dimanche 12 mars 2017

EN REMONTANT LE TEMPS...112

10 JANVIER 2017...

Cette page concerne l'année 112 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !

L'OPTIMO PRINCIPI

Trajan est à la tête de l'Empire Romain entre 98 et 117. Pendant son règne, le sénat lui décerne le titre d'Optimo Principi. « le meilleur des Princes ».
3 siècles après sa mort, sa réputation d'empereur idéal est intacte...

A cette époque, alors que l'Empire a radicalement changé, on souhaite à chaque nouvel empereur d'être « felicior Augusto, melior Trajano », c'est-à-dire « plus heureux qu'Auguste, meilleur que Trajan ».

Au XVIIIe siècle, Montesquieu lui-même, dans son ouvrage classique sur les causes de la décadence de l'Empire Romain, est très élogieux : « Nerva adopte Trajan, le prince le plus accompli dont l'histoire ait jamais parlé. C'est un bonheur d'être né sous son règne. Il n'y en a point de si heureux ni de si glorieux pour le peuple Romain.
Grand homme d'état, grand capitaine, ayant un cœur bon qui le porte au bien, un esprit éclairé qui le montre le meilleur, une âme noble, grande, belle, avec toutes les vertus, n'étant extrême sur aucune.
Enfin l'homme le plus propre à honorer la nature humaine, et à représenter la divinité ».

Trajan, malgré cette réputation exceptionnelle, a-t-il vraiment été le meilleur des princes ?
Les sources littéraires de l'histoire de Trajan sont minces. Les commentaires de la guerre des Daces, qui portent le nom de l'empereur mais qui ne sont peut-être pas écrits par lui sont perdus. Aucun des ouvrages des historiens contemporains qui ont raconté l'histoire de son règne n'a survécu. Tacite évoque Trajan occasionnellement. Suétone interrompt sa « Vie des douze Césars » à Domitien.

L'auteur de l'Histoire Auguste, par ailleurs très souvent fantaisiste, a commencé son ouvrage par le récit du règne d'Hadrien, successeur de Trajan.

Dion Cassius écrit dans les années 230. Une longue histoire des empereurs, mais seule une version abrégée de la période de Trajan a survécu.


On trouve également quelques indications dans les textes d'auteurs plus tardifs (IVe siècle), Aurelius Victor et Eutrope, ainsi que des mentions brèves, des allusions, des observations incidentes, dans une vingtaine d'auteurs.

Les écrits de Pline le Jeune, le Panégyrique de Trajan aussi bien que ses lettres constituent la source contemporaine la plus importante. Le Panégyrique est un éloge écrit à la gloire de l'empereur au début de son règne.

Quant au 10e volume des lettres de Pline, également écrites au début du règne, il contient la correspondance de Pline, alors légat impérial en Bithynie, avec l'empereur.
LE FORUM DE TRAJAN
Toutes sortes de problèmes plus ou moins importants y sont évoqués. Malheureusement, peut-être les réponses ont-elles été écrites par la chancellerie impériale, plutôt que de la main de l'empereur lui-même, ce qui n'enlève rien à l'intérêt de ces textes. Cette pauvreté relative des sources littéraires est compensée par la richesse des inscriptions.

Le nom de Trajan est si souvent gravé sur les monuments que dès l'antiquité, il a été surnommé « le pariétaire ». Les monnaies, très nombreuses et riches d'informations de tous ordres, constituent l'une des sources principales de l'histoire de Trajan, auxquelles il faut ajouter l'archéologie monumentale... Trajan en effet a fait construire de grands projets architecturaux, qui éclairent son règne.

