20
OCTOBRE 2015...
Cette
page concerne l'année 573 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
LES
LOMBARD SUBMERGENT L'ITALIE.
Alboïn
(italien : Alboino ; latin : Alboinus ; du
germanique Alfwin, « Elfe-ami ») roi lombard du milieu du
VIe siècle qui conduit son peuple en Italie vers 568, jetant
les bases du royaume Lombard d'Italie.
Après
3 ans de siège, Pavie tombe entre les mains des Lombards qui ont
envahi toute l'Italie du Nord. La prise de la capitale de Théodoric
donne aux Lombards une nouvelle légitimité.
Alboïn
se targue d’avoir avec lui des ancêtres communs, les Amales, et
apparaît comme l’héritier naturel des Goths.
Les
Lombards migrent sous le règne du roi Waccho, de l'Est en Pannonie,
profitant des difficultés que rencontre le Royaume Ostrogoth en
Italie après la mort de son fondateur, Théodoric en 526. À la mort
de Waccho vers 540, son fils Walthari lui succède. Le roi étant
mineur, c'est le père d'Alboïn, Aldoin, du clan Gausien, qui
gouverne. Sept ans plus tard, Walthari meurt, donnant à Aldoin
l'opportunité de se saisir de la couronne et de renverser les
Lething.
Alboïn,
né dans les années 530 en Pannonie, est le fils d'Aldoin et de sa
femme Rodelinde. Cette dernière est peut-être une nièce du roi
Ostrogoth Théodoric, fiancée à Aldoin grâce à la médiation de
l'empereur Byzantin Justinien... Comme son père, Alboïn est païen,
bien qu'Aldoin, tente une fois de se déclarer chrétien pour gagner
une aide des Byzantins contre ses voisins. Alboïn épouse la
catholique Clodoswinthe, fille du roi Franc Clotaire Ier, peu après
la mort du roi Franc Thibaut en 555.
Ce
mariage reflète la volonté d'Aldoin de s'éloigner des Byzantins,
alliés traditionnels des Lombards, peu enthousiastes à l'aider face
aux Gépides. Cette nouvelle alliance avec les Francs offre ainsi aux
Lombards plus d'une option.
La
« Prosopography of the Later Roman Empire » interprète
différemment les événements et les sources, avançant qu'Alboïn
épouse Clodoswinthe alors qu'il est déjà roi, ou peu avant 561,
l'année de la mort de Clotaire.
Alboïn
se distingue sur le champ de bataille face aux Gépides. À la
bataille d'Asfeld, il tue Thorismod, fils du roi Gépide Thorisind.
Cette victoire oblige l'empereur Justinien à intervenir pour
maintenir l'équilibre entre ces deux puissances régionales rivales.
Après la bataille, d'après une tradition rapportée par Paul
Diacre, afin d'être autorisé à s'asseoir à la table de son père,
Alboïn doit demander l'hospitalité d'un roi étranger et se faire
offrir des armes par ce dernier, comme le veut la coutume. Pour cette
initiation, il se rend à la cour de Thorisind, où le roi lui donne
les armes de Thorismod. Pour l'historien Walter Goffart, il est
probable que ce récit s'appuie sur une tradition orale, et peut être
écarté comme étant un simple topos des poèmes épiques.
Alboïn
monte sur le trône après la mort de son père, entre 560 et 565.
Comme le veut la coutume des Lombards, Alboïn n'est couronné
qu'après son élection par les hommes libres de la tribu, qui
traditionnellement choisissent le roi parmi le clan du souverain
décédé. Peu après, en 565, une nouvelle guerre éclate contre les
Gépides, maintenant conduits par Cunimond, un fils de Thorisind...
La cause du conflit est incertaine et les sources sont divisées :
Le Lombard Paul Diacre accuse les Gépides, alors que le Byzantin
Ménandre le Protecteur rend Alboïn responsable, une interprétation
ayant les faveurs de l'historien Walter Pohl.
