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JANVIER 2015...
Cette
page concerne l'année 867 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
LE RÉVEIL DE LA CULTURE BYZANTINE APRÈS L'ICONOCLASME
Sainte
Cassienne de Constantinople en grec Κασσιανή (Kassiani,
Kassiane), en russe Кассия (Kassia, Cassia ou Casia), en latin
Cassiana (Kassiana), en d'autres langues Ikasia ou Eikasia. C'est une
higoumène (abbesse), une poétesse, une compositrice, une
hymnographe de l'Empire Byzantin et une Sainte, fêtée le 7
septembre.
Elle
naît entre 805 et 810 à Constantinople dans une famille riche et
passe pour avoir été exceptionnellement belle et intelligente. Elle
reçoit une brillante éducation à la cour. Son père a le titre de
candidatos à la Cour impériale, ce qui est un titre militaire
accordé aux membres de l'aristocratie. En raison de l'honneur rendu
à son père, on peut penser que Kassia et sa famille sont des
membres de la Cour impériale. Comme d'autres jeunes filles nobles de
la cour, Kassia, reçoit un enseignement privé marqué par l’étude
du grec classique, qui peut se remarquer dans ses vers et ses écrits.
Au
cours de ses années d'adolescence Kassia s'est impliquée dans la
controverse iconoclaste de l'Empire Byzantin.
Kassia,
avec d'autres femmes, membres du clergé et des moines, ont lutté
contre l'édit impérial interdisant l'utilisation des icônes dans
les églises.
En
raison de ses actions, Kassia a été persécutée et même fouettée
pour avoir aidé les moines iconodoules emprisonnés et exilés.
C'est
durant cette période que Kassia également subi l'influence de
Théodore Studite (759-826), abbé du monastère Studite de
Constantinople, qui est également un défenseur des icônes.
La
correspondance entre Kassia et Théodore Studite révèle son
inclination à devenir une religieuse, bien qu'il ait essayé de la
dissuader d'une telle décision si tôt dans sa vie.
Kassia
a également adressé des exemplaires de ses écrits à Théodore,
auxquels il a répondu par des compliments sur son talent littéraire.
Plusieurs
chroniqueurs Byzantins, dont Syméon Métaphraste, rapportent qu'elle
participe au concours de beauté organisé pour le jeune empereur
Théophile par sa belle-mère, l'impératrice, Euphrosyne. Frappé
par la beauté de Cassienne, l'empereur lui dit en se référant au
péché originel et à Ève :
« Εκ
γυναικός τα χείρω. » (De la femme, le pire)
À
quoi Cassienne répond en pensant au Christ né de la Vierge Marie :
« Kαι
εκ γυναικός τα κρείττω. » (Et de la femme,
le meilleur)
La
documentation concernant Kassia dans les chroniques byzantines et la
popularité qui a fait d'elle une légende dans le folklore byzantin
sont le résultat de sa participation au salon du mariage de
l'empereur Théophile, qui régna de 830 à 842.
Les
Salons des prétendantes, dans lesquels la future mariée est
sélectionnée à la manière grecque antique classique, par le don
d'une pomme d'or, sont très populaires à Byzance au cours des VIIIe
et IXe siècles, et ils ont également été en usage dans les
empires orientaux.
L'histoire
de la participation de la noble et belle femme au salon des
prétendantes au mariage avec l’empereur Théophile (vers 830) a
été rapportée à plusieurs reprises, et c’est la preuve de
l’authenticité des documents qui rapportent l'échange verbal
entre Kassia et l'empereur Théophile. Le plus ancien chroniqueur à
avoir relaté l'incident est Siméon Le Logothète du Xe siècle. La
description de l'incident qui suit a été écrit par l'historien
Edward Gibbon.
«
Une pomme d'or à la main, il [Theophilos] marche lentement entre
deux rangées de beautés en compétition, son regard fort attiré
par les charmes d’Icasia, et, dans la maladresse d'une première
déclaration, le prince ne peut qu’énoncer que dans ce monde, les
femmes ont causé beaucoup de mal [en référence à Eve, la première
femme créée]; « A coup sûr, Seigneur, répondit hardiment
Kassia : « Elles ont de même été l'occasion de beaucoup de bien
»[en référence à la Vierge Marie].
