4 NOVEMBRE 2015
Cette
page concerne l'année 557 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
SAINTE
SOPHIE VICTIME DE PLUSIEURS SÉISMES
14
décembre 557 Constantinople touchée par un séisme est frappée par
un tremblement de terre. Néanmoins l’intensité de ce dernier ne
suffit pas à la détruire. En effet, les témoignages de religieux
évoquent un séisme qui les a finalement épargné, élément qui
reste dans la mémoire orthodoxe de la ville. Toutefois, si l’Église
Sainte-Sophie, consacrée seulement 20 ans plus tôt, n’a pas été
rasée, elle est sérieusement endommagée : Son dôme s’effondrera
un an plus tard.
La
ville de Constantinople manque d'être entièrement ruinée par un
tremblement de terre, qui est tel, qu'on ne se souvient pas d'en
avoir jamais vu de semblable. II cause des dommages infinis dans
cette grande ville, y tue un très grand nombre de personnes. La
contagion qui a tant fait de ravages dans cette grande ville, et qui
n'y a jamais cessé entièrement, y revient de nouveau, enlevant une
infinité de gens de toutes conditions... La trace d'un tsunami qui a
frappé la capitale Byzantine au VIe siècle a été retrouvée.
Le
7 mai 558, l'immense coupole de la basilique Sainte-Sophie de
Constantinople s'effondre.
Des
secousses sismiques lui ont donné le coup de grâce, mais en fait
tout a commencé un an plus tôt, en 557. Un terrible séisme a
ravagé une partie de la ville, et fissuré la coupole.
Celui-ci,
rapportent les chroniqueurs de l'époque, a aussi provoqué un vaste
tsunami qui submerge la ville. La trace de cet événement unique
vient seulement d'être identifiée grâce aux recherches d'une
équipe Franco-Turque...
Si
la trace de ce tsunami n'a pas été retrouvée plus tôt, c'est
d'abord parce que le port antique de Constantinople a été longtemps
enfoui sous la ville moderne d'Istanbul.
Ce
n'est qu'en 2004, lors des travaux de construction d'un tunnel de
métro, qu'il a été découvert. Les fouilles de ce port, l'un des
plus importants de la Méditerranée à cette époque, sont l'un des
plus grands chantiers archéologiques de ces dernières décennies.
Dans
les sédiments accumulés au cours de l'histoire de ce port, les
archéologues ont remarqué ce qui semble être la trace d'un tsunami
: Une couche gris-noir se détachant du reste des sédiments plus
clairs, qui semble s'être déposée extrêmement vite. Elle contient
un assemblage hétéroclite de débris : Amphores, pots en métal,
lampes à huile, bois pourri, pommes de pin, ossements de chameaux et
de chevaux, feuilles, noyaux de fruits, etc.
En
outre, les piliers de pontons sont brisés net au niveau de cette
couche. Bref, l'ensemble semble le fruit d'un événement
particulièrement destructeur.
«
Des couches de débris peuvent aussi être laissées par de fortes
tempêtes », indique Anne Mangeney, de l'Institut de physique du
globe, à Paris. Mais ici, un tsunami semble plus vraisemblable.
D'une
part parce que le port est protégé par une jetée, qui arrête la
plupart des vagues causées par les tempêtes.
D'autre
part parce que la couche observée dans le port semble avoir
enregistré les deux phases typiques d'un tsunami : Le déferlement
des vagues, suivi du retrait de l'eau. La partie basse de la couche,
la plus ancienne, contient en effet un grand nombre de coquillages et
de micro-organismes marins venant du large.
À
l'inverse, la partie haute de la couche, la plus récente, renferme
les débris d'origine terrestre. Ils n'ont pas de raison de se
trouver là, car la zone est en pleine eau à l'époque du port
Byzantin. Ils ont donc probablement été charriés lors du retrait
de l'eau.
S'agit-il
donc du tsunami de 557 ? Malheureusement, les datations ne permettent
pas de situer l'événement plus précisément que dans l'intervalle
424 à 565 ... Or pas moins de 5 tsunamis sont mentionnés par les
sources historiques durant cette période. Toutefois, les sédiments
du port n'en ont enregistré qu'un. Les autres n'ont-ils pas été
suffisamment intenses pour submerger la jetée et atteindre le port ?
