jeudi 2 mars 2017

EN REMONTANT LE TEMPS... 126

27 DÉCEMBRE 2016...

Cette page concerne l'année 126 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !

DÉCOUVERTES ÉMERGENTES DES TEMPLES DU FORUM ROMAIN


VESPASIEN
Ce temple, élevé en l’honneur de l’Empereur Vespasien divinisé par son fils Titus, n'est pas encore achevé à la mort ce dernier, c’est le frère de Titus, Domitien, qui prend la relève et le termine...

Situé entre le Temple de la Concorde et le Portique des Dii Consentes (les 12 grands Dieux du Panthéon Romain).
Construit derrière le départ des escaliers qui mènent du Forum au Tabularium, espace réduit qui donne une position un peu particulière à l’escalier du temple. Seul reste visible le haut soubassement qui s’appuie sur un mur du Tabularium et qui de ce fait supprime une porte à cet édifice.
Long de 33 m et large de 22, le Temple de Vespasien a un pronaos de 6 colonnes (hexastyle) auquel on accède par un large escalier. Il reste 3 colonnes corinthiennes, avec les restes d’une inscription, à l’angle nord-ouest, de 15 m de hauteur et de 1,57 m de diamètre, ainsi qu’un fragment de frise représentant des instruments de sacrifice.

A l’intérieur et au fond de la cella en marbre s’élève un piédestal destiné à recevoir les statues de Vespasien et de Titus divinisés. Les murs sont sans doute en blocs de travertin.
D’après ce qui subsiste, on peut dire que ces vestiges appartiennent à la construction originelle : Les restaurations de Septime-Sévère et de Caracalla ont dû être assez modestes.
Le Temple de Vespasien a pu être identifié avec certitude grâce à sa dédicace aujourd’hui très fragmentaire mais encore intacte au VIIIe siècle et transcrite par un pèlerin :
« Le temple du divin Vespasien, parfois temple de Vespasien et Titus (en latin : Templum Divi Vespasiani ou Templum Vespasiani et Titia), est un temple Romain situé sur le Forum et dédié au culte impérial de l'empereur Vespasien, déifié par le Sénat peu après sa mort ».

MAQUETTE DU TEMPLE DE VESPASIEN
Le temple occupe l'extrémité nord du côté occidentale du Forum. Il est construit dans un espace exigu le long d'une rue en pente qui monte vers le Capitole (le Clivus Capitolinus), entre le temple de Saturne, le portique des Dieux Conseillers au sud, le temple de la Concorde au nord et le Tabularium à l'ouest.
Les escaliers de ce dernier édifice démarrent immédiatement au nord du temple. Une porte d'accès a été condamnée lors de la construction
Les catalogues régionnaires de Rome, le Curiosum et la Notitia urbis Romae, rédigés vers le milieu du IVe siècle, précisent que le temple est dédié à la fois à Vespasien et à Titus sous la dénomination Templum Vespasiani et Titi. Toutefois, ce concept de double dédicace peut être erronée et semble découler d'une supposition apparue durant l'Antiquité tardive selon laquelle le temple a été dans un premier temps construit en l'honneur de Vespasien, à l'instigation de son fils Titus, puis dans un second temps les travaux ayant été repris par Domitien après le décès de son frère Titus le 13 septembre 81, le temple a été de nouveau dédié mais cette fois en l'honneur de Vespasien et de Titus qui a également été déifié par décret du Sénat... Mais comme le suggère le fait que seul le nom de Vespasien apparaisse sur l'inscription d'origine, il est plus probable que le temple n'ait été dédié qu'au culte de Vespasien.

La construction du temple débute sous Titus peu après la mort de son père Vespasien survenue le 23 juin 79 et le début de la procédure de divinisation, selon une pratique initiée par l'apothéose de Claude. Cette procédure n'est pas immédiate et s'étend sur plusieurs mois, entre septembre 79 et mai 80. Les premières monnaies célébrant l’événement n'apparaissent qu'au début de l'année 80 après avoir été officialisé par le Sénat. Les travaux n'ont donc probablement pas commencé avant la fin de l'année 79 ou le début de l'année suivante. Cette année-là, Rome est touché par un grand incendie qui cause de nombreux dommages nécessitant d'importants travaux, ce qui a sans doute ralenti les travaux de construction du temple voire retardé ces mêmes travaux qui n'ont peut être commencé que quelques mois plus tard, vers 81.

