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DECEMBRE 2014...
Cette
page concerne l'année 892 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
LE
SOUK GUERRIER SUR BAGDAD !
Sāmarrā
est une ville d'Irak. Son nom est l'abréviation de l'arabe
signifiant « celui qui l'aperçoit est heureux », nom que
lui a donné le calife abbasside Al-Mutasim. Elle se situe sur la
rive est du Tigre dans la province de Salah ad-Din, à 125 km au nord
de Bagdad et, en 2002, sa population comptait 201 700 habitants.
Sāmarrā
était autrefois l'une des plus grandes villes de Mésopotamie.
La
ville pré-islamique a été remplacée par une nouvelle ville en 833
par le calife abbasside Al-Mutasim, afin d'y installer ses
mercenaires Turcs recrutés la même année lors de son accession au
califat.
Écartée
de Bagdad où elle moleste la population locale, la nouvelle garde du
calife y vit en véritable micro-société et Sàmarrà devient alors
la nouvelle capitale du monde musulman.
Durant
le règne de son successeur Al-Wathiq et davantage sous celui du
calife Al-Mutawakkil, Sāmarrā se transforme en une ville
commerciale. Ce dernier a été le garant de la construction de la
Grande Mosquée de Sāmarrā en 847 avec son célèbre minaret en
spirale.
Il
conçoit également des parcs et un palais pour son fils Al-Mu`tazz.
Sous le règne d'Al-Mutamid, le califat retourne à Bagdad afin de
fuir les exactions de la garde Turque ayant assassiné Al-Mutawakkil
en 861.
Sāmarrā
connaît alors un déclin prolongé, qui s'accélère après le
XIIIe siècle quand le cours du Tigre change.
C'est
en 944 qu'est construite la célèbre Mosquée d'Or, autre nom du
mausolée d'Ali al-Hadi et de Hasan al-Askari, respectivement le 10e
et le 11e Imams chiites, tout comme la châsse de Muhammad al-Mahdi,
connu comme l'« Imam caché », qui est le 12e et dernier
Imam chiite. De ce fait, Sāmarrā est devenue un important lieu de
pèlerinage pour les musulmans chiites duodécimains.
Abû
al-`Abbâs « al-Muʿtadhid bi-llah » Ahmad ben Tâha
al-Muwaffaq ben Jaʿfar al-Mutawakkil, surnommé Al-Muʿtadhid est né
en 857.
Il
est le petit-fils du calife Ja`far al-Mutawakkil, et a succédé à
son oncle Al-Mu`tamid comme calife abbasside en 892. Il est mort en
902 et son fils Al-Muktafi lui a succédé....
Al-Muwaffak,
le père d'Al-Muʿtadid est venu en aide à son frère le calife
Al-Mu`tamid pour venir à bout de la révolte des Zanj en 869.
C'est
lui qui a pris les rênes du pouvoir à la place de son frère. Sous
le gouvernement d'Al-Muwaffaq, le califat a semblé pouvoir se
rétablir.
En
883 la révolte des Zanj, au sud de l'Irak, est terminée. Le
contrôle des provinces est renforcé. Al-Muwaffaq a aussi
énergiquement combattu les Tulunides en Syrie.
Al-Muwaffaq
souffrant de plus en plus d'éléphantiasis, son fils Al-Muʿtadid a
peu à peu pris en charge ses fonctions à partir de 889. Il est mort
en juin 891...
Al-Mu`tamid
ne reprend pas le pouvoir que lui a pris Al-Muwaffak et il a même
été contraint de déposséder son fils du titre de successeur
présomptif, pour l'attribuer à Al-Muʿtadid.
Al-Mu`tamid
meurt en octobre 892 après une nuit de beuverie qui l'a laissé ivre
mort.
Avant
la mort du calife, Al-Muta`did a déjà le pouvoir suprême. Il
continu à gouverner efficacement.
L'Égypte
a réintégré le califat car le toulounide Khumârawayh a été
flatté de donner sa fille au calife avec une dot importante (892).
Al-Muʿtadid
lui reconnaît son titre d'émir d'Égypte et de Syrie contre la
promesse d'un tribut annuel. Khumârawayh est mort assassiné quelque
temps plus tard (896)...
