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NOVEMBRE 201...
Cette
page concerne l'année 537 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
ARTHUR
CE ROI LÉGENDAIRE
Le
roi Arthur ou Arthur Pendragon est, d'après les romances médiévales,
un seigneur Breton qui a organisé la défense des peuples Celtes des
îles Britanniques et de Bretagne Armoricaine face aux envahisseurs
Germaniques à la fin du Ve siècle ou au début du VIe siècle.
La
légende d'Arthur est principalement inspirée par le folklore et
l'invention littéraire, et son existence historique n'est pas
attestée.
Les
sources historiques d'Arthur sont recueillies sur de rares textes
contradictoires, essentiellement des poèmes et contes en langue
galloise, des annales et chroniques décrivant la romanisation et la
christianisation de la Grande-Bretagne comme les Annales Cambriae et
l’Historia Brittonum et la vie des premiers saints de l'île
Bretonne, comme Gildas le Sage.
Le
nom d'Arthur apparaît également dans d'anciens poèmes tel que le Y
Gododdin.
Son
histoire se situe à une époque où le terme « Bretagne »
désigne la grande moitié sud de l'actuelle Grande-Bretagne.
La
figure légendaire d'Arthur s'est développée essentiellement grâce
à l'Historia regum Britanniae (Histoire des rois de Bretagne) écrite
par Geoffrey de Monmouth au XIIe siècle.
Toutefois,
antérieurement à cette œuvre, certains contes et poèmes Gallois
ou Bretons, ainsi que des chroniques ou annales reprenant des
traditions orales, font déjà apparaître Arthur comme un grand
guerrier défendant la Bretagne des hommes et d'ennemis surnaturels
ou comme une figure magique du folklore, parfois associée à
Annwvyn, l'autre-Monde Celtique.
La
part du récit de Geoffrey de Monmouth, écrit encore en latin,
adaptée des sources antérieures et celle issue de sa propre
imagination sont inconnues.
Bien
que les thèmes, les événements et les personnages de la légende
du roi Arthur varient considérablement de texte en texte, et qu'il
n'existe pas de version unique, les événements contés dans
l'Historia regum Britanniae servent de base pour la plupart des
histoires postérieures.
Geoffrey
de Monmouth dépeint Arthur comme un roi ayant établi un empire
rassemblant toute l'île de Bretagne, ainsi que l'Irlande, l'Islande,
la Norvège, le Danemark et une bonne partie de la Gaule.. En fait,
beaucoup d'éléments qui font désormais partie intégrante de
l'histoire du roi Arthur apparaissent dans l'Historia regum
Britanniae : Le père d'Arthur Uther Pendragon, Merlin
l'Enchanteur, l'épée Excalibur, la naissance d'Arthur à Tintagel,
sa dernière bataille contre Mordred à Camlann et sa retraite finale
à Avalon.
Au
XIIe siècle, l'écrivain Français Chrétien de Troyes y ajoute
Lancelot et le Saint Graal et initie le genre de la romance
Arthurienne (en puisant dans la Matière de Bretagne) qui devient un
volet important de la littérature médiévale.
Dans
ces histoires, la narration se concentre souvent sur d'autres
personnages, tels que les différents chevaliers de la Table Ronde au
lieu de se focaliser sur le roi Arthur lui-même.
La
littérature Arthurienne a prospéré pendant le Moyen Âge, avant de
perdre de l'importance dans les siècles qui suivent. Elle est
redevenue un sujet à la mode depuis le XIXe siècle.
Au
XXIe siècle, le roi Arthur est toujours un personnage mis en
scène, à la fois dans la littérature mais aussi dans les
adaptations scéniques (festivals, spectacles vivants), au théâtre,
au cinéma, à la télévision, dans les bandes dessinées, et
d'autres médias.
Le
prénom Arthur est en rapport étymologique avec le nom Celtique de
l'ours, « artos » signifiant à la fois « ours »
et « guerrier ». On rapproche son nom avec celui de la
déesse ourse Artio.
Arthur
s'explique par Arto-rix « roi-ours » (« roi des
guerriers « ) par un intermédiaire latinisé *Artori(u)s.
On
remarque au VIe siècle une certaine augmentation des noms tels
Arzur, Arzul', Arthus, Artus ou Arthur qui laisse supposer
l'existence d'un personnage ayant marqué les esprits. Le nom
lui-même revêt un symbole de force, de stabilité et de protection,
caractères bien présents dans sa légende : C'était un homme
réputé fort, posé, et, en tant que roi, garant de la sécurité de
ses sujets.
Dans
la civilisation Celtique, l'ours est avant tout l'animal emblématique
de la royauté.
Notons
néanmoins qu'à l'époque où naît la légende Arthurienne
(XIIe siècle), la place de l'ours comme animal emblématique
est prise par le lion.
