samedi 18 octobre 2014

946... EN REMONTANT LE TEMPS


Cette page concerne l'année 946 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !

LE CHAMPS DE BATAILLE "ROUGEMARE"

ASSASSINAT DE GUILLAUME LONGUE-EPEE
L’assassinat de Guillaume Longue-Epée le 17 décembre 942 porte un coup d’arrêt au nouvel essor de l’abbaye de Jumièges, selon les annales, Martin serait rentré à Poitiers après la mort du duc Guillaume. La crosse de Jumièges est alors confiée à l’abbé Annon, que les listes abbatiales donnent comme second abbé après la restauration. Dès son entrée en fonction, ce dernier doit faire face à une situation de crise.

Si cet affaiblissement du caractère national afflige quelques vieux Normands, comme Bothon et Bernard , il est favorable à l'ancienne population, qui a subi le joug des conquérants Scandinaves. Elle chérit Guillaume-Longue-Épée, et, lorsqu'en 942 le duc est assassiné par trahison par Arnoul, comte de Flandre , un long cri de douleur retentit dans toute la ville.
Les restes mortels de Guillaume sont rapportés à Rouen, au milieu des gémissements universels, et ensevelis dans la cathédrale. Le fils de Guillaume-Longue-Épée, Richard Ier, est encore mineur au moment de l'assassinat de son père, et les premières années de son gouvernement sont signalées par des troubles dans lesquels la ville de Rouen joue le principal rôle. La ville de Rouen est quelque temps sous le joug de païens Scandinaves, qui viennent d'arriver du Nord, et qui entraînent à l'idolâtrie les autres Normands. Un de leurs chefs, nommé Turmod, a relevé dans Rouen les autels d'Odin, il force le jeune duc Richard et les autres habitants à sacrifier aux dieux Scandinaves. Ainsi on voit se renouveler la cruelle tyrannie qui, 50 ans auparavant, a pesé sur les Rouennais.

Une réaction violente du parti barbare renverse tout ce que les ducs Rollon et Guillaume-Longue-Epée ont fait dans l'intérêt de l'église... Pour s'affranchir de cette oppression, la population indigène s'adresse aux Francs, et de nouveau éclate une lutte violente entre les 2 races et les 2 religions rivales.

Le trône est alors occupé par le fils de Charles-le-Simple, Louis d'Outremer, qui se hâte de saisir l'occasion de réunir la Normandie à la couronne... dissimulant son projet, et s’annonçant seulement comme le libérateur des Chrétiens, il marche en toute hâte vers Rouen... A son approche, les païens s'enfuient. Les indigènes et même les Normands chrétiens le reçoivent avec les plus vives démonstrations de joie et les honneurs dû à la dignité royale.

Louis d'Outremer, pour exécuter son dessein, veut s'emparer du jeune duc, mais ses tuteurs Normands veillent sur lui, et, à la première alerte du danger qu'il court, ils soulèvent tout le peuple... Les Rouennais ont voulu secouer le joug des pirates païens, mais ils ne veulent pas sacrifier leur indépendance nationale, ils aiment le jeune Richard, fils de Guillaume-Longue-Épée, qui a su se concilier l'affection de la population chrétienne, et la perfidie de Louis d'Outremer excite une indignation générale. Tous, bourgeois et guerriers, courent au château, transportés de fureur et menaçant de tuer le roi.

Louis d'Outremer, effrayé de ce danger, prend le jeune duc dans ses bras, et, le montrant au peuple, parvient à le persuader qu'il n'a pour Richard que des intentions paternelles, et qu'il veut lui faire donner une éducation digne de son rang .

Cette ruse grossière suffit pour calmer le peuple, le roi fait transférer le jeune Richard dans la forteresse de Laon. Puis, confiant à Herluin le gouvernement de Rouen, il retourne à Compiègne. Herluin cherche à se concilier les cœurs en vengeant Guillaume-Longue-Epée... il fait périr son meurtrier Arnoul, et envoie à Rouen ses mains sanglantes, comme preuve de sa victoire et de la vengeance de Guillaume.

