25 DÉCEMBRE 2014...
Cette
page concerne l'année 874 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
SALOMON
ASSASSINANT ERISPOË EST LUI MÊME ASSASSINE
Salomon
(† 874), fils de Riwallon, comte du Poher, est roi de Bretagne de
857 au 25 juin 874. C'est sous son règne que la Bretagne connaît
son extension maximale.
Il
fait partie des Saints Bretons non reconnus officiellement par
l'Église catholique. Le nom provient du nom du roi biblique. En
ancien breton, son nom est Salamun, devenu Salavun, puis en breton
moderne Salaün, nom de famille répandu en Bretagne.
En
851, Erispoë se voit peut-être reconnu comme rex Britanniae, ce qui
du point de vue du Carolingien Charles le Chauve, rex Francorum,
n'est pas totalement hors norme. La seule vraie nouveauté sur le
plan institutionnel est qu'Erispoë n'est pas membre de la famille
Carolingienne, ce qui est lié à un rapport de forces dans lequel
les Bretons ont nettement l'avantage.
Mais
ils n'ont pas réussi à maintenir très longtemps ce rapport de
force et la Bretagne est tombée au rang de duché du royaume de
Francie Occidentale, après avoir traversé une phase très critique
au début du Xe siècle
Après
la mort de Nominoé, en 851, il n'a pas les mêmes égards ni le même
attachement pour Erispoé, son successeur. Sous prétexte qu'il
descend du frère aîné de Nominoé, et qu'il a plus de droits sur
la Bretagne que son cousin, il se met à comploter contre lui, et
obtient du roi Charles-le-Chauve, en 853, le tiers de la Bretagne,
sous la suzeraineté d'Erispoé.
Selon
les Annales de Saint-Bertin, il reçoit en 852 un tiers de la
Bretagne de Charles le Chauve, roi des Francs Occidentaux, après
s'en être fait le fidèle. Le roi Charles lui confie, sous
l'autorité d'Erispoë, les terres précédemment confiées à
Lambert II de Nantes, récemment assassiné : Cette manœuvre de
Charles le Chauve a pu viser à introduire la discorde entre les deux
cousins. Dès lors, Salomon devient incontournable dans la vie du
royaume Breton : Il contresigne ou donne son accord dans 4 des
actes de son cousin, ce qui atteste de sa prééminence.
En
853, la ville de Nantes est pillée par les Normands. Apprenant la
nouvelle, le Danois Cédric, neveu du roi du Danemark, honore
l'alliance conclue entre Nominoë et le roi Horik Ier de Danemark en
attaquant les Norvégiens responsables du pillage de Nantes. Il fait
sa jonction avec l'armée d'Erispoë, et ils font conjointement le
siège de l'île de Bièce, dans laquelle les Norvégiens se sont
retranchés. Ceux-ci capitulent bientôt en offrant des présents aux
vainqueurs. Cédric, blessé dans la bataille, repart en mer. Il
meurt peu de temps après près du Havre, tué par les troupes de
Charles le Chauve.
En
856, lors de l'entrevue de Louviers, il est question de marier Louis
le bègue, fils de Charles le Chauve avec une fille d'Erispoë.
« Erispoë
donne le duché du Mans à Louis le bègue jusqu’à la route qui
conduit de Paris à Tours et il établit ce prince pour régner sur
cette contrée ».
Le
mariage ne se fait pas et cette maladresse est peut-être une des
raisons du mécontentement et du complot qui entraîne sa mort.
Cette
première satisfaction rend Salomon paisible pendant quelques années.
Mais en 857, craignant de voir passer la couronne sur une autre tête,
par le mariage de la fille de son rival, il ourdit une noire
conspiration, et ne craint pas de poursuivre Erispoé jusque dans une
église, et de l'assassiner sur l'autel même...
Son
règne s'achève en novembre 857 par son assassinat sur l'autel de
l'église de Talensac, donc un lieu d'asile, par son successeur et
cousin Salaün aidé d'Alcmar.
