jeudi 2 mars 2017

EN REMONTANT LE TEMPS...124

 
29 DÉCEMBRE 2016...

Cette page concerne l'année 124 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !

ÉLEUSIS SES CULTES ET SES MYSTÈRES.

Dans la religion grecque antique, les Mystères d’Éleusis (en grec : Ἐλευσίνια Μυστήρια) font partie d'un culte à mystères, de nature ésotérique, effectué dans le temple de Déméter (Cérès) à Éleusis (à 20 km à l'ouest d'Athènes). Au cours de leur évolution, les mystères d'Éleusis se sont ouverts d'abord à tous les Grecs, puis à tout homme ou femme, libre ou esclave, parlant grec.
L'initiation comporte plusieurs degrés.
Ces mystères sont traditionnellement consacrés non seulement à Déméter et à sa fille Perséphone, mais aussi à Hadès, divinités de la terre et des morts, ainsi qu'à Dionysos sous son nom favori d'Iacchos auquel il a été assimilé, Dionysos est en effet intimement mêlé à la vie de la terre et de la végétation, et dans les rituels des Anthestéries et les fêtes des Halôa en Attique, il est associé aux divinités proprement chtoniennes.

Les mystères d'Éleusis représentent une des formes les plus élevées de la spiritualité grecque, et leur fortune a été considérable durant des siècles, dans l'ensemble du monde antique.
Selon la mythologie grecque, Hadès enlève Perséphone, au cours d'une cueillette de fleurs dans les prairies d'Enna (Sicile), pour l'épouser et en faire la reine des Enfers... Les cultures cessent de croître dans les champs alors que Déméter parcourt le monde à la recherche de sa fille.
Un jour, alors qu'elle erre sur les terres de Grèce sous les traits d'une vieille mendiante, elle entre dans la cité d'Éleusis et demande l'hospitalité. Le roi du pays l'accueille avec une grande générosité et, en reconnaissance, la déesse dévoile sa véritable identité récompensant ses bienfaiteurs : Elle leur dévoile ses mystères et la maîtrise de l'agriculture, et les princes d'Éleusis sont dès lors chargés d'administrer son culte.

Par la suite, Déméter retrouve Perséphone qui ne peut être entièrement libérée des Enfers, puisque ceux qui mangent la nourriture des morts ne peuvent retourner chez les vivants et que Perséphone a mangé 7 pépins de la grenade (fruit associé au mariage) offerte par Hadès.
Zeus décrète toutefois que Perséphone passera la moitié de l'année sur terre (durant la saison des cultures) avec sa mère et le reste de l'année (l'hiver) en compagnie d'Hadès...

L'origine historique des mystères d'Éleusis est très ancienne : Ils sont sans doute venus de Crète à l'époque préhellénique, sans qu'il soit possible pour autant d'affirmer que tout soit Crétois à Éleusis, et sans exclure non plus des enrichissements Achéens et Helléniques, car à Éleusis tout est composite, le nom même d'Éleusis (Ἐλευσίς) doit être rapproché du nom de la ville Crétoise d'Éleutherna, de Ἠλύσια et de Εἰλείθυια, celui des divinités laisse aussi entrevoir leur origine préhellénique : Le nom de Perséphone, dans ses diverses formes (Περσεφόνη, Φερσεφόνεια, Φερέφαττα, Πηρίφονα), présente des alternances qu'on ne peut expliquer d'après le système des langues indo-européennes.
Le nom de Déméter comprend un premier élément d'origine préhellénique δᾶ dans ses diverses formes (Δαμάτηρ, Δαμμάτηρ, Δωμάτηρ, Δηώ, Δωίς) qui pourrait bien correspondre au grec γᾶ / γῆ, Terre .
On peut donc imaginer à Éleusis un culte rustique rendu à ces 2 déesses primitivement anonymes, et qui serait la continuation des rites agraires de la Crète Minoenne.

