7
FEVRIER 2017...
Cette
page concerne l'année 83 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
LA
VIE HONNÊTE ET SIMPLE D'AGRICOLA.
AGRICOLA |
Né
à Fréjus, antique et célèbre colonie grecque puis romaine, Cnaeus
Julius Agricola fait partie de ces provinciaux studieux qui serviront
encore pendant 3 siècles Rome avec dévouement. Il fait ses études
à Marseille, et entre dans la carrière civile et militaire, sert
comme tribun en Bretagne (60), puis comme questeur en Asie (63), sous
Néron.
Son
père, Julius Grécinus, est mis à mort, sous le règne de Caligula,
pour avoir répondu par un refus à l'ordre, venu de l'empereur,
d'accuser Silanus. C'est sous l’œil de sa mère, Julia Procilla,
que grandit Agricola, élevé à Marseille, ville où règnent, dans
une heureuse harmonie, dit Tacite, la politesse grecque et la
frugalité provinciale.
Dans
les écoles de la cité Phocéenne, il prend un goût très vif pour
la philosophie, mais il néglige bientôt ses études de jeunesse
pour entrer dans la carrière des armes. Il fait l'apprentissage de
la guerre en Bretagne dans les légions de Suetonius Paullinus, sous
le règne de Néron, il y acquiert une profonde connaissance du pays
et des mœurs des habitants dont il fait son profit quand il retourne
dans cette île, comme chef d'armée.
Après
ses débuts militaires, Agricola revient à Rome et se marie avec
Domitia Decidiana. De ce mariage naît une fille, qui épousera
Tacite.
Beau-père
de Tacite qui a écrit sa biographie, cet homme honnête et
scrupuleux résiste aux tentations de la richesse et de la
concussion.
Modeste,
il se fait remarquer par son seul travail, et Vespasien le nomme
gouverneur de l'Aquitaine, poste qu'il occupe entre 74 et 76.
Consul
en 77, il revient en Bretagne l'année suivante comme gouverneur.
S'il soumet militairement cette province, il se montre aussi un
excellent administrateur civil et s'attaque aux causes des révoltes
Bretonnes, il supprime les impôts, répartit d'une manière plus
équitable les taxes de blé et d'argent, et visite les populations
déshéritées, fait construire des demeures et des temples, en
résumé, il entreprend la pacification et la romanisation de la
province.
Il
ne l'impose pas par la force, mais par l'exemple et la persuasion.
Modèle des gouverneurs de province, Agricola a par la suite des
émules qui permettront à Rome de dominer pacifiquement le monde
Méditerranéen.
Domitien,
jaloux des succès d'Agricola, le rappelle en 85 et le fait sans
doute empoisonner en 93... Comme l'écrit Tacite : « Beaucoup
d'anciens héros tomberont obscurs et sans honneur dans l'abîme de
l'oubli... Agricola rappelé tout entier à la postérité, ne mourra
point. »
Rome
dédaigne l'Irlande. La conquête de l’Île aurait pu apporter la
civilisation latine.
En
82, Agricola masse des troupes dans l'ouest de la Britannia, car un
Ri (roi) vient de se faire chasser par un guerre interne.
Agricola
l'accueille et pense s'en servir. Tacite dit : « Je lui ai
entendu dire qu'avec une légion et des troupes auxiliaires de peu
d'importance, on pourrait venir à bout de cette Hibernie et la
conserver tout à fait. De plus cette conquête sera utilisée contre
la Britannia si nécessaire ». Mais Rome n'a pas suivi les
projets d'Agricola.
En
83, après avoir envoyé l'équivalent d'une légion et autant
d'auxiliaires pour soutenir la campagne de l'empereur Domitien contre
les Chattes, Agricola remporte la victoire du Mons Graupius.
C'est
une véritable bataille après des années d'esquive pour les
Calédoniens qui cette fois sont privés de leurs greniers et obligés
de combattre ou de subir la disette l'hiver suivant.
