18
DECEMBRE 2014...
Cette
page concerne l'année 881 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
UN
TEXTE LEGENDAIRE NAÎT D'UNE BATAILLE...
L’histoire
est basée sur un fait historique : une incursion des Vikings
qui, en février 881, incendièrent l’abbaye de Saint-Riquier, puis
furent battus par Louis III six mois plus tard, à la Bataille de
Saucourt-en-Vimeu, victoire remportée le 3 août 881 par les troupes
Carolingiennes des rois Louis III et Carloman II.
À
la suite de la bataille de Thiméon (près de Charleroi) où ils
subissent une défaite face à Louis le Jeune, roi de Francie
Orientale, les pillards Scandinaves recommencent leurs raids sur le
royaume Franc.
En
881, c'est au tour d'Amiens et de Corbie d'être saccagées.
Mais
en août 881, le roi Louis III remporte sur l'envahisseur une
première grande victoire à Saucourt-en-Vimeu (l'actuel hameau de
Saucourt situé entre Valines, Ochancourt et Fressenneville à une
quinzaine de km à l'ouest d'Abbeville).
Cette
bataille, où près de 8 000 Vikings auraient péri, a un
retentissement tel qu'elle est immortalisée par la Chanson de Louis
(le Ludwigslied). Elle est également évoquée dans la chanson de
geste Gormont et Isembart.
Les
retombées politiques de cette bataille ne sont pas immédiates mais
ce succès militaire a un retentissement assez grand pour qu'il
figure dans plusieurs œuvres littéraires médiévales.
Le
Ludwigslied ou Rithmus Teutonicus
(en français, « la chanson de Louis »)
est un poème écrit en haut-allemand ancien, en l'honneur de la
victoire de l'armée Franque de Louis III de Francie sur les Danois.
Il est considéré comme l’un des plus anciens témoignages de la
langue germanique.
C’est
un chant de louange dont la musique est perdue mais dont les 59 vers
allitérés nous sont parvenus « clandestinement » sur
les derniers feuillets d’un recueil de sermons de Grégoire de
Naziance.
Le
texte, destiné à l’édification des hôtes « germanophones »
de l'Abbaye de
Saint-Amand
dont l'abbé Gozlin est alors proche de l'entourage royal.
Le
poème est d'inspiration chrétienne. Il présente les raids Vikings
comme un châtiment divin : Dieu a fait que les Hommes du Nord
traversent les mers pour rappeler aux Francs leurs péchés, et
inspire à Louis de se mettre en guerre
pour
aider son peuple. Louis prie Dieu avant et après la bataille. Le
poème loue la piété du roi. Cependant cela reste un Prieslied
(chant germanique en l'honneur d'un guerrier), courant dans la
tradition orale des peuples Germaniques.
Il
est fait mention de la Bataille de Saucourt-en-Vimeu dans :
Ludwigslied
ou « chanson de Louis », poème en vieux haut-allemand
probablement écrit peu après la bataille. Pendant que Louis le
Germanique et Charles le Chauve, se disputant l'héritage de
Lothaire, agitent le midi de l'Europe et lèguent à leurs fils des
dissensions funestes, la Francie est ouverte aux courses des Normands
qui deviennent toujours plus menaçants. Robert le Fort, leur
vaillant adversaire, a péri à la bataille de Briserte, et leurs
barques, remontant tous les fleuves, pénètrent dans le cœur du
royaume.
L'Escaut,
la Somme, la Seine et la Loire sont rougis de sang et chargés de
dépouilles, Paris même est menacé, et les attaques subites, les
surprises meurtrières se multiplient de toutes parts.
Au
milieu de ces péripéties cruelles qui tiennent en éveil
toutes les populations, chaque succès remporté
sur les envahisseurs excite le plus vif enthousiasme. Quelquefois le
cri de délivrance, s'élevant du milieu des cloîtres, revêt une
forme poétique pleine d'élan et d'onction religieuse, comme nous le
voyons par le chant tudesque composé en l'honneur de Louis III,
petit-fils de Charles le Chauve, qui a, en 881, vaincu les Normands à
Saucourt. Il est écrit en distiques rimés, dans le style ferme et
concis que semble réclamer le sujet, et avec toute l'effusion de la
foi jointe à l'amour de la patrie. Le combat n'y est qu'indiqué,
l'idée d'une délivrance providentielle est celle qui domine toutes
les autres, mais le caractère du roi Louis, collègue généreux de
son frère Carloman, n'en ressort pas moins avec noblesse du milieu
de ce naïf récit.
