2 FÉVRIER 2017...
Cette
page concerne l'année 88 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
STRUCTURE
DES LIMES.
Le
limes est le nom donné par les historiens modernes aux systèmes de
fortifications établis au long de certaines des frontières de
l'Empire Romain. Le terme limes peut comporter deux significations :
Le
mot peut être considéré comme frontière ou limite, avec comme
équivalent la Grande Muraille de Chine ou plus tard la Ligne
Maginot. Pour les Romains, ce terme signifie qu'il s'agit d'une
barrière pour défendre l'intérieur de l'Empire Romain (sens
utilisé pour la première fois par Frontin et Tacite au Ier siècle).
Le
terme peut signifier chemin ou route, c'est-à-dire la voie qui mène
vers des territoires nouvellement conquis (ou à conquérir), comme
le limes Germanique sous Auguste, qui longe la rivière Lippe. Cette
frontière est gardée par plusieurs places d'auxiliaires ou de
légionnaires.
Le
limes Germanique et de Rhétie a été inclus en 1987 dans la liste
des sites du patrimoine mondial de l'UNESCO, tout comme le mur
d'Hadrien et le mur d'Antonin au Royaume-Uni.
Ce
système désigne toutes les frontières de l'Empire Romain,
lesquelles sont classées en fonction de leur mode de barrière :
Naturelle ou artificielle.
Les
barrières naturelles qui séparent le monde Romain des Barbares ou
des autres royaumes peuvent être :
Fluviales
(comme le Rhin, le Danube ou l'Euphrate)
Montagnesues
(comme la chaîne des Carpates, ou l'Atlas en Maurétanie)
Désertiques
(comme le long de la frontière sud de l'Égypte, ou de la province
d'Arabie ou encore de Syrie)
Les
barrières peuvent aussi être artificielles, comme une palissade ou
un mur de pierre, parfois précédés d'un fossé. C'est le cas pour
le mur d'Hadrien, le mur d'Antonin, le limes Porolissensis (en Dacie)
ou le limes de Germanie. Chaque frontière est également suivie en
parallèle sur toute sa longueur par une route avec à intervalle
régulier des forteresses de légionnaires (castra), des forts
(castella), des forts auxiliaires, ainsi que des tours (turris) et
des zones d'observation (stationes).
LIMES DE REMAGEN |
Les
représentations du limes Romain peuvent être vues sur la frise de
la colonne de Trajan ou sur celle d'Antonin, où les scènes
d'ouvertures se situent sur la rive droite du Rhin, avec la
représentation d'une série de postes de garde, de forts, de
forteresses, avec également une protection de palissade.
Le
3e cas est très particulier, il s'agit des préfectures (comme la
préfecture des Alpes à l'époque des guerres marcomanes). Ce
territoire est confié à un commandant militaire spécial (dans
l'exemple précédent, il s'agit de Quintus Antitius Adventius, dont
le rôle a été de prévenir et bloquer les invasions barbares.
Il
y avait 2 positions stratégiques clés pour protéger l'Empire
Romain :
La
première et la plus importante position stratégique est le front
nord, qui se compose de :
Le
limes de Bretagne, le plus septentrional de l'Empire Romain, avec ses
2 murs (le Mur d'Antonin et le Mur d'Hadrien);
Le
limes de Germanie qui se situe le long du Rhin, et qui pendant près
de 2 décennies a conduit les Romains de Germanie supérieure jusqu'à
l'Elbe.
Le
limes du Danube, qui est le plus important du système de défense de
l'Empire Romain dans son ensemble, car il assure la protection de
beaucoup de provinces de la Rhétie jusqu'à la Mésie (c'est-à-dire
tout le long du parcours du fleuve jusqu'à son embouchure).
Le
limes au nord du Danube, qui comprend les provinces frontalières des
Daces, des Sarmates et la rive nord du Pont-Euxin (les villes
grecques d'Olbia et de Tyras, c'est-à-dire le Royaume du Bosphore,
province sous influence Romaine de Néron jusqu'à l'arrivée des
Goths dans la première moitié du IIIe siècle).