A
la fin de l'été, entre 20 000 et 30 000 Calédoniens rencontrent
une force à peu près égale sous commandement Romain. Le
recrutement de légionnaire est momentanément tari en Britannia, la
campagne contre les Chattes est prioritaire. Agricola fait face en
incorporant de nombreux auxiliaires Bretons au sein des tribus pour
les utiliser dans l'île ce qui n'est pas habituel dans l'armée
Romaine. Cette bataille oppose essentiellement les auxiliaires du
côté Romain aux tribus Calédoniennes. Les légions restent à
l'écart du combat.
Tacite
prête à Calgacus, l'un des chefs Calédoniens les paroles suivantes
(parlant des Romains à ses guerriers la veille du combat) :
« Pillards
de l’univers, maintenant que les terres ont fait défaut à leur
dévastation totale, ils explorent la mer. L’ennemi est riche, ils
sont cupides, il est pauvre, ils sont en quête de gloire, eux que ni
l’Orient ni l’Occident n’a rassasiés. Seuls entre tous, ils
convoitent avec la même passion abondance et indigence. Dérober,
massacrer, voler, cela s’appelle dans le mensonge de leur
vocabulaire « autorité ;», et « paix » là où ils créent un
désert. » Tacite Vie d'Agricola 29-30
Agricola étend sa ligne dont la profondeur est réduite à 6 hommes. De même la cavalerie, sur chaque flanc est en position statique pour allonger la ligne Romaine.
Agricola étend sa ligne dont la profondeur est réduite à 6 hommes. De même la cavalerie, sur chaque flanc est en position statique pour allonger la ligne Romaine.
Les
Calédoniens sont sur les collines douces et entourent le dispositif
Romain. Agricola envoie 4 cohortes de Bataves et 2 de Tongres qui
repoussent les Calédoniens bien moins armés.
Les
auxiliaires montent sur les collines et empêchent les chars et la
cavalerie de les déloger. Les Bretons situés plus haut menacent
d'envelopper les troupes Romaines, Agricola envoie contre eux 4
escadrons de réserve et les Calédoniens déroutent, la poursuite
est impitoyable, les Calédoniens perdent environ 10 000 combattants,
les Romains selon Tacite ont 340 pertes.
Après
la victoire, Agricola envoie la flotte contourner le territoire des
Pictes par le Nord pour vérifier que c'est une île et soumettre les
Orcadiens. Agricola est rappelé et tombe en disgrâce. Ses
successeurs ne seront pas aussi efficaces contre les Calédoniens et
Domitien puis Trajan prélèvent tellement de troupes que la
perspective de conquérir le nord de l'île s'éloigne... Les
forteresses semblent abandonnées précipitamment vers 86.
La
conquête du territoire des Pictes et de l'Hibernie (actuelle
Irlande) ne se fera pas, Rome a compris que les habitants de
l'actuelle Écosse et de l'Hibernie sont un autre peuple que les
Celtes qu'ils ont assimilés.
Les
Romains confisquent systématiquement les terres des chefs vaincus.
La Britannia est incorporée dans les institutions de l'Empire et la
construction d'un réseau routier correspond aux normes de
sécurité romaines, il s'agit de transporter les légions d'une
région à l'autre en un minimum de temps.
La
Britannia Romaine ne peut s'étendre plus loin que l’Écosse des
basses terres.
En
effet, la géographie des lieux prédispose à la fuite. Les révoltes
continuent, en particulier en 115, la garnison d'Eboracum (York) est
éliminée par les Bretons et l'empereur Hadrien décide de retirer
la Legio IX très diminuée suite aux nombreuses révoltes et la
remplace par la Legio VI Victrix.
CALGACUS |
En
80 Gnaeus Julius Agricola, le Gouverneur de la province Romaine de
Britannia, arrive à l'idée d'envahir le Nord de l'île. Cela fait
depuis moins de 40 ans que les Romains ont posé pied sur le sol
Britannique, et leur présence a déjà romanisé les peuples locaux.