Ainsi
dans l'Historia Regum Britanniae, Arthur rêve à un combat entre un
ours et un dragon. Mais Arthur est le dragon, et non l'ours.
La
transcription latine basée sur cette racine Celtique donne le nom
Artorius, ce qui appuierait l'hypothèse Romaine identifiant le roi
Arthur au personnage de Lucius Artorius Castus. Néanmoins
l'assimilation d'Arthur à Artorius repose sur des bases très
fragiles...
Cette
hypothèse se base sur le fait que le roi Arthur apparaît pour la
première fois dans les légendes et élégies Galloises, bien avant
d'être repris dans les romans de chevalerie du XIIe siècle.
Arthur
est né vers 470/475 au Pays de Galles, ou de l'ouest de
l'Angleterre, mais l'emplacement exact de sa cour, connue sous le nom
de Camelot, reste un mystère.
Il
a repoussé l'invasion des Saxons au début du VIe siècle bien qu'il
n'ait jamais été couronné roi.
En
effet, la chronique de Nennius (IXe siècle) le désigne comme
un dux bellorum (chef de guerre) combattant « avec les rois
Bretons » et les textes médiévaux en Gallois ne lui donnent
jamais le titre de roi, mais l'appellent « amerauder »
(« empereur »). Certains auteurs en font un grand
propriétaire terrien romanisé ayant constitué, comme c'est alors
courant, sa propre troupe de bucellaires, mercenaires à la solde
d'une personne riche et payés en nourriture, d'où leur nom
(buccelus = biscuit), et ayant prêté main-forte aux rois Bretons
contre les Saxons...
En
outre, dès le IVe siècle, les corps de bucellaires sont
constitués majoritairement de cavaliers. La légende d'un corps de
cavaliers d'élite servant Arthur n'est pas loin…
Kemp
Malone, pense avoir retrouvé le vrai Arthur dans le personnage de
Lucius Artorius Castus. La parenté de nom est en effet assez
troublante.
Ce
préfet romain, installé à York, a commandé (l'épigraphie
l'atteste) la VIe Légion Victrix, chargée de combattre les
Calédoniens (peuple de l'actuelle Écosse) au-delà du mur
d'Hadrien.
Il
a remporté contre eux (et non contre les Saxons) une suite de
victoires entre 183 et 185. Ensuite, il a été envoyé en Armorique
mater une rébellion, mais de récentes recherches tendent à prouver
qu'il at été envoyé en Arménie. À l'occasion de cette
expédition, il porte le titre de dux, ce qui n'est pas sans rappeler
le titre de dux bellorum rapporté par la chronique de Nennius.
Selon
Geoffrey Ashe, reprenant la thèse de Léon Fleuriot, le légendaire
Arthur est inspiré du personnage réel de Riothamus, qui a porté le
titre de « roi des Bretons » entre 454 et 470. Celui-ci
aurait fait campagne en Gaule au cours des années 468 et 469 pour
prêter main forte aux Gallo-Romains contre les Wisigoths, avant
d'être battus par ces derniers à la bataille de Déols.
Plus
récemment, C. Scott Littleton et Linda A. Malcor ont repris ces 2
dernières hypothèses et affirment que le Arthur de Camelot est la
synthèse du Romain Lucius Artorius Castus et du Britannique
Riothamus.
Pour
ces deux chercheurs, le nom d'Arthur est la « celticisation »
d'Artorius. Mais ce dernier, personnage assez mineur dans l'Histoire
de Bretagne, ne peut plus être considéré comme le modèle du roi
Arthur.
Tout
se passe comme si certains auteurs médiévaux avaient voulu réécrire
l'histoire en imaginant que la bataille de Déols se soit conclue par
la victoire des Bretons... Après s'être rendu maître de toute
l'île de Bretagne, Arthur a ainsi conquis l'Irlande, l'Islande, la
Norvège, le Danemark et une bonne partie de la Gaule. Il a même
vaincu les légions Romaines en Burgondie (Bourgogne), au cours d'une
expédition qui l'a mené jusqu'à Rome…
On
peut également évoquer l'hypothèse du décalage chronologique.
Dans ce cas, la bataille de Camlann contre l'usurpateur Mordred
aurait eu lieu vers 490, alors qu'Arthur revient de son expédition
en Gaule, où il est allé prêter main forte aux troupes
Gallo-Romaines confrontées à l'invasion des Francs. Selon ce
scénario, la bataille du Mont Badon s'est déroulée vers 475 et
l'arrivée des Saxons en Bretagne remonterait alors aux environs de
428.
Un
personnage nommé Jules César est présent dans la légende
Arthurienne. Il faut peut-être lire en césar la fonction de
vice-empereur tenue par le dernier empereur reconnu d'Occident Julius
Nepos, plutôt que le nom du conquérant des Gaules.
