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OCTOBRE 2014...
Cette
page concerne l'année 935 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol.
UN DUC DE BOURGOGNE ROI DE FRANCIE
COURONNEMENT DE RAOUL Ier |
Raoul
ou Rodolphe Ier, né vers 890 et mort en 935/936, est duc de
Bourgogne (921-923) puis roi des Francs à partir de 923.
Les
textes originaux latins appellent tous et uniquement le roi Rodulfus,
soit Rodolphe. Raoul vient de l'allemand rad (conseil) et wulf
(loup), alors que Rodolphe vient de hrod (gloire) et wulf (loup). La
similtude phonétique des deux prénoms d'origine Germanique a
conduit à les confondre...
Fils
de Richard II de Bourgogne (Richard le Justicier), duc de Bourgogne
et d'Adélaïde de Bourgogne, fille de Conrad II de Bourgogne, et le
neveu de Rodolphe Ier de Bourgogne, de Charles II le Chauve et de
Boson V de Provence, sa mère est en effet la sœur du roi Rodolphe
Ier de Bourgogne, son père est le frère du roi Boson V de Provence
et de Richilde d'Ardennes, concubine puis seconde épouse de Charles
II le Chauve.
C'est
le seul roi de France qui ne se rattache pas directement à l'une des
3 grandes familles royales Franques : les Mérovingiens, les
Carolingiens et les Robertiens. Néanmoins, l'hypothèse a été
avancée que Raoul peut se rattacher à la lignée de Jérôme (fils
de Charles Martel) et donc appartenir à une branche collatérale des
Carolingiens. C'est cependant lui, beau-frère du Robertien Hugues le
Grand et gendre du roi (Robertien) Robert Ier, qui est élu roi des
Francs.
En
921, il succède à son père et devient duc de Bourgogne, comte
d’Auxerre, comte d’Autun et d'Avallon, abbé laïc de
Saint-Germain d’Auxerre et de Sainte-Colombe de
Saint-Denis-lès-Sens.
Il
épouse Emma, sœur du duc des Francs Hugues le Grand et fille du roi
Robert Ier, qui est aussi la demi-sœur d'Adèle, l'épouse du comte
Herbert II de Vermandois... À la mort de Robert Ier, à la bataille
de Soissons le 15 juin 923, les grands du royaume, ne voulant pas
rendre la couronne à Charles III le Simple, le choisissent pour
roi... En effet, son beau-frère Hugues le Grand a refusé le titre
de crainte d'abandonner ses comtés et de perdre ainsi son influence
sur les grands... Le 13 juillet 923, Raoul est sacré à l’abbaye
Saint-Médard de Soissons.
De
son mariage avec Emma il a eu un fils nommé Louis, mort en 934...
Le
début de son règne est contesté marqué par la lutte contre les
envahisseurs Normands (923-929) Raoul Ier, malgré de réelles
qualités, rencontre des difficultés pour se faire reconnaître
comme roi par les grands vassaux, d'autant que Herbert II de
Vermandois dispose d'un moyen de pression précieux dans la mesure où
il retient prisonnier Charles le Simple depuis le 17 juillet 923 et
fait régulièrement pression sur ses adversaires politiques en
menaçant de la libérer.
En
924, il est contraint de combattre sur les bords de l'Oise les
Normands de Rollon que Charles III le Simple a appelés à son
secours avant qu'Herbert II de Vermandois ne le fasse prisonnier.
Poursuivi
jusqu'en Normandie, Rollon demande à négocier la paix, en échange
de l'arrêt de ses incursions, il reçoit l’Hiémois et le Bessin.
Alors
que le roi Raoul est retenu dans la Francie du nord, le 6 décembre
924 à Chalmont, entre Milly-la-Forêt et Barbizon, les comtes
Garnier de Sens, Manassès de Dijon, avec les évêques Josselin de
Langres et Ansegise de Troyes, infligent une sévère défaite à
Ragenold de Nantes, autre chef Viking qui, après s'être aventuré
jusqu'en Bourgogne, se retire vers le nord chargé de butin.
