13 JANVIER 2017...
Cette
page concerne l'année 108 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
L'ORGANISATION
LOGISTIQUE DU COMMERCE ALIMENTAIRE SOUS TRAJAN.
LE MARCHE DE TRAJAN |
Pour
les Romains aussi, le pain est, avec la bouillie de céréales,
l'aliment de base. Ils reprennent le mode de fabrication grec à base
de levure provenant de moût de vendange et améliorent le
pétrissage.
Ils
créent à Rome, sous Trajan, un collège de meuniers-boulangers et,
à divers endroits, de grandes meuneries-boulangeries. Les plus
riches mangent des pains de farine blanche en forme de lyres,
d'oiseaux, d'étoiles ou d'anneaux entrelacés, les pauvres un pain
de farine et de son, ou du pain d'orge.
Le
pain, à certaines époques, est distribué gratuitement à la
population pauvre de Rome pour éviter les émeutes. Décret de
Trajan en 108
Les
pains entiers retrouvés à Pompéi sont entaillés en rayons selon
l'habitude grecque, ce qui permet un partage aisé.
Pline
l'Ancien écrit que les Gaulois ajoutent à la pâte l'écume de
boissons céréalières, et que leur pain, plus léger, est fort
apprécié. Sous le règne d'Auguste, on compte 329 boulangeries
à Rome.
Le
pain prend ensuite un caractère sacré avec l'expansion du
christianisme. Il restera pendant longtemps l'aliment de base des
pauvres. Le pain est alors composé d'un mélange de méteil, d'orge
et d'épeautre...
Les
Marchés de Trajan constituent un ensemble d'édifices, encore bien
visibles, situé sur le côté oriental du Forum. Les Marchés de
Trajan, un grand complexe d'entrepôts, de magasins et de bureaux où
les Romains se réunissent pour acheter des biens et faire des
affaires, a été construit entre 107 et 110 par l'architecte favori
de l'empereur Trajan, Apollodore de Damas.
Construits à la demande de l’Empereur. Ils correspondent bien au remaniement urbain du moment qui éloigne peu à peu du Forum Romain les activités commerciales et économiques. Une autre de leurs fonctions est de contenir et de masquer l’entaille faite dans le Quirinal.
Grâce aux estampilles retrouvées sur certaines briques de l’édifice, on peut situer sa construction entre 109 et 113.
Au premier plan de l’ensemble, apparaît une grande exèdre, entièrement en briques (comme le reste de la construction).
Construits à la demande de l’Empereur. Ils correspondent bien au remaniement urbain du moment qui éloigne peu à peu du Forum Romain les activités commerciales et économiques. Une autre de leurs fonctions est de contenir et de masquer l’entaille faite dans le Quirinal.
Grâce aux estampilles retrouvées sur certaines briques de l’édifice, on peut situer sa construction entre 109 et 113.
Au premier plan de l’ensemble, apparaît une grande exèdre, entièrement en briques (comme le reste de la construction).
Deux
grandes salles semi-circulaires se trouvent aux extrémités de la
façade.
La partie inférieure de l’exèdre se compose de 11 boutiques et a 2 entrées situées aux extrémités. Ces petites pièces, reposant directement sur la roche, sont voûtées. La partie supérieure de la façade, percée d’une série d’arcades servant à éclairer un couloir voûté situé au-dessus des pièces du rez-de-chaussée desservent 10 boutiques.
Vers le nord, ce couloir se prolonge par un autre, s’ouvrant sur d’autres boutiques.
La partie inférieure de l’exèdre se compose de 11 boutiques et a 2 entrées situées aux extrémités. Ces petites pièces, reposant directement sur la roche, sont voûtées. La partie supérieure de la façade, percée d’une série d’arcades servant à éclairer un couloir voûté situé au-dessus des pièces du rez-de-chaussée desservent 10 boutiques.
Vers le nord, ce couloir se prolonge par un autre, s’ouvrant sur d’autres boutiques.
Vers
l’ouest, une autre salle semi-circulaire surmontée d’une
demi-coupole. Au 3e étage se trouve une série de boutiques
orientées à l’opposé du forum de Trajan et donnant sur une rue,
encore bien conservée aujourd’hui, connue sous le nom de via
Biberatica (la rue des « débits de boisson ») depuis le Moyen Âge.
Ces commerces étaient probablement réservés à la vente du vin.
Mais
on trouve bien d’autres produits aux Marchés de Trajan : Des
soieries et des épices rares rapportées d’Orient, des fruits, des
fleurs, des poissons.
Un escalier conduit de l’autre côté de la rue à une vaste salle : Le centre de tout l’ensemble, ce grand espace, occupe la hauteur de 2 étages. Une voûte à 6 croisées d’arêtes le recouvre. Au rez-de-chaussée : 6 boutiques de chaque côté. A l’étage supérieur, des boutiques se font face de part et d’autre d’un couloir.