Cette
mise au point permet de mettre un terme au thème de Merlin
l'Enchanteur, capable de traverser le temps et l'espace, parce qu'il
est ainsi avéré qu'il existe bien un dénommé Jules, « césar »
de son état, contemporain de la jeunesse du personnage connu
aujourd'hui sous le nom du Roi Arthur, mais qui reste encore à
identifier parmi les responsables Britto-Romains de son époque.
Selon
l'historienne Norma Goodrish, la tombe d'Arthur datant du IIIe siècle
se trouve dans la Civil parish (la « commune »)
d'Arthuret où s'est déroulée la Bataille d'Arfderydd près du mur
d'Hadrien, région dans laquelle Lucius Artorius Castus défend le
limes Romain.
Le
patronyme « Arthur » peut être courant à l'époque
Celtique et a pu ainsi désigner plusieurs chefs. L'amalgame du récit
de différentes vies a pu servir à constituer celle du personnage
mythologique.
Ce
nom donnait d'ailleurs une vogue très importante dans l'aristocratie
Celtique dans les années qui suivent la Bataille de Camlann, où est
mort Arthur, entre 537 et 542.
Pour
Withaer, auteur d'une histoire des guerres de ce prince, Arthur est
le dernier roi des Bretons Siluriens.
Après
avoir défendu longtemps son pays avec succès contre les Angles du
nord, les Saxons de l'occident et les Danois qu'il vainc en 12
batailles successives, il a été complètement défait à Camlann,
vers 542. Blessé mortellement, il se fait transporter en un lieu
inconnu où il termine sa glorieuse vie. Ses soldats étonnés de ne
pas le voir reparaître vont à sa recherche et, comme ils ne
trouvent nulle part son tombeau, ils se persuadent qu'il n'est pas
mort.
Bientôt,
se répand la croyance populaire qu'Arthur reviendra un jour régner
sur la Bretagne affranchie du joug étranger, et qu'il y ramènera le
siècle d'or.
Les
chants patriotiques des bardes le représentent tantôt guerroyant en
Palestine contre les Infidèles, et tantôt errant dans les forêts
des 2 Bretagnes.
Cette
espérance du retour d'Arthur s’accroît à mesure que le peuple
est opprimé.
Elle
est assez générale sous la domination despotique des rois Normands.
Henri
II, à qui elle inspire de vives inquiétudes, imagine un moyen pour
la faire cesser. Il se rend à Glassenbury (ou Glastonbury), où des
moines de l'abbaye annoncent avoir découvert la tombe d'Arthur et de
Guenièvre quelques années après l'incendie de leur église en
1184.
Sa
reconstruction nécessite des fonds importants, d'où l'idée des
moines, selon l'érudit Britannique le docteur Robert Dunning, de
broder à partir d'une supposée tombe royale toute une légende
autour d'Arthur, de Joseph d'Arimathie, du Saint-Graal ou du
chevalier Lancelot, en s'inspirant des écrits de leur évêque
Geoffroy de Monmouth.
Cette
légende ne manquera pas ainsi d'attirer d'importants donateurs et
d'accroître sa renommée par rapport à sa rivale l'Abbaye de Saint
Denis. Ces fouilles sont faites en un lieu que des vers chantés par
un pâtre indiquent comme l'endroit de la sépulture d'un grand
homme.
Giraud
de Barri, aumônier du roi Henri II Plantagenêt rapporte qu'on en
retire, parmi divers débris, un cercueil de pierre décoré d'une
petite croix de plomb, sur laquelle est inscrit :
« Hic
jacet sepultus inclutvs rex Arturius cum Wenneveria uxore cum sua
secunda in insula Avallonia », inscription qu'il traduit
ainsi :
Cette
prétendue découverte ne produit pas néanmoins l'effet qu'il en
attend. L'espérance Bretonne continue à régner. Elle est si vive
au temps d'Alan de Tewkesbury, que ce savant a écrit dans ses
explications des prophéties de Merlin :
« On
serait lapidé en Bretagne, si l'on osait dire qu'Arthur est mort. »
(Explanat. in proph. Merlini, p. 19, lib. i.).
Ces
tombes ont été visitées par beaucoup de personnes, et déplacées
vers une nouvelle sépulture en 1278. Celle-ci est détruite pendant
la Réforme Anglaise du XVIe siècle.
D'autres
pensent qu'Arthur est un demi-dieu Celte incarné, tel que le dieu de
la mer Lir (supposé incarné par le Roi Lear), ou même un
personnage fictif comme Beowulf (loup des abeilles, un surnom de
l'ours). Cette théorie serait renforcée par le fait que d'autres
Britanniques de cette période, comme Ambrosius Aurelianus, ont
combattu les Saxons à la bataille du Mont Badonicus.