Le
pays sombre dans le désordre. Abû al-`Asâkir, premier fils de
Khumârawayh, est assassiné peu de temps après sa prise de pouvoir.
Son second fils Hârûn lui succède bien que la situation continue
de se détériorer (896). Il restera en place jusqu'en 904.
Le
samanide Ismail Ier bat le Saffâride `Amr ben Layth (901), envoyé à
Bagdad prisonnier il est exécuté sur l’ordre d’Al-Muta`did.
Il
est forcé de restituer le Khorasan, et les Saffârides sont par la
suite essentiellement confinés à la région du Sistan, leur rôle
étant réduit à ceux de vassaux des Samanides et de leurs
successeurs.
Les
émirs Samanides continuent de se considérer comme accrédités par
Bagdad. Mais le pouvoir de Bagdad au-delà des frontières de l’Irak
est plutôt théorique. En fait les Samanides se font les hérauts de
l’indépendance de la Perse...
Les
Zaydites du Tabaristan sont vaincus par les Samanides (900). Une
partie d’entre eux se réfugie dans le Gilan.
L’autorité
du calife ne va pas au-delà de Ray vers l’Est.
Les
Zaydites reviendront temporairement au Tabaristan en 913.
Le
calife a mené de longues campagnes contre le kharidjisme encore
répandu dans tout l’Irak. Finalement la région a retrouvé un peu
d’ordre, alors qu’elle a été longtemps le théâtre des
affrontements entre bandes de bédouins rebelles et de la rivalité
entre les troupes Égyptiennes et les troupes impériales.
Al-Muta`did
a été un prince courageux et énergique. Il a été tolérant
envers les descendants d’`Alî. Il ne s’est pas opposé aux aides
financières que l’émir du Tabaristan leur envoie. Il aurait
cependant préféré que ce soit fait ouvertement.
Il
a été moins juste avec les descendants des omeyyades. Il prononce
l’anathème contre eux aux cours des prières publiques, possède
un registre contenant le récit de tous leurs méfaits et interdit
que l’on fasse la moindre mention favorable à leur égard.
Bagdad
ou Baghdad est la capitale de l’Irak et de la province de Bagdad.
Elle est située au centre-est du pays et est bordée par le Tigre.
Avec une aire urbaine comprenant une population estimée à 7
millions d’habitants, c’est la plus grande ville d’Irak ainsi
que la 2e ville la plus peuplée du monde arabe et du Moyen-Orient.
C'est
un carrefour de communications aériennes, routières et ferroviaires
d'une grande importance stratégique pour ce pays.
Les
origines de la ville remontent au moins au VIIIe siècle et
probablement aux périodes préislamiques. C'est la capitale de
l'empire abbasside à partir du VIIIe siècle et un centre de
culture et de connaissance très important pendant des siècles,
jusqu’au milieu du XIIIe siècle. Ses habitants s'appellent
les Bagdadis.
L’origine
du nom « Bagdad » et sa signification sont disputées :
Il est communément admis que Baga data signifie « don »,
« grâce » ou « cité de Dieu » en persan
antique, la haute estime des Abbassides pour la culture persane
pourrait expliquer l’adoption d’un nom d'origine perse pour la
capitale d’un califat arabe.
Cependant,
l’étymon Assyro-Araméen « Forteresse de l’Aigle » a
également été proposé.
Ce
nom est à l’origine du mot baldaquin, qui désigne d’abord la
soie de Bagdad (Baldac ou Baudac au Moyen Âge), puis une tenture de
lit.
La
ville est également surnommée Madīnat as-Salām (la cité de la
paix), Madīnat al-Anwār (la cité des Lumières), ʿĀsimat
ad-Dunyā (la capitale ou centre du monde) la ville ronde et la ville
d’Al Mansour.
Bagdad
se trouve sur les rives du Tigre qui est sa première source d'eau, à
l'endroit où celui-ci se rapproche le plus de l'Euphrate, distant
d'une trentaine de kilomètres à l'ouest de la ville. Le Tigre
partage d'ailleurs la ville en deux parties :
- Rusafa, regroupe les cinq districts de la rive Est
- Karkh, rassemble les quatre districts de la rive Ouest.
