dimanche 16 novembre 2014

LA GRANDE GUERRE AU JOUR LE JOUR 2 NOVEMBRE 1914


2 NOVEMBRE 1914

I)
S’il y a une puissance méditerranéenne par excellence, c’est l’Empire Ottoman, du moins dans le passé, puisque au cours du XIXe siècle, il a perdu toute l’Afrique du Nord depuis l’Algérie jusqu’à l’Égypte, la Tripolitaine lui a été enlevée par l’Italie en 1912.
Il avait perdu également l’essentiel de ses territoires Balkaniques en bordure de la Méditerranée, depuis longtemps redevenus Grecs, et à la suite des guerres Balkaniques de 1912-1913, la Macédoine.
Il ne lui restait que la Thrace. L’Empire Ottoman est encore cependant une puissance méditerranéenne par le contrôle des détroits entre mer Égée et mer Noire, par les côtes de l’Anatolie et par celles de ses possessions arabes, la Syrie et la Palestine.
Cela ne justifie pas sa participation à une guerre entre les grandes puissances Européennes... Les alliés occidentaux, France et Royaume-Uni, n’ont aucun intérêt à ce que la Turquie participe au conflit, la Russie non plus.
Ce n’est pas le cas de l’Allemagne pour qui le fait d’avoir la Turquie à ses côtés dans la guerre est une écharde dans le flanc de la Russie, obligée de détourner une partie de ses forces du front principal contre l’Allemagne et l’Autriche-Hongrie pour protéger le Caucase.
C’'est également rendre plus difficiles les relations au proche Orient, mais les Ottomans ont-ils un intérêt quelconque à faire le jeu de l’Allemagne ? Certainement pas, dans la mesure où ils sortent épuisés des désastreuses guerres Balkaniques et qu’il ont toutes raisons de respecter une phase de recueillement.
Néanmoins, depuis 1908, et surtout depuis 1913, l’Empire est en fait entre les mains des « Jeunes Turcs », C’est un groupement assez disparate, d’esprit moderniste, libéral et national, comprenant des avocats, des journalistes, et beaucoup de jeunes officiers.
Son organisme dirigeant, le Comité Union et Progrès, dont plusieurs membres importants sont originaires de Salonique qui vient justement d’être conquise par les Grecs, veut moderniser l’Empire, mais il souhaite aussi en faire un véritable état national, un État Turc, ce qui est d’autant plus possible qu’il a perdu tous ses territoires Balkaniques.
Certes les régions arabes qu’il possède ne sont pas Turques, elles sont au moins musulmanes.
Une seule région est étrangère au monde musulman, c’est l’Arménie qui est chrétienne... Une partie des Jeunes Turcs estime au surplus que pour compenser la perte irrémédiable des Balkans, il faut réunir à la Turquie les populations Turques qui se trouvent dans le Caucase Russe ou en Asie centrale également Russe.
Comme la Russie a joué un rôle non négligeable dans les déboires Turcs dans les Balkans, ce serait une « honnête » compensation.
À vrai dire, ce rêve pan-Touranien (Touran, terme qui dans le passé désigne les steppes d’Asie Centrale) n’est pas celui de tous les dirigeants Jeunes Turcs, très réservés en général envers ces projets, mais il est porté par quelques-uns d’entre eux et en particulier par Enver Pacha, ministre de la Guerre.
En outre, Enver Pacha est un grand admirateur de l’Allemagne, il y a été attaché militaire et il est probablement le plus populaire des dirigeants Jeunes Turcs.
Dans la réalité, ce n'est qu’un trio de dirigeants Jeunes Turcs qui, pendant cette période, va véritablement conduire la Turquie et de façon dictatoriale : Enver Pacha, ministre de la Guerre, 33 ans en 1914,
Djemal Pacha, ministre de la Marine, (qui était à moitié Grec) 41 ans
Talaat Pacha, ministre de l’Intérieur, 42 ans.
Ils ne sont cependant pas d’accord entre eux sur l’attitude à avoir envers la guerre. Si Enver Pacha penche vers l’Allemagne, Djemal Pacha est plutôt pour l’Entente et le troisième ne dit rien. Par des manœuvres tortueuses, Enver Pacha parvient à imposer à ses collègues la signature le 2 juillet 1914 d’un traité d’alliance militaire avec l’Allemagne contre la Russie.
Lorsque deux navires de guerre Allemands, le Goeben et le Breslau poursuivis par les flottes alliées viennent se réfugier dans les détroits, ils deviennent Turcs après avoir été achetés fictivement... Leur chef, l’amiral Allemand Wilhelm Souchon, est nommé commandant de la flotte Turque dans la mer Noire.
Il reçoit l’ordre d’aller bombarder les ports Russes. À la suite de cette agression, le 2 novembre 1914, la Russie, suivie par la France et l’Angleterre le 5, déclare la guerre à la Turquie... Il a souvent été dit que cette évolution est d’autant plus logique que la Turquie est déjà dans les mains Allemandes avant le déclenchement du conflit, ce n’est pas exact : Les investissements Français et Britanniques étaient plus importants que les investissements Allemands, malgré le bruit fait autour de la ligne de chemin de fer construite par les Allemands, le « Berliner, Byzance, Bagdad » (BBB).
