lundi 1 février 2016

EN REMONTANT LE TEMPS... 476

22 JANVIER 2016...

Cette page concerne l'année 476 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !

ROME S'EFFONDRE !

ROMULUS AUGUSTULE
Les raisons du déclin de l'Empire romain font donc l'objet d'un certain nombre de théories controversées, la plupart des historiens remettant même aujourd'hui en question la notion de « chute », de « déclin », ou la date de 476, qui a d'ailleurs bien moins marqué les contemporains que celle du sac de Rome par Alaric en 410. Le caractère succinct des témoignages sur cette époque troublée explique en partie le grand nombre de théories développées, qui découle aussi de la variété des points de vue adoptés par les auteurs qui en ont traité.
Les principales théories sont regroupées ci-dessous en fonction du sens que leur auteur donne aux termes de déclin ou de fin de l'Empire romain.
Romulus Augustule, le dernier des Empereurs Romains d'Occident. Les théories de « l'empire décadant »
Généralement, ces théories soutiennent que la puissance de l'Empire Romain aurait survécu indéfiniment si une combinaison de circonstances ne l'a pas conduit à sa chute prématurée. Quelques historiens de ce groupe croient que Rome la « porte en elle-même », qu'elle assure son propre déclin par des politiques abusées et la dégradation de sa réputation.

L'historien Romain Végèce, au début du Ve siècle, formule une théorie, selon laquelle l'Empire Romain décline à cause de son contact croissant avec les Barbares, entraînant une « barbarisation » qu'il perçoit comme moteur de dégradation. La léthargie, la complaisance, et la mauvaise discipline qui en résultent dans les légions font apparaître la chute de l'Empire comme un phénomène d'origine essentiellement militaire.
L'Empire dépend désormais essentiellement des « Barbares » pour assurer la défense de leur vaste territoire, ce qui entraîne la chute prématurée de cet Empire.

Edward Gibbon (8 mai 1737 - 16 janvier 1794), historien Anglais, place fameusement le drame sur une perte de vertu civique parmi les citoyens Romains. Ils ont graduellement oublié leur devoir de défense de l'Empire face aux mercenaires Barbares qui, finalement, se sont tournés contre eux.
Gibbon considère que la chrétienté a contribué à cela, rendant la population moins intéressée par « ici-et-maintenant » et plus disposée à attendre les récompenses du paradis.
« Le déclin de Rome est la conséquence naturelle et inévitable d'une grandeur démesurée. La prospérité renforce le principe de déchéance, les causes de la destruction se sont multipliées avec l'étendue de la conquête, et dès que le temps a éloigné les supports artificiels, la structure prodigieuse cède sous la pression de son propre poids » écrit-il.
Le travail de Gibbon est remarquable pour ses notes et ses recherches, erratiques mais exhaustivement documentées. Dans ses écrits, Gibbon mentionne aussi le climat, expliquant que c'est une cause du déclin, et disant : « le climat (quelle que soit son influence) n'est plus le même ». Tandis qu'il juge que la perte de la vertu civique et l'essor du christianisme sont une combinaison létale, Gibbon trouve d'autres facteurs qui ont possiblement contribué au déclin.

Radovan Richta (1924 - 1983), philosophe Tchèque, soutient que la technologie est le ressort de l'histoire. Aussi défend-il l'idée que l'utilisation du fer à cheval par les tribus Barbares à partir des années 200 a modifié l'équilibre militaire de la Pax Romana.
Cette thèse a pour faiblesse d'ignorer certaines vertus militaires Romaines, manifestes dans l'adaptation à la technologie ennemie. Rome n'a par exemple pas de flotte lorsque Carthage survient comme une puissance militaire aux moyens essentiellement maritimes. En quelques générations Rome se dote d'une flotte et bat Carthage. Les prouesses tactiques de l'infanterie Romaine pour contrer les initiatives adverses sont également célèbres, notamment celles qui permettent de confondre les charges d'éléphants d'Hannibal.
Cette théorie méconnaît également certains épisodes comme le service massif de cavaliers Teutons dans l'armée Romaine, en tant qu'issus de peuples fédérés - foederati (la plus grande partie des Barbares combattus du IIIe au VIe siècle sont par ailleurs des fantassins).
Aussi la thèse de Richta, faisant de l'innovation technique le moteur interne de l'histoire, s'efforçant d'en discerner les effets d'une société à l'autre, écarte volontairement certains paramètres contingents comme l'apparition du christianisme et la profonde transformation des mœurs dans la Rome des derniers siècles.