Un escalier conduit de l’autre côté de la rue à une vaste salle : Le centre de tout l’ensemble, ce grand espace, occupe la hauteur de 2 étages. Une voûte à 6 croisées d’arêtes le recouvre. Au rez-de-chaussée : 6 boutiques de chaque côté. A l’étage supérieur, des boutiques se font face de part et d’autre d’un couloir.
Du
côté sud, on débouche sur une série de pièces sur 2 niveaux qui
semble avoir eu une finalité différente des boutiques. On suppose
qu’il s’agît là des bureaux de la direction de l’ensemble.
C’est un exemple des plus réussis de l’architecture utilitaire Romaine.
C’est un exemple des plus réussis de l’architecture utilitaire Romaine.
L'organisation
intérieure du collège des gens de métier. Cette organisation
paraît avoir été, à part les différences, résultant du nombre
des membres et de l'importance de la profession, à peu près la même
pour tous les collèges. Mais leurs fonctions commerciales,
c'est-à-dire les rapports avec la clientèle, ne sont pas les mêmes.
Si
quelques historiens ont refusé à ces collèges le caractère d'une
organisation industrielle, parce que l'antiquité ne nous a pas
laissé de règlements de fabrication, il est impossible de nier
cependant que les empereurs aient assigné à ceux dont le service
paraît nécessaire pour l'approvisionnement de Rome et des grandes
villes des règles et des obligations commerciales et que, dans les
derniers temps, ces obligations se soient étendues à un plus grand
nombre de métiers et finalement à tous.
Entre les collèges réglementés et les autres, la démarcation n'est pas toujours nette. C'est pourquoi la plupart des historiens n'ont pas fait la distinction. Elle existe cependant et il est nécessaire d'essayer de la marquer avec autant de précision que possible.
Entre les collèges réglementés et les autres, la démarcation n'est pas toujours nette. C'est pourquoi la plupart des historiens n'ont pas fait la distinction. Elle existe cependant et il est nécessaire d'essayer de la marquer avec autant de précision que possible.
Les
touristes, regardent le porche majestueux, hésitent puis repartent à
grand pas vers la place Venise, en plein Rome, laissant de côté un
monument exceptionnel vieux de près de 2.000 ans au destin
mouvementé : Les Marchés de Trajan.
Ce
complexe de bâtiments, qui a abrité au fil des siècles une caserne
et un couvent, est accroché à flanc de colline et offre une vue
imprenable sur les forums Romains, le Colisée et l'Autel de la
Patrie surplombant la place Venise.
Contrairement
à ce que son nom peut faire croire, les Marchés de Trajan,
construits au IIe siècle, n'est pas le centre commercial de la Rome
impériale.
LA GALERIE INFÉRIEURE |
Mais
l'équivalent d'un grand centre administratif chargé de la gestion
du Forum de Trajan situé juste à côté : Il faut donc imaginer des
bureaux, des salles de réunion fourmillant de fonctionnaires avec à
leur tête un « procurator fori traiani », explique
Lucrezia Ungaro, directrice du site...
Les
Marchés s'étendent sur des milliers de m² répartis sur six
niveaux reliés entre eux par des escaliers et 3 rues piétonnes,
dont la Via Biberattica, une voie romaine encore revêtue de ses
énormes plaques de basalte.
La
majestueuse Grande Aula est un bel espace à la voûte
impressionnante où trônent des statues antiques, tandis que les
terrasses s'ouvrent sur un panorama exceptionnel : A gauche le
Colisée, en face le Forum Romain avec en arrière-plan la colline du
Palatin et à droite la masse blanche de l'Autel de la Patrie.
Le
jardin des Milices, qui tient son nom de la tour penchée qui le
surplombe, est le havre de paix idéal. Cette tour massive en briques
rouges, la plus haute de Rome, a été construite entre le XIIe et le
XIIIe siècles par des familles nobles qui convertissent le site en
forteresse.
Nouveau
changement de destination au XVIe siècle, lorsque des sœurs
Dominicaines y installent un couvent en réorganisant les lieux, où
elles resteront 3 siècles avant de devoir laisser la place à une
caserne après l'unification Italienne.
Ce
n'est qu'au XXe siècle que les fouilles archéologiques le rendent à
son état originel en le dépouillant des ajouts effectués au cours
des siècles. Aujourd'hui, la Grande Aula accueille des expositions
temporaires, mais aussi des apéritifs culturels et des concerts...
LA VIA BIBERATTICA |
Le
complexe a été inséré sur le côté du Quirinal et a servi à
compléter le Forum de Trajan. Apollodore a construit une façade
monumentale semi-circulaire bordée par une rangée de colonnes. Aux
deux extrémités se trouvent de petites exèdres recouvertes par un
demi-dôme.