À la mort de Titus, il semble que le temple ne soit pas achevé et se limite à la réalisation d'une plate-forme de fondation en opus caementicium et une partie du podium. Domitien poursuit les travaux, achevés avant 87, date à laquelle le temple est mentionné pour la première fois dans les sources antiques, sur un acte du collège des Frères Arvales qui signale un sacrifice en l'honneur de la déesse Dia se déroulant devant le temple de la Concorde quae est prope templum divi Vespasiania.
Dans cette inscription, le temple sert de nouveau point de référence topographique pour la zone nord-ouest du Forum, ce qui n'est pas le cas sur une inscription datée de février 86. Les travaux ont donc du se terminer entre ces 2 dates. Il s'écoule 7 années entre l'officialisation de la divinisation de Vespasien et l'achèvement des travaux, un délai qui peut s'expliquer d'une part par la mise en route de nombreux chantiers, certains plus importants comme les travaux de restauration du temple de Jupiter Capitolin, et d'autre part à cause des difficultés d'ordre technique. En effet, la localisation du temple nécessite l'aplanissement d'une zone accidentée et un travail dans un espace restreint.

Entre 200 et 205, le temple est restauré par Septime Sévère et Caracalla. La restauration ne semble pas de grande importance puisque de nombreux éléments de l'époque flavienne restent en place mais l'inscription est tout de même complétée d'une ligne supplémentaire sur l'architrave.

Entre le IIIe et le Ve siècle, le temple semble avoir été endommagé lors d'un important incendie comme l'atteste la couche de débris carbonisés, de pierres et de métaux fondus et de fragments de décoration en marbre calcinés qui recouvre le sol de la cella, mise au jour lors de fouilles du début du XIXe siècle. Il est difficile d'être plus précis dans la datation de cet incendie qui pourrait tout aussi bien correspondre à l'incendie de Carin en 283, l'invasion d'Alaric en 410 ou l'occupation de la ville par les Vandales en 455... Malgré un état probablement délabré, le temple ne fait pas partie des édifices restaurés par Théodoric le Grand entre 507 et 518.

Le temple n'est plus mentionné par la suite avant le IXe siècle et le témoignage de l'Anonyme d'Einsiedeln qui retranscrit l'inscription du temple ainsi que celles des temples voisins de Saturne et de la Concorde. À cette époque, le temple semble avoir subi des dégâts importants avec la dégradation et la récupération des éléments de décoration intérieure et extérieure les plus facilement transportables.
RUINES DU TEMPLE DE VESPASIEN

Le temple est gravement endommagé au début du Moyen Âge avec l'écroulement du toit et la construction à proximité de l'église dei SS. Sergio e Bacco, située entre le temple et l'arc de Septime Sévère, sur l'angle gauche du temple de la Concorde.
Cette église est reconstruite et agrandie sous le pontificat d'Adrien Ier entre 772 et 795. Le temple de Vespasien n'est pas démoli mais est inclus dans un des 2 jardins attenants à l'église, l'hortus post Sanctum Sergium.

Au début du XIVe siècle et durant le XVe siècle, le pape Nicolas V fait réaménager le temple en petite forteresse. La représentation la plus ancienne du temple date du début du XVIe siècle avec un croquis publié dans le Codex Escurialensis et correspond en grande partie avec l'état actuel des ruines, à ceci près que le niveau du sol est plus élevé et recouvre la partie inférieure jusqu'aux bases des colonnes.
La zone du temple sert de réserve de marbre durant tout le XVIe siècle, comme l'atteste la mention d'une « carrière de marbre » dans un document de 1579. La destruction de la diaconie dei SS. Sergio e Bacco et le réaménagement de la place du Capitole (Piazza Campidoglio) en marché contribuent à l'ensevelissement des vestiges antiques situés au pied du Tabularium. La partie émergée des ruines ne permet plus d'identifier l'édifice à l'origine comme un temple, tant et si bien que le temple n'est pas mentionné dans les Descriptiones Urbis du XVe et XVIe siècle. Les 3 colonnes sont interprétées comme faisant partie d'un portique.