Le livre La Chute de Rome et la Fin de la Civilisation (2005, traduction française en 2014) de Bryan Ward-Perkins, compose les arguments les plus classiques et nuancés et affirme que la « mort » de l'empire est apportée par un cercle vicieux d'instabilité politique, d'invasion étrangère, et d'une réduction des revenus des taxes. Essentiellement, les invasions causent des dommages à long terme aux bases fiscales des provinces, qui ont amoindri la capacité à long terme de l'Empire à payer et équiper ses légions, avec des résultats prévisibles. (nous en sommes au même point et cela aura le même effet)
De même, des invasions constantes encouragent la rébellion provinciale comme moyen d'autodéfense, en complément des ressources impériales qui sont réduites.
Contrairement à la tendance des historiens selon lesquels on ne peut parler de « chute », qui ne voient pas nécessairement le déclin de Rome comme une « mauvaise chose » pour les gens concernés, Ward-Perkins soutient en maints endroits que pour l'ancien Empire, les rapports archéologiques indiquent que la chute est véritablement un désastre.
La théorie de Ward-Perkins, plus que celle de Bury et d'Heather, identifie une série d'événements cycliques qui viennent ensemble causer le déclin définitif. La principale différence entre son travail et celui de Bury est que, comme Heather, il a accès aux rapports archéologiques qui renforcent l'idée que la chute est un sérieux désastre pour des millions de gens.

L'Histoire de l'Empire romain tardif fournit une théorie de plusieurs éléments pour la Chute de l'Empire Occidental. Il présente la théorie classique du « Christianisme contre les païens », et la démystifie, citant le succès relatif de l'Empire de l'Est, qui est de loin le plus chrétien...
« La suprématie de Stilicon est due au fait que la défense de l'Empire est venue à dépendre de l'enrôlement des Barbares, en grand nombre, dans l'armée, et qu'il est nécessaire de leur rendre le service attractif par la perspective du pouvoir et de l'opulence vers la fin du IVe siècle. (là aussi l'exemple de l'histoire est oublié par nos technocrates déconnectés)
C'est, bien sûr, une conséquence du déclin de l'esprit militaire et de la dépopulation, dans les anciennes contrées Méditerranéennes civilisées. Les Germains sont utiles aux hautes commandes, mais les dangers impliqués dans cette politique ont été montrés dans les cas des Mérobaudes et des Arbogastes. (deux officiers qui avec leur troupes ont pris quelques pouvoirs). Or cette politique ne doit pas nécessairement conduire au démembrement de l'Empire, et, sauf pour cette série de hasards, les provinces occidentales ont été converties, en leur temps et à leur manière, en royaumes Germaniques. On peut dire qu'une pénétration Germanique de l'Europe Occidentale doit survenir finalement, de façon, plus tardive, plus graduellement, et avec moins de violence.

Le point de l'argumentation présente est que la perte Romaine de ses provinces au Ve siècle n'est pas un « inévitable effet de l'une de ces caractéristiques qui ont été à tort ou à raison décrites comme des causes ou des conséquences de son « déclin » général. »
Principalement, le fait que Rome ne puisse compter que sur l'aide des Barbares pour ses guerres (gentium barbararum auxilio indigemus) peut être tenu comme étant la cause de son déclin, mais c'est une faiblesse qui aurait peut-être pu se révéler loin d'être fatale sans la séquence consécutive des éléments pointés ci-dessus. (J..B. Bury, History of the Later Roman Empire, chap. IX, § 7 ).

