vendredi 13 novembre 2015

EN REMONTANT LE TEMPS... 564

28 OCTOBRE 2015...


Cette page concerne l'année 564 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !
LA CITE CÔTIÈRE DE TULUM


Cette citée est une forteresse de commerçants alliée à la cité de Mayapan.
La fondation de la cité semble remonter à 564., comme l’indique certaines inscriptions.

La cité maya de Cobá, dont l’apogée se situe vers 650 utilise le site de Tulum comme un important port de pêche et peut être aussi de commerce pour les échanges vers d’autres cités de la région. Des artefacts en silex, des poteries de la péninsule du Yucatan, des objets en obsidienne ou en jade du Guatemala et des grelots et anneaux en cuivre du plateau central Mexicain, démontrent l’importance de ces échanges. La structure 59 montre également l’empreinte du style de l’époque classique Maya.
Mais, la majeure partie des vestiges datent de la période postclassique tardive, c'est-à-dire après 1200. Certaines fresques découvertes à l'intérieur des bâtiments laissent suggérer une influence Mixtèque.
De récentes analyses tendent à démontrer que Tulum a eu un rôle majeur du XIIIe au XIVe siècle.
L’archéologue Ernesto Vargas a montré que la cité se trouve stratégiquement placée entre les provinces (kuchkabaloob) de Cochuah et Cozumel, ce qui, si on ajoute son édification sur le point le plus élevé de la Côte et son système de murailles défensives, l’ont placé dans un lieu inévitable pour n’importe quelle route commerciale et pour l’exploitation des importantes ressources maritimes de la région.
Comme le montrent les fresques peintes et certains bas-reliefs, Tulum semble avoir été un site majeur dédié au culte du Dieu Plongeur...

Tulum est un centre religieux et commercial prospère à partir de 1200 environ, jusqu'à la conquête Espagnole.
La cité est encore habitée par les populations Maya lors de l'arrivée des conquistadors Espagnols, mais elle est abandonnée au cours du XVIe siècle.

Cette cité Maya a été identifiée comme ayant eu pour nom originel Zamá, ce qui signifie la cité de l’aube.
Tulum est aussi un mot maya signifiant barrière ou clôture, ce qui se comprend aisément puisque la cité est entourée d’épaisses murailles protectrices.
Le premier à identifier la cité est Juan Diaz, en 1518, participant à l’expédition de Juan de Grijalva. Il la décrit comme une cité riche et magnifique à l’image de Séville en Espagne.

À partir de 1250 (époque Postclassique Tardive) Tulum va occuper un statut civique, administratif, religieux et résidentiel qui convertit la cité, en un point stratégique du commerce péninsulaire jusqu'à la conquête Espagnole.
La cité est encore habitée par les populations Maya lors de l'arrivée des conquistadors Espagnols, mais elle est abandonnée au cours du XVIe siècle. Jusqu'au début du XXe siècle, certains villageois des environs ont l'habitude d'apporter des offrandes à Tulum, mais les visites continues des touristes provoquent la fin de cette pratique.

Cette cité Maya a été identifiée comme ayant eu pour nom originel Zamá, ce qui signifie « demain ». L'archéologiste Samuel Lothrop l'a surnommée « la cité de l'aube » en 1922. Le nom viendrait du fait que la cité est à la fois associée à l'Est, qui, dans la symbolique Maya, représente la renaissance, et au solstice d'hiver.

À la fin du XVIe siècle, les références coloniales sur Tulum, se perdent et le site tombe dans l'abandon. Mais en 1841, les célèbres explorateurs John Lloyd Stephens et Frederick Catherwood la redécouvrent et publient leurs récits en 1843 « Incidents of Travel in Yucatan ».
Récits et illustrations de la cité ensevelie sous la jungle qui suscitent l'intérêt d'explorateurs et d'archéologues de différents pays.

En 1844, Catherwood publie « Views of Ancient Monuments Central America, Chiapas and Yucatan », qui contient des lithographies de Tulum dessinées dans les ruines en 1841 à l'aide d'une camera lucida.