Les
niveaux supérieurs de ce marché semi-circulaire en brique et en
béton qui, dont une partie s'élevant jusqu'à 6 étages et sont
utilisés comme bureaux d'où tout le marché est géré. Adjacent à
ces bureaux il y a un grand entrepôt.
Les
niveaux inférieurs, centre de l'activité, accueillent les marchands
vendant une variété de produits pour le citoyen Romain moyen, y
compris du vin, de l'huile, des fruits, des légumes, et
d'autres articles d'épicerie.
Ces
magasins s’appellent «tabernae », petites cellules voûtées
avec de petites fenêtres et une grande ouverture sur la rue.
Au
total, il y a plus de 150 tabernae dans le complexe elles sont
souvent décorées de mosaïques représentant les marchandises
vendues dans le magasin. Les clients paient avec des jetons spéciaux
qu'ils achètent avant de commencer à faire leurs achats.
Dans la partie inférieure du marché se trouve la Grande Salle, de 32 mètres de long et 8 mètres de haut. Cette salle, peut-être utilisée pour des concerts, des discours ou l'éducation.
Dans la partie inférieure du marché se trouve la Grande Salle, de 32 mètres de long et 8 mètres de haut. Cette salle, peut-être utilisée pour des concerts, des discours ou l'éducation.
Le
toit du marché est conçu pour créer de la lumière et de l'espace,
façonné comme une voûte de béton posée sur des piliers pour
permettre à la lumière du soleil de s'infiltrer tout en protégeant
les consommateurs contre les intempéries.
LE MARCHE DE TRAJAN |
Les
Marchés de Trajan nous donnent un bon aperçu de l'architecture
urbaine Romaine, car ils sont l'une des rares structures de grande
hauteur qui ont été conservées.
Malgré de nombreuses années d’abandon et les dommages subis lors du séisme de 1349, le complexe est encore en assez bon état.
Malgré de nombreuses années d’abandon et les dommages subis lors du séisme de 1349, le complexe est encore en assez bon état.
En
1574, le couvent de Santa Caterina da Siena a été construit sur
une partie du Marchés de Trajan, mais il a été démoli entre
1911 et 1914.
La
restauration du complexe a été réalisée sous le régime fasciste
de 1926 à 1934.
Le
modernisme de ce marché est surprenant. De nos jours, avec les
moyens de transport modernes, on offre du poisson frais dans les
poissonneries, c’est-à-dire pêché la veille, objet d’une criée
sur le port le soir, transporté la nuit et arrivé à Paris le
matin.
Mais
les Romains de l’antiquité mangent du poisson encore plus frais,
parce qu’on le transporte vivant dans des jarres emplies d’eau de
mer, et on le conserve dans les viviers de la poissonnerie. Il
frétille encore dans le panier de la ménagère... Les fouilles ont
permis d’identifier, par exemple, des traces de fruits et de
légumes de pays tropicaux.
COURSIVE DES ÉTAGES. |
Sous
l'Empire, la distribution du congiarium devient régulière. Les
denrées qu'on ne donne pas gratuitement au peuple, on les lui
fournit, dans certains cas, à prix réduit. Septime Sévère, au
lieu de farine, fait distribuer du pain. Aurélien rend journalières
les distributions qui auparavant étaient mensuelles, attribuant à
chaque bénéficiaire, accipiens, 2 livres de pain de fine fleur de
farine et, en outre, de la viande de porc et de l'huile.
Pour pourvoir à l'approvisionnement d'une population d’un million d’âmes environ, il faut une administration nombreuse et une surveillance active, il faut faire venir le blé et le bétail des provinces éloignées, moudre la farine, cuire le pain, débiter la viande, opérer la distribution et ne pas faillir un seul jour à cette tâche sous peine de compromettre la sûreté de l'État.
Pour pourvoir à l'approvisionnement d'une population d’un million d’âmes environ, il faut une administration nombreuse et une surveillance active, il faut faire venir le blé et le bétail des provinces éloignées, moudre la farine, cuire le pain, débiter la viande, opérer la distribution et ne pas faillir un seul jour à cette tâche sous peine de compromettre la sûreté de l'État.
PLAN DU MARCHE |
Ce
mouvement se règle automatiquement de lui-même et presque toujours
sans grande difficulté par le commerce et l'industrie sous le régime
de la liberté, le mécanisme devient compliqué et d'une manœuvre
laborieuse sous le régime de l'autorité. Cependant, dans des temps
et des pays très divers, la raison d'État a très souvent fait
soumettre, dans les villes, la boulangerie et la boucherie à une
réglementation spéciale... La sollicitude des empereurs s’étend
par delà le débitant qui fournit le pain ou la viande, elle va
jusqu'au lieu de production des denrées et à leur transport à
Rome.
