18
NOVEMBRE 2015...
Cette
page concerne l'année 542 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
UN FLÉAU BIEN CONNU : LA PESTE !
La
peste de Justinien est une pandémie de peste qui a sévi entre 541
et 767 dans tout le bassin méditerranéen, avec un épisode
paroxysmique jusqu'en 592. Des analyses menées en 2012 lors de la
fouille d'une nécropole en Bavière ont confirmé que l'agent
pathogène est « Yersinia pestis ».
Selon
Procope de Césarée, l'épidémie débute en Égypte en 541 pour
atteindre Byzance au printemps 542 où elle fait plus de 10 000 morts
par jour, elle suit les voies de commerce du bassin Méditerranéen,
ravage à plusieurs reprises l’Italie, les côtes Méditerranéennes,
remonte le Rhône et la Saône, atteint même l’Irlande et la
Grande-Bretagne.
Par
la suite, elle se propage aussi à l'est, ravageant la Syrie et la
Mésopotamie.
Selon
Évagre le Scolastique dans son Histoire ecclésiastique, l'épidémie
débute en Éthiopie, puis remonte en Égypte, en Palestine, en Syrie
pour atteindre Constantinople en 542, lors de la 15e année du règne
de Justinien.
Grégoire
de Tours en parle plusieurs fois dans son Histoire des Francs. Il la
cite à Arles en 549 :
« Cette
province est cruellement dépeuplée »,
A
Clermont (« Clairmont ») en 567 : « un certain
dimanche, on compta 300 cadavres dans la cathédrale ».
Pendant
l’hiver de 589, la peste de Justinien frappe lourdement Rome et
lorsque le pape Pélage II, atteint à son tour, meurt le 8 février
590, la terreur des Romains est à son comble.
La
peste de Justinien a des conséquences majeures pour l'histoire de
l'Europe et de la Chrétienté :
L'épidémie
surgit à une période cruciale pour l'Empire Byzantin. Celui-ci, à
son apogée sous Justinien est en voie de reconquérir l'Italie et la
côte Occidentale de la Méditerranée, cela a signifié, en cas de
succès, le retour à un Empire Romain unifié, pour la première
fois depuis 395.
La
peste met un coup d'arrêt aux visées de Justinien en frappant ses
troupes, dès lors incapables de se déplacer... Quand l'épidémie
s'apaise, ses troupes restent en Italie mais ne peuvent faire
mouvement vers le nord.
Justinien
parvient à conserver l'Italie mais, après sa mort, celle-ci est
perdue pour l’Empire Romain d'Orient qui n'en conserve que la
partie méridionale. L'invasion des Lombards au nord de l'Italie
inaugure un très long cycle de guerres et de divisions pour la
péninsule face aux visées des puissances transalpines, période qui
ne s'achève qu'au XIXe siècle avec la réunification de
l'Italie.
En
affaiblissant durablement l'Empire Byzantin mais aussi l'Empire
Sassanide, elle a joué un rôle non négligeable dans la fulgurante
expansion de l'islam quelques décennies plus tard, lors des guerres
Arabo-Byzantines et de la conquête musulmane de la Perse.
Elle
a facilité la conquête par les Anglo-Saxons de la Bretagne
insulaire : Alors que les tentatives d'invasion par les Saxons
ont été infructueuses jusque-là, elles aboutissent enfin dans les
années 550.
Du
VIe au VIIIe, du XIVe au XVIIIe, puis du XIXe au XXe siècle…
L’humanité a subi 3 grandes vagues mondiales de peste. Chacune a
eu des effets dévastateurs en termes démographiques. Mais plusieurs
historiens ont souligné qu’elles ont exercé d’autres
conséquences : Économiques, militaires, sociales et
religieuses.
Quand
les empires vacillent :
La
première peste historiquement attestée atteint le Moyen-Orient et
l’Europe en 541, sous le règne de l’empereur Byzantin Justinien,
d’où son nom de peste de Justinien.
Selon
le chroniqueur Hellène Évagre d’Épiphanie, la maladie frappe
d’abord l’Égypte, puis se propage par les routes commerciales à
la Palestine, la Syrie, contaminant Constantinople en 542.
