jeudi 22 janvier 2015

EN REMONTANT LE TEMPS... 852

17 JANVIER 2015...

Cette page concerne l'année 852 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !

L’ARMÉNIE DISPUTÉE ET DÉPOUILLÉE PAR SES VOISINS


LE MONT ARARAT

La famille Bagratouni est à l'origine de la dynastie bagratide fondée au IXe siècle en Arménie et en Géorgie.
Selon Movsēs Xorenats’i, les Bagratouni descendent d'une famille juive, voire du roi David. Il tente de démontrer que les prénoms bagratides sont d'origine juive, mais il s'avère que son analyse repose sur des noms inventés ou d'étymologie fantaisiste...

Cyrille Toumanoff propose l'hypothèse de descendants des Orontides, thèse qui, sans être impossible, demeure incertaine. Quand il relate la conquête des territoires séleucides par le roi d'Arménie Tigrane II, Il mentionne un général Arménien du nom de Bagadatès, dont l'appartenance à la famille est discutée.

Movsēs Xorenats’i mentionne également les hauts faits au IIe siècle d'un Trdat Bagratouni. Même si le récit tient plus du roman que de la vérité historique, il est possible que Trdat ait réellement existé.

Selon René Grousset, ils semblent en réalité d'antique race haïkane. Leurs chefs ont les titres héréditaires de thagadir ou « pose-couronne » (dignitaire qui pose la couronne sur la tête du nouveau roi lors d'un sacre) jusqu'en 428 et d'aspet ou chef de la cavalerie à la cour des rois Arsacides d'Arménie.

Le Byzantin Procope de Césarée mentionne dans ses écrits vers 535 une famille Arménienne du nom d'Aspetianoi, qui pourrait être celle des Bagratides (Procope aurait confondu le nom de la famille avec son titre héréditaire d'aspet).

842-876: Bagrat Ier, duc de Tao inférieur.
Bagrat Ier d'Ibérie (en géorgien ბაგრატ I, né vers 822, mort en 876) est un duc de Tao Inférieur et un prince-primat d'Ibérie de la famille des Bagratides.
Second fils d'Achot Ier d'Ibérie, il reçoit lors du partage du patrimoine paternel le Tao Inférieur où il règne de 830 à sa mort. Il est refoulé jusque dans les montagnes du Klardjeth par les émirs de Tiflis Alî ibn Chouaïb (830-833) et Ishâq ibn-Ismâil (833-853) auxquels il doit payer tribut...

Toutefois Bagrat comme son père porte le titre de curopalate et est également considéré comme un vassal par l'Empire Byzantin. Il met à profit une offensive des forces de l'empereur Théophile en Arménie et en Géorgie en 837 pour tenter de se rétablir... Un recul des Grecs en 842 l'oblige à reconnaître l'autorité califale et à soutenir le gouverneur arabe Mohammed ibn-Khâlid contre l'émir Ishâq de Tiflis, ce qui lui permet de reconstituer en sa faveur la principauté d'Ibérie de 842/843 à 876.

D'une épouse au prénom inconnu, fille de Smbat VIII Bagratouni, prince des Bagratides, selon Cyrille Toumanoff il laisse :
  • David, prince-primat d'Ibérie.
  • Adarnassé Bagration, eristavi mort en 874.
  • Achot, eristavi.

Une autre grande famille Arménienne, les Mamikonian prétendent être originaire de Chine, mais les historiens s'accordent à dire que cette prétention est due à une confusion avec la région de Čen, en Ibérie.
Au Ier siècle av. J.-C., Mamkaios, un général de Tigrane II le Grand, roi d'Arménie, est considéré comme un membre de la famille, mais les sources Arméniennes ne permettent de suivre la famille qu'à partir de 314. À cette date, les Mamikonian disposent déjà de la charge héréditaire de sparapet, c'est-à-dire de généralissime.
La fortune vient au début du Ve siècle avec le mariage entre le sparapet Hamazasp Mamikonian et Sahakanouš, héritière du dernier patriarche grégoride, Sahak Ier, ce qui apporte à la famille des territoires importants et l'immense prestige associé aux descendants de Saint Grégoire l'Illuminateur.
L'abolition de la royauté en Arménie en 428, ainsi que le martyr de leur fils Vardan Mamikonian, va placer la famille au premier plan de la politique Arménienne.