«
Pour le savoir, explique Christophe Morhange, du Centre Européen de
recherche et d'enseignement des géosciences de l'environnement à
Aix-en-Provence, il faudrait des forages au large, donc d'importants
moyens océanographiques. »
Reste
que les candidats les plus probables, car bien attestés et décrits
comme assez violents, sont le tsunami de 557 et un autre, dû au
séisme de 447. Ce dernier a fait écrouler une partie des remparts
de Constantinople, ce qui contraint à une reconstruction hâtive,
les troupes d'Attila menaçant la ville...
(Nicolas
Constans).
Lorsque
Justinien gouvernait l'empire, environ en 557, un furieux tremblement
de terre la ruine presque toute. II commence durant la nuit avec une
violence extrême. On entend un mugissement épouvantable sous la
terre, lorsqu'il cesse, l'air est agité de tourbillons horribles, de
plusieurs vents qui se choquent avec un bruit effroyable. Plusieurs
temples sont renversés, ce qui donne sujet à Justinien de les
rebâtir plus magnifiques qu'ils n’étaient. Procope a décrit
exactement celui de Sainte Sophie, qui est une des merveilles de
l'architecture.
La
Grande Église de Constantinople édifiée par Justinien après la
destruction de la première Sainte-Sophie lors de la sédition Nika
de 532, est ébranlée par un tremblement de terre en 557, et sa
coupole s'effondre l'année suivante lors de travaux de restauration.
Elle
est à nouveau consacrée, une fois remise à neuf, lors des fêtes
de Noël 562, et c'est à cette occasion que Paul le Silentiaire
prononce cette description qui est en fait un panégyrique aussi bien
de l'empereur que de l'église.
Une
introduction historique (de P. Chuvin) présente à la fois
l'édifice, Paul le Silentiaire et les allusions à l'actualité
contenues dans ces poèmes.
Une
introduction littéraire (de M.-C. Fayant) met en lumière
l'originalité de l'auteur et de son art qui « (exprime) en
langage homérique une sensibilité en rupture complète avec le
passé ». Suivent les iambes à l'empereur Justinien, les
iambes au patriarche, la description de la Grande Église et la
description de l'ambon.
Le
texte Grec (de l'édition de P. Friedländer très probablement, bien
que nous ne l'ayons pas trouvé explicitement précisé) étant
accompagné de la traduction française originale et suivi de notes
sur cette traduction. C'est un texte important de la rhétorique
Byzantine du VIe siècle qui est ainsi mis à la disposition des
chercheurs et du public.
Malgré
les progrès considérables réalisés, surtout depuis le début du
siècle, dans la connaissance de la topographie de la Constantinople
Byzantine, bien des points restent encore obscurs ou sujets à
discussions. C'est qu'aussi les textes ne présentent pas
suffisamment de précision pour que l'on puisse établir
définitivement telle ou telle localisation qui paraît cependant
s'imposer. C'est particulièrement le cas pour une grande partie de
la région comprise entre le mur de Théodose à l'ouest et le Lycus
à l'est. Elle n'a encore été étudiée que de façon fragmentaire.
Ammien
Marcellin, qui est contemporain du séisme et réside à Antioche à
ce moment-là, a été le premier à brosser une description générale
et très rhétorique des effets dévastateurs de ce tsunami. Il a
dessiné un tableau de tonalité qu’on pourrait presque qualifier
d’apocalyptique (histoire, XXVI, 10, 15-19), car ce séisme et
d’autres phénomènes répandent la terreur per omnem orbis
ambitum ce que résume Théophane dans les premières lignes du texte
ci-dessus. Les images qu’a retenues Ammien sont celle des flots
qui découvrent les fonds marins, des animaux marins sortis de leur
élément vital, celle des navires rejetés loin de la mer et du
rivage, abandonnés, à sec, pourrissants. Autant d’intrusions de
l’extraordinaire dans l’ordre naturel, de perturbations qui sont
celles d’un monde en crise.
