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JANVIER 2017...
Cette
page concerne l'année 107 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
UN TRÈS ANCIEN MARTYR SAINT IGNACE LE THÉOPHORE
Ignace
d'Antioche, en grec ancien : Ἰγνάτιος
Ἀντιοχείας ou Ίγνάτιος ό Θεοφόρος,
Ignace le Théophore, né vers 35 dans la province de Syrie, mort à
Rome, en martyr, probablement en 107. Troisième évêque d'Antioche,
après saint Pierre et Evode, à qui il succède vers 68.
Probablement disciple direct des apôtres Pierre et Jean, il est
surtout connu pour ses lettres apostoliques, associant le martyre
pour la Foi aux grains de blé moulus pour devenir le pain de
l'Eucharistie.
Ses
lettres apostoliques développant une première théologie
eucharistique le font ranger parmi les Pères apostoliques, première
génération de Pères de l'Église.
C'est
un saint pour l'Église catholique latine, qui le fête le 17 octobre
(pendant longtemps le 1er février), et pour les Églises
orthodoxes et catholiques orientales, qui le fêtent le 20 décembre.
Selon
le Martyre de Saint Ignace, il est arrêté par les autorités et
transféré à Rome pour être mis à mort dans l'arène, pendant la
persécution de Trajan.
Espérant
ainsi faire un exemple afin de freiner l'expansion du christianisme.
Mais chemin faisant il rencontre de nombreux chrétiens qu'il
encourage en leur écrivant des lettres : Aux Éphésiens, aux
Magnésiens, Tralliens, Philadelphiens, Smyrniens, et aux Romains, de
même que la lettre à Polycarpe, qui selon la tradition est évêque
de Smyrne et disciple de Saint Jean l'Évangéliste.
Eusèbe
de Césarée, qui écrit 2 siècles plus tard, consacre un chapitre
entier de son Histoire ecclésiastique à la vie de Saint Ignace et
aux 7 lettres écrites sur le chemin de Rome :
« De
Syrie, Ignace est envoyé à Rome pour être livré en pâture aux
bêtes sauvages, à cause du témoignage qu'il a rendu du Christ.
En
accomplissant son voyage à travers l'Asie, sous la surveillance
sévère des gardes dans toutes les villes où il s'arrête, à
travers des prédications et des avertissements, il renforce les
Églises, et surtout, il exhorte, avec la plus grande vigueur, à se
garder des hérésies, qui commencent alors à se multiplier,
recommandant de ne pas se détacher de la tradition apostolique. »
La
première étape du voyage d'Ignace vers le martyre est la ville de
Smyrne, où se trouve l'évêque Polycarpe, disciple de Saint Jean...
Ignace y écrit 4 lettres, respectivement aux Églises
d'Éphèse, de Magnésie, de Tralles et de Rome. « Parti
de Smyrne », poursuit Eusèbe :
« Ignace
arrive à Troade, et de là, envoie de nouvelles lettres »
2
aux Églises de Philadelphie et de Smyrne, et une à l'évêque
Polycarpe .
Quelques jours après le passage d'Ignace à Philippes, les Philippiens prient Polycarpe de leur communiquer les lettres de l’évêque d’Antioche qu’il possède. Polycarpe répond à cette demande :
Quelques jours après le passage d'Ignace à Philippes, les Philippiens prient Polycarpe de leur communiquer les lettres de l’évêque d’Antioche qu’il possède. Polycarpe répond à cette demande :
« Comme
vous nous l'avez demandé, nous vous envoyons les lettres d'Ignace,
celles qu'il nous a adressées et toutes celles que nous avons chez
nous... »
Vu
le faible nombre d'écrits de cette période de l'Église, ces
lettres (CPG 1025-1036) ont une influence dans le développement de
la théologie chrétienne.
Elles
semblent avoir été écrites en grande hâte et sans véritable
plan, comme une succession non systématique de pensées.
Ignace
est le premier écrivain chrétien dont les écrits nous sont
parvenus et qui insiste fortement sur la loyauté à l'évêque de la
ville, assisté par les presbytres (prêtres) et les diacres.