Erispoë
est marié à Marmohec et avait au moins 2 enfants :
- un fils nommé Conan
une
fille qui, après avoir été fiancée par son père au prince Louis
le Bègue, fils de Charles le Chauve, a épousé Gurwant, « comte
de Rennes » et « cousin de Salomon ». Les sources
contemporaines indiquent seulement qu'elle est la mère du
« princeps » Judicaël
Les Bretons, ignorant ce crime, acceptent Salomon pour roi, et l'aident à repousser les Francs qui cherchent à envahir la Bretagne. A part son crime, Salomon a toutes les qualités que l'on peut souhaiter dans un prince : Une taille majestueuse, la science de la guerre, un courage intrépide, il fait paraître beaucoup de justice et de piété.
Les Bretons, ignorant ce crime, acceptent Salomon pour roi, et l'aident à repousser les Francs qui cherchent à envahir la Bretagne. A part son crime, Salomon a toutes les qualités que l'on peut souhaiter dans un prince : Une taille majestueuse, la science de la guerre, un courage intrépide, il fait paraître beaucoup de justice et de piété.
Il
est le cousin d’Erispoë qui, dans un acte de 856, le nomme «
Salomon filii Rivallon, consobrino meo ». Il semble qu’il ait été
élevé par Nominoë car, dans une donation, il précise « pro anima
Nominoë nutritoris fui ».
Selon
les Annales de Saint-Bertin, il reçoit en 852 un tiers de la
Bretagne de l’empereur aux dépens d’Erispoë, après s’être
fait le fidèle du roi Charles le Chauve.
La
partie de Bretagne qui lui est attribuée peut être celle dont
Lambert II de Nantes, récemment tué, avait la charge : Comtés de
Nantes et de Rennes, et vicariat de Retz.
Mais
Dieu, qui ne laisse jamais le crime impuni, suscite à Salomon une
foule d'affaires et d'épreuves qui servent à expier son péché et
à sanctifier son âme. Sans parler des guerres qu'il eût à
soutenir contre les Francs et contre les Normands, il doit s'occuper
des évêques injustement déposés, en 847, par Nominoé, et cette
épineuse affaire lui occasionne bien des correspondances et bien des
embarras, soit avec les évêques, soit avec le pape lui-même.
Sans
compter les pénitences que Salomon accomplit, pour se purifier de
plus en plus, multiplie les bonnes œuvres, bâtit le monastère de
Plélan ou de Saint-Maixent, et le comble de dons
magnifiques.
Cependant, une conspiration se trame aussi contre Salomon : La peine du Talion lui est réservée. Surpris par les conjurés et incapable de résister, il prend la fuite et se réfugie dans un petit monastère aux confins du Poher et du Léon, dans une paroisse appelée jadis Mezzer-Salün (« martyr de Salomon « ), et aujourd'hui « La Martyre » (Finistère).
Cependant, une conspiration se trame aussi contre Salomon : La peine du Talion lui est réservée. Surpris par les conjurés et incapable de résister, il prend la fuite et se réfugie dans un petit monastère aux confins du Poher et du Léon, dans une paroisse appelée jadis Mezzer-Salün (« martyr de Salomon « ), et aujourd'hui « La Martyre » (Finistère).
Il
est couronné roi de Bretagne en 857, après avoir assassiné son
cousin Erispoë, dont il n’approuve pas le rapprochement avec la
Francie Occidentale qui risque de lui faire perdre des terres au
profit de celui-ci. Erispoë projette en effet de marier sa fille
avec Louis le bègue, fils de Charles II le Chauve, et de la doter
d’une partie de la Neustrie devenue Bretonne en 851, à savoir les
comtés de Nantes et de Rennes et la vicariat de Retz... Terres
appartenant à Salomon.
Il
a pour frère Rivelen, comte de Cornouaille puis comte de Vannes. Il
est probable qu'il soit aussi le cousin germain d'Erispoë, fils de
Nominoë.