Cette
recherche d’un trait d’esprit hors saison déplut à l'impérial
amoureux, il se détourne avec dégoût; Icasia cache son chagrin
dans un couvent, et le silence modeste de Théodora est récompensé
par la pomme d'or. »
La
réponse pertinente et audacieuse de Kassia à Theophilos va à
l'encontre de la tradition Byzantine du silence et de l'obéissance à
la suprématie masculine... On disait volontiers aux femmes que « Le
silence est un ornement. » Kassia paie cher son audace et sa
vivacité d'esprit en perdant la possibilité de devenir impératrice.
Il
est ironique que le choix de Théophile, Théodora, soit après la
mort de son époux, l'impératrice qui a restauré les icônes, ce
qui porte le point final à la controverse iconoclaste... Blessé
dans sa fierté, l’empereur iconoclaste Théophile lui préfère
Théodora comme épouse. Ce choix satisfait Cassienne qui veut
devenir moniale.
Dans
la société Byzantine les femmes seules ne peuvent guère exister
librement et facilement, en conséquence, le bon choix pour les
femmes est soit le mariage soit le monastère. Puisque Kassia a perdu
ses seules chances de se marier et de devenir impératrice, elle
accepte la vie monastique.
En
843, elle fonde son propre monastère, sur la septième colline de
Constantinople, nommé après elle le Xerolophos, près du Mur
Constantinien.
Là,
elle passe le reste de sa vie en tant qu’higoumène, à composer de
la musique pour les offices de son monastère et à écrire des
versets liturgiques et profanes.
Elle
compose de nombreux hymnes et en particulier le « doxasticon
idiomèle » des apostiches, des matines du Mercredi Saint.
Selon une tradition, Théophile, en visite au monastère que dirige
Sainte Cassienne a composé le dernier vers de cet hymne.
Elle
est un des premiers compositeurs du moyen âge dont les partitions
ont été conservées et qui peuvent être interprétées par des
musiciens modernes. Une cinquantaine de ses hymnes ont été
conservés et 23 font partie des livres liturgiques de l'Église
Orthodoxe. Le nombre exact est difficile à donner car plusieurs
hymnes sont attribués à plusieurs auteurs ou sont anonymes.
En
outre, 789 de pièces en vers non liturgiques ont été conservées.
Beaucoup sont des maximes, comme :
« Je
hais le riche qui se plaint comme s'il était pauvre »
Elle
écrit de nombreux hymnes pour la liturgie, le plus fameux est
surnommé l'Hymne de Cassienne. Il est inspiré du passage de
l'Évangile selon Saint Luc (7 : 36-50), racontant le geste
d'amour de la pécheresse pardonnée. Cette hymne est chanté dans
les églises de rite Byzantin aux matines du Mercredi Saint qui se
célèbrent la veille, dans la soirée du mardi.
La
légende dit que l'empereur Théophile, encore amoureux d'elle,
voulant la voir encore une fois avant de mourir, se rend au
monastère. Cassienne était en train d'écrire son hymne quand elle
est avertie que l'empereur arrive.
Encore
amoureuse de lui mais consacrée à Dieu, elle se retire en laissant
son travail. Théophile le trouve et y ajoute la ligne
« ces
pieds dont Ève entendit le son au crépuscule au Paradis et qui se
cache par crainte ».
Cassienne
sort de sa cachette après le départ de l'empereur et termine
l'hymne :
Percevant
Ta divinité, ô Seigneur, une femme aux nombreux péchés,
décida
de devenir porteuse de myrrhe,
en
larmes elle T'apporta les huiles parfumées
anticipant
ta sépulture. Criant :
« Malheur
à moi ! car la nuit est pour moi une frénésie de luxure,
un
amour sombre et sans lune de péché.
Reçois
le flot de mes larmes,
Toi
qui rassembles les eaux des océans dans les nuages.