Le
terrain sur lequel la ville est construite est d'origine alluvial.
Plat et de faible altitude il est la proie à de nombreuses
inondations périodiques.
Considérée
sous l'aspect géopolitique et hydrologique, la Mésopotamie regroupe
deux pays, l'Irak et la Syrie. La caractéristique du bassin
Mésopotamien réside en l'origine éloignée de ses eaux fluviales,
qui prennent leur source dans les montagnes Turques et Iraniennes.
La
situation géographique de l'Irak le rend vulnérable puisqu'il est
encerclé par des pays (Turquie, Syrie, Iran) capables de lui couper
son approvisionnement en eau.
Le
climat de Bagdad est celui de l'une des plus chaudes régions du
monde pendant l'été surtout quand le vent du Golfe Persique souffle
(on atteint environ 45 °C en juillet).
Le
Bagdad des Abbassides est une ville ronde de 4 kilomètres de
diamètre avec 4 portes : Bab Echam, Bab Khorassane, Bab Bassora
et Bab Al Koufa. Elle est protégée par un fossé de 20 mètres de
large et une double enceinte circulaire. Le palais, la mosquée et
les casernes se trouvent au centre, tandis que la ville constitue un
anneau entre les 2 remparts.
La
ville a un dôme vert, de 48,36 mètres de haut, construit sur
le palais, dominant la ville. Ce dôme qui a fait la gloire de Bagdad
se serait effondré en 941 à cause de la foudre. La ville ne tarde
pas à s'agrandir et donc à perdre sa forme ronde originelle. Au
Moyen Âge, les voyageurs Européens confondent Bagdad avec Babylone.
À cette époque, elle est formée de deux grandes parties :
- La ville ronde d'al-Mansur sur la rive ouest du Tigre ;
- La ville fortifiée par Al-Mustazhir en 1095, à l'est.
En
1221, le calife An-Nasir rénove les fortifications auxquelles il
flanque des bastions. Une seule porte est encore conservée :
Bab al-Wastani dont la tour mesure 14,5 mètres de haut pour une
circonférence de 56 mètres11...
C'est
à Bagdad qu'est fondée en 832 la plus ancienne Maison de la sagesse
(Bayt al-hikma), sous le règne d'Al-Mamun. C'est un établissement
particulièrement actif, spécialisé dans la traduction d'ouvrages
en grec, pehlevi et syriaque. Des savants y viennent de tout l'empire
abbasside, facilitant l'introduction de la science Perse, Grecque et
Indienne dans le monde arabo-musulman de cette époque.
Astronomes,
mathématiciens, penseurs, lettrés, traducteurs, la fréquentent, et
parmi eux, al-Khwarizmi, Al Jahiz, al Kindi, Al-Hajjaj ibn Yusuf ibn
Matar et Thābit ibn Qurra.
Elle
devient la plaque tournante du grand commerce :
- Ports du golfe Persique (Ubullah, port de Bassora ou Sirâf) vers l'Inde (épices, pierres précieuses), la Chine (soie), le Yémen (parfums) et l'Afrique orientale (bois précieux, ivoire, or).
- Route de la soie par l'Asie centrale.
- Routes terrestres vers les Bulgares de la Volga, le monde Scandinave (peaux et fourrures), Constantinople, l'Occident chrétien, le Soudan…
Bagdad
importe également des esclaves (Slaves, Turcs, Africains, Européens)
des matières premières (bois de construction, fer) et les
exportent (l'alun) et des produits artisanaux (tissus, objets de
verre et de métal, entre autres).
Certains
historiens de la démographie considèrent Bagdad comme la première
ville au monde à avoir atteint une population d'1 million
d'habitants entre les VIIIe siècle et IXe siècle (la
capitale Chinoise Chang'an (Xi’an), terminus de la Route de la
soie, est également une très grande ville à cette époque).
Affaiblie
par des troubles politiques, sa place de « ville la plus
peuplée au monde » lui est probablement ravie par Cordoue au
Xe siècle. On estime la population de l'ancienne « capitale »
des Francs, Aix-la-Chapelle, à environ 10 000 habitants à la
même époque.