Compte-tenu
des différences de leur onomastique familiale respective, Erispoë
et Salomon seraient alliés par les femmes, l'épouse de Nominoë
étant peut-être la sœur de celle de Riwallon, faisant de ce
dernier le beau-frère de Nominoë. Les noms utilisés dans la
famille de Nominoë (Nominoë, Erispoë, Conan) sont en effet
totalement différents de ceux de la famille de Riwallon (Rivallon,
Salomon, Guégon), ce qui semble démontrer qu’ils appartiennent à
deux lignées agnatiques différentes.
En
août 867 le traité de Compiègne concède à Salomon le Cotentin,
l'Avranchin ainsi que les îles Anglo-Normandes. Le nouveau roi tient
avant tout à régner au nom de Dieu et de la religion, protégeant
églises et monastères et multipliant les fondations pieuses comme
le monastère Saint-Maxent à Maxent (Ille-et-Vilaine) près de
Plélan-le-Grand (au village du Gué une motte féodale porte le nom
de « Motte du roi Salomon » comme reste du château qu'il
y a occupé), Saint-Sauveur à Pléchatel, probablement Saint-Aubin à
Guérande, etc...
Et
multipliant les largesses en faveur d'autres monastères comme à
Redon, Saint-Méen, Paimpont ou des prieurés comme Saint-Pierre de
Plélan.
Il
replace à la tête de leurs évêchés, comme l'exigent les papes
Léon IV, Benoît III, Nicolas Ier, puis Adrien II depuis des années,
la plupart des évêques Bretons qui ont été déposés en 848 par
Nominoë. Salomon tente d'obtenir l'indépendance religieuse de la
Bretagne par rapport à l'archevêché de Tours, en essayant
d'obtenir du pape la constitution de l'évêché de Dol-de-
La
situation reste en suspens (Dol étant archevêché de facto), mais
Rome ne clarifie officiellement la situation qu'en 1076, où le
pallium est accordé à l'archevêque Even. Cependant, en 1199, le
pape Innocent III met fin à la polémique, en affirmant l'autorité
de Tours sur les évêchés Bretons
Après
avoir lutté une quinzaine d'années contre les Vikings lors des
invasions Normandes, il parvient à les expulser de Bretagne et aide
même Charles le Chauve à les chasser d'Angers. L'année suivante
Salomon, duc des Bretons, fait la paix avec les Normands habitant sur
la Loire et récolte avec ses Bretons, le vin des territoires qui lui
appartiennent au pays d’Angers. L'année suivante, il participe
avec son armée aux côtés de Charles le Chauve au siège de la
ville d'Angers, que les Vikings occupent après l'avoir dévastée. À
cette occasion, selon les annales de Saint-Bertin, favorables aux
Francs, son fils Wigon se recommande au roi et prête serment en
présence de ses fidèles.
À
la fin de son règne, il se retire dans un monastère, soit à La
Martyre, soit à Langoëlan, pour expier le meurtre d'Erispoë. C'est
là que son gendre Pascweten et le gendre d'Erispoë, Gurvant, ainsi
que son neveu Wigon, fils de Rivelin, le livrent aux Francs
« Fulcoald et d'autres », Salomon a été assassiné le
25 juin 874 dans l'église d'un lieu appelé aujourd'hui Ar Merzher
La Martyre, en souvenir de cet événement. « Salomon se
réfugie dans l'église d'un monastère où il est pris et traité
avec une sauvagerie inouïe... On lui arrache les yeux avec tant de
violence qu'il en meurt dans la nuit ». Sa mort le fait proclamer
martyr par le peuple et l’Église catholique romaine. Son corps est
inhumé dans le monastère de Plélan ou dans celui de Maxent,
conformément au désir qu'il a exprimé de reposer aux côtés de
son épouse, la reine Wenbrit. Plus tard, son corps est enlevé,
probablement lors d'une des invasions Normandes et transporté
jusqu'à Pithiviers, où une partie de ses reliques reposent dans
l'église Saint-Salomon et Saint-Grégoire. Cependant une autre
partie de ses reliques reste ou revient en Bretagne, l'église
Saint-Salomon de Vannes, détruite en 1793 pendant la révolution
française, possède quelques ossements du saint.