Penche-Toi
sur les soupirs de mon cœur,
Toi
qui courbes les cieux dans Ton ineffable incarnation.
J'embrasserai
Tes pieds immaculés
et
les essuierai avec les cheveux de ma tête ;
ces
pieds dont Ève entendit le son au crépuscule au paradis
et
qui se cacha par crainte.
Qui
peut compter la multitude de mes péchés,
et
les abîmes de Ton jugement, ô Sauveur de mon âme ?
N'ignore
pas Ta servante,
La
plus éminente compositrice et hymnographe dans l'histoire de la
musique Byzantine et qui a surpassé la renommée des autres femmes
compositeurs de l'Empire est Kassia. Kassia a le privilège d'être
la première compositrice dont on a conservé la musique ! Elle
précède ses homologues musiciennes occidentales de plus de 2
siècles.
Plus
de 50 chants liturgiques sont attribués à Kassia. (Ces compositions
musicales ont été transcrites en notation occidentale et sont
disponibles aux éditions Hildegard Press.)
Poétesse
douée, Kassia a écrit 261 versets laïques dans les formes
d'épigrammes, de versets gnomiques, et sentences morales. La
renommée de Kassia et son importance sont citées par Nicéphore
Kallistos Xanthopoulos (Hymnographe et prêtre de l'église de
Sainte-Sophie à Constantinople) dans son catalogue des hymnographes
Byzantins importants du XIVe siècle, où elle est la seule femme
compositeur reconnue.
Kassia
est la seule femme représentée dans le frontispice d'un Triodion,
ensemble des livres liturgiques du Carême, imprimé à Venise en
1601, qui comprend également des portraits des principaux
hymnographes des églises Byzantines.
Kassia
est contemporaine des plus grands :
Théodore
Studite, Joseph de Thessalonique, Saint Théophane.
Ses
compositions n’ont pas été reconnues jusqu'à une époque
récente. En outre à la composition de musique pour sa poésie
liturgique propre, Kassia a également composé la musique pour la
poésie et la prose de Byzantios, Georgios, Kyprianos, et Marcos
Monachos.
La
plupart des compositions liturgiques de Kassia sont des stichères
exécutés pour les Offices du matin et du soir tout au long de
l'année liturgique. Bien que toutes les compositions de Kassia
soient écrites selon la monodie conforme à la pratique de la
musique liturgique byzantine médiévale, elles sont généralement
chantés par 2 chœurs, l'un chantant la mélodie notée, l'autre
fournissant un son improvisé non écrit appelé isokratema.
La
plus célèbre composition musicale de Kassia qui est encore en usage
aujourd'hui est son tropaire
« La Femme Perdue » chanté aux Laudes du Mercredi Saint, mais techniquement célébrée à la fin de l'office des Vêpres du Mardi Saint.
« La Femme Perdue » chanté aux Laudes du Mercredi Saint, mais techniquement célébrée à la fin de l'office des Vêpres du Mardi Saint.
Cette
hymne parle de Marie-Madeleine, une « femme perdue », qui
a lavé les pieds du Christ, les a oints, et les a essuyés avec ses
cheveux longs (Saint Luc 7:36-50). L'hymne est également considérée
comme étant en partie autobiographique.
L’empereur
Theophilos regrette sa décision de ne pas avoir choisi Kassia comme
épouse, et il a tenté de la rencontrer pour exprimer sa douleur et
son amour... Kassia a tout fait pour l’éviter, pourtant elle sent
qu'elle est revenue à son amour et qu’elle est devenue une « femme
perdue ».
La
littérature Byzantine peut être définie comme l’ensemble des
ouvrages écrits en langue grecque dans l’Empire romain d’Orient,
entre 330 et 1453 ap. J.-C. Basée sur l’héritage politique de
Rome, elle est influencée tant par les héritages grec et chrétien
que par le contexte culturel du Proche-Orient.
On
peut y distinguer 5 grandes périodes :
Celle
de la tradition antique (IVe -début du VIIe siècle) qui est
suivie d’une période d’absence relative (VIIe – VIIIe siècle)
un renouveau aux IXe et Xe siècles suivi d’une période que
l’on a appelée « pré-Renaissance »
(XIe XIIIe siècle) et d’une période finale (XIIIe
et XVe siècles).