En 1553, Pirro Ligorio reconnaît néanmoins les vestiges d'un édifice templaire et propose de l'identifier au temple de Jupiter Tonnant sur la base des catalogues régionnaires. Cette hypothèse est mise en doute par Andrea Palladio et Étienne Dupérac qui considèrent que les colonnes font partie d'un portique entourant un temple, ce dernier restant identifié au temple de Jupiter Tonnant jusqu'au XIXe siècle.
FORUM DE ROME
Les ruines sont l'objet de nombreux croquis, dessins et relevés, témoignant de l'intérêt que leur portent les artistes qui apprécient la qualité de la décoration architectonique de l'entablement et des chapiteaux corinthiens.

On assiste au XVIIIe siècle à un renouveau dans l'intérêt porté aux ruines de la Rome antique. De nombreuses fouilles archéologiques sont alors initiées sous l'autorité pontificale.
Entre 1774 et 1780, durant le pontificat de Pie VI, des fouilles de dégagement sont entreprises près de l'arc de Septime Sévère.

Quelques décennies plus tard, en 1802, est émise l'idée d'étendre ces travaux de dégagement jusque sous le Tabularium afin de libérer complètement l'arc de Septime Sévère, le temple de la Concorde et le temple dit « de Jupiter Tonnant » dont les colonnes sont alors enterrées aux deux-tiers.

En 1810, après la nouvelle création de la Commissione per la cura dei monumenti antichi, le projet est relancé et la tâche de dégagement du temple revient à l'architecte Italien Francesco Camporesi qui fait abattre un édifice établi contre les ruines. Camporesi commence par réaliser un sondage le long de la colonne la plus proche du Tabularium afin d'évaluer la solidité des ruines dont certains ont prédit l'écroulement sitôt dégagées.
La structure émergée est consolidée avec des crampons en plomb encore visibles aujourd'hui. À la fin de ses travaux préliminaires, en avril 1812, les 3 colonnes apparaissent entièrement libres. Le retrait du tertre de terre permet la mise au jour de quelques éléments de décoration qui font leur entrée dans les musées du Vatican.
Les enregistrements de certains d'entre eux dans les documents archivés entre 1812 et 1814 font mention de fragments d'une statue féminine, d'un pied de statue fissuré et d'une corniche « provenant du temple de Jupiter Tonnant ». Des fragments de l'entablement sont restaurés et sont aujourd'hui exposés dans une galerie du Tabularium, à laquelle on accède depuis les musées du Capitole.

En mai 1812, les ruines de l'abside de la diaconie dei SS. Sergio e Bacco récemment mis au jour sont entièrement démantelées.

Après une brève pause, les fouilles reprennent au printemps 1817 sous la direction de Carlo Fea. Elles permettent la libération complète du podium et la mise en évidence du plan au sol de l'édifice. L'escalier frontal est partiellement dégagé et les archéologues remarquent sa particularité, plus haut d'un côté que de l'autre, due à l'exiguïté de l'espace de construction et au fort dénivelé de la rue en façade.
Les colonnes, le podium et l'escalier sont renforcés à cette occasion. Le résultat des fouilles archéologiques est documenté par une gravure de Rossini et des relevés plus précis réalisés par les architectes Valadier et Auguste Caristie.
Les archéologues supposent l'existence d'une double rangées de colonnes à l'intérieur de la cella et reconnaissent au temple un plan pseudo-périptère. Toutefois, il est encore difficile de dire si le temple possède 6 ou 8 colonnes en façade.