La
capitale Byzantine, alors riche d’un demi-million d’habitants,
perd en un été, rapporte-t-on, 40 % de sa population.
La
même année, la peste gagne les ports d’Europe Occidentale, prend
pied en Gaule.
La
peste a aussi mis le cap sur l’est : La Perse, ennemie jurée
de Byzance, est atteinte. Les deux superpuissances de l’époque
vacillent. En Syrie centrale, dans le désert du Néguev, dans la si
prospère Lybie qui fournissait autrefois à l’Italie la
quasi-totalité de ses céréales, des zones arides conquises par des
communautés monastiques et villageoises à grand renfort
d’irrigation se vident totalement de leurs habitants.
Le
fléau contraint à l’abandon des fermes, il entraîne l’avancée
massive du désert, l’effondrement des routes commerciales et le
dépeuplement des centres urbains... Il faudra attendre la fin du
XIXe siècle pour que le Maghreb et le Machrek retrouvent leur niveau
de population d’avant 540 !!!
Vide
démographique, effondrement des recettes fiscales permettant de
payer les armées… L’affaiblissement des deux empires sera une
des raisons de l’expansion foudroyante de l’islam.
Au
siècle suivant, les armées du Prophète abattront la Perse et
manqueront de peu de conquérir Byzance, qu’elles amputeront de ses
territoires Moyen-0rientaux.
Dès
cette première épidémie, on observe clairement divers processus.
D’abord, l’affaiblissement des deux empires affectés n’est pas
seulement démographique. Il est aussi et tout à la fois
administratif, politique, économique, militaire et social.
Quand
le tiers d’une population est emportée, certains corps de métiers
sont décimés à tel point que des corporations cessent d’exister,
des savoir-faire de se transmettre.
Pour
peu qu’un seuil critique de membres de l’élite soient morts ou
partis se réfugier sous des cieux plus cléments, c’est toute
l’administration des villes et des États qui s’effondre, à
l’heure où l’organisation devient cruciale.
Car
la société entre en guerre contre l’épidémie et son cortège
funèbre : famines et troubles sociaux se multiplient.
En
542, alors que Constantinople compte 10 000 morts par jour,
l’historien Byzantin Procope de Césarée rapporte que « les
domestiques n’ont plus de maîtres et les personnes riches n'ont
point de domestiques pour les servir. Dans cette ville affligée, on
ne voit que maisons vides, et que magasins et boutiques qu’on
n’ouvre plus. Tout commerce pour la subsistance même est
anéanti. »
L’empereur
Justinien lui-même tombe malade... Il survit.
Il
charge son référendaire Théodose de « tirer du Trésor
l’argent nécessaire pour distribuer à ceux qui sont dans le
besoin ». Il faut mobiliser des armées de fossoyeurs pour
nettoyer les rues, évacuer les cadavres des maisons contaminées,
creuser de gigantesques fosses communes... On recrute des soldats
pour défendre les magasins alors que la famine menace, d’autres
pour limiter les activités de pillage des maisons des riches défunts
ou en fuite.
La
peste frappe indifféremment toutes les couches sociales, mais
apparemment plus les hommes que les femmes, à l’exception des
femmes enceintes, cibles privilégiées de la maladie.
Pourquoi
certaines personnes sont-elles plus affectées que d’autres ?
Nul n’en sait rien. Ce n’est qu’une des nombreuses énigmes
posées par cette épidémie, qui affecte de préférence, au cours
de ses crises, des segments déterminés de l’espèce humaine :
Jeunes ou personnes âgées, hommes ou femmes… Reste que les riches
semblent plus épargnés que les autres.
Plus
tard, une croyance établira un lien entre le fait de porter un
diamant et celui d’être épargné par la maladie.
Nul
besoin de croire en la magie des pierres pour expliquer la genèse
d’une telle croyance. On retrouve là un schèma classique de
l’épidémiologie : Meilleure hygiène, capacités financières
permettant de se retrancher derrière des murs ou dans une maison de
campagne, sollicitation d’avis médicaux de meilleure qualité…
En matière d’épidémie comme en d’autres, avoir de l’argent
implique de détenir de meilleurs atouts...