Plusieurs
classifications ont été proposées pour les genres littéraires qui
la composent. Nous retiendrons ici la rhétorique, l’histoire,
l’hagiographie, les récits apocryphes, le roman, les
encyclopédistes et essayistes ainsi que la poésie.
Longtemps
dédaignée comme « sous-produit » de la culture grecque
antique, la littérature byzantine est de nos jours étudiée en
elle-même et permet, dans ses multiples facettes, de mieux
comprendre l’originalité de la civilisation Byzantine et des
différents peuples qui gravitent autour d’elle.
Le
concept de « littérature » n’existe pas à Byzance. Le
concept qui s’en rapproche le plus est celui de « logoi »,
incluant l’ensemble des textes « écrits avec style »,
qu’ils soient de nature juridique, historique, rhétorique,
romanesque, hagiographique, etc...
Elle
se prête dès lors mal à une classification précise, que ce soit
en termes de temps (grandes périodes historiques) ou de genres.
De
plus, à une époque où les livres sont rares et chers, cette
littérature est davantage faite pour être déclamée que pour être
lue.
La
« publication » d’un livre consiste souvent en sa
lecture publique dans divers cercles de lettrés, d’où
l’importance primordiale de la rhétorique ou art de faire de beaux
discours et des genres qui y sont rattachée.
De
plus, les règles strictes qu’impose la rhétorique, que ce soit
quant au fond ou à la forme, rendent moins nette qu’elle ne l’est
aujourd’hui la distinction entre prose et poésie.
Contrairement
aux mœurs existant en Occident à la même époque, l’instruction
est très répandue à Byzance et il est possible à des gens de
condition modeste de faire donner une bonne éducation à leurs
enfants, clé d’une carrière bien rémunérée dans
l’administration ou l’armée...
La
dernière influence est celle de l’Orient, en particulier de l'Asie
mineure. Simple général d’armée (imperator) à Rome, voilant son
omnipotence sous le titre ambigu d’ « Auguste », qui a
une connotation davantage religieuse que politique, l’empereur se
transforme progressivement en monarque oriental et prend le titre
d’autokrator. Encore plus que sur le plan politique, l’Asie
mineure exerce une influence sur la religion. L’Égypte ptolémaïque
et la Syrie Séleucide seront les berceaux de l’Église Grecque
Orientale et Antioche joue un rôle considérable dans le
développement de la littérature religieuse sous la conduite de Jean
Chrysostome et de ses disciples.
Succède
à cette riche période, une autre relativement sombre où seuls
quelques théologiens demeurent actifs (Maxime le Confesseur et
Germanos I à Constantinople, Jean Damascène en Syrie).
C’est
une époque troublée tant sur le plan intérieur (succession de
plusieurs empereurs) qu’extérieur (invasions), où la vie urbaine
et l’éducation déclinent et avec elles l’utilisation de la
langue et du style classiques. C’est aussi la période de
l’iconoclasme où de nombreuses œuvres artistiques et littéraires
sont détruites... La plupart des écrivains de la dynastie
d’Héraclius viennent des provinces d’Orient dont certaines sont
déjà sous contrôle musulman. Au sein de l’empire, c’est la
période de l’iconoclasme qui produit une littérature religieuse
abondante, mais dont seuls nous sont parvenus les textes des auteurs
opposés à ce mouvement.
La
période produit peu de véritables historiens, mais plusieurs
chroniqueurs qui nous permettent de bien comprendre la période.
- Quelques auteurs
- Georges de Pisidie. « Poésie profane ».
- Jean d’Antioche (chroniqueur). On semble confondre sous ce nom deux auteurs, l’un ayant vécu au VIIe siècle qui a écrit une Histoire du monde allant d’Adam à 610, l’autre ayant vécu au Xe siècle.