Les
écrits antérieurs mentionnent en effet soit les évêques soit les
presbytres, et donnent l'impression qu'il y a plusieurs évêques par
communauté. Ignace insiste aussi sur la valeur de l'Eucharistie, et
la nomme un « médicament pour la vie éternelle ». Il
montre que l'Église romaine a primauté sur les autres Églises, car
elle préside à l'amour.
Cependant,
sur la quinzaine d'épîtres qui nous sont parvenues sous le nom
d'Ignace d'Antioche, seules 7, celles citées par Eusèbe de Césarée,
sont aujourd'hui considérées couramment comme authentiques. Les
problèmes d'authenticité ne concernent pas seulement le nombre
d'écrits, mais aussi leur contenu.
En
effet, certaines de ces lettres nous sont parvenues sous 3
« formes » : une brève, une moyenne et une longue.
Quant
au récit du Martyre de Saint Ignace, quoiqu'il ait été abondamment
utilisé pour rédiger les « biographies » d'Ignace, il
est malheureusement tardif. Les divers anachronismes qu'il comporte
ne permettent absolument pas d'y voir un document historiquement
fiable : C'est un de ces innombrables « actes de martyrs »
où l'imagination du rédacteur supplée au manque d'information.
Ces
sept lettres authentiques d’Ignace d’Antioche nous renseignent
sur la vie des Églises au début du second siècle, sur leur
organisation hiérarchique et sur les hérésies menaçantes.
La
lettre aux Romains témoigne aussi de la primauté de Rome.
Ces lettres nous révèlent l’âme ardente du grand martyr et la pureté de sa doctrine imprégnée des pensées de Saint Paul souvent cité, et tout autant de celles que nous retrouvons dans les écrits johanniques.
Ces lettres nous révèlent l’âme ardente du grand martyr et la pureté de sa doctrine imprégnée des pensées de Saint Paul souvent cité, et tout autant de celles que nous retrouvons dans les écrits johanniques.
L’âme
d’Ignace apparaît tout entière dans ses lettres très
personnelles.
Quant à sa vie, en dehors des nombreux détails que ses lettres donnent sur la route vers le supplice, on n'en sait pour ainsi dire rien. Il faut donc classer, d’après les sources consultées, les renseignements fournis, afin d’être mieux à même d’en évaluer la portée.
Quant à sa vie, en dehors des nombreux détails que ses lettres donnent sur la route vers le supplice, on n'en sait pour ainsi dire rien. Il faut donc classer, d’après les sources consultées, les renseignements fournis, afin d’être mieux à même d’en évaluer la portée.
La
Chronique d’Eusèbe place le martyre d’Ignace la 10e année de
Trajan, soit en 107. Cette précision n’a qu’une valeur
approximative, mais tous les savants s’accordent pour accepter les
environs des années 107/110.
L’Histoire
Ecclésiastique nous apprend, d’accord avec Origène, qu’Ignace,
2e évêque d’Antioche, succède au successeur immédiat de Saint
Pierre, Evodius. Or, Eusèbe a sous les yeux les anciennes listes
épiscopales d’Antioche (dans la Chronique de Jules l’Africain (†
après 240), et ami d’Origène.
Le
chapitre de l’Histoire Ecclésiastique, au livre 3, est consacré
tout entier à Ignace, mais les renseignements proviennent
visiblement des lettres du martyr, c’est donc là que nous
préférons les rechercher.
Depuis
la Syrie jusqu’à Rome, je combats contre les bêtes, sur terre et
sur mer, de nuit et de jour, enchaîné que je suis à 10 léopards,
je veux parler des soldats qui me gardent. A mesure qu’on leur fait
plus de bien, ils en deviennent pires. Mais par leurs mauvais
traitements, je deviens davantage un disciple... Lettre aux Romains,
Pendant
ce douloureux voyage, le Saint évêque, exultant de joie, écrit aux
Églises 7 lettres qui nous dévoilent son âme ardente et nous
révèlent aussi ses préoccupations, assurer l’union des Églises
à leurs évêques, leur union entre elles et la fuite de l’hérésie.
