lundi 12 janvier 2015

EN REMONTANT LE TEMPS... 867

2 JANVIER 2015...

Cette page concerne l'année 867 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !

LE RÉVEIL DE LA CULTURE BYZANTINE APRÈS L'ICONOCLASME


Sainte Cassienne de Constantinople en grec Κασσιανή (Kassiani, Kassiane), en russe Кассия (Kassia, Cassia ou Casia), en latin Cassiana (Kassiana), en d'autres langues Ikasia ou Eikasia. C'est une higoumène (abbesse), une poétesse, une compositrice, une hymnographe de l'Empire Byzantin et une Sainte, fêtée le 7 septembre.

Elle naît entre 805 et 810 à Constantinople dans une famille riche et passe pour avoir été exceptionnellement belle et intelligente. Elle reçoit une brillante éducation à la cour. Son père a le titre de candidatos à la Cour impériale, ce qui est un titre militaire accordé aux membres de l'aristocratie. En raison de l'honneur rendu à son père, on peut penser que Kassia et sa famille sont des membres de la Cour impériale. Comme d'autres jeunes filles nobles de la cour, Kassia, reçoit un enseignement privé marqué par l’étude du grec classique, qui peut se remarquer dans ses vers et ses écrits.
Au cours de ses années d'adolescence Kassia s'est impliquée dans la controverse iconoclaste de l'Empire Byzantin.
Kassia, avec d'autres femmes, membres du clergé et des moines, ont lutté contre l'édit impérial interdisant l'utilisation des icônes dans les églises.
En raison de ses actions, Kassia a été persécutée et même fouettée pour avoir aidé les moines iconodoules emprisonnés et exilés.
C'est durant cette période que Kassia également subi l'influence de Théodore Studite (759-826), abbé du monastère Studite de Constantinople, qui est également un défenseur des icônes.
La correspondance entre Kassia et Théodore Studite révèle son inclination à devenir une religieuse, bien qu'il ait essayé de la dissuader d'une telle décision si tôt dans sa vie.
Kassia a également adressé des exemplaires de ses écrits à Théodore, auxquels il a répondu par des compliments sur son talent littéraire.


Plusieurs chroniqueurs Byzantins, dont Syméon Métaphraste, rapportent qu'elle participe au concours de beauté organisé pour le jeune empereur Théophile par sa belle-mère, l'impératrice, Euphrosyne. Frappé par la beauté de Cassienne, l'empereur lui dit en se référant au péché originel et à Ève :
« Εκ γυναικός τα χείρω. » (De la femme, le pire)

À quoi Cassienne répond en pensant au Christ né de la Vierge Marie :
« Kαι εκ γυναικός τα κρείττω. » (Et de la femme, le meilleur)


La documentation concernant Kassia dans les chroniques byzantines et la popularité qui a fait d'elle une légende dans le folklore byzantin sont le résultat de sa participation au salon du mariage de l'empereur Théophile, qui régna de 830 à 842.
Les Salons des prétendantes, dans lesquels la future mariée est sélectionnée à la manière grecque antique classique, par le don d'une pomme d'or, sont très populaires à Byzance au cours des VIIIe et IXe siècles, et ils ont également été en usage dans les empires orientaux.
L'histoire de la participation de la noble et belle femme au salon des prétendantes au mariage avec l’empereur Théophile (vers 830) a été rapportée à plusieurs reprises, et c’est la preuve de l’authenticité des documents qui rapportent l'échange verbal entre Kassia et l'empereur Théophile. Le plus ancien chroniqueur à avoir relaté l'incident est Siméon Le Logothète du Xe siècle. La description de l'incident qui suit a été écrit par l'historien Edward Gibbon.
« Une pomme d'or à la main, il [Theophilos] marche lentement entre deux rangées de beautés en compétition, son regard fort attiré par les charmes d’Icasia, et, dans la maladresse d'une première déclaration, le prince ne peut qu’énoncer que dans ce monde, les femmes ont causé beaucoup de mal [en référence à Eve, la première femme créée]; « A coup sûr, Seigneur, répondit hardiment Kassia : « Elles ont de même été l'occasion de beaucoup de bien »[en référence à la Vierge Marie].
Cette recherche d’un trait d’esprit hors saison déplut à l'impérial amoureux, il se détourne avec dégoût; Icasia cache son chagrin dans un couvent, et le silence modeste de Théodora est récompensé par la pomme d'or. »