- Maxime le Confesseur. Né 580, mort en 662. Moine et théologien. Il est asekretis (secrétaire impérial) à la cour d’Héraclius. Il défend l’orthodoxie lors de la querelle du monothéisme et est accusé par Constance II de trahison. Auteur religieux prolifique, influencé par les « Pères de Cappadoce » il est le véritable créateur du mysticisme byzantin.
- Sophrone de Jérusalem. « Hagiographie ».
- André de Crète (hymnographe). Né vers 660, mort vraisemblablement en 740. Natif de Damas, il vécut en Syrie et en Palestine après la conquête par les Arabes avant de devenir évêque de Crête. Il compose de nombreux hymnes religieux dont le Grand Canon, encore lu dans les églises orthodoxes durant le carême. Il est considéré comme le créateur de ce genre qui remplace le kontakion « Poésie religieuse ».
- Nicéphore Ier de Constantinople. Né vers 758, mort en 828. Théologien et historien. Il écrit plusieurs livres pour défendre les icônes. Son Historia Syntomos (Breviarum) décrit les événements de 602 à 769, son Chronographikon constitue une liste des souverains depuis la création du monde.
Sur
le plan littéraire, ce que l’on a appelé la « renaissance
Macédonienne » se distingue moins par sa créativité que par
sa volonté de rassembler, de copier et de structurer la culture
Hellénico-Chrétienne de l’antiquité tardive. À cette fin, on
compile et on structure ce qui s’est déjà fait.
C'est
l’époque des manuels, que ce soit :
De
la hiérarchie bureaucratique (taktika), de la stratégie
Des
tactiques militaires (strategika),
Du
droit romain (basilika)
Des
règles à suivre par les corporations de la capitale (Le livre de
l’éparque).
Constantin
VII Porphyrogénète et sa cour donnent le ton avec des traités
comme le De thematibus, le De administrando imperio et le De
ceremoniis.
Le
IXe siècle est dominé par des moines et des ecclésiastiques
comme Théophane le Confesseur, Théodore le Studite et Georges
Hamartolos.
Ils
sont remplacés au siècle suivant par des fonctionnaires civils et
ecclésiastiques qui assemblent et publient les textes des vieux
maîtres comme Platon, Homère et Aristote.
Aux
héros excentriques des siècles précédents s’ajoutent des
personnages plus réels comme Philaretos le généreux, riche
aristocrate qui donne presque toute sa fortune aux pauvres ou des
moines et religieuses se soumettant avec obéissance à la discipline
monastique comme Théodora de Thessalonique ou Irène de
Chrysobalanton.
La
seule véritable nouveauté est le remplacement de l’écriture
onciale, basée sur la majuscule et l’ancienne cursive romaine
utilisée du IIIe au VIIIe siècle par la minuscule caroline.
Toutefois, la langue populaire demeure proscrite et de nombreuses
vies de saints sont réécrites dans un langage aussi archaïsant que
pompeux.
Chants
sacrés orthodoxes: COMPOSITRICES BYZANTINES ...
chants-orthodoxes.blogspot.com/.../compositrices-byzantines-4-partie.ht...
30
mars 2010 - COMPOSITRICES BYZANTINES (4° partie) : CASSIENNE
(Kassia) ... qui est née vers l'an 810, probablement à
Constantinople, et est morte entre 843 et 867. ... Kassia était
issue d'une famille aisée de Constantinople. ... Au cours de ses
années d'adolescence Kassia s'est impliquée dans la controverse ...
Cassienne
de Constantinople — Wikipédia
fr.wikipedia.org/wiki/Cassienne_de_Constantinople
Sainte
Cassienne de Constantinople (°vers 805-vers 865), en grec Κασσιανή
(Kassiani, Kassiane), en russe Кассия (Kassia, Cassia ou
Casia), en latin ...
Termes
manquants : année 867
Littérature
byzantine — Wikipédia
fr.wikipedia.org/wiki/Littérature_byzantine
Lorsque
fut fondée Constantinople, plusieurs genres qu'avait connus la ....
Cassienne de Constantinople. Née entre 800 et 810, morte entre 843
et 867. ..... Dans les années 1326/1327 il entra en conflit avec un
moine italien, Barlaam le ...
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