Il est aisé de retracer, d’après les détails donnés,
l’itinéraire parcouru par le condamné.
Durant ce périple il observe 3 escales plus importantes : Philadelphie, Smyrne et Troas.
Durant ce périple il observe 3 escales plus importantes : Philadelphie, Smyrne et Troas.
A
Smyrne, Ignace est accueilli par l’évêque Polycarpe. Des
délégations importantes d’autres Églises d’Asie s’empressent
de venir le saluer.
… Les
charitables Églises m’ont accueilli au nom de Jésus-Christ, non
comme un simple passant. Et celles-là mêmes qui ne sont pas sur ma
route viennent au devant de moi de ville en ville. Lettre aux
Romains.
De
Smyrne, Ignace écrit 4 lettres
Les
lettres aux communautés d’Éphèse, de Magnésie, de Tralles pour
les remercier de l’avoir fait saluer par leurs délégués.
L’incomparable
lettre aux Romains pour supplier instamment ceux-ci de ne tenter
aucune démarche en sa faveur :
Je
crains que votre charité ne me fasse tort… Jamais je ne
retrouverai une pareille occasion d’aller à Dieu… Si vous vous
taisez, je deviendrai une parole de Dieu, mais si vous aimez trop ma
chair, je ne serai plus qu’une voix… Je ne vous demande qu’une
chose, c’est de laisser offrir à Dieu la libation de mon sang
tandis que l’autel est encore prêt : Alors, réunis tous en
chœur par la charité, vous pourrez chanter dans le Christ Jésus
une hymne à Dieu le Père pour avoir daigné faire venir l’évêque
de Syrie du levant au couchant.
Il
est bon de se coucher loin du monde en Dieu pour se lever en Lui.
Lettre aux Romains.
À
Troas, Ignace reçoit une heureuse nouvelle : Toute persécution
a cessé dans son Église d’Antioche. Il écrit alors 3 lettres :
Les lettres aux communautés de Philadelphie et de Smyrne
La
lettre à l’évêque de Smyrne : Polycarpe.
Très
semblables aux lettres de remerciement et de conseils écrites de
Smyrne, celle aux Romains exceptée, ces lettres écrites de Troas
n’en diffèrent que sur un point : Elles se terminent par la
recommandation d’envoyer à Antioche un diacre, un « courrier
de Dieu ».
On
m’a annoncé que grâce à votre prière et à la miséricorde que
vous avez dans le Christ Jésus, l’Église d’Antioche de Syrie
est en paix, il convient donc que vous, en tant qu’Église de Dieu,
vous élisiez un diacre, pour qu’il y aille en messager de Dieu,
pour se réjouir avec ceux qui sont rassemblés et glorifier le Nom.
(Lettre aux Philippiens).
J’ai
appris que l’Église d’Antioche en Syrie a, grâce à votre
prière, recouvré la paix.
Cette
nouvelle a relevé mon courage, et maintenant que Dieu m’a rendu la
tranquillité, je n’ai plus qu’un seul souci : Celui
d’arriver à lui par le martyre et d’être, grâce à vous,
compté parmi les vrais disciples au jour de la résurrection. Il
convient, bienheureux Polycarpe, de convoquer une assemblée agréable
à Dieu et d’élire quelqu’un qui vous soit très cher et qui
soit actif, on pourra l’appeler le courrier de Dieu, chargé
d’aller porter en Syrie, pour l’honneur de Dieu, le glorieux
témoignage de votre ardente charité. Un chrétien ne s’appartient
pas, il appartient au service de Dieu. À Polycarpe.
Ignace
se proposait d’écrire bien d’autres lettres encore...
J’écris
à toutes les Églises : Je mande à tous que je mourrai de
grand cœur pour Dieu, si vous ne m’en empêchez. Lettre aux
Romains.