Dans
l’Anthologie palatine, on relève nombre de poèmes où est
esquissée cette image du navire échoué et abandonné sur le sable
sec (IX, 32-36, 427). À la fin de son tableau général, Ammien
mentionne plus particulièrement en deux lignes le cas d’Alexandrie
que Théophane privilégie.
Cette
scène de panique et de pillage n’a rien d’étonnant en soi, ce
genre de comportement collectif est monnaie courante en temps de
crise grave, qu’on se rappelle les propos de Thucydide lors de
l’épidémie de peste à Athènes et des dérèglements qu’elle
introduisit dans les comportements.
Dans
ses Annales, beaucoup plus tardives, Glykas (2e moitié du XIIe
siècle) rapporte que 50 000 personnes ont péri lors du retour de la
vague. Agathias lui aussi s’étend longuement sur le bouleversement
des rapports sociaux et des règles sociales de vie qui s’opère
lors des séismes de 557 à Constantinople :
«
Beaucoup de femmes, non seulement des classes inférieures, mais
aussi des plus élevées, se heurtent et se mêlent aux hommes : Le
rang social, la décence, la conscience des privilèges, tout ce qui
en fonction de cela doit être respecté sont alors bouleversés et
foulés aux pieds.
Les
esclaves ne font plus cas de leurs maîtres, et sans écouter leurs
ordres ils se rassemblent dans les lieux sacrés, dominés par une
crainte plus grande.
Les
inférieurs se sentent à égalité avec les autorités, car le
danger qui survient est commun et que tous pensent qu’ils vont
périr sous peu ».
Mais
aussi, étonnamment, des gens dépositaires d’un certain pouvoir
deviennent vertueux, oublient leurs intérêts et se mettent à
observer scrupuleusement les lois, d’autres abandonnant leurs
richesses se retirent en solitaires dans les montagnes, d’autres
multiplient les actions charitables, « Mais tout cela ne dure qu’un
temps, tant que la peur est encore présente, lorsque le danger
commence à diminuer et à s’éloigner, la plupart aussitôt
reviennent à leur conduite habituelle. En vérité, on ne peut
appeler un pareil empressement ni justice véritable ni piété ferme
et active, celles qui sont imprimées dans la raison par une foi
droite et un choix volontaire, mais une réaction machinale et une
marchandise tout à fait trompeuse, pour échapper à la situation
présente et la conjurer. Nous nous adonnons ainsi à quelque bonne
action par nécessité, tant que la crainte est présente. »
Enfin,
le malheur d’autrui peut engendrer parfois des escroqueries
organisées qui exploitent la générosité publique pour satisfaire
la cupidité, le texte qui suit est tiré de la Vie d’Apollonius de
Tyane de Philostrate et se réfère à des séismes survenus au
milieu Ier siècle (selon Guidoboni), il faut néanmoins prendre avec
précaution cet extrait d’un ouvrage qui oscille entre l’histoire
et l’hagiographie.
Comme
des séismes ont fortement touché des cités de la rive gauche de
l’Hellespont, des Égyptiens et des Chaldéens se mettent à quêter
afin de collecter des fonds pour offrir à Gê et à Poséidon des
sacrifices pour une somme de 10 talents. Les villes y contribuent,
en partie sur les fonds publics, en partie en faisant appel aux
particuliers, sous l’influence de la peur, et ces charlatans
déclarent que le sacrifice n’aura pas lieu tant que l’argent
n’aura pas été déposé.
Apollonius
ne veut pas rester indifférent envers ces riverains de l’Hellespont
: Il parcourt leurs villes, chasse les misérables qui amassent de
l’argent avec les malheurs d’autrui, offre des sacrifices
appropriés à chaque cité et par ses prières détourne d’elles
le fléau, au moindre coût, et la terre se tient calme.
Agathias,
à propos du séisme de 557 à Constantinople, note également la
multiplication des charlatans et prophètes autoproclamés, qui
parcourent la ville, terrorisant par leurs propos la population déjà
sous le choc
Après
ce séisme à Constantinople un an plus tard, la coupole s'effondre :
« Un seul arc tombe, l'arc oriental de la sphère, une partie est
mêlée aux poussières. Elle est, ici à terre et là, spectacle
admirable, encore suspendue dans les airs, sans appui » (Paul le
Silentiaire).