Salaün
épousa Wembrit, dont il eut une fille et deux fils attestés de son
vivant :
- Prostlon, épouse de Pascweten († avant 876).
- Riwallon († après 871).
- Wigon († vers 874).
Saint
Salomon est le patron de la ville de Pithiviers (Loiret) :
En
932, la dépouille de Saint Salomon, roi de Bretagne et martyr, est
déposée dans l'église Saint-Georges à Pithiviers.
Le
diocèse de Vannes l'honore traditionnellement d'une fête annuelle
chaque 25 juin. Une église Saint-Salomon existe à Vannes, détruite
en 1793. La rue Saint Salomon menait à une porte du même nom
Remparts de Vannes portes et tours.
Langoëlan
(Morbihan) : Une chapelle latérale de l'église paroissiale
Saint-Barnabé lui est consacrée.
Plouyé
(Finistère : La chapelle Saint-Salomon date du XVIIe siècle.
Traditionnellement son pardon est marqué par un culte très
particulier concernant les chevaux.
La
Martyre (Finistère) : Cette paroisse a été le théâtre, le
25 juin 874, de l'assassinat de Salomon, roi de Bretagne, à
l'endroit même où est placé aujourd'hui le maître-autel de
l'église paroissiale. L'église paroissiale Saint-Salomon possède
un reliquaire en argent, en forme de chapelle, du XVIe siècle,
dit de Saint Salomon (avec poinçon P. G. répété). L'église
possède aussi une statue de Saint Salomon.
Pascweten
(né vers 800 - mort en 877), est comte de Vannes, de Nantes et
prétendant au trône de Bretagne au IXe siècle.
Fils
d'un certain Ridoredh selon une généalogie tardive établie à
Saint Aubin d'Angers au XIe siècle, Pascweten est l’un des
prétendant qui se disputent le trône de Bretagne après la mort de
Salomon de Bretagne. Comte de Vannes, puis également de Nantes, il
base ses prétentions sur son mariage avec la fille du roi défunt,
Prostlon.
En
874, il conspire avec le comte de Rennes, Gurwant, pour assassiner le
roi. Leur alliance ne dure cependant que le temps de faire taire les
revendications des autres prétendants, notamment les comtes de Goëlo
et de Léon.
En
875, il attaque Rennes, la résidence principale de Gurwant mais
échoue en dépit de ce qui semble avoir été une importante
supériorité numérique. Il fait une nouvelle tentative en 876,
espérant tirer profit de la maladie de Gurwant. C'est à nouveau un
échec.
Il
meurt à la fin de 876 ou, plus vraisemblablement au début de 877,
empoisonné ou assassiné par ses alliés Normands... Son frère
Alain hérite des comtés de Vannes et de Nantes et devient roi de
Bretagne après la bataille de Questembert.
Gurwant
(ou Gurvan) est un comte Breton qui avec Pascweten contribue à la
mort de Salaün.
Gurwant
lui aussi prétendant de la couronne du duché de Bretagne après la
mort de Salomon. Bien qu'aucun document contemporain ne lui donne ce
titre il est désigné comme « comte de Rennes ».
Toutefois selon André Chédeville et Hubert Guillotel « il
n'est pas possible d'identifier avec certitude la région qu'il
contrôle, mais il parait vraisemblable que c'est la Bretagne du
nord ».
Selon
Dom Morice, il a épousé, la fille du roi Erispoë, et prétend à
ce titre succéder à Salomon.
