Cette
page concerne l'année 952 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
L’OPINIÂTRETÉ DES BRETONS VAINC LES NORMANDS...
Alain
II de Bretagne, dit « Barbetorte » ou « al
louarn » (en breton : « le renard »),
(né vers 900 - mort en 952 à Nantes) fils de Mathuedoï de Poher et
petit-fils par sa mère d’Alain le Grand, dernier roi de Bretagne,
comte de Poher puis le premier duc de Bretagne de 936 à 952.
Son
père et lui s’exilent dans la décennie 920 auprès du futur roi
Athelstan d'Angleterre qui est le parrain d'Alain selon la chronique
de Nantes.
Après
les disparitions successives d'Alain le Grand (mort en 907) et de
Gourmaëlon (mort en 913) la Bretagne connaît un regain d'attaques
de la part des Vikings. Ces derniers ne se contentent plus
d'expéditions de pillages comme au IXe siècle ni même de se
retirer contre paiement d'un tribut de type « Danegeld »
mais ils cherchent à se substituer aux dynasties locales et à
établir une principauté comme ils l'ont fait à la même époque en
Irlande à Dublin et Limerick, en Angleterre à York et dans le
Danelaw, et même en 911 à Rouen.
Par
ailleurs le vicomte d'Angers Foulques Ier tente de contrôler le pays
Nantais. Les établissements religieux sont la première cible des
pirates Scandinaves et l'abbaye de Landévennec est détruite en 913
pendant que ses moines se réfugient à Montreuil-sur-Mer auprès
d'Helgaud de Montreuil (mort en 926) comte de Ponthieu qui périt
d'ailleurs en combattant les Normands.
Selon
le témoignage de la vita de Saint-Gildas Daioc abbé de
Saint-Gildas-de-Rhuys et Taneth abbé de Locminé s'établissent en
927 dans le Berry auprès d'Ebbes le Noble de Déols. Salvator évêque
d'Aleth, Junan abbé de Léhon et ses moines ainsi que le clergé de
Dol-de-Bretagne et de Bayeux gagnent Paris.
Un
doute subsiste sur la date de l'exil de ces derniers parfois reportée
vers 960. Flodoard évoque toutefois ces événements dans l'entrée
de l'année 919 et c'est à cette époque que Ragenold s'installe à
Nantes et que le comte Robert de Francie tente en 921 sans succès de
le chasser avant qu'il n'attaque les princes du nord de la Francie
sous le prétexte d'aider Charles le Simple contre ses ennemis.
Selon
l'interprétation d'Hubert Guillotel la seconde intervention d'Hugues
le Grand et de Herbert II de Vermandois contre Nantes en 927 aurait
permis de cantonner les Normands de la Loire à Nantes et favorisé
le retour de certains émigrés dont Alain fils de Mathuedoï qui a
été contraint de s'exiler une seconde fois en 931 après l'échec
de l'insurrection contre les Normands menée avec Bérenger et le
massacre des Normands établis en Cornouaille (France) avec leur chef
Félécan. Selon Hubert Guillotel, Hugues de Fleury au début du
XIIe siècle relate le même événement avec des détails
complémentaires.
En
933, le roi Raoul de Francie s'approprie les régions qu'il identifie
avec le Cotentin et l'Avranchin.
D'après
le récit épique fait par Arthur de la Borderie, Jean, abbé de
Landévennec, exilé comme les principaux membres de l'aristocratie
Bretonne depuis 919, revient en Bretagne vers 935, et recrute des
résidents qui, réfugiés dans les rochers inaccessibles de la côte
de Crozon, résistent aux Vikings sous la direction de deux chefs
locaux Amalgod et Wethenoc. Il envoie ensuite des hommes sûrs à la
cour d'Æthelstan pour informer de la situation Alain, fils de
Mathuedoï, et le presser de prendre la direction des Bretons. Jean
regroupe des partisans afin de lui fournir une petite armée, et lui
fait prêter serment par Amalgod et Wethenoc.