Isidore
le Jeune, fils d'Isidore de Milet, est chargé de la reconstruction.
Il augmente l'épaisseur des arcs et, surtout, augmente la hauteur de
la coupole afin de diminuer les poussées latérales. Celle-ci
résiste dès lors aux séismes, bien qu'il faille, au XIIIe siècle,
flanquer la basilique des énormes contreforts que l'on voit encore
aujourd'hui...
Si les mosaïques primitives ont été détruites lors des querelles iconoclastes aux VIIIe et IXe siècles, Sainte-Sophie reste un véritable musée où l'on peut suivre l'évolution stylistique des mosaïques Byzantines du IXe au XIIIe siècle, merveilleux tableaux figurant les empereurs et impératrices sous la protection du Christ, représentant la Vierge Marie théothokos dans l'abside et, surtout, la Déisis (prière iconographique) d'une extraordinaire finesse.
Heureusement, lorsque Mehmet II conquiert Constantinople en 1453 et fait transformer la basilique en mosquée, il ne détruit pas les mosaïques, mais les fait simplement recouvrir de plâtre ou de badigeon... C'es lorsque Mustafa Kemal transforme l'édifice en musée qu'elles sont « redécouvertes » et rendues à l'admiration des visiteurs.
Si les mosaïques primitives ont été détruites lors des querelles iconoclastes aux VIIIe et IXe siècles, Sainte-Sophie reste un véritable musée où l'on peut suivre l'évolution stylistique des mosaïques Byzantines du IXe au XIIIe siècle, merveilleux tableaux figurant les empereurs et impératrices sous la protection du Christ, représentant la Vierge Marie théothokos dans l'abside et, surtout, la Déisis (prière iconographique) d'une extraordinaire finesse.
Heureusement, lorsque Mehmet II conquiert Constantinople en 1453 et fait transformer la basilique en mosquée, il ne détruit pas les mosaïques, mais les fait simplement recouvrir de plâtre ou de badigeon... C'es lorsque Mustafa Kemal transforme l'édifice en musée qu'elles sont « redécouvertes » et rendues à l'admiration des visiteurs.
Un
peu d'histoire d'abord. Bâtie sur les ruines d'une première
basilique incendiée en 532 après 10 jours d'émeute dans la ville.
A peine quelques jours après la destruction de la seconde basilique,
l'empereur Justinien prend la décision de la reconstruire, cette
fois beaucoup plus grande et majestueuse que les 2 précédentes,
dédiée à la Sagesse Divine. Son plan est inspiré du Panthéon de
Rome et de l'art chrétien primitif d'Occident. Des matériaux
arrivent de tout l'Empire : Des colonnes hellénistiques du
temple d'Artémis à Éphèse, du porphyre d'Égypte, du marbre vert
de Thessalie, des pierres noires de la région du Bosphore, d'autres
de couleur jaune en provenance de Syrie. Plus de 10 000 ouvriers sont
employés pour cette construction.
L'empereur
peut inaugurer la nouvelle église le 27 décembre 537. Les
décors intérieurs, particulièrement les mosaïques, ne sont
achevés que sous le règne de l'empereur Justin II (565-578).
Des
tremblements de terre, en 553 et 557, causent des fissures sur le
dôme principal et la demi-coupole de l'abside. Le 7 mai 558,
un nouveau séisme provoque la destruction totale du dôme central,
qui s'écroule.
L'empereur
ordonne une restauration immédiate, faisant appel à Isidore le
Jeune. On utilise cette fois des matériaux aussi légers que
possible, et on donne à l'édifice ses mesures actuelles :
rehaussé de 6,25 m, le dôme atteint alors sa hauteur totale de 55,6
m. Sa forme définitive remonte donc au milieu du VIe siècle.
En
1453, immédiatement après la prise de Constantinople, la basilique
est convertie en mosquée, conservant le même nom, Ayasofya, comme
symbole de la conquête.
