parmi les prisonniers de marque, échangeables et donc protégés.
Ils
naviguent, avec leurs vainqueurs, au gré des changements de
direction du vent, font escale en Crète où bon nombre de captifs
sont vendus comme esclaves.
Ils
sont exposés à la fureur d'une tempête.
Ils
sont détenus à Tripoli, puis à Tarse, d'où Caminiatès envoie
cette narration, avec une demande pour que l'échange de prisonniers
survienne rapidement, car il ressent l'accablement de tant de
malheurs successifs.
L'Histoire ne se répète pas, mais, dit Jacques Deval, elle se plagie. Près de 300 ans plus tard, l'archevêque Eustathe se trouve pris, à son tour, dans le flot des victimes d'une incursion militaire.
L'Histoire ne se répète pas, mais, dit Jacques Deval, elle se plagie. Près de 300 ans plus tard, l'archevêque Eustathe se trouve pris, à son tour, dans le flot des victimes d'une incursion militaire.
Les
soldats, ayant abattu un pan de muraille, vont au plus facile,
frappant les vieillards et les enfants. Le stratège qui aurait dû
tenir la place se laisse prendre dès le début des hostilités.
Eustathe suggère que l'empereur Andronic lui-même, par sa politique
conflictuelle, est à blâmer pour les désordres qui ont produit la
chute de la ville aux mains des Normands.
D'ailleurs,
ayant prévu cette chute, Eustathe se serait volontiers éloigné.
Mais, par solidarité avec son peuple, il subit le sort commun. Il se
trouve détenu à l'hippodrome, puis au port.
Finalement,
il trouve refuge dans le jardin de Saint Demetrius, dont les
Barbares saccagent les arbres. Autour de lui, l'occupation se
prolonge, avec son lot de pillages et de sacrilèges.
Cela
lui suggère une triste méditation sur les péchés commis par
les Thessaloniciens, que ces malheurs viennent punir.
Son
espoir est que cette punition fera revenir la vertu, et à sa suite,
la liberté. Mais dans combien de jours ?...
La troisième chronique, au crépuscule de l'Empire, n'échappe pas à ce ton de grande tristesse.
La troisième chronique, au crépuscule de l'Empire, n'échappe pas à ce ton de grande tristesse.
En
prélude à sa narration, Jean Anagnostès nous signale un songe du
dernier archevêque de la ville.
Celui-ci
se voit dans un palais magnifique.
Une
voix venue de l'extérieur lui conseille d'en sortir au plus vite,
car l'édifice est sur le point de s'effondrer.
Ayant
eu ce songe, le vieil archevêque ne tarde pas à trépasser, et
peu de jours après cela, la ville est prise.
Au
préalable, le seigneur Mourad, chef des attaquants, a fait des
offres de reddition pacifique.
Mais
elles ne sont point entendues.
Alors,
partant d'un secteur de muraille malencontreusement vide de
défenseurs, l'immense armée Ottomane s'engouffre dans la brèche
facilement créée.
7
000 prisonniers sont enchaînés. Les églises sont converties en
lieux d'habitation. Par la suite, la ville se repeuplera, mais ses
habitants, pleins de nostalgie, ne connaîtront plus que dans leur
souvenir sa splendeur d'autrefois.
Persée : Notes chronologiques : La révolte d'Andronic Doux ...
Persée : Notes chronologiques : La révolte d'Andronic Doux ...
www.persee.fr/web/.../rebyz_1146-9447_1937_num_36_186_2901
de
V Grumel - 1937
La
révolte d'Andronic Doux sous Léon VI La victoire navale d'Himérius
... que c'était la vingt-troisième année du règne de Léon, donc
le 6 octobre 908 (1). ... la première en 904, contre le pirate Léon
de Tripoli, et la seconde qui aboutit à la ...
Léon
de Tripoli — Wikipédia
fr.wikipedia.org/wiki/Léon_de_Tripoli
En
904, Léon de Tripoli lance une offensive sur l'Empire byzantin. Il
prend Antalya par surprise. Il passe ensuite l'Hellespont avec
l'intention de mettre à sac ...
Histoire
de l'empire byzantin - Charles Diehl
www.mediterranee-antique.fr/Auteurs/Fichiers/DEF/.../HB_005.htm
En
904, Thessalonique était prise par Léon de Tripoli et sa population
.... Pendant ces quarante années, de plus en plus la Bulgarie devint
un satellite de ...
Thessalonique,
Chroniques d'une ville prise - Lekti-écriture
www.lekti-ecriture.com/editeurs/Thessalonique-Chroniques-d-une.html
En
l'an 904 les pirates Sarrasins de Crête, commandés par le renégat
Léon de Tripoli surgissent devant Thessalonique, pillent la ville et
.... et un lettré qui fera l'objet d'une libération contre rançon
dans les deux années qui suivent et dont ...
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