Cette
page concerne l'année 124 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
ÉLEUSIS SES CULTES ET SES MYSTÈRES.
Dans
la religion grecque antique, les Mystères d’Éleusis (en grec :
Ἐλευσίνια Μυστήρια) font
partie d'un culte à mystères, de nature ésotérique, effectué
dans le temple de Déméter (Cérès) à Éleusis (à 20 km à
l'ouest d'Athènes). Au cours de leur évolution, les mystères
d'Éleusis se sont ouverts d'abord à tous les Grecs, puis à tout
homme ou femme, libre ou esclave, parlant grec.
L'initiation
comporte plusieurs degrés.
Ces
mystères sont traditionnellement consacrés non seulement à Déméter
et à sa fille Perséphone, mais aussi à Hadès, divinités de la
terre et des morts, ainsi qu'à Dionysos sous son nom favori
d'Iacchos auquel il a été assimilé, Dionysos est en effet
intimement mêlé à la vie de la terre et de la végétation, et
dans les rituels des Anthestéries et les fêtes des Halôa en
Attique, il est associé aux divinités proprement chtoniennes.
Les
mystères d'Éleusis représentent une des formes les plus élevées
de la spiritualité grecque, et leur fortune a été considérable
durant des siècles, dans l'ensemble du monde antique.
Selon
la mythologie grecque, Hadès enlève Perséphone, au cours d'une
cueillette de fleurs dans les prairies d'Enna (Sicile), pour
l'épouser et en faire la reine des Enfers... Les cultures cessent de
croître dans les champs alors que Déméter parcourt le monde à la
recherche de sa fille.
Un
jour, alors qu'elle erre sur les terres de Grèce sous les traits
d'une vieille mendiante, elle entre dans la cité d'Éleusis et
demande l'hospitalité. Le roi du pays l'accueille avec une grande
générosité et, en reconnaissance, la déesse dévoile sa véritable
identité récompensant ses bienfaiteurs : Elle leur dévoile
ses mystères et la maîtrise de l'agriculture, et les princes
d'Éleusis sont dès lors chargés d'administrer son culte.
Par
la suite, Déméter retrouve Perséphone qui ne peut être
entièrement libérée des Enfers, puisque ceux qui mangent la
nourriture des morts ne peuvent retourner chez les vivants et que
Perséphone a mangé 7 pépins de la grenade (fruit associé au
mariage) offerte par Hadès.
Zeus
décrète toutefois que Perséphone passera la moitié de l'année
sur terre (durant la saison des cultures) avec sa mère et le reste
de l'année (l'hiver) en compagnie d'Hadès...
L'origine historique des mystères d'Éleusis est très ancienne : Ils sont sans doute venus de Crète à l'époque préhellénique, sans qu'il soit possible pour autant d'affirmer que tout soit Crétois à Éleusis, et sans exclure non plus des enrichissements Achéens et Helléniques, car à Éleusis tout est composite, le nom même d'Éleusis (Ἐλευσίς) doit être rapproché du nom de la ville Crétoise d'Éleutherna, de Ἠλύσια et de Εἰλείθυια, celui des divinités laisse aussi entrevoir leur origine préhellénique : Le nom de Perséphone, dans ses diverses formes (Περσεφόνη, Φερσεφόνεια, Φερέφαττα, Πηρίφονα), présente des alternances qu'on ne peut expliquer d'après le système des langues indo-européennes.
Le
nom de Déméter comprend un premier élément d'origine
préhellénique δᾶ dans ses diverses
formes (Δαμάτηρ, Δαμμάτηρ,
Δωμάτηρ, Δηώ,
Δωίς) qui pourrait bien correspondre
au grec γᾶ / γῆ, Terre .
On
peut donc imaginer à Éleusis un culte rustique rendu à ces 2
déesses primitivement anonymes, et qui serait la continuation des
rites agraires de la Crète Minoenne.