Rithmus
Teutonicus de piae memoriae
Hluduico
rege filio hluduici aeq; regis
«
Je connais un souverain, le roi Louis, fidèle au culte de Dieu qui
le récompense de sa foi.
«
Jeune encore, il perdit son père. Dans ce malheur, Dieu lui-même
l'accueillit et voulut devenir son guide.
«
Il lui donna pour compagnons des chevaliers intrépides; il lui donna
un trône dans le pays des Francs. Puisse-t-il en jouir de longues
années !
«
Louis partagea le trône avec Carloman, sou frère, par un accord
équitable et loyal.
«
Après ce pacte, Dieu voulut l'éprouver ; il voulut voir s'il
supporterait les peines.
«
Il permit que les guerriers païens envahissent ses états, que les
Francs devinssent leur esclaves.
«
Les uns se perdirent aussitôt, les autres furent vivement tentés ;
quiconque s'abstenait du mal était accablé d'outrages.
«
Chaque brigand armé, enrichi de rapines, enlevait un château et
devenait ainsi noble.
«
L'un vivait de mensonge, l'autre d'assassinat, l'autre de défection
; chacun s'en glorifiait.
«
Le roi était troublé, le royaume en désordre; Christ étant irrité
permettait ces malheurs.
«
Mais Dieu eut pitié de nous ; il connaissait notre détresse, il
ordonna à Louis de marcher en toute hâte.
«
O roi Louis ! secours mon peuple, car les Normands l'oppriment avec
dureté.
«
Louis répondit alors : Seigneur, je le ferai; la mort ne m'empêchera
pas de suivre tes commandements.
«
D'après l'ordre de Dieu il leva l'oriflamme, il marcha par la
Francie au devant des Normands.
«
II rendait grâces à Dieu, en attendant sa venue, il disait :
Seigneur, nous voici pour t'attendre.
«
Alors l'illustre Louis s'écria d'une voix forte : Courage,
guerriers, compagnons de mon sort !
«
— Dieu m'a conduit ici ; mais il faut que je sache si c'est d'après
vos vœux que je marche au combat.
«
— Je m'exposerai à tout, pourvu que je vous sauve. Qu'ils me
suivent tous ceux qui sont fidèles à Dieu !
«
— Cette vie nous est acquise tant que Christ nous l'accorde ; nos
corps sont sous sa garde, c'est lui qui veille sur nous.
«
— Quiconque, servant Dieu avec zèle, sortira vivant de cette
lutte, aura de moi une récompense ; s'il meurt, ce seront ses
enfants.
«
Il s'arme à ces mots de l'écu et de la lance, il vole sur son
coursier pour punir ses ennemis.
«
Il ne fut pas longtemps à trouver les Normands. —Dieu soit loué !
s'écrie-t-il, en voyant ceux qu'il cherche.
«
Chevauchant vaillamment, il entonne l'hymne sacré, et tous chantent
ensemble : Seigneur, aie pitié de nous !
«
L'hymne fut chanté, le combat commencé, le sang baigna le visage
des Francs qui jouaient de leurs armes.
«
Les chevaliers se vengèrent, mais surtout le roi Louis. Prompt et
intrépide, telle était sa coutume.
«
Il frappait l'un, il perçait l'autre ; il abreuvait ses ennemis
d'amertume, et leurs âmes s'échappaient de leurs corps.
«
Bénie soit la puissance de Dieu ! Le roi Louis fut vainqueur. Grâces
soient rendues à tous les saints ! A lui fut la victoire.
«
Le roi Louis fut heureux ; autant il était prompt, autant aussi il
fut ferme dans l'épreuve. Maintiens-le, ô Seigneur, dans toute sa
majesté ! »
Le
poème est transcrit dans un manuscrit du IXe siècle du
monastère de Saint-Amand, aujourd'hui conservé à la bibliothèque
municipale de Valenciennes (Codex 150, f. 141v-143r), sur le même
feuillet que la Séquence de Sainte Eulalie.