La
2e position stratégique est la frontière orientale de l'Empire
Romain, qui est organisé en 4 secteurs
Le
limes de Cappadoce et le Pont-Euxin qui est créé par l'Empereur
Tibère en 17 lors de l'annexion par Rome de la Cappadoce.
Le
limes d'Arménie qui a été au cœur des guerres entre les Romains
et les Perses.
Le
limes de Mésopotamie créé par intermittence à partir des
campagnes de Trajan contre les Parthes en 114-117.
Le
limes d'Arabie reliant l'Euphrate à la Mer Rouge sur près d'environ
1 000 kilomètres. Il est lui-même divisé en 2 limes, chargés
de défendre les provinces de Syrie, d'Arabie et de Judée...
Le
limes matérialise physiquement la frontière entre l'empire Romain
et le monde Barbare, tel qu'il est entendu par les Romains, à savoir
les peuples ne parlant ni grec, ni latin.
Le
limes consiste en routes le long de la frontière, desservant des
postes de surveillance plus ou moins importants, et reliées aux
villes de garnison. Localement, le limes peut être renforcé par des
ouvrages tels que mur et/ou fossé.
Il
a un but défensif, mais aussi douanier et politique car il s'agit
d'une fortification discontinue plus symbolique qu'efficace.
Des
limes plus ou moins élaborés ont ainsi été établis sur la
plupart des frontières de l'Empire.
Le
limes romain figure sur le Canon historique des Pays-Bas, liste
officielle de 50 thèmes, initiative du gouvernement néerlandais,
dont la première version date de 2006 et dont la deuxième version
est officiellement acceptée le 3 juillet 2007.
PROFIL D'UN LIMES |
En
latin, limes signifie simplement chemin de patrouille à la
frontière. Pour permettre une vue dégagée sur l'ennemi, les
Romains ont déboisé de grands pans de forêt. Nombre de ces
sentiers existent encore aujourd'hui en Allemagne.
le
limes Rhénan se subdivise en 2 secteurs :
En
aval de la Moselle, c'est le Rhin qui assure la défense. Le secteur
du haut Rhin est organisé sur le modèle du limes Breton
L’histoire
militaire ne peut plus être réduite à une étude des rapports de
puissance économiques, comme on le fait au XXe siècle. En cas de
conflit, l’État le plus riche n’est jamais sûr de gagner la
guerre.
L’armée
de Germanie comprend des légions, des auxiliaires et des éléments
de la marine (la garnison de Rome n’a jamais été impliquée dans
les affaires de cette région, pas plus que les deux grandes flottes
Italiennes). On sait que la légion est une unité d’infanterie
lourde de 5 000 hommes, utilisant les services de 120 cavaliers et
d’auxiliaires. Ces auxiliaires sont divisés en cohortes
d’infanterie, en ailes de cavalerie, et en cohortes mixtes,
appelées equitatae. Ces unités sont quingénaires ou milliaires (de
500 ou 1 000 hommes). Les numeri font leur apparition sans doute au
temps de Trajan. En ce qui concerne les effectifs, le détail des
chiffres et des dates est toujours sujet à discussion. Mais on peut
proposer des estimations, au moins approximatives. Pour la conquête,
donc jusqu’au désastre de Varus, les Romains alignent 6 légions
et des auxiliaires en nombre inconnu, sur une armée qui compte en
tout quelque 25 légions, c’est donc un quart des effectifs qui est
engagé.
Cette
armée de Germanie est soumise à une hiérarchie connue. Ici,
l’histoire militaire recoupe l’histoire générale, parce que la
société militaire offre une image déformée de la société
civile : On y trouve, mais dans des proportions différentes,
des sénateurs, des chevaliers, des notables municipaux, des citoyens
Romains et des pérégrins, mais pas d’esclaves, même si les
légions et les légionnaires pouvaient en posséder.
