5
OCTOBRE 1914
I)
Au
matin du 5 octobre 1914, le sergent Joseph Frantz et son
mécanicien-mitrailleur, le caporal Louis Quenault, à bord de leur
biplan Voisin, croisent la route d’un Aviatik allemand qu’ils
parviennent à abattre, remportant ainsi la première victoire
aérienne de l’histoire. Cet événement marque une étape décisive
dans l’histoire de l’aéronautique militaire, née en 1909 et qui
aligne aux premiers jours de la guerre 138 appareils répartis dans
23 escadrilles. Ces fragiles machines entoilées sont chargées de
tâches de reconnaissance destinées à renseigner le commandement
sur les mouvements de l’adversaire, mais aussi de missions
offensives par le lâcher d’explosifs et de fléchettes en acier
sur les troupes en marche.
Peu
avant 8 heures, ce 5 octobre, le sergent Frantz se prépare sur le
terrain de Lhéry pour une sortie au-dessus des lignes Allemandes,
dans la région de Reims, avec mission de larguer 6 obus de 75 sur
des rassemblements ennemis. Accompagné de son mécanicien, le
caporal Quenault, il opère à bord d’un biplace Voisin LA-3, avion
équipant leur escadrille V-24 commandée par le capitaine Faure.
L’appareil, propulsé par un moteur de 110 Ch situé à l’arrière
du fuselage, est de structure entièrement métallique. Il présente
la particularité d’avoir été armé, à la demande de Frantz,
d’une mitrailleuse Hotchkiss, fixée sur un trépied et installée
par le constructeur, Gabriel Voisin, en personne et ami du capitaine
Faure, sur les six machines de l’escadrille. Quenault prend place
derrière le pilote, avec à ses pieds les obus et devant lui la
mitrailleuse dont la fourche mobile permet de balayer l’horizon à
180 degrés.
Alors
qu’ils évoluent dans les lignes Françaises à près de 2 000
mètres, les deux hommes aperçoivent un biplan Aviatik dont
l’équipage, composé du sergent Wilhelm Schlichting, pilote, et du
lieutenant Fritz von Zangen, observateur, est armé d’une simple
carabine. Frantz décide aussitôt de se placer dans l’axe de son
ennemi, légèrement en arrière et un peu au-dessus, afin de
permettre à son équipier d’ajuster son tir. En effet, ce n’est
pas la première fois que Frantz et Quenault engagent le combat. À
11 reprises déjà, ils ont tenté d’abattre un appareil adverse et
savent qu’il faut s’approcher à moins de 10 mètres et tirer
avec leur mitrailleuse au coup par coup, car cette dernière présente
le fâcheux défaut de s’enrayer inopinément. Dans une telle
configuration, l’Aviatik est gêné tant par son moteur que par
l’hélice installée à l’avant, ainsi que par les empennages de
l’arrière qui limitent le tir de l’observateur.
Pendant
près d’un quart d’heure, Quenault tire avec régularité 47
balles tandis que le pilote Allemand tente d’exécuter une large
spirale afin d’échapper à l’assaillant. Alors que la
mitrailleuse s’enraye et que Quenault commence à démonter la
culasse, Frantz voit l’Aviatik soudain se cabrer, s’abattre sur
l’aile gauche et piquer à la verticale pour s’abattre en flammes
dans les marais près de Jonchery-sur-Vesle, sous les yeux du général
Franchet d’Esperey. Pour la première fois dans l’histoire, un
aéroplane en a abattu un autre, inaugurant ce qui va devenir le
combat aérien. Cette première victoire vaut au sergent Frantz la
Légion d’honneur et au caporal Quenault la Médaille militaire.
9h30
nous assistons à la poursuite d'un « aviatik » allemand
par un « Voisin » armé d'une mitrailleuse.
Le 1er a depuis plusieurs jours lancé des bombes sur les sections d'artillerie et le matin se livre au même exercice, lorsqu'un avion Français revenant des lignes allemandes l'aperçoit.
Le 1er a depuis plusieurs jours lancé des bombes sur les sections d'artillerie et le matin se livre au même exercice, lorsqu'un avion Français revenant des lignes allemandes l'aperçoit.