Le
récit de cette guerre donné par le Byzantin Théophylacte Simocatta
sentimentalise les causes du conflit : Après avoir vainement
courtisé la fille de Cunimond, Rosemonde, Alboïn l'enlève et
l'épouse.
Ce
récit est traité avec scepticisme par Walter Goffart, qui observe
qu'il entre en conflit avec celui donné par « l'Origo Gentis
Langobardorum », (tradition orale du peuple Lombard) où elle
n'est capturée qu'après la mort de son père. Les Gépides
obtiennent l'aide de l'empereur Byzantin en échange d'une promesse
de cession de la région de Sirmium, le centre de l'État Gépide.
Ainsi, en 565 ou 566, le successeur de Justinien, Justin II, envoie
son beau-fils, le magister militum Baduaire, à la tête de l'armée
Byzantine envoyée à l'aide de Cunimond, conduisant ainsi à une
déroute totale des Lombards.
L’ENTRÉE D'ALBOÏN DANS PAVIE |
Confronté
à une possible annihilation, Alboïn s'allie en 566 aux Avars
dirigés par le khagan Bayan, jouant sur l'hostilité préexistante
entre ces derniers et les Byzantins. En échange de leur aide, les
Avars obtiennent un dixième des châteaux Lombards, la moitié du
butin de guerre et, à la fin de la guerre, le contrôle de
l'ensemble du territoire tenu par les Gépides.
Cunimond,
de son coté, rencontre de l'hostilité chez les Byzantins lorsqu'il
demande une nouvelle fois une aide militaire à l'empereur.
Les
Gépides, en effet, n'ont pas tenu leur engagement de livrer Sirmium,
comme préalablement convenu. Plus encore, la politique étrangère
de Justin II s'écarte de celle de son prédécesseur Justinien, et
s'emploie à traiter plus strictement les États et peuples voisins.
Les
tentatives d'amadouer Justin II avec des tributs échouent
finalement, et les Byzantins restent neutres, voire soutiennent les
Avars.
En
567, les alliés portent le coup fatal à Cunimond en envahissant les
terres gépides : Alboïn au nord-ouest et Bayan au nord-est.
Cunimond tente d'empêcher la fusion des deux armées en attaquant
les Lombards entre la rivière Tibiscus et le Danube.
Les
Gépides sont battus, leur roi tué par Alboïn, et sa fille,
Rosemonde, est faite prisonnière, d'après l'Origo. Les Avars
achèvent la destruction complète du royaume des Gépides. Ils
cessent alors d'exister comme peuple indépendant, étant
partiellement absorbés par les Lombards et les Avars. Après le
décès de sa première femme Clodoswinthe en 568 et sa victoire
contre Cunimond, Alboïn épouse Rosemonde afin d'établir un lien
avec les Gépides restants.
Cette
guerre marque également un important tournant dans l'histoire
géopolitique de la région, associée avec la migration des Lombards
l'année suivante, marquant la fin de 6 siècles de domination
Germanique du Bassin Pannonien.
Au
début de l'année 568, peut-être par méfiance des Avars, mais
aussi par connaissance de la fragilité de la domination Byzantine
d'une Italie ruinée après les guerres Gothiques (535-553/61), il
décide la migration de son peuple vers l'Italie du Nord non sans
avoir conclu avec Bayan un droit de retour en Pannonie et en Norique
valable 200 ans.
Il
se dirige dès lors avec son peuple mais également avec d'autres
tribus dont des Gépides, 20 000 Saxons et même des Avars
(environ 200 000 individus au total), vers l'Italie en partant
du lac Balaton (en actuelle Hongrie) le lundi de Pâques de l'an 568.
Il
occupe le Frioul au printemps 569, faisant de la région le premier
duché Lombard en y installant un neveu, Gisulf, siégeant à
Cividale, capitale du duché. Du nord-est de la péninsule, il
conquiert toute la fertile plaine du Pô jusqu'aux Alpes ainsi que
l'Italie centrale à l'exception de Ravenne et de Rome qui lui
échappent, conservées par les Byzantins, et installe son quartier
général dans l'ancien palais du roi Ostrogoth Théodoric le Grand à
Vérone. Milan tombe à la fin de l'été 569 et Pavie capitule après
un long et pénible siège de 3 trois ans en 572.