Né
dans la tourmente des invasions normandes, Alain Barbetorte est le
duc d’une Bretagne qui nous apparaît bien différente du royaume
Breton, malgré sa volonté de restaurer les institutions
Carolingiennes. Il se situe à l’articulation entre ce royaume par
ses origines et un nouveau duché dont il est le premier à porter le
titre.
Selon
Hubert Guillotel, cette restauration n'est pas seulement liée à une
victoire militaire, elle est intervenue avec celle de Louis
d'Outremer dans le cadre d'une négociation diplomatique globale
entre la mort du roi Raoul le 14/15 janvier, et le sacre de Louis IV
de France, le 19 juin 936, et qui inclue le roi Æthelstan
d'Angleterre, les princes rivaux de la Francie du nord, Hugues le
Grand et Herbert II de Vermandois, ainsi que Guillaume Ier de
Normandie, qui a abandonné son soutien aux Normands de la Loire...
À
l’initiative de l’abbé Jean de Landévennec, avec l’aide d’une
troupe de Bretons exilés et d’Anglais, Alain débarque en 936 en
Bretagne près de Dol-de-Bretagne, et attaque ensuite le camp de
Péran. Il combat les Normands à Plourivo avant de marcher sur la
Loire et Nantes et de les en chasser en 937. Cependant aucun texte
d'époque ni aucune trace archéologique ne mentionne l'existence
d'une telle bataille à Plourivo. Il est reconnu comme « Brittonum
dux » en 938.
Pendant
les premières années de son gouvernement Alain demeure proche
d'Hugues le Grand et combat les normands aux côtés de Hugues, comte
du Maine un fidèle du comte de Paris. La libération s’achève le
1er août 939, par la victoire de Trans sur les Normands, avec l’aide
du comte de Rennes Juhel Bérenger et du comte du Mans Hugues Ier.
Cette date serait devenue la « fête nationale des Bretons ».
Alain doit renoncer au Cotentin, à l’Avranchin et au territoire
situé à l’ouest de la Mayenne, (quant au comté de Nantes, il a
été, un temps, sous l’obédience Angevine de Foulque Ier d’Anjou
qui le revendique depuis 914).
Alain
Barbetorte en âge de se marier, prend pour concubine Judith, sans
doute de la famille du roi gallois Hywel Dda, (écrit Houuel Da à
l’époque) allié du roi du Wessex et présent à sa cour entre 928
et 935. Cette union de deux personnes parlant des langues très
proches a peut-être aussi une dimension diplomatique dans le but de
renforcer les liens entre Anglo-Saxons et Gallois, mais elle permet
aussi à Alain de renforcer ses prétentions au titre royal. Deux
fils naissent, dont l’aîné est prénommé Hoel, le second Guérec.
Alain
Barbetorte sans doute pendant son exil vers 930 avait contracté une
union avec la « noble Judith » jamais qualifiée
d'« uxor » dans les sources. De cette relation considérée
comme extra-matrimoniale, sont nés deux enfants réputés
illégitimes:
Hoël,
futur comte de Nantes, né vers 930
Guérech,
duc de Bretagne, né vers 933
Les
deux fils illégitimes sont assez âgés pour souscrire un acte avec
lui vers 945... Frères « bâtards » du jeune Drogon, ils
devront s'effacer devant ce dernier.
Après
l’échec d’un soulèvement de la Bretagne en 931 auquel participe
Juhel Bérenger, comte de Rennes, Alain est contraint de se réfugier
à nouveau chez son protecteur.
En
942 Alain Barbetorte devient allié de Louis IV d’Outremer, qu’il
a connu lors de leur exil en Angleterre, et dont il devient le
« fidèle » à Rouen, ainsi qu’avec Thibaud le
Tricheur, comte de Blois, de Tours et de Chartres. Il conclut la même
année une étroite alliance avec Guillaume Tête d'Étoupe, duc
d’Aquitaine, qui lui permet d’obtenir au sud de la Loire les pagi
de Mauges, Tiffauges et Herbauges
Au
témoignage de Dudon de Saint-Quentin repris par Guillaume de
Jumièges, les « Bretons Bérenger et Alain » sont
présents aux côtés du duc Guillaume de Normandie lorsque celui-ci
est tué le 17 décembre 942 à Picquigny dans la Somme, au cours
d'un guet-apens lors d'une entrevue avec Arnoul Ier de Flandre.