Il
a été rédigé dans l'entourage du roi, peu après la bataille et
avant la mort du roi Louis III, le 5 août 882 car, dans le
poème, ce dernier est présenté comme encore vivant : « Je
connais un roi, nommé le seigneur Louis / Qui sert Dieu volontiers,
et que Dieu récompense, je le sais. » Pourtant, l'entête du
poème Ritmus teutonicus de piae memoriae
Hluduice rege (« chant franc à la
mémoire du roi Louis ») laisse à penser qu'il s'agit d'une
copie d'un texte plus ancien, postérieure à la mort du roi.
Le
texte est découvert en 1672, à l'abbaye de Saint-Amand, par Dom
Mabillon, qui en fait une copie imparfaite et qui confie à Johannes
Schilter le soin de l'éditer. Celui-ci le publie en 1696, mais le
texte original reste inconnu, Schilter n'ayant travaillé que sur la
copie de Mabillon.
Ce
n'est qu'en 1837 qu'August Heinrich Hoffmann von Fallersleben
retrouve le manuscrit à la Bibliothèque de Valenciennes.
La
Bataille de Saucourt
En
879, alors que le roi Louis-le-Débonnaire venait de descendre dans
la tombe, les Scandinaves et les Danois, qui depuis longtemps
attendaient le moment favorable pour lancer une expédition massive,
envahissent une fois de plus le territoire des Francs. Le pays en
proie aux massacres, incendies et pillage, les Vikings ne laissent
derrière eux que larmes, misère et désolation. Le peuple, mal
défendu par un gouvernement affaibli et que rien n'a préparé à
assumer sa propre défense n'a d'autre choix que souffrir ou fuir
devant l'ennemi.
On
ne parle des Danois ou des Hommes du Nord que comme les outils de la
colère de Dieu, et dans les Litanies des Saints, que chantent les
populations épouvantées, on répète avec angoisse cette formule
qui reflète bien à elle seule la consternation générale :
A
furore Normannorum, libera nos, Domine.
--De
la fureur des Normands, délivrez-nous, Seigneur. (Auber, hist. S.
Mart. 204.)
Les
hommes du Nord sont guidés dans leurs incursions par le Français
Isambard, seigneur de la Ferté-lès-Saint-Riquier, devenu traître
et apostat suite à ses querelles avec Louis III, roi des Franc (son
oncle). Animé d'un désir de vengeance, Isambard a sollicité l'aide
de Guaramond, chef des Normands, qui sévit alors sur les cotes et il
lui a donne accès à l’intérieur du Pays.
Guaramond
ou Guermond, sous la conduite du traître, débarque à Wimereux,en
879, brûle Boulogne, Terrouane, Arras et vient camper près du
monastère de Corbie. Fondé en 662 par la reine Bathilde, veuve du
roi Clovis II et régente du royaume, ce monastère n'a alors pour
toute défense que ses murs d'enceinte... Ces murs sont épais et
solides comme la plupart des ouvrages Lombards, mais ils ne suffisent
pas à mettre les religieux à l'abri de toute attaque.
Les
Normands s'emparèrent facilement de l'abbaye de Corbie, la pillent
et la laissent dans un état déplorable. (Caulincourt, Chro.ms. De
Corbie.-- Duchesne, tom. II p. 588.-- Mabillon, ann. tom. III, n°
45.)
L'église
et l'abbaye de Saint-Riquier ne sont pas mieux traitées elles furent
pillées et incendiées par Guaramond qui n'a pu les démolir.
(Hariulfe, ms.--Louandre, hist. des comtes de Ponthieu, t. I.)
La
Cathédrale d'Amiens partage le même sort elle est ruinée de fond
en comble.(Hist. des comtes d'Amiens, liv.VII. Du Cange.)
Saucourt
? un hameau de Nibas dans la Somme qui compte bravement 745
habitants.
Mais Nibas fut célèbre grâce cette bataille de l' année 881.
Louis III, descendant de Charlemagne règne à ce moment là sur la Francie Occidentale.