La
cité d'Éleusis, à l'origine indépendante, finit par être
englobée dans le synœcisme d'Athènes à une date qu'on ne peut
indiquer avec précision, et cette intégration facilite le
développement des mystères en les rendant assez vite
panhelléniques.
Devenus
une fête religieuse de l'État Athénien, les mystères sont alors
dirigés par l'archonte-roi et un corps de 4 épimélètes (prendre
soin) élus par l’ecclésia, 2 issus du peuple Athénien, et 2 des
grandes familles nobles d'Éleusis, les Eumolpides et les Céryces.
Le monopole de l'initiation est en effet probablement détenu d'abord
par les membres de ces familles aristocratiques et sacerdotales, qui
conservent toujours la surveillance du culte et l'intendance du
temple. L'existence de promotions et de grades au sein de
l'initiation est précisément une survivance des anciens cadres
issus de ces familles nobles qui fondent ainsi leur autorité
individuelle. Mais du moins la société religieuse cesse ensuite de
se recruter dans un groupe social préétabli.
Les
mystères d'Éleusis apparaissent ainsi comme la synthèse entre la
tradition de rites secrets et des éléments d'une religion populaire
et paysanne, issue d'un culte agraire : En attestent les fêtes
des Éleusinia, restées assez primitives, et le rattachement, à la
religion éleusinienne, des Thesmophories et des Halôa.
Dans
cet héritage d'une vieille religion paysanne, une nouveauté
importante apparaît à Éleusis : La promesse d'immortalité
l'initiation élève à une éminente dignité elle a donc pour effet
de créer une société d'élus.
L'idée
d'immortalité s'oriente ainsi dans un sens individualiste, ce qui
signifie qu'un privilège aristocratique se démocratise :
« Heureux
celui des hommes qui a vu ces choses, mais celui qui n'a pas eu part
aux sacrements, celui-là n'a pas un sort égal dans les ténèbres
de la mort. »
— Hymne
à Déméter, vers 480 à 482.
Les
pratiques immortalisant ont été un ancien privilège
aristocratique, dont l'épisode de Démophon garde le souvenir,
communiquer ce privilège de princes à chaque initié représente
bien une démocratisation des vertus religieuses.
Les
mystères, qui ne sont pas d'emblée accessibles à tous, s'ouvrent
finalement aux riches et aux pauvres, aux hommes libres comme aux
esclaves, aux hommes et aux femmes.
Quiconque
est capable de moduler exactement les formules rituelles en grec et
n’a pas commis d’homicide peut être admis à participer aux
rituels.
Seuls
les Barbares en sont exclus, en souvenir des guerres Médiques, mais
cette interdiction ne doit sans doute plus être en vigueur après
les conquêtes d'Alexandre le Grand.
Cicéron
dit qu'à son époque les mystères d'Éleusis exercent leur attrait
jusqu'aux confins les plus reculés du monde.
La
plupart des empereurs Romains se font d'ailleurs initier à ces
mystères, et Hadrien reçoit même en cette année 124 les 2 degrés de l'initiation.
SCÈNES D'INITIATION |
Parmi
les plus connus d'entre eux, on retrouve Céléos et son fils
Triptolème, à qui Déméter a donné la tâche d'enseigner
l'agriculture et de semer le blé sur Terre.
Ce
prêtre a aussi institué les Éleusinies, fêtes associées au
culte. Parmi les autres premiers prêtres se trouvent Dioclès,
Eumolpos et Polyxène. On célébre le culte dans le télestérion
d'Éleusis.
L'aspect
principal de ce culte se construit autour de la culture du blé et le
cycle vie entreposage–semis–renaissance des cultures.
Tous
les initiés préservent les secrets de la religion et croient qu'ils
connaîtront eux aussi une vie après la mort grâce à leur
initiation à ces mystères... Comme la divulgation des rites est
strictement défendue et qu’aucun auteur n’a trahi ce secret,
aucun écrit ne documente avec précision les cérémonies.