CHÂTEAU THIERRY |
Au
cours de l’été 925, Raoul réussit à rassembler une grande armée
pour combattre les Normands qui ont une nouvelle fois rompu la paix.
Avec l’aide d’Herbert II de Vermandois, d'Helgaud de Ponthieu,
d’Arnoul Ier de Flandre et de son frère Adalolphe de Boulogne, il
obtient à Eu une grande victoire qui fait de nombreuses victimes
dans les rangs ennemis.
Mais
l'année suivante, les Normands mettent à mal l'ost royal à la
bataille de Fauquembergues sur l'Aa, près de Thérouanne, entre
Saint-Omer et Montreuil-sur-Mer.
Au
cours de cette bataille, tandis que le comte Helgaud de Ponthieu est
tué, Raoul est si grièvement blessé qu’il est contraint de fuir
les combats et de regagner Laon.
Les
vainqueurs ont le champ libre pour piller le pays jusqu’aux
frontières de la Lorraine.
Après
la mort du comte Roger Ier de Laon survenue en 926, Herbert II de
Vermandois revendique le comté Laonnois pour Eudes, son fils aîné.
Il s'y établit contre la volonté initiale de Raoul qui finalement
cède dans la crainte qu’Herbert II de Vermandois ne libère
Charles III le Simple qu’il retient toujours prisonnier à Péronne.
Cette crainte disparaît le 7 octobre 929, jour qui voit la mort de
l'ex-roi Charles III le Simple après plusieurs années de captivité.
D'après
l'auteur de la Chronique de Saint Bénigne de Dijon et Aubry de Trois
Fontaines, Raoul a eu un fils appelé Louis. Un diplôme de sa mère
Adélaïde, daté de 929, où il est question d'un Louis « son
petit-fils » (?), Ludovicas repos, paraît bien venir confirmer ces
assertions. En tout cas, cet enfant est mort avant son père, puisque
le décès de Raoul amène une restauration Carolingienne, le rappel
de Louis d'Outremer fils de Charles le Simple.
Une
fin de règne marquée par la consolidation de la royauté et la
lutte contre les dernières invasions (930- 935/936)
En
930, Raoul reçoit l'hommage de Guillaume Longue Epée qui a succédé
à Rollon, son père. Il doit cependant pour cela lui octroyer le
Cotentin. Cette même année, Herbert II de Vermandois s'empare du
château de Vitry-en-Perthois appartenant à Boson, frère cadet du
roi Raoul.
Ce
dernier s’allie alors avec son beau-frère Hugues le Grand pour
combattre Herbert II de Vermandois.
En
931, ils pénètrent dans Reims et en chassent l'archevêque Hugues,
fils d'Herbert II de Vermandois, lequel est obligé dans un premier
temps de rendre Vitry, Laon, Château-Thierry et Soissons, mais
recevant de l’aide d’Henri Ier de Germanie, il ravage la région
autour de Reims et de Laon... Finalement et en échange de sa
soumission, Raoul lui rend ses domaines, sauf Reims, Château-Thierry
et Laon.
En
935, il met en déroute d'autres envahisseurs venu de l'Est... les
Hongrois qui font leur apparition en Champagne et en Bourgogne. À
partir de cette date, le royaume sera temporairement épargné par
les invasions.
Les
conditions de l'entente des bords de la Chiers (cette rivière est
décidément la clé de notre Pays) ne sont pas faciles à réaliser.
Hugues refuse, on ne sait pour quelle raison, de restituer
Saint-Quentin au comte de Vermandois.
Ce
succès a si bien mis en appétit ses alliés (amici) qu'ils parlent
maintenant d'attaquer Laon... Il faut l'intervention royale pour les
en détourner...Après son épouse, Raoul Ier perd son frère Boson,
qui a pris part à l'expédition Lorraine contre Hugues, C'était un
précieux auxiliaire de Raoul et un utile représentant des intérêts
Francs en Lorraine qui disparaît, à qui le roi avait concédé
Domrémy. Il meurt peu après, il est enseveli dans l'abbaye royale
de Saint-Rémy de Reims...