Ce
n’est pas la première fois qu’une épidémie ravage les sociétés
d’Asie Occidentale et d’Europe, et les savants se tournent vers
les auteurs qui les ont précédés pour essayer de comprendre la
nature de l’adversaire et de connaître les remèdes à lui
apporter.
D’abord
la Bible, plus précisément le Livre des Rois, qui décrit le fléau
qui s’abat sur les Philistins après qu’ils aient dérobé
l’arche d’alliance aux Hébreux, ainsi qu’une autre épidémie,
qui ravage les troupes du roi Assyrien Sennachérib lorsqu’il
assiège Jérusalem et le contraint à la retraite.
Du
côté des classiques antiques, Thucydide a narré vers 430 avant
l’ère chrétienne le déroulement de la peste d’Athènes (dont
on estime aujourd’hui qu’il s’agissait du typhus).
La
maladie frappe la puissante cité à son apogée, emportant le quart
de la population et tuant notamment Périclès, lors de la guerre
contre Sparte.
Elle
vaut à Athènes une sévère défaite, bien que les Lacédémoniens,
atteints à leur tour par le fléau, aient été obligés de lever le
siège.
Ont
suivi les « pestes » de Syracuse (en 396 avant l’ère
chrétienne, qui décime l’armée Carthaginoise assiégeant
Syracuse), et surtout celle d’Antonin : active de 167 à 180
de l’ère chrétienne, cette épidémie a probablement été
rapportée de Méditerranée Orientale par les armées victorieuses
de Lucius Verus.
Elle
connaît une diffusion explosive dans tout l’Empire Romain,
véhiculée par les populations de tous les horizons venues assister
au triomphe (défilé militaire pharaonique organisé à Rome).
On
relève déjà des conséquences militaires : Elle rend plus
difficile la lutte de Marc Aurèle contre les Germains et coûte
finalement la vie à l’empereur en 180.
Si
tous ces épisodes pandémiques sont invariablement qualifiés de
peste par les auteurs antiques, ils relèvent probablement d’autres
épidémies… Typhus et dysenterie accompagnent souvent les armées
en campagne. Rougeole ou scarlatine ne sont pas non plus à exclure.
Les
textes font peu état de remèdes. Le seul vraiment utilisable est le
conseil donné par Hippocrate : « Pars, vite, et loin. »
Que faire ? Du côté chrétien, on applique des réponses
élémentaires. Les auteurs antiques rendent les miasmes, des
infections aériennes, responsables de la propagation des fléaux. On
évacue dans la mesure du possible tout déchet susceptible de
véhiculer de tels miasmes, on interdit sporadiquement des activités
jugées sales : Boucherie, tannerie… La seule lutte
concevable, en l’absence de toute notion de contamination, est de
purifier l’environnement des mauvaises odeurs et des gens sales.
Dans
le contexte de l’islam naissant, le Coran impose pour sa part aux
musulmans de ne pas chercher à se rendre dans une zone contaminée,
mais aussi de ne pas fuir la maladie si celle-ci envahit le lieu où
ils se trouvent. Ces prescriptions ont peut-être limité la
diffusion de la maladie dans l’Empire Oméyyade. Il est très
probable qu’elles épargnent à l’Empire Byzantin une défaite
prématurée devant les troupes du calife Omar, car la peste ravage
Constantinople au moment où les armées arabes s’apprêtent à
sauter le Bosphore pour s’en emparer.
Respectant
la consigne divine de ne pas se rendre en zone d’épidémie, les
armées de la nouvelle religion tournent casaque.
Le
cadre mental d’interprétation, dans le christianisme, est formaté
par un passage de l’Apocalypse selon Jean qui estime que le règne
de l’Antéchrist verra un fléau emporter le tiers de la
population. Au VIe comme au XIVe siècle, les chroniqueurs vont en
conséquence estimer que le tiers de leurs contemporains a péri…
Alors que ces deux flambées ont peut-être emporté davantage de
victimes : 30, 40, 50 % de la population… Nul ne saurait
aujourd’hui l’estimer.