Avec son frère Carloman ils combattent les Normands, pilleurs Scandinaves qui saccagent les contrées qu'ils conquièrent.
En 880 ils incendient Cambrai et Arras, puis Amiens et Corbie.
Mais Nibas fut célèbre grâce cette bataille de l' année 881.
Louis III, descendant de Charlemagne règne à ce moment là sur la Francie Occidentale.
Avec son frère Carloman ils combattent les Normands, pilleurs Scandinaves qui saccagent les contrées qu'ils conquièrent.
En 880 ils incendient Cambrai et Arras, puis Amiens et Corbie.
Les
voilà , débarquant sur les côtes à bord de leurs snekkards... Une
exposition fort intéressante organisée par Edwige Fontaine, avec le
soutien de la commune de Nibas, retrace cette épopée souvent
méconnue même des acteurs locaux.
Ici
une carte de la région : au lieu dit « les grands yeux »
sur la hauteur du village,
le roi Louis III attend les Normands.
Les francs, venant de Franleu, attendent les barbares et leur coupent la route.
Le lieu, sur le haut du plateau présente un creux naturel d'où l'on peut voir et
se « mucher » ( cacher en picard ) sans être vu !
le roi Louis III attend les Normands.
Les francs, venant de Franleu, attendent les barbares et leur coupent la route.
Le lieu, sur le haut du plateau présente un creux naturel d'où l'on peut voir et
se « mucher » ( cacher en picard ) sans être vu !
Voici
le lieu dit « les grands yeux » en contrebas de « la
terre des tombes ».
La bataille dure 4 jours (?) et les francs sont vainqueurs.
La bataille dure 4 jours (?) et les francs sont vainqueurs.
Annales
de Saint-Bertin :
« Louis
son frère est retourné en son pays pour s'opposer aux Normands qui,
ravageant tout sur leur route, occupent le monastère de Corbie, la
cité d'Amiens et d'autres Saints Lieux. Après en avoir tué une
grande partie et mis les autres en fuite, Louis avec son armée
tourne lui-même le dos et prend la fuite sans être poursuivi de
personne, montrant ainsi, par le jugement de Dieu, que ce qui s'est
fait contre les Normands l'a été par la vertu non pas humaine mais
divine. »
Chronique
de l'abbaye de Saint-Riquier :
« Mais
le roi Louis, s'étant rendu dans le Vimeu à la tête de son armée,
remporte sur ces barbares une victoire décisive, où leur roi
Guaramond perd la vie, et où tous ses soldats sont tués ou obligés
de prendre la fuite.
On
rapporte que Louis meurt d'une rupture causée par les efforts qu'il
fait dans cette bataille en combattant. »
Chronique
de Saint Vaast (Cf. gallica, p. 310-311).
Gormont
et Isembart ou Gormond et Isembart ou Gormund et Isembard est une
chanson de geste de la seconde moitié du XIe siècle ou de la
première moitié du XIIe siècle.
Avec
La Chanson de Roland et La Chanson de Guillaume, c'est l'une des 3
chansons de geste composées avant 1150 elle peut être légèrement
postérieure à La Chanson de Roland, Holmes la datant de 1068. La
chanson nous conte l'histoire d'un jeune seigneur Francs rebelle,
Isembart, qui s'allie avec un chef Normand, Gormont, abandonne le
christianisme et combat le Roi de Francie Occidentale. Elle est
parfois regroupée avec la Geste de Doon de Mayence dans le cycle des
vassaux rebelles des chansons de geste.
Le
seul fragment manuscrit conservé (deux feuilles de parchemin
trouvées dans une vieille reliure) comporte 661 octosyllabes (ce qui
est inhabituel pour une chanson de geste) en laisses assonancées
(conservé à la Bibliothèque royale de Belgique) écrites en un
dialecte du centre de la France, datant d'environ 1130, et qui
constitue la fin d'un poème plus long. Le texte du poème entier a
pu être reconstitué à partir de deux sources :
- une chronique du XIIIe siècle de Philippe Mousket
- une adaptation Germanique du XVe siècle, Loher und Maller (1437), d'une version en prose de la fin du XIVe siècle ou du début du XVe siècle, Lohier et Mallart.