Au
sommet, l’empereur, pouvant se faire aider par le ou les préfets
du prétoire, ces derniers ne jouent pas un rôle militaire important
au début de l’Empire, et ils ne sont étroitement associés aux
grandes décisions que peu à peu. Mais ni les uns ni les autres ne
viennent en Germanie au début de l’Empire et, s’ils s’y
rendent par la suite, ce n'est jamais pour de longs séjours. Après
le départ de Germanicus, on distingue 2 armées, l’armée
supérieure et l’armée inférieure chacune est commandée par un
légat impérial propréteur, un ancien consul.
SUR LE LIMES EN HIVER |
Au
cours du Ier siècle de notre ère, une Germanie se crée peu à peu
sur la rive gauche du Rhin, les grands légats y exercent tous les
pouvoirs des gouverneurs et aucun légat de Belgique n’a osé
pénétrer dans leur domaine.
C’est
une province de fait, et non de droit, que les modernes appellent
souvent un « district militaire ».
Sous
Domitien, à la fin du Ier siècle, à une date qui n’est pas
connue avec précision (sans doute vers 83/84 ou 84/85), sont créées
simultanément deux provinces, Germanie supérieure et Germanie
inférieure, calquées sur le modèle des armées : Le légat
d’armée est en même temps légat de province. Dans le même
temps, la région comprise entre les cours supérieurs du Rhin et du
Danube est annexée, elle est connue sous le nom de Champs Décumates,
et cette extension de la conquête se traduit dans le paysage par la
construction d’une nouvelle ligne de fortins.
Les
légats impériaux propréteurs de province, 2 anciens consuls, ont
sous leurs ordres des personnages portant le même titre, légats
impériaux propréteurs, mais plus modestement anciens préteurs, à
raison d’un par légion... Le reste de la hiérarchie ne présente
aucune originalité.
On
relève toutefois que, dans le monde des Anciens, 2 États seulement
imposent un entraînement à leurs soldats, la Chine et Rome.
Rappelons
donc que les hommes pratiquent du sport, s’adonnent à des
exercices militaires individuels (maniement d’armes) et collectifs
(manœuvres en unités constituées).
La
tactique mérite davantage de commentaires.
CAMP ROMAIN DE SALSBOURG |
Les
Romains les craignaient pour 2 raisons. D’une part, ils ont de
mauvais souvenirs : L’invasion des Cimbres et des Teutons à
la fin du IIe siècle avant notre ère et la bataille d’Orange en
105 avant J.-C. sont restées présentes dans toutes les mémoires.
Et, bien évidemment, le désastre du Teutoburg en l'an 9 ajoute à
la crainte.
D’autre
part, les Germains ont une façon de combattre qui déroute les
Romains. Giovanni Brizzi a bien montré que, chez eux, « la
folie mystique du guerrier (devient) alors, en elle-même, la mesure
de la faveur céleste »... Les Germains au combat se conduisent
comme des déments.
Leur
apparence, déjà, effraie les Romains qui redoutent ces grands
hommes très forts, blonds aux yeux bleus (ces remarques se trouvent
chez César comme chez Tacite).
Ajoutez
un comportement bizarre. Ils se laissent pousser la barbe et la
moustache (dans l’iconographie, le barbu c’est le Barbare).
Parfois,
ils se peignent le corps en blanc, pour mieux faire ressortir le sang
des blessures ou pour ressembler à des fantômes ou, pour des
raisons relevant de la magie.
Avant
le combat, ils dansent et ils chantent. Au cours de l’engagement,
ils montre leur courage, cette valeur fondant en partie leur société.
En
réalité, ils n’auraient jamais dû susciter la crainte et, des
deux grands désastres subis par les Romains, l’un au moins,
celui-de Teutoburg, s’explique par une grave faute du
commandement : Varus n’aurait jamais dû accorder sa confiance
à Arminius et il aurait dû envoyer des éclaireurs avant de
s’engager dans la passe de Kalkriese.
De
fait, les Germains ont un armement médiocre en qualité. Ils ne
savent pas organiser l’ordre de marche, ne savent pas faire de
camp, ils sont souvent obligés de fuir, et ils se battent en
phalange contre la triplex acies des Romains.