N’a-t-il
pas annoncé, dans sa lettre aux Éphésiens, la plus longue, un
« deuxième livret » qui leur exposera plus en détail
« l’économie concernant l’homme nouveau Jésus-Christ »
(Éph. 20, 1) ?
Les derniers mots de la lettre à Polycarpe sont les derniers de Saint Ignace :
Les derniers mots de la lettre à Polycarpe sont les derniers de Saint Ignace :
« Je
vous dis un éternel adieu en Jésus-Christ notre Dieu. Puissiez-vous
demeurer toujours en Lui, dans l’unité de Dieu et sous sa
surveillance. Je salue Alcé dont le nom m’est si cher. Adieu dans
le Seigneur. » d’après la lettre de Saint Polycarpe aux
Philippiens
Les
Philippiens ont eux aussi reçu Ignace sur son passage, ils écrivent
à Polycarpe, demandant l’envoi des précieuses lettres du martyr.
Et Polycarpe répond à leur désir :
« Les
épîtres d’Ignace, tant celles qu’il nous a adressées que
d’autres que nous possédons de lui, nous vous les envoyons toutes
selon votre demande, elles sont jointes à la présente lettre. Vous
pourrez en tirer un grand profit car elles sont pleines de foi, de
patience, de tout ce qui peut édifier et porter à Notre Seigneur.
De votre côté, si vous avez des nouvelles sûres d’Ignace et de
ses compagnons, veuillez me les communiquer ».
Polycarpe
n’a donc aucune nouvelle sûre de l’évêque d’Antioche,
cependant, il n’en doute pas : Il a, comme ses compagnons,
subi le martyre.
« Montrez
cette indéfectible patience que vous avez contemplée de vos propres
yeux, non seulement dans les bienheureux Ignace, Zosime et Rufus,
mais aussi en d’autres qui sont de chez vous, en Paul lui-même et
dans les autres apôtres, bien persuadés que ces hommes n’ont pas
couru en vain (Phil., 2, 16), mais dans la foi et la justice, et que
maintenant, ils occupent auprès du Seigneur, dont ils ont partagé
les souffrances, la place qui leur est due. »
C’est
la lettre de Polycarpe qui nous apprend que, du moins à son arrivée
à Philippes, d’autres condamnés sont adjoints à Ignace.
Ignace
semble bien être Syrien d’origine. Il n’est pas citoyen Romain,
car jamais un citoyen Romain ne fut condamné aux bêtes. Rien
n’indique qu’il soit Juif : Il s’oppose avec fermeté aux
coutumes juives (Magn., 8 et 9) et aux judaïsants.
On considère volontiers Ignace comme un converti et on le met en parallèle sur ce point avec Paul, l’ancien persécuteur. De part et d’autre, mêmes protestations d’humilité, même vive conscience des grâces reçues.
On considère volontiers Ignace comme un converti et on le met en parallèle sur ce point avec Paul, l’ancien persécuteur. De part et d’autre, mêmes protestations d’humilité, même vive conscience des grâces reçues.
« Je
ne vous donne pas des ordres comme si j’étais un personnage. Je
suis bien, il est vrai, chargé de fers pour le Nom, mais je n’ai
pas encore atteint la perfection en Jésus-Christ. Je ne fais que
débuter à son école et si je m’adresse à vous, c’est comme à
mes condisciples. » Lettre aux Éphésiens.
« Bien
que je sois le dernier des fidèles d'Antioche, Dieu a daigné me
choisir pour le glorifier. » Lettre aux Éphésiens.
« Bien
que je sois dans les fers et que vous, vous soyez libres, je ne suis
pas à comparer à un seul d’entre vous. » Lettre aux
Magnésiens.
« J’ai
de grandes pensées en Dieu, mais je m’impose à moi-même une
mesure, pour ne pas me perdre par ma vanterie. Car c’est maintenant
surtout que je dois me tenir sur mes gardes et éviter de prêter
l’oreille à la flatterie. Ceux qui me flattent me flagellent.