Trajan remplace le système de réquisition par le commerce libre, passant des traités avec des particuliers ou avec des compagnies dont il s'assure le concours et en conférant de grands privilèges à tous ceux, provinciaux ou citoyens, qui entreprennent ces transports. Bientôt, par suite de ces avantages, se forment des collèges de naviculaires qui traitent avec l'État et sur lesquels les premiers enseignements fournis par l'histoire datent des règnes d'Antonin et de Marc-Aurèle. On constate que sous Septime Sévère, l'immunité est attachée au titre de membre d'un collège de naviculaires et que le transport est devenu une charge, munus publicum.
Volontairement acceptée dans le principe, cette charge finit par devenir peu à peu obligatoire pour le collège surtout à partir de Dioclétien. Les fonctions des naviculaires sont aussi devenues à peu près héréditaires et les membres ne peuvent dégager de l'obligation ni leurs personnes ni leurs biens. Quand ils meurent sans héritiers, ce bien est dévolu non au fisc, mais à la corporation dont ils sont membres, les soumettant à un contrôle relatif aux quantités de blé dont le transport leur est confié.
La distinction entre les collèges de naviculaires des anciennes compagnies de publicains, est la durée temporaire de l'une et la perpétuité de l'autre. A ces collèges l'État fournit des matériaux de construction et paie un fret déterminé, pas seulement le blé, mais l'huile et d'autres denrées en nature, le bois destiné à chauffer les bains publics, l'argent des impôts dont le transport leur est confié.
Trajan remplace le système de réquisition par le commerce libre, passant des traités avec des particuliers ou avec des compagnies dont il s'assure le concours et en conférant de grands privilèges à tous ceux, provinciaux ou citoyens, qui entreprennent ces transports. Bientôt, par suite de ces avantages, se forment des collèges de naviculaires qui traitent avec l'État et sur lesquels les premiers enseignements fournis par l'histoire datent des règnes d'Antonin et de Marc-Aurèle. On constate que sous Septime Sévère, l'immunité est attachée au titre de membre d'un collège de naviculaires et que le transport est devenu une charge, munus publicum.
Volontairement acceptée dans le principe, cette charge finit par devenir peu à peu obligatoire pour le collège surtout à partir de Dioclétien. Les fonctions des naviculaires sont aussi devenues à peu près héréditaires et les membres ne peuvent dégager de l'obligation ni leurs personnes ni leurs biens. Quand ils meurent sans héritiers, ce bien est dévolu non au fisc, mais à la corporation dont ils sont membres, les soumettant à un contrôle relatif aux quantités de blé dont le transport leur est confié.
La distinction entre les collèges de naviculaires des anciennes compagnies de publicains, est la durée temporaire de l'une et la perpétuité de l'autre. A ces collèges l'État fournit des matériaux de construction et paie un fret déterminé, pas seulement le blé, mais l'huile et d'autres denrées en nature, le bois destiné à chauffer les bains publics, l'argent des impôts dont le transport leur est confié.
Leur
immunité consiste dans l'exemption à perpétuité et pour toute
l'étendue de l'Empire des charges fiscales et des fonctions
publiques. « Il a paru juste, dit le jurisconsulte Callistrate,
de les indemniser des périls qu'ils courent et même de les
encourager par des récompenses, car il n'est pas déplacé de dire
que lorsqu'ils s'occupent de l'approvisionnement de la ville ils sont
absents pour cause d'intérêt public. » Aussi les immunités
ne s'appliquent-elles ni aux enfants des naviculaires, ni aux
personnes qui se font recevoir dans un collège de naviculaires sans
posséder de navire ou sans avoir la plus grande partie de leur
fortune engagée dans une entreprise de naviculaires.
Histoire de l'alimentation - Résultats Google Recherche de Livres
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https://books.google.fr/books?isbn=2213703566
Massimo
Montanari, Jean-Louis Flandrin - 1996 - History
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d'Égypte et qui ne sont attestées que temporairement, sous le règne
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Trajan dans une bonne ...
Encyclopédie
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agora.qc.ca/.../rome_antique--histoire_du_travail_dans_la_rome_antique__colleges_c...
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avr. 2012 - L'alimentation du peuple à Rome. ... La fonction des
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censeurs et les questeurs ...
Les
Marchés de Trajan - Mercati Traiani - Plan de Rome
https://www.unicaen.fr/cireve/rome/pdr_maquette.php?fichier=visite_marches_trajan
Les
Marchés de Trajan constituaient un ensemble d'édifices, encore bien
... encore bien conservée aujourd'hui, connue sous le nom de via
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