Il
existe 2 célébrations des mystères d’Éleusis : Les Grands
mystères et les Petits mystères. Ces derniers ont généralement
lieu au printemps, du 19 au 21 du mois d'Anthestérion, c'est-à-dire
en février, et se déroulent non pas à Éleusis mais Athènes dans
le faubourg d'Agra, sous la présidence de l'hiérophante et de
l'archonte-roi.
Il
est possible qu'à l'origine les mystères d'Agra soient
indépendants, et qu'Athènes ait eu intérêt à les relier à ceux
d'Éleusis.
Ces
Petits Mystères représentent un préliminaire obligatoire. Un délai
de 6 mois est requis avant l'initiation aux Grands Mystères... Les
rites de cette préparation sont mal connus, seul un texte de
Stéphane de Byzance évoque une imitation de l'histoire de Dionysos.
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En
septembre, avant l’automne, le 19e jour du mois Boédromion,
on se prépare aux cérémonies préliminaires qui se déroulent à
l’extérieur et qui sont donc mieux documentées. Avant
l'initiation proprement dite, le myste doit procéder, dans un acte
individuel et non collectif, aux rites de purification destinés à
le laver de toutes ses souillures, c'est-à-dire sans doute baptême
et sacrifice d'un porcelet.
La
première partie du rituel débute par le départ des éphèbes qui
quittent Athènes pour Éleusis le 13 du mois Boédromion, et qui
reviennent le lendemain, ramenant les objets sacrés, les ἱερά
/ hiéra, cachés dans les corbeilles.
La
prêtresse d'Athéna reçoit ces reliques sacrées dans l'Éleusinion,
un sanctuaire au pied de l'Acropole.
Le
15 est consacré au rassemblement (ἀγυρμός)
des mystes au Portique Pœcile : Ils reçoivent les instructions
données par les mystagogues, et le hiérokéryx proclame (πρόρρησις)
les cas d'interdiction.
Les
mystères sont interdits aux meurtriers et aux sacrilèges dont les
mains sont souillées, et à ceux qui, affligés d'un défaut
physique, sont de ce fait incapables de moduler correctement les
formules rituelles.
Le
16 de Boédromion est le jour de la lustration générale, au cri
de : « À la mer, les mystes » (ἅλαδε
μύσται). Les mystes (candidats dignes des mystères) se
plongent dans la mer pour se purifier avant de procéder au sacrifice
purificatoire d'un porcelet.
Le
19, commence la grande procession solennelle des mystes qui suivent
la statue d'Iacchos, les hiéra et les prêtres en direction
d’Éleusis, le long de la Voie sacrée.
Le
cortège fait quelques haltes :
MYSTÈRES D’ÉLEUSIS |
C'est
alors qu'a lieu, autour du puits Kallichoros, la cérémonie de la
danse aux flambeaux, dite de l’Eikas / εἰκάς,
ou « cérémonie du 20e jour », en hommage à Iacchos.
Au
cours des journées des 20, 21, 22 Boédromion, ont lieu les rites
secrets de l'initiation proprement dite, dont certains détails nous
sont connus grâce aux nombreuses allusions rapportées par plusieurs
auteurs.
Dans
l'enceinte sacrée du péribole, le prêtre sacrifie solennellement à
Déméter et à Korè.