Une nouvelle campagne de fouilles est programmée en septembre 1827 avec le soutien du pape Léon XII mais ne démarre qu'en novembre 1829 sous la direction de l'archéologue Antonio Nibby.
Cette campagne permet en 1830 le dégagement complet de la cella. Parmi les vestiges mis au jour, on note des fragments de colonnes en marbre giallo antico dont les fûts devaient être ornés de cannelures câblées et un morceau d'architrave portant la mention SACRVM
Aujourd'hui, on peut encore voir le haut soubassement conservé contre un des murs du Tabularium, le centre du podium, une petite partie de la cella et les 3 colonnes corinthiennes redressées du coin sud-est.
Un grand fragment de l'entablement est exposé dans une galerie du Tabularium dès 1827 aux côtés d'une section de l'entablement du temple voisin de la Concorde, reconstitués à partir des fragments mis au jour dans la zone en 1823.
Les autres fragments de la décoration architectonique sont réutilisés pour reconstituer l'entablement porté par les 3 colonnes redressées
Le tempietto de l'église de San Pietro in Montorio sur le Janicule, construit par Bramante, possède une frise dorique dont les métopes sont décorées avec des objets liturgiques chrétiens, inspirée de la décoration de la frise du temple de Vespasien.
À Vienne, Johann Ferdinand Hetzendorf von Hohenberg construit en 1778 une ruine décorative dans les jardins du château de Schönbrunn qui ressemble aux ruines du temple de Vespasien telles que représentées sur une gravure de Piranèse.
Brongniart s'est inspiré du temple pour la construction du Palais Brongniart, la Bourse de Paris jusqu'en 1998.

Le podium est haut de 4,2 mètres. Il est recouvert de marbre et sa base et sa corniche sont ornées de moulures. L'escalier monumental permettant d'accéder au pronaos est construit de façon inhabituelle, un côté étant plus haut que l'autre.
À gauche, la différence de niveau entre le sol du pronaos et la rue est de seulement un mètre et est comblée par quatre marches pour 3 mètres de profondeur. À droite par contre, du côté du temple de la Concorde, la différence de niveau est beaucoup plus élevée et est compensée par une quinzaine de marches pour 4,5 mètres de profondeur. L'état actuel des vestiges ne permet pas de préciser comment l'escalier se raccorde au clivus. Le manque d'espace a également contraint les architectes à décaler l'escalier frontal vers le temple, ainsi les dernières marches se poursuivent derrière l'alignement des colonnes en façade, les dernières marches s'insèrent dans les stylobates des colonnes.

L'entablement est haut de 3,012 mètres, surmonté d'un fronton de 6,15 mètres de haut et 12,85 mètres de large avec un tympan de 1,75 mètres de haut. Il se compose d'une architrave à 3 bandes ornées d'alignements de perles, surmontée d'une frise ornée de reliefs. Au-dessus de la frise, la corniche se compose de lignes de denticules, d'oves et de modillons.
Entre chaque denticule a été inséré un motif en double anneau typique des constructions du règne de Domitien, signature attribuée à l'architecte Rabirius.
DOMICIEN
À l'origine, l'entablement est identique sur tous les côtés du temple, à l'exception de la dédicace originelle placée au centre de la frise en façade. L'entablement est modifié lors de la restauration sévèrienne lorsque l'architrave et la frise en façade sont presque entièrement recouvertes par une plaque épigraphique portant une nouvelle inscription dédicatoire relevée au VIIIe siècle alors que le temple est encore intact par un pèlerin lors de sa visite à Rome. Sa retranscription a été retrouvée dans un document appelé Itinéraire d'Einsiedeln.
DIVO • VESPASIANO • AVGVSTO • S P Q R
IMPP • CAESS • SEVERVS • ET • ANTONINVS • PII • FELIC • AVGG • RESTITVER
« Au divin Vespasien Auguste, le Sénat et le Peuple romain »
« Les empereurs César Sévère et Antonin le Pieux et bienheureux Augustes, ont restauré. »

Sous l'Empire, depuis la dynastie julio-claudienne, les références aux grands sacerdoces deviennent un thème récurrent figurant sur les monuments publics. Il permet d'exprimer la profonde religiosité d'un personnage politique, empereur ou princeps et de souligner la haute dignité du culte impérial. Il s'agit de représenter la pietas, une des principales vertus politiques et civiles romaines.