Aussitôt
il se met en chasse et il nous est donné d'assister avec une
véritable angoisse à ce combat aérien des 2 engins semblables à 2
oiseaux de proie aux prises: l'Allemand paraissant plus rapide
cherchant à échapper par des changements de niveau brusques ou des
virages rapides, mais le français plus adroit se place au mieux pour
le tir finissant pas avoir le dessus.
Après
un cabré vertical l'avion Allemand descend en une chute rapide, un
panache de fumée et de flamme à l'arrière, le réservoir d'essence
ayant été transpercé et prenant feu - tandis que le notre en série
de spirales élégantes allait se poser dans un champ voisin...
C'est
au milieu d'un bois marécageux qu'est retrouvé à 3 km environ de
Muizon l'appareil allemand qui flambe toujours au moment où
j'arrive. Complètement retourné, il écrase un des 2 passager: Un
officier observateur comme je l'ai su plus tard tandis que son
compagnon, un sous-officier pilote a été tiré des débris.
Tous 2 morts sont en partie carbonisés, en outre le sous-officier a été atteint d'une balle dans le haut du thorax vers la fourchette sternale, (le projectile av très vraisemblablement pénétré dans le dos où se trouve un orifice plus petit.)
Tous 2 morts sont en partie carbonisés, en outre le sous-officier a été atteint d'une balle dans le haut du thorax vers la fourchette sternale, (le projectile av très vraisemblablement pénétré dans le dos où se trouve un orifice plus petit.)
Le
pilote Français : Frantz sous-officier du génie au 2e groupe
Aéronautique est accompagné d'un simple soldat Quesnault qui a si
bien visé. Félicités, ovationnés, ils ont beaucoup de peine à se
dérober à l'enthousiasme des nombreux militaires et de quelques
civils accourus sur le point de chute de l'avion allemand...
L'inhumation des deux aviateurs c'est faite par les soins de
l'Ambulance de service. un prêtre accompagne avec quelques hommes
qui rendent les honneurs.
[Témoignage
du Général Lavisse commandant de la 12e brigade (5e, 119e RI;
3 CA) écrit le 6 Octobre 1914,( Il est aux environs de Cauroy
secteur du Godat, à l'Est de Berry au bac) relevé par
Xavier]
« A propos d'Aeros, hier un de nos biplans a démoli en l'air avec sa mitrailleuse un biplan allemand qui nous survolait... drame de l'air, angoissant à suivre... Vaincu, l'Allemand a été précipité sur le sol... L'explosion du moteur a occasionné un incendie; sur les corps a moitié carbonisés des aviateurs, on a trouvé des renseignements intéressants. Nous avons salué militairement ces victimes du devoir ... »
« A propos d'Aeros, hier un de nos biplans a démoli en l'air avec sa mitrailleuse un biplan allemand qui nous survolait... drame de l'air, angoissant à suivre... Vaincu, l'Allemand a été précipité sur le sol... L'explosion du moteur a occasionné un incendie; sur les corps a moitié carbonisés des aviateurs, on a trouvé des renseignements intéressants. Nous avons salué militairement ces victimes du devoir ... »
Marie-Catherine
Villatoux docteur en histoire service historique de la Défense
II)
Après
avoir repoussé à notre aile gauche toutes les attaques ennemies,
nous avons repris l'offensive. Une très violente bataille se
développe autour ou auprès d'Arras, tandis que le combat semble
s'atténuer un peu entre l'Ancre et la Somme, d'une part, entre la
Somme et l'Oise, de l'autre...
Nous avons progressé dans la région de Soissons, au nord de l'Aisne, où les Allemands se sont fortement retranchés. Là ils ont été quelque peu débusqués.
Enfin
notre cheminement s'accentue en Woëvre et dans l'Argonne.
La situation du camp d'Anvers est stationnaire et l'armée Belge stationne sur la Nèthe. Sarajevo est complètement investi par les forces Serbes et Monténégrines.
La flotte Franco-Anglaise a bombardé et détruit l'un des ouvrages les plus considérables des bouches de Cattaro dans l'Adriatique.
