22
JANVIER 2016...
Cette
page concerne l'année 476 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
ROME
S'EFFONDRE !
ROMULUS AUGUSTULE |
Les
raisons du déclin de l'Empire romain font donc l'objet d'un certain
nombre de théories controversées, la plupart des historiens
remettant même aujourd'hui en question la notion de « chute »,
de « déclin », ou la date de 476, qui a d'ailleurs bien
moins marqué les contemporains que celle du sac de Rome par Alaric
en 410. Le caractère succinct des témoignages sur cette époque
troublée explique en partie le grand nombre de théories
développées, qui découle aussi de la variété des points de vue
adoptés par les auteurs qui en ont traité.
Les
principales théories sont regroupées ci-dessous en fonction du sens
que leur auteur donne aux termes de déclin ou de fin de l'Empire
romain.
Romulus
Augustule, le dernier des Empereurs Romains d'Occident. Les théories
de « l'empire décadant »
Généralement,
ces théories soutiennent que la puissance de l'Empire Romain aurait
survécu indéfiniment si une combinaison de circonstances ne l'a pas
conduit à sa chute prématurée. Quelques historiens de ce groupe
croient que Rome la « porte en elle-même », qu'elle
assure son propre déclin par des politiques abusées et la
dégradation de sa réputation.
L'historien
Romain Végèce, au début du Ve siècle, formule une théorie,
selon laquelle l'Empire Romain décline à cause de son contact
croissant avec les Barbares, entraînant une « barbarisation »
qu'il perçoit comme moteur de dégradation. La léthargie, la
complaisance, et la mauvaise discipline qui en résultent dans les
légions font apparaître la chute de l'Empire comme un phénomène
d'origine essentiellement militaire.
L'Empire
dépend désormais essentiellement des « Barbares » pour
assurer la défense de leur vaste territoire, ce qui entraîne la
chute prématurée de cet Empire.
Edward
Gibbon (8 mai 1737 - 16 janvier 1794), historien Anglais, place
fameusement le drame sur une perte de vertu civique parmi les
citoyens Romains. Ils ont graduellement oublié leur devoir de
défense de l'Empire face aux mercenaires Barbares qui, finalement,
se sont tournés contre eux.
Gibbon
considère que la chrétienté a contribué à cela, rendant la
population moins intéressée par « ici-et-maintenant »
et plus disposée à attendre les récompenses du paradis.
« Le
déclin de Rome est la conséquence naturelle et inévitable d'une
grandeur démesurée. La prospérité renforce le principe de
déchéance, les causes de la destruction se sont multipliées avec
l'étendue de la conquête, et dès que le temps a éloigné les
supports artificiels, la structure prodigieuse cède sous la pression
de son propre poids » écrit-il.
Le
travail de Gibbon est remarquable pour ses notes et ses recherches,
erratiques mais exhaustivement documentées. Dans ses écrits, Gibbon
mentionne aussi le climat, expliquant que c'est une cause du déclin,
et disant : « le climat (quelle que soit son influence)
n'est plus le même ». Tandis qu'il juge que la perte de la
vertu civique et l'essor du christianisme sont une combinaison
létale, Gibbon trouve d'autres facteurs qui ont possiblement
contribué au déclin.
Radovan
Richta (1924 - 1983), philosophe Tchèque, soutient que la
technologie est le ressort de l'histoire. Aussi défend-il l'idée
que l'utilisation du fer à cheval par les tribus Barbares à partir
des années 200 a modifié l'équilibre militaire de la Pax Romana.
Cette
thèse a pour faiblesse d'ignorer certaines vertus militaires
Romaines, manifestes dans l'adaptation à la technologie ennemie.
Rome n'a par exemple pas de flotte lorsque Carthage survient comme
une puissance militaire aux moyens essentiellement maritimes. En
quelques générations Rome se dote d'une flotte et bat Carthage. Les
prouesses tactiques de l'infanterie Romaine pour contrer les
initiatives adverses sont également célèbres, notamment celles qui
permettent de confondre les charges d'éléphants d'Hannibal.
Cette
théorie méconnaît également certains épisodes comme le service
massif de cavaliers Teutons dans l'armée Romaine, en tant qu'issus
de peuples fédérés - foederati (la plus grande partie des Barbares
combattus du IIIe au VIe siècle sont par ailleurs des
fantassins).