La cité d'Éleusis, à l'origine indépendante, finit par être englobée dans le synœcisme d'Athènes à une date qu'on ne peut indiquer avec précision, et cette intégration facilite le développement des mystères en les rendant assez vite panhelléniques.
Devenus une fête religieuse de l'État Athénien, les mystères sont alors dirigés par l'archonte-roi et un corps de 4 épimélètes (prendre soin) élus par l’ecclésia, 2 issus du peuple Athénien, et 2 des grandes familles nobles d'Éleusis, les Eumolpides et les Céryces. Le monopole de l'initiation est en effet probablement détenu d'abord par les membres de ces familles aristocratiques et sacerdotales, qui conservent toujours la surveillance du culte et l'intendance du temple. L'existence de promotions et de grades au sein de l'initiation est précisément une survivance des anciens cadres issus de ces familles nobles qui fondent ainsi leur autorité individuelle. Mais du moins la société religieuse cesse ensuite de se recruter dans un groupe social préétabli.

Les mystères d'Éleusis apparaissent ainsi comme la synthèse entre la tradition de rites secrets et des éléments d'une religion populaire et paysanne, issue d'un culte agraire : En attestent les fêtes des Éleusinia, restées assez primitives, et le rattachement, à la religion éleusinienne, des Thesmophories et des Halôa.
Dans cet héritage d'une vieille religion paysanne, une nouveauté importante apparaît à Éleusis : La promesse d'immortalité l'initiation élève à une éminente dignité elle a donc pour effet de créer une société d'élus.
L'idée d'immortalité s'oriente ainsi dans un sens individualiste, ce qui signifie qu'un privilège aristocratique se démocratise :

« Heureux celui des hommes qui a vu ces choses, mais celui qui n'a pas eu part aux sacrements, celui-là n'a pas un sort égal dans les ténèbres de la mort. »
— Hymne à Déméter, vers 480 à 482.

Les pratiques immortalisant ont été un ancien privilège aristocratique, dont l'épisode de Démophon garde le souvenir, communiquer ce privilège de princes à chaque initié représente bien une démocratisation des vertus religieuses.
Les mystères, qui ne sont pas d'emblée accessibles à tous, s'ouvrent finalement aux riches et aux pauvres, aux hommes libres comme aux esclaves, aux hommes et aux femmes.
Quiconque est capable de moduler exactement les formules rituelles en grec et n’a pas commis d’homicide peut être admis à participer aux rituels.
Seuls les Barbares en sont exclus, en souvenir des guerres Médiques, mais cette interdiction ne doit sans doute plus être en vigueur après les conquêtes d'Alexandre le Grand.

Cicéron dit qu'à son époque les mystères d'Éleusis exercent leur attrait jusqu'aux confins les plus reculés du monde.
La plupart des empereurs Romains se font d'ailleurs initier à ces mystères, et Hadrien reçoit même en cette année 124 les 2 degrés de l'initiation.

SCÈNES D'INITIATION
L’Hymne homérique à Déméter, qui retient seulement d'antiques légendes sur la formation du culte éleusinien, est la principale source de données sur les rituels. Les rituels des mystères sont toujours accomplis par les prêtres de Déméter.
Parmi les plus connus d'entre eux, on retrouve Céléos et son fils Triptolème, à qui Déméter a donné la tâche d'enseigner l'agriculture et de semer le blé sur Terre.
Ce prêtre a aussi institué les Éleusinies, fêtes associées au culte. Parmi les autres premiers prêtres se trouvent Dioclès, Eumolpos et Polyxène. On célébre le culte dans le télestérion d'Éleusis.
L'aspect principal de ce culte se construit autour de la culture du blé et le cycle vie entreposage–semis–renaissance des cultures.

Tous les initiés préservent les secrets de la religion et croient qu'ils connaîtront eux aussi une vie après la mort grâce à leur initiation à ces mystères... Comme la divulgation des rites est strictement défendue et qu’aucun auteur n’a trahi ce secret, aucun écrit ne documente avec précision les cérémonies.

