dimanche 22 novembre 2015

EN REMONTANT LE TEMPS... 549

11 NOVEMBRE 2015...


Cette page concerne l'année 549 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !

LA GUERRE DE COLCHIDE

Durant la période Byzantine, le royaume de Colchide cède la place à l'expression « Lazique ». La période Romaine-Byzantine est marquée par l'Hellénisation des populations côtières en termes de langue, d'économie et de culture. Par exemple, depuis le début du IIIe siècle, l'Académie philosophique gréco-latine de Phasis, aujourd'hui Poti, est connue dans tout l'Empire Romain. Les populations de l'intérieur montagneux, en revanche, gardent leur langue laze.
Au début du IIIe siècle, le Lazicum Romain reçoit un certain degré d'autonomie, qui à la fin du siècle aboutit à une pleine indépendance, avec la formation d'un nouveau royaume de Lazique, couvrant les régions actuelles de Mingrélie, Adjarie, Gourie et Abkhazie, outre de petites principautés comme celles des Zanes, Svanes, Apsyles et Sanygues.
Au milieu du IVe siècle, la Lazique adopte le christianisme comme religion officielle. Cet événement a été précédé par l'arrivée de l'apôtre Simon le Cananéen, ou Kananaios en grec, qui prêche partout en langue laze, et meurt à Suaniri (Lazique Occidentale). La première conversion importante au christianisme serait due à Tzath, roi des Lazes, en Colchide, vers 520.
Au début du Moyen Âge (VIe siècle), le royaume de Lazique, dans cette région de la mer Noire sur l'actuelle frontière Turco-Géorgienne, joue un rôle non négligeable de tampon ou de rempart dans les conflits entre l'Empire Romain d'Orient (Byzantin), désormais de religion chrétienne, et la Perse Sassanide.

La guerre Lazique (aussi appelée Grande Guerre d’Egris idi Omi ou Guerre colchique dans l’historiographie de la Géorgie), opposera les empires Byzantin et Sassanide pour le contrôle de la région de la Lazique (ou Egrisi) correspondant actuellement à l’ouest de la Géorgie. La guerre a duré une vingtaine d’années entre 541 et 562, ponctuées par des retournements de situation, pour finalement s’achever sur une victoire Byzantine. La guerre Lazique a été racontée en détail dans les ouvrages de Procope de Césarée et Agathias le Scolastique.

La Lazique, située sur les rives de la Mer Noire a une importance stratégique pour les 2 empires, permettant de contrôler les accès menant au Caucase, et pour les Byzantins, elle permet de bloquer l’avancée Perse en Ibérie vers les côtes de la Mer Noire.
L’empire Perse Sassanide a reconnu la région de la Lazique (Egrisi) comme partie de l’Empire Byzantin lors du traité de « Paix Éternelle » de 532. Cependant, les efforts Byzantins d’y établir leur administration sont la cause d’un premier soulèvement en 541...

LES ÉLÉPHANTS SASSANIDES
En 541, en réponse à une demande du roi des Lazes, Gubazès II, le roi Perse Khosro Ier dirige ses forces vers la Lazique et capture la principale place forte Byzantine sur la Mer Noire, Petra il y établit un protectorat sur le pays. Cependant, les tentatives du shah d’y établir son contrôle, conjugué au zèle des prêtres zoroastriens causent le mécontentement des populations chrétiennes de la Lazique et la révolte du roi Gubazès en 548.
Gubazès II demande cette fois l’appui de Justinien Ier et scelle une alliance avec les peuples Alains et Sabires.

Justinien envoie 7 000 soldats Romains et 1 000 auxiliaires Zani (Sanni, apparentés aux Lazes) commandés par Dagisthaeus, qui cherchent à reprendre la forteresse de Petra. Des renforts Perses de Mihr-Mihroe disposent du peu de forces Byzantines gardant les passes montagneuses et rompent le siège de Petra.
Mihr-Mihroe place 3 000 hommes en garnison dans la forteresse et marche vers l’Arménie laissant 5 000 de ses soldats piller la Lazique. Ces derniers sont défaits par Dagisthaeus sur les rives de la rivière Rioni en 549.