L'assassinat
de son successeur Clèph, laisse les Lombards sans chef pendant 10
ans. L’Italie est en proie au désordre.
À
la tête des envahisseurs, sans que personne ne les contrôle, se
trouvent des ducs, chefs militaires de rang princier.
Certains
d’entre eux reconnaissent l’autorité de Byzance qui, trop faible
pour reconquérir le pays, empêche les Lombards de l’occuper
entièrement. Ils s’y établissent par poches et l’Italie se
divise en différentes zones de pouvoir, situation qui durera 13
siècles. De cette époque date l’opposition traditionnelle entre
la Lombardie, dominée par Pavie et Milan, et la Romagne, pays des
Romains, dont la principale ville est Ravenne.
La
ville appelée Forum Julii , aujourd’hui Civita di Friuli, bâtie
par Jules César, est la première dont ils s’emparent, ils ne
trouvent aucune résistance dans les places voisines. Les habitants
se sauvent dans les lagunes de Venise, comme ils l'ont déjà fait
aux approches d’Attila.
Le
patriarche d’Aquilée se retire dans l’île de Grado avec le
trésor de son église... Alboin se rend maître en peu de temps de
Trente – Vicenze – Vérone - Brescia - Bergame et de toute la
Vénétie, qui s’étend jusqu’à l’Adda, Mantoue, Padoue et
Crémone, où Longin a placé de fortes garnisons, sont les seules
places qui se mettent en défense. Ces 3 villes ne se rendent que 30
ans plus tard au roi Agiluphe.
|
Alboin
établit alors le duché de Frioul, dont il donne le gouvernement à
son neveu Grasulphe. Les Lombards poursuivant leurs conquêtes,
s’emparent de Lodi, de Come et des autres places de la Ligurie
jusqu’aux Alpes Cotiennes... Presque tous les riches habitants ont
abandonné leurs demeures et placé sur des chariots leurs femmes,
leurs enfants, leurs vieillards et leurs bagages, attendant de
prendre la fuite, les uns se sont retirés à Gênes, d’autres dans
l’île de Comacine, sur le lac de Denis, un grand nombre dans les
îles d’un autre lac que le débordement des rivières a formé
depuis peu, entre Crémone et Lodi. Ces fugitifs y fondent la ville
de Crème, qui n’est plus dans une île, parce que le lac qui
l’entourait s'est desséché par la suite. Milan ouvre ses portes
au mois de septembre 569.
Les
Lombards possèdent la Ligurie entière, à l’exception de Pavie et
des places maritimes. Pavie est forte par ses remparts et par le
Tessin qui baigne ses murs. Elle arrête, durant 3 ans, le torrent
d'envahisseurs qui déborde sur l’Italie. Alboin, repoussé devant
cette ville , prend le parti de la réduire par famine, et pour ne
pas perdre un temps précieux au siège d’une seule ville, il part
avec une partie son armée, il se rend maître de l'Emilie jusqu’à
Bologne. Tortone, Plaisance, Parme, Modène et Reggio n’osent lui
résister.
Il
réduit sous son obéissance la Toscane et l’0mbrie.
Spolette,
capitale de cette dernière province, ruinée par les Goths, rétablie
par Narsès, devient le siège d’un duché. Son district s’étend
dans toute l’Ombrie, et reçoit dans la suite de nouveaux
accroissements. Les Lombards, qui n’ont pas de marine, n’osent
assiéger Ravenne, elle reste à l’exarque Longin avec la Flaminie.
Rome se défend autant par son adresse que par sa masse. Les Lombards
s’avancent plusieurs fois jusqu’aux portes de cette capitale,
mais ils n’y entrent pas.
Alboin
abandonnant Rome en 57I, pénètre dans la péninsule jusqu'en
Campanie.