Il existe 2 célébrations des mystères d’Éleusis : Les Grands mystères et les Petits mystères. Ces derniers ont généralement lieu au printemps, du 19 au 21 du mois d'Anthestérion, c'est-à-dire en février, et se déroulent non pas à Éleusis mais Athènes dans le faubourg d'Agra, sous la présidence de l'hiérophante et de l'archonte-roi.
Il est possible qu'à l'origine les mystères d'Agra soient indépendants, et qu'Athènes ait eu intérêt à les relier à ceux d'Éleusis.
Ces Petits Mystères représentent un préliminaire obligatoire. Un délai de 6 mois est requis avant l'initiation aux Grands Mystères... Les rites de cette préparation sont mal connus, seul un texte de Stéphane de Byzance évoque une imitation de l'histoire de Dionysos.

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Les Grands mystères durent 9 jours, d’après la durée de l’errance de Déméter à la recherche de sa fille.
En septembre, avant l’automne, le 19e jour du mois Boédromion, on se prépare aux cérémonies préliminaires qui se déroulent à l’extérieur et qui sont donc mieux documentées. Avant l'initiation proprement dite, le myste doit procéder, dans un acte individuel et non collectif, aux rites de purification destinés à le laver de toutes ses souillures, c'est-à-dire sans doute baptême et sacrifice d'un porcelet.
La première partie du rituel débute par le départ des éphèbes qui quittent Athènes pour Éleusis le 13 du mois Boédromion, et qui reviennent le lendemain, ramenant les objets sacrés, les ἱερά / hiéra, cachés dans les corbeilles.
La prêtresse d'Athéna reçoit ces reliques sacrées dans l'Éleusinion, un sanctuaire au pied de l'Acropole.

Le 15 est consacré au rassemblement (ἀγυρμός) des mystes au Portique Pœcile : Ils reçoivent les instructions données par les mystagogues, et le hiérokéryx proclame (πρόρρησις) les cas d'interdiction.
Les mystères sont interdits aux meurtriers et aux sacrilèges dont les mains sont souillées, et à ceux qui, affligés d'un défaut physique, sont de ce fait incapables de moduler correctement les formules rituelles.

Le 16 de Boédromion est le jour de la lustration générale, au cri de : « À la mer, les mystes » (ἅλαδε μύσται). Les mystes (candidats dignes des mystères) se plongent dans la mer pour se purifier avant de procéder au sacrifice purificatoire d'un porcelet.
Les deux journées suivantes sont consacrées à une période de jeûne et de retraite.

Le 19, commence la grande procession solennelle des mystes qui suivent la statue d'Iacchos, les hiéra et les prêtres en direction d’Éleusis, le long de la Voie sacrée.
Le cortège fait quelques haltes :
MYSTÈRES D’ÉLEUSIS
Au pont du Céphise, des spectateurs attroupés lancent aux mystes brocards et lazzi, survivance sans doute d'un vieux rite destiné à écarter le mauvais œil. Aux portes d'Éleusis, le cortège passe devant le palais de Crocôn, l'ancêtre d'une autre famille sacerdotale, et les mystes entourent alors leur main droite et leur jambe gauche avec des bandelettes couleur de safran (en grec ancien κρόκος). On arrive à Éleusis vers le soir, toutes torches allumées.
C'est alors qu'a lieu, autour du puits Kallichoros, la cérémonie de la danse aux flambeaux, dite de l’Eikas / εἰκάς, ou « cérémonie du 20e jour », en hommage à Iacchos.

Au cours des journées des 20, 21, 22 Boédromion, ont lieu les rites secrets de l'initiation proprement dite, dont certains détails nous sont connus grâce aux nombreuses allusions rapportées par plusieurs auteurs.
Dans l'enceinte sacrée du péribole, le prêtre sacrifie solennellement à Déméter et à Korè.