Le
Figaro du 5 octobre 1914 informe de la distribution de layettes
gratuites aux enfants de mobilisés.
«
Mme L. Auguste, 28, rue de l'Avenir, les Lilas, ayant organisé un
atelier pour la confection de layettes destinées aux enfants des
mobilisés, serait très reconnaissante qu'on voulût bien l'aider
dans cette œuvre par des dons, si minimes soient-ils. (Matières
ouvrables telles que piqué, nansouck, flanelle, vieux draps pour
couches, linge usagé assez fin pour la confection de petites
chemises)...Un bon accueil sera réservé à toute mère indigente
recommandée par le donateur. Les layettes sont distribuées les
lundis et jeudis après-midi, 4, rue du 14 Juillet. » écrit le
Figaro du 5 octobre 1914.
III)
Situation
de prise d'armes : 20 officiers 1523 hommes.
Même situation, même mission. La journée se passe sans aucun incident, dans la nuit, seulement quelques coups de feu sont échangés aux avant-postes.
Pertes : Néant
(Pour mémoire 2 évacués).
Même situation, même mission. La journée se passe sans aucun incident, dans la nuit, seulement quelques coups de feu sont échangés aux avant-postes.
Pertes : Néant
(Pour mémoire 2 évacués).
IV)
Citations à l'ordre de l'armée.
Le général commandant la 5e Armée cite à l'ordre de l'armée : (Ordre n° 35) :
Citations à l'ordre de l'armée.
Le général commandant la 5e Armée cite à l'ordre de l'armée : (Ordre n° 35) :
Le
Lieutenant-Colonel Capitant commandant le 28e Régiment d'infanterie
:
«
A fait preuve des plus brillantes qualités de commandement dans la
défense de Loivre, du 13 au 18 septembre, repoussant toutes les
attaques de l'ennemi, subissant pendant 3 jours un bombardement des
plus violents, excitant les énergies par son exemple, et ne ramenant
sa troupe sur une position de repli que sur un ordre supérieur.
Chargé de défendre ensuite Villers-Franqueux, a repoussé une
violente attaque de nuit sur cette localité faisant subir à
l'ennemi de grosses pertes et lui faisant une centaine de
prisonniers. »
Les
capitaines Hislaire et Roch du 28e Régiment d'infanterie.
Les
soldats cyclistes Lavalade, Hédouin et Rivière du 28e régiment :
«
Ont participé à la défense du Pont de Loivre, du 12 au 18
septembre, et fait preuve d'une ténacité et d'un courage à toute
épreuve au cours de cette opération où le détachement commandé
par le Lieutenant-Colonel Capitant a repoussé toutes les attaques,
subi sans défaillance un bombardement terrible et d'où il ne s'est
retiré que par ordre supérieur. »
Le
médecin Aide-Major Schneider du 28e régiment :
« A fait preuve au cours de la défense de Loivre d'un courage et d'un dévouement qui ont fait l'admiration de tous, servant d'exemple même aux unités combattantes. Grièvement blessé depuis au cours du bombardement de Villers-Franqueux. »
Q.G. 5 octobre 1914 signé d'Esperey.
V)
Blessé !
Les Hôpitaux – Le Service à l’Arrière -
Plus
de postes de secours ! Il ne reste d’autre solution que de
nous diriger sur Arras, qui se trouve bien à 8 ou 10 kilomètres de
l’endroit où je suis tombé.
Courageusement,
Poisson, relayé de temps en temps, pendant les premiers kilomètres,
par l’infirmier du 269e, empoigne les brancards de ma brouette et
nous voilà partis. Les obus continuent à nous accompagner, mais ils
ont la bonne idée de laisser la route libre et de ne tomber que sur
les champs et les maisons les bordant... Nous pouvons constater que
la contre-attaque qu’on nous avait annoncée, se déroule bien, en
effet, en ce moment.