Le
21, dans le télestérion, le hall des initiations, après avoir
rompu le jeûne en consommant le κυκεών
/ kykéôn, une boisson à base de lait de chèvre, de menthe et
d'épices (celle-là même qui, jadis a restauré la déesse
éperdue), les mystes se déclarent inféodés à Déméter en
prononçant la fameuse formule (σύνθημα)
conservée par Clément d'Alexandrie :
[« ἐνήστευσα,
ἔπιον τὸν κυκεῶνα, ἔλαβον ἐκ κίστης,
ἐργασάμενος ἀπεθέμην εἰς κάλαθον καὶ
ἐκ καλάθου εἰς κίστην. »
« J'ai
jeûné, j'ai bu le kykéon, j'ai pris dans le panier et, après
avoir travaillé, j'ai déposé dans la corbeille, puis, reprenant de
la corbeille, j'ai replacé dans le panier. »]
De
nombreux érudits ont forgé des hypothèses pour rendre compte du
sens de ces rites secrets, en les expliquant tantôt par la
consommation d'une portion de gâteaux, tantôt par la manipulation
de simulacres d'organes génitaux, considérée comme un charme
magique de rite de fécondité. Les secrets du monde inférieur sont
révélés aux mystes, secrets peut-être accompagnés de visions ou
d'apparitions tantôt effrayantes, tantôt rassurantes. Puis, les
épis de blé sont consacrés, les mystes reçoivent des révélations
des initiés et accèdent au salut et à la vie après la mort.
Ces
accédants sont : Les nouveaux candidats à l'initiation qui
participent aux mystères pour la première fois, des mystes initiés
y retournant une seconde fois pour passer à un niveau supérieur,
des époptes (ἐπόπτης) qui sont
passés au plus haut degré d'initiation, et des prêtres qui
président aux rites.
Parmi
ceux qui dirigent la cérémonie, on trouve 4 ministres :
Le
premier dignitaire est le hiérophante Eumolpide, prêtre qui révèle
les choses sacrées, choisi à vie, il a la surveillance des objets
sacrés, les ἱερά qui sont la
propriété de sa famille, et qu'on transporte d'Athènes à Éleusis
lors de la grande procession.
Il
a aussi la garde des lois non-écrites du sanctuaire dont il est le
seul exégète. La prêtresse de Déméter, également désignée à
vie, issue de la famille sacerdotale des Philleides, égale en
dignité avec l'hiérophante.
Son
second en dignité, le dadouque, est le chef des hérauts sacrés,
des porteurs de flambeaux, et à ce titre porte la double torche
pendant la veillée sacrée le hiérokéryx / ἱεροκῆρυξ,
présent pendant toute l'initiation, il doit faire respecter le
silence religieux. Il y a aussi un Assistant (dont le costume
symbolise la lune), et des prêtresses.
L'archonte-roi
d'Athènes est le surintendant de la cérémonie, assisté par une
multitude de prêtres subalternes répartis en différentes
classes.
Le
mystagogue (μυσταγωγός),
l'introducteur, a pour fonction de faire entrer le myste dans un
monde social et spirituel nouveau, car la société des initiés
forme une société de purs, de saints, des ὅσιοι.
Ce
qui se passe pendant l’initiation aux mystères doit rester
secret : Cette loi du silence, prescrite aux initiés, est
mentionnée dans l’Hymne à Déméter qui évoque « les beaux
rites, les rites augustes qu'il est impossible de transgresser, de
pénétrer, ni de divulguer » mais nous en savons quelque chose
par les allusions des auteurs antiques...
D'après
Aristote, on ne dispense pas aux futurs initiés un enseignement
proprement dit ni un corps de doctrines, mais l'initiation consiste à
éveiller chez eux des sentiments et un état d'âme : « Les
initiés n'ont pas à apprendre, mais à recevoir des impressions et
à être mis dans certaines dispositions, après y avoir été
convenablement préparés. »
Des
chrétiens, notamment Clément d'Alexandrie dans son Discours aux
Gentils, ou encore Arnobe, Théodoret, et Saint Hippolyte en ont
parlé de façon polémique mais, comme le souligne l'helléniste
Fernand Robert, leurs critiques n’auraient eu aucun impact si elles
ne reflétait la réalité.
Les
procédures rituelles sont à la fois de purification, d'introduction
et de consécration. Elles sont essentiellement lustratoires, par le
sacrifice du cochon de lait et l'emploi de la peau de bélier (Διὸς
κῲδιον).
Le
cérémonial mystique d'Éleusis implique des rites comprenant la
prononciation de certaines paroles.
La
communion que représente l'absorption du kykéon (ou cycéon) vise à
produire une consécration individuelle.