En
944, selon la Chronique de Flodoard, il se livre à une guerre
fratricide avec Juhel Bérenger de Rennes que les Scandinaves mettent
à profit pour piller de nouveau la Bretagne. La réconciliation
devant le danger commun doit intervenir très rapidement, car dans la
donation en faveur de l’Abbaye de Landévennec (vers 945-950), on
voit le comte Iudhael signer juste après Alain dux Britonum, entouré
de Jutohen l’archevêque de Dol, des évêques Hesdren de Nantes,
Blendivet de Vannes et Salvator d’Aleth, d’un Houuel comes et
d'un Vuerec (sans doute ses fils illégitimes), et enfin des
vicecomes Iestin, ancêtre des sires de Retz et Diles (de
Cornouaille).
En
948 Alain Barbetorte épouse à Blois, Roscille de Blois, sœur de
Thibaud Ier de Blois et fille de Gello Ier, comte de Blois et de
Richilde de Gothie. Ils ont un enfant : Drogon de Nantes, appelé
également Dreux, (né vers 950, futur comte de Nantes, mort vers
958).
Alain
Barbetorte développe les liens avec les abbayes de la vallée de la
Loire, comme l'abbaye Saint-Mesmin de Micy, dont l'abbé Jacques est
promu vers 950 à l'évêché de Saint-Pol-de-Léon. Son union avec
une sœur du comte de Blois montre qu’Alain Barbetorte souhaite
conforter son rôle dans la politique du royaume de Francie
occidentale. Sa mort prématurée en 952 met toutefois un terme à
ses projets et à son œuvre de restauration de la puissance
Bretonne.
Arthur
de la Borderie prend en considération la Chronique de Nantes pour
avancer qu'Alain Barbetorte est inhumé dans la collégiale Notre
Dame à Nantes, ville qu’il a choisie comme capitale, et dont il a
encouragé la reconstruction après les destructions commises par les
Normands. Plus récemment, Joëlle Quaghebeur s'appuyant sur
l'origine géographique familiale d'Alain, sur le lien privilégié
entretenu avec l'abbé Jean, et sur le fait que le seul acte
authentique de donation à un sanctuaire Breton d'Alain concerne
l'abbaye de Landévennec, « estime qu'il est envisageable »
que la tombe no 2 du sanctuaire soit la sienne...
La
Chronique de Nantes (XIIe siècle) et la Chronique de Saint-Brieuc
racontent ses exploits. La légende en rajoute.
Les
Bretons sont violemment dépossédés par les envahisseurs. Les chefs
de Bretagne, les machtyerns, les abbés, se réfugient en Angleterre
ou émigrent vers la France, emportant avec eux les reliques des
vieux saints Bretons :
- Mathédoï, fils d'Alain le Grand et comte de Poher, s'enfuit avec son fils Alain, surnommé plus tard Barbe-Torte, et un grand nombre d'hommes
- les moines de Noirmoutier quittent définitivement leur île en 836 pour se fixer en Anjou, puis en Poitou et enfin en Bourgogne
- ceux de Landévennec émigrent à Montreuil-sur-Mer, près de la Belgique, l'abbaye de Landévennec est détruite
- les moines de Redon s'en vont vers Auxerre et Poitiers, après avoir été chassés de Rennes
- les moines de Locminé et de Saint-Gildas-de-Rhuys, passent par Vannes et émigrent à Issoudun
- le clergé d'Alet et de Dol aboutit aux environs de Paris
Le
retour d'Alain Barbe-Torte
Un
patriote, l'abbé Jean de Landévennec, revenu dans son monastère,
prépare en secret les moyens que met en œuvre un jeune vengeur en
train de grandir à la cour du roi d'Angleterre son parrain : Alain,
petit-fils d'Alain le Grand, et surnommé plus tard Barbe-Torte.