John Berhisel, un Mormon, lit le livre de Stephens et identifie Tulum comme la ville de la Désolation de la pensée mormone. Plusieurs expéditions mormones ont lieu lors du siècle suivant afin de trouver cette ville.

Le 15 octobre 1850 a commencé le Culto de la Cruz Parlante, culte de la croix parlante, lors José Maria Barrera, aidé du ventriloque Maya Felipe Carrillo Puerto, a fait parlé une croix en bois afin de galvanisé les rebelles Mayas contre l'occupant Espagnol. À Tulum, la prêtresse de ce culte est Maria Uicab. En 1870, elle parvient à transformer Tulum en centre d'opération du culte, supplantant ainsi Chan Santa Cruz.
Lorsqu'un missionnaire Espagnol arrive à Tulum pour la contrôler, elle ordonne sa mort, que sa chair soit retirée de ses os et qu'ils soient coulés dans le ciment... Ric Hajovsky affirme avoir vu ces os lors des fouilles réalisées dans les années 1970, squelette qui a depuis été retiré.

En 1974 et 1975, Le Centre Régional du Sud-Est de l'Institut National d'Anthropologie et d'Histoire (INAH) a commissionné un groupe d'archéologues et de restaurateurs afin d'effectuer des travaux spécialisés dans le périmètre de la muraille et dans les zones environnantes : Levée topographique et consolidations.

De nos jours des milliers de touristes viennent quotidiennement visiter les ruines dans le cadre d’excursions organisées par les hôtels et voyagistes de la région.
Tulum est le 3e site archéologique du Mexique en nombre de visites après Teotihuacan et Chichen Itza et juste devant Monte Albán. Le site de Tulum paraît modeste et peu étendu (6 km le long de la côte), surtout si on le compare avec ceux de Cobá ou de Chichen Itza mais il est édifié dans un site naturel exceptionnel, en bordure de la mer des Caraïbes Mexicaine aux couleurs turquoise et sur un promontoire rocheux qui met les bâtiments particulièrement en valeur.
La plupart des monuments ont des fonctions cérémonielles. Des traces de peinture de couleur rouge peuvent être observées sur certains édifices. Cela suggère qu’ils étaient peints durant la période Maya.

Les traits distinctifs de Tulum sont les 2 murailles, extérieure et intérieure. La muraille externe encercle 3 côtés du secteur principal de l'antique cité. Elle comprend un espace rectangulaire d'environ 380 mètres, du Nord au Sud, et de 170 mètres d'Est en Ouest. Cette zone comprend la majeure partie de l'architecture monumentale: Temples, autels, tombes et édifices d'une hiérarchie qui contrôle la société. Le reste de la société vit en-dehors de l'enceinte, dans une zone qui s'étend sur 5 km au Nord et au Sud du site, le long de la côte.

Le groupe de constructions du centre de Tulum ou Enceinte Intérieure est conformé par la Muraille Intérieure dont les dimensions forment un rectangle d'environ 30 mètres sur 50. Les principaux édifices de ce secteur sont regroupés autour du patio délimité par la muraille.
Elle a environ 6 mètres d'épaisseur et 4 de hauteur, la muraille est composée d'une plate-forme et d'un parapet. Il y a aussi de petits gradins qui, de l'intérieur, permettent, l'ascension à la plate-forme. La muraille ceint le centre de la cité des côtés Ouest et Nord-Sud. Cinq entrées permettent l'accès : Une, qui est presque au centre du pan occidental, 2 sur la section Nord et 2 autres sur la section Sud.
Ces entrées forment toutes des passages voûtés, illustrant la fameuse voûte angulaire aussi dénommée « fausse voûte ». Sur les angles Nord-Est et Sud-Ouest, on trouve des temples qui ressemblent à des petites tours de garde et soulignent le caractère défensif de la grande construction. Le côté Est se trouve en bordure de mer et bénéficie d’une petite falaise naturelle protectrice.