En 572, le prince Vardan Mamikonian assassine le Suren, gouverneur Perse d'Arménie, pour venger son frère Manuel, mais doit ensuite se réfugier à Byzance.
Au début du VIIe siècle, l'Empire Perse Sassanide est conquis par les musulmans et les Arméniens se tournent vers Byzance pour résister à ces derniers.

Les empereurs Byzantins nomment alors les princes d'Arménie et les troisième et quatrième princes sont les frères Hamazasp et Grigor Mamikonian. Mais, à la mort de Grigor, le pouvoir passe aux Bagratouni qui commencent leur ascension sociale.
Les Mamikonian ne réapparaissent qu'au cours du VIIIe siècle, quand les frères Davith et Grigor Mamikonian tentent de s'opposer à Achot Bagratouni et sont exilés au Yémen. Les Mamikonian conduisent plusieurs révoltes contre les occupants musulmans, jusqu'à ce que ces derniers décident d'en finir et écrasent une grande partie de la noblesse Arménienne à la bataille de Bagrévand le 25 avril 775. Le dernier prince Mamikonian est Grigor, capturé et tué par les musulmans en 856.

À partir du IVe siècle, l'Arménie deviend un pays chrétien sous la domination de la Perse Sassanide de religion mazdéïste. Après la conversion de l'Empire Romain au christianisme, peu après, l'Arménie devient une source d'inquiétude pour les Sassanides pour plusieurs raisons :
L'Arménie a toujours été une province rejetant la suzeraineté extérieure,
Il existe encore en Arménie des représentants de la dynastie Arsacide, qui a été renversée par les Sassanides.
L'Arménie, chrétienne, est un allié naturel de Rome, ennemi des Sassanides.
Pour réduire le danger, les Perses ont tenté d'imposer le mazdéisme à l'Arménie. Il s'en est suivi des révoltes régulières aussi bien pour des motifs politiques que religieux. Presque toutes ces révoltes échouent, obligeant les chefs à se réfugier à Byzance. Même si les noms de familles Arméniennes ne sont pas cités par les chroniqueurs Byzantins, plusieurs de ces nobles portent des prénoms qui sont des formes Grecs de prénoms Arméniens portés par des Mamikonian (Vardan = Bardanès, Artavazd = Artabasdos, Hmyaek = Myakios ou Maiakès). Ainsi, Procope de Césarée mentionne entre 542 et 554 un général byzantin du nom d'Artabanos, d'origine Arsacide, beau-frère d'un autre général, Bassakès (= Vasak) et oncle d'un capitaine, Grégorios (= Grigor), dont les prénoms révèlent indubitablement leur appartenance à la famille Mamikonian.

La plupart de ces réfugiés attendent quelques années que les choses se calment avant de repartir, menés par le désir de récupérer leurs domaines, mais aussi le refus d'accepter le chalcédonisme, imposé par les Byzantins. C'est ainsi que l'on trouve régulièrement à Byzance des réfugiés Arméniens, certains intégrant des fonctions dans l'armée et ne restant que quelques années, mais d'autres y restant et parvenant à des hautes fonctions dans l'empire. Cependant les textes Byzantins mentionnent des groupes familiaux mêlant des prénoms Grecs et des formes grecques de prénoms Arméniens comme :
Bardanès Philippicos, empereur de 711 à 713 et fils d'un Nicéphore,
Théodoros, stratège de Thrace en 713 et fils d'un Myakios,
Artabasdos, empereur de 741 à 743 et père d'un Nicéphore,
Constantin, protostator en 766, fils de Bardanès, patrice.