Le
déclin de Bagdad s'amorce lorsqu'elle est ravagée par les Mongols
de Houlagou Khan en 1258, après un siège de 20 jours du 20 janvier
jusqu'au 10 février, épisode de la Bataille de Bagdad.
La
ville tout entière est désarmée et sa population est massacrée.
Le Bayt al-Hikma, ou maison de la sagesse, est pillé et son contenu
jeté dans le Tigre : Traités philosophiques, livres d'art, de
poésie et d'histoire, ouvrages scientifiques et mathématiques, la
richesse intellectuelle de plusieurs siècles. On dit que quand le
pillage mongol prend fin, le Tigre est noir d'encre.
La
bataille de Bagdad marque également la fin des Abbassides en Irak
quand le calife Al-Musta'sim est tué par les envahisseurs.
La
ville est de nouveau ravagée par Tamerlan en 1410, puis par les
Ottomans (Soliman le Magnifique) en 1534, se révolte contre eux en
1623, soutient un long siège, elle n'est prise qu'en 1638, par
Mourad IV... Ce siège qui dure 39 jours et mobilise des dizaines de
milliers d'hommes a eu un retentissement jusqu'en France, puisqu'il
apparaît dans le premier numéro de la Gazette de Théophraste
Renaudot...
Les
Qarmates ou (rarement) Karmates sont un courant dissident du chiisme
ismaélien refusant de reconnaître le fatimide Ubayd Allah al-Mahdî
comme imam, actifs surtout au Xe siècle en Irak, Syrie,
Palestine et dans la région de Bahreïn où ils fondent un état
(~903-1077) aux prétentions égalitaires (mais néanmoins
esclavagiste) parfois qualifié de communiste, qui contrôle pendant
un siècle la côte d’Oman. Il y a des Qarmates dans toutes les
régions atteintes par les missions ismaélites : Yémen, Sind,
Khorasan, Transoxiane, Afrique du Nord Maghreb.
Ils
entreprennent contre les Abbassides, puis contre les Fatimides, des
excursions militaires (dont le sac de la Mecque et Médine en 930)
qui leur valent une réputation de guerriers redoutables.
L’ismaélisme
des Qarmates, probablement influencé par le mazdakisme, se distingue
par son messianisme, son millénarisme et le radicalisme de sa
contestation de l’inégalité sociale entre les hommes libres et de
l’ordre religieux exotérique (profane).
Louis
Massignon voit dans la propagande Qarmate la source première du
thème des 3 imposteurs. Le terme de Qarmate a été appliqué avec
une connotation péjorative à l’ensemble des ismaéliens par
certains auteurs opposés à ce courant.
Hamdan
Qarmat Ibn al-Ach'ath (ḥamdān qarmaṭ al-aša de qui le mouvement
tire son nom, est un ismaélien originaire de Koufa (???- entre 891
et 906) dans l’actuel Irak. Le surnom « Qarmat »
pourrait venir du terme karmitha (ou karmutha), « villageois »,
propre à la région et est peut-être d’origine non-arabe.
L’interprétation
arabophone le rapproche du verbe qarmata « marcher avec des pas
rapprochés », il a aussi été envisagé qu’il pourrait
s’agir d’un surnom Araméen (« jambes courtes » ou
« yeux rouges »). Selon la tradition, c'est un laboureur
révolté contre les injustices sociales de l’empire abbasside,
converti à l’ismaélisme en 874 par le dai (missionnaire) Hussain
al-Ahwazi À la mort de ce dernier, il reprend sa mission avec pour
assistants son beau-frère Abdan bin al-Rabit, qui rédige leurs
premiers textes, et Zikrawayh bin Muhrawayh. Il prêche avec un
succès certain dans la région de Koufa.
Entre
886 et 894, il envoie Abû sa`yid al-Jannabi (???-913) en mission
vers le Yémen et Bahreïn, futur siège de l’État Qarmate.
Communiquant avec le centre du mouvement ismaélien uniquement par
lettres, et du fait de la culture du secret entretenue par la crainte
de la répression abbasside, c'est vers 890 seulement qu’il a
connaissance des prétentions d’al-Mahdi à l’imâmat, qu’il
refuse d’accepter.