À Jumièges, Louis d'Outremer se montrant « pire que les païens », donne l’ordre d’abattre les restes de l’église Notre-Dame afin d’approvisionner en pierres le chantier de restauration des murailles de Rouen.. Selon Guillaume de Jumièges à qui nous devons la connaissance de ces faits, un clerc du nom de Clément réussit à sauver les deux tours de l’église en les rachetant aux démolisseurs. L’anecdote a de bonnes chances, là encore, d’être authentique... Les deux tours en question sont probablement deux grandes « turres » du type de celles de l’abbatiale Carolingienne de Saint-Riquier, implantées chacune à une croisée de transept. Les démolitions portent donc principalement sur la nef, ce que tend à confirmer la présence à Duclair, localité voisine, d’un groupe de chapiteaux Mérovingiens et de colonnes de marbre en réemploi, éléments provenant selon toute vraisemblance de Jumièges. L’anecdote est en tout cas révélatrice de la tension qui a du exister entre les moines et les agents royaux durant les 3 années de la régence de Louis IV à Rouen (943-945). On devine sans peine les causes de ce climat d’hostilité. Œuvre principale de Guillaume Longue-Epée, la restauration de l’abbaye de Jumièges porte témoignage de la grandeur et de la piété du duc Normand disparu. Selon une tradition évoquée dans plusieurs sources, Guillaume Longue Épée aurait même songé un moment à y prendre l’habit monastique...

Politiquement, le roi Louis n’a donc aucun intérêt à faire preuve d’une sollicitude particulière à l’égard des moines de Jumièges. À en juger par les traces qu’elle va laisser dans l’historiographie, toute la propagande Franque de l’époque doit en effet être axée sur les thèmes suivants :
Descendant des païens qui ont mis naguère le royaume à feu et à sang, Guillaume Longue Épée ne vaut pas mieux que ses ancêtres, fils de sa concubine à la mode Danoise, Sprota, le jeune Richard ne peut prétendre à la succession...

RICHARD Ier DE NORMANDIE
Une minorité difficile (942-946)
Il a probablement un peu plus de 10 ans à la mort de son père, assassiné en décembre 942, et se voit attribuer un conseil de régence comprenant 4 hauts personnages du duché Normand : Bernard le Danois, Raoul dit Taisson l'Ancien, Anslech de Bricquebec et Osmond de Conteville. Mais le roi Carolingien Louis d'Outremer, sous prétexte de faire son éducation, fait transporter l'adolescent avec l'un de ses régents, Osmond, à sa cour de Laon. Il semble y avoir séjourné de 943 à 945 et s'être finalement enfui avec l'aide d'Osmond qui aurait organisé son évasion aidé d'Yves de Bellême et de Bernard, comte de Senlis et vassal d'Hugues le Grand, duc des Francs.

Pendant l'intervalle de temps, Herluin II de Ponthieu est nommé par le roi gouverneur de Normandie en 943 avant d'être tué par des Normands en 945.

L’hostilité des Francs à l’égard de Jumièges durant la période de la régence contraste avec les faveurs qu’ils accordent dans le même temps à Saint-Ouen de Rouen... Il est frappant de constater que le seul bienfaiteur connu de l’abbaye Rouennaise dans les années 943-945 est ce même Raoul la Tourte, fondé de pou­voir du roi Louis IV, dont nous venons d’évoquer les exactions contre les moines de Jumièges.