La muraille remplit donc 2 fonctions: elle évite l'assaut de groupes ennemis et délimite l'espace réservé aux activités de caractère politique-administratif et religieux. À l’intérieur de la cité apparaissent les traces d'une seconde muraille de protection.
Elle est délimitée par les structures qui la conforment et par une petite muraille qui n'a que 3 accès. Deux sur le côté Occidental et un côté Sud. Parmi les édifices qui appartiennent à cette enceinte on distingue 5 types différents :
  • Les bases pyramidales formant un seul corps et possédant un escalier d'accès délimité par des arbalétriers axés à l'Ouest, qui soutiennent un temple.
  • Les 5 temples ne possèdent qu'un couloir, mais le temple qui couronne le Castillo en a 2.
  • Les 2 autels sont des petites structures.
  • Les pièces de l'enceinte intérieure présentent 3 variantes : Celle de la Structure 9 n'a qu'un couloir, les pièces 3 et 10 ne possèdent qu'une seule pièce mais elles ont des portiques intérieurs qui soutiennent le toit.
  • Les plates-formes sont pourvues de gradins sur un de leurs côtés et, ne montrent aucune trace de construction ajoutée au-dessus de l'édifice originel.

C'est le bâtiment le plus haut, le plus important et le plus impressionnant du site, que le conquistador Bernard Diaz décrit comme une « Tour », on le remarque aussi par sa situation et la façade singulière du temple supérieur. La façade principale surplombe le côté Est de l'enceinte Interne, tandis que le mur postérieur s'élève majestueusement sur le bord de la falaise des Caraïbes. Celui-ci possède 3 accès décorés de colonnes serpentines, d’une représentation du Dieu plongeur et de deux médaillons zoomorphes aux angles.

L’aspect actuel du monument est le résultat de plusieurs étapes distinctes de construction qui commencent avec un plus petit édifice. Plus tard, il est comblé, afin de pouvoir supporter le poids de celui qui va être construit au-dessus, on y ajoute un mur de contention pour soutenir le poids du nouveau temple. La construction qui le surplombe, comprend deux pièces couvertes par un toit voûté et trois ouvertures d'accès bordés de linteaux, soutenues par deux colonnes en forme de serpent.

La frise de la façade est formée par 2 franges simples et 3 niches, on observe sur la partie centrale, les restes d'une figure de stuc qui devait être peinte de plusieurs couleurs et qui représente une figure qui semble descendre. Cela peut être une référence symbolique au soleil de l'Ouest, à la pluie ou aux abeilles. Pendant la dernière étape, on construit 2 autels de chaque côté de l'escalier principal.
Devant, on remarque une plate-forme peut-être destinée à certaines danses ou processions et sur les côtés d’autres bâtiments complémentaires à la structure d’ensemble, et, parmi lesquels il faut mentionner le Temple des Séries Initiales où est inscrite la date la plus récente du site.

Situé au nord du site et à côté de l'enceinte intérieure, il se compose d’un petit soubassement sur lequel est construit un temple orné de l’image du Dieu descendant, élément principal de l’iconographie du site. La plate-forme, qui sert de base possède un toit plat, et ne comprend qu'une pièce. Sur son côté Ouest, on trouve un petit escalier. Au fond du temple, il y a deux banquettes latérales et une fenêtre étroite.
La façade principale et les angles Nord-Est et Sud-Ouest sont ornés de peintures murales. Il est aujourd'hui difficile de reconnaître les motifs exposés par les anciens peintres Mayas, mais les spécialistes en la matière qui travaillent sur cet édifice signalent qu'il existe des cadres formés de lignes entrelacées, qui montrent des représentations de scènes de caractère religieux, où on peut aisément reconnaître certaines divinités et éléments d'importance mythique, comme des personnifications du dieu de la pluie, du dieu solaire, de la déesse lunaire, et des offrandes de copal, de plumes, et d'épis de maïs.

L'intérieur du mur de ce temple est polychrome, on y voyait les figures de diverses divinités en attitude d'offrande, encadrées par une frange qui symbolise le ciel nocturne et les représentations de l'astre roi, de Vénus, de plusieurs autres étoiles et des serpents stylisés.
C’est une véritable rue bordée de divers édifices résidentiels. Le plus important d’entre eux est le Temple des fresques.

