vendredi 15 juillet 2016

EN REMONTANT LE TEMPS... 321

20 JUIN 2016...

Cette page concerne l'année 321 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !

UNE REFORME RELIGIEUSE PAR CONSTANTIN Ier

Dans sa persévérance à réunifier l'Empire Romain Constantin Ier s'acharne à planifier et réglementer toutes les religions présentent sur ses terres.
Dimanche : Ce mot est issu du latin dies Dominicus, signifiant « jour du Seigneur », devenu plus tard diominicu. En Italien, doménica, en Espagnol et en Portugais domingo et en Français, dimanche.
Les Russes appellent le dimanche jour de la résurrection et, en effet, on y commémore la résurrection de Jésus d'entre les morts, événement capital sur lequel se fonde la foi des croyants. C'est le premier dimanche de l'histoire…

La division du temps en semaine de 7 jours provient du calendrier hébraïque. Celui-ci, qui est un calendrier luni-solaire, tient compte des changements de phases de la Lune : Nouvelle Lune, premier quartier, pleine lune, dernier quartier. Chacune de ces phases dure 7 jours. La Bible commence par la création du monde par Dieu, celle-ci dure 7 jours. La division du mois en semaine est introduite par l'Édit de l'empereur Constantin Ier en 321, pour tenir compte de l'idée de création du monde en 7 jours selon la Bible hébraïque. A cette même date le dimanche, lendemain du shabbat juif, est décrété jour férié.
Tous les calendriers n'utilisent pas le système de la semaine. Le calendrier des Romains ignore la division du mois en semaines. Le mois comportait 3 périodes de durées inégales entre elles n'ayant pas le même nombre de jours selon le mois de l'année. Ces périodes sont les nonnes, les ides et les calendes. (voir calendrier julien).

Les Romains associent ce jour au Soleil (dies solis), on retrouve encore cette étymologie dans les mots anglais Sunday ou allemand Sonntag.
Ce jour là n'étant pas chômé, les croyants souvent esclaves sont obligés de se réunir avant de se rendre au travail ou après.
Dispersés, souvent épiés, les chrétiens éprouvent le besoin de se retrouver, de se soutenir mutuellement, de prier ensemble et de chanter le Seigneur.
Le seul crime que le Romain Pline reconnaît aux chrétiens est « de se réunir à date fixe, avant le lever du soleil et de chanter des cantiques à Christ comme à Dieu ! Puis de se réunir tard le même jour pour partager un repas. »... Le dimanche comme jour de repos dans la culture gréco-latine remonte à un décret de l'empereur Constantin Ier, le 7 mars 321 : « Au jour vénérable du soleil, que les magistrats et les habitants se reposent et que tous les ateliers soient fermés ».
Du fait que ce jour est aussi le jour de la résurrection du Christ, « Soleil de justice » selon les chrétiens, il l'impose aussi aux chrétiens de Rome. Par ce décret, et établit une conciliation entre les deux principales religions de Rome et de l'empire : c'est bien dans l'esprit de l'Édit de Milan (313) qui est un véritable édit de tolérance.

Pendant la révolution en France, le calendrier grégorien est supprimé, sous la Convention Nationale, par une commission spécialisée (déjà une commission Théodule qui ne sert généralement à rien, mais qui coûte très chère) La révolution française met en place un calendrier républicain, avec des semaines de 10 jours.
STATUE DE CONSTANTIN (ÉGLISE SAINT HILAIRE)
Le dimanche est supprimé. Cela pose des problèmes de repos dans les campagnes, puisqu'ils n'ont plus qu'un jour sur 10 pour se reposer.
Cela cause aussi des difficultés dans les régions frontalières, pour les échanges économiques... (je crains que les incompétents de l'époque n'aient fait des petits depuis 1981)
On instaure également le culte de la Raison et de l'Être Suprême, ainsi que diverses mesures de déchristianisation. Les églises sont fermées en France, et transformées en entrepôts, temples de la paix... (ce vilain dessein non réalisé à l'époque est en train de se concrétiser grâce à l'anticléricalisme affiché de nos dirigeants et de certains de leurs bon amis)
Le calendrier grégorien et le dimanche sont rétablis en 1806...
La France fait ainsi une expérience relativement unique dans l'Histoire des civilisations, la tentative de remplacement du calendrier à 7 jours, avec ce qui correspond au repos dominical. (une expérience de plus qui a prouvé son inefficacité... Comme beaucoup de nouveautés socialistes qui tournent en défaveurs du peuple)