TOUR DE GUET DE TAUNUSSTEIN |
Ajoutons,
pour faire oublier une erreur très répandue, qu’ils servent
normalement comme fantassins. Ils possèdent peu de cavalerie,
certains peuples ignorant même les chevaux. Enfin, ils ont
assurément incapables de concevoir une quelconque stratégie, chacun
n’ayant pour pire ennemi que son voisin.
Les
Romains, eux, possèdent l’avantage dans les différents domaines.
Ils utilisent des armes plus efficaces, le gladius et le pilum. Ils
se battent avec sang-froid, donc de manière plus rationnelle,
préférant le siège, qui économise le sang, et pour lequel ils ont
mis au point de nombreuses machines et ils savent faire des travaux
pour passer sous le rempart de la ville ennemie, à travers les mur
ou encore par-dessus suivant les circonstances.
Quand
il faut se battre en rase campagne, ils peuvent recourir à divers
dispositifs, le plus célèbre étant la triplex acies qui donne une
grande souplesse aux légions, leur permettant de s’écarter ou de
se rapprocher suivant le terrain.
Au
besoin, ils peuvent se ranger en phalange ou en coin.
Ils
connaissent toutes les façons de se battre, bataille en milieu
urbain, guérilla, également appelée de nos jours « petite
guerre » ou « guerre asymétrique », bataille
navale, etc. Comme défenses linéaires, les Romains utilisent le
cours inférieur du Rhin pour la Germanie Inférieure.
Pour
la Germanie Supérieure, afin de protéger les Champs Décumates, ils
construisent de longs murs, constitués par la trilogie
traditionnelle : Un profond fossé en V (fossa) est creusé en
avant d’un talus de terre (agger), lui-même surmonté par une
palissade en bois (vallum), de loin en loin, des tours doivent
faciliter l’observation des mouvements d’ennemis potentiels.
ROEMERTURM |
Peu
à peu, le bois est remplacé par la pierre.
Un
premier axe, d’époque Flavienne, suit la ligne
Taunus-Wetterau-Main-Odenwald-Neckar, un 2e axe, plus oriental, est
daté d’Antonin le Pieux.
Les
Allemands du Moyen Âge sont tellement étonnés par l’immensité
du travail qu’ont dû demander ces constructions qu’ils pensent
qu’elles sont de la main du démon et les désignent sous le nom
de « le mur du Diable ».
Les
défenses ponctuelles sont réparties entre des grands camps, prévus
pour une ou plusieurs légions, et des petits camps conçus pour des
détachements ou des unités auxiliaires.
Si
l’on peut mentionner brièvement les grands camps, il est
impossible, vu leur nombre, d’énumérer les petits camps. Comme
exemple de grand camp... Neuss.
Au
centre se trouvent les principia, cœur du camp, appelés parfois à
tort praetorium, ils sont constitués par 2 cours, une grande cour
pour les rassemblements, une petite réservée aux affaires plus
officielles et une série de salles (le cœur du cœur, la chapelle
aux enseignes, au centre, et les bureaux de l’administration, des
dépôts d’armes…).
Les
officiers sont logés dans de vraies villas, du type domus, on
appelle praetorium celle qui est réservée au légat de légion.
Les
soldats et les centurions dorment dans des chambrées.
Le
camp, qui abrite 5 000 hommes, est une vraie ville, mais une ville
sans femmes, sans enfants, sans vieillards. On y trouve un atelier où
les soldats réparent leurs armes, la fabrica, des entrepôts ou
horrea, un hôpital ou valetudinarium et des thermes.
Ce
n’est pas le lieu ici de décrire le réseau viaire (toutes voies
desservant une ville) qui, en outre, ne présente aucune
particularité : Il est constitué par une route parallèle à
la frontière, par des axes reliant les postes, principaux et
secondaires, à l’arrière, pour faciliter la logistique,
l’approvisionnement, tandis que d’autres pénètrent en
territoire ennemi pour renforcer la surveillance.
La
période qui va de 21 à la fin du Ier siècle voit les Romains
conduire plusieurs raids contre des peuples de Germanie.
