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OCTOBRE 2015...
Cette
page concerne l'année 564 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
LA
CITE CÔTIÈRE DE TULUM
Cette
citée est une forteresse de commerçants alliée à la cité de
Mayapan.
La fondation de la cité semble remonter à 564., comme l’indique certaines inscriptions.
La fondation de la cité semble remonter à 564., comme l’indique certaines inscriptions.
La
cité maya de Cobá, dont l’apogée se situe vers 650 utilise le
site de Tulum comme un important port de pêche et peut être aussi
de commerce pour les échanges vers d’autres cités de la région.
Des artefacts en silex, des poteries de la péninsule du Yucatan, des
objets en obsidienne ou en jade du Guatemala et des grelots et
anneaux en cuivre du plateau central Mexicain, démontrent
l’importance de ces échanges. La structure 59 montre également
l’empreinte du style de l’époque classique Maya.
Mais,
la majeure partie des vestiges datent de la période postclassique
tardive, c'est-à-dire après 1200. Certaines fresques découvertes à
l'intérieur des bâtiments laissent suggérer une influence
Mixtèque.
De récentes analyses tendent à démontrer que Tulum a eu un rôle majeur du XIIIe au XIVe siècle.
L’archéologue Ernesto Vargas a montré que la cité se trouve stratégiquement placée entre les provinces (kuchkabaloob) de Cochuah et Cozumel, ce qui, si on ajoute son édification sur le point le plus élevé de la Côte et son système de murailles défensives, l’ont placé dans un lieu inévitable pour n’importe quelle route commerciale et pour l’exploitation des importantes ressources maritimes de la région.
Comme le montrent les fresques peintes et certains bas-reliefs, Tulum semble avoir été un site majeur dédié au culte du Dieu Plongeur...
De récentes analyses tendent à démontrer que Tulum a eu un rôle majeur du XIIIe au XIVe siècle.
L’archéologue Ernesto Vargas a montré que la cité se trouve stratégiquement placée entre les provinces (kuchkabaloob) de Cochuah et Cozumel, ce qui, si on ajoute son édification sur le point le plus élevé de la Côte et son système de murailles défensives, l’ont placé dans un lieu inévitable pour n’importe quelle route commerciale et pour l’exploitation des importantes ressources maritimes de la région.
Comme le montrent les fresques peintes et certains bas-reliefs, Tulum semble avoir été un site majeur dédié au culte du Dieu Plongeur...
Tulum
est un centre religieux et commercial prospère à partir de 1200
environ, jusqu'à la conquête Espagnole.
La cité est encore habitée par les populations Maya lors de l'arrivée des conquistadors Espagnols, mais elle est abandonnée au cours du XVIe siècle.
Cette cité Maya a été identifiée comme ayant eu pour nom originel Zamá, ce qui signifie la cité de l’aube.
Tulum est aussi un mot maya signifiant barrière ou clôture, ce qui se comprend aisément puisque la cité est entourée d’épaisses murailles protectrices.
Le premier à identifier la cité est Juan Diaz, en 1518, participant à l’expédition de Juan de Grijalva. Il la décrit comme une cité riche et magnifique à l’image de Séville en Espagne.
La cité est encore habitée par les populations Maya lors de l'arrivée des conquistadors Espagnols, mais elle est abandonnée au cours du XVIe siècle.
Cette cité Maya a été identifiée comme ayant eu pour nom originel Zamá, ce qui signifie la cité de l’aube.
Tulum est aussi un mot maya signifiant barrière ou clôture, ce qui se comprend aisément puisque la cité est entourée d’épaisses murailles protectrices.
Le premier à identifier la cité est Juan Diaz, en 1518, participant à l’expédition de Juan de Grijalva. Il la décrit comme une cité riche et magnifique à l’image de Séville en Espagne.
À
partir de 1250 (époque Postclassique Tardive) Tulum va occuper un
statut civique, administratif, religieux et résidentiel qui
convertit la cité, en un point stratégique du commerce péninsulaire
jusqu'à la conquête Espagnole.
La
cité est encore habitée par les populations Maya lors de l'arrivée
des conquistadors Espagnols, mais elle est abandonnée au cours du
XVIe siècle. Jusqu'au début du XXe siècle, certains
villageois des environs ont l'habitude d'apporter des offrandes à
Tulum, mais les visites continues des touristes provoquent la fin de
cette pratique.