Afin
de sécuriser la frontière au Nord, Agricola décide de soumettre
les nombreuses tribus Écossaises. Cette même année, lui et son
armée de 20 000 légionnaires atteignent la Rivière Tay au Nord et
s'y installent en fondant un camp.
Plus
tard, un commandant Romain décrit les terres au Nord du Tay comme
celles où « le monde et les créations arrivent à leur fin. »
L'année
suivante, en 81, une chaîne de 20 forts est construite dans le mince
espace entre le Forth et le Clyde.
2 ans après ces événements, Agricola revient dans le Nord, se tournant cette fois ci vers l'Ouest pour conquérir le Galloway. Il frappe ensuite vers le Nord jusqu'à la région de Moray avec sa flotte suivant la côte et les ravitaillant par la mer.
Cette
progression en terre Ecossaise se fait sans embûches ni oppositions,
Agricola construit à nouveau une dizaine de forts sur son chemin,
cela étant consolidée par la construction de plus de 1 300 miles (2
000 Km) de routes au Nord du Tyne.
Aux alentours de l'année 84, la bataille du mont Graupius (Monts Grampians aujourd'hui) a lieu. Depuis des années, il y a de nombreuses théories pour connaître l'emplacement exacte de la bataille, malgré qu'il soit généralement pensé qu'elle est eu lieu aux alentours de Benaches dans le comté d'Aberdeen.
Calgacus, un chef local, a uni les tribus du Nord contre les Romain, et la bataille est décrite par le beau-fils d'Agricola, l'historien et sénateur romain Tacite... Près de 30 000 Coledonii ont ainsi combattu l'armée d'Agricola.
Par
Caledonii, Tacite désigne les habitants du Nord de l’Écosse, même
si d'autres les désignent comme Pictes, ou Hommes peints. Tacite
imagine ainsi le discours que Calgatus a fait à ses hommes et
compagnons :
« Toutes les fois que je considère les causes de la guerre et l'extrémité à laquelle nous sommes réduits, un grand espoir m'anime, oui, ce jour même et votre accord fonderont l'époque de la liberté de toute la Bretagne. Et en effet, tous nous fûmes exempts de la servitude, au delà plus de terres, la mer même ne serait pas un asile : La flotte Romaine nous y menace. Ainsi le combat et les armes, seul parti honorable pour les braves, sont ici même le plus sûr pour les lâches.
« Toutes les fois que je considère les causes de la guerre et l'extrémité à laquelle nous sommes réduits, un grand espoir m'anime, oui, ce jour même et votre accord fonderont l'époque de la liberté de toute la Bretagne. Et en effet, tous nous fûmes exempts de la servitude, au delà plus de terres, la mer même ne serait pas un asile : La flotte Romaine nous y menace. Ainsi le combat et les armes, seul parti honorable pour les braves, sont ici même le plus sûr pour les lâches.
Les
guerres précédentes, où l'on combattit contre les Romains avec une
fortune diverse, avaient leur espoir et leur ressource en nous, nous
les fils les plus nobles de la Bretagne, et qui, placés au fond même
de son sanctuaire, et ne voyant pas les rivages de la servitude,
avons eu nos yeux même préservés du contact de la tyrannie.
Placés
à l'extrémité du monde, derniers restes de sa liberté, cette
retraite, qui nous cache à la renommée, nous avait jusqu'ici
protégés : Maintenant les dernières limites de la Bretagne
sont à découvert, ce qu'on ignore est ce qui en impose. Mais
derrière nous plus de nation, rien, que des flots et des rochers, et
à l'intérieur sont les Romains, à l'orgueil desquels vainement
vous penseriez échapper par l'obéissance et par la soumission :
Envahisseurs de l'univers, quand les terres manquent à leurs
dévastations, ils fouillent même les mers, avares, si l'ennemi est
riche, ambitieux, s'il est pauvre.
