12
janvier 2017...
Cette
page concerne l'année 110 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
LE PANTHÉON ROMAIN ET SES SPÉCIFICITÉS.
Le
Panthéon de Rome est un édifice religieux antique situé sur la
piazza della Rotonda (Rome), bâti sur l'ordre d'Agrippa au
Ier siècle av. J.-C., endommagé par plusieurs incendies,
et entièrement reconstruit sous Hadrien (début du IIe siècle).
À
l’origine, le Panthéon est un temple dédié à toutes les
divinités de la religion antique. Converti en église chrétienne au
VIIe siècle, c’est le plus grand monument Romain antique qui
nous soit parvenu en état pratiquement intact, du fait de son
utilisation ininterrompue jusqu'à nos jours... Il donne son nom à
un quartier de Rome.
Le
nom du Panthéon est issu de l'adjectif grec πάνθειον
/ pántheion, qui signifie « de tous
les dieux ». La plupart des auteurs latins le nomment sous la
forme grécisante Pantheon. La forme
latinisée Pantheum est attestée chez
Pline l'Ancien.
Le
Panthéon supporte la plus grande coupole de toute l’Antiquité
avec 150 pieds romains soit 43,30 m de diamètre à
l'intérieur (ou 43,44 m3), qui reste la plus grande du monde en
béton non armé.
Après
presque 2 millénaires, cette construction remarquable ne présente
pas de signe de faiblesse de sa structure en dépit des mutilations
volontaires et des mouvements telluriques répétés
Le
Panthéon original est construit en 27 av. J.-C., au début du règne
d’Auguste, par Agrippa, compagnon d’Auguste, participant ainsi à
la politique d’embellissement de la Ville.
Il
édifie le Panthéon et les thermes d’Agrippa en marge de la partie
urbanisée de Rome, près du Champ de Mars, région propice aux
grands aménagements urbains.
La
date de cette construction correspond au 3e mandat de consul
d’Agrippa, dont le nom est gravé sur le portique d’entrée. Sur
cette inscription, on peut lire :
M.AGRIPPA.L.F.COS.TERTIVM.FECIT
Ce
troisième consulat date de 27 av. J.-C..
D’après
des fouilles menées à la fin du XIXe siècle, le premier
temple est rectangulaire, avec un pronaos (partie antérieure du
temple) ouvert vers le sud, et une cella (partie intérieure et
fermée du temple) transversale plus large (environ 40 mètres)
que longue. Il est construit en blocs de travertin et revêtu de
plaques de marbre. Selon l’usage, il est entouré d’un espace
libre, aujourd’hui en partie occupé par le temple d’Hadrien, et
bordé au sud par la basilique de Neptune :
C’est
également en airain de Syracuse que sont les chapiteaux des colonnes
du Panthéon placés par M. Agrippa.
Le
Panthéon d’Agrippa a été décoré par Diogène d’Athènes, et
les Cariatides qui sont aux colonnes de ce temple passent pour des
chefs-d’œuvre, ainsi que les statues posées sur le faîte.
Le
grand incendie de Rome de l’année 80 détruit plusieurs temples,
dont le temple d’Agrippa. L’empereur Domitien les restaure, et
selon Suétone, y fait graver son nom.
Le
Panthéon d’Agrippa est détruit par un nouvel incendie en 110,
sous Trajan... Entièrement reconstruit sous le règne de l’empereur
Hadrien, vers l’an 125, comme le révèlent les dates imprimées
dans les briques, comprises entre 123 et 125.
On
peut supposer qu'Hadrien l’a inauguré lors de son séjour prolongé
à Rome entre 125 et 128. Il en fait même usage occasionnellement de
tribunal, rendant la justice en compagnie de quelques sénateurs.
Le
plan du nouvel édifice est exceptionnel, sans précédent dans
l’architecture romaine. L’influence d’Hadrien sur la conception
du bâtiment est envisageable, si l’on considère l’originalité
de l’architecture de la villa qu’il se fait bâtir près de Rome.