Entre les bucranes, la série d'instruments et de symboles semble se répéter selon le même ordre tout au long de la frise, chaque série correspondant à un entrecolonnement.
En partant de la gauche, figure d'abord l'apex, appelé aussi albogalerus ou galerus. Il s'agit du couvre-chef porté par les flamines, symbole de ce sacerdoce, unique symbole sacerdotal sur la frise du temple.
Vient ensuite l'aspergillum, ustensile utilisé pour asperger la victime sacrificiel avec l'aqua lustralis durant la cérémonie de lustratio. Il est muni d'une poignée en forme de patte de bovin.
À sa droite est représenté l'urceus, un type bien défini de vase sacrificiel à une anse, destiné à contenir du vin. Il est représenté sur les reliefs d'ornement d'autels dans des scènes de sacrifices en association avec la patera. Le corps du vase porte souvent des figures décoratives comme des motifs végétaux.
Sur la frise du temple, ces figures sont plus complexes et originales avec la représentation d'animaux exotiques. Sous le vase est placé un culter, un type de couteau utilisé lors de sacrifices sanglants d'animaux. Il possède une large lame triangulaire à un seul tranchant avec une poignée étroite décorée sur la frise d'une tête de lion. En haut à sa droite figure une patera com omphalos décorée sur sa face intérieure, rappelant l'aspect d'un fruit ouvert vu de dessus.
L'omphalos central est orné d'une tête de Méduse ou de Zeus Ammon. Enfin, sous la patera et à sa droite, sont visibles la securis et le malleus, une hache et un marteau de type particulier utilisés pour tuer la victime.

La cella, presque carrée, est large de 19 mètres pour 18 mètres de profondeur. Elle est spacieuse et richement décorée. Les murs en travertin sont dissimulés derrière des plaques de marbre. Les murs latéraux sont rythmés d'une série de 6 colonnes de 0,4 mètres de diamètre recouvertes de marbres colorés provenant des provinces Orientales de l'Empire, espacées de 2,25 mètres. Elles sont surélevées par un podium de 1,35 mètres de haut et 0,95 mètres de large recouvert de marbre blanc sur le dessus et de marbre pavonazzetto sur les faces.

Une statue de culte colossale de Vespasien en marbre se dresse sur un piédestal placé dans un édicule large de 9 mètres et profond de 3 mètres qui prend appui contre le mur du fond en opus latericium recouvert de marbres colorés. Les colonnes de l'édicule ont un diamètre de 0,7 mètres et des chapiteaux ornés de victoires et de trophées. Le podium de l'édicule de 6,85 mètres de large et 5,75 mètres de long, sur lequel on peut monter grâce à 2 petits escaliers latéraux, est encore en partie visible aujourd'hui. Seuls des vestiges en marbre et travertin du piédestal et la tête de la statue ont été retrouvés. Les fragments sont aujourd'hui conservées au Musée Nationale de Naples avec les fragments d'une autre statue colossale représentant Titus...

Temple de Vespasien — Wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Temple_de_Vespasien
Le temple du divin Vespasien, parfois temple de Vespasien et Titus (en latin : Templum Divi .... Il s'écoule sept années entre l'officialisation de la divinisation de Vespasien et l'achèvement des travaux, un délai qui peut s'expliquer d'une part ...

Le temple de Vespasien - Templum Diui Vespasiani - Plan de Rome
https://www.unicaen.fr/cireve/rome/pdr_maquette.php?fichier...temple_vespasien
Ce temple fut élevé en l'honneur de l'Empereur Vespasien divinisé par son fils Titus. A la mort de Titus, le temple n'étant pas achevé, c'est le frère de Titus, ...
Termes manquants : année ‎126

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