En revanche, il est vrai que depuis 1913 la réorganisation de l’armée Turque a été confiée à une importante mission Allemande commandée par le général Liman von Sanders (curieusement probablement l’un des seuls généraux Allemands d’origine juive), qui a reçu le titre d’Inspecteur général de l’armée Turque. Il ne faut pas non plus exagérer dans ce domaine une emprise Allemande mal supportée par de nombreux officiers Turcs.
Quoi qu’il en soit, la Turquie se trouve dans une guerre où elle n’a rien à faire et il va s’ensuivre pour elle une série exceptionnelle de catastrophes et de crimes.
Dans un premier temps, cela ne concerne pas la Méditerranée, Enver Pacha vient prendre le commandement de la troisième armée Turque à Erzerum, à proximité de la frontière Russe, flanqué tout de même d’un chef d’État-Major Allemand, le général von Schellendorf.
En raison du terrain montagneux et de la rigueur du climat, il aurait fallu attendre le printemps pour engager une offensive, mais poussé par les Allemands qui souhaitent obliger les Russes à détourner une partie de leurs forces du front Polonais, Enver Pacha accepte, sans plus attendre, de commencer à réaliser son rêve et engage une campagne d’hiver. Toutefois, dans une longue bataille du 22 décembre 1914 au 15 janvier 1915, autour de Sarikamisch, à proximité de Kars, les Turcs sont finalement écrasés. Sur 90 000 hommes engagés, seulement 12 000 en réchappent.
Sans moyens de transport, sans possibilité de recevoir les équipements nécessaires, en d’autres termes sans une logistique qu’interdit l’état arriéré du pays, les armées Turques sont incapables de mener une opération offensive, même face à la Russie, certes techniquement en retard par rapport aux pays occidentaux, mais, on l’oublie souvent, en plein développement économique à la veille de 1914.
La défaite Turque dans le Caucase va provoquer un des grands crimes de l’histoire. La guerre se déroule en territoire Arménien ou à proximité. Les Arméniens apparaissent d’autant plus comme une minorité hostile qu’à la suite des défaites Balkaniques, mises à part les populations arabes, mais de même religion, les Arméniens sont, dans le monde Turc, comme nous l’avons dit, le seul élément allogène ethniquement et religieusement… Il est en outre utile de trouver un bouc émissaire à la défaite.
Ce n’est pas la première fois que les Turcs, aidés volontiers par les Kurdes, massacrent les Arméniens. C’est ainsi que dans les années 1894-1896, la répression d’un mouvement national Arménien, assez faible au demeurant, a fait 100 000 victimes...
Mais là, c’est la totalité de la population Arménienne qui est visée.
L’ordre du massacre donné par le gouvernement « Jeune Turc », s’il a existé, n’a jamais été retrouvé, mais les faits sont là. Accusés de complicité avec les Russes, les Arméniens commencent à être massacrés dans la région de Van au mois d’avril 1915. Leur extermination se poursuit ensuite de deux façons, soit par le massacre sur place, soit lors de la déportation vers des régions désertiques.
Sauf ceux qui fuient, soit vers la Russie, soit plus tard en plusieurs étapes vers les pays d’Europe Occidentale ou l’Amérique du Nord, plus d’un million d’Arméniens (au moins) sont ainsi tués. C’est le premier « génocide » de l’histoire contemporaine (et qui dans une certaine mesure sert de modèle à celui des Juifs par le nazisme).
Après l’écroulement des ambitions Caucasiennes, la guerre va ensuite se détourner vers la Méditerranée. L’initiative en revient aux Alliés.
Dés la fin de 1914, un certain nombre de chefs militaires ou de responsables politiques alliés, alors qu’a débuté la guerre de tranchées, se rendent compte combien il est difficile d’enfoncer les positions ennemies, d’où l’idée d’aller combattre ailleurs.
C'est principalement une idée Britannique et surtout du premier lord de l’Amirauté (ministre de la Marine), Winston Churchill, qui se fait le protagoniste le plus ardent d’une action périphérique, après quelques hésitations visant à mettre hors jeu l’Empire Ottoman.
Inutile de dire que les chefs militaires du front occidental Joffre pour la France, avec l’idée supplémentaire qu’il n’est pas imaginable de se détourner de la libération du sol national, et French pour le Royaume-Uni sont tout à fait opposés à une opération dont ils voient mal à quoi elle sert et risque de leur retirer des troupes dont ils ont tant besoin. Ceci explique que l’opération prévue doit être surtout maritime et qu’elle a pour objectif d’atteindre Constantinople en forçant le passage des détroits.