En 1906, la loi du repos dominical a consacré le dimanche comme jour de repos en France. C'est aussi le maximum pour une bonne santé physique, émotionnelle et spirituelle. (c'est assez amusant de voir les mêmes socialistes vent debout contre le travail du dimanche lorsqu'on apprend cela)
Le rythme établit par Dieu c'est, un jour de repos sur sept. Il n'y a pas de substitut. Il peut arriver bien sûr, que nous ne puissions pas nous reposer un jour de repos, ou même deux semaines entières… sans que cela nous cause préjudice. Mais si nous continuons à ce rythme… ! C'est la catastrophe !
Il faut même faire attention à nos moments de loisirs, ils peuvent nous épuiser complètement… il est courant qu'après certaines détentes vous rentrez à la maison, encore plus épuisé que part des jours de travail ?
Chacun doit voir pour lui-même ce qui le repose… Si vous êtes toute la semaine sans bouger devant un ordinateur, il est évident que vous avez besoin de bouger… sainement !

Les premiers chrétiens se réunissent pour louer le Seigneur, être enseigné, prier, chanter, se retrouver autour de la table du Seigneur, évangéliser…
« N'abandonnons pas notre assemblée, comme c'est la coutume de quelques-uns, Mais exhortons- nous réciproquement, et cela d'autant plus que vous voyez s'approcher le jour. » Le jour le plus favorable pour nous, c'est le dimanche.
Dieu s'est reposé de son œuvre et s'en est réjoui, nous devons faire de même le dimanche. C'est un jour de réjouissance...
Jésus nous a montrés, malgré que les Pharisiens grincent des dents, que le jour du repos n'est pas pour le vivre égoïstement, mais qu'il faut penser aux autres. Lui, il pense aux pauvres gens malades. Pour nous c'est une participation au c
ulte… École du dimanche, accompagner un aïeul… etc..

« Hébreux 4:10 « Car celui qui entre dans le repos de Dieu se repose de ses œuvres, comme Dieu s'est reposé des siennes. » Le repos dont il est question ici, c'est que Dieu a tout accompli pour notre salut, il n'y a plus rien à ajouter. Christ a dit « Tout est accompli. »
En me reposant sur ce que Dieu a fait pour me sauver, j'entre dans son repos »
Le changement du Sabbat le (7e jour) au dimanche le (1er jour) de la semaine est un travail graduel, et ce n'est qu'après plusieurs centaines d'années que cette institution a été capable de déplacer le Sabbat du Seigneur, en fait elle n'est jamais arrivée à l'enlever complètement.

Le mot « Sunday » traduit en français « dimanche » suggère en lui-même ses origines païennes.
Webster dans son dictionnaire non-abrégé, le défini ainsi : « Sunday, appelé ainsi parce qu'il est consacré au Dieu soleil « sun day, » ou à son adoration le premier jour de la semaine. »