La donation de Raoul la Tourte porte sur de vastes terrains à l’est de la ville. Il faut probablement rapporter à la même période la concession à Saint-Ouen du droit de monnaie qui est à l’origine de l’émission d’une petite série de deniers d’argent à la légende « SANCTE AUDOENI ». Leur type est très voisin de ce­lui des deniers frappés à Rouen au nom du roi Louis IV entre 943 et 945, et, comme ces derniers, ils correspondent à un monnayage éphémère :

ABBAYE DE SAINT OUEN
L’émission ne semble pas s’être poursuivie au-delà du milieu du Xe siècle. De surcroît, il n’existe aucun autre exemple, dans toute l’histoire du duché, de dévolution d’un droit de monnaie à un établissement monastique.

La concession a donc de bonnes chances d’être d’origine royale plutôt que ducale, ce qui nous renvoie là encore à la période de régence du roi Louis IV à Rouen. On comprend aisément le motif de ce geste du souverain en faveur de l’abbaye Rouennaise. Celle-ci a alors à sa tête l’archevêque de Rouen en personne, Hugues, d’origine Franque, ancien moine de Saint-Denis, récemment installé au siège de Rouen (en 942). En lui accordant dons et privilèges, comme il le fait par exemple en 943 pour l’archevêque de Tours lors de la restauration du monastère de Saint-Julien, le roi se ménage un précieux allié à Rouen, car le soutien de l’archevêque lui est indispensable pour obtenir le ralliement des milieux Francs et chrétiens de la ville.

À Évreux, c’est grâce au concours de la « partie chrétienne de la population », nous dit Flodoard, qu’Hugues le Grand peut prendre possession de la ville en 944. Il est possible enfin qu’au droit de monnayage ait été joint un privilège d’immunité : Un vaste enclos fossoyé de forme ovalaire a existé autour du monastère de Saint-Ouen avant le XIIe siècle, marquant peut-être, comme le fossé de l’abbaye royale de Saint-Denis, le périmètre du bourg monastique sous franchise.

Une légende attribuant les origines du monastère de Saint-Ouen à l’évêque Saint Denis, légende qui n’est pas antérieure au Xe siècle et dont l’origine est évidemment Franque, constitue un autre point de similitude avec la grande abbaye royale. Tout se passe donc comme si l’abbé-archevêque Hugues avait profité du soutien du roi pour essayer de transformer Saint-Ouen de Rouen en une sorte de petit Saint-Denis, à l’image du monastère dont il est lui-même issu.

TOUR  SAINT ANDRE
Après la mort de Guillaume Longue Epée, le roi Louis et Hugues le Grand, duc des Francs, se sont entendus pour le partage de la Normandie. Mais cet accord de circonstance est rompu en 944. Le fait n’est peut-être pas étranger au départ d’Annon pour Saint-Mesmin de Micy dans le suburbium d’Orléans, où il va rejoindre les siens, et, peut-on penser, se mettre sous la protection d’Hugues le Grand. C’est dans cette même ville d’Orléans, rappelons-le au passage, que le duc des Francs a transféré le corps de Saint Evroul, enlevé de l’abbaye d’Ouche lors du retrait de ses troupes de Basse Normandie en 944/5 . Annon demeure à Micy jusqu’à sa mort en 973, gardant l’abbatiat de Jumièges, semble-t-il, mais se contentant d’administrer de loin cette maison. Après lui s’ouvre une période très obscure pour laquelle nous n’avons plus aucun nom d’abbé dûment attesté avant Roderic, en poste dans les années 990, et dont les annales de l’abbaye placent le décès en l’an Mille.

Cependant, le jeune Richard, enfermé à Laon, est exposé, si l'on en croit les historiens Normands, aux plus grands dangers... Le roi de Francie veut, disent-ils, lui faire brûler les jarrets, et, par cette mutilation, le rendre incapable d'occuper le trône ducal, mais les Normands qui l'entourent, et principalement Osmond de Cent-Ville, parviennent à le soustraire à la cruauté du roi, et lui assurent un asile à Senlis, près de son oncle maternel. De leur côté, les Normands de Rouen chassent le gouverneur que leur a imposé Louis d'Outremer... Alors ce prince, n'espérant plus réussir par la ruse, jette le masque et attaque ouvertement les Normands. Il se coalise, pour les accabler, avec un des plus puissants seigneurs de l'époque, Hugues-le-Grand, duc de Paris.