Le 21, dans le télestérion, le hall des initiations, après avoir rompu le jeûne en consommant le κυκεών / kykéôn, une boisson à base de lait de chèvre, de menthe et d'épices (celle-là même qui, jadis a restauré la déesse éperdue), les mystes se déclarent inféodés à Déméter en prononçant la fameuse formule (σύνθημα) conservée par Clément d'Alexandrie :

[« ἐνήστευσα, ἔπιον τὸν κυκεῶνα, ἔλαβον ἐκ κίστης, ἐργασάμενος ἀπεθέμην εἰς κάλαθον καὶ ἐκ καλάθου εἰς κίστην. »
« J'ai jeûné, j'ai bu le kykéon, j'ai pris dans le panier et, après avoir travaillé, j'ai déposé dans la corbeille, puis, reprenant de la corbeille, j'ai replacé dans le panier. »]

De nombreux érudits ont forgé des hypothèses pour rendre compte du sens de ces rites secrets, en les expliquant tantôt par la consommation d'une portion de gâteaux, tantôt par la manipulation de simulacres d'organes génitaux, considérée comme un charme magique de rite de fécondité. Les secrets du monde inférieur sont révélés aux mystes, secrets peut-être accompagnés de visions ou d'apparitions tantôt effrayantes, tantôt rassurantes. Puis, les épis de blé sont consacrés, les mystes reçoivent des révélations des initiés et accèdent au salut et à la vie après la mort.

Ces accédants sont : Les nouveaux candidats à l'initiation qui participent aux mystères pour la première fois, des mystes initiés y retournant une seconde fois pour passer à un niveau supérieur, des époptes (ἐπόπτης) qui sont passés au plus haut degré d'initiation, et des prêtres qui président aux rites.
Parmi ceux qui dirigent la cérémonie, on trouve 4 ministres :
Le premier dignitaire est le hiérophante Eumolpide, prêtre qui révèle les choses sacrées, choisi à vie, il a la surveillance des objets sacrés, les ἱερά qui sont la propriété de sa famille, et qu'on transporte d'Athènes à Éleusis lors de la grande procession.
Il a aussi la garde des lois non-écrites du sanctuaire dont il est le seul exégète. La prêtresse de Déméter, également désignée à vie, issue de la famille sacerdotale des Philleides, égale en dignité avec l'hiérophante.
Son second en dignité, le dadouque, est le chef des hérauts sacrés, des porteurs de flambeaux, et à ce titre porte la double torche pendant la veillée sacrée le hiérokéryx / ἱεροκῆρυξ, présent pendant toute l'initiation, il doit faire respecter le silence religieux. Il y a aussi un Assistant (dont le costume symbolise la lune), et des prêtresses.

L'archonte-roi d'Athènes est le surintendant de la cérémonie, assisté par une multitude de prêtres subalternes répartis en différentes classes.
Le mystagogue (μυσταγωγός), l'introducteur, a pour fonction de faire entrer le myste dans un monde social et spirituel nouveau, car la société des initiés forme une société de purs, de saints, des ὅσιοι.
Ce qui se passe pendant l’initiation aux mystères doit rester secret : Cette loi du silence, prescrite aux initiés, est mentionnée dans l’Hymne à Déméter qui évoque « les beaux rites, les rites augustes qu'il est impossible de transgresser, de pénétrer, ni de divulguer » mais nous en savons quelque chose par les allusions des auteurs antiques...

D'après Aristote, on ne dispense pas aux futurs initiés un enseignement proprement dit ni un corps de doctrines, mais l'initiation consiste à éveiller chez eux des sentiments et un état d'âme : « Les initiés n'ont pas à apprendre, mais à recevoir des impressions et à être mis dans certaines dispositions, après y avoir été convenablement préparés. »
Des chrétiens, notamment Clément d'Alexandrie dans son Discours aux Gentils, ou encore Arnobe, Théodoret, et Saint Hippolyte en ont parlé de façon polémique mais, comme le souligne l'helléniste Fernand Robert, leurs critiques n’auraient eu aucun impact si elles ne reflétait la réalité.