Aussi
la thèse de Richta, faisant de l'innovation technique le moteur
interne de l'histoire, s'efforçant d'en discerner les effets d'une
société à l'autre, écarte volontairement certains paramètres
contingents comme l'apparition du christianisme et la profonde
transformation des mœurs dans la Rome des derniers siècles.
Le
livre La Chute de Rome et la Fin de la Civilisation (2005, traduction
française en 2014) de Bryan Ward-Perkins, compose les arguments les
plus classiques et nuancés et affirme que la « mort » de
l'empire est apportée par un cercle vicieux d'instabilité
politique, d'invasion étrangère, et d'une réduction des revenus
des taxes. Essentiellement, les invasions causent des dommages à
long terme aux bases fiscales des provinces, qui ont amoindri la
capacité à long terme de l'Empire à payer et équiper ses légions,
avec des résultats prévisibles. (nous en
sommes au même point et cela aura le même effet)
De
même, des invasions constantes encouragent la rébellion provinciale
comme moyen d'autodéfense, en complément des ressources impériales
qui sont réduites.
Contrairement
à la tendance des historiens selon lesquels on ne peut parler de
« chute », qui ne voient pas nécessairement le déclin
de Rome comme une « mauvaise chose » pour les gens
concernés, Ward-Perkins soutient en maints endroits que pour
l'ancien Empire, les rapports archéologiques indiquent que la chute
est véritablement un désastre.
La
théorie de Ward-Perkins, plus que celle de Bury et d'Heather,
identifie une série d'événements cycliques qui viennent ensemble
causer le déclin définitif. La principale différence entre son
travail et celui de Bury est que, comme Heather, il a accès aux
rapports archéologiques qui renforcent l'idée que la chute est un
sérieux désastre pour des millions de gens.
L'Histoire
de l'Empire romain tardif fournit une théorie de plusieurs éléments
pour la Chute de l'Empire Occidental. Il présente la théorie
classique du « Christianisme contre les païens », et la
démystifie, citant le succès relatif de l'Empire de l'Est, qui est
de loin le plus chrétien...
« La
suprématie de Stilicon est due au fait que la défense de l'Empire
est venue à dépendre de l'enrôlement des Barbares, en grand
nombre, dans l'armée, et qu'il est nécessaire de leur rendre le
service attractif par la perspective du pouvoir et de l'opulence vers
la fin du IVe siècle. (là aussi l'exemple de
l'histoire est oublié par nos technocrates déconnectés)
C'est,
bien sûr, une conséquence du déclin de l'esprit militaire et de la
dépopulation, dans les anciennes contrées Méditerranéennes
civilisées. Les Germains sont utiles aux hautes commandes, mais les
dangers impliqués dans cette politique ont été montrés dans les
cas des Mérobaudes et des Arbogastes. (deux officiers qui avec leur
troupes ont pris quelques pouvoirs). Or cette politique ne doit pas
nécessairement conduire au démembrement de l'Empire, et, sauf pour
cette série de hasards, les provinces occidentales ont été
converties, en leur temps et à leur manière, en royaumes
Germaniques. On peut dire qu'une pénétration Germanique de l'Europe
Occidentale doit survenir finalement, de façon, plus tardive, plus
graduellement, et avec moins de violence.
Le
point de l'argumentation présente est que la perte Romaine de ses
provinces au Ve siècle n'est pas un « inévitable effet
de l'une de ces caractéristiques qui ont été à tort ou à raison
décrites comme des causes ou des conséquences de son « déclin »
général. »
Principalement,
le fait que Rome ne puisse compter que sur l'aide des Barbares pour
ses guerres (gentium barbararum auxilio indigemus) peut être tenu
comme étant la cause de son déclin, mais c'est une faiblesse qui
aurait peut-être pu se révéler loin d'être fatale sans la
séquence consécutive des éléments pointés ci-dessus. (J..B.
Bury, History of the Later Roman Empire, chap. IX, § 7 ).
Dans
cette théorie, le déclin et l'ultime chute de Rome ne sont pas
prédestinés, mais simplement une fatalité, d'événements chacun
étant endurable séparément, mais tous ces événements réunis
étant ultimement destructeurs.