Ni
l'Orient ni l'Occident ne les ont rassasiés, seuls, de tous les
mortels, ils poursuivent d'une égale ardeur et les richesses et la
misère : Enlever, égorger, piller, c'est, dans leur faux
langage, gouverner, et, où ils ont fait un désert, ils disent
qu'ils ont donné la paix.
La
nature a voulu que les enfants et les parents soient à chacun ce
qu'il a de plus cher : Ils nous sont enlevés par des
enrôlements, pour aller obéir en d'autres climats. Si nos épouses
et nos sœurs échappent à la brutalité ennemie, les Romains les
déshonorent sous le nom d'hôtes et d'amis.
Nos
biens, nos fortunes, sont absorbés par les tributs, nos blés, par
les réquisitions, nos corps mêmes et nos bras s'usent, sous les
coups et les opprobres, à des travaux au milieu des bois et des
marais.
Les
malheureux nés dans l'esclavage, une seule fois vendus, sont nourris
par leurs maîtres : La Bretagne achète chaque jour sa propre
servitude, chaque jour elle l'entretient.
Et,
comme dans une maison le plus nouveau des esclaves est le jouet même
de ses camarades, ainsi, dans cet antique servage du monde, nouveaux
et méprisés, nous sommes destinés à être victimes. Nous n'avons
point, en effet, des champs, des mines, ou des ports aux travaux
desquels on puisse nous réserver, nous n'avons que du courage et de
la fierté, vertus insupportables à des dominateurs, et plus notre
éloignement et le mystère de nos retraites nous protègent, plus
nous sommes suspects.
Ainsi,
perdant tout espoir de pardon, enfin prenez courage, et vous à qui
la vie, et vous à qui la gloire est la plus chère.
Les
Trinobantes, conduits par une femme, ont pu incendier la colonie des
Romains, dévaster leur camp et, si leur prospérité ne les avait
endormis, ils auraient secoué à jamais le joug. Nous, intacts et
indomptés, nous qui n'avons point à conquérir une liberté, dès
le premier choc ne montrerons-nous pas quels hommes la Calédonie
s'est réservés ?
Croyez-vous aux Romains autant de courage dans la guerre que d'insolence dans la paix ? Ces hommes, qu'ont illustrés nos dissensions et nos discordes, tournent à la gloire de leur armée les fautes de leurs ennemis ; Cet assemblage des nations les plus diverses, le succès le maintient, un revers le dissoudra.
Croyez-vous aux Romains autant de courage dans la guerre que d'insolence dans la paix ? Ces hommes, qu'ont illustrés nos dissensions et nos discordes, tournent à la gloire de leur armée les fautes de leurs ennemis ; Cet assemblage des nations les plus diverses, le succès le maintient, un revers le dissoudra.
AGRICOLA |
A
moins que vous ne pensiez que ces Gaulois, ces Germains, et, j'ai
honte de le dire, ces Bretons qui prêtent leur sang à une tyrannie
étrangère, toutefois plus longtemps ennemis qu'esclaves, soient
retenus par fidélité et par attachement... c'est par la crainte et
la terreur, faibles liens d'affection brisez-les : Cessant de
craindre, ils commenceront à haïr. Tout ce qui peut exciter à la
victoire est pour nous, nulle épouse n'enflamme le courage des
Romains, nul père ne va leur reprocher leur fuite.
Pour
la plupart, point de patrie, ou ils servent une patrie qui n'est
point la leur. Peu nombreux, tremblants, incertains, ne voyant autour
d'eux qu'un ciel, une mer, des forêts inconnues, enfermés et comme
enchaînés, ils nous sont livrés par les dieux.