Les procédures rituelles sont à la fois de purification, d'introduction et de consécration. Elles sont essentiellement lustratoires, par le sacrifice du cochon de lait et l'emploi de la peau de bélier (Διὸς κῲδιον).
Le cérémonial mystique d'Éleusis implique des rites comprenant la prononciation de certaines paroles.
La communion que représente l'absorption du kykéon (ou cycéon) vise à produire une consécration individuelle.
Cette formule s'accompagne de l’accomplissement de certains gestes, un des points culminants de l'initiation consiste dans le geste du hiérophante, présentant un épi de blé nouvellement moissonné. Parmi les objets du culte figure le plateau à godets éleusinien appelé κέρνος / kernos, le même que celui trouvé dans les fouilles de Crète, et qui souligne l'origine Crétoise du culte des représentations liturgiques évoquant la légende de Déméter et Coré impliquent la figuration les hiérogamies, le mariage sacré entre le hiérophante et une prêtresse, car qui dit mystères, dit union sexuelle avec la divinité.

Certains auteurs contemporains ont supposé l'idée d'une consommation contrôlée de grains de blé fermentés ou contaminés par l'ergot de seigle préparée par les convertis, aux mystères.
Le carpophore de l'ergot de seigle contient un hallucinogène proche dans sa nature de celui du LSD, l'acide amide lysergique, c'est d'ailleurs en travaillant à l'élaboration de médicaments ayant les mêmes propriétés médicales que l'ergot (Ergotamine, Ergométrine...), qu'Albert Hofmann l'a découvert par erreur et en absorbé accidentellement une infime quantité...

On peut voir sur les gravures relatant les mystères d'Éleusis ou en rapport avec eux, des représentations de personnages sacrés portant à la main des gerbes de blé ou de seigle parasités par le champignon de l'ergot. Certains ethnobotanistes pensent alors au fameux Soma des chamanes du Nord et indo-asiatiques.
Walter Burkert rejette cette hypothèse d'abord du fait de l'absence de preuves, ensuite parce que l'intoxication par l'ergot de seigle est décrite comme un état déplaisant et non euphorique, aussi parce que les initiations impliquent des milliers de participants et s'accordent mal avec l'expérience individuelle et isolante que l'on constate dans la prise de drogue.
Les Éleusinies ou « mystères d'Éleusis » sont une fête en l’honneur de la déesse Déméter (Cérès) qu'on célèbre tous les 4 ans chez les Céléens et Phliasiens, et tous les ans chez les Phénéasiens, les Lacédémoniens, Parrhasiens et Crétois, mais plus spécialement chez les Athéniens à Eleusis, ville d'Attique, d'où ils sont transférés par Adrien à Rome. ils subsistent jusqu'au règne de Théodose Ier, empereur Romain de 379 à 395 de notre ère.
Pendant ces 9 jours, il est interdit, les tribunaux sont fermés, les affaires suspendues. C'est un crime, puni de mort, de présenter une requête dans le temple d'Eleusis. Une loi formelle défend aux femmes, même de haut rang, de se faire mener au temple dans des chariots, et la peine de cette prévarication est une amende considérable.
RUINES DU TEMPLE D’ÉLEUSIS
Après chaque célébration des mystères, l'Archonte, préside l'Héliée ou un tribunal d'initiés, constitué d’une assemblée des prêtres (Eumolpides et Kéryces) pour examiner les exactions commises pendant les cérémonies. (Lire le « discours sur les mystères » d’Andocide où il est accusé d’avoir déposé un rameau sur l’autel pendant cette période).


Mystères d'Éleusis — Wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Mystères_d'Éleusis
Dans la religion grecque antique, les Mystères d'Éleusis (en grec : Ἐλευσίνια Μυστήρια) faisaient partie d'un culte à mystères, de nature ésotérique, effectué ...
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Les mystère d'Éleusis - Persée
www.persee.fr/doc/jds_0021-8103_1915_num_13_2_4333
de F Cumont - ‎1915 - ‎Cité 1 fois - ‎Autres articles
Les mystères d'Eleusis ont occupé une si grande place dans la vie religieuse d'Athènes d'abord, puis de tout l'hellénisme, que nécessairement ils ont depuis .

les mystères d'Eleusis - Arcana les Mystères du Monde
www.arcanum-revelation.com/2016/08/les-mysteres-d-eleusis.html
24 août 2016 - Les mystères d'Éleusis se déroulaient alors en deux parties : Au printemps avaient lieu "les petits mystères" - rites préliminaires non frappés ...

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