Elle
est exécutée par des troupes d’Afrique qui progressent dans la
direction de Vimy, en utilisant, au mieux, abris et couverts. En
traversant un village, je suis entouré par quelques tirailleurs dont
l’un me dit :
« T’es
blessé, ma pauv’ Lieut’nant ! »
Un
peu plus loin, un zouave veut absolument verser dans mon quart le
contenu de son bidon, et ce contenu est du champagne...
Nous
avons rencontré aussi une patrouille du 6e Territorial commandée
par un caporal. Ce dernier, qui tourne le dos à l’ennemi,
puisqu’il se dirige comme nous vers Arras, n’en fait pas moins
abriter ses hommes, d’arbre en arbre.
A
un moment donné, apercevant un cavalier venant en sens inverse, il
ne trouve rien de mieux que de se dissimuler derrière le groupe que
nous formons, Poisson, moi et ma brouette. Inutile de dire que nous
ne manquons pas de l’accabler de sottises l’un et l’autre... Il
reste imperturbable, d’ailleurs, et n’en continue pas moins à se
cacher courageusement derrière nous... Le cavalier qui lui a causé
une peur si violente est, bien entendu, un Français.
Quelques
kilomètres avant la ville, nous sommes rejoints par une voiture
conduite par un paysan qui consent à m’installer dans son
véhicule. J’en suis content autant pour Poisson que pour moi, car
ce pauvre garçon commence à être exténué.
Nous
arrivons à Arras par un faubourg appelé Sainte Catherine. Avant
d’entrer en ville, mon conducteur s’arrête à un cabaret situé
sur le bord de la route et m’apporte un verre de café bien chaud,
additionné d’alcool. Ce breuvage me remonte un peu. Nous repartons
à la recherche d’une ambulance (sorte d'hôpital de campagne) qui
veuille bien me recevoir, je ne suis pas seul dans ma triste
position, car toutes les rues sont sillonnées de brancards et de
voitures médicales qui ne sont pas vides.
A
l’Hôpital Général, ou l’Hôtel-Dieu, je ne sais exactement, on
ne m’accepte pas, cet établissement étant réservé aux blessés
du ventre ou des poumons. Il nous faut aller au Saint Sacrement, rue
d’Amiens. Là, on veut bien de moi et je suis descendu de voiture
par un ecclésiastique qui me prend à son cou pour m’étendre sur
un brancard. Je remercie le brave paysan qui m’a amené ici, mais
ne sais ce qu’est devenu Poisson.
VI)
L'offensive
Allemande se poursuit, les forces Françaises sont refoulées
sur le Crinchon. Le commandant Grobert reçoit l'ordre
d'occuper, avec les débris du régiment, le village d'Agny et
d'y tenir coûte que coûte. Cet ordre sera exécuté, et pendant 4
jours, en dépit du bombardement ennemi qui détruit et incendie
une partie du village, le 41e tient bon et repousse toutes les
attaques de l'ennemi.
Dans
ces 6 jours de lutte ininterrompue, le 41e a perdu 2 000 hommes
environ, il ne lui reste que 15 officiers... On peut dire qu'il
s'est sacrifié, mais cela n'a pas été en vain... La
poussée Allemande sur Arras est définitivement
enrayée.
L'héroïsme du régiment est récompensé par la citation suivante à l'ordre de l'armée :
L'héroïsme du régiment est récompensé par la citation suivante à l'ordre de l'armée :
« Le
5 octobre 1914, les Allemands installent des batteries à Mercatel,
Beaurains, Tilloy, Neuville-Vitasse, Fampoux, La Targette et
Neuville-Saint-Vaast, positions stratégiques soigneusement repérées
à l’avance, encerclant au nord, à l’est et au sud la ville
d’Arras.
Le
bombardement de celle-ci a été minutieusement préparé, comme
l’attestent des documents recueillis sur le lieutenant von Bulow,
tué le 30 septembre par les goumiers à Boiry-Becquerelle. À
minuit, les premiers obus tombent sur le faubourg Saint-Sauveur.
VII)
Lu
dans le Moniteur en date du 5 octobre 1914
La
situation a peu varié au 22 jour de bataille. C'est toujours sur les
2 ailes que la lutte se manifeste avec le plus de violence et en
continuant à remonter vers le nord. Les combats se calment dans
l'Aisne et la Somme, et entre la Somme et l'Oise, c'est-à-dire au
sud de la ligne Albert, Péronne, Saint-Quentin. Dans la forêt
d’Argonne, la Meuse, et la Moselle les combats continuent.