Ce
dernier en appelle à Henri de Germanie. Plusieurs comtes Lorrains et
Saxons viennent, sous prétexte de médiation, rejoindre Herbert II
de Vermandois avec une forte armée, et au lieu d'entrer en
pourparlers avec Hugues le Grand, ils se jettent sur Saint-Quentin
occupé par Herbert II, d'après eux, indûment.
La
ville est obligée de se rendre. Herbert II, craignant de n'être pas
en mesure de conserver une si difficile conquête, son ancienne
capitale, dont il a éprouvé à 2 reprises l'attachement douteux,
n'hésite pas à laisser des étrangers raser la forteresse.
Le
15 janvier (le 2 après les ides de janvier) 936, après 13 ans de
règne difficile, le roi Raoul, malade depuis l'automne 935, meurt à
Auxerre, atteint de pédiculose corporelle, « prolifération de
poux, de morpions et de vermines sur tout le corps ».
La
paix intérieure, rétablie à grand-peine, faillit être troublée
par une nouvelle invasion des Normands de la Loire... Les habitants
du Berry et de la Touraine parviennent heureusement à les arrêter.
Vers le même temps, Artaud réunit un synode de 7 évêques à
Fismes, en l'église Sainte Macre, pour trouver un moyens de faire
cesser définitivement les brigandages.
L'ère
des luttes féodales semble enfin close... Maintenant le rôle du roi
doit être différent.
Après
12 années d'efforts, Raoul déclare dans un diplôme délivré le 13
septembre 935, à Attigny, qu'il entend désormais se vouer à
l'administration paisible de son royaume et qu'il compte maintenir
ses sujets dans le devoir par la confiance et non par la force des
armes...
Ce
curieux document renferme en outre une concession du donjon royal
d'Uxellodunum, en Quercy, au monastère de Tulle : la forteresse
édifiée jadis pour résister aux Normands doit être rasée, afin
qu'elle ne puisse dorénavant
servir
à des entreprises hostiles, après la pacification définitive du
midi.
Il
n'est pas donné à Raoul Ier de gouverner en paix ni de jouir bien
longtemps du fruit de ses efforts. Il tombe malade en automne, et
rentre souffrant dans son duché.
Le
12 décembre, il est à Auxerre où il confirme diverses concessions
au comte Geoffroi de Nevers à son évêque Tedalgrinus : il y expire
le 14 ou le 15 janvier suivant... On ignore son âge, mais il devait
être encore jeune, quoique épuisé par 13 années de luttes presque
sans trêve.
Conformément
à son désir, on l'inhume à Sainte Colombe de Sens. Comme l'église
vient d'être incendiée au cours de troubles récents, ce n'est que
le 11 juillet que ses restes sont ensevelis au milieu du chœur,
auprès de ceux de son père, qui reposent dans la crypte de
Saint-Symphorien, et de ceux du roi Robert, à droite de l'autel, où
l'on peut toujours voir dans la crypte son sarcophage vide et
abandonné...
N’ayant
pas d’enfant en mesure d'hériter, c'est son frère, Hugues le
Noir, qui lui succède à la tête du duché de Bourgogne. Pour la
même raison, à la mort de Raoul, Hugues le Grand fait appel à
l'héritier légitime de la dynastie des Carolingiens, Louis IV
d'Outremer...
Le
roi Louis d'Outre-Mer, couronné le 19 juin, ayant séjourné à
Auxerre le 25 et le 26 juillet, semble avoir dû assister avec Hugues
le Grand aux funérailles de son prédécesseur.