Morer nous dit: « Nous ne pouvons pas nier que nous avons emprunté les noms des jours des anciens Grecs et Romains, et nous sommes d'accord sur le fait que les anciens Égyptiens adoraient le soleil, et qu'une vénération consacrée en son honneur était tenue en ce jour. »
Ces autorités enseignent que le dimanche était anciennement consacré par les païens à une adoration du soleil. Et nous apprenons des Écritures que cela est en opposition directe avec la vraie adoration de Dieu.
Lorsque le roi Josias détruit les idoles qui sont adorées en Judée, cela est gardé dans les archives :
« Il chassa les prêtres des idoles, établis par les rois de Juda pour brûler des
parfums sur les hauts lieux dans la ville de Juda, et aux environs de Jérusalem, et ceux qui offraient des parfums à Baal, au soleil, à la lune, au zodiaque et à toute l'armée des cieux. » (11 Rois 23:5.).
Nous apprenons par ce passage que le peuple de Dieu suit les païens dans l'adoration du soleil des hôtes du ciel et aussi de cette image de Baal contre qui le prophète Élie proclame :
« Si l'Éternel est Dieu, allez après Lui ! Si c'est Baal allez après lui. » ( Rois 18:21)
Ce festival païen du dimanche s'est étendu graduellement, apporté dans l'Église dans la dernière partie du second centenaire de l'ère chrétienne par certains païens qui professent être convertis mais qui continuent à observer certaines de leurs Fêtes et de leurs rites païens...
Constantin, Empereur de Rome prépare le chemin au changement du Sabbat. En faisant émettre un décret en faveur de ces fêtes païennes en 321 comme suit :
Laissons tous les juges, les habitants de la ville et tous les commerçants, se reposer sur le vénérable jour du soleil... Mais laissons ceux qui sont situés en campagne libres de s'occuper de l'agriculture, parce qu'il arrive que les autres jours ne soient pas appropriés pour semer le blé d'inde ou planter les vignes ou que dans certains autres moments critiques ils sont empêchés de le faire, l'homme pourrait perdre les grandes commodités qui lui viennent du
ciel. » (tout en voulant régenter, légiférer, et commander à un très grand nombres de peuples Constantin Ier était assez intelligent pour savoir que certains métiers sont tributaires des saisons et du climat, que d'autres ne peuvent s'arrêter même une heure etc...) C'est la première loi sur l'observance du dimanche comme étant un jour de repos, et ceci est donné en faveur du paganisme, c'est évident par le langage qui est utilisé lorsqu'il parle du « vénérable jour du soleil. »

A la librairie de la connaissance universelle, sous l'article du Sabbat, nous trouvons le décret suivant:
« En dépit de l'opinion et de la pratique que les chrétiens primitifs ont regardant l'arrêt du travail le dimanche, indiscutablement, la première loi autant ecclésiastique que civile par laquelle l'observance de ce jour est connue et ordonnée, dans le décret de Constantin, en 321... Mais nous en étions pas encore en l'an 538 que l'abstinence du travail des agriculteurs sera recommandée le dimanche, autorisée cette fois-ci par l'autorité
ecclésiastique (au 3e concile d'Orléans), exprimant que le peuple sera plus libre d'aller à l'Église pour y prier, néanmoins cela n'est qu'à la fin du IXe siècle que l'Empereur Léon, « le philosophe » annule l'exemption (privilège) que l'on retrouve dans le décret de Constantin. ».

La loi de Constantin de 321 est la première loi religieuse et civile sur l'observance du dimanche sur laquelle nous avons plusieurs attestations. Mais celle-ci engage le peuple des villes seulement, et laisse libres les
agriculteurs de faire leur travail le dimanche.
Ce privilège pour les gens de la campagne, est permis jusqu'au Ixe siècle

Coleman nous dit Jusqu'au Ve siècle le Sabbat juif continue à être observé par
l'Église chrétienne mais avec une ténacité et une solennité qui diminuent graduellement.
« L'observance du 7e jour, le Sabbat, n'a pas cessé jusqu'à ce qu'il soit aboli après que l'Empire soit devenu Chrétien. »