Ces
histoires, réunies sous le vocable de matière de Bretagne,
deviennent populaires à partir du XIIe siècle.
Dans
ces histoires, Arthur rassemble les chevaliers de la Table ronde (en
particulier Lancelot, Gauvain et Galaad). Cette assemblée est en
général située à Camelot dans les derniers récits.
Le
magicien Merlin, dit « l'Enchanteur », y participe de
temps en temps. Ces chevaliers participent à des quêtes mythiques,
comme celle du Saint Graal.
D'autres
histoires du monde Celtique s'associent à la légende d'Arthur,
telle que la légende de Tristan et Iseult.
Dans
les dernières légendes, la romance entre le champion d'Arthur,
Lancelot, et la reine Guenièvre devient la cause principale de la
chute du monde Arthurien.
Robert
de Boron écrit dans son Merlin qu'Arthur obtient son trône en
tirant une épée d'un rocher et d'une enclume.
Cet
acte ne pouvait être effectué que par le Vrai Roi, ce qui signifie
le roi choisi par (les) Dieu(x), ou l'héritier d'Uther Pendragon.
Cette
épée est dans certaines versions la célèbre Excalibur.
Dans
d'autres récits, Excalibur sort d'un lac, portée par Viviane, la
Dame du Lac (une demoiselle sorcière) et est remise à Arthur peu de
temps après le début de son règne. L'épée peut trancher
n'importe quoi, et sa gaine rend son porteur invincible.
Le
dernier combat d'Arthur, la bataille de Camlann, contre les forces de
Mordred voit sa perte. Des histoires montrent que Mordred est un
chevalier de la Table ronde et le fils incestueux d'Arthur et de sa
sœur Morgane ou bien de sa demi-sœur Morgause.
Le
Roi Arthur est mortellement blessé lors de cette bataille, et emmené
à Avalon. Là, ses mains sont soignées ou son corps enterré dans
une chapelle. D'autres textes disent qu'il n'est pas mort, mais qu'il
s'est retiré dans Avalon, monde insulaire mystérieux... Le roi
Arthur est en dormition et reviendra un jour.
De
nombreux lieux sont revendiqués comme étant l’Avalon dont parle
la légende : Glastonbury (dans le Somerset, en Angleterre).
L'île
d'Avalon (un îlot sur la commune de Pleumeur-Bodou dans les
Côtes-d'Armor). Burgh by Sands, ancienne forteresse Aballaka du Mur
d'Hadrien, en Cumberland, à l'embouchure de l'Eden…
Mais
il faut préciser que les peuples Celtiques transportent leurs
légendes et les transposent au fur et à mesure de leurs
émigrations. Ceci explique donc qu'il y ait plusieurs forêts de
Brocéliande, plusieurs Cornouailles…
La
légende du roi Arthur s'est répandue dans toute l'Europe. Des
images d'Arthur ont été retrouvées à de nombreux endroits.
En
particulier, dans la cathédrale de Modène en Italie, une gravure
datée entre 1099 et 1120 représente Arthur et ses chevaliers
attaquant un château.
Une
mosaïque de 1165 dans la cathédrale d'Otrante, près de Lecce, en
Italie contient la représentation curieuse d'Arturus Rex portant un
sceptre et chevauchant une chèvre.
Des
marchands du XVe siècle baptisent un Hall Arthurien à Gdańsk,
en Pologne.
De
nombreux lieux évoquent le roi Arthur en Bretagne, notamment la
forêt de Brocéliande ou la Grotte Art en forêt de Huelgoat ou
encore Glastonbury. Le roi unique et incontesté n'a jamais existé
dans la civilisation Celtique.
Les
divisions tribales (chefs de clans vassaux de rois des provinces
eux-mêmes vassaux d'un roi suprême) ont permis à Jules César de
prendre le contrôle de la Gaule. En contrepartie, l'imaginaire
populaire s'est emparé d'un roi, plus ou moins attesté, paré des
atouts les plus nobles de sa charge : Un homme fort, bon
guerrier mais sage, fédérateur et bien conseillé. Même après sa
disparition, il porte encore les espoirs d'un peuple : Son
sommeil n'est que temporaire, et il revient unir les « deux
Bretagnes » et sauver les Bretons...
Roi
Arthur — Wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Roi_Arthur
Le
roi Arthur ou Arthur Pendragon est, d'après les romances médiévales,
un .... les années qui suivent la Bataille de Camlann, où serait
mort Arthur, entre 537 et ...
Le
roi Arthur et la comète -- Histoire Secrète -- Sott.net
fr.sott.net/article/17282-Le-roi-Arthur-et-la-comete
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mai 2013 - Traduction par le BBB Le légendaire roi Arthur est
aujourd'hui connu ... sont d'accord sur un événement raccordé aux
années 537 ou 539.