Cette
cité Maya a été identifiée comme ayant eu pour nom originel Zamá,
ce qui signifie « demain ». L'archéologiste Samuel
Lothrop l'a surnommée « la cité de l'aube » en 1922. Le
nom viendrait du fait que la cité est à la fois associée à l'Est,
qui, dans la symbolique Maya, représente la renaissance, et au
solstice d'hiver.
À
la fin du XVIe siècle, les références coloniales sur Tulum, se
perdent et le site tombe dans l'abandon. Mais en 1841, les célèbres
explorateurs John Lloyd Stephens et Frederick Catherwood la
redécouvrent et publient leurs récits en 1843 « Incidents of
Travel in Yucatan ».
Récits
et illustrations de la cité ensevelie sous la jungle qui suscitent
l'intérêt d'explorateurs et d'archéologues de différents pays.
En
1844, Catherwood publie « Views of Ancient Monuments Central
America, Chiapas and Yucatan », qui contient des lithographies
de Tulum dessinées dans les ruines en 1841 à l'aide d'une camera
lucida.
John
Berhisel, un Mormon, lit le livre de Stephens et identifie Tulum
comme la ville de la Désolation de la pensée mormone. Plusieurs
expéditions mormones ont lieu lors du siècle suivant afin de
trouver cette ville.
Le
15 octobre 1850 a commencé le Culto de la Cruz Parlante, culte de la
croix parlante, lors José Maria Barrera, aidé du ventriloque Maya
Felipe Carrillo Puerto, a fait parlé une croix en bois afin de
galvanisé les rebelles Mayas contre l'occupant Espagnol. À Tulum,
la prêtresse de ce culte est Maria Uicab. En 1870, elle parvient à
transformer Tulum en centre d'opération du culte, supplantant ainsi
Chan Santa Cruz.
Lorsqu'un
missionnaire Espagnol arrive à Tulum pour la contrôler, elle
ordonne sa mort, que sa chair soit retirée de ses os et qu'ils
soient coulés dans le ciment... Ric Hajovsky affirme avoir vu ces os
lors des fouilles réalisées dans les années 1970, squelette qui a
depuis été retiré.
En
1974 et 1975, Le Centre Régional du Sud-Est de l'Institut National
d'Anthropologie et d'Histoire (INAH) a commissionné un groupe
d'archéologues et de restaurateurs afin d'effectuer des travaux
spécialisés dans le périmètre de la muraille et dans les zones
environnantes : Levée topographique et consolidations.
De
nos jours des milliers de touristes viennent quotidiennement visiter
les ruines dans le cadre d’excursions organisées par les hôtels
et voyagistes de la région.
Tulum
est le 3e site archéologique du Mexique en nombre de visites après
Teotihuacan et Chichen Itza et juste devant Monte Albán. Le site de
Tulum paraît modeste et peu étendu (6 km le long de la côte),
surtout si on le compare avec ceux de Cobá ou de Chichen Itza mais
il est édifié dans un site naturel exceptionnel, en bordure de la
mer des Caraïbes Mexicaine aux couleurs turquoise et sur un
promontoire rocheux qui met les bâtiments particulièrement en
valeur.
La
plupart des monuments ont des fonctions cérémonielles. Des traces
de peinture de couleur rouge peuvent être observées sur certains
édifices. Cela suggère qu’ils étaient peints durant la période
Maya.
Les
traits distinctifs de Tulum sont les 2 murailles, extérieure et
intérieure. La muraille externe encercle 3 côtés du secteur
principal de l'antique cité. Elle comprend un espace rectangulaire
d'environ 380 mètres, du Nord au Sud, et de 170 mètres d'Est en
Ouest. Cette zone comprend la majeure partie de l'architecture
monumentale: Temples, autels, tombes et édifices d'une hiérarchie
qui contrôle la société. Le reste de la société vit en-dehors de
l'enceinte, dans une zone qui s'étend sur 5 km au Nord et au Sud du
site, le long de la côte.
Le
groupe de constructions du centre de Tulum ou Enceinte Intérieure
est conformé par la Muraille Intérieure dont les dimensions forment
un rectangle d'environ 30 mètres sur 50. Les principaux édifices de
ce secteur sont regroupés autour du patio délimité par la
muraille.
Elle
a environ 6 mètres d'épaisseur et 4 de hauteur, la muraille est
composée d'une plate-forme et d'un parapet. Il y a aussi de petits
gradins qui, de l'intérieur, permettent, l'ascension à la
plate-forme. La muraille ceint le centre de la cité des côtés
Ouest et Nord-Sud. Cinq entrées permettent l'accès : Une, qui
est presque au centre du pan occidental, 2 sur la section Nord et 2
autres sur la section Sud.