Le visiteur qui franchit le classique pronaos à colonnes du Panthéon
quitte un monde rectiligne et lumineux pour se trouver enveloppé
dans la pénombre d’une cella circulaire et non plus rectangulaire,
surmontée d’une coupole immense.
Des
temples à cella ronde sont édifiés à l’époque archaïque,
comme le temple de Vesta ou le temple d’Hercule Victor, mais dans
des dimensions beaucoup plus modestes, et jamais accolés à un
porche classique.
Selon
Dion Cassius, le temple abrite de nombreuses statues, dont celles
d’Arès, (Mars), père de Romulus, celle d’Aphrodite, (Venus),
divinité ancestrale de la gens Iulia, ainsi que celle du divin Jules
César.
Toujours
selon Dion Cassius, Auguste a repoussé la suggestion d’Agrippa
d’ajouter sa propre statue aux trois précédentes, acceptant
seulement de figurer dans le pronaos.
L’entrée
est donc gardée de part et d’autre par les statues d’Auguste et
d’Agrippa, tous deux consuls en 27 av. J.-C., ce qui respecte en
apparence la parité républicaine des pouvoirs et confirme
l’ascension d’Agrippa comme héritier potentiel d’Auguste.
Plutôt
qu’un culte impérial qui n’ose alors s’afficher comme tel, les
dirigeants Romains proposent un culte plus vaste et plus neutre,
celui de tous les dieux, « Panthéon », ainsi nommé par
Pline l’Ancien.
Il
semble pour Hadrien, que le Panthéon doit être le temple de tous
les dieux, une sorte de geste œcuménique ou syncrétique à
l’adresse de tous ceux qui dans l’empire Romain n’adorent pas
les vieilles divinités de Rome, ou qui les adorent sous d’autres
noms. Toutefois, selon Henri Stierlin et de façon plus évidente, en
combinant la sphère et le cercle, symboles helléniques de
perfection, à la présence solaire, Hélios, divinité incarnée par
les rois en Orient, Hadrien amplifie implicitement le culte impérial,
suivant une tendance orientaliste que poursuivront ses successeurs.
Dès
lors, quand Hadrien rend des décisions de justice dans son Panthéon,
usage exceptionnel pour un temple, il se met en scène comme une
émanation de l’Hélios royal.
« Remonté
pour la structure même de l’édifice aux temps primitifs et
fabuleux de Rome, aux temples ronds de l’Étrurie antique. J’avais
voulu que ce sanctuaire de tous les Dieux reproduisît la forme du
globe terrestre et de la sphère stellaire, du globe où se
renferment toutes les semences du feu éternel, de la sphère creuse
qui contient tout.
C’était
aussi la forme de ces huttes ancestrales où la fumée des plus
anciens foyers humains s’échappait par un orifice situé au faîte.
La coupole, construite d’une lave dure et légère, qui semblait
participer encore au mouvement ascendant des flammes, communiquait
avec le ciel par un grand trou alternativement noir et bleu. Ce
temple ouvert et secret était conçu comme un cadran solaire. Les
heures tournaient en rond sur ces caissons soigneusement polis par
les artisans Grecs, le disque du jour y restait suspendu comme un
bouclier d’or, la pluie formait sur le pavement une flaque pure, la
prière s’échappait comme une fumée vers ce vide où nous mettons
les dieux. »
— Marguerite
Yourcenar, Mémoires d’Hadrien, 1951, Plon
La
conception du nouvel édifice peut être l’œuvre de l'architecte
Apollodore de Damas, contemporain d’Hadrien, déjà auteur probable
des grandes réalisations de Trajan : Forum, thermes et marchés
de Trajan. Malheureusement, aucun document ne vient conforter cette
hypothèse. Après l’impulsion apportée par les projets novateurs
de Néron, suivis des réalisations colossales des Flaviens et de
Trajan, les Romains maîtrisent parfaitement les techniques de l’art
du bâtiment, comme en témoignent les vastes coupoles de la domus
aurea de Néron et des thermes de Baïes : Celle du prétendu
« temple de Vénus » a un diamètre de 26 m, celle du
« temple de Diane » atteint 29,5 m et celle du temple
d’Apollon, près de Baïes, parvient à un diamètre de 38 m. Elles
sont toutes antérieures au règne d’Hadrien.