Qu'un
vain appareil ne vous épouvante, ni cet éclat d'or et d'argent qui
ne blesse ni ne défend. Dans les rangs mêmes de l'ennemi nous
retrouverons les bras de nos frères, les Bretons reconnaîtront leur
cause, les Gaulois se rappelleront leur ancienne liberté : Ce
qui leur reste de Germains les abandonnera, ainsi que naguère les
Usipiens les ont délaissés, et dès lors plus de crainte... Des
forts évacués, des colonies de vieillards, des municipes affaiblis
et en proie aux discordes entre des maîtres injustes et des sujets
prêts à la révolte. Ici est votre chef, ici est votre armée, là,
des tributs, les travaux des mines et tous les autres châtiments des
esclaves : Les rendre éternels, ou s'en venger aussitôt, va se
décider sur ce champ même. Ainsi, en marchant au combat, pensez et
à vos ancêtres et à vos descendants ».
L'empereur
Domitien voit en Agricola un potentiel rival. La gens Flavia, famille
de Domitien, a accédé au pouvoir grâce au soutien de l'armée, en
particulier des armées de Syrie. Un général qui obtient trop de
succès, notamment au sein de campagne militaire de grande envergure,
n'est pas vu d'un très bon œil par le pouvoir en place. Surtout de
la part de Domitien, qualifié d'un naturel suspicieux. L'empereur a
probablement voulu stopper dans son élan un rival potentiel à la
pourpre.
D'autre
part, le contexte politique nécessite le retour d'Agricola : La
Bretagne est en grande majorité pacifiée, et ne menace pas de se
soulever. Les provinces Danubiennes et Rhénanes de l'empire ont
besoin d'être soutenues par de bons généraux, comme l'est
Agricola. Domitien a besoin de militaires, suite aux attaques des
différents peuples du Danube, menés par Décébale, contre la
province de Mésie.
Enfin,
vient la thèse de la jalousie, qui a été développée par Tacite
dans sa Vie d'Agricola. Une jalousie qu'il faut probablement nuancer,
car elle est défendue par 2 farouches adversaires de Domitien :
Suétone, qui se veut un fervent défenseur du rôle du Sénat, et
Tacite, qui reproche à Domitien l'éviction de son beau-père de
Bretagne.
Pour
ses victoires en Bretagne, Agricola reçoit les ornements triomphaux
et l'honneur d'une statue officielle, mais il préfère faire son
retour dans la discrétion.
Agricola
refuse alors divers proconsulats en Asie et en Afrique puis se retire
jusqu'à sa mort en 93... On a prétendu que Domitien l'a fait
empoisonner, mais rien de très sérieux ne vient étayer cette
thèse.
Calédonie
— Wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Calédonie
La
Calédonie est l'ancien nom de l'Écosse. C'est la forme française
du terme latin Caledonia (utilisé aussi en anglais) qui désignait
la partie de l'île de Bretagne au nord du mur d'Hadrien, puis du mur
d'Antonin. ... En 305 Constance Chlore envahit le nord de la «
Britannia » mais il meurt à Eboracum en juillet 306
Les
Iles Britanniques dans l'antiquité - Miltiade
miltiade.pagesperso-orange.fr/Iles-Britanniques-antiquite.htm
Ces
agriculteurs se répandent jusqu'au Nord de l'Ecosse et vont en
bateau dans .... En 82, Agricola masse des troupes dans l'ouest de la
Britannia, car un Ri vient ..... Mais il faut faire face à la fois
aux marins pictes de Calédonie et les marins .... quelques tribus
germaniques en Gaule, qui depuis 406 envahissent l'Empire.
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07/03/17
Calgacos,
ou la résistance à Agricola.
https://strategietotale.com/forum/43-les.../75375-calgacos-ou-la-resistance-a-agricola
13
avr. 2013 - 3 messages - 3 auteurs
...
de la province romaine de Britannia, arrive à l'idée d'envahir le
Nord de l'île. ... Afin de sécuriser la frontière au Nord,
Agricola décide de soumettre les ... la route prise par les armées
de Edward I, le Marteau des Écossais, de Oliver ... ne
montrerons-nous pas quels hommes la Calédonie s'était réservés ?