Ces
entrées forment toutes des passages voûtés, illustrant la fameuse
voûte angulaire aussi dénommée « fausse voûte ». Sur
les angles Nord-Est et Sud-Ouest, on trouve des temples qui
ressemblent à des petites tours de garde et soulignent le caractère
défensif de la grande construction. Le côté Est se trouve en
bordure de mer et bénéficie d’une petite falaise naturelle
protectrice.
La
muraille remplit donc 2 fonctions: elle évite l'assaut de groupes
ennemis et délimite l'espace réservé aux activités de caractère
politique-administratif et religieux. À l’intérieur de la cité
apparaissent les traces d'une seconde muraille de protection.
Elle
est délimitée par les structures qui la conforment et par une
petite muraille qui n'a que 3 accès. Deux sur le côté Occidental
et un côté Sud. Parmi les édifices qui appartiennent à cette
enceinte on distingue 5 types différents :
- Les bases pyramidales formant un seul corps et possédant un escalier d'accès délimité par des arbalétriers axés à l'Ouest, qui soutiennent un temple.
- Les 5 temples ne possèdent qu'un couloir, mais le temple qui couronne le Castillo en a 2.
- Les 2 autels sont des petites structures.
- Les pièces de l'enceinte intérieure présentent 3 variantes : Celle de la Structure 9 n'a qu'un couloir, les pièces 3 et 10 ne possèdent qu'une seule pièce mais elles ont des portiques intérieurs qui soutiennent le toit.
- Les plates-formes sont pourvues de gradins sur un de leurs côtés et, ne montrent aucune trace de construction ajoutée au-dessus de l'édifice originel.
C'est
le bâtiment le plus haut, le plus important et le plus
impressionnant du site, que le conquistador Bernard Diaz décrit
comme une « Tour », on le remarque aussi par sa situation
et la façade singulière du temple supérieur. La façade principale
surplombe le côté Est de l'enceinte Interne, tandis que le mur
postérieur s'élève majestueusement sur le bord de la falaise des
Caraïbes. Celui-ci possède 3 accès décorés de colonnes
serpentines, d’une représentation du Dieu plongeur et de deux
médaillons zoomorphes aux angles.
L’aspect
actuel du monument est le résultat de plusieurs étapes distinctes
de construction qui commencent avec un plus petit édifice. Plus
tard, il est comblé, afin de pouvoir supporter le poids de celui qui
va être construit au-dessus, on y ajoute un mur de contention pour
soutenir le poids du nouveau temple. La construction qui le
surplombe, comprend deux pièces couvertes par un toit voûté et
trois ouvertures d'accès bordés de linteaux, soutenues par deux
colonnes en forme de serpent.
La
frise de la façade est formée par 2 franges simples et 3 niches, on
observe sur la partie centrale, les restes d'une figure de stuc qui
devait être peinte de plusieurs couleurs et qui représente une
figure qui semble descendre. Cela peut être une référence
symbolique au soleil de l'Ouest, à la pluie ou aux abeilles. Pendant
la dernière étape, on construit 2 autels de chaque côté de
l'escalier principal.
Devant,
on remarque une plate-forme peut-être destinée à certaines danses
ou processions et sur les côtés d’autres bâtiments
complémentaires à la structure d’ensemble, et, parmi lesquels il
faut mentionner le Temple des Séries Initiales où est inscrite la
date la plus récente du site.
Situé
au nord du site et à côté de l'enceinte intérieure, il se compose
d’un petit soubassement sur lequel est construit un temple orné de
l’image du Dieu descendant, élément principal de l’iconographie
du site. La plate-forme, qui sert de base possède un toit plat, et
ne comprend qu'une pièce. Sur son côté Ouest, on trouve un petit
escalier. Au fond du temple, il y a deux banquettes latérales et une
fenêtre étroite.
La
façade principale et les angles Nord-Est et Sud-Ouest sont ornés de
peintures murales. Il est aujourd'hui difficile de reconnaître les
motifs exposés par les anciens peintres Mayas, mais les spécialistes
en la matière qui travaillent sur cet édifice signalent qu'il
existe des cadres formés de lignes entrelacées, qui montrent des
représentations de scènes de caractère religieux, où on peut
aisément reconnaître certaines divinités et éléments
d'importance mythique, comme des personnifications du dieu de la
pluie, du dieu solaire, de la déesse lunaire, et des offrandes de
copal, de plumes, et d'épis de maïs.