II)
Progrès :
Dans l'Aisne, en Argonne et dans les Vosges
Paris, 2 novembre, 0h50
Le communiqué officiel du 1er novembre, 23h dit :
De Belgique, aucun renseignement nouveau… Au cours de la journée, nous avons repoussé de violentes attaques de l'ennemi dans les environs de Lihons, Le Quesnoy-en-Santerre, Vailly-sur-Aisne et le bois de Grurie dans l'Argonne.
Au nord de Souain, nous avons continué à progresser légèrement.
Dans les Vosges, notre offensive nous a rendus maîtres des hauteurs voisines de Sainte-Marie.
LES FUSILIERS MARINS
L'effort Allemand s'accentue sur tout le front, c'est un échec, aussi bien en Belgique que dans le Nord, dans l'Aisne que dans l'Argonne et en Lorraine.
Bordeaux, 2 novembre, 15h à notre gauche :
L'offensive Allemande a continué, hier, avec la même violence, en Belgique et dans le nord de la France, particulièrement entre Dixmude et la Lys.
Dans cette région, malgré les attaques et les contre-attaques des Allemands, nous avons légèrement progressé sur presque tout le front, sauf au village de Messines, dont une partie a été reperdue par les troupes alliées.
L'ennemi a tenté un gros effort contre les faubourgs d'Arras, mais il a échoué. De même contre Lihons et le Quesnoy-en Santerre.

Au centre :
Dans la région de l'Aisne, nous avons légèrement progressé vers Tracy-le-Val, au nord de la forêt de Laigle, ainsi que sur certaines parties de la rive droite de l'Aisne, entre cette forêt et Soissons.
En avant de Vailly, une attaque dirigée contre celles de nos troupes qui tiennent les hauteurs de la rive droite a également échoué, il en a été de même pour plusieurs attaques de nuit sur les hauteurs du Chemin-des-Dames.
Dans la région de Reims, entre Argonne et Meuse, ainsi que sur les Hauts-de-Meuse, on a constaté hier une recrudescence d'activité de l'artillerie lourde Allemande, dont le bombardement n'a pas donné de résultat appréciable.

A notre aile droite
Une reconnaissance offensive de l'ennemi sur Nomeny a été repoussée.

Dans les Vosges
Outre que nous avons repris les hauteurs qui dominent le col de Saint-Marie, nous avons progressé dans la région du Ban-de-Sapt, où nous occupons les positions d'où l'artillerie ennemie bombardait la ville de Saint-Dié.
LE MAIRE DE CANNES ET SES COMPAGNONS
III)
Barbière, 2 novembre 1914
Je réponds à ta lettre qui m’a fait plaisir de savoir de tes nouvelles, que tu soies toujours en bonne santé, que tu n’aies pas vu Jules quand il a passé à Paris. Je lui ai écris ces jours ci et à François, il m’a rien répondu encore. Je ne sais pas s’il l'a reçue, surtout maintenant qu’on les reçoit très difficilement. C’est comme les deux que tu m’as envoyées, je n'ai reçu que la seconde, la première doit avoir pris un autre chemin, elle ne s’est pas retrouvée en cours de route. Le temps commençait à me durer... tu ne me répondais pas. La seconde n'a mis que deux jours pour venir ici. J’ai reçu des nouvelles des vieux hier, ils me disent qu’ils ont beaucoup à faire en ce moment, qu’ils sont ennuyés, qu'ils ne reçoivent pas des nouvelles souvent, surtout de toi. Écris un peu plus souvent à toute la famille, ça fait toujours plaisir de recevoir des nouvelles surtout en ce moment-ci.
Tu sais le moment s’approche pour nous. On part d’Albertville peut-être mardi. Si je passe à Paris, je tâcherai de te le faire dire si je peux. On nous a vaccinés samedi passé. Tu parles si ça nous a fait mal. Ils nous ont piqués à 3 centimètres de profondeur. Ça nous a foutu la fièvre, on a été malades toute la nuit comme des chiens. On ne pouvais pas se remuer de place, ça fait qu’on a eu 3 jours de repos.
Tu m’as demandé une photo, mais je me suis pas encore fait photographier. J’attends de retourner à Albertville, ça sera plus commode. Je les ferai envoyer chez les parents. Alors, ils vous en enverront bien une au moins pour souvenir en cas que je reste avec les boches.
Nous allons nous diriger en Alsace ou bien en Belgique parce que il y a deux compagnies qui vont dans le nord et deux dans les Vosges. Ma foi on n’aura pas trop chaud cet hiver dans les tranchées, surtout quand elles sont pleines d’eau, mais on tâchera [au] moins de [ne] pas se faire dégringoler et de dégringoler les boches. Je t’assure quand je les viserai qu’ils tourneront les yeux, mais ce qui nous fait plaisir, c’est qu’ils reculent fort en ce moment. Il doit déjà en avoir de crevé de ces salauds, on les tiendra peut-être bien une fois.
Ma foi, je ne trouve plus rien à te dire pour le moment, ton frère qui t’embrasse bien fort.
Pichon Antoine, jeune soldat au 22 chasseurs alpins 12ème compagnie Albertville, Savoie.
Je ne regrette pas de partir de Barbière parce que c’est un sale pays. On n’en n’a trop (?), il y a trop de la boue.
IV)
Belgique
  • Accalmie sur le front de l’Yser où les Allemands semblent renoncer à percer les lignes alliées.
  • Poursuite en Belgique du voyage du président de la République Raymond Poincaré, et rencontre avec le roi des Belges, Albert Ier : revue conjointe des troupes à Furnes.
Empire ottoman
Déclaration de guerre de la Russie et de la Serbie à l’Empire Ottoman.
V)
Les Allemands continuant leurs attaques autour d'Ypres ont été partout repoussés par nos troupes. Ils n'ont pas été plus heureux dans la région de la Lys, ni dans l'Argonne. Mais nous avons remporté quelques avantages au nord-est de Reims et dans les Vosges. Dans la dernière semaine écoulée, près de 8.000 prisonniers ennemis ont été internés chez nous.