Vigoureux et intrépide, la légende raconte qu'enfant, dans les
forêts de la vieille Angleterre, il poursuit et terrasse les
sangliers et les ours avec un simple bâton.
Il trouve dans les ruines du monastère de Dol une troupe de Normands en train de célébrer une noce. Les attaquant à l'improviste, il les massacre jusqu'au dernier.
Apprenant qu'une autre troupe se trouve près de Saint-Brieuc, il s'y rend par la mer.
La tradition rapporte qu'il livre la bataille de Plourivo contre le chef Viking Incon. Les Normands y ont établi un fort camp retranché (Castel Auffret). La lutte est acharnée et dure tout le jour. Les Normands ayant perdu beaucoup de monde, enfin repoussés par les Bretons, sont surpris dans leur retraite par la marée et sont submergés à Lancerf en Plourivo, au lieu-dit Toul-ar-c'houiled (trou des hannetons). Ici comme à Questembert, pour éterniser le souvenir de cette mémorable journée, on érige au milieu de la lande plusieurs croix qui subsistent encore.
Les Normands, qui se trouvent dispersés dans toute la Bretagne, fuient. Les Bretons viennent de toute part auprès d'Alain et le reconnaissent comme leur premier Duc.
Informé
qu'une grande masse de Normands s'est réunie à Nantes, Alain
chevauche jusqu'à cette ville. Au confluent de l'Erdre et de la
Loire, les barbares ont établi une vaste place d'arme. Ce grand
terrain est appelé, d'après la Chronique de Nantes, le Pré
Saint-Aignan ou Pré Anian.
La
bataille débute. Les Bretons sont repoussés, défaits, assoiffés.
Barbe-Torte se met à genoux, lève les mains au ciel et supplie la
vierge divine de leur donner une source.
Un des compagnons d'Alain creuse le sol et fait sourdre une fontaine. L'armée Bretonne, revigorée, reprend les armes et remporte la victoire. Quelques Normands réussissent à s'échapper et fuient vers Rennes. Alain établit alors sa résidence ducale à Nantes.
Par la victoire remportée à Trans en août 939, il réussit à chasser les envahisseurs pour de bon. Alain Barbe-Torte tombe malade en 952 et meurt après avoir convoqué les évêques, les comtes et les principaux seigneurs de Bretagne et leur avoir confié la garde de son fils.
Il est inhumé dans la basilique Notre-Dame de Nantes. Devenu duc après avoir chassé les Normands de leurs implantations au nord de la Bretagne , il reste à Alain Barbetorte à libérer le sud et à se donner une capitale : Nantes.
Un des compagnons d'Alain creuse le sol et fait sourdre une fontaine. L'armée Bretonne, revigorée, reprend les armes et remporte la victoire. Quelques Normands réussissent à s'échapper et fuient vers Rennes. Alain établit alors sa résidence ducale à Nantes.
Par la victoire remportée à Trans en août 939, il réussit à chasser les envahisseurs pour de bon. Alain Barbe-Torte tombe malade en 952 et meurt après avoir convoqué les évêques, les comtes et les principaux seigneurs de Bretagne et leur avoir confié la garde de son fils.
Il est inhumé dans la basilique Notre-Dame de Nantes. Devenu duc après avoir chassé les Normands de leurs implantations au nord de la Bretagne , il reste à Alain Barbetorte à libérer le sud et à se donner une capitale : Nantes.
Après
les batailles de Dol, Saint-Brieuc et Kerlouan, la peur s’est
installée dans le camp Normand. La plupart des autres communautés
du nord ont fui ou se sont rendues. Celles du sud tentent de se
regrouper autour de Nantes... Depuis le sac de 919, la capitale
épiscopale est restée vide, mais il y a encore de la place dans les
îles avoisinantes pour de nouveaux arrivants Normands. C’est bien
ce que veut éviter Alain Barbetorte.
L'aspect
de Nantes est lamentable :
La
cathédrale n’est plus qu’un champ de ruines au milieu de la
végétation.