La Patrie des Ulpii, la famille de Trajan, est Italica, un municipe d'Espagne Ultérieure ou Bétique (Italica est située près de la Séville moderne). Le père de Trajan fait une carrière militaire réussie, qui lui vaut une belle ascension sociale. Il se distingue notamment en tant que légat de légion sous Vespasien, pendant la Guerre des Juifs. Son action efficace lui vaut d'être nommé consul en 70, avant de devenir gouverneur d'une des plus importantes provinces de l'Empire, sur le plan militaire et stratégique, la Syrie.
Là encore il se distingue face à l'Empire Parthe, l'un des ennemis héréditaires les plus sérieux de Rome. Grâce à ses loyaux services, Trajan père, le premier de sa famille, devient Sénateur à Rome. Il est probablement mort avant 100, au moment où Pline écrit son Panégyrique.

En réponse aux interrogations du gouverneur de Bithynie Pline le Jeune, Trajan établit les principes de la persécution chrétienne. Il explique qu’il n’est pas nécessaire d’enquêter pour découvrir les chrétiens mais qu’il faut néanmoins condamner ceux qui font l’objet de dénonciations régulières.
Ces derniers peuvent toutefois être acquittés s’ils abandonnent publiquement leur religion. Relativement modérée sous l’empereur Trajan, la persécution à l’encontre des chrétiens prendra davantage d’ampleur à la fin du siècle...

L’an 112 est très important pour les chrétiens. Cette année-là, Pline le Jeune, avocat, juriste, érudit, philosophe, est nommé par Trajan, gouverneur de Bithynie, l’ouest de l’actuelle Turquie d’Asie.
Dans le cadre de ses fonctions, il y représente le pouvoir, et il juge, notamment les chrétiens qui sont déférés devant son tribunal. Devant leur nombre croissant, car le christianisme progresse rapidement dans sa juridiction, il est bien embarrassé. Essayant, quelques fois avec succès, de leur faire abjurer leur foi, et de les faire revenir aux cultes officiels.
De sa propre initiative, il a acquitté ces apostats, et il lui semble qu’on peut leur pardonner d’avoir été les tenants de cette religion, qu’il considère, lui, comme une superstition absurde et ridicule. Mais que faire avec ceux qui restent fermes dans leur foi ? Pline connaît la loi : L’appliquer strictement, c’est se préparer à un bain de sang.

Quels sont donc les crimes de ces gens ? Pline se rend compte que leur seul « crime » est d’être des chrétiens. Il envoie alors une lettre à Trajan, dans laquelle il s’en remet à l’empereur, lui demandant de l’éclairer sur la conduite à tenir, et de lui confirmer que jusque-là, il a pris les bonnes décisions, notamment en relâchant ceux qu’il appelle les repentis.
Quand un empereur répond à un magistrat sur une question donnée, on appelle la réponse un rescrit. Ce document a force de loi. Celui de Trajan est très important pour les chrétiens : Pendant tout le IIe siècle, il va déterminer la politique impériale à leur égard.

Dans son rescrit, Trajan écrit ceci : « Mon cher Pline, tu as suivi une bonne ligne de conduite dans l’affaire de ceux qui ont été amenés devant toi comme chrétiens… Il ne faut pas les rechercher, s’ils sont dénoncés et trouvés coupables, il faut les punir, avec cette réserve toutefois que celui qui nie être chrétien et qui le prouve effectivement en adorant nos dieux, si suspect que soit son passé, doit être pardonné à cause de son repentir. Mais les lettres anonymes ne peuvent servir en aucun cas pour une inculpation, ce serait un mauvais exemple, peu digne de notre époque. »

La politique de Trajan, à bien des égards, s'inscrit dans la continuité de celle engagée par Nerva. Sur le plan social, le « meilleur des princes » continue de mettre en œuvre, celles créées par Nerva.

Le forum de Rome se compose d'une grande place bordée d'arcades, dans laquelle on entre par une porte monumentale. Au centre s'élève une statue équestre de Trajan. Face à l'entrée monumentale du forum se trouve l'immense basilique Ulpienne. Derrière la basilique, au centre d'une petite place, se dresse la Colonne Trajane, couverte de bas-reliefs représentant les principaux événements des guerres Daciques et surmontée d'une statue de l'Empereur.