Assurément je désire souffrir, mais j’ignore si j’en suis
digne, car si mon irritation échappe aux yeux d’un grand nombre,
elle ne m’en fait pas moins une guerre très acharnée… Oui, je
pourrais, dans cette lettre, vous parler des choses du ciel. Mais
vous êtes si enfants encore et je crains de vous faire mal.
Excusez-moi donc : Incapables d’avaler, vous pourriez vous
étrangler. Moi-même, bien que prisonnier, et en état de concevoir
les choses du ciel, de connaître les hiérarchies des anges, les
armées des principautés, les choses visibles et invisibles, je ne
suis pas encore pour autant un vrai disciple. Nous manquons de tant
de choses pour que Dieu ne nous manque pas. » Lettre aux
Tralliens.
« Je
ne suis pas digne de faire partie de cette Église (Antioche) moi, le
dernier de ses membres. C’est à la volonté de Dieu que je dois
cet honneur, non à mes mérites, mais à sa grâce. Puissé-je,
grâce à vos prières, la recevoir dans toute sa plénitude pour
parvenir enfin à atteindre Dieu. » Lettre aux Smyrniotes.
Une
loi du Digeste Romain spécifie que les hommes (gladiateurs ou
condamnés) dirigés vers Rome doivent être « dignes d’être
exhibés au peuple Romain » (si eius roboris vel artifis sint
ut digne populo romano exhiberi possint, Digeste). Ignace est donc
désigné comme une victime de choix.
Il
existe 5 récits différents ou « Actes » du martyre
d’Ignace : Les deux principaux sont les Actes d'Antioche (le
Martyrium Colbertinum) et les Actes Romains (le Martyrium Vaticanum).
On les consulte pour fixer la suite de l’itinéraire d’Ignace, la
date du martyre, etc., mais tout y est légendaire.
Une
légende tardive (IXe s. - d’Anastase le Bibliothécaire) a
souligné l’humilité d’Ignace : Elle voit en lui le petit
enfant que Jésus prit entre ses bras pour le montrer en exemple à
ses apôtres et justifie ainsi son nom de Théophore.
Une
autre légende étrange (de Saint Vincent de Beauvais, Dominicain du
XIIIe s.) prétend que sur chacun des morceaux du cœur d’Ignace,
on lit une lettre en or : Ces lettres recomposent le nom de
Jésus-Christ… On ne se trompe pas en affirmant que le cœur
d’Ignace est possédé de l’amour du Christ, mais ceci est
exprimé par trop naïvement ! Les lettres d’Ignace nous le
disent bien mieux.
Certaines
reliques d’Ignace seraient conservées à Antioche et d’autres à
Rome, à l’église de Saint Clément.
Ce
qui est sûr, c’est que le culte d’Ignace se répand aussitôt
après sa mort. Saint Jean Chrysostome prononce à Antioche le
panégyrique du saint martyr en son dies natalis : « Rome est
arrosée de son sang, vous avez recueilli ses dépouilles… Vous
aviez envoyé un évêque, on vous a rendu un martyr » in
sanctum martyrium ignatium
Saint
Ignace le Théophore
www.crypte.fr/synaxaire/ignace-antioche.html
évêque
d'Antioche, martyr à Rome (†107) Fête le ... Pendant la
persécution de Domitien (81-96), saint Ignace encouragea de nombreux
confesseurs à ... Pendant les années de paix qui suivirent, les
apôtres ayant désormais disparu, l'évêque ...
SAINT
IGNACE D'ANTIOCHE (mort en 107) - Dieu parmi nous
www.dieu-parmi-nous.com/NIC/Saint.Ignace.Antioche.pdf
Saint
Ignace, évêque, deuxième successeur de saint Pierre à Antioche,
sans ... Cet évêque du premier siècle mort en 107 a laissé sept
lettres épiscopales qui ... par le martyre, je deviendrai une parole
de Dieu, un témoin, un porte-parole de Dieu ... Justement, il y a
quelques années, Mgr Belo, prix Nobel de la Paix (1996), ..
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