Les
connaissances techniques et le savoir-faire des bâtisseurs Romains
se déploient pour cette reconstruction du Panthéon : Leur
capacité à mobiliser efficacement une main-d’œuvre nombreuse,
l’usage combiné de la pierre, de la brique et du mortier, la
maîtrise des techniques du béton de chaux coulée sur coffrage,
contribuent au succès de la réalisation du nouveau temple.
L’esthétique n'est pas en reste, comme le montrent les effets
géométriques, le choix décoratif des matériaux et le travail sur
l’éclairage intérieur.
La
reconstruction du Panthéon conserve l’axe nord-sud de l’édifice,
mais inverse l’orientation de l’entrée et la dirige vers le
nord. Le pronaos et le bâtiment de transition avec la rotonde
occupent l’emplacement de l’ancien édifice, et la rotonde
remplit l’espace entre l’ancienne entrée et la basilique de
Neptune.
Le
nouveau temple est entouré d’un portique sur trois côtés
d’environ 60 m sur 120 m, et précédé d’une cour pavée de
travertin
Le
pronaos, qui mesure 33,1 m de large pour 15,6 m de profondeur, est
surélevé par un podium de 1,3 m et accessible par un escalier
de 5 marches. Au fil des siècles, le sol environnant s’est
exhaussé, et la place qui entoure le Panthéon atteint maintenant le
niveau du podium.
Le
portique de façade comporte 16 colonnes corinthiennes monolithes de
granite, à chapiteaux de marbre, disposées sur 3 rangs : 8
colonnes en façade suivies de 2 rangs de 4 colonnes.
Les
colonnes extérieures sont en granite gris clair, les 4 colonnes
intérieures sont en granite rose plus sombre. Toutes proviennent des
carrières d'Égypte. Les fûts de 12,5 m de hauteur pour un
diamètre à la base de 1,5 m pèsent environ 69 tonnes.
Innovation
architecturale à noter, le fût des colonnes n’est pas cannelé,
mais lisse. Deux colonnes ont été retirées au Moyen Âge à gauche
et remplacées par des colonnes des thermes de Néron au
XVIIe siècle.
La
colonnade ainsi disposée délimite 3 nefs, la nef centrale conduit à
la grande porte du temple, les 2 nefs latérales donnent sur 2 niches
en demi-cercle qui doivent abriter des statues, probablement celles
d’Auguste et d'Agrippa...
La
couverture du pronaos est en poutre et tuiles de bronze, aujourd’hui
remplacées par des tuiles classiques, le pape Urbain VIII ayant fait
fondre le bronze pour en faire le baldaquin de la basilique
Saint-Pierre.
Le
temple a 2 frontons surhaussés, le principal sur le portique,
l'autre contre le mur massif qui fait la transition entre le pronaos
et la rotonde. L’architrave porte 2 inscriptions, celle de la
fondation par Agrippa, et une seconde plus petite, mentionnant une
restauration sous Septime Sévère.
Le
fronton, actuellement nu, est orné de décors en bronze fixés par
des crampons. D’après la position des trous de fixation et la
connaissance du répertoire décoratif impérial, on suppose la
présence d’un aigle de bronze aux ailes déployées.
Entre
le pronaos et la rotonde un bâtiment intermédiaire, aussi large que
le pronaos qu’il prolonge, soit 34 m, mais plus haut que lui,
culmine au même niveau que la rotonde. Il forme le fond du pronaos
et relie le pronaos à la cella, livrant passage de l’un à l’autre
par son portail central. Sa couverture est en terrasse.