Des généalogistes qui ont étudié la famille comme Christian Settipani en ont déduit qu'une branche de la famille Mamikonian s'est installée à Byzance dès le VIe siècle et s'est fondue dans la noblesse Byzantine, mais que parallèlement, des Mamikonian d'Arménie, fuyant les conséquences des révoltes contre les Perses puis contre les Arabes ont continué à se réfugier régulièrement à Byzance.
Bugha al-Kabir est un général Turc qui a servi les califes abbassides Al-Wathiq et Al-Mutawakkil. Il a joué un rôle important dans l'écrasement de plusieurs révoltes.
On le mentionne pour la première fois en 835, quand il prend possession de terres. Il participe alors à la répression de la révolte de Babak Khorramdin dans l'armée abbasside, et les années suivantes il conduit ses propres troupes. Dirigeant l'arrière-garde du calife Al-Mutasim lors de la bataille d'Amorium en 828.

En 852-855, il est envoyé par le calife Al-Mutawakkil à la tête de 200 000 hommes contre les Arméniens révoltés. Ils sont écrasés, leur pays est dévasté. Une grande partie de la noblesse est exterminée. L'Arménie est ramené dans une vassalité provisoire vis-à-vis des Abbassides. Il meurt en 862.

Étendu sur un haut plateau continental coupé de montagnes, le territoire Arménien forme, avec l’Anatolie à l’ouest et le plateau Iranien à l’est, la partie septentrionale du Proche-Orient placée entre les plaines du Croissant Fertile étendues au sud et la chaîne Caucasienne occupant au nord l’isthme séparant la mer Noire de la mer Caspienne. Forteresse naturelle, l’Arménie se caractérise par son altitude élevée : de 900 à 2 100 m alors que l’altitude moyenne du plateau Anatolien est de 750 m et que celle du plateau Iranien s’étage de 600 à 1 500 m. Le territoire de l’Arménie « historique », qui n’a guère à voir avec celui de l‘actuelle république d’Arménie héritière de l’Arménie soviétique...

Le plateau est bordé au nord par les Alpes Pontiques qui le séparent de la mer Noire, au nord-est par le Caucase Méridional, au sud par le Taurus.
Il est traversé par des chaînes montagneuses imposantes, dominées par des volcans éteints dont le mont Ararat (5 172 m), le mont Aragadz (4 031 m), le Sipan (4 364 m) ou le Nimrud Dagh (près de 3 000 m).
L’activité volcanique passée a couvert de laves l’ensemble du plateau et a déterminé la fertilité du sol.
La nature du relief a compartimenté le pays en distinguant de nombreuses entités régionales dont certaines (le Siounik par exemple) ont joué à diverses époques le rôle de refuges pour une identité Arménienne constamment menacée, au contact des divers empires qui se sont disputés la région au cours des siècles.

Le plateau s’achève de manière abrupte au nord, à l’est et au sud-ouest mais s’abaisse au sud par une série de terrasses en direction de l’Irak et à l’ouest de manière plus régulière vers le cours du haut Euphrate et le plateau Anatolien.
Plusieurs grands fleuves prennent leur source sur le plateau Arménien. Le Tigre, l’Euphrate et le Kizil Irmak (l’Halys des Anciens) réalisent la majeure partie de leur parcours à l’extérieur, en Mésopotamie ou en Asie mineure, alors que le Koura et l’Araxe s’écoulent vers la Caspienne.

L’une des originalités du pays réside dans la présence de grands lacs salés d’altitude :
Le lac d’Urmiah à l’extrême sud-est du plateau, aujourd’hui en Iran (4 680 m2 à 1 230 m d’altitude),
Le lac de Van aujourd’hui en Turquie (3 822 km2 à 1 692 m d’altitude)
Le lac Sevan (le plus élevé, étendu sur 3 655 km2) dans l’actuelle Arménie.

La région connaît une activité sismique importante et la catastrophe de 1988 a été précédée d’autres, de moindre ampleur mais cependant dévastatrices, au cours du Moyen-Âge et au XVIe siècle, notamment à Erzincan.
Déjà, en 1935 et en 1966, des tremblements de terre ont fait plusieurs milliers de victimes à Kars et dans la région de Van.

Le climat est continental, marqué par de fortes amplitudes thermiques. Le relief isole le pays des influences maritimes et le protège également des vents chauds en provenance du sud.
La sécheresse de la région (moins de 500 mm de pluies annuelles au centre du plateau) est compensée en partie par la chute et la fonte des neiges, qui sont abondantes en raison de l’altitude. Les habitants ont eu recours à l’irrigation depuis l’époque Ourartéenne, c’est-à-dire depuis près de 3 000 ans.

Un royaume et un peuple menacés de toutes parts :
703 : Révolte anti-arabe organisée par la famille des Bagratouni. Elle semble correspondre à la nomination par le calife Abd el-Malik d’un gouverneur arabe de l’Arminiya (qui comprenait une partie de la Géorgie).

705 : L’émir de Nakhitchevan attire une partie de la noblesse Arménienne dans un piège et fait brûler dans une église ses prisonniers.

718-729 : Patriarcat d’Hovhannès d’Odzoun, qui correspond à un renforcement de l’Église Arménienne. Celle-ci s’éloigne d’autant plus de l’Église Byzantine que celle-ci s’engage dans l’iconoclasme à partir de 730.

Début VIIIe-fin IXe siècle : Développement de l’hérésie Paulicienne en Arménie mineure, à l’est du plateau Anatolien.

743-750 : Nouvelle révolte anti-arabe au Vaspourakan, à l’initiative des Mamikonian. Ceux-ci sont à l’origine d’une autre révolte, survenue dans le centre du pays, en 774-775.
Ces mouvements apparaissent comme une réponse à une plus grande volonté de centralisation du pouvoir califal ommeyade, puis abbasside à partir de 750, mais aussi aux rivalités opposant les Mamikonian, les Bagratouni et les Artzrouni.
Ces révoltes échouent en entraînant une répression arabe très brutale, qui affaiblit durablement les grandes familles nobles et favorise l’implantation de tribus arabes.
La fonction d’ichkhan disparaît jusqu’en 804 et les vainqueurs entament des persécutions religieuses.

813-820 : Règne à Byzance de l’empereur Léon V l’Arménien.

Vers 850 : Les Artzrouni imposent leur autorité au Vaspourakan, contre les émirs musulmans locaux et contre le gouverneur nommé par le calife.
Dans le même temps, les Bagratouni, plus éloignés du monde arabe et adossés aux territoires Géorgiens et Byzantins, constituent une principauté « bagratide » depuis Achot, nommé ichkhan par les Arabes en 804.

826 : À la mort d’Achot, ses possessions sont partagées entre ses deux fils, Bagrat et Sembat.

852-855 : Les armées arabes du calife Al-Mutawakkil tentent de soumettre les territoires Arméniens tentés par la dissidence, qu’il s’agisse des émirs rebelles ou des princes indigènes.

862 : Pour dissuader Achot V Bagratouni de se rapprocher des Byzantins, le calife de Bagdad lui reconnaît le titre de « prince des princes ».

874 : Refondation des monastères de la région de Sevan dévastés par les Arabes au VIIIe siècle. C’est le début de la renaissance du monachisme Arménien.

Vers 884 : Le calife désigne l’ichkhan Achot V sous le titre de « roi » et il prend le nom d’Achot Ier. Le rétablissement d’un royaume Arménien disparut depuis la chute des Arsacides apparaît comme un échec des tentatives successives : Des Perses, des Byzantins et des Arabes pour assimiler le pays.

L’Arménie demeure cependant tributaire, en revanche, le gouverneur arabe disparaît.
La noblesse Arménienne, dont la résistance est finalement récompensée, n‘est pas pour autant disposée à accepter un pouvoir monarchique par trop centralisateur et les Byzantins n’ont pas renoncé à récupérer un territoire dont ils pensent qu’il a été « perdu » et qui doit leur revenir.

890-912 : Règne de Sembat Ier, fils d’Achot Ier, le fondateur de la « dynastie » bagratide. Il doit compter avec une noblesse toujours turbulente et, surtout, avec l’émir musulman Yusuf qui, après l’avoir vaincu, le fait mettre à mort en 914.

898-925 : Catholicossat de Hovhannès l’Historien.

908 : Gagik Artzrouni reconnu roi par le calife dans le Vaspourakan.

913-928 : Règne d’Achot II, fils de Sembat. Il joue de l’hostilité du calife vis-à-vis de Yusuf et se fait reconnaître le titre de « roi des rois » en 919.

928-952 : Règne d’Abas, frère d’Achot II.

935 : Fondation du monastère de Narek, au bord du lac de Van.
Les principales places-frontières sont au nombre de 3 Missis, Adana et Tarse. Elles sont toutes en possession des Arméniens.

Une légende Arménienne :
L'épopée de David de Sassoun est un monument de la culture Arménienne. Née au VIIe siècle, elle s'inspire de la lutte du peuple Arménien à repousser les invasions arabes.

Récit fleuve en 4 partis qui relatent les exploits de héros aux pouvoirs surnaturels, il commencent quand Dzovinar, la fille du roi d'Arménie, part à Bagdad pour épouser le roi Sinam. En chemin, elle boit l'eau de la source que Dieu fait jaillir ... Grâce à la Divine Providence, elle enfante des jumeaux, Sanassar et Balthazar, les premiers héros du mythe. Qui surmontant Leurs différends, fondent la ville et le royaume de Sassoun.

Puis Meher le Lion qui délivre du Démon-Blanc une jeune femme qu'il fera mère de David. Meher le Grand, ainsi appelé en opposition à son petit-fils Meher le Petit, père de David. C'est le troisième fils de Sanassar et de Quarante-Tresses-Blondes, et le frère de Vergo le Foireux et de Jean-la-Grosse-Voix. Il est le seul de sa fratrie à être doté d'attributs avantageux, sa grande force. Il combat le Mélik du Missir (premier du nom), Puis conclut une trêve avec celui-ci. C'est aussi, par le biais d'une aventure extra-conjugale avec Ismil Khatoun, le père du Mélik du Missir (deuxième du nom).

Commencent Alors les aventures de David, héros favori des Arméniens, tué par sa propre fille. Meher le Petit Prend la relève de la défense du pays ....

L'épopée de David de Sassoun contient tous les ingrédients qui en font un conte passionnant: Personnages royaux et valeurreux, guerres, rivalités, épreuves, beauté des princesses et mariages ... y compris la démesure : Ses gifles décapitent, il affronte 40 guerriers en même temps...
Le fond fantastique se mêle aux réalités géopolitiques : l'Arménie est un petit Pays enclavé, entre Europe et Asie, qui a eu à affronter de nombreuses invasions au fil des siècles, sans cesse menacés par l'Arabie, et l’Égypte

L'épopée de David de Sassoun s'inscrit dans le contexte de l'occupation arabe de l'Arménie, du VIIe siècle à la restauration du royaume d'Arménie par le Bagratide Achot Ier, et plus particulièrement durant la période de l'invasion du Sassoun, du Taron et du Vaspourakan, débutant Dès 632, Jusqu'à la révolte de 850-852. Ce Dernier élément à poussé parfois à identifier David de Sassoun à David de Taron, le deuxième fils de Bagrat II Bagratouni, même si l'épopée n'est pas une œuvre à vocation historique...

852 — Wikipédia
fr.wikipedia.org/wiki/852
Cette page concerne l'année 852 du calendrier julien. Sommaire. [masquer]. 1 Événements. 1.1 Proche-Orient; 1.2 Europe. 2 Naissances en 852; 3 Décès en ...

Chronologie Arménie - Clio - Voyage Culturel
www.clio.fr/chronologie/chronologie_armenie.asp
Les commencements de l'Arménie chrétienne .... les musées à la suite de fouilles clandestines confirment, dans les années 1880-1890, l'existence ..... 826 : À la mort d'Achot, ses possessions sont partagées entre ses deux fils, Bagrat et Sembat. 852-855 : Les armées arabes du calife Al-Mutawakkil tentent de soumettre les ...

Persée : Moines et monastères géorgiens du 9e siècle : La ...
www.persee.fr/web/revues/.../rebyz_0766-5598_2002_num_60_1_2254
de B Martin-Hisard - ‎2002 - ‎Cité 1 fois - ‎Autres articles
364) ; son fils Bagrat' le devint «par ordre du roi des Grecs» (1. ... des années 960-970 et que l'on appellera la Chronique du 10e siècle12 et d'autre part la Vie et ... La source est beaucoup plus précise pour l'Arménie. ...... La soumission du patrice de Lazique en 697 ne fut possible que si les Arabes s'étaient imposés dans ...

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