La réponse pertinente et audacieuse de Kassia à Theophilos va à l'encontre de la tradition Byzantine du silence et de l'obéissance à la suprématie masculine... On disait volontiers aux femmes que « Le silence est un ornement. » Kassia paie cher son audace et sa vivacité d'esprit en perdant la possibilité de devenir impératrice.
Il est ironique que le choix de Théophile, Théodora, soit après la mort de son époux, l'impératrice qui a restauré les icônes, ce qui porte le point final à la controverse iconoclaste... Blessé dans sa fierté, l’empereur iconoclaste Théophile lui préfère Théodora comme épouse. Ce choix satisfait Cassienne qui veut devenir moniale.

Dans la société Byzantine les femmes seules ne peuvent guère exister librement et facilement, en conséquence, le bon choix pour les femmes est soit le mariage soit le monastère. Puisque Kassia a perdu ses seules chances de se marier et de devenir impératrice, elle accepte la vie monastique.

En 843, elle fonde son propre monastère, sur la septième colline de Constantinople, nommé après elle le Xerolophos, près du Mur Constantinien.
Là, elle passe le reste de sa vie en tant qu’higoumène, à composer de la musique pour les offices de son monastère et à écrire des versets liturgiques et profanes.

Elle compose de nombreux hymnes et en particulier le « doxasticon idiomèle » des apostiches, des matines du Mercredi Saint. Selon une tradition, Théophile, en visite au monastère que dirige Sainte Cassienne a composé le dernier vers de cet hymne.
Son œuvre hymnographique
Elle est un des premiers compositeurs du moyen âge dont les partitions ont été conservées et qui peuvent être interprétées par des musiciens modernes. Une cinquantaine de ses hymnes ont été conservés et 23 font partie des livres liturgiques de l'Église Orthodoxe. Le nombre exact est difficile à donner car plusieurs hymnes sont attribués à plusieurs auteurs ou sont anonymes.

En outre, 789 de pièces en vers non liturgiques ont été conservées. Beaucoup sont des maximes, comme :

« Je hais le riche qui se plaint comme s'il était pauvre »

Elle écrit de nombreux hymnes pour la liturgie, le plus fameux est surnommé l'Hymne de Cassienne. Il est inspiré du passage de l'Évangile selon Saint Luc (7 : 36-50), racontant le geste d'amour de la pécheresse pardonnée. Cette hymne est chanté dans les églises de rite Byzantin aux matines du Mercredi Saint qui se célèbrent la veille, dans la soirée du mardi.

La légende dit que l'empereur Théophile, encore amoureux d'elle, voulant la voir encore une fois avant de mourir, se rend au monastère. Cassienne était en train d'écrire son hymne quand elle est avertie que l'empereur arrive.
Encore amoureuse de lui mais consacrée à Dieu, elle se retire en laissant son travail. Théophile le trouve et y ajoute la ligne
« ces pieds dont Ève entendit le son au crépuscule au Paradis et qui se cache par crainte ».