Il
disparaît peu après lors d’un voyage vers Kalwadha près de
Bagdad dont il ne revient pas. Son beau-frère Abdan est assassiné
en 899 à l’instigation de Zikrawayh qui feint un temps la fidélité
au premier des Fatimides, avant de prendre contre lui la tête des
troupes Qarmates.
Après
la mort d’Abdan, son neveu Isa bin Musa prend la tête des troupes,
il sera défait par le général abbasside Harun bin Gharib.
Zikrawayh
prend alors le pouvoir et envoie ses 3 fils Yahya, Hussain et Ali en
Syrie où ils s’emparent de Homs, Alep et Hama, et marchent en 902
vers As-Salamiya près de Hama où réside al-Mahdî, qui s’échappe.
Ils
font le sac de la ville, massacrant 1 500 hôtes du calife. Les
forces abbassides viennent à la rescousse, Yahya et Ali meurent au
combat et Hussain est exécuté à Bagdad. Zikrawayh marche alors sur
Koufa et prend Bassorah.
Il
conçoit le projet de se déployer entre ces 2 villes en vue
d’intercepter les caravanes revenant du pèlerinage de La Mecque.
Les premières parviennent à s’échapper, mais les villages qui
les ont aidées sont détruits.
Les
suivantes sont prises, et les rares témoins restants racontent
l’attaque. Averties du danger, les dernières caravanes décident
d'attendre l’aide des troupes abbassides. Les Qarmates bouchent
alors les puits, puis massacrent 20 000 des voyageurs assoiffés.
Une partie du trésor des Toulounides, qui a été confié à ces
caravanes dans l'espoir qu'il serait en sûreté, tombe entre leurs
mains.
En
907, Zikrawayh menace Bagdad. Al-Muktafi envoie contre lui le général
Turc Wasifà à la tête d’une grande armée. Après 2 jours de
combat, le chef Qarmate est pris et meurt de ses blessures au cours
du voyage vers Bagdad, la foule de la ville salue avec satisfaction
l'arrivée de son cadavre.
Son
armée est poursuivie en Syrie et détruite par Al-Husayn ben Hamdan.
Ainsi prennent fin les premières guerres des Qarmates en Syrie et en
Irak. D’autres expéditions en provenance de Bahreïn seront
entreprises à la fin du Xe siècle.
Outre
Zikrawayh, un autre meneur appelé « l’homme à la chamelle »
attaque Damas il est tué pendant l’assaut.
Un
autre encore, se prétendant Mahdî, sème la terreur dans une partie
de la Syrie il est exécuté par les abbassides en 904.
Al-Muktafi
— Wikipédia
fr.wikipedia.org/wiki/Al-Muktafi
En
902, des qarmates, sous le commandement de Zikrawayh ont conquis
quelques villes du Nord de la Syrie (Alep, Homs, Hama). Le calife
abbasside les a ...
892
— Wikipédia
fr.wikipedia.org/wiki/892
Cette
page concerne l'année 892 du calendrier julien. Sommaire. [masquer].
1 Événements. 1.1 Proche-Orient; 1.2 Europe. 2 Naissances en 892; 3
Décès en ...
Événements
- Naissances en 892 - Décès en 892 - Notes
et références
Le
vendredi : ni un shabbat, ni un dimanche musulman
www.saphirnews.com/Le-vendredi-ni-un-shabbat-ni-un-dimanche-musul...
14
déc. 2012 - ... à travers le monde, c'est à l'origine une pratique
religieuse juive – le shabbat – ... sous le règne du calife
al-Mu'tadid (892-902), de deux jours de fermeture .... Le 25 novembre
dernier, après plus de deux années d'attente, ...
Calendrier
persan - xtofwiki - Christophe Ducamp
christopheducamp.com/wiki/index.php?title=Calendrier_persan
Les
années sont comptées à partir de l'hégire, soit l'an 622 du
calendrier julien ... Les califes arabes al-Mutawakkil (847-861) et
al-Mu'tadid (892-902) ...
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