L’offensive Perse qui suit n'est pas plus couronnée de succès, le commandant Perse Khorianes étant tué lors d’une bataille décisive sur la rivière Hippis (de nos jours Tskhenistskali). Le commandant Byzantin Bessas attise une révolte pro-perse avec la tribu Abkhazes puis s’empare de Petra et défait Mihr-Mihroe à Archaeopolis en 551.

Toutefois, ce dernier réussit à s’emparer de la ville de Kutatisi et de la forteresse de Uchimerion verrouillant les accès au Caucase. À l’été 555, il gagne une victoire d'envergure à Telephis et force le retrait des forces Byzantino-Lazes vers Nesos.
Après la mort de Mihr-Mihroe, Nachoragan est promu commandant en chef en 555.
Il repousse l’attaque Byzantine à Onoguris et réussit à expulser l’ennemi hors d’Archaeopolis, une ville que Mihr-Mihroe a essayé de prendre par deux fois, sans succès. Ces défaites causent des dissensions entre les généraux Lazes et Byzantins.
Gubazès se plaint auprès de l’Empereur Justinien des commandants Byzantins Bessas, Martin et Rusticus.
Bessas est rappelé à Byzance, mais Rusticus et son frère Jean assassinent entre-temps Gubazès.
Les Lazes demandent à l’Empereur de nommer comme nouveau roi Tzath II, le jeune frère de Gubazès et le sénateur Athanase est chargé de l’enquête sur l’assassinat. Rusticus et Jean sont arrêtés, jugés et condamnés à la peine capitale.

En 556, les alliés réinvestissent Archaeopolis et mettent en déroute les forces du général Nachoragan lors de son attaque avortée de Phasis. Durant l’hiver de la même année, les Byzantins matent une rébellion de la tribu montagnarde des Misimiens, et chassent définitivement les Perses du pays...

La trêve de 557 met fin aux hostilités, suivie par la Paix de Cinquante Ans en 562, par laquelle Khosro Ier reconnaît la Lazique en tant qu’État vassal de Byzance en échange d’un tribut annuel en or.
Les Byzantins profitent de la paix pour entreprendre des campagnes victorieuses en Occident, ce qui encourage les Perses à reprendre la guerre... Les forces Romaines étant mobilisées ailleurs.
En 539, le Lakhmide Mundhir conduit un raid contre les Ghassanides, mais est battu par Al-Harith.
La paix est définitivement rompue en 540.
Khosro envahit la Syrie, rançonne ou pille les villes.
Antioche, la plus importante cité de la région, est mise à sac en juin.
Sa population est déportée près de Ctésiphon.

Au printemps 541, Justinien envoie Bélisaire et une armée de 15 000 hommes dont les troupes du phylarque Al Harith, en direction de Nisibe qui est prise en automne.
LES GHASSNIDES AVANT L'ISLAM
Puis toujours en 541, les Ghassanides conduits par leur phylarque et 1 200 Romains commandés par Jean le Glouton et Trajan font un raid en Assyrie selon les ordres de Bélisaire et c'est un franc succès assorti d'un beau butin. Pendant ce temps, Chrosoes, que le roi des Lazes, Gubaxes a appelé, pénètre dans la Laxique et le 21 juin, la forteresse Byzantine de Petra sur le Pont Euxin est prise et un protectorat Perse est institué.
En juillet Bélisaire avec 15 000 hommes marche sur Nisibe, qui est investie à l'automne. De son côté, Khosro, appelé par le roi des Lazes Gubazès, envahit la Lazique.

Puis la peste bubonique venue d’Égypte, commence à frapper la région et atteint Constantinople en 542.
Au printemps 542, Khosroes, à la tête d'une armée de 150 000 soldats, comprenant des Huns Blancs, a pour objectif Jérusalem. Il attaque l'Euphratène et la Commagène et envoie 6 000 Perses assièger Sergiopolis (actuellement Resafa en Syrie).
Cette cité défendue par 200 soldats, refuse de se rendre et son évêque Candide donne à Khosroes 200 pièces d'or pour la libération de 1 200 prisonniers faits à Soura en 540.
Khosroes a juré de se venger cruellement de cette cité de Sergiopolis ! La cité assiégée est sur le point de céder à l'ennemi quand un chef arabe chrétien avertit les Romains que les assiégeants ont épuisé leurs réserve d'eau....