Raoul
a légué au monastère de Sainte Colombe une partie de sa fortune
privée, sa couronne d'or enrichie de pierres précieuses et le
superbe mobilier de sa chapelle comprenant des ornements d'autel, des
calices, des reliquaires et des manuscrits... Ce trésor sera
longtemps l'orgueil de l'abbaye. Cependant la couronne du roi Raoul
Ier est emportée en 1147 par l'abbé Thibaud à la seconde Croisade,
et comme il meurt en Orient, cette magnifique pièce d'orfèvrerie
est irrémédiablement perdue...
Il
est assez étrange de noter la persistance avec laquelle, même dans
les régions où l'on a le plus longtemps refusé de reconnaître la
suzeraineté de Raoul Ier, on continue pendant plusieurs mois à
dater les actes en prenant pour point de départ le jour de sa
mort... On ignore ainsi volontairement la restauration du jeune
rejeton de cette dynastie Carolingienne (Louis d'Outremer), à
l'égard de laquelle on a affecté jadis une si inébranlable
fidélité, parce que la fiction d'un interrègne semble à présent
le meilleur prétexte aux revendications d'indépendance... On
conçoit qu'en face d'un tel état d'esprit, conséquence directe du
mouvement féodal, et après avoir eu sous les yeux l'exemple des
extraordinaires difficultés du règne de Raoul Ier, Hugues le Grand
n'ait pas osé briguer la succession du roi défunt et qu'il ait
préféré mettre à la tête du parti son neveu par alliance.
Un
siècle sépare la première et la dernière usurpation des
descendants de Robert le Fort. Durant cette période, la guerre
civile, commencée entre Eudes et Charles le Simple pour la
possession de la couronne, se renouvelle souvent entre les rois et
les vassaux. Le fils posthume de Louis le Bègue eut une destinée
déplorable pour un roi, et éprouve tous les genres d'usurpations...
Exclu du trône à sa naissance par ses frères, par la suite sous
prétexte de sa jeunesse on préfère donner sa place à un seigneur
capable de défendre l'État... Eudes meurt en 898 , et le roi
légitime règne, mais c'est pour perdre sa plus belle province , et
ajouter au nombre de ses vassaux un vassal plus redoutable que tous
les autres (912).
Il
croit se donner un appui dans le Viking Rollon, mais cet appui lui
manque lorsque la faveur d'un favori excite les grands à la révolte,
et que leurs suffrages défèrent la couronne à Robert de Francie.
Ce prétendant triomphe et meurt à la bataille de Soissons...
Charles le simple tombe captif entre les mains de ses vassaux, et
voit s'asseoir sur le trône un troisième prince qui n'est pas du
sang royal (923).
Ce
nouvel usurpateur, c'est Raoul, duc de Bourgogne, qui est élu par le
crédit de son beau-frère, Hugues le Grand, duc de Francie . Les
grands vassaux du Midi et les ducs de Normandie lui refusent leur
hommage jusqu'en 932, et le comte Herbert de Vermandois est sur le
point de replacer la couronne sur la tête de Charles le Simple...
Mais l'appui du duc de Francie maintient l'usurpateur, et le besoin
de s'unir pour repousser les Hongrois réconciliae les vassaux avec
le souverain, et fait conclure une ligue entre les rois de Francie,
d'Allémagne et de Bourgogne (935).
L'hérédité
des bénéfices a ruiné la première dynastie, l'hérédité des
gouvernements perd la seconde.
Les
Héristals, maires du palais, préparent la chute et recueillent
l'héritage des Mérovingiens, les ducs de Francie, comtes du palais,
suivent leurs traces et obtiennent le même succès. Les
commencements des Carolingiens ont été plus brillants, ceux des
Capétiens jettent moins d'éclat, mais leur famille présente
l'exemple unique d'une dynastie qui règne encore après plus de 32
générations de rois.
Avant
l'élection de Hugues Capet il existe 7 grands fiefs ou pairies
relevant directement du roi. La réunion du duché de Francie à la
couronne les réduit à 6 , savoir :
1°
Le comté de Vermandois, donné, vers l'an 820, à Pépin , fils du
roi Bernard, et qui cesse d'être une pairie vers le temps où le
comté de Champagne commence (1019).