« Les
Sassanides étaient suffisamment puissants et cohésifs entre eux
pour repousser les légions Romaines hors de l'Euphrate, d'une grande
part de l'Arménie et de la Turquie du sud-est. Beaucoup de lecteurs
modernes ont tendance à penser aux « Huns » comme des
ennemis imbattables de l'Empire Romain, Alors que pour l'entière
période de débat, ce sont les Perses qui retiennent l'attention de
Rome et de Constantinople. En effet, 20-25 % de la puissance
militaire de l'armée Romaine s'adresse à la menace Perse du tardif
IIIe siècle plus loin… Et de 40 % des troupes sous les
Empereurs Orientaux. »
Heather
continue d'exposer son idée - et il est confirmé par Gibbon et Bury
qu'il a fallu à l'Empire Romain environ un demi-siècle pour faire
face à la menace Sassanide, pour laquelle il a fallu dépouiller les
villes et cités de la province Occidentale de leurs impôts.
L'expansion résultante des forces militaires dans l'Est Central est
finalement couverte de succès en stabilisant les frontières avec
les Sassanides mais la réduction de la rente réelle dans les
provinces de l'Empire a conduit à deux tendances, qui ont un impact
à long terme extrêmement négatif. En premier, la motivation des
fonctionnaires locaux à dépenser leur temps et leur argent dans le
développement d'infrastructures a disparu... Les bâtiments publics
du IVe siècle ont tendance à être beaucoup plus modestes et
les investissements par les budgets centraux, tari comme les taxes
régionales. Ensuite, Heather estime que « les propriétaires
terriens literati ont détourné leur attention là où l'argent
était... loin des politiques provinciales et locales, chez les
bureaucrates impériaux. » (tient nous y
revoilà)
Heather
soutient ensuite qu'après le IVe siècle, ni les invasions
Germaniques, ni les Huns, Stilcho, Aetius, et son meurtre, ni que la
Chrétienté et la déchéance morale ont conduit au déclin, et
place son origine carrément sur les facteurs militaires extérieurs,
en commençant par les Grands Sassanides. Comme Bury, il ne croit pas
que la chute soit inévitable, mais plutôt une série d'événements
qui ensemble ont anéanti l'Empire.
Il
diffère de Bury, toutefois, en plaçant le début de ces drames
beaucoup plus tôt dans la ligne du temps de l'Empire, avec
l'ascension des Sassanides... Les Romains n'ont pas de système
budgétaire. L'empire repose sur le butin des territoires conquis
(cette source de revenus expirant, bien sûr, avec la fin de
l'expansion du territoire Romain) et exempte une élite de taxes, ce
qui conduit des paysans avec peu de terres à une grande pauvreté
(et sur l'aumône qui requière encore plus d'exactions sur ceux qui
ne peuvent échapper aux taxes). (Un peu comme
maintenant n'est-ce pas) Entre-temps, les coûts de la défense
militaire et du faste des Empereurs continuent. Des besoins
financiers continuent à s'amplifier, mais les moyens de les
recouvrer s'érodent progressivement.
Dans
un effort assez similaire, Joseph Tainter estime que la chute de
l'Empire est causée par des bénéfices sur l'investissement
décroissants avec la complexité, une limitation à laquelle les
sociétés les plus complexes finissent par être soumises...
Henri
Pirenne publie la « Thèse de Pirenne » en 1920 qui reste
influente à ce jour. Elle soutient que l'Empire continue d'exister,
dans une forme quelconque, jusqu'au temps des conquêtes arabes au
VIIe siècle qui perturbent les routes du commerce
Méditerranéen, menant à un déclin de l'économie Européenne...
Cette théorie présente l'ascension du Royaume Franc en Europe comme
une suite de l'Empire Romain, et ainsi légitimise le couronnement de
Charlemagne, premier empereur Romain Germanique, comme une
continuation de l'État impérial Romain.
Peter
Heather se prononce pour une interprétation, d'une évolution
logique du pouvoir central Romain vers des pouvoirs locaux,
représentés par les royaumes dits « Barbares »
romanisés poussés par 2 siècles de contacts (et de conflits) avec
des tribus Germaniques, les Huns, et les Perses. Sans leurs
interventions, il pense que l'Empire Romain d'Occident aurait
persisté dans une forme peut-être différente...