Il se retire au moment où Bélisaire rassemble ses forces à Europos, sur les bords de l'Euphrate, cependant il met à sac Callinicum dans sa retraite.
Les attaques sur de nombreuses villes Romaines sont repoussées et le général Perse Mihr-Mihroe est vaincu et capturé à Dara par Jean Troglita...

Tandis que les Ostrogoths de Totila contre-attaquent en Italie, sans doute avec l'appui du roi Perse.

En 543 effectivement deux jours après Khosroes lève le siège. Bélisaire rassemble toutes les troupes disponibles soit 12 000 hommes dont 10 000 cavaliers, et les concentre à Europus (Karkemish), au Nord de la Syrie. A ce moment là Khosroes attaque Barbalissus et craignant  d'être coupé de la Perse par Bélisaire, arrête son offensive vers la Palestine et décide d'aller reconnaître l'armée Romaine. Il envoie à Bélisaire un ambassadeur, le Perse Abandanès, chargé officiellement de reprendre les négociations de paix interrompues et en réalité de lui rendre le compte exact des forces Romaines.

Bélisaire averti de cette visite, décide de faire une manœuvre d'intoxication. Il sort d'Europus, avec 6 000 hommes choisis pour leur physique, traverse l'Euphrate et s'installe sur une colline proche. Tous ces soldats sont dépourvus d'armes lourdes et de cuirasses, vêtus uniquement de leurs tuniques de lin, de caleçons flottants et de sandales, munis d'arcs, de haches ou de lances comme s'ils étaient en partie de chasse. Abandanès rencontre des Maures, puis des Vandales qui manifestent leur attachement à Bélisaire et déclarent qu'ils sont de sortie, à la chasse et à l'entraînement avec un petit détachement de l'armée restée au camp d'Europus devant lequel l'ambassadeur peut apercevoir des escadrons de cavalerie Arménienne. En le conduisant à Bélisaire, le Perse rencontre des Huns, des Goths et près de la tente, des Illyriens et des Thraces peu intéressés par sa venue.

En présence du général, dans la même tenue que ses hommes et très détendu, l'ambassadeur fait la commission de Khosroes : « Le César romain n'a pas envoyé les ambassadeurs promis, ce qui l'a obligé d'entrer sur ses terres, toutes négociations semblant rompues. »


Ce qui obtient la réponse suivante de Bélisaire :
« C'est vraiment là une curieuse façon d'agir. J'ai combattu dans bien des pays et je connais les coutumes. En général, quand quelqu'un se trouve offensé, il commence par demander réparation et il ne prend les armes que si on lui refuse. Votre maître, au contraire, commence par envahir le territoire du voisin avec 200 000 hommes et c'est ensuite qu'il propose une conférence de paix. Vous pouvez lui dire que j'accepte de discuter avec lui dès qu'il aura évacuer notre territoire. Je suis prêt à lui accorder un délai de cinq jours pour repasser l'Euphrate, délai pendant lequel je promets de ne pas l'attaquer. » Puis il congédie l’ambassadeur et va s'entraîner à la course avec ses soldats. les Byzantins envoient 30 000 hommes sous le commandement du magister militum d'Orient, Martin, pour envahir l'Arménie Perse. Ils marchent sur Dvin, mais sont défaits par une petite force Perse à la bataille d'Anglon.
CAVALIER BYZANTIN
Rentré au camp de Khosroes, Abandanès dissuade le Grand Roi de poursuivre sa route vers l'ouest, son adversaire est le chef d'une armée extrêmement nombreuse, ses soldats venant de tous les pays de l'univers sont parmi les plus magnifiques, les plus disciplinés et les plus courageux que j'ai rencontrés. Tous dévoués jusqu'à la mort à leur général, ils forment une troupe des plus redoutables avec laquelle je ne vous conseille pas d'entamer la lutte.