Il se trouve presque au centre de la cité, c'est le plus intéressant et le mieux conservé. À l'origine il s’agit d’une construction accompagnant une habitation entourée par un portique sur trois côtés. Comme d'autres, cet édifice est en réalité le résultat de plusieurs superpositions. La chambre intérieure est le temple le plus ancien, elle conserve une grande partie de sa décoration originale. Les fresques conservées sur ses murs dépeignent selon l’archéologue Arthur Miller, une série d’êtres surnaturels vivant dans l’inframonde (Xibalba), qui durant quelques instants apparaissent entre l’obscurité et la lumière.
Ces fresques constituent l’un des témoignages picturaux les plus importants de la période Maya avec ceux de Bonampak et San Bartolo. Les peintures murales ont été protégées par la galerie superposée et aussi par les travaux de conservation et de restauration qui y ont été effectués.

La façade arbore une double moulure et une niche au-dessus de l'entrée. Les moulures sont ornées de rosaces, figures humaines et spirales entrelacées. La deuxième construction est aussi décorées de figures polychromes en stuc. La richesse décorative dont les artisans dotent le Temple des Fresques, apparaît clairement dans les angles Nord-Est et Sud-Ouest, ornés de gravures et sculptures remarquables.
Dans chacun des angles, on peut voir un énorme mascaron de stuc qui était peint de couleurs variées. D'après ses traits et éléments, on peut affirmer qu'il s'agit d'un dieu ancien. Certains pensent qu'il s'agit du dieu « Itzamna » qui signifie « Rosée du ciel »... Selon la mythologie Maya il est donneur de vie et créateur de toutes choses. D'autres l' associe à Kukulkán, le dieu serpent à plumes des Mayas.
La façade présente des traits caractéristiques de Tulum : Deux moulures simples qui forment une frise et, la niche au-dessus de l'entrée.
La partie basse et le premier étage du Temple des Fresques sont décorés à l'extérieur et à l'intérieur de peintures murales. Les couleurs prédominantes des murs intérieurs sont le bleu foncé et le blanc. C'est dans ces tonalités qu'apparaissent divinités et serpents entrelacés, il y a aussi des scènes abondantes d'offrande, de fleurs, fruits et épis de maïs, associées au culte des êtres surnaturels qui (selon la croyance) favorisent l'agriculture et la croissance de la végétation.
Une structure dont le nom signifie « maison du grand seigneur », situé au nord de la structure, elle est séparée par un patio qui constitue une petite plate-forme qui originellement présentait 4 accès. Le plus important se trouve sur le côté Ouest et communique avec la rue principale de Tulum.
La façade principale présente un portique avec 6 entrées formées par 4 colonnes et un pilastre.
L'édifice présente au total, 13 entrées. Il est le plus large de Tulum, et a été édifié sans l'aide de colonnes intérieures.
Il est fort probable que la façade principale ait été ornée de figures de stuc abritées par de petites niches individuelles. Il ne reste aujourd'hui qu'une seule de ces sculptures au-dessus de l'entrée centrale intérieure communiquée avec le sanctuaire. Il s'agit toujours de la divinité prépondérante à Tulum : le Dieu Descendant. Il conserve ici les détails de la tenue du personnage et des restes de couleurs de son aspect originel.

C'est un édifice en forme de « L » bâti sur une large base qui constitue une grande entrée principale avec 4 colonnes : Il est probable que l'aile Ouest ait été ajoutée plus tard. L'espace intérieur est assez ample, il est couvert par un toit plat. On observe des petites fenêtres conservant encore les anneaux qui un jour, ont soutenu des rideaux, détails assez fréquent dans les constructions Mayas.
L'entrée principale, localisée au Sud est aussi grande, elle est formée par 4 colonnes qui soutiennent le toit d'une grande salle et de 5 fenêtres. La pièce intérieure allongée, possède aussi au centre, un petit autel, un sanctuaire couvert dont le mur intérieur se projette en dehors du plan de la façade Nord. L'aile Ouest a des gradins et possède ses propres entrées.
Les cénotes sont des puits d’eau douce naturels, résurgence des nappes phréatiques de la péninsule du Yucatan. Pour les mayas ces sites étaient sacrés car non seulement ils apportaient une source de vie indispensable : l’eau, mais ils étaient aussi des portes d’entrée vers chibalba (l’inframonde). Tulum possède, au Nord du site, un cénote qui a été protégé par un ensemble de constructions accolé à la muraille défensive.