En
28, ils attaquent les Frisons.
CARTE DES LIMES |
Au
temps de Caligula, ils reprennent aux Chauques la dernière aigle de
Varus qui restait entre leurs mains.
Les
années 42/43 voient de grandes transformations : Pour mener à
bonne fin la conquête de la Bretagne, les légions Rhénanes sont
sérieusement mises à contribution, ce qui se manifeste dans les
mouvements de légions.
Les
Chattes sont agressés par les Romains en 41 et 50 (ils sont aussi en
conflit avec les Hermondures qui leur font une vraie guerre en 58).
En
47, Corbulon a organisé une expédition contre les Frisons et contre
les Chauques. Le limes Germanique protège les provinces de Germanie
Supérieure et de Rhétie, en avant des Champs Décumates.
Constitué
de plus de 60 places fortifiées espacées d'une dizaine de
kilomètres. Elles défendent la frontière de l'Empire. On peut
citer celle de Saalburg près de Bad Homburg, qui est la seule à
avoir été reconstruite, ou le camp romain d'Obernburg, aujourd'hui
largement documenté.
Des
cohortes de 500 légionnaires et cavaliers y sont stationnées pour
empêcher les pillages des Germains dans la zone contrôlée par les
Romains. Des voies romaines y conduisent à partir de l'Italie ou de
la Gaule.
Plus
de 900 tours de guet se dressent le long du limes Rhénan, espacées
les unes des autres de façon à pouvoir communiquer entre elles par
signaux visuels ou sonores selon les conditions de visibilité, et
ainsi avertir au plus vite la prochaine place fortifiée de tout
mouvement Germain.
La
tour de guet no 1 se trouve à Rheinbrohl en Rhénanie-Palatinat
(caput limitis). Cologne, Strasbourg et
Vienne sont des forts chargés de protéger le limes.
Le
limes Germanique sera détruit par les attaques des Alamans en 258,
qui occupent l'espace compris entre le Rhin et le Danube.
Une
nouvelle ligne de défense sera néanmoins organisée par Aurélien
(270-275) le long du Rhin et de l’Iller, affluent du Danube, avec
Brigantium (Bregenz) comme camp militaire.
HEINCHEN |
Au
IVe siècle, ce limes est défendu par des Lètes Francs et des
fédérés Saxons à Mayence, et des Alamans sur le Rhin supérieur
(fondation dudit royaume Alaman).
Histoire
militaire des Germanies d'Auguste à Commode
https://pallas.revues.org/1796
de
Y Le Bohec - 2009 - Autres articles
Son
histoire, au cours des deux siècles du Principat, peut être étudiée
à propos de ... 5Une nouvelle confrontation commença en 16 avant
J.-C. Cette année-là, les ... quand les Romains s'attaquèrent au
problème germanique, et au plus tard en ...... Pourtant, si vous
aviez parlé à Auguste ou à Trajan du « limes », ils ne vous ...
Vous
avez consulté cette page le 15/03/17.
ROME,
l'Empire romain - Encyclopædia Universalis
www.universalis.fr/encyclopedie/rome-l-empire-romain/
Pendant
plusieurs siècles, l'Empire romain a assuré la paix et l'unité du
monde .... 238 constitue une année particulière dans l'histoire de
l'Empire romain. .... Les légendes germaniques célèbrent Attila
sous le nom d'Atli (en .... de colmater les brèches sur tous les
limes, les empereurs sont contraints d'… ..... Lire la suite; 88.
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26/11/16
l'armée
romaine en lorraine : essai de bilan - Artefacts
artefacts.mom.fr/Publis/Legendre_2014_[Armee_romaine_en_Lorraine].pdf
de
JP Legendre - Autres articles
garnison
romaine dans la seconde moitié du Ier siècle av. J.-C. ... On
ignore si les troubles qui agitent le territoire gaulois pendant les
années .... liaires germaniques est, en revanche, indiquée par la
mention dans la Notitia de deux ... pour une invasion de la Gaule une
fois le limes rhénan franchi. .... 88 ; Vigneron 1986, p.
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