En
Belgique la bataille continue à faire rage au sud du camp retranché
d'Anvers. 3 brigades maritimes Anglaises atteignent Anvers. L'armée
Allemande parvient à briser les défenses Belges dans la ville de
Lier, à 20 kilomètres au Sud-Est d'Anvers.
En
Prusse Orientale et Pologne Russe, après la défaite d’Augustow,
les Allemands essayent de se maintenir sur des positions fortifiées
le long de la frontière, de Wirfiallen à Lyck, à une quinzaine de
kilomètres à l'ouest, sur le territoire Prussien.
Outre
la grande victoire qu'ils ont remportée sur les Allemands en
Pologne, les Russes ont franchi les Carpates, ils ont pris
possession, dans ces montagnes, de 4 cols, dominant les routes qui
conduisent aux villes Galiciennes de Sambor, de Stryj et de
Stanorlau, en Hongrie.
Sur
le front Austro-Serbe, les Autrichiens sont arrêtés sur de hautes
positions sur la rive droite de la Drina. De leurs positions dans les
montagnes, ils ouvrent un feu nourri sur toutes les positions
Monténégrines de Grahovo.
La
bataille continue ardente près d’Arras.
À
Lille, les habitants, selon le Réveil du Nord, n’ont pas entendu
le crépitement des fusillades. Seule la voix sourde du canon se fait
entendre. En ce lundi, les rues de la ville sont populeuses, remplies
d’une foule compacte comme un lundi de braderie, selon le
journaliste.
«
Le nombre de réfugiés dans nos rues s’est retrouvé accru par
l’exode de familles entières venues de Fives, de Mons-en-Barœul,
d’Hellemmes.
La
plupart n’a pas vu une seule tête d’Allemand dans leur commune,
mais on leur a dit que l’ennemi était proche. » (Ndlr, le 7
octobre 1914, les lecteurs du Réveil du Nord, se rendront compte,
photo à l’appui de la violence du combat qui s’est déroulé à
Fives, ce lundi 5 octobre.)
Des
combats très violents sont livrés à Lesquin.
Une
colonne Allemande de 4 à 5 000 hommes est signalée venant de Leers.
A Estaimpuis selon le Journal de Roubaix, elle se coupe en deux.
Une
grande partie va vers Mouscron, pour démolir la gare, puis ils se
dirigent vers Neuville-en-Ferrain où ils font une halte au mont
d’Halluin.
L’autre
partie, 2 000 hommes, prend la direction de Tourcoing. Dans cette
ville passent, vers 3 heures de l’après-midi, 2 000 cavaliers qui
se sont dirigés vers Neuville-en-Ferrain.
L’accident
de circulation de M. Jules Guesde. Le Journal de Roubaix publie cette
dépêche venant de Bordeaux : « L’automobile du ministre Jules
Guesde, député de Roubaix, a heurté une autre automobile. M.
Guesde et son fils qui l’accompagnait ont été contusionnés.
L’état
des blessés est aussi satisfaisant que possible. Ils ont reçu tous
deux une assez forte commotion qui n’aura aucune suite. »
Premier
Combat aérien de l'histoire - Archives de France
www.archivesdefrance.culture.gouv.fr/.../1914/premier-combat-aerien-d...
Au
matin du 5 octobre 1914, le sergent Joseph Frantz et son
mécanicien-mitrailleur, le caporal Louis Quenault, à bord de leur
biplan Voisin, croisent la route ...
Le
JMo du 28e RI : octobre 1914
Lundi
5 octobre 1914 : les combats sont intenses - Ce qu'il ...
www.il-y-a-100-ans.fr/.../lundi-5-octobre-1914-les-combats-sont-intenses-n...
Il
y a 1 jour - Politique, société, culture, sport, insolite,
qu'elles soient nationales, internationale ou régionales retrouvez
ce qui faisait l'actu dans nos ...
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