2°
Le comté de Toulouse , détaché , en 850 , de l'ancien duché de
Gothie ou de Narbonne, en faveur de Frédelon , à qui succéde son
frère Raymond Ier. Peu d'années après, en 864 , le comté de
Barcelone est aussi distrait du duché de Gothie par Wifred, et reste
sous la mouvance de la France jusqu'en 1258.
3°
Le comté de Flandre, dont Baudouin Bras-de-Fer est le premier
comte-propriétaire, en 862.
4°
Le duché de Bourgogne, que Charles le Chauve donne à son beau-frère
Richard le Justicier, en 877. Hugues le Grand le réunit au duché de
Francie, créé, en l'an 861, au bénéfice de son aïeul Robert le
Fort, et après Hugues le Grand ses deux fils puînés le possèdent
successivement.
5°
Le duché d'Aquitaine ou de Guyenne, rétabli, au profit de Rainulfe
Ier, en 845, mais bénéficiaire jusqu'en 951, où Guillaume
Téte-d'Étoupe le rend héréditaire dans sa famille, Guillaume VI y
réunit le duché de Gascogne en 1052.
RAOUL Ier |
6°
Le duché de Normandie, érigé en faveur de Rollon, lequel épouse,
dit-on , une fille de Charles III, et se fait chrétien (912). Rollon
obtient aussi la suzeraineté de la Bretagne, alors divisée en 4
comtés depuis la mort d'Alain II, en 907.
Le
nombre des pairies est porté à 12 par la création de 6 pairies
ecclésiastiques, qui sont les archevêchés : de Reims et de
Sens, et les évêchés de Noyon, de Beauvais, de Châlons-sur-Marne
et de Langres.
Les
rois de Germanie et de Bourgogne ont du s’interposer et sont enfin
parvenus à réconcilier les deux rivaux dont l’inimitié troublait
la moitié de la Gaule (935).
Raoul
peut alors se faire reconnaître au midi de la Loire, il entre
solennellement à Toulouse et son nom figure dès lors en tête des
actes publics...
Titre
: Bibliothèque de l'École des Chartes Auteur ...
gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k124164/texteBrut
2
J8 Cependant Robert, frère d'Eudes, et Raoul, duc de Bourgogne,
furent élus rois de ..... Ces actes vont de 924 à 935 et de la 2e à
la 13e année de Raoul.
Robert
Ier et Raoul de Bourgogne rois de France (923-936 ...
www.mediterranee-antique.fr/Auteurs/Fichiers/JKL/Lauer/.../L_7.htm
Après
douze années d'efforts, Raoul déclare dans un diplôme délivré le
13 septembre 935, à Attigny, qu'il entend désormais se vouer à
l'administration paisible ...
Précis
de l'histoire et de la géographie du moyen âge: ...
books.google.fr/books?id=Hvw1AAAAMAAJ
Ovide
Chrysanthe Desmichels - 1840 - Middle Ages
Ce
nouvel usurpateur était Raoul , duc de Bourgogne , qui fut élu
parle crédit de son ... une ligue entre les rois de France ,
d'Allémagne et de Bourgogne (935).
Higgs
: il ne connaît pas Raoul ce mec ! - narkive.com
fr.sci.physique.narkive.com
› fr sci physique
Boson
Ier dit aussi Boson (895-935) est le fils de Richard II de. Bourgogne
dit ... Il est le frère du roi Raoul et du duc de Bourgogne, Hugues
le Noir2. Boson est ...
Dernières
années des Carolingiens (888 à 987)
www.histoire-fr.com/carolingiens_decadence_4.htm
Raoul,
en 921, nommé duc de Bourgogne suite à la mort de son père[7],
avait ... à Château-Thierry, Herbert fut finalement contraint de
faire soumission (935).
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