Ce cénote se situe près de l'entrée Nord-Est de la Grande Muraille. Cette cavité naturelle s'est formée par la dissolution de la roche calcaire, où l'eau s'accumule en période de pluies. Actuellement, l'eau contenue est sale et saumâtre à cause des excrétions de chauve-souris qui habitent à l'intérieur des grottes.

La maison du Cénote, construit sur le toit de celui-ci, confirme deux périodes différentes de construction. Durant la première phase constructive, on édifie une maison de deux pièces. Plus tard, dans l'angle Sud-Ouest, on y ajoute une autre petite pièce où l'on accède, par un escalier, qui se trouve au sud. Un autre escalier descendant jusqu'au bord de l'eau borde l'entrée du cénote.
Actuellement la maison du Cénote est constituée par 4 couloirs.
Celui qui est tourné vers l'Ouest, présente un portique formé par 2 colonnes et 2 banquettes intérieures.
Le couloir Ouest abrite un sanctuaire. La pièce centrale permet la communication entre les entrées de l'édifice et l'habitation Sud-Ouest, qui a un accès du côté cénote. On trouve des tombes dans ces édifices, les os de plusieurs individus y reposent, il s'agit probablement de cryptes de famille.
Située face au Temple des Fresques, elle est dressée sur une colonne flanquée de perrons à l'Est et au Nord.

Cette construction est certainement le logement d'un fonctionnaire important. Elle comprend un portique dont l'entrée est pourvue de 2 colonnes, et d'un long et large couloir au centre duquel se trouve un petit sanctuaire.
Sur le côté Nord de l'édifice, on note l'ajout d'un autre couloir. Ces deux pièces possèdent aussi une petite entrée qui permet d'accéder à la chambre sans passer par le portique. Il y a un peu plus de 30 ans, la façade principale existait encore puis la poutre de bois qui la soutenait céda et la partie centrale s'effondra.
Au-dessus de cette entrée, il y a une statue de stuc qui représente la tête d'un personnage Maya.
Le nom de cet édifice est dû au Chultun, conservé dans l'angle Sud-Ouest, il s'agit d'une excavation aménagée pour stocker de l'eau de pluie. Les explorations ont révélé qu'il peuvent servir à accumuler de l'eau mais aussi, le grain de récolte. Lorsqu'ils se détériorent, ils servent pour des enterrements humains ou bien pour y réunir les ordures ménagères.

Ensemble de Kukulcán situé juste au Nord du Castillo, comprend diverses structures mineures, dont la plus notable est le Temple du Vent. Il est appelé ainsi en raison de son soubassement arrondi traditionnellement rattaché à Kukulcán, Dieu des vents ou à Ehécatl (Dieu aztèque du vent). Il s'agit d'un sanctuaire construit sur une élévation naturelle.
Stèle 1 : Maya traditionnelle portant des inscriptions dont une date correspondant à l’année 564...
Structure 59 Monument comportant des éléments stylistiques caractéristiques de la période Maya du Classique ancien (400 à 500).
Sur la plage on observe la petite baie qui permet facilement d’accéder à la mer pour tous les bateaux destinés à la pêche et au commerce.

Tulum — Wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Tulum
La fondation de la cité semble remonter à 564 comme l'indiquent certaines ... lors des fouilles réalisées dans les années 1970, squelette qui a depuis été retiré.

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Tulum ou Tuluum est un site archéologique d'une ancienne cité maya. .... portant des inscriptions dont une date correspondant à l'année 564 après J.-C..

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