Aux clercs sont accordées pour l'affranchissement de leurs esclaves des facilités supplémentaires. Ils peuvent y procéder non seulement in ecclesia et publiquement, mais par disposition de dernière volonté, en quelle-que forme que ce soit, même oralement et sans témoin. La liberté sera acquise à l'esclave du jour où cette volonté sera rendue publique. L’interprétation
de la constitution augmente encore ces facilités, en déclarant valable tout affranchissement fait par un clerc, en forme quelconque et même en dehors des dispositions de dernière volonté.
Ce sont les conditions de l'affranchissement in ecclesia que précise, en les augmentant quelque peu, la constitution. Elle ne prétend pas poser un principe nouveau et se réfère à des mesures antérieures : yam dudum placuit. La constitution à Ossius se contente de la présence des prêtres et du peuple fidèle. Si la nécessité de cette dernière n'est pas exprimée directement, dans la description de la forme nouvelle, une allusion y est faite, dans la deuxième partie du texte, relative aux affranchissements des esclaves du clergé. Cette légère contradiction, ou du moins cette imprécision, montre bien que l'on est en présence d'un acte dont les formes exactes ne sont pas encore déterminées. A ces premières conditions, la constitution à Protogène ajoute l'exigence d'un écrit, revêtu du sceau des prêtres. Sans doute veut-on par là ménager une preuve de l'affranchissement, mais cette condition, figure néanmoins parmi les règles de formes requises pour sa validité.
De même que la seconde partie de la constitution de 321, la finale de celle de 323 reconnaît la validité des affranchissements faits par les clercs, sous la seule, condition qu'une preuve certaine de leur volonté puisse être fournie. M. Guido Mor a suspecté l'interpolation les termes être linquendae, qui font allusion aux affranchissements par acte de dernière volonté. C'est en effet là constitution de 321, postérieure selon lui à celle de Protogène, qui établit pour la première fois cette faveur exceptionnelle. Mais, si l'on admet que ce dernier texte est au contraire de 323, la difficulté disparaît et avec, elle l'interpolation proposée.

Quelques mois après l'admission des affranchissements in ecclesia, Constantin Ier prenait une mesure capitale pour l'histoire ultérieure de l'Église.
Le 3 juillet 321 est publié à Rome un édit au peuple, reconnaissant à l'Église la capacité d'être instituée héritière. Le patrimoine ecclésiastique voit s'ouvrir une source d'enrichissement, qui se révélera considérable. Mais voulant assurer à l'Église les ressources nécessaires à sa mission terrestre Constantin « favorise du même coup la constitution de ce patrimoine ecclésiastique, qui, au cours des siècles, sera la cause de crises internes et d'envies extérieures.
Les Codes n'ont pas conservé de « constitution de Constantin, portant reconnaissance directe de la capacité patrimoniale de l'Église. C'est qu'elle est traditionnelle.
Depuis longtemps, les Églises ont leur patrimoine. Situation de fait que chaque persécution remet en question, mais qui se fortifie pendant les périodes calmes. Et la coutume était, au début du IVe siècle, si ferme, que l'édit de 313 se borne à la reconnaître implicitement, en rendant au « corps » des chrétiens ses biens anciens.
La constitution accorde à chacun un décaissement en mourant ce qu'il veut donner à l'Église catholique. Le motif, assez vague, aussi souvent répété par les textes législatifs, ou privés de toutes les époques que souvent le désir d'assurer la réalisation des volontés dernières, d'autant plus respectables qu'elles ne peuvent être renouvelées.
Le privilège est accordé sanctissimo catholicae venerabilis càndlio. Cette formule fréquente désigne les communautés locales et non l'Église dans son universalité. Cela résulte en particulier, des textes, où, restituant des biens ecclésiastiques, Constantin les attribue aux Églises.

C'est là pour l'Église catholique, un régime de faveur. Ni les communautés juives, qui ne peuvent même pas recevoir de legs, ni les hérétiques ou les schismatiques, dont le droit de propriété sera affirmé quelques années plus tard ne jouissent du même privilège.
Limitée quant aux bénéficiaires, la faveur impériale est des plus larges dans ses conditions. Tous peuvent s'en prévaloir, qu'elle que soit leur situation familiale...

