10 JUIN... 2016
Cette
page concerne l'année 331 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
LA
DACIE
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Or,
les Roumains du Danube se sont déplacé vers le sud, assimilant les
Barbares, leur enseignant leur propre langue. Et finalement, ils
s'installent en Dacie Trajane que là où étaient leurs ancêtres.
Ainsi
donc, l'histoire ancienne est l'histoire de tous les Romains vivant à
l'Est de la mer qui s'appelle Adriatique. Et surtout, c'est
l'histoire des Romains des 2 rives du Danube, où habitent depuis la
Serbie d'aujourd'hui jusqu'à la mer, nos ancêtres les Daces,
appelés ainsi par les Romains, tandis que les Grecs de la mer Noire
les appellent les Gètes...
Parmi
les pays qui forment la Roumanie d'aujourd'hui, le premier qui
devient une terre romaine est la Dobrogea actuelle. Longtemps avant
que les Daces de la Dacie deviennent des Romains, les Daces de la
Dobrogea ont commencé à parler latin, à vénérer les mêmes dieux
que les Romains, à établir des villes et des villages romains, en
s'unissant avec des civils et des vétérans de pure race Romaine qui
viennent des autres parties de l'Empire pour s'installer là-bas à
demeure, et bâtir de belles villas de pierre sur des propriétés
achetées aux indigènes, ou reçues en présent de l'Empereur.
Cette
antiquité Romaine de la Dobrogea est la raison pour laquelle, avant
même de parler de la Dacie de Trajan, on peut commencé à parler de
ce territoire resserré entre le Danube et la mer qu'anciennement, on
appelait Scythie mineure, pour le distinguer de la Grande Scythie,
qui, elle, commence à la Bessarabie, couvre tout le pays au sud de
la Russie actuelle, le long du rivage de la mer Noire et de la mer
d'Azov...
La
Dobrogea est une citadelle. Ses murs sont les rives escarpées du
Danube et de la mer. Ses fossés pleins d'eau sont le Danube et la
mer...
Comme
toutes les places fortes, anciennes ou modernes, la Dobrogea, autour
d'elle, a un immense pays découvert à surveiller et à protéger.
Quel est ce pays ?
Le
voyageur qui descend le Danube, allant vers la mer, a, depuis
l'embouchure de l'Oit environ, sur sa gauche, une plaine que rien ne
limite vers le Nord. Sur cette plaine, de la rive droite surélevée,
le regard se promène comme sur une mer. Cette plaine ne s'arrête
pas au Siret (Sereth), mais, avec des vallonnements plus ou moins
profonds, elle se prolonge à travers la basse Moldavie et la
Bessarabie du Sud, jusqu'au Dniestr (Nistru). Les vallées de la
Bessarabie méridionale et de la Moldavie, entre les Préalpes de la
Munténie et les prolongements boisés des Balkans vers le Nord-Est,
vers la Dobrogea, se délimite un vaste pays de plaines hautes ou
basses, fouettées sauvagement tout l'hiver, par la bise russe,
brûlée, l'été, par un soleil desséchant, sans eau, sans ombre,
une steppe sans fin, au milieu de ce pays qu'anciennement les Daces
habitaient, c'est-à-dire les Gètes, et aujourd'hui les Roumains.
Le
plateau élevé de la Dobrogea forme, à sa rencontre avec la mer et
le Danube, le fort qui garde toute la plaine basse qui l'entoure, à
l'Ouest et au Nord.
Mais
le Danube gèle en hiver, et alors la Dobrogea, la Scythie mineure,
ne peut être défendue par celui qui tient le sud du Danube. Du
moins, elle ne peut être défendue qu'avec toute cette plaine dont
elle fait partie. Il en est toujours ainsi. C'est pour cela que la
Dobrogea s'appelait Scythie mineure... Ce nom marque son appartenance
au pays du nord. En fait, depuis les temps les plus reculés, ceux
qui ont habité la Dobrogea, et qui l'ont dominée, sont, à côté
de quelques Scythes et d'autres Nomades, nos Daces de Dacie.
La
steppe daco-scythe a toujours été un danger pour les Romains, avant
Trajan. Les Daces de la plaine peuvent toujours envahir les provinces
Romaines, puis se réfugier rapidement dans les montagnes de la
Transylvanie. Une inscription de l'an 50 après Jésus-Christ énumère
tous les peuples contre lesquels les Romains ont à lutter en ces
parages.
Outre
les Daces indigènes et les Scythes, leurs voisins, il y a encore les
Bastarnes, les Roxolanes et les Sarmates.
D'autres
pierres écrites, et les textes littéraires nous mentionnent, à la
période suivante, au IIe siècle après Jésus-Christ, les
Costoboques et les Carpes, qui sont aussi des Daces, mais des Daces
du Nord (Bessarabie et Moldavie Septentrionales). Mais au début du
IIIe siècle, arrivent, par la Russie méridionale, les Goths, de
race Germanique, qui pénètrent de plus en plus en Dacie et en
Scythie mineure, et qui, sous Aurélien, se trouvent assez forts pour
obliger l'Empereur à abandonner toute la contrée Romaine du Nord du
Danube.
Le
« vallum romain », tracé non seulement en Dobrogea, entre
Cernavoda et Constantza, mais encore en Munténie et en Moldavie, est
l'œuvre des indigènes et de l'armée Romaine, c'est non seulement
une défense, mais une sorte de menace politique. Ce vallum est la
limite jusqu'à laquelle les Romains permettent aux mers Barbares du
Nord, sans cesse agitées, de venir jeter leur écume... »
L'empire
romain n'a pas occupé tout de suite la Dobrogea. Mais la
civilisation Hellénique l'a précédé de 7 siècles aux bouches du
Danube. Les Grecs de Milet ont envoyé, les premiers, des colons aux
rivages Daco-Scythiques. Ils fondent Histria (Danube) et Olbia
(Dniepr), attirés par les facilités de la pêche et le commerce du
blé, que produisent à bon marché les Daco-Scythes, et dont la
Grèce peu fertile a grand besoin, attirés aussi par ces grands
fleuves qui sont des voies de pénétration dans un arrière pays
Barbare. A l'embouchure du Séreth, entre Braïla et Galalz, on a
trouvé des Lécythes à figures noires et à figures rouges,
(dessins sur des pierres ou des vases) ainsi que des figures de terre
cuite. A l'embouchure du Trotus dans le Séreth, on a trouvé une
amphore Thasienne : Ce qui veut dire que l'on vend, dans ces régions,
de l'huile grecque pour des grains, des peaux, des esclaves vigoureux
et de belles esclaves Daces : Daos, Gétès (©ace, Gète) sont des
noms d'esclaves communs dans la comédie attique du IVe siècle...
Mais
la pénétration Romaine est surtout facile dans la Scythie Mineure
toute pleine de villes Grecques, Histria (lac de Sinoe), Tomi
(Constantza), Callatis (Mangalia), Tiriza (Caliacra), Bizone
(Cavarna), Dionysopolis (Balcic).
Avec
ces villes, les Gètes sont en contact constant. Ils les influencent
et ils sont influencés par elles. Mais, à la différence des
Thraces, ils ne se sont point laissé Helléniser.
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| RUINES DACES |
Banni
de Rome par Auguste, vers l'an 8 après le Christ, il a vécu parmi
les Grecs et les Gètes de Tomi environ 10 ans, décrivant dans ses
beaux poèmes qu'il envoie à Rome, pour tâcher d'attendrir
l'empereur, ses tristes journées sous un climat glacé, parmi des
Grecs appauvris et affaiblis, des Gètes peu policés encore, des
Besses, cousins des Gètes, mais venus du Sud des Balkans, et enfin
des envahisseurs Barbares Sarmates ou Bastarnes, originaires de
Russie et de Bessarabie.
Dans
ses 2 recueils écrits à Tomi, les Tristes et les Pontiques, Ovide
nous donne des renseignements fort précieux sur les troubles et les
désordres de la Scythie Mineure, que les Romains n'ont pas voulu
encore comprendre dans leur empire, et ont confiée, pour qu'il la
gouverne, au roi de Thrace, au souverain d'un royaume protégé des
Romains qui s'étend, sous le nom de Thrace, du Danube et de la mer
Noire jusqu'aux frontières de la Macédoine et jusqu'à la mer
Grecque.
Ovide
nous parle de la vie malheureuse qu'il mène là-bas. Il lui faut se
préparer, à chaque· instant, à monter la garde sur les murs de
Tomi, contre les Barbares qui essaiment alentour, à endurer le
froid, les mœurs grossières des Barbares, lui qui a vécu à Rome
comme un prince.
Plusieurs
fois, il nous dit qu'il a appris la langue des Gètes et qu'il a même
fait des poésies en langue gétique. Les Grecs de Tomi, qui sont
sous le protectorat direct de Rome, et non sous l'autorité du roi de
Thrace, honorent Ovide, tout banni qu'il soit, et le font même
président des jeux qu'ils organisent pour la glorification des
Dieux. Mais à cette époque (10-15 après J.-Christ), il n'y a là
personne avec qui il puisse échanger un seul mot de latin.
Tacite prétend que vers l'an 15, la Scythie Mineure se présente au voyageur comme partagée en deux moitiés, très dissemblables : Celle de l'Orient (Est) du côté de la mer Noire, voisine du pays habité par les Grecs, est pleine de champs cultivés et de marchés, tandis que la moitié Occidentale, voisine des Gètes hostiles de la Dacie Scythique, est inculte.
Tacite prétend que vers l'an 15, la Scythie Mineure se présente au voyageur comme partagée en deux moitiés, très dissemblables : Celle de l'Orient (Est) du côté de la mer Noire, voisine du pays habité par les Grecs, est pleine de champs cultivés et de marchés, tandis que la moitié Occidentale, voisine des Gètes hostiles de la Dacie Scythique, est inculte.
Il
y a du roman là-dedans, de l'exagération systématique. Car nous
savons par d'autres anciens textes que la rive du Danube est pleine
de marchés et de villages depuis l'époque la plus ancienne.
A
Silistrie est Durostorum, à Hinog (en amont de Cerna Voda) il y a
Axiopolis, à Calachioi, Capidava, Hârsova, Carsium, Eschi-Saraï,
Cius, Valea Hogii, Eeroe, Iglita, Troesmis, Mâciu, Arrubium,
Isaccea, Noviodunum Tulcea, Aegyssus... Ce sont là de vraies villes,
ou tout au moins des bourgades, des marchés. La population est
laborieuse et tranquille, tout au moins si on la compare aux Sarmates
et aux Daces du Nord. Mais ces gens ne voient pas d'un bon œil le
gouvernement des rois de Thrace, vassaux de Rome, et surtout ne sont
pas mûrs pour la domination Romaine.
Rome,
longtemps, a préféré ne pas toucher à ce guêpier. Enfin,
exaspéré des querelles et des guerres intestines des Thraces, comme
aussi des incursions des Gètes en Moesie et en Macédoine,
l'empereur Claude, 31 ans après le règlement de Tibère, supprime
le royaume Thrace, et fait du pays à droite du Danube, jusqu'à la
mer, un territoire Romain, faisant élever le long du fleuve des
forts de garde exactement aux endroits que j'ai mentionnés plus haut
comme étant de vieux marchés et villages Daces... Et il y place des
garnisons de soldats Romains... »
Depuis
291 on assiste à une politique de colonisation systématique des
terres par les Wisigoths qui chassent à mesure de leur
accroissement, les peuplades plus ou moins alliées qu’ils dominent
sur place.En Ukraine-Moldavie, aire de la culture dite de « Tcherniakov », c’est-à-dire la culture correspondant à l’occupation Wisigothique, le nombre des habitats est très élevé et de grandes dimensions. Ils « attestent une grande densité de population (Michel Kazanski, Les Goths, Errance 1991).
Dans
ce 4e territoire les Goths semblent avoir tout fait pour se tailler
une patrie pérenne. Les Ostrogoths s’étendent vers l’Est et,
avec Hermanaric à leur tête, arrivent en vue de l’Oural. Les
Wisigoths progressent avec opiniâtreté vers le Sud-ouest, (et le
Sud : La Mésie était en voie de colonisation au moment de
l’arrivée des Huns).
Les
conséquences de cette politique volontariste sont tragiques pour les
peuples refoulés dont certains, en se repliant sur la Germanie,
provoquent des mouvements de tribus au-delà du Rhin. « Rome
renonce, vaincue, à la guerre contre les Barbares » écrit,
prophétique, en conclusion de son Histoire romaine, Dion Cassius en
228...
Durant la phase ultime de son règne, jusqu'à sa mort (survenue en 337), l'empereur chrétien consolide les Limes, le long du Rhin et du Danube et obtient d'importants succès militaires qui le mènent à contrôler d'importantes parties des territoires anciennement Romains abandonnés sous Gallien et Aurélien : De l'Alémanie à la Sarmatie et à la Gothie. Constantin continue à utiliser ses résidences de Serdica, Sirmium et Tessalonica, plutôt que la capitale de Dioclétien, Nicomedia.
Devant
la difficulté croissante à contenir les nombreuses révoltes
internes et la pression aux frontières, une nouvelle division
territoriale est effectué en 293 afin de faciliter les opérations
militaires : Dioclétien nomme Galère comme son César pour
l'Orient, pendant que Maximien Hercule fait de même avec Constance
Chlore pour l'Occident. Ce système tétrarchique entre cependant en
crise après l'abdication des 2 Augustes (305), Dioclétien et
Maximien Hercule, provoquant une nouvelle guerre civile (306-324),
provoquant de nouvelles percées des Barbares dans le système
défensif de l'Empire, avec des tentatives d'installations de
populations Barbares à l'intérieur des frontières.
Ce
n'est qu'avec l'accession au trône de Constantin, devenu l'unique
Auguste en Occident après la bataille du pont Milvius en 312, et, à
plus forte raison, la défaite de Licinius et la réunification
subséquente de l'empire sous l'autorité d'un empereur unique (en
324), que les frontières Septentrionale, Rhénane et Danubienne sont
à nouveau défendues de manière adéquate.
Ainsi,
on attribue à cet empereur non seulement le mérite d'avoir
perfectionné la hiérarchie militaire Dioclétienne, mais aussi
d'avoir reconquis, ou du moins placé dans un rapport de vassalité,
plusieurs peuples Barbares dans tous les territoires ayant appartenu
à l'empire sous Trajan (Champs Décumates, une partie de la Dacie).
De
nouveaux affrontements sur le cours moyen et inférieur du Danube ont
lieu, contre les Goths, les Sarmates et les Germains, tandis que
Constantin est à nouveau contraint de franchir le fleuve,
construisant un pont à Muratura (entre Oescus et Sucidava), pour
porter la guerre en territoire Barbare, tandis que la route menant à
Romula est repavée.
Le
territoire ennemi est dévasté, et nombre de combattants réduits en
esclavage, selon Théophane le Confesseur
L'année
suivante voit une fois de plus le retour des Goths le long du
bas-Danube, qui réussissent à pénétrer en Mésie inférieure et
en Thrace, où ils sèment la dévastation. À nouveau, Constantin
réussit à repousser les armées Barbares, pour ensuite pénétrer
dans leur territoire après avoir construit un nouveau pont de
pierre, comme le commémorent la titulature de l'année et les récits
dits Anonymus Valesianus. À la fin de cette campagne, ou de celle de
l'année précédente, Constantin semble recevoir pour la 4e fois le
titre victorieux de Germanicus maximus, et pour la 1ère fois celui
de Gothicus maximus.
331/332
Les Wisigoths, qui ont harcelé les Sarmates, envahissent le
territoire de ces derniers, et par la suite les provinces Romaines
Balkaniques, mais ils sont une fois de plus défaits, près de
l'actuelle Varna (en Bulgarie), par Constantin secondé du caesar
Constantin II âgé de seize ans. Les batailles, mais aussi le froid
et la faim causent la mort de 100 000 Goths.
Les
Goths sont contraints à demander la paix à l'empereur Romain,
fournissant des otages comme garantie, parmi lesquels Ariaric, le
fils de leur roi, ainsi qu'un contingent d'auxiliaires, en échange
de semences et de grain. Surtout, un traité est conclu avec ces
populations (qui deviennent un peuple fédéré) selon lequel les
Goths (apparemment seulement les Wisigoths) s'engagent à défendre
les frontières de l'Empire sur le Danube, et à fournir 40 000
soldats. La paix dure jusqu'au temps de l'empereur Julien, voire
jusque vers 375/376.
40
ans après l'installation de ces auxiliaires dans les villes de la
rive du Danube, sur l'ordre de l'empereur Claude, en l'année 46,
c'est-à-dire en l'an 86 après Jésus-Christ, l'empereur Domitien
transforme toute la terre Dacique de la rive droite du Danube en
province Romaine.
Il
est naturel de penser que, dès l'époque de l'empereur Claude, la
frontière étant assez bien défendue, les colons Romains vont
s'établir à côté des Besses et des Daces qui habitent autrefois
la Scythie Mineure.
De
295 à 305 les Wisigoths investissent la Monténie (Valachie), leur
aire d’occupation est comprise entre le Danube et le Dniepr.
En
315, Constantin qui combat les Francs et les Alamans, doit quitter
Trèves pour repousser une invasion Tervinge.
En
322, Rausimod (c'est-à-dire « Raginmund » du gotique
« ragineis », conseiller, et « munds »
protection, a donné « Raymond » et « Ramon »)
roi Wisigoth, allié aux Sarmates, lequel envahit la Valérie
(Est-Hongrie).
Constantin
réussit a l’écraser et à le tuer. Les prisonniers sont établis
comme colons dans l’Empire.
En
323, les Wisigoths pillent encore la Mésie et la Thrace. Constantin
les oblige à libérer leurs captifs. La victoire, comme chaque fois,
est incomplète et suivie d’un accord... De nombreux guerriers
Tervinges sont intégrés à l’armée de l’empereur. Grâce à ce
renfort ce dernier peut vaincre son concurrent Licinius. Cet
usurpateur dispose, lui aussi, d’un contingent de guerriers Goths
sous les ordres du reiks Alica.
En
325, Constantin fonde Constantinople, et Jordanès nous dit que pour
construire « cette ville fameuse » il est aidé par les Goths.
Les
Tervinges se prévaudront longtemps de cette aide apportée à
Constantin, celui-ci est (avec Théodose de façon moins justifiée)
l’objet d’une estime particulière de la part des Wisigoths.
En
331, les Tervinges s’en prennent aux Sarmates qui, pour résister,
arment leurs esclaves. Le reiks Vidigoïa est tué, mais les
Sarmates, acculés, font appel à l’empereur.
 |
| TRÉSOR DES SCYTHES |
La
famine décime les familles qui ont pénétré en territoire Sarmate
pour le coloniser. Ne pouvant cependant en venir à bout, l’empereur
Romain conclut un traité avec les reiks Ariaric et Aoric (foedus de
332) qui fourniront otages et guerriers en échange de subsides.
Dacie —
Wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Dacie
...
à une époque tardive, ... La retraite romaine de
Dacie inaugure une périodede l'histoire des ancêtres des
Roumains et des Aroumains surnommée par les ...
- Peuples et migrations ·
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Daces
- Histoire du Monde
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et peuples antiques
Carte de
la Dacie en 82 av. JC ... originellement dans des huttes de bois
regroupées en villages entourés par une palissade, mais, à une
époque tardive,
Habitat de
l'Antiquité tardive (2) - Persée - persee.fr
www.persee.fr/doc/topoi_1161-9473_1997_num_7_2_1735
Diocèse de
Dacie. Regroupant les provinces de Mésie Première, de
Dacie(Dacie ripuaire et méditerranéenne), ... HABITAT DE
L'ANTIQUITÉ TARDIVE(2) ...
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