Cassienne sort de sa cachette après le départ de l'empereur et termine l'hymne :
Percevant Ta divinité, ô Seigneur, une femme aux nombreux péchés,
décida de devenir porteuse de myrrhe,
en larmes elle T'apporta les huiles parfumées
anticipant ta sépulture. Criant :
« Malheur à moi ! car la nuit est pour moi une frénésie de luxure,
un amour sombre et sans lune de péché.
Reçois le flot de mes larmes,
Toi qui rassembles les eaux des océans dans les nuages.
Penche-Toi sur les soupirs de mon cœur,
Toi qui courbes les cieux dans Ton ineffable incarnation.
J'embrasserai Tes pieds immaculés
et les essuierai avec les cheveux de ma tête ;
ces pieds dont Ève entendit le son au crépuscule au paradis
et qui se cacha par crainte.
Qui peut compter la multitude de mes péchés,
et les abîmes de Ton jugement, ô Sauveur de mon âme ?
N'ignore pas Ta servante,
ô Toi dont la miséricorde est infinie. »
La plus éminente compositrice et hymnographe dans l'histoire de la musique Byzantine et qui a surpassé la renommée des autres femmes compositeurs de l'Empire est Kassia. Kassia a le privilège d'être la première compositrice dont on a conservé la musique ! Elle précède ses homologues musiciennes occidentales de plus de 2 siècles.

Plus de 50 chants liturgiques sont attribués à Kassia. (Ces compositions musicales ont été transcrites en notation occidentale et sont disponibles aux éditions Hildegard Press.)
Poétesse douée, Kassia a écrit 261 versets laïques dans les formes d'épigrammes, de versets gnomiques, et sentences morales. La renommée de Kassia et son importance sont citées par Nicéphore Kallistos Xanthopoulos (Hymnographe et prêtre de l'église de Sainte-Sophie à Constantinople) dans son catalogue des hymnographes Byzantins importants du XIVe siècle, où elle est la seule femme compositeur reconnue.

Kassia est la seule femme représentée dans le frontispice d'un Triodion, ensemble des livres liturgiques du Carême, imprimé à Venise en 1601, qui comprend également des portraits des principaux hymnographes des églises Byzantines.

Kassia est contemporaine des plus grands :
Théodore Studite, Joseph de Thessalonique, Saint Théophane.
Ses compositions n’ont pas été reconnues jusqu'à une époque récente. En outre à la composition de musique pour sa poésie liturgique propre, Kassia a également composé la musique pour la poésie et la prose de Byzantios, Georgios, Kyprianos, et Marcos Monachos.

La plupart des compositions liturgiques de Kassia sont des stichères exécutés pour les Offices du matin et du soir tout au long de l'année liturgique. Bien que toutes les compositions de Kassia soient écrites selon la monodie conforme à la pratique de la musique liturgique byzantine médiévale, elles sont généralement chantés par 2 chœurs, l'un chantant la mélodie notée, l'autre fournissant un son improvisé non écrit appelé isokratema.

La plus célèbre composition musicale de Kassia qui est encore en usage aujourd'hui est son tropaire
« La Femme Perdue » chanté aux Laudes du Mercredi Saint, mais techniquement célébrée à la fin de l'office des Vêpres du Mardi Saint.
Cette hymne parle de Marie-Madeleine, une « femme perdue », qui a lavé les pieds du Christ, les a oints, et les a essuyés avec ses cheveux longs (Saint Luc 7:36-50). L'hymne est également considérée comme étant en partie autobiographique.
L’empereur Theophilos regrette sa décision de ne pas avoir choisi Kassia comme épouse, et il a tenté de la rencontrer pour exprimer sa douleur et son amour... Kassia a tout fait pour l’éviter, pourtant elle sent qu'elle est revenue à son amour et qu’elle est devenue une « femme perdue ».

La littérature Byzantine peut être définie comme l’ensemble des ouvrages écrits en langue grecque dans l’Empire romain d’Orient, entre 330 et 1453 ap. J.-C. Basée sur l’héritage politique de Rome, elle est influencée tant par les héritages grec et chrétien que par le contexte culturel du Proche-Orient.

On peut y distinguer 5 grandes périodes :
Celle de la tradition antique (IVe -début du VIIe siècle) qui est suivie d’une période d’absence relative (VIIe – VIIIe siècle) un renouveau aux IXe et Xe siècles suivi d’une période que l’on a appelée « pré-Renaissance » (XIe   XIIIe siècle) et d’une période finale (XIIIe et XVe siècles).