Ce
qui est sûr, c’est que la démographie chute : Aux morts
emportés directement par la maladie, s’ajoute le déficit de
naissances consécutif au décès massif de reproducteurs potentiels…
Sans compter que la maladie refrappe plusieurs siècles durant, à
intervalles réguliers, au fil de cycles qui peuvent compter 5, 10,
12 ou 20 ans.
Dans
ce contexte s’inscrit la phrase de Procope, qui estime que
« L'épidémie détruisit presque tout le genre humain ».
S’y
ajoutent aussi des maladies opportunistes, qui exploitent la
faiblesse des corps humains et sociaux pour se diffuser à leur
tour : A partir de 570, l’Europe connaît ainsi ce que l’on
estime être sa première épidémie de variole, qui conjugue ses
attaques avec celles de la 3e poussée de la peste de Justinien.
Ces
terribles mortalités affectent les mentalités : Dans le
christianisme, les calamités sont désormais expliquées par le
péché collectif, quand elles sont jusqu’alors imputées à la
simple colère divine, ceci en référence à l’épisode biblique
où Dieu, afin de punir les Égyptiens de l’esclavage qu’ils
exercent sur les Hébreux, frappe l’Empire Pharaonique. Se forge
l’image d’un Dieu de colère, se matérialisent des pratiques
nouvelles.
En
590, le pape Pélage II décède de la peste. Son successeur,
Grégoire le Grand, organise une procession marquée par une vision
collective millénariste : l’Ange exterminateur apparaît,
rangeant dans son fourreau une épée rouge du sang de l’ennemi
pestilentiel.
L’épidémie
cesse aussitôt, l’endroit sera appelé le château Saint-Ange.
C’est aujourd’hui un musée, surmonté d’une statue
commémorative de l’archange Saint Michel.
La
pandémie permet aux autorités ecclésiastiques d’affirmer la
prééminence des sites chrétiens en organisant des pèlerinages. La
procession devient la réponse instituée aux accès de la maladie.
Concoctées dans le monastère Bénédictin de Saint-Gall, de
nouvelles prières, les Rogations, se diffusent à grande échelle.
Dans un contexte marqué par l’attente du Jugement dernier, les
manifestations de contrition collective se multiplient.
Elles
visent à renforcer la cohésion sociale ébranlée par des prophètes
ou des meneurs populaires, qui essaient de fédérer les
mécontentements afin de défier les élites. Dans ce contexte
apocalyptique, l’Église promeut la notion de pureté chrétienne.
Revenir à la foi permet au corps social de surmonter l’épreuve.
Quelque
part entre les VIIIe-IXe siècles, la peste disparaît d’Europe et
du Moyen-Orient.
Aux
alentours de 610, une épidémie similaire a frappé, à l’autre
bout de l’Eurasie, la Chine, amputant peut-être sa population d’un
tiers. Pour près de 5 siècles, le monde va oublier le fléau, et
les populations survivantes perdre l’immunité qu’elles ont si
chèrement acquise…
L'
humanité a du connaître depuis longtemps un grand nombre
d'épidémies, par son contact avec des animaux domestiqués ou non,
ou pour d'autres raisons, dans tous les cas il sera difficile de les
identifier. Mais il existe cependant deux grandes épidémies
historiques très connues pour leur mortalité, pour leur rapidité
de diffusion, et bien sur parce qu'elles sont un petit peu
documentées, il s'agit de la peste de Justinien qui a frappé le
bassin méditerranéen de 541 à 767 et de la Peste Noire qui a
touché l'Europe, l'Afrique du Nord, et le Makrech entre 1347 et
1352.
Pour
vérifier si les correspondances entre la datation « Anno
Domini » et « Urbe Condita » sont pertinentes ou
non nous allons observer les points communs et les différences entre
ces deux événements, ainsi que d'autres pistes.
Points
communs entre la peste de Justinien et la Peste Noire :
Même
si les symptômes décrits par les témoins de la peste de Justinien
et de la Peste Noire dépassent parfois le champ de ceux que l'on
connaît de la peste moderne, toutes deux décrivent des symptômes
propres à cette maladie, et surtout, coïncident, comme le décrivent
Procope de Césarée témoin en 542 et Boccace en 1349.