Un de ses capitaines s’est déjà établi dans le Benevent avec un corps de Lombards. Le duché de Benevent est alors fondé. Il devient par la
suite plus considérable que ceux de Spolette et de Frioul, par la puissance de ses ducs qui prennent le titre de princes après la destruction du royaume de Lombardie.
Un de ses capitaines s’est déjà établi dans le Benevent avec un corps de Lombards. Le duché de Benevent est alors fondé. Il devient par la
suite plus considérable que ceux de Spolette et de Frioul, par la puissance de ses ducs qui prennent le titre de princes après la destruction du royaume de Lombardie.
Le
duché de Frioul sert de barrière contre les peuples Germanique
celui de Spolette, placé au centre de l’Italie, arrête les
entreprises des garnisons de Rome et de Ravenne, Benévent doit
servir de place d‘armes aux Lombards, pour achever la conquête de
l’Italie méridionale.
En effet, un siècle après l’établissement de ce duché, il s’étend d’une mer à l’autre , depuis l’embouchure du Liris, appelé aujourd’hui le Garigliano, jusqu’au fleuve Aterno, dans le golfe Adriatique. Tout le pays, jusqu’à Cosenza, d’un côté, et de l’autre jusqu’à Ottrante, dépend... du duché de Benevent , à l’exception de Naples, Cumes, Amalfi et Surrento, qui demeurent au pouvoir des Grecs. Ils se maintiennent dans les 2 extrémités méridionales, depuis Cosenza jusqu’au détroit de Messine, et qui commence à porter dès lors le nom de Calabre ultérieure, et depuis Ottrante, jusqu’à la pointe nommée le promontoire de Salente.
En effet, un siècle après l’établissement de ce duché, il s’étend d’une mer à l’autre , depuis l’embouchure du Liris, appelé aujourd’hui le Garigliano, jusqu’au fleuve Aterno, dans le golfe Adriatique. Tout le pays, jusqu’à Cosenza, d’un côté, et de l’autre jusqu’à Ottrante, dépend... du duché de Benevent , à l’exception de Naples, Cumes, Amalfi et Surrento, qui demeurent au pouvoir des Grecs. Ils se maintiennent dans les 2 extrémités méridionales, depuis Cosenza jusqu’au détroit de Messine, et qui commence à porter dès lors le nom de Calabre ultérieure, et depuis Ottrante, jusqu’à la pointe nommée le promontoire de Salente.
On
appelle le duché de Benevent la seconde Lombardie. La première
s’étend des Alpes aux environs du Pô. Les différents peuples qui
ont accompagné Alboin donnent leurs noms aux cantons qu’ils
habitent en Italie. Ces noms subsistent au temps de Paul Diacre, on
en trouve encore aujourd’hui quelques vestiges dans le duché de
Milan.
Les
Lombards qui professent la religion chrétienne, ne sont pas odieux
aux Italiens, ils en adoptent aisément les mœurs et la politesse.
Les
contemporains ne nous disent pas si, à l’exemple des Huns et des
Goths, ils ont dépouillés les anciens habitants d’une partie de
leurs possessions, et quel est le mode du partage, mais il est
constant que la barrière qu’ils établissent entr’eux et le
peuple subjugué, est à l’origine de la vassalité et de la
noblesse qui s’établit bientôt d’un bout de l’Europe à
l’autre.
ART LOMBARD |
Il
n’est pas inutile d’observer qu’à l’occasion des conquêtes
des Lombards, le nom de Calabre passe d’une province à une autre.
L’ancienne, Calabre commençait aux montagnes qui bornent l'Apulie
au Sud, et se renferment dans la presqu’île où se trouvent les
villes de Brendisi, de Tarente, d’Ottranto, d’Ugento, de Lecce,
se termine à la pointe méridionale.
Ce
pays perd son nom. Il passe de l’autre côté du golfe de Tarente à
la contrée nommée auparavant Brutium, qui se divise en 2
provinces ; Camillo Peregrini , qui écrit au milieu du XVIIe
siècle, donne, le premier, la raison de ce changement.