L'intérieur
du mur de ce temple est polychrome, on y voyait les figures de
diverses divinités en attitude d'offrande, encadrées par une frange
qui symbolise le ciel nocturne et les représentations de l'astre
roi, de Vénus, de plusieurs autres étoiles et des serpents
stylisés.
C’est
une véritable rue bordée de divers édifices résidentiels. Le plus
important d’entre eux est le Temple des fresques.
Il
se trouve presque au centre de la cité, c'est le plus intéressant
et le mieux conservé. À l'origine il s’agit d’une construction
accompagnant une habitation entourée par un portique sur trois
côtés. Comme d'autres, cet édifice est en réalité le résultat
de plusieurs superpositions. La chambre intérieure est le temple le
plus ancien, elle conserve une grande partie de sa décoration
originale. Les fresques conservées sur ses murs dépeignent selon
l’archéologue Arthur Miller, une série d’êtres surnaturels
vivant dans l’inframonde (Xibalba), qui durant quelques instants
apparaissent entre l’obscurité et la lumière.
Ces
fresques constituent l’un des témoignages picturaux les plus
importants de la période Maya avec ceux de Bonampak et San Bartolo.
Les peintures murales ont été protégées par la galerie superposée
et aussi par les travaux de conservation et de restauration qui y ont
été effectués.
La
façade arbore une double moulure et une niche au-dessus de l'entrée.
Les moulures sont ornées de rosaces, figures humaines et spirales
entrelacées. La deuxième construction est aussi décorées de
figures polychromes en stuc. La richesse décorative dont les
artisans dotent le Temple des Fresques, apparaît clairement dans les
angles Nord-Est et Sud-Ouest, ornés de gravures et sculptures
remarquables.
Dans
chacun des angles, on peut voir un énorme mascaron de stuc qui était
peint de couleurs variées. D'après ses traits et éléments, on
peut affirmer qu'il s'agit d'un dieu ancien. Certains pensent qu'il
s'agit du dieu « Itzamna » qui signifie « Rosée du
ciel »... Selon la mythologie Maya il est donneur de vie et
créateur de toutes choses. D'autres l' associe à Kukulkán, le dieu
serpent à plumes des Mayas.
La
façade présente des traits caractéristiques de Tulum : Deux
moulures simples qui forment une frise et, la niche au-dessus de
l'entrée.
La
partie basse et le premier étage du Temple des Fresques sont décorés
à l'extérieur et à l'intérieur de peintures murales. Les couleurs
prédominantes des murs intérieurs sont le bleu foncé et le blanc.
C'est dans ces tonalités qu'apparaissent divinités et serpents
entrelacés, il y a aussi des scènes abondantes d'offrande, de
fleurs, fruits et épis de maïs, associées au culte des êtres
surnaturels qui (selon la croyance) favorisent l'agriculture et la
croissance de la végétation.
Une
structure dont le nom signifie « maison du grand seigneur »,
situé au nord de la structure, elle est séparée par un patio qui
constitue une petite plate-forme qui originellement présentait 4
accès. Le plus important se trouve sur le côté Ouest et communique
avec la rue principale de Tulum.
La
façade principale présente un portique avec 6 entrées formées par
4 colonnes et un pilastre.
L'édifice
présente au total, 13 entrées. Il est le plus large de Tulum, et a
été édifié sans l'aide de colonnes intérieures.
Il
est fort probable que la façade principale ait été ornée de
figures de stuc abritées par de petites niches individuelles. Il ne
reste aujourd'hui qu'une seule de ces sculptures au-dessus de
l'entrée centrale intérieure communiquée avec le sanctuaire. Il
s'agit toujours de la divinité prépondérante à Tulum : le
Dieu Descendant. Il conserve ici les détails de la tenue du
personnage et des restes de couleurs de son aspect originel.
C'est
un édifice en forme de « L » bâti sur une large base
qui constitue une grande entrée principale avec 4 colonnes : Il
est probable que l'aile Ouest ait été ajoutée plus tard. L'espace
intérieur est assez ample, il est couvert par un toit plat. On
observe des petites fenêtres conservant encore les anneaux qui un
jour, ont soutenu des rideaux, détails assez fréquent dans les
constructions Mayas.