Alain
Barbe-Torte doit se faire un chemin avec son épée pour atteindre
l’autel et y faire une action de grâce.
Peu
de jours après, il se remet en campagne et il extermine toutes les
bandes armées qui se dont installées dans les îles du Fleuve entre
Paimbeuf et Angers.
Désireux
d’affirmer par son triomphe l’importance qu’il attache à la
ville de Nantes au plan politique, stratégique et économique, il y
convoque aussitôt les États pour travailler à la reconstruction de
la cathédrale et la réorganisation du duché. Ce sera là son œuvre
capitale et c’est là qu’il vit le plus souvent jusqu’à sa
mort (952). Son armée est composée de volontaires et de la
participations des comtes de Rennes, Vannes et Cornouaille.
L’œuvre
de restauration d’Alain Barbetorte à Nantes est considérable et
plus rapide que celles de Nominoé et d’Alain La Grand . Tout en
faisant reconstruire la cathédrale, le château et les ponts, il
repeuple la ville en y attirant une foule de Francs et d’étrangers.
Il ouvre la culture aux non bretons et le trop celte évêque Hoctron
est remplacé par le plus conciliant Erdren (950). Il récupère
entièrement le territoire des Mauges de l’Herbauge et de Tifauge
Né
dans la tourmente des invasions normandes, Alain Barbetorte est le
duc d’une Bretagne qui nous apparaît bien différente du royaume
Breton, malgré sa volonté de restaurer les institutions
Carolingiennes. Il se situe à l’articulation entre ce royaume par
ses origines et un nouveau duché dont il est le premier à porter le
titre...
Afin
de remercier l’abbaye de Landévennec pour le rôle diplomatique de
son abbé lors de son retour, il lui accorde des biens dans le pays
Nantais dont Batz, qui deviendra le siège d’un prieuré.
Il
entreprend la restauration du duché sur la base des comtés,
anciennes institutions C arolingiennes. Il s’entoure de fidèles
comme le vicomte Diles surnommé « l’exilé de Cambrie ». Son
fils Hoel est nommé comte de Nantes. Le Breton Hesdren, précédemment
évêque de Léon, est placé à la tête du diocèse.
Inquiets
du rapprochement entre le roi Louis IV et les Normands, Alain, Juhel
Bérenger (« les Bretons » selon Flodoard) et Guillaume Tête
d’Étoupe vont à sa rencontre à Rouen en 942 pour lui jurer
fidélité. Puis accompagnent le roi dans l’Oise lors d’une
expédition contre Hugues le Grand et Herbert de Vermandois la même
année.
Des
Normands profitent de dissensions avec Juhel Bérenger, en 944, pour
attaquer Dol. Réconcilié avec Juhel Bérenger, Alain Barbetorte
cherche à consolider son autorité par une alliance matrimoniale en
épousant la sœur du comte de Blois.
La Chronique de Nantes place sa tombe à Nantes mais Joëlle Quaghebeur a émis récemment l’hypothèse qu’il pourrait avoir été enterré dans l’abbaye de Landévennec.
Alain
Barbetorte. Alain Barbe-Torte
www.bretagnenet.com/strobinet/barzaz/louarn2.htm
12
mars 1998 - Cette chanson des Tri Yann vante la gloire d'Alain
Barbe-Torte, Duc de ... Alain Barbe-Torte tombe malade en 952 et
meurt après avoir ...
Alain
Barbetorte — Wikipédia
fr.wikipedia.org/wiki/Alain_Barbetorte
Alain
II de Bretagne, dit « Barbetorte » ou « al louarn » (en breton :
« le renard »), (né vers 900 - mort en 952 à Nantes) est le fils
de Mathuedoï de Poher et ...
Alain
Barbetorte - Franc-or
tous-les-faits.fr/alain_barbetorte
Alain
II de Bretagne, dit « Barbetorte » ou « » (en breton : « le
renard ») , (né vers 900 - mort en 952 à Nantes) est le fils de
Mathuedoï de Poher et petit-fils par sa ...
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