Les
actuelles portes de bronze, de proportion différente de celle de
l’entrée, proviennent d’un autre édifice antique, et sont les
plus grandes que l’Antiquité nous ait léguées. Les placages de
marbre blanc qui couvraient les parois extérieures et les décoraient
de pilastres cannelés sont partiellement en place.
Le
Panthéon est donc articulé en 3 blocs architecturaux aux volumes
différenciés, pronaos en prisme, bâtiment de transition cubique et
rotonde circulaire. L’unité visuelle et esthétique s’établit
d’une part grâce au prolongement des corniches médiane et
supérieure qui ceinturent le haut de la rotonde et du bâtiment de
transition, d’autre part par le dessin d’un second fronton sur la
façade du bâtiment de transition, en écho du fronton du pronaos.
Nous
savons tous que la culture latine est un pilier de notre civilisation
occidentale, héritée de l’Empire Romain. Nous avons tous appris à
l’école que les Romains avaient une civilisation et un mode de vie
avancés, qui n’avait pas trop de mal à intégrer les autres
cultures.
Au
Panthéon, ce sont 1 900 ans d’Histoire qui sont présents dans cet
ancien temple polythéiste, dédié à l’ensemble des dieux
romains, connu par les Romains actuels sous le nom de « Rotonde ».
C’est un plaisir de parler de ce monument, l’un des plus beaux
que Rome nous ai donnés, l’une des meilleurs façons de voyager
dans le passé et d’imaginer « comment c’était avant »
Le
Panthéon d’Hadrien, c’est une prouesse technique, une preuve du
génie de bâtisseurs des Romains. Les Romains n’aiment pas
l’échec, et ont sûrement voulu faire une construction qui résiste
mieux aux catastrophes que l’ancien Panthéon. Ils s’y sont
tellement bien pris que nous pouvons encore l’admirer aujourd’hui,
près de 2 millénaires après ! Ce temple devait glorifier le
culte impérial, comme le suggère l’historien Romain Dion Cassius.
L’énorme coupole de 43 mètres de hauteur et de même diamètre
(150 pieds romains) représente la voûte céleste, demeure de tous
les dieux, restée longtemps la plus grande du monde.
Cette
coupole est une réussite totale. Nulle part ailleurs on n'a cette
impression, avec une coupole située si haut, illuminée par un
« oculus », l’ouverture de 8,7m centrale laissant
entrer une lumière énigmatique, mais aussi la pluie...
La
coupole est donc un chef d’œuvre de l’architecture et ingénierie
romaines, avec ses 5 rangées de caissons et ses alvéoles en
perspective. La correcte répartition des poids afin que l’ensemble
tienne et résiste est une prouesse des ingénieurs de l’époque,
encore admirée et étudiée de nos jours.
La
coupole est originellement couverte de bronze, mais ce bronze, d’une
valeur inestimable, sera récupéré à plusieurs reprises par les
dirigeants de l’époque, au gré des besoins financiers.
Une
première fois en 663, les tuiles de bronze doré qui recouvrent la
coupole sont « volées » par l’empereur Byzantin
Constant II, qui en a besoin pour financer sa guerre contre les
Lombards.
Une
deuxième fois, le bronze qui sert de décoration intérieure est
pris par le pape Urbain VIII pour construire le baldaquin de Saint
Pierre…
Les
murs en brique du Panthéon sont originellement recouverts de marbre.
Nous n’avons plus le marbre aujourd’hui, à part quelques rares
petits bouts, on ne peut qu’imaginer la beauté du Panthéon à
l’époque d’Hadrien !
La
richesse de détails que l’on observe dans ces marbres, la finesse
des sculptures, la beauté de ces œuvres d’Art ne seront sans
doute jamais récupérées, tout comme ce fronton désespérément
vide, où ne se trouve plus aucun bas-relief, plus d’aigle de
bronze comme autrefois...