Cette
formule s'accompagne de l’accomplissement de certains gestes, un
des points culminants de l'initiation consiste dans le geste du
hiérophante, présentant un épi de blé nouvellement moissonné.
Parmi les objets du culte figure le plateau à godets éleusinien
appelé κέρνος / kernos, le même
que celui trouvé dans les fouilles de Crète, et qui souligne
l'origine Crétoise du culte des représentations liturgiques
évoquant la légende de Déméter et Coré impliquent la figuration
les hiérogamies, le mariage sacré entre le hiérophante et une
prêtresse, car qui dit mystères, dit union sexuelle avec la
divinité.
Certains
auteurs contemporains ont supposé l'idée d'une consommation
contrôlée de grains de blé fermentés ou contaminés par l'ergot
de seigle préparée par les convertis, aux mystères.
Le
carpophore de l'ergot de seigle contient un hallucinogène proche
dans sa nature de celui du LSD, l'acide amide lysergique, c'est
d'ailleurs en travaillant à l'élaboration de médicaments ayant les
mêmes propriétés médicales que l'ergot (Ergotamine,
Ergométrine...), qu'Albert Hofmann l'a découvert par erreur et en
absorbé accidentellement une infime quantité...
On
peut voir sur les gravures relatant les mystères d'Éleusis ou en
rapport avec eux, des représentations de personnages sacrés portant
à la main des gerbes de blé ou de seigle parasités par le
champignon de l'ergot. Certains ethnobotanistes pensent alors au
fameux Soma des chamanes du Nord et indo-asiatiques.
Walter
Burkert rejette cette hypothèse d'abord du fait de l'absence de
preuves, ensuite parce que l'intoxication par l'ergot de seigle est
décrite comme un état déplaisant et non euphorique, aussi parce
que les initiations impliquent des milliers de participants et
s'accordent mal avec l'expérience individuelle et isolante que l'on
constate dans la prise de drogue.
Les
Éleusinies ou « mystères d'Éleusis » sont une fête en
l’honneur de la déesse Déméter (Cérès) qu'on célèbre tous
les 4 ans chez les Céléens et Phliasiens, et tous les ans chez les
Phénéasiens, les Lacédémoniens, Parrhasiens et Crétois, mais
plus spécialement chez les Athéniens à Eleusis, ville d'Attique,
d'où ils sont transférés par Adrien à Rome. ils subsistent
jusqu'au règne de Théodose Ier, empereur Romain de 379 à 395 de
notre ère.
Pendant
ces 9 jours, il est interdit, les tribunaux sont fermés, les
affaires suspendues. C'est un crime, puni de mort, de présenter une
requête dans le temple d'Eleusis. Une loi formelle défend aux
femmes, même de haut rang, de se faire mener au temple dans des
chariots, et la peine de cette prévarication est une amende
considérable.
RUINES DU TEMPLE D’ÉLEUSIS |
Mystères
d'Éleusis — Wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Mystères_d'Éleusis
Dans
la religion grecque antique, les Mystères d'Éleusis (en grec :
Ἐλευσίνια Μυστήρια) faisaient partie d'un culte à
mystères, de nature ésotérique, effectué ...
Origines
mythologiques et ... · Le culte des mystères
· Bibliographie · Annexes
Les
mystère d'Éleusis - Persée
www.persee.fr/doc/jds_0021-8103_1915_num_13_2_4333
de
F Cumont - 1915 - Cité 1 fois - Autres articles
Les
mystères d'Eleusis ont occupé une si grande place dans la vie
religieuse d'Athènes d'abord, puis de tout l'hellénisme, que
nécessairement ils ont depuis .
les
mystères d'Eleusis - Arcana les Mystères du Monde
www.arcanum-revelation.com/2016/08/les-mysteres-d-eleusis.html
24
août 2016 - Les mystères d'Éleusis se déroulaient alors en deux
parties : Au printemps avaient lieu "les petits mystères"
- rites préliminaires non frappés ...
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