La
date de la composition du poème se base sur :
- une mention dans les chroniques (terminées en 1088, révisées en 1104) de Hariulf, un moine de Saint-Riqiuer.
- Une allusion qui y est faite dans l'Historia Regum Britanniae de Geoffrey de Monmouth.
La
partie originale, de 830 à 882, est composée de 3 textes d'auteurs
différents mis bout-à-bout. D'abord, la section qui va de 830 à la
plus grande part de l'année 835 : Elle est d'un auteur qui
n'est pas sûrement identifié, écrivant un latin assez incorrect,
chaud partisan de l'empereur Louis le Pieux dans le conflit qui
l'oppose depuis 830 à certains de ses fils (cf. l'expression
« domnus imperator » employée constamment pour le
désigner), et qui écrit depuis la partie occidentale de l'Empire
Franc (cf. l'expression « Francos qui citra Carbonariam
consistebant »,
« les
Francs qui habitent de ce côté-ci de la Forêt Charbonnière »,
ad a. 834), avant la mort de l'empereur le 20 juin 840 (cf. « sicut
ei mos est » au présent en parlant de Louis le Pieux, ad a.
832).
La
section qui va de la fin de l'année 835 au début de l'année 861
est due au clerc de la cour, puis évêque de Troyes, Prudence († 6
avril 861) : On le sait par la lettre n°25 d'Hincmar de Reims
(qui cite un passage relatif à l'année 859 en l'attribuant aux
« annales de nos rois composées par le seigneur Prudence »)
et par l'étude stylistique et thématique qui montre l'unité de
cette section et l'opposition à ce qui précède et ce qui suit.
Enfin
une troisième section (de 861 à 882, commençant d'ailleurs par la
mention de la mort de Prudence de Troyes) est certainement à
assigner à l'archevêque Hincmar de Reims († 21 décembre 882),
auquel le codex a dû être transmis par Charles le Chauve. Pour
l'année 849, Hincmar a changé rétrospectivement le passage sur la
condamnation de Gottschalk d'Orbais, que l'évêque Prudence avait
soutenu contre lui. La fin du texte correspond à la mort de
l'archevêque.
Le
texte d'Hincmar a été utilisé ponctuellement par Flodoard dans son
Histoire de l'Église de Reims. D'autre part, il a existé à
l'abbaye Saint-Germain-des-Prés, à partir du XIe siècle, un
manuscrit qui contenait la section 869-882, qui est reproduite dans
ce qu'on appelle les Chroniques de Saint-Denis (continuation de
l'Histoire des Francs d'Aimoin de Fleury, commencée non pas à
Saint-Denis, mais à Saint-Germain-des-Prés).
Les
Annales de Metz éditées par André Duchesne reproduisent la section
830-838.
Les
Annales de Fulda (en latin Annales Fuldenses, nom conventionnel
depuis le XVIIe siècle, ou Annales regni Francorum Orientalis)
comptent parmi les grands ensembles d'annales de l'époque
Carolingienne. Composées dans le royaume de Francie Orientale, elles
existent en versions en partie différentes et couvrent au maximum la
période allant de 715 à 901. À partir de 830, elles font pendant
aux Annales de Saint-Bertin, de Francie Occidentale, et aussi à la
Chronique de Réginon de Prüm.
La
Cantilène de sainte Eulalie - Valenciennes
bookline-03.valenciennes.fr/bib/decouverte/.../cantilene/presentation.htm
La
Cantilène ou séquence de sainte Eulalie est un poème religieux,
peut-être un ... la victoire de Louis III sur les Normands à
Saucourt-en-Vimeu le 3 août 881.
Catégorie:Bataille
de 881 — Wikipédia
fr.wikipedia.org/wiki/Catégorie:Bataille_de_881
Article
principal : 881. ... catégorie regroupe les articles de
l'encyclopédie consacrés aux batailles de l'année 881. ... Pages
dans la catégorie « Bataille de 881 ».
le
3 aôut 881: bataille de Saucourt - Le blog de Marie
www.jardindemarie.org/article-34531338.html
24
juil. 2011 - Saucourt ? un hameau de Nibas dans la Somme qui compte
bravement 745 habitants.Mais Nibas fut célèbre grâce cette
bataille de l' année 881.
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