BATAILLE DE ROUEN
Cependant, entre temps, Louis d'Outremer s'est associé avec Hugues le Grand, son principal vassal, pour dépecer le jeune et fragile duché Normand. Le roi envahit le Pays de Caux, tandis que le duc des Francs prend Gacé, Évreux et va assiéger Bayeux. En réaction, les Normands de la Seine font appel à la troupe Scandinave du « roi de la mer a Sigtrygg », sans doute norvégienne et en partie d'Islande mais elle est battue. Selon le récit de Dudon de Saint-Quentin, l'un des régents, Bernard le Danois, exploite la rivalité entre le roi et Hugues le Grand. D'abord, il suggère au roi que les Normands se résignent à se soumettre. Il obtient ainsi la fin des hostilités. Puis, contactant Hugues le Grand, il le convainc qu'il a été trompé par le roi. Et pour finir d'envenimer les relations entre les anciens alliés, il promet l'aide des Normands à Hugues contre le roi, amenant Hugues à commettre l'erreur de se lancer en campagne contre celui-ci.

Par ailleurs Bernard le Danois obtient l'intervention d'un autre chef Viking Harald, récemment débarqué ou depuis longtemps installé en Normandie. Le roi s'empresse d'intervenir mais il est battu le 13 juillet 945 sur la Dives, peut-être à Corbon. Herluin II de Ponthieu meurt dans la bataille tandis que Louis d'Outremer est capturé... Il est transmis à Hugues le Grand qui le garde prisonnier jusqu'en juillet 946. Cela permet à Richard, maintenant adolescent et revenu en Normandie, de faire reconnaître l'indépendance de la Normandie par les Grands (Nobles) du royaume Franc Carolingien.

En 946, craignant l'alliance de Richard Ier avec Hugues le Grand, le roi Louis d'Outremer forme une coalition contre eux avec Otton Ier de Germanie, Arnoul Ier, comte de Flandre, Conrad le Pacifique, roi de Bourgogne Transjurane, et Alain Barbetorte, duc de Bretagne. Les alliés traversent l'Epte et se dirigent vers Rouen. L'attaque de la ville est un échec. Les rois francs et germains subissent alors une contre-attaque qui les obligent à battre en retraite jusqu'en Amiénois.
Le duché de Normandie a réussi à survivre à la grande crise qui, vers la même époque, a été fatal aux 2 États Vikings les plus proches, le royaume d'York et l'établissement Normand de Nantes

Ce dernier doit attaquer Bayeux et la Basse-Normandie, pendant que Louis d'Outremer marche contre Rouen. Depuis l'expulsion d'Herluin, cette ville est au pouvoir de Bernard-le-Danois, Normand aussi rusé que vaillant.

En 946 la bataille de Rouen a lieu entre le roi de France Louis IV d’Outremer, l’empereur Otton Ier du Saint-Empire et leurs alliés d’une part, et Hugues le Grand, duc des Francs, et ses alliés d’autre part. Parmi eux, le duc de Normandie qui se présente alors comme un seigneur puissant face aux souverains Européens.

Une guerre se déroule entre deux groupes de seigneurs :

D’un côté, le roi de France Louis IV d’Outremer, Arnoul Ier, comte de Flandre et l’empereur Otton Ier.
De l’autre, Hugues le Grand, duc des Francs, et Richard Ier, duc de Normandie.

Les coalisés tentent au départ de s’emparer de Paris. Ils échouent devant la défense d’Hugues le Grand. Ayant connu l’échec, les coalisés décident de se venger en allant piller Rouen et essayer de capturer Richard de Normandie...