D'un
point de vue de l'historiographie, la principale question dont les
historiens s'occupent en analysant toutes les théories est
l'existence prolongée de l'Empire Romain d'Orient, qui dure encore
mille ans après la chute de l'Occident.
Dans
l'ouvrage Banque et banquiers de Babylone à Wall Street, Alfred
Colling attribue le déclin progressif de Rome à l'interdiction par
les évêques de cette ville (mais non de Constantinople) du prêt à
intérêt, qui aurait selon lui paralysé la vie économique
occidentale et précipité le déclin.
Les
théories reflètent parfois les ères dans lesquelles elles sont
développées. Les critiques de Gibbon sur la Chrétienté reflètent
les valeurs du Siècle des Lumières, ses idées sur le déclin dans
la vigueur martiale ont pu être interprétées par certains comme un
avertissement au grandissant Empire Britannique.
Au
XIXe siècle les théoriciens socialistes et anti-socialistes
tendent à blâmer la décadence et d'autres problèmes politiques.
Plus récemment, l'intérêt environnemental est devenu populaire,
avec la déforestation, l'érosion et la paléoclimatologie
(changement de climat au IIIe siècle avec des sécheresses
prolongées) proposées comme des facteurs majeurs, ainsi que les
épidémies tels des cas anciens de peste bubonique, résultant en un
décroissement déstabilisant de la population, et la malaria est
aussi citée.
Ramsay
MacMullen suggère en 1980 que cela est dû à la corruption
politique. (c'était la mode du moment) Les
idées à propos de la transformation sans fin distincte doivent
beaucoup à la pensée postmoderne, qui rejette les concepts de la
périodisation. Ce qui n'est pas nouveau, ce sont les tentatives pour
découvrir les problèmes particuliers de Rome, avec Juvénal au
début du IIe siècle, au sommet du pouvoir Romain, critiquant
l'obsession du peuple envers le « pain et les jeux »
(panem et circenses) ainsi que les dirigeants ne cherchant qu'à
assouvir ces obsessions.
Au
Ve siècle, le système financier marche mal dans l’Empire
Romain d'Occident. Les mines, poissons des rivières, sols et forêts
sont des ressources en déclin, les dépenses croissantes (notamment
pour les guerres et la protection des frontières) ont ruiné de
nombreux contribuables. Lors du Bas-Empire, la généralisation de
l’étatisme s'est accompagnée de dépenses publiques en hausse
continuelle. (c'est aussi d'actualité
aujourd'hui) La pression fiscale exercée sur les
propriétaires entraîne la diminution du rendement des petits
domaines, voire la désertion de leurs terres par les petits
propriétaires qui se placent sous la protection d’un riche terrien
ou rejoignent les bandes de Bagaudes. (et oui
c'est comme cela lorsque l’État se meut en usurier)
L’État
a confié la perception aux administrations municipales (curies) qui,
pour faire rentrer l’impôt, procèdent avec une impitoyable
dureté. (c'est du copié collé) Les
contribuables qui ne paient pas sont jetés en prison, frappés de
verges, vendus comme esclaves, voire condamnés à mort (certes
les peines sont moins lourdes mais le résultat est le même)
(sous Valentinien Ier).
On
confisque leurs biens. Devant l’échec des curiales à faire
rentrer l’impôt, l’État se retourne contre eux. Ils cherchent à
fuir les responsabilités des fonctions municipales, se cachent, se
réfugient au « désert » (dans les forêts ou zones
inhabitées), dans l’armée, l’administration ou l’Église.
Le
pouvoir central, pour les maintenir à leur poste, leur fait la
chasse : Interdiction aux curiales d’entrer dans l’armée ou
dans l’administration.
De
se faire tabellions.
Fabricants
d’armes.
De
se retirer à la campagne sous peine de confiscation de leurs biens
ruraux, perquisitions dans les couvents...
Leurs
biens sont saisis et affectés en garantie à l’entrée normale des
impôts.
L’État
cherche à augmenter l’effectif des curiales en recrutant tous ceux
qui possèdent le cens requis par la loi,
Ceux
qui ont recueilli des biens provenant de curiales (héritage, legs,
fidéicommis, donations).