De part et d'autres se trouvent 2 bibliothèques, l'une consacrée aux ouvrages grecs, l'autre aux œuvres latines. Hadrien parachève le Forum de Trajan par la construction d'un temple face à la basilique Ulpienne, où, plus tard, sont déposées les dépouilles de Trajan et de Plotine, son épouse.
Le Forum de Trajan, impressionnant, est entièrement construit à la gloire de l'Empereur. Comme les monnaies, qui représentent tous ces bâtiments, statues, portes et colonnes, sont des œuvres de propagande... Ce meilleur des princes a surtout laissé une image de guerrier. Il a d'ailleurs tout fait pour diffuser ce portrait, en utilisant dans sa propagande en particulier le thème de la fortitudo (le courage), surtout à partir de 112, année où le bellicisme prend le pas.

Nous savons que les armées impériales ont été engagées sur plusieurs fronts : En Afrique, le quartier général est transféré de Tébessa à Lambèse, et l'Aurès est encerclé : Ce mouvement a pour conséquence d'assurer un meilleur contrôle des hautes plaines du Constantinois, riches en blé, l'approvisionnement de Rome est mieux assuré. Cette extension territoriale, qui a parfois échappé aux historiens, ne devrait pas être négligée.

Mais la première grande entreprise du règne, à cet égard, reste la conquête de la Dacie (101-106), menée contre le roi Décébale, qui a humilié Domitien, et restée célèbre grâce à la Colonne Trajane qui la raconte en images (en images sans légendes, ce qui explique les divergences entre archéologues sur les détails).
L'empereur participe en personne aux expéditions. Il se fait seconder par l'architecte Apollodore de Damas qui le conseille pour les travaux. 12 légions, et leurs auxiliaires, sont engagées dans le conflit, soit quelque 120 000 hommes. Les opérations se déroulent en 2 phases, séparées par une trêve.

PLAN DU FORUM
En 101, une première offensive aboutit à la victoire de Tapae et, surtout, au succès qui a peut-être pour cadre le site d'Adam-Klissi (d'où, sans doute, le monument célèbre qui y a été retrouvé). Conscient de sa faiblesse, Décébale accepte une période de paix (102-105) qui lui permet de se renforcer, puis il attaque. Trajan réagit avec énergie. 2 armées se dirigent vers la capitale Dace, Sarmizegetusa, l'une passe par Drobeta, l'autre emprunte la vallée de l'Olt.

Le dernier des Forums Impériaux a suscité de nombreuses recherches. Outre les descriptions antiques incomplètes, le site a été l’objet de « fouilles » au cours des siècles passés, de la Rome des Papes jusqu’à l’Italie des années 1930, entreprises qui n’ont que rarement donné lieu à des relevés scientifiques. Les dessins des artistes de la Renaissance complètent cette documentation.

Si l’archéologie a permis de préciser la topographie de certaines zones, d’autres secteurs, tels que l’entrée du Forum, l’exèdre ouest du forum, les 2 exèdres de la Basilica, la bibliothèque nord-est et le Temple du Divin Trajan n’ont jamais été mis au jour.
En dépit de cette documentation incomplète, des études récentes se sont efforcées de reconstituer tant les structures que les ornements des différentes parties du Forum de Trajan.