Pour les coalisés, les Normands sont faibles et la campagne de Rouen ne sera sûrement qu’une « balade militaire »... Ils se trompent lourdement. Afin d’aller piller Rouen et de capturer le duc de Normandie, une puissante armée Germanique, dirigée par le neveu d’Otton, s’avance sans méfiance vers l’entrée de Rouen.

Alors qu'ils s’apprêtent à pénétrer dans la ville, Richard, bien renseigné par ses espions, sort de Rouen avec ses chevaliers Normands, les prend à revers et les écrase. Les Normands font un tel massacre des Germains que le champ de bataille est surnommée « Rougemare » (« la mare rouge », « la mare ensanglantée », « la mare de sang »).

MARIAGE DE RICHARD Ier
Encore aujourd’hui, une place de Rouen porte le nom de Rougemare. Dans la bataille, le neveu d’Otton est tué. Apprenant ce désastre, les coalisés prennent enfin les Normands au sérieux et viennent assiéger Rouen avec toutes leurs forces... En infériorité numérique, Richard se prend au jeu de la ruse. Ne pouvant pas affronter ses adversaires tous en même temps, Richard Ier décide de s’en débarrasser séparément, avec méthode.

Il envoie s’introduire dans le camp Flamand des agents doubles qui réussissent à faire croire au comte de Flandre que l’Empereur Otton négocie avec le duc de Normandie sans s’occuper de l’avis des Flamands. Vexé par ce mensonge, le comte de Flandre abandonne le siège de Rouen et se retire.

Il reste encore 2 adversaires, les Germains d’Otton et les Francs de Louis d’Outremer. Richard porte alors son attention sur les Germains. Envoyant des chevaliers Normands égorger des avant-postes ennemis en pleine nuit, à la façon « commando », Richard réussit à créer des « terreurs paniques » chez l'adversaire, ce qui a le don d’affecter considérablement le moral de l’empereur Otton.

Définitivement dégoûté de sa campagne de France, Otton Ier se retire à son tour et regagne la Germanie. Resté seul, Louis d’Outremer se retire à son tour, non sans devoir lutter contre les innombrables attaques des paysans normands de la région.
Ottonienke ( fosse ), canal ou fossé que l'empereur Otton I fait creuser en 948 selon Butkens, ou en 949 selon Meyer, depuis le pont Saint Jacques à Gand jusqu'au bras gauche de l'Escaut, dit le Hondt, près de la ville de l'Écluse. Ce canal, auquel ce prince donne son nom, fait la limite de l'Empire et de la Belgique, de ce côté. L'époque à laquelle ce canal est creusé, est plutôt celle que fixe Butkens, qui se rapporte avec la chronique de Saint Bavon, que celle qu'indique Meyer.... Si cependant , comme il est possible, c'est la haine qui éclate en 946, au siège de Rouen , entre Otton et Arnoul, comte de Flandre, qui engage Otton Ier à entreprendre cet ouvrage , la date à laquelle Meyer rapporte la construction de la forteresse et de la fosse Ottoniennes, serait la plus probable...



Bataille de Rouen (946) — Wikipédia
fr.wikipedia.org/wiki/Bataille_de_Rouen_(946)
La bataille de Rouen eut lieu en 946 entre le roi de France Louis IV ... Vexé par ce mensonge, le comte de Flandre abandonne le siège de Rouen et se retire.

Bataille de Rouen (946) - Franc-or
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La bataille de Rouen eut lieu en du Saint-Empire ]] et leurs alliés d'une part, ... Vexé par ce mensonge, le comte de Flandre abandonne le siège de Rouen et se ...
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22 oct. 2001 - À Rouen, Louis accorda à un certain Raoul la Tourte les pleins pouvoirs sur ... de Saint-Denis, récemment installé au siège de Rouen (en 942) [26]. ...... l'a vu, dès le milieu du Xe siècle –, mais lors- qu'en 946 la cité de Rouen ...

LE CHAMPS DE BATAILLE ROUGEMARE

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