En
874, il conspire avec le comte de Vannes, Pascweten et Wigon, fils de
Rivelin, un neveu du Salomon, pour assassiner le roi. Ils règnent
ensuite conjointement sur la Bretagne comme en témoignent plusieurs
chartes du Cartulaire de Redon : « Regnante Pascweten et
Worhwant Britanniam » (acte du 29 juin 875) et « Pacsuethen
et Gurwant ipsum Salomonem perimerunt...obtinuerunt et inter se
diviserunt »
Les
rebelles investissent sa retraite le 23 juin 874. Un reste de
religion les empêche de rien entreprendre contre lui le jour
suivant, fête de la nativité de Saint Jean Baptiste. Ils lui
envoient seulement un évêque pour l'engager à quitter son asile et
à se rendre volontairement pour éviter la profanation possible du
Lieu Saint. Salomon, résigné à tout, se munit du Sacrement de
l'Eucharistie et se présente devant ses ennemis avec un courage
magnanime. Les Bretons, frappés de respect, n'osent tirer l'épée
contre lui, et ils le livrent à Fulcoald, et à quelques autres
Francs qui lui font crever les yeux par son propre filleul.
Le vieux roi ne peut survivre à ce cruel supplice, il est trouvé mort le lendemain, 25 juin 874. C'est encore le jour où l’Église de Vannes honore sa mémoire.
Le vieux roi ne peut survivre à ce cruel supplice, il est trouvé mort le lendemain, 25 juin 874. C'est encore le jour où l’Église de Vannes honore sa mémoire.
En
875, Pascweten attaque Rennes, la résidence principale de Gurwant
mais échoue. Gurwant tombe malade en 876, ce qui incite Pascweten à
lancer une nouvelle attaque. Gurwant réussit à le repousser mais
meurt quelque temps plus tard.
Son
fils putatif Judicaël, qui lui a succédé comme comte de Rennes,
sera en lutte avec Alain le Grand, comte de Vannes, pour le trône de
Bretagne... Selon une hypothèse de Joëlle Quaghebeur
Oreguen/Aourken une sœur de Judicaël a épousé Alain le Grand,
comte de Vannes.
On
peut remarquer que, dès juin 877, dans le capitulaire de Quierzy,
Charles le Chauve, avant son départ pour l'Italie, évoque, entre
autres problèmes, l'accord d'Angers, mais pour le dénoncer sur le
plan institutionnel : « Pour ce qui est du titre de
royaume accordé aux Bretons par nécessité, et confirmé par
serment, nos fidèles sont dispensés de le reconnaître parce qu'il
n'y a plus de descendants de ceux auxquels il a été concédé. »
(c'est-à-dire à la famille de Nominoë).
Salomon
de Bretagne — Wikipédia
fr.wikipedia.org/wiki/Salomon_de_Bretagne
Salomon
(† 874), fils de Riwallon, comte du Poher, fut roi de Bretagne de
857 ... roi de Bretagne et le roi des Francs occidentaux restent
houleuses les années ...
Le
Roi Salaün | BREIZ ATAO – Journal de l'Etat National ...
breizatao.com/2013/05/03/le-roi-salaun/
3
mai 2013 - BREIZATAO – ISTOR BREIZH (03/05/2013) Salomon († 874),
fils de ... Salomon s'intitule alors « roi de la Bretagne et d'une
partie notable de la Gaule ». ... roi des Francs occidentaux restent
houleuses les années suivantes, ...
25
juin. Saint Salomon, roi et martyr en Bretagne. 874. : Vie ...
hodiemecum.hautetfort.com/.../25-saint-salomon-roi-et-martyr-en-bretag...
25
juin 2008 - Saint Salomon, roi et martyr en Bretagne. 874. Pape :
Jean VIII. ... Cette première satisfaction le rendit paisible
pendant quelques années.
Gurvant
- Encyclopédie de Brocéliande
broceliande.brecilien.org/Gurvant
31
mars 2014 - Salomon, roi de Bretagne, est assassiné en 874. ... Le 4
des calendes de juillet Salomon roi des bretons fut tué par les
siens, en l'année 874 .
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