Plusieurs classifications ont été proposées pour les genres littéraires qui la composent. Nous retiendrons ici la rhétorique, l’histoire, l’hagiographie, les récits apocryphes, le roman, les encyclopédistes et essayistes ainsi que la poésie.
Longtemps dédaignée comme « sous-produit » de la culture grecque antique, la littérature byzantine est de nos jours étudiée en elle-même et permet, dans ses multiples facettes, de mieux comprendre l’originalité de la civilisation Byzantine et des différents peuples qui gravitent autour d’elle.

Le concept de « littérature » n’existe pas à Byzance. Le concept qui s’en rapproche le plus est celui de « logoi », incluant l’ensemble des textes « écrits avec style », qu’ils soient de nature juridique, historique, rhétorique, romanesque, hagiographique, etc...
Elle se prête dès lors mal à une classification précise, que ce soit en termes de temps (grandes périodes historiques) ou de genres.
De plus, à une époque où les livres sont rares et chers, cette littérature est davantage faite pour être déclamée que pour être lue.
La « publication » d’un livre consiste souvent en sa lecture publique dans divers cercles de lettrés, d’où l’importance primordiale de la rhétorique ou art de faire de beaux discours et des genres qui y sont rattachée.
De plus, les règles strictes qu’impose la rhétorique, que ce soit quant au fond ou à la forme, rendent moins nette qu’elle ne l’est aujourd’hui la distinction entre prose et poésie.

Contrairement aux mœurs existant en Occident à la même époque, l’instruction est très répandue à Byzance et il est possible à des gens de condition modeste de faire donner une bonne éducation à leurs enfants, clé d’une carrière bien rémunérée dans l’administration ou l’armée...

La dernière influence est celle de l’Orient, en particulier de l'Asie mineure. Simple général d’armée (imperator) à Rome, voilant son omnipotence sous le titre ambigu d’ « Auguste », qui a une connotation davantage religieuse que politique, l’empereur se transforme progressivement en monarque oriental et prend le titre d’autokrator. Encore plus que sur le plan politique, l’Asie mineure exerce une influence sur la religion. L’Égypte ptolémaïque et la Syrie Séleucide seront les berceaux de l’Église Grecque Orientale et Antioche joue un rôle considérable dans le développement de la littérature religieuse sous la conduite de Jean Chrysostome et de ses disciples.

Période sombre (VIIe et VIIIe siècles)
Succède à cette riche période, une autre relativement sombre où seuls quelques théologiens demeurent actifs (Maxime le Confesseur et Germanos I à Constantinople, Jean Damascène en Syrie).
C’est une époque troublée tant sur le plan intérieur (succession de plusieurs empereurs) qu’extérieur (invasions), où la vie urbaine et l’éducation déclinent et avec elles l’utilisation de la langue et du style classiques. C’est aussi la période de l’iconoclasme où de nombreuses œuvres artistiques et littéraires sont détruites... La plupart des écrivains de la dynastie d’Héraclius viennent des provinces d’Orient dont certaines sont déjà sous contrôle musulman. Au sein de l’empire, c’est la période de l’iconoclasme qui produit une littérature religieuse abondante, mais dont seuls nous sont parvenus les textes des auteurs opposés à ce mouvement.
La période produit peu de véritables historiens, mais plusieurs chroniqueurs qui nous permettent de bien comprendre la période.
  • Quelques auteurs
  • Georges de Pisidie. « Poésie profane ».
  • Jean d’Antioche (chroniqueur). On semble confondre sous ce nom deux auteurs, l’un ayant vécu au VIIe siècle qui a écrit une Histoire du monde allant d’Adam à 610, l’autre ayant vécu au Xe siècle.
  • Il est pratiquement impossible de départager les textes appartenant à l’un et à l’autre.
  • Maxime le Confesseur. Né 580, mort en 662. Moine et théologien. Il est asekretis (secrétaire impérial) à la cour d’Héraclius. Il défend l’orthodoxie lors de la querelle du monothéisme et est accusé par Constance II de trahison. Auteur religieux prolifique, influencé par les « Pères de Cappadoce » il est le véritable créateur du mysticisme byzantin.
  • Sophrone de Jérusalem. « Hagiographie ».
  • André de Crète (hymnographe). Né vers 660, mort vraisemblablement en 740. Natif de Damas, il vécut en Syrie et en Palestine après la conquête par les Arabes avant de devenir évêque de Crête. Il compose de nombreux hymnes religieux dont le Grand Canon, encore lu dans les églises orthodoxes durant le carême. Il est considéré comme le créateur de ce genre qui remplace le kontakion « Poésie religieuse ».
  • Nicéphore Ier de Constantinople. Né vers 758, mort en 828. Théologien et historien. Il écrit plusieurs livres pour défendre les icônes. Son Historia Syntomos (Breviarum) décrit les événements de 602 à 769, son Chronographikon constitue une liste des souverains depuis la création du monde.

Renouveau littéraire (IXe et Xe siècles)
Sur le plan littéraire, ce que l’on a appelé la « renaissance Macédonienne » se distingue moins par sa créativité que par sa volonté de rassembler, de copier et de structurer la culture Hellénico-Chrétienne de l’antiquité tardive. À cette fin, on compile et on structure ce qui s’est déjà fait.
C'est l’époque des manuels, que ce soit :
De la hiérarchie bureaucratique (taktika), de la stratégie
Des tactiques militaires (strategika),
Du droit romain (basilika)
Des règles à suivre par les corporations de la capitale (Le livre de l’éparque).

Constantin VII Porphyrogénète et sa cour donnent le ton avec des traités comme le De thematibus, le De administrando imperio et le De ceremoniis.

Le IXe siècle est dominé par des moines et des ecclésiastiques comme Théophane le Confesseur, Théodore le Studite et Georges Hamartolos.
Ils sont remplacés au siècle suivant par des fonctionnaires civils et ecclésiastiques qui assemblent et publient les textes des vieux maîtres comme Platon, Homère et Aristote.

Aux héros excentriques des siècles précédents s’ajoutent des personnages plus réels comme Philaretos le généreux, riche aristocrate qui donne presque toute sa fortune aux pauvres ou des moines et religieuses se soumettant avec obéissance à la discipline monastique comme Théodora de Thessalonique ou Irène de Chrysobalanton.
La seule véritable nouveauté est le remplacement de l’écriture onciale, basée sur la majuscule et l’ancienne cursive romaine utilisée du IIIe au VIIIe siècle par la minuscule caroline. Toutefois, la langue populaire demeure proscrite et de nombreuses vies de saints sont réécrites dans un langage aussi archaïsant que pompeux.

Chants sacrés orthodoxes: COMPOSITRICES BYZANTINES ...
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30 mars 2010 - COMPOSITRICES BYZANTINES (4° partie) : CASSIENNE (Kassia) ... qui est née vers l'an 810, probablement à Constantinople, et est morte entre 843 et 867. ... Kassia était issue d'une famille aisée de Constantinople. ... Au cours de ses années d'adolescence Kassia s'est impliquée dans la controverse ...

Cassienne de Constantinople — Wikipédia
fr.wikipedia.org/wiki/Cassienne_de_Constantinople
Sainte Cassienne de Constantinople (°vers 805-vers 865), en grec Κασσιανή (Kassiani, Kassiane), en russe Кассия (Kassia, Cassia ou Casia), en latin ...
Termes manquants : année ‎867
Littérature byzantine — Wikipédia
fr.wikipedia.org/wiki/Littérature_byzantine
Lorsque fut fondée Constantinople, plusieurs genres qu'avait connus la .... Cassienne de Constantinople. Née entre 800 et 810, morte entre 843 et 867. ..... Dans les années 1326/1327 il entra en conflit avec un moine italien, Barlaam le ...


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