La rupture est consommée entre La Triple Entente et la Turquie. Les trois ambassadeurs de Russie, d'Angleterre et de France à Constantinople, M.de Giers, sir Louis Mallet et M. Bompard ont demandé leurs passeports et ont quitté la capitale Ottomane. L'Angleterre a publié un long exposé où elle énumère les provocations commises par la Turquie à l'adresse de la Triple Entente et en particulier les préparatifs accomplis par Enver bey à la frontière d’Égypte.

Une crise ministérielle a éclaté en Italie. Le ministre du Trésor, M. Robini, en démissionnant, a entraîné la démission du cabinet tout entier. Un nouveau ministère se reconstitue sur des bases élargies. M. Sonnino y prend, dit-on,le portefeuille des Affaires étrangères.

Les Russes continuent à marcher sur tout le front de Pologne, faisant chaque jour de nouveaux prisonniers. En Prusse Orientale, ils ont détruit plusieurs régiments Allemands détachés des garnisons de Koenigsberg et de Dantzig.
Les Monténégrins ont fait sauter l'un des forts de Cattaro.

Le Journal de Maine-et-Loire (72 JO 118) nous offre cette semaine une nouvelle vision de la guerre. La Triple Alliance agrandit ses rangs avec la Turquie qui s’engage dans le conflit mondial. La guerre qu’on savait féroce sur terre devient aussi maritime. Les deux camps adverses s’affrontent sur les mers et subissent de chaque côté des dégâts importants.

VI)
 L'EMPEREUR GUILLAUME
En lien avec la fête de la Toussaint célébrée ce dimanche 1er novembre 1914, un cortège se forme à Angers. Organisé par la municipalité, ce cortège veut rendre hommage aux soldats Français et Anglais morts au champ d’honneur. De nombreuses personnalités sont présentes pour l’occasion : Le maire, le préfet, les généraux d’Ormesson et Tétard, des députés et sénateurs.
Des membres de la Croix Rouge sont venus ainsi que des officiers Anglais et Français accompagnés des soldats de garnison. Le cortège se rend d’abord au cimetière de l’Est « où les tombes des 59 soldats disparaissent sous les couronnes et les fleurs ». Il s’arrête ensuite pour saluer le monument des victimes de la catastrophe du pont de la Basse-Chaine puis il se dirige vers le cimetière de l’Ouest où sont enterrés des soldats de l’armée Britannique. À cette occasion, le préfet « a fait un éloquent éloge de nos alliés, salué leurs soldats tombés glorieusement à côté des nôtres au champ d’honneur et dit que la terre d’Anjou est fière d’abriter les restes de ces héros ».  
Une autre cérémonie patriotique a lieu aussi dans la ville de Saumur « avec une affluence énorme sur les tombes de soldats morts pour la Patrie en 1870-1871 et en 1914 ». 



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Novembre 1914 - La Vie en Lorraine (1/3) - blamont.info
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La Vie en Lorraine René Mercier Edition de "l'Est républicain" (Nancy) Date d'édition : 1914-1915. La Grande Guerre LA VIE EN LORRAINE NOVEMBRE 1914
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