La place du forum est pavée de marbre blanc et délimitée au sud-est par un mur en trois pans, au nord-est et au sud-ouest par deux portiques, et au nord-ouest par la façade de la Basilica Ulpia.
Le mur de clôture est prolongé vers le Forum d’Auguste par une galerie permettant, en son centre, l’accès à une cour de plan carrée. Ces découvertes récentes n’empêchent pas les archéologues de ne pas s’entendre sur la totalité des caractéristiques du Forum de Trajan. Les reconstitutions des archéologues Italiens sont en partie contestées par James Packer.
L’aspect originel de la paroi interne du mur sud-est est discuté. Pour Gioia Piazzesi, elle comporte des colonnes en marbre coloré (base et chapiteau en marbre blanc) séparées du mur et qui rythment la paroi, elles supportent une frise où alternent des Amours nés d’acanthes et abreuvant des griffons, et des Amours se tournant le dos et versant un liquide de part et d’autre d’un candélabre.
Les archéologues Italiens s’accordent à placer cette frise sur les redents de la face interne du mur de clôture, à l’identique de la célèbre colonnade du Forum de Nerva et conformément à la vue préservée par certaines monnaies du règne.
James Packer a contesté l’existence des ressauts, les fouilles n’ayant à ses yeux révélé aucune fondation de ce type, et il écarte la présence de la frise d’Amours et griffons à cet emplacement.
Les deux fragments principaux mesurent 1,16 m de hauteur (le second présente un cratère orné d’une scène dionysiaque (2 ménades et un satyre), dimensions qu’il juge excessives pour le mur périmétral : L’ordre architectural devrait atteindre 17,69 m pour l’intégrer de manière harmonieuse, ce qui lui paraît exclu.
Le lieu où il est découvert en 1927 (l’hémicycle des Marchés de Trajan) ne permet pas de trancher quant à sa provenance, d’autant qu’il est fait mention en 1521-1527 d’une frise, avec griffons (aigles ou lions ?) et candélabre, exhumée au lieu-dit Santa Maria di Loreto, au nord-ouest de la colonne Trajane.
Il est donc difficile d’attribuer tel ou tel fragment de frise à telle ou telle architrave.

L’entrée du Forum de Trajan en regard du Forum d’Auguste a été dégagée entre 1998 et 2000. On connaît la mention d’un « arc », dont les blocs ont été dispersés en 1570.
Des fondations de péperin ont été localisées en 1862, au sud de l’exèdre des Marchés de Trajan. Cette situation décalée par rapport à l’axe central du Forum, ajoutée à la modeste dimension des fragments architectoniques, ont fait supposer l’existence d’une entrée centrale et de deux accès secondaires, l’un au sud-est, l’autre au sud-ouest.
Ces théories ont été remises en cause par les fouilles récentes de Roberto Meneghini. Pour en résumer le propos, le mur périmétral serait donc, non pas elliptique mais à 3 pans et débouchant, par l’entrée principale en forme « d’arc », dans une cour-vestibule pavée de marbre blanc, ses portiques (dimensions : 14 × 18 m) sont pavés de marbre de couleur, leurs colonnes sont à fût de cipollino et chapiteau corinthien en marbre blanc de Luni, enfin et à l’identique de la cour entourant la colonne Trajane, une frise de griffons orne leur architrave. Les 2 bras principaux de la cour-vestibule ont une largeur de 5 m environ, et le bras court qui les réunit, seulement 3 m, la partie interne, la cour à proprement parler est plus basse que les portiques d’environ 1,20 m, sans escalier pour y descendre, elle est pavée de marbre portasanta et cipollino.

La fonction de la cour-vestibule est discutée, puisque R. Meneghini a proposé récemment d’en faire l’aboutissement du complexe (en venant du Champ de Mars au nord) cependant la recherche du Temple du Divin Trajan dans cette zone a été vaine : En effet, une inscription en l’honneur de Trajan indique que cette cour-vestibule a été inaugurée du vivant de l’Optimus Princeps : Il semble donc impossible d’y voir le Temple du Divin Trajan, dédié de source sûre par Hadrien et, forcément, après la mort du candidat à la consecratio. Sur ce point, les arguments de James Packer paraissent pertinents.