L'année 321 est particulièrement favorable aux privilèges de l'Église catholique. En avril, reconnaissance de la validité des affranchissements in ecclesia, le 3 juillet affichage à Rome de l'édit sur la capacité successorale des Églises et le même jour, à Calaris (Cagliari), capitale de la province de Sardaigne, est publiée une constitution à Helpidius, vicaire de Rome, sur l'observation du dies solis, dont deux fragments nous ont été conservés par les Codes.

Deux séries de textes se réfèrent au paganisme. Ils concernent les formes peut-être les plus vivantes d'une religion à laquelle on ne croit plus guère : La magie, dont les poètes et les historiens du début de l'empire signalent déjà les ravages et à qui les cultes orientaux ont apporté un puissant stimulant.

Les relations entre juifs et chrétiens, surtout lorsque ceux-ci sont d'anciens israélites convertis depuis peu, présentent, dès le règne de Constantin, des heurts passagers, que sa politique d'équilibre a su réduire à de simples conflits individuels. Leur fréquence ou leur gravité nécessitent néanmoins une intervention législative, où se marque déjà plus nettement ses faveurs au christianisme.
« La constitution est conservée en deux passages du Code théodosien, que reproduit avec quelques adjonctions de forme la quatrième constitution de Sirmond. Adressée à Félix, préfet du prétoire en Afrique le 21 octobre 335, elle est publiée à Carthage en mars (Sirmond) ou mai (Code théodosien) 336. Il s'agit, d'après la version conservée par Sirmond, d'un simple renouvellement de prescriptions antérieures protectrices des esclaves chrétiens et des juifs Convertis. Le préfet est invité à les communiquer aux gouverneurs de son diocèse...

La première disposition punit le juif qui fait circoncire son esclave, qu'il soit chrétien ou d'une autre religion. L'esclave est affranchi ipso facto. La condamnation de cette forme de prosélytisme n'était pas nouvelle. Modestin rappelle un écrit d'Antonin, qui déjà la sanctionne sévèrement. D'après les Sentences de Paul, le maître est puni de mort ou de déportation. La nouveauté de la mesure constantinienne n'est donc que dans la sanction. Par une exception assez rare au droit de cette époque, qui multiplie les sanctions pénales souvent de façon fort rigoureuse, Constantin se borne ici à édicter la sanction civile de l'affranchissement. Mais, dans le silence du texte, on peut admettre qu'il laisse subsister des mesures répressives de droit antérieur.
Ce fragment n'interdit pas aux juifs d'être propriétaires ou d'acquérir des esclaves chrétiens. Mais cette solution se heurte à deux témoignages contraires. D'après la Vita Constantini l'empereur a défendu aux juifs d'avoir des esclaves chrétiens, sous peine de sanctions pécuniaires et d'affranchissement de l'esclave.



Dimanche 1er jour de la semaine - rosee.org
www.rosee.org/rosee/page69.html
... un décret de l'empereur Constantin Ier, le 7 mars 321: " Au jour vénérable du soleil, ... bien dans l'esprit de l'Édit de Milan (313) qui était un véritable édit de tolérance. .... Le repos de Dieu le 7e jour après la création, reproduit dans le sabbat juif. ... Paul déclare formellement: "Que personne donc ne vous juge au sujet du ...

Le changement du Sabbat, qui l'a autorisé? - Church of God (7th Day)
www.churchofgod-7thday.org/french/Publications/Le_Changement_du_Sabbat.pdf
de Constantin de 321 A.D. fut la première loi religieuse et civile sur ... communément que le Sabbat juif fut changé pour le jour du Seigneur par les ... l'édit de Constantin que le dimanche devait être comme un Sabbat, étaient plus ... et enseigné par les Protestants dans les universités que la prophétie concernant l'Église.

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