Ce rapport fait beaucoup réfléchir Kosroes qui reçoit en même temps la nouvelle que la peste a atteint la Palestine et qu'elle se répand avec la plus grande vitesse vers le nord. Effrayé, Kosroes abandonne son raid sur Jérusalem et repasse rapidement sur la rive gauche de l'Euphrate pour rentrer en Perse.
En chemin, il envoie à Bélisaire un message disant qu'il attend les ambassadeurs Romains. Le général répond que les envoyés de Justinien seront bientôt à la cour du Grand Roi. Khosroes promet de rentrer dans son pays sans attaquer de ville Romaine si on lui envoie un otage pour garantir la parole du général Romain. Bélisaire lui envoie le fils d'un des citoyens les plus riches d'Edesse. Kosroes rentre en Assyrie en suivant l'Euphrate. Mais sur son chemin, il trouve Callinicum, mal fortifiée et sans défense, il l'enlève facilement au mépris de la parole donnée.

Par sa présence, son astuce et grâce à la position stratégique qu'il a prise, Bélisaire a sauvé la Palestine. Comment en est il récompensé ? Très mal ! La peste depuis mai 542, a fait à Constantinople des gros dégâts, en 4 mois, elle emporte plus de 300 000 personnes. Le palais impérial est atteint et l'empereur aussi. La nouvelle parvient à l'armée d'Orient et les officiers discutent longtemps de la probabilité de sa mort, et de l'éventualité de sa succession. Il est peu probable que Bélisaire dont on connaît la loyauté et l'esprit d'obéissance militaire ait proféré des paroles dangereuses. Mais deux de ses adjoints, Pierre et Jean le Glouton, dès que la santé de Justinien se rétablit, envoient au Palais des rapports sur le comportement des grands chefs, Bélisaire et Butzès. Ils les accusent d'avoir déclaré « que si les Romains à Constantinople faisaient choix d'un empereur, ils ne permettront jamais son intronisation.

Il est probable que ces paroles s'appliquent à une prise du pouvoir par Théodora qui est prise d'une extrême fureur. Bélisaire, Butzès et tous les généraux d'Orient sont convoqués immédiatement à Constantinople, ils sont accusés de haute trahison. Butzès est le plus chargé, il a déclaré qu'il n'obéira jamais à Théodora qu'il considère comme un véritable monstre ». Sans savoir si cette accusation est exacte, Théodora le fait jeter dans un cachot, où il reste dans les ténèbres pendant 28 mois. Quand il en sort, sa santé est si ruinée qu'il meurt rapidement.

En 551, le général Bessas qui a remplacé Dagisteus prend le contrôle de l'Abkhazie et du reste de la Lazique, et enfin prend Petra dont il détruit les fortifications... L'apprenant, Bessas revient sur ses pas, et attaque Archaeopolis où Mermeroes est battu avec de lourdes pertes, ainsi que d'autres forteresses de la rive droite du Phasis.
Les Sassanides se maintiennent cependant au Lazique, et en 554 ou 555 Mermeroes s'empare de la forteresse de Telephis, défendue par le général Martin.
Cette même année la trêve de 545 est renouvelée en excluant la Lazique pour une période de 5 ans, assortie du règlement d'un tribut annuel de 2 000 livres d'or par les Byzantins.

Bélisaire ne peut être convaincu de la moindre faute. Il se défend avec noblesse et habileté, montre les contradictions de ses accusateurs peu dignes de foi. Malgré tout, Justinien, sur les instances de Théodora, prend contre lui, des sanctions très sévères. Il est relevé de son commandement, donné au général Martin. Sa garde personnelle lui est enlevée, sa fortune est entièrement confisquée par l'impératrice.