Enfin, des fouilles plus anciennes ont mis en évidence une ouverture périphérique, à l’extrémité sud-est du portique. Celle-ci ne se prête guère à un traitement monumental. Elle débouche sur 2 annexes proches du Forum, 2 salles couvertes à 2 étages, pavement et décor de marbres de couleur, sans doute réservées à des activités officielles. Ces salles sont adossées au mur périmétral (élevé entre 94 et 108.) qui ceint l’abside du Forum d’Auguste.
La décoration de l’entrée principale, vers la cour-vestibule, est connue par des monnaies. La structure en ressaut décrite précédemment y est ici figurée. La monnaie montre 6 colonnes à chapiteau corinthien détachées du mur de fond et encadrant des niches à tympan ornées de statues (aux détails non discernables), à l’exception bien sûr du passage central.
Au-dessus de ces tympans, sous un haut attique présentant 4 avant-corps secondaires et un avant-corps central.
Enfin, un groupe statuaire présente Trajan dans un char tiré par 6 chevaux, de part et d’autre, des Victoires ornent des trophées. La clé de voûte d’un arc, conservé au Palazzo dei Conservatori, appartenant peut-être à cette entrée monumentale : Elle porte une personnification de Dacia capta.
J. Packer a avancé que l’espace intérieur est peut-être planté de 4 rangées d’arbres : L’hypothèse a été réfutée avec raison. Sur l’axe central, légèrement vers le sud est, se trouve l’equus Traiani mentionné par Ammien Marcellin :

Mais quand il [l’empereur Constance] arrive au Forum de Trajan, monument unique sous tous les cieux, il demeure confondu... Il porte son attention autour de lui, à travers ces constructions gigantesques qui défient la description et que les hommes ne chercheront plus à reproduire. Aussi, renonçant à tout espoir de tenter une œuvre semblable, il déclare que l’imitation du cheval de Trajan, dressé au milieu de la cour d’entrée (in atrii medio) et monté par le prince en personne, est seule dans ses intentions et ses possibilités.
Ce groupe équestre est reproduit sur certaines monnaies .
Trajan pointe une lance vers le sol et tient dans la main gauche une Victoire. D’autres coins montrent en effet Trajan lancé au galop et terrassant une Dace (ou la Dacie ?), reconnaissable à son chignon bas sur la nuque, ou écrasant un Dace pileatus.
Paul Zanker souligne cette incertitude, mais aussi l’opposition entre l’attitude de Trajan tenant une Victoire et celle de Domitien sur l’equus Domitiani, élevé sur le Forum Romanum : L’empereur Flavien y tient une statue de Minerve, ce qui l’assimile, suppose-t-il avec vraisemblance, à Jupiter.

Ce choix marque le forum d’une tonalité particulière. La mise en valeur d’un groupe statuaire sur des axes de vision préférentiels est classique : On songe au char d’Auguste placé devant le temple de Mars Ultor, mais aussi au Galate se suicidant, placé par Attale Ier sur les « corridors de transparence » du sanctuaire d’Athéna Niképhoros à Pergame.
Ici le point focal de la place, situé sur l’axe principal du Forum, montre Trajan en chef militaire, mais sans la violence du combat ou la promesse de violence que comportent, par exemple, les monnaies de profectio où l’empereur, précédé et suivi par des soldats, tenant une lance pointée vers le ciel.
Le Princeps tient la Victoire à la main, mais pointe la lance vers le sol, indice que la paix est revenu, fruit des victoires Daciques. À ce propos, il nous paraît que la reconstitution numérique de Roberto Meneghini, orientant l’equus Traiani dos au portique sud-est, face à la Basilica Ulpia, est sujette à caution et liée à sa volonté d’attribuer au portique septentrional de la colonne Trajane le statut d’entrée principale du complexe. Cela n’est pas en accord avec l’orientation des statues disposées sur les marches de la Basilique, lesquelles font forcément face au sud. Une disposition différentielle de la statue équestre paraît donc peu probable.




Trajan le meilleur des Princes - Sacra-Moneta
www.sacra-moneta.com › Monnaies romaines
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