L'entrée
principale, localisée au Sud est aussi grande, elle est formée par
4 colonnes qui soutiennent le toit d'une grande salle et de 5
fenêtres. La pièce intérieure allongée, possède aussi au centre,
un petit autel, un sanctuaire couvert dont le mur intérieur se
projette en dehors du plan de la façade Nord. L'aile Ouest a des
gradins et possède ses propres entrées.
Les
cénotes sont des puits d’eau douce naturels, résurgence des
nappes phréatiques de la péninsule du Yucatan. Pour les mayas ces
sites étaient sacrés car non seulement ils apportaient une source
de vie indispensable : l’eau, mais ils étaient aussi des
portes d’entrée vers chibalba (l’inframonde). Tulum possède, au
Nord du site, un cénote qui a été protégé par un ensemble de
constructions accolé à la muraille défensive.
Ce
cénote se situe près de l'entrée Nord-Est de la Grande Muraille.
Cette cavité naturelle s'est formée par la dissolution de la roche
calcaire, où l'eau s'accumule en période de pluies. Actuellement,
l'eau contenue est sale et saumâtre à cause des excrétions de
chauve-souris qui habitent à l'intérieur des grottes.
La
maison du Cénote, construit sur le toit de celui-ci, confirme deux
périodes différentes de construction. Durant la première phase
constructive, on édifie une maison de deux pièces. Plus tard, dans
l'angle Sud-Ouest, on y ajoute une autre petite pièce où l'on
accède, par un escalier, qui se trouve au sud. Un autre escalier
descendant jusqu'au bord de l'eau borde l'entrée du cénote.
Actuellement
la maison du Cénote est constituée par 4 couloirs.
Celui
qui est tourné vers l'Ouest, présente un portique formé par 2
colonnes et 2 banquettes intérieures.
Le
couloir Ouest abrite un sanctuaire. La pièce centrale permet la
communication entre les entrées de l'édifice et l'habitation
Sud-Ouest, qui a un accès du côté cénote. On trouve des tombes
dans ces édifices, les os de plusieurs individus y reposent, il
s'agit probablement de cryptes de famille.
Située
face au Temple des Fresques, elle est dressée sur une colonne
flanquée de perrons à l'Est et au Nord.
Cette
construction est certainement le logement d'un fonctionnaire
important. Elle comprend un portique dont l'entrée est pourvue de 2
colonnes, et d'un long et large couloir au centre duquel se trouve un
petit sanctuaire.
Sur
le côté Nord de l'édifice, on note l'ajout d'un autre couloir. Ces
deux pièces possèdent aussi une petite entrée qui permet d'accéder
à la chambre sans passer par le portique. Il y a un peu plus de 30
ans, la façade principale existait encore puis la poutre de bois qui
la soutenait céda et la partie centrale s'effondra.
Au-dessus
de cette entrée, il y a une statue de stuc qui représente la tête
d'un personnage Maya.
Le
nom de cet édifice est dû au Chultun, conservé dans l'angle
Sud-Ouest, il s'agit d'une excavation aménagée pour stocker de
l'eau de pluie. Les explorations ont révélé qu'il peuvent servir à
accumuler de l'eau mais aussi, le grain de récolte. Lorsqu'ils se
détériorent, ils servent pour des enterrements humains ou bien pour
y réunir les ordures ménagères.
Ensemble
de Kukulcán situé juste au Nord du Castillo, comprend diverses
structures mineures, dont la plus notable est le Temple du Vent. Il
est appelé ainsi en raison de son soubassement arrondi
traditionnellement rattaché à Kukulcán, Dieu des vents ou à
Ehécatl (Dieu aztèque du vent). Il s'agit d'un sanctuaire construit
sur une élévation naturelle.
Stèle
1 : Maya traditionnelle portant des inscriptions dont une date
correspondant à l’année 564...
Structure
59 Monument comportant des éléments stylistiques caractéristiques
de la période Maya du Classique ancien (400 à 500).
Sur
la plage on observe la petite baie qui permet facilement d’accéder
à la mer pour tous les bateaux destinés à la pêche et au
commerce.
Tulum
— Wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Tulum
La
fondation de la cité semble remonter à 564 comme l'indiquent
certaines ... lors des fouilles réalisées dans les années 1970,
squelette qui a depuis été retiré.
MEXIQUE
TULUM - Retour Accueil
daniel.serge.free.fr/mexique/site-tulum.html
Tulum
ou Tuluum est un site archéologique d'une ancienne cité maya. ....
portant des inscriptions dont une date correspondant à l'année 564
après J.-C..
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