Les
Lombards, observe cet écrivain judicieux, s’étant rendus maîtres
de la plus grande partie de l’Italie, il ne reste plus aux Grecs et
dans le midi de la péninsule, que les places maritimes de la
Campanie, le Brutium, l’ancienne Calabre et la Sicile. Ils font de
ces pays 2 départements qu’ils nomment Thèmes, suivant le langage
alors reçu à Constantinople. L’un de ces Thèmes
comprend
la Sicile, l’autre tout ce que l’empire possède encore dans la
partie méridionale de l’Italie et comme la Calabre en fait la
principale partie, à cause des villes célèbres de Brendisi, de
Tarente, d’Ottranto : Ce gouvernement est nommé le Thème de
Calabre, dans lequel est compris le Brutium. Dans la suite ,
la
ville de Pavie se, rend aux Lombards.
En
572 Alboin la choisit pour capitale, Sigonius rapporte qu’à
Vérone, au mois de mars, dans un festin qu’il donne à ses
principaux capitaines, échauffé par le vin, Alboïn se fait
apporter le crâne de Cunimond, roi des Gépides, qu’il a tué au
combat, et dont il a épousé la fille Rosemonde (crâne vu par Paul
Diacre dans le trésor de Pavie). Après avoir bu dans ce crâne, il
le présente à la reine Rosemonde, en l’invitant à boire dit-il,
avec son père... La reine, indignée de cette barbarie, résout de
se venger, et communique son dessein à Elmigise, écuyer du roi.
Elmigise
lui conseille d’en confier l’exécution à Péridée, renommé
parmi les Lombards pour sa grande force. Péridée se refusant à ce
meurtre, la reine, déterminée à tout entreprendre pour réussir,
engage une de ses femmes ayant un commerce de galanterie avec Péridée
, de lui laisser prendre sa place. Trompé par cet artifice, il n’a
pas plutôt satisfait sa passion, que la reine se faisant connaître
:
«
Choisis maintenant, lui dit-elle, entre tuer et mourir, si tu laisses
Alboin échapper a ma vengeance, tu n’échapperas pas à la Sienne
».
Dès
le lendemain, Alboin s’étant jeté sur son lit pour prendre
quelque repos pendant la chaleur du jour, Rosemonde écarte les
esclaves, enlève les armes de son mari, à l’exception de son épée
qu’elle attache de manière à ce qu’il ne puisse s’en servir,
et introduit Péridée. Alboin, réveillé par le premier coup qu’il
reçoit, court à son épée, et ne pouvant la tirer du fourreau, il
se saisit d’une chaise avec laquelle il se défend longtemps, mais
enfin plusieurs blessures le font tomber mort. Pendant que les chefs
des Lombards s’assemblent pour donner un successeur à Alboin,
Rosemonde épouse Elmigise, et fait tout pour le placer sur le trône.
28
juin : Suite à l’assassinat d’Alboïn par son épouse
d'origine Gépide Rosemonde. Les Lombard soupçonneux songent à
juger Rossemonde et Elmigise qui avec Péridée s'enfuient, trouvant
refuge près de l'exarque de l'empereur Byzantin...
Plus
tard Rosemonde, voulant se débarrasser de son second époux lui
présente un breuvage empoisonné alors qu'Elmigise sort de son du
bain. A peine en a-t-il bu une partie, que, sentant dans ses
entrailles l’effet du poison, il force Rosemonde, l’épée sur la
gorge, d’en boire le reste... Tous deux expirent en même temps.
Login
peu touché de cette scène tragique, envoie une partie des trésors
de Rosemonde à l’empereur, à qui ce présent fait tant plaisir,
qu’il augmente le pouvoir de l’exarque.
Alboïn
— Wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Alboïn
Les
Lombards migrent sous le règne du roi Waccho, de l'Est en Pannonie,
profitant ... Alboïn, né dans les années 530 en Pannonie, est le
fils d'Aldoin et de sa femme .... Le 28 juin 572 , Alboïn est
assassiné à Vérone alors qu'il fait une sieste.
Biographie
- Unions et postérité - Références - Annexes
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire