31 OCTOBRE 2015
Cette
page concerne l'année 561 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
DES ÉMIGRANTS GUERRIERS DANS LE SILLAGE DES GOTHS : LES TAÏFALES
BOUCLIER TAÏFALES |
Il
va nous faire voyager ce saint-là. Vous êtes prêts ? C'est parti :
Ce saint est un ermite du VIe siècle « en recherche »,
de nos jours on dit instable. C'est Senoch de Tiffauges (+ vers 576
ou 579), un moine-ermite qui vit en Touraine. Mais à cette époque,
il porte sa recherche là où le portent ses pas. On le dit Poitevin
mais ses aïeux sont originaires d'un pays plus éloigné, de la
lointaine Russie. Ses ancêtres sont des « Taïfales ».
Vers
le milieu du VIIe siècle, Sénoch (né en 535) fait rebâtir une
minuscule
chapelle, et fait naître une communauté monastique d'inspiration martinienne. Pourquoi martinienne, ces ruines seraient un ancien « oratoire » où saint Martin priait, Sénoch y dresse un autel et fait une « ecclesia » (église) qu'Eufronius, évêque de Tours, vient bénir.
chapelle, et fait naître une communauté monastique d'inspiration martinienne. Pourquoi martinienne, ces ruines seraient un ancien « oratoire » où saint Martin priait, Sénoch y dresse un autel et fait une « ecclesia » (église) qu'Eufronius, évêque de Tours, vient bénir.
De
nombreux disciples y viennent, Sénoch y pratique une austérité
difficile : Pas plus d'une livre de nourriture par jour, prières et
contemplations toute la journée dans une cellule séparée, ce qu'on
lui offre est distribué aux pauvres... Quand l'évêque se déplace
pour le voir, il l'accueille mais repart dans sa cellule : Il ne
participe pas au repas.
Oups !
Pas du meilleur sens diplomatique ce saint. Toujours un peu extrême
dans ses
décisions. Il finit même par ne plus sortir de sa cellule et ne reçoit plus que les malades et les plus pauvres.
décisions. Il finit même par ne plus sortir de sa cellule et ne reçoit plus que les malades et les plus pauvres.
Grâce
à Grégoire qui est donc devenu évêque à son tour, et qui
s'entend avec Sénoch car il comprend comment Senoch fonctionne, ce
lieu devient une des voies de pèlerinage vers Tours, un relais (pour
les malades mais aussi pour l'entretien des
chemins, des ponts)... Il ne faut pas oublier que traverser un cours d'eau signifie
faire confiance au passeur : Si c'est un brigand ou qu'il s'entend avec des
brigands de l'autre côté... On est à sa merci. Mais un pont, on peut
revenir en sens inverse. Donc Sénoch qui est prêtre fait aussi des miracles : Saint Grégoire de Tours (il est saint lui aussi) y assiste tandis que Sénoch est très malade... Il meurt a 40 ans. La fondation du lieu semble subsister quelque temps et son tombeau devient un pèlerinage local (dit Grégoire de Tours).
Les Taïfales drôle de nom, qu'est-ce donc que ce peuple ? Ils ne sont pas Germaniques.
chemins, des ponts)... Il ne faut pas oublier que traverser un cours d'eau signifie
faire confiance au passeur : Si c'est un brigand ou qu'il s'entend avec des
brigands de l'autre côté... On est à sa merci. Mais un pont, on peut
revenir en sens inverse. Donc Sénoch qui est prêtre fait aussi des miracles : Saint Grégoire de Tours (il est saint lui aussi) y assiste tandis que Sénoch est très malade... Il meurt a 40 ans. La fondation du lieu semble subsister quelque temps et son tombeau devient un pèlerinage local (dit Grégoire de Tours).
Les Taïfales drôle de nom, qu'est-ce donc que ce peuple ? Ils ne sont pas Germaniques.
Font-ils
partie du peuple des Sarmates ? Ils se retrouvent avec eux en tout
cas sur le Danube pour affronter les Goths qui cherchent à soumettre
les Sarmates (de l'Oural jusqu'au sud de l'actuelle Russie).
Les
Romains des Ve et VIe siècle de notre ère dégagent des stéréotypes
semblables pour certains peuples qui frappent à la porte de la
civilisation au moment où l’Empire chancelle sur ses fondations.
Parmi les Goths qui se promènent le long des limes en provenance de
la Germanie Orientale, il y a 2 peuples, les Hérules et les
Taïfales. Ces derniers sont venus de Suède pour s'établir à
l'embouchure de la Vistule... Au milieu du IIe siècle, ils
parviennent, à travers un immense mouvement vers le sud-est, à
s'établir entre le Don, la mer Noire et les Carpathes.
En
voie de romanisation un siècle plus tard, les Taïfales sont
bousculés à leur tour par l'arrivée des Huns qui les chassent vers
le cœur de l'Empire Romain. Ils pillent les Balkans, l'Illyrie et le
nord de l'Italie. Ammien Marcellin, chroniqueur de ces mouvements de
peuples Barbares, donne un récit qui est longtemps le seul
témoignages sur les Taïfales :
« Les
Taïfales sont un peuple honteux, tellement scandaleux par leur vie
obscène faite de libertinage que chez eux les adolescents sont liés
à des hommes adultes dans une union d'un genre indicible, cela, pour
consumer la fleur de la jeunesse dans les pratiques répugnantes
qu'ils ont chez eux. Ajoutons que lorsque l'un d'entre eux, devenu
adulte, est capable de capturer seul un sanglier, ou de terrasser un
ours énorme, il est libéré de cette union de débauche »
(Cité par Bernard Sergent. L'homosexualité initiatique dans
l'Europe ancienne, Paris, Payot, Col. Bibliothèque historique, 1986,
p. 150).
C'est
cette opinion d'Ammien qui doit condamner, pour les siècles à
venir, les mœurs des Taïfales.
Encore,
en 1884, le co-fondateur du « matérialisme scientifique »,
Friederich Engels, les stigmatise. Pour l’orgueil Germanique du
XIXe siècle, au moment où la sodomie est en train de devenir chez
les autres peuples Européens, le « vice allemand » il y
a là exagération : Ammien [Marcellin] ne dit pas la vérité;, il
projette d'anciennes calomnies, son assertion est « une
généralisation abusive de quelques faits particuliers » ou encore
Friederich Engels dans son ouvrage fameux sur L'origine de la
famille, de la propriété privée et de l'État, assure que :
« dans
leurs migrations, notamment vers le Sud-Est, chez les nomades des
steppes qui bordent la mer Noire, les Germains se sont profondément
dépravés, ils ont pris à ces peuples, en plus de leurs prouesses
équestres, leurs vices contre nature, comme l'attestent expressément
Ammien pour les Taïfales et Procope pour les Hérules ».
Pour
Meier, « l'imputation est contredite par tout ce que nous
savons de la chasteté des Allemands ». […] À ces
dénégations du XIXe siècle succède au XXe siècle une autre
politique, sans doute parce que le respect des documents a crû, et
que les parallèles ethnographiques éclairent d'un jour révélateur
les textes sur les Taïfales et les Hérules, il est devenu
impossible de nier l'archaïsme de l'institution dans ces peuples. Et
le résultat est stupéfiant : Les auteurs se taisent purement et
simplement sur le problème !... Seule parmi les auteurs
Allemands importants de la première moitié du siècle, Lily Weiser
a pointé le texte d'Ammien, qu'elle compare au texte de Procope sur
les Hérules, et, percevant nettement l'institution, elle rapproche
les travaux de Bethe sur la pédérastie Dorienne.
Seul
un auteur féminin pouvait-il donc assumer l'idée d'une
homosexualité généralisée dans l'ancienne société Germanique ?…
Tortueux sont les détours de l'honneur masculin » (B. Sergent.
ibid. pp. 168-169, 170).
Quoi
qu’il en soit, nous n’en saurons guère plus au XXe siècle,
sinon que, toujours poussés par les Huns qui les talonnent, les
Taïfales traversent l'Europe, gravitent autour du royaume Franc et,
selon le Cambridge Médiéval History (1913), les derniers éléments
de ce peuple « is found in the Poitivin district of Tiffauges,
were for long distinctly military colonies whose numbers took the
field at the first alarm of war » (J. B. Bury (éd.) The
Cambridge Medieval History, t. 2, New York, McMillan & Cie, 1913.
Ce
qui laisse croire, en effet, qu'ils ont perdu beaucoup de leur vertu
guerrière dans leurs pérégrinations. Pour sa part, Ferdinand Lot
(1948) rappelle qu'aux temps Mérovingiens, « à l'ouest du
Poitou, les Taïfales subsistent. On les voit, peu après 561, se
révolter contre les exactions du duc Austrapius. Ils sont
certainement en petit nombre et on n'entend plus, par la suite,
parler d'eux.
Un
auteur antique date de la fin du IIIe siècle de notre ère :
Les premiers faits d'armes qui leur sont attribués remontent à leur
participation aux campagnes du roi Goth Cniva sur le bas-Danube, en
Dacie et Mésie, autour de l'an 250. Les textes anciens permettent de
les situer approximativement sur le rive nord du Danube, des environs
de Sirmium jusqu'aux bouches du Danube. Leur appartenance ethnique
est incertaine : Politiquement et géographiquement, ils sont
initialement proches des Goths, ce qui peut inciter à les affilier
aux Germains orientaux, cependant leur non-assimilation à ceux-ci et
la fréquence de leurs associations avec les Sarmates peut donner
matière à les apparenter plutôt à ces derniers, établis dans la
steppe Pontique (sud des actuelles Ukraine et Russie).
Ils
apparaissent en compagnie des Sarmates sur le Danube et on les
retrouve affrontant les Goths en 332. Peu après, ils signent un
contrat, un fœdus, avec Rome... Aux termes de ce contrat, certains
clans sont autorisés à entrer légalement et pacifiquement dans
l'Empire Romain, alors menacé de toute part et qui a besoin d'hommes
comme mercenaires au service de sa défense.
Petit
rappel : Ce peuple Gothique vit au nord de la Mer Noire. Parmi les
Goths, il y a ceux à l'Est appelés les Ostrogoths (Ost =Est) et
ceux à
l'Ouest, les Wisigoths (wiss = ouest). Comme ils n'arrêtent pas de passer les frontières et de piller, un traité est passé avec l'empereur Aurélien et c'est le suivant Constantin qui leur octroie le statut de fédérés... D'une pierre, deux coups, comme ça ils sont chargés de défendre l'empire sur le bord du Danube, en se mettant d'accord sur de la monnaie en échange...
l'Ouest, les Wisigoths (wiss = ouest). Comme ils n'arrêtent pas de passer les frontières et de piller, un traité est passé avec l'empereur Aurélien et c'est le suivant Constantin qui leur octroie le statut de fédérés... D'une pierre, deux coups, comme ça ils sont chargés de défendre l'empire sur le bord du Danube, en se mettant d'accord sur de la monnaie en échange...
Toute
cette histoire se passe sur un fond de crise économique qui dure
près
de 2 siècles, mais dans l'empire Romain, ils ont de quoi manger : Ces ressources attirent prodigieusement, normal ! Mettre des colons dans les zones dépeuplées et s'accorder sur de l'argent pour qu'ils la défendent, ça évite de faire bouger des armées... Manger, ça attire tout le monde, les Huns arrivent par l'Est après avoir
vaincu les Alains (sur la Volga).
de 2 siècles, mais dans l'empire Romain, ils ont de quoi manger : Ces ressources attirent prodigieusement, normal ! Mettre des colons dans les zones dépeuplées et s'accorder sur de l'argent pour qu'ils la défendent, ça évite de faire bouger des armées... Manger, ça attire tout le monde, les Huns arrivent par l'Est après avoir
vaincu les Alains (sur la Volga).
On
est en 370. Les Ostrogoths filent à l'Ouest, et les Wisigoths sont
vaincus en 376 avant que Rome n'ait fourni armes, et, équipement...
Ils sont très nombreux... La famine s'invite (ils sont alors en
Serbie, et en Bulgarie). Au lieu de traiter les problèmes
rapidement, les Romains accumulent les retards : La révolte se forme
et ça
se termine à Andrinople...
se termine à Andrinople...
Des
Taïfales alliés à des Goths attaquent pourtant l'empire en 377 :
Ils sont battus et les survivants sont installés dans le nord de
l'Italie et en Gaule, comme colons-cultivateurs.
Ils
font partie aussi des invasions du IVe siècle sur l'empire
Gallo-Romain :
Quelques clans Taïfales sont cités comme alliés des Goths (origine
Scandinavie) en 377.
Quelques clans Taïfales sont cités comme alliés des Goths (origine
Scandinavie) en 377.
D'autres Taïfales sont mentionnés parmi les tribus qui accompagnent les Huns dans leur invasion de la Thrace, en 378. On retrouve leurs descendants en 451, combattant aux champs Catalauniques aux côtés d'Attila.
D'autres
sont avec les Wisigoths, vainqueurs à Andrinople en 378
toujours
(=Edirne en Turquie) du temps de l'empereur romain Valens (c'est un
co-empereur qui soutient l'Arianisme, co-empereur avec son frère Flavinien
et ensuite avec ses neveux, il meurt en 378 à cette fameuse bataille). Cette
défaite sera un coup de tonnerre dans l'empire Romain. Il ne s'agit pas
d'une vraie invasion, mais bien plutôt d'une mutinerie : des fédérés Goths
qui étaient dans l'empire.
(=Edirne en Turquie) du temps de l'empereur romain Valens (c'est un
co-empereur qui soutient l'Arianisme, co-empereur avec son frère Flavinien
et ensuite avec ses neveux, il meurt en 378 à cette fameuse bataille). Cette
défaite sera un coup de tonnerre dans l'empire Romain. Il ne s'agit pas
d'une vraie invasion, mais bien plutôt d'une mutinerie : des fédérés Goths
qui étaient dans l'empire.
Ces
clans se mêlent aux Wisogoths qui envahissent la Gaule en 412 et
iront jusqu'en
Aquitaine. Sur ce trajet, on les retrouve au nord du Poitou, et dans le
bas-Poitou. Ils donnent probablement le nom de Tiffauges (tiens, tiens...).
Un autre lieu aussi, en Bourgogne : Chaufailles appelée avant Taïfailia. C'était
beau, il y avait de quoi cultiver, hop, ils se sont installés...
L'histoire de ces derniers, peu nombreux, se mêle dès lors à celle des Wisigoths, qu'ils suivent en Gaule, s'établissant en Aquitaine seconde... Peu après, probablement en accord avec Rome, ils s'installent dans le nord du Poitou : Une tribu est cantonnée à Poitiers, une autre s'installe dans le Bas-Poitou, à proximité des villes actuelles de Montaigu et des Herbiers (Vendée), ces Taïfales donnent leur nom au pays de Tiffauges (Vendée) et Tivauche (Côte-d'Or), qui remontent à l'archétype *Taifalicas. De même, le nom étrange de la localité de Taphaleschat (Corrèze), de *Taifalisca (Villa), est peut-être dû à ce peuple, comme ceux de Touffailles et Toufailloux (Aquitaine), voire celui de Chauffailles (Bourgogne).
Aquitaine. Sur ce trajet, on les retrouve au nord du Poitou, et dans le
bas-Poitou. Ils donnent probablement le nom de Tiffauges (tiens, tiens...).
Un autre lieu aussi, en Bourgogne : Chaufailles appelée avant Taïfailia. C'était
beau, il y avait de quoi cultiver, hop, ils se sont installés...
L'histoire de ces derniers, peu nombreux, se mêle dès lors à celle des Wisigoths, qu'ils suivent en Gaule, s'établissant en Aquitaine seconde... Peu après, probablement en accord avec Rome, ils s'installent dans le nord du Poitou : Une tribu est cantonnée à Poitiers, une autre s'installe dans le Bas-Poitou, à proximité des villes actuelles de Montaigu et des Herbiers (Vendée), ces Taïfales donnent leur nom au pays de Tiffauges (Vendée) et Tivauche (Côte-d'Or), qui remontent à l'archétype *Taifalicas. De même, le nom étrange de la localité de Taphaleschat (Corrèze), de *Taifalisca (Villa), est peut-être dû à ce peuple, comme ceux de Touffailles et Toufailloux (Aquitaine), voire celui de Chauffailles (Bourgogne).
On
peut ajouter à cette liste le nom de Gourfaleur, (Normandie), qui
remonte à *Curte Taifalorum devenu *Curte Falorum, puis Corphalour
(1056-1066).
L'Histoire
des Francs de Grégoire de Tours mentionne encore des Taïfales en
Gaule au VIe siècle : Bien que peu nombreux, ils y
apparaissent une dernière fois en tant que groupe distinct en l'an
561, soit 150 ans après leur établissement en Gaule.
Les
Taïfales peuvent être à l'origine des rochers gravés de
Saint-Aubin-de-Baubigné (Deux-Sèvres).n 561.
En
Gaule, il ne reste plus que des adversaires de peu d’importance.
Les Alains établis sur la Loire ont disparu sans laisser d’autres
traces de leur séjour que le nom d’Alain adopté par leurs voisins
les Bretons. Ceux-ci paient tribut aux rois Francs depuis le
règne
de Clovis. Mais ils sont d’incorrigibles pillards et il faut
diriger contre eux maintes expéditions dans la seconde moitié du
siècle.
Les
Anglo-Saxons établis dans le Bessin demeurent groupés, mais, soumis
aux Francs, ils participent à leurs expéditions militaires.
De
même, à l’ouest du Poitou, les Taïfales subsistent. On les voit,
peu après 561, se révolter contre les exactions du duc Austrapius.
Ils sont certainement en petit nombre et on n’entend plus, par la
suite, parler d’eux. Ils ont laissé leur nom au pays de Tiffauges.
Par
contre, une partie intéressante de la Gaule échappe encore
longtemps aux Francs, la Septimanie. Conquise sur les Visigoths en
507, elle est enlevée aux Francs, on l’a vu, grâce aux secours
envoyés... Ferdinand Lot – La naissance de la France (1948)
En
531, Childebert peut mettre en fuite le Wisigoth Amalric, qui
s’obstine à demeurer au nord des Pyrénées, et l’obliger à se
confiner dans l’Espagne, mais il ne
peut
conserver la Septimanie. La région demeure sous l’autorité des
rois Wisigoths d’Espagne et prend le nom de Gothie, qu’elle
conservera pendant 4 ou 5 siècles, bien que le nombre des Goths qui
y habitent n'est pas beaucoup plus considérable qu’ailleurs et
bien qu’elle ait été enfin reprise par Pépin, Charlemagne et
Louis le Pieux
Taifales
- Dictionnaires et Encyclopédies sur le Akademik
fr.academic.ru/dic.nsf/frwiki/1601573
Taïfales
Le « dragon à la perle », motif des boucliers des Equites
Honoriani
Taifali
iuniores ... 561 — Cette page concerne l année 561 du calendrier
julien.
Le
livre au format PDF - Les Classiques des sciences sociales
classiques.uqac.ca/classiques/lot_ferdinand/.../lot_naissance_france.pdf
30
mai 2006 - De même, à l'ouest du Poitou, les Taïfales
subsistaient. On les ..... La période de trente ans comprise entre
les années 561 et 591 est la.
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