Au début de 548, le roi des Lazes Gubazès demande à Justinien de rétablir le protectorat Romain. L'empereur saisit l'occasion et envoie le général Dagisteus à la tête de 7 000 hommes, qui avec 1 000 auxiliaires Zani assiègent Pétra.
L'intervention des Perses de Mermeroes oblige les Byzantins à lever le siège, après avoir subi une défaite sur le Phasis par le roi des Lazes Gubazès,
et de tous ceux qui ont servi sous ses ordres. »

Bélisaire se résigne alors qu'on attend qu'il se révolte. Puis alors qu'il est mal reçu au Palais, il reçoit un courrier de Théodora qui lui annonce qu'il est pardonné grâce à sa femme Antonine. Mais sous le prétexte que sa fortune vient des dépouilles de Gélimer et de Vitigès, elle ne lui rend qu'une faible part de ce qui lui a été confisqué, et pour lier encore le général la fille unique de Bélisaire et d'Antonine, Joanina, âgée 11 ans, est fiancée, au neveu de l'impératrice, Anastase Longues Jambes...
[En 544 Khosro assiège inutilement Édesse. Son retrait est acheté par les défenseurs après 2 mois. Une trêve de 5 ans est signée en 545 pour la Syrie et la Mésopotamie, garantie par un tribut versé aux Perses. Dans le Caucase, la guerre Lazique continue jusqu'en 557].

En juin 557, Justin, fils de Germanos, lui succède comme généralissime en Lazique et maître des milices d'Arménie. Khusro, qui est en guerre contre les Huns Blancs, conclut une nouvelle trêve avec l'empire Byzantin incluant la Lazique, avant la signature d'un traité de paix définitif en 561.

La paix est signée pour cinquante ans à Dara. par le maître des offices Pierre et l'ambassadeur Perse Izadh-Gouchnasp. Justinien paye un tribut de 30 000 pièces d'or par an au roi de Perse Khosro Ier, en échange de quoi il évacue le et laisse la liberté de conscience aux chrétiens de l’empire.
Les deux parties conviennent de ne pas construire de nouvelles fortifications près de la frontière et d'assouplir les règles de la diplomatie et du commerce entre les deux empires...

Dressés pour la bataille, bien traités par leur propriétaire, les éléphants de Khosroés constituent est une importante donnée des armées Perses !
Les éléphants de guerre ne sont pas des armes victorieuses à eux seuls. Ils doivent être utilisés correctement et recevoir un bon soutien s'ils doivent briser les lignes ennemies de façon à garder la volonté de continuer. Dans la bataille, ils sont souvent accompagnés d'un écran de tirailleurs alliés. Leur devoir est de protéger les éléphants du harcèlement des troupes légères ennemies pour leur permettre d'attaquer.
La taille imposante d'un éléphant suffit à inspirer la peur, avant que ses défenses n'empalent les hommes ou qu'il ne les piétine à mort.
Même dans les meilleures conditions, les éléphants peuvent être imprévisibles : Ils peuvent réagir avec colère si leurs cornacs sont tués ou blessés et peuvent se retourner contre les leurs dans un moment critique.
Néanmoins, envoyés au bon moment, ils balaient tout sur leur passage. Les éléphants Indiens arrivent au Moyen-Orient lorsque Séleucus, l'un des diadoques d'Alexandre le Grand, envahit l'Inde en 305 av. J.-C. Héritiers d'une grande partie de l'empire Oriental, les Parthes et les Sassanides Perses ont continués d'élever et d'incorporer des éléphants de guerre longtemps après la chute des Séleucides...



Guerre lazique — Wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Guerre_lazique
La guerre lazique dura une vingtaine d'années entre 541 et 562, ponctuées par des ... furent défaits par Dagisthaeus sur les rives de la rivière Rioni en 549.

Le siecle de Justinien : l'empire byzantin au VIeme siecle
miltiade.pagesperso-orange.fr/siecle-de-Justinien.htm
La guerre éclate dans le Caucase, quand Gourgenes, le roi d'Ibérie, se met sous la ... Ensuite, Justin envoie une faible armée dans la Lazique (la région de Batoum ...... Bélisaire rentre à Constantinople au début de l'année 549, son bilan est ...
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