Mais
la structure générale du temple demeure, comme à l’époque, et
l’édifice sert aujourd’hui à accueillir d’illustres Italiens,
comme le premier roi d’Italie Victor Emmanuel II ou le peintre
Raphaël.
Les
meilleurs matériaux sont utilisés dans la construction, comme ces
16 colonnes corinthiennes du portique en granite d’Égypte, grises
pour les extérieures, roses pour les intérieures, ou ces chapiteaux
taillés dans du marbre blanc. Pour la petite histoire, les 2
colonnes à gauche ne sont pas d’origine, elles ont été retirées
au Moyen-âge. On les remplace au XVIIe siècle par d’autres
colonnes venant des thermes de Néron, d’où leur couleur un peu
différente.
On
imagine mal le travail il a fallu abattre à l’époque de l’Empire
Romain pour réaliser un tel monument, avec les moyens techniques
dont ils disposent ! L’énorme salle intérieure circulaire
possède des murs de 6m d’épaisseur !
Le
décor intérieur du Panthéon a très peu changé. Tout ou presque
est d’époque. Le sol a été restauré au XIXe siècle, et
respecte l’esprit originel.
On
peut voir aujourd’hui dans les murs à ras du sol 7 niches
surplombées par une corniche, qui servaient à accueillir dans le
temps les statues des dieux qui y étaient vénérés.
On
y trouve notamment une statue de Jules César, dont le « génie »
a été déifié. Les petites niches que l’on peut voir sur le
niveau supérieur sont l’un des rares changements de la décoration,
datant de 1747, restaurés partiellement en 1930 à leur état
originel.
Ces
fenêtres grillagées étaient au temps des romains de véritables
fenêtres, laissant passer la lumière, renforçant encore plus le
côté « divin » de ce dôme. Le Panthéon a connu
d’autres outrages, dont le plus notable est certainement ce que les
Romains nommèrent « oreilles d’âne du Bernin ».
En
effet, l’artiste Italien a ajouté deux clochetons à l’ouvrage
Romain, qui fort heureusement ont été détruits en 1882, restituant
l’aspect original...
Le
Panthéon n’a peut-être pas beaucoup changé au fil des siècles,
mais ce n’est bien sûr pas le cas de son environnement. Avec le
temps, le sol environnant s’est relevé, enterrant petit à petit
le podium, l’escalier qui permettait d’accéder à l’édifice.
Le bâtiment ne doit la vie sauve qu’à sa conversion en église
par le pape Boniface IV en 609, lorsque l’empereur Byzantin Phocas
lui en fait don. Son nom officiel sera désormais la Basilique de
Sancta Maria ad Martyres (Sainte Marie des Martyrs), plus connue sous
le nom de Santa Maria Rotonda au Moyen-âge.
Il
faut dire que cette période de l’Histoire n'a pas été bénéfique
pour l’architecture antique, considérée comme païenne et donc
impure.
Panthéon
(Rome) — Wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Panthéon_(Rome)
Le
Panthéon de Rome est un édifice religieux antique situé sur la
piazza della Rotonda (Rome), bâti sur l'ordre d'Agrippa au I er
siècle av. J.-C. , endommagé par plusieurs incendies, et
entièrement reconstruit sous .... Le Panthéon d'Agrippa fut détruit
par un nouvel incendie en 110, sous Trajan. Il fut entièrement
reconstruit ...
Voyage
dans la Rome Antique : le Panthéon - Vicedi
https://vicedi.com/pantheon/
Avant
le Panthéon actuel, il existait déjà un temple dédié aux dieux
sur le ... 30 ans plus tard, en 110, un nouvel incendie ravagera
complètement l'édifice. ... de reconstruction débutent, se
terminant au bout de 10 années de travail, en 128.
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