Ces
2 épidémies ont a elles seules décimé entre 30% et 50% de la
population touchée. Il existe de part le monde, de nombreux foyers
de peste moderne faisant toujours des victimes, cependant les taux de
mortalité sont incomparablement plus faibles que les 2 fléaux
historiques. Vitesse de propagation hors du commun :
En
664, on a rapporté que la peste de Justinien s'est répandue
de 385 km en 91 jours... la Peste Noire s'est étendue à raison d'
1,5 km par jour à travers la France, alors que la peste moderne se
répand à raison de 12-15 km par an. Ainsi, la vitesse de
propagation surpasse de très loin la vitesse de propagation de la
peste moderne qui est pourtant aidée par les transports modernes.
Le
témoin de la peste de Justinien à Constantinople, Procope de
Césarée, ainsi que le témoin de la Peste Noire dans la même
ville, Kantakouzènos, ont le trait commun de s'être inspiré du
même texte pour faire leur description des deux épidémies.
Tous
2 ont tirés leur proses de Thucydide qui décrivait la « peste »
d'Athènes, en fait vraisemblablement touchée par le typhus.
Seuls
les symptômes diffèrent dans leur textes aux mêmes procédés
littéraires que Thucydide.
Différences
entre la peste de Justinien et la Peste Noire, la peste de Justinien
aurait pour origine selon Procope de Césarée, l’Égypte pour se
diffuser à Constantinople et se répandre en Europe et sur les bords
de la Méditerranée, tandis que la Peste Noire a été d'abord
identifiée à Caffa, sur les bords de la Mer Noire, ville Génoise
assiégée par des troupes infectées de la Horde d' Or, la fuite des
Génois ont ensuite transmis l'épidémie à Constantinople, l’Égypte
et dans le bassin Méditerranéen. Malgré tout, il reste quelques
incohérences chronologiques sur la peste de Justinien qui a
supposément débuté en 542 en Égypte alors que le premier contact
des arabes avec ce fléau, nommé dans ces sources la « peste
d'Emmaus », est quand le calife Omar entre en Palestine en 639.
L'
épidémie a duré 226 ans pour la peste de Justinien et 20 ans pour
la Peste Noire. Cette différence peut être reconsidérée si on
constate que la peste, a continué à ravager l'Europe 376 ans après
la Peste Noire, qui est elle bien plus mortelle.
Pour
la France, dont Grégoire de Tours offre le principal témoignage de
l'époque de la peste de Justinien, nous avons de petites différences
sur les modalités d'expansion sur ce territoire. la peste de
Justinien a d'abord touché Arles et Clermont, selon ce témoin,
avant qu'un navire en provenance d'Espagne ne contamine Marseille, ce
qui fait une différence avec la Peste Noire et ses navires Génois
qui entrent à Marseille pour ce répandre dans l'hexagone.
Peste
de Justinien — Wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Peste_de_Justinien
La
peste de Justinien est une pandémie de peste qui a sévi entre 541
et 767 dans ... Constantinople en 542, lors de la quinzième année
du règne de Justinien.
Comment
la peste affecta l'histoire : première pandémie (6e ...
blogs.histoireglobale.com/comment-la-peste-affecta-l’histoire-premiere-p...
1
nov. 2010 - La même année, la peste gagne les ports d'Europe
occidentale, prend pied en Gaule. ... En 542, alors que
Constantinople compte 10 000 morts par jour, l'historien byzantin ...
L'empereur Justinien lui-même tombe malade.
L'
Histoire Démystifiée: La peste et ses mystères
histoiredemystifiee.blogspot.com/2012/07/la-peste-et-ses-mysteres.html
Points
communs entre la peste de Justinien et la Peste Noire ... coïncident,
comme le décrivent Procope de Césarée témoin en 542 et Boccace en
1349. ... D' autant plus, qu' auparavant, durant la même année,
Alan Cooper, de l' Université d' ...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire