lundi 11 juillet 2016

EN REMONTANT LE TEMPS... 325

16 JUIN 2016...

Cette page concerne l'année 325 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !

LUMIÈRES APPORTÉES PAR LE CONCILE DE NICÉE.

ÉVÊQUES AU CONCILE DE NICÉE
Le premier concile de Nicée (en latin : Concilium Nicaenum Primum) est le nom donné à un concile général des évêques de l'Empire Romain qui s'est tenu à Nicée (aujourd'hui, İznik, en Turquie) en Bithynie, sur convocation de Constantin Ier, du 20 mai au 25 juillet 325, sous les épiscopats de Sylvestre de Rome, d'Alexandre d'Alexandrie, d'Eustathe d'Antioche, d'Alexandre de Constantinople et de Macaire de Jérusalem.
Ce concile a pour objectif de résoudre les problèmes qui divisent alors les Églises d'Orient, problèmes disciplinaires et surtout problèmes dogmatiques mis en évidence par la controverse entre Arius et son évêque Alexandre.
Il est considéré comme le premier concile œcuménique par les Églises chrétiennes.
Il forme, avec le premier concile de Constantinople de 381, les deux seuls conciles considérés comme œcuméniques par l'ensemble des Églises chrétiennes. Toutefois il faut noter l’absence au concile des donatistes et des novatiens.

L'empereur Romain Constantin Ier convoque le concile. Il vient en effet de réunir l'Empire Romain après avoir vaincu Licinius à la bataille d'Andrinople le 3 juillet 324. Se rendant en Orient, il constate vite le très grand nombre des dissensions au sein du christianisme. Afin de rétablir la paix religieuse et de construire l'unité de l'Église, et sans doute aussi de parvenir à ses fins politiquement, il décide de réunir un concile. Celui-ci réunit des représentants de presque toutes les tendances du christianisme, peu après la fin des persécutions (celles lancées par Dioclétien durent jusqu’en 313, et certains évêques portent encore les traces des tortures infligées à cette occasion).

Après plusieurs mois au cours desquels les évêques ne sont pas parvenu à se mettre d'accord sur un texte décidant de la nature de la relation du Christ au Père, l'empereur menace les 14 récalcitrants. 3 restent fidèles à leurs conceptions, dont Arius, et sont excommuniés.
Toutefois, l'arianisme n'est pas la première dissidence à encourir l'excommunication. L'originalité de la situation tient à ce que l'excommunication prononcée contre Marcion par le conseil des presbytres de Rome, Valentin et Montanus, n'a de validité que dans le diocèse où elle a été prononcée. Dans la situation présente, les évêques s'engagent à ne pas lever l'excommunication prononcée par un autre diocèse. La suite du conflit arien montre que cet engagement n'est pas tenable...

Le nombre des évêques qui participent au concile varie selon les sources. Eusèbe de Césarée, qui est présent, parle de plus de 250 religieux.
Eustathe d'Antioche et Athanase d'Alexandrie, eux aussi présents, donnent respectivement les chiffres de 270 et 300.
CONSTANTIN Ier
À partir d'Hilaire de Poitiers, il est admis que le nombre des Pères du concile est de 318, vraisemblablement par allusion au mystérieux verset 14 de la Genèse : « Dès qu’Abram eut appris que son frère avait été fait prisonnier, il arma trois cent dix-huit de ses plus braves serviteurs, nés dans sa maison, et il poursuivit les rois jusqu’à Dan ».

Cela signifie qu'il réunissait toutes les Églises. En effet, chaque patriarcat est indépendant et dispose de son propre magistère en sorte qu'un excommunié dans un patriarcat peut faire lever son excommunication dans le patriarcat voisin (ce qui ne manque pas de se faire).
Le concile de Nicée est considéré comme le premier concile œcuménique bien qu'il ne s'agisse pas du premier concile à proprement parler. Cependant, les précédents conciles réunissent un nombre bien plus restreint d'évêques, venant de régions moins éloignées les unes des autres (concile de Rome en 313 et concile d'Arles en 314).

Nous sont parvenus, outre la profession de foi dite symbole de Nicée :
Les anathèmes condamnant l'enseignement d'Arius qui y sont annexés ;
20 canons ;
Une liste nominative de participants.
Une confession de foi est adoptée au concile de Nicée :
« Nous croyons en un seul Dieu, Père tout-puissant, Créateur de toutes choses visibles et invisibles. Et en un seul Seigneur Jésus-Christ, Fils unique de Dieu, engendré du Père, c'est-à-dire, de la substance du Père. Dieu de Dieu, lumière de lumière, vrai Dieu de vrai Dieu, engendré et non fait, consubstantiel au Père, par qui toutes choses ont été faites au ciel et en la terre. Qui, pour nous autres hommes et pour notre salut, est descendu des cieux, s'est incarné et s'est fait homme, a souffert et est mort crucifié sur une croix, est ressuscité le troisième jour, est monté aux cieux, et viendra juger les vivants et les morts. Et au Saint-Esprit. »

Pour ceux qui disent : « Il fut un temps où il n'était pas » et « Avant de naître, il n'était pas », et « Il a été créé à partir du néant », ou qui déclarent que le Fils de Dieu est d'une autre substance (hypostasis) ou d'une autre essence (ousia), ou qu'il est créé ou soumis au changement ou à l'altération, l'Église catholique et apostolique les anathématise. »

Il est à noter que seule l'église Arménienne orthodoxe utilise l'anathème sus-cité, encore aujourd’hui après le chant du Symbole de Foi...
Cette confession sera complétée au concile de Constantinople en 381, pour devenir le « Symbole de Nicée-Constantinople ».
Vingt canons sont adoptés par le concile.
Les 3 premiers canons sont d'ordre disciplinaire.
Le canon I interdit l'ordination des eunuques volontaires.
Le canon II interdit l'admission des néophytes à la cléricature.
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Le canon III interdit aux clercs d'avoir une femme dans sa demeure, à l'exception de sa mère, de sa sœur, de sa tante ou de quelque personne au-dessus de tout soupçon.
Le canon IV concerne l'ordination des évêques. Il prévoit que les évêques doivent être ordonnés par leurs collègues de la province et exige, si tous ne peuvent être présents, qu'au moins trois évêques prennent part à la cérémonie, que les autres donnent leur consentement par écrit et que le métropolitain confirme l'élection.
Le canon V traite de l'excommunication et institue les synodes d'évêques 2 fois par an :
Pour ce qui est des excommuniés clercs ou laïcs, la sentence portée par les évêques de chaque province doit avoir force de loi, conformément à la règle prescrivant que celui qui a été excommunié par l'un ne doit pas être admis par les autres.
Pour l'institution des synodes, voici le texte : « … Il a paru bon d’ordonner que chaque année, dans chaque éparchie, soit tenu deux fois par an un synode, afin que les évêques de l’éparchie, se réunissant tous au même endroit, puissent examiner les questions de ce genre en commun, et qu’ainsi, d’un commun accord, ils conviennent tous que ceux qui se sont opposés à leur évêque sont excommuniés avec raison, jusqu’à ce qu’il plaise à l’assemblée des évêques de porter à leur propos une sentence plus indulgente. »
Le canon VI reconnaît la prééminence du siège d'Alexandrie sur toutes les Églises d'Égypte, de Libye et de la Pentapole et signale qu'il existe une coutume analogue à propos de Rome et d'Antioche, sans préciser les limites des zones d'influence de ces deux sièges (sans doute l'Italie ou l'Occident pour Rome, le diocèse d'Orient pour Antioche)... C'est là l'origine des 3 premiers patriarcats.
De la primauté revenant à certains sièges et de ce qu'il ne faut pas nommer un évêque sans l'avis du métropolitain.
Que l'ancienne coutume en usage en Égypte, dans la Libye et la Pentapole soit maintenue, c'est-à-dire que l'évêque d'Alexandrie conserve la juridiction sur toutes ces provinces, car il y a le même usage pour l'évêque de Rome. On doit de même conserver aux Églises d'Antioche et des autres diocèses leurs anciens droits.
Il est bien évident que si quelqu'un est devenu évêque sans l'approbation du métropolitain, le concile décide qu'un tel n'est même pas évêque. D'autre part, l'élection ayant été faite par tous avec discernement et d'une manière conforme aux règles de l'Église, si deux ou trois font de l'opposition par pur esprit de contradiction, la majorité l'emportera.
Le canon VII est relatif au siège d'Ælia ou Jérusalem. Il reconnaît à l'évêque d'Ælia une primauté relative consistant en une préséance d'honneur sur les autres évêques de Syrie-Palestine, sans préjudice de l'autorité du métropolitain qui est l'évêque de Césarée.
Les canons IX et X privent du sacerdoce ceux qui se sont rendus coupables de quelque crime avant leur ordination ou qui ont apostasié au temps de la persécution.
Les canons XV et XVI interdisent aux clercs de passer d'un diocèse à l'autre ou d'une Église à l'autre.
Le canon XVII dépose les clercs coupables d'usure.
Le canon XVIII interdit aux diacres de s'asseoir parmi les prêtres et de leur distribuer l'Eucharistie.
Le canon XX interdit la génuflexion pour prier le dimanche et pendant la Pentecôte.

Nous sont également parvenues, deux lettres à l'Église d'Alexandrie : La lettre de concile dite lettre synodale à l'Église d'Alexandrie et celle de l'empereur Constantin dit lettre encyclique aux Églises . Elles nous apprennent que le concile a statué sur les Méléciens ainsi que sur la date de Pâques.

« Nous vous avertissons aussi que le différend touchant le jour auquel la fête de Pâque doit être célébrée, a été heureusement terminé par le secours de vos prières, et que tous nos frères qui sont en Orient, et qui célébraient autrefois la fête de Pâque le même jour que les Juifs, la célébreront à l'avenir le même jour que les Romains, et que les autres qui la célèbrent de tout temps avec nous. »

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Constantin dans sa Lettre aux Églises écrit notamment :
« La question touchant la fête de Pâque y ayant été agitée, tous sont demeurés d'accord d'un commun consentement de la célébrer le même jour… Tous ont jugé que c'était une chose indigne, de suivre en ce point la coutume des Juifs… Ils sont si fort éloignés de la vérité, même en ce point, qu'ils célèbrent deux fois la fête de Pâque en une année…
Embrassez donc volontairement l'usage, qui est établi à Rome, en Italie, en Afrique, en Égypte, en Espagne, en Gaule, en Angleterre, en Achaïe, dans le Diocèse d'Asie et de Pont, et en Cilicie. »... Formellement, le mode de calcul de la date unique n'est pas précisé.

Un grand nombre d'évêques orientaux se sont sentis insatisfaits de la formule de Nicée, imposée par l'autorité impériale. La contestation s'organise autour d'Eusèbe de Nicomédie et Eusèbe de Césarée. Elle est attisée par l'arrivée au pouvoir des successeurs directs de Constantin, favorables à l'arianisme. Elle se poursuit dans la confusion pendant plus de 50 ans. Et il faudra attendre l'avènement de Théodose et le Premier concile de Constantinople de 381, pour que la foi de Nicée soit imposée définitivement à tout l'Empire comme définition de l'orthodoxie trinitaire grâce à l'Édit de Thessalonique.

Le concile de Nicée mérite une mention toute particulière, ne serait-ce que parce qu'il est le premier concile dit œcuménique ou universel, c'est à dire ouvert aux patriarches ou évêques d'Antioche, de Jérusalem, d'Alexandrie et de Constantinople, ainsi qu'aux évêques du monde entier.
Il est d'ailleurs à noter que ce concile ouvre une période de conciles où le mot œcuménique prend tout son sens. En effet, les 8 premiers conciles sont les seuls à avoir réuni l'Orient et l'Occident. A partir du concile de Latran I (1123), l'expression « concile œcuménique » ne couvre plus que les conciles convoqués par Rome.
Évidemment, le concile de Nicée, comme nous allons le voir, est fondamental pour l’Église pour bien d'autres raisons que sa « primauté chronologique ».

Ce premier concile, donc, est réuni sur l'initiative de l'empereur Constantin, alors qu'en bonne logique, cela aurait dû être du ressort du pape. Mais, ici, il ne faut pas raisonner avec notre mentalité de catholique romain du XXIe siècle. Il faut bien l'admettre le pape, dans ces premiers conciles, est bien loin d'avoir le rôle prépondérant qu'il a par la suite. De plus, en ce IVe siècle, l'empereur Romain jouit toujours du prestige qu'il avait dans la Rome antique. En tant qu'empereur, il est par conséquent naturel pour les gens de l'époque que Constantin, ayant opté pour la religion chrétienne, se considère comme chargé par Dieu de la mission de chef du peuple chrétien.
Personne, donc, ne lui conteste ce rôle, tant l'expérience d'un pouvoir politique chrétien est inédite après 3 siècles de persécution ! On ne saurait, oublier la vénération dont est entourée dans l'Empire la personne de l'empereur, placée au rang d'un dieu. Certes, Constantin, tout en conservant le titre de chef de la religion romaine païenne, a très probablement renoncé à toute prétention divine, mais, il n'en reste pas moins marqué aux yeux du peuple d'un caractère sacré.
DIEU LE PÈRE ET JÉSUS SON FILS

Ainsi, avec l'empire chrétien instauré par Constantin commence une longue phase historique, marquée par l'interférence du pouvoir temporel dans le domaine spirituel. Cette interférence profitera à coup sûr au pouvoir politique...
A bien des égards, elle sert aussi le développement du christianisme.
Elle n'en comporte pas moins pour celui-ci un lourd passif, dont l'élément le plus visible sera la dégradation, au cours des siècles, des relations entre l’Église d'Orient et celle d'Occident. De plus en plus, en effet, Constantinople, désormais capitale de l'Empire et proclamée « la nouvelle Rome » par ses empereurs comme par ses patriarches, entend assumer non seulement l'héritage politique de la Rome antique mais également l'héritage spirituel de la Rome chrétienne. Il va sans dire que cette prétention sera une source inévitable de conflits avec la papauté.
Quoiqu'il en soit, ces assemblées que sont les conciles seront convoquées par l'Empereur et se tiendront en Orient, jusqu'au concile de Latran I (1123) ! Les empereurs se considéreront, lors de ces conciles convoqués et parfois présidés par eux-mêmes, comme les « évêques du dehors » pour reprendre l'expression que Constantin a lui-même utilisé en convoquant le concile de Nicée.

Le pape Sylvestre 1er, déjà âgé, n'est pas présent à Nicée, il a cependant approuvé la convocation impériale en se faisant représenter par Ossius de Cordoue et par deux légats. L'Orient est d'ailleurs bien plus représenté que l'Occident (5 évêques seulement !).
Selon la tradition conciliaire, pas moins de 318 évêques se rendirent à Nicée. En fait, les Pères vinrent à Nicée au nombre de 220 environ...
« La fine fleur de Dieu » est cependant là. On peut voir des martyrs célèbres : Potamon d'Héraclès et Paphnuce de Thébaïde, qui ont un œil en moins, ou Paul de Néocésarée, aux mains mutilées par le fer rouge.

LE PAPE SYLVESTRE Ier
A l'issu des débats, les thèses d'Arius sont condamnées. On proclame que le Fils est consubstantiel au Père, c'est à dire qu'ils sont de même substance ou nature. Le Christ n'est donc pas une espèce de « super créature » ou bien encore une divinité à la mode païenne, ce que tend à en faire l'arianisme. Bien au contraire, il est le Verbe qui s'est fait chair, Dieu ayant pris la forme corporelle d'un homme pour donner le Rédemption, le pardon des péchés. Il est venu sauver les hommes du péché originel commis par Adam et Eve. Le Christ est donc à la fois de nature humaine et divine. Ainsi sont affirmées l'unité et la consubstantialité des trois Personnes de la Sainte Trinité : Père, Fils et Saint-Esprit.
En guise de texte synthétisant la pensée du concile, les Pères se rallient au Symbole de foi de l’Église de Césarée, présenté par son évêque Eusèbe, toutefois, la majorité des évêques juge utile de le préciser et de le clarifier pour repousser plus explicitement les erreurs d'Arius.
C'est ainsi que le Symbole de Nicée voit le jour. Ce symbole est encore en usage de nos jours dans la liturgie catholique. Parfois, on l'appelle le grand credo par opposition au credo connu sous le nom de Symbole des Apôtres.
Le credo de Nicée exclut toute subordination du Verbe au Père. Le Verbe n'a pas été créé, il coexiste avec le Père depuis le commencement.
La très grande majorité des évêques présents à Nicée adhère aux décisions du concile (seuls 17 des Pères conciliaires sur la totalité sont favorables à Arius). Au final, seul Arius et deux autres évêques, Second de Ptolémaïs et Théonas de Marmarique, refusent de donner leur approbation à la formule de foi de Nicée.
Ils sont exilés. La question de l'arianisme semble réglée. La suite montre qu'il n'en est rien (voir aussi le concile de Constantinople).
De plus, comme de nombreuses tribus Barbares sont évangélisées par des ariens, il n'est pas étonnant de voir resurgir cette hérésie avec les invasions Barbares (cf. les martyrs catholiques d'Afrique du Nord persécutés par les Vandales ariens). On peut même parler de résurgence de l'arianisme en ce début de XXIe siècle avec la propagation de la doctrine prêchée par les Témoins de Jéhovah.
Cette doctrine n'est vraiment pas loin de celle d'Arius en ce qui concerne la personne du Christ.
Enfin, le concile règle diverses questions, dont la date de Pâques : La tradition Romaine en la matière est étendue à toute la chrétienté.
Le problème concernant cette date vient du fait que les chrétiens ont toujours célébré Pâques en fonction de la date de la Pâque juive. Il y eut, dans les premiers siècles, diversité dans la manière de fixer le jour de cette commémoration, les Églises plus directement issues du judaïsme s'en tiennent à la date de la Pâque juive, le 14 Nizan, c'est à dire le jour de la pleine lune de printemps (la secte des Temoins de Jéhovah, par exemple, s'en tient à cette date), les autres Églises, dont Rome, veulent que cette date se fasse un dimanche, jour de la résurrection du Christ. C'est donc cette manière de faire qui est finalement imposée à toute l’Église par le concile de Nicée. Le fête de Pâques sera désormais célébrée le premier dimanche suivant la pleine lune de printemps.
Aujourd'hui les orthodoxes fêtent Pâques avec 13 jours de décalage par rapport à l’Église catholique, cette situation s'explique par la révision du calendrier entreprise par le pape Grégoire XIII, qui décide de retirer 10 jours à l'année 1582 pour mettre nos calendriers en accord avec le soleil...
LA SAINTE TRINITÉ

En conclusion, on pourrait dire que le concile de Nicée représente une étape capitale dans l'histoire de l’Église, dans la mesure où ce concile est la première occasion pour les Pères de porter un jugement définitif en matière de foi, de plus, la nécessité de rédiger le symbole de Nicée en réponse à l'hérésie arienne fait de ce document la première définition dogmatique formulée par le magistère de l’Église.


Premier concile de Nicée — Wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Premier_concile_de_Nicée
... les évêques du concile de Nicée (325), tenant anachroniquement le texte du « Symbole de Nicée-Constantinople » dans sa forme liturgique grecque, basée sur le texte adopté au premier concile de Constantinople (381). Le premier concile de Nicée (en latin : Concilium Nicaenum Primum) est le nom donné à un .... chaque année, dans chaque éparchie, soit tenu deux fois par an un synode, ...

Exposé sur le Concile de Nicée - Nordnet
home.nordnet.fr/caparisot/html/nicee.html
Le contexte historique et les décisions prises au Concile de Nicée. ... 20 mai-25 juillet 325 ... l'Empereur Constantin le Grand présidant le concile de Nicée .... devait continuer de déchirer l'Empire pendant encore bien des années, l'Empereur ...





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