Ceux
qui exerçant certaines professions semblent qualifiés pour les
fonctions de curiales.
Ceux
qui ont quitté leur cité d’origine pour en éluder les charges et
certaines catégories de condamnés, comme les fils de soldats qui se
mutilent pour échapper au service militaire.
Le
4 septembre 476, un chef barbare, Odoacre, dépose l'empereur Romain
d'Occident, un enfant dénommé Romulus Augustule.
Celui-ci
quitte son palais de Rome pour un couvent Napolitain, avec une
confortable pension.
Odoacre,
roi des Hérules, (tribu Germanique), est un ancien dignitaire de la
cour d'Attila.
Entré
au service des Romains, il porte au pouvoir le patrice Oreste et met
sur le trône le fils de ce dernier, ledit Romulus Augustule.
Mais
comme les revendications de la garde Germanique dont il a le
commandement n'ont pas été satisfaites, Odoacre entre presque
aussitôt en conflit avec son débiteur.
Il
se fait proclamer roi par ses troupes le 23 août 476 puis bat et tue
Oreste à Pavie avant de déposer son fils, le malheureux Romulus
Augustule...
Respectueux
des formes, Odoacre renvoie les insignes de la fonction impériale à
Zénon, l'empereur d'Orient qui règne à Constantinople, signifiant
de la sorte que les 2 moitiés de l'empire Romain sont désormais
réunies.
Elles
ont été séparées à la mort de Théodose le Grand, près d'un
siècle plus tôt (395), cet empereur ayant partagé l'empire entre
ses 2 fils.
Dans
les faits, la déposition de Romulus Augustule enregistre la mort de
l'empire Romain d'Occident (l'enfant-empereur évoque par ses prénoms
le fondateur éponyme de la Ville Éternelle et l'illustre fondateur
de l'empire).
Odoacre,
qui a reçu de Zénon le titre de patrice des Romains, s'établit à
Ravenne et réorganise la péninsule Italienne. Il va jusqu'à
conquérir la Sicile et la Dalmatie.
Ce
faisant, il devient une menace pour l'empire d'Orient lui-même.
L'empereur de Constantinople appelle à la rescousse un autre
Barbare, Théodoric, de la lignée royale des Ostrogoths. Il va
déchaîner une nouvelle guerre civile en Italie.
Voici
la liste des pays actuels qui ont été soumis un jour ou l'autre, en
tout ou en partie, à l'autorité directe ou indirecte de l'Empire
Romain :
En
Europe :
L'Angleterre
et le pays de Galles - le Portugal – l'Espagne – l'Andorre - la
France – Monaco – l'Italie – Saint-Marin - le Vatican – Malte
- la Belgique - la partie sud des Pays-Bas - le Luxembourg - la
partie sud-ouest de l'Allemagne (rive gauche du Rhin, rive droite du
Danube) - la Suisse - le Liechtenstein – l'Autriche - la Hongrie,
la Slovénie, la Croatie, la Bosnie-Herzégovine, la Serbie et le
Kosovo - le Monténégro - la partie sud de la Roumanie - la Bulgarie
– l'Albanie - la Macédoine - la Grèce – Chypre - des portions
de la Russie et de l'Ukraine...
En
Asie :
La
Turquie - la Syrie - le Liban - Israël et les territoires
Palestiniens - la Jordanie - la partie nord-ouest de l'Arabie
saoudite – l'Arménie - la Géorgie – l'Azerbaïdjan - des
portions de l'Irak et de l'Iran.
En
Afrique :
L'Égypte
- la partie nord de la Libye - la Tunisie - la partie nord de
l'Algérie et la partie nord du Maroc.
4
septembre 476 - Fin de l'Occident romain - Herodote.net
www.herodote.net/4_septembre_476-evenement-4760904.php
Le
4 septembre 476, un chef barbare, Odoacre, dépose l'empereur romain
d'Occident, un enfant dénommé Romulus Augustule. Celui-ci quitte
son palais de ...
L'histoire
de 476 - Chronologie de 476 - Une Chronologie ...
www.kronobase.org/chronologie-annee-476.html
L'histoire
de 476 - Chronologie de 476 - Une Chronologie de l'histoire de
l'année 476 - KronoBase.
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