Sainte-Sophie
est l'un des plus grands exemples de l'architecture Byzantine. La
basilique de Justinien est à la fois le point culminant des
réalisations architecturales de l'Antiquité tardive et le premier
chef-d'œuvre de l'architecture Byzantine. Son influence s'est
exercée profondément et de manière durable, sur l'architecture
orthodoxe orientale, mais tout autant sur celles de l'Église
catholique et du monde musulman. Les plus hautes colonnes atteignent
20 mètres, et un diamètre d'au moins 1,50 m. La nef principale est
couverte d'un dôme central d'un diamètre maximal de 31,25 m,
et d'une hauteur maximale de 55,60 m au-dessus du sol.
Sensation
de vertige. Se retrouver sous cette coupole immense donne le tournis.
Tout semble démesuré, inouï.
Presque
insensé, mélange des couleurs et des matières, lumière
éblouissante, audace architecturale, Souffle coupé.
Comment
ne pas rester des heures à contempler cette nef incomparable, d'une
beauté inimaginable.
Après
plusieurs minutes à admirer l'édifice, je décide de monter à
l'étage supérieur. Une rampe mène à la galerie impériale. Vu de
haut, l'église prend de l'ampleur, gagne en longueur ce qu'elle perd
en majesté. Ici, sont conservés les vestiges de l'époque
Bysantine. La mosaïque de la Vierge et l'enfant bien entendu.
Incontournable, elle orne une grande partie de l'abside. Inaugurée
en 867.
Marie
est assise sur un trône sans dossier, tenant l'enfant Jésus sur ses
genoux. Près d'elle, les portraits des archanges Gabriel et
Michel...
Le
Christ Pantocrator ensuite, vêtu d'une robe bleu foncé (comme c'est
l'usage dans l'art Byzantin), est assis au milieu, donnant sa
bénédiction de la main droite et tenant la Bible de la gauche.
Flanqué
de Constantin IX Monomaque et de son épouse l'impératrice Zoé,
tous deux en costumes de cérémonie, l'empereur présente une bourse
qui rappelle le don qu'il a fait à l'église, alors que Zoé tient
un livre, symbole de sa propre donation.
La
mosaïque des Comnène encore. Exécutée après 1122.
La
Vierge Marie est debout au milieu, dans sa robe bleu foncé
habituelle dans l'art Byzantin. Elle tient sur ses genoux le Christ
enfant, qui donne sa bénédiction de la main droite tout en tenant
un rouleau dans sa main gauche. Sur son côté droit, l'empereur Jean
II Comnène, tient à la main une bourse, symbole d'une donation
impériale à l'église.
L'impératrice
Irène se tient au côté gauche de la Vierge, en vêtements de
cérémonie, présentant un document. Leur fils aîné, le
co-empereur Alexis Comnène est représenté sur un pilastre de côté.
Ses traits tristes sont le reflet de sa mort, la même année, de la
tuberculose.
La
mosaïque de la Déisis enfin. C'est le troisième panneau de la loge
impériale de la galerie supérieure. Cette mosaïque est considérée
comme un chef d'œuvre pour la douceur des traits et de l'expression
des visages, et aussi comme le début de la renaissance de l'art
pictural Byzantin.
Le
style est celui des peintres Italiens des fin XIIIe-XIVe siècles.
La
Vierge Marie et Jean-Baptiste, tous deux de trois-quarts, implorent
l'intercession du Christ Pantocrator pour les péchés de l'humanité
lors du Jugement dernier... (et c'est ce
monument merveilleux symbole de la chrétienté, que les arabes ont
transformé en mosquée puis en musée et que leur président veut de
nouveau transformer en mosquée. Mais dans un même temps il veux
entrer dans l'Europe et par là y faire entrer des millions de
musulmans.)
Le
tsunami de Constantinople | La Recherche
www.larecherche.fr/actualite/.../tsunami-constantinople-01-06-2011-828...
Des
secousses sismiques lui ont donné le coup de grâce, mais en fait
tout avait commencé un an plus tôt, en 557. Un terrible séisme
avait ravagé une partie de ...
Persée
: Marie-Christine Fayant - Pierre Chuvin (Trad.), Paul ...
www.persee.fr/.../rebyz_0766-5598_1998_num_56_1_1962_t1_0343_...
Description
de Sainte-Sophie de Constantinople (traduction) ... fut ébranlée
par un tremblement de terre en 557, et sa coupole s'effondra l'année
suivante lors ...
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