Dans cette théorie, le déclin et l'ultime chute de Rome ne sont pas prédestinés, mais simplement une fatalité, d'événements chacun étant endurable séparément, mais tous ces événements réunis étant ultimement destructeurs.

« Les Sassanides étaient suffisamment puissants et cohésifs entre eux pour repousser les légions Romaines hors de l'Euphrate, d'une grande part de l'Arménie et de la Turquie du sud-est. Beaucoup de lecteurs modernes ont tendance à penser aux « Huns » comme des ennemis imbattables de l'Empire Romain, Alors que pour l'entière période de débat, ce sont les Perses qui retiennent l'attention de Rome et de Constantinople. En effet, 20-25 % de la puissance militaire de l'armée Romaine s'adresse à la menace Perse du tardif IIIe siècle plus loin… Et de 40 % des troupes sous les Empereurs Orientaux. »

Heather continue d'exposer son idée - et il est confirmé par Gibbon et Bury qu'il a fallu à l'Empire Romain environ un demi-siècle pour faire face à la menace Sassanide, pour laquelle il a fallu dépouiller les villes et cités de la province Occidentale de leurs impôts. L'expansion résultante des forces militaires dans l'Est Central est finalement couverte de succès en stabilisant les frontières avec les Sassanides mais la réduction de la rente réelle dans les provinces de l'Empire a conduit à deux tendances, qui ont un impact à long terme extrêmement négatif. En premier, la motivation des fonctionnaires locaux à dépenser leur temps et leur argent dans le développement d'infrastructures a disparu... Les bâtiments publics du IVe siècle ont tendance à être beaucoup plus modestes et les investissements par les budgets centraux, tari comme les taxes régionales. Ensuite, Heather estime que « les propriétaires terriens literati ont détourné leur attention là où l'argent était... loin des politiques provinciales et locales, chez les bureaucrates impériaux. » (tient nous y revoilà)
Heather soutient ensuite qu'après le IVe siècle, ni les invasions Germaniques, ni les Huns, Stilcho, Aetius, et son meurtre, ni que la Chrétienté et la déchéance morale ont conduit au déclin, et place son origine carrément sur les facteurs militaires extérieurs, en commençant par les Grands Sassanides. Comme Bury, il ne croit pas que la chute soit inévitable, mais plutôt une série d'événements qui ensemble ont anéanti l'Empire.
Il diffère de Bury, toutefois, en plaçant le début de ces drames beaucoup plus tôt dans la ligne du temps de l'Empire, avec l'ascension des Sassanides... Les Romains n'ont pas de système budgétaire. L'empire repose sur le butin des territoires conquis (cette source de revenus expirant, bien sûr, avec la fin de l'expansion du territoire Romain) et exempte une élite de taxes, ce qui conduit des paysans avec peu de terres à une grande pauvreté (et sur l'aumône qui requière encore plus d'exactions sur ceux qui ne peuvent échapper aux taxes). (Un peu comme maintenant n'est-ce pas) Entre-temps, les coûts de la défense militaire et du faste des Empereurs continuent. Des besoins financiers continuent à s'amplifier, mais les moyens de les recouvrer s'érodent progressivement.
Dans un effort assez similaire, Joseph Tainter estime que la chute de l'Empire est causée par des bénéfices sur l'investissement décroissants avec la complexité, une limitation à laquelle les sociétés les plus complexes finissent par être soumises...

Henri Pirenne publie la « Thèse de Pirenne » en 1920 qui reste influente à ce jour. Elle soutient que l'Empire continue d'exister, dans une forme quelconque, jusqu'au temps des conquêtes arabes au VIIe siècle qui perturbent les routes du commerce Méditerranéen, menant à un déclin de l'économie Européenne... Cette théorie présente l'ascension du Royaume Franc en Europe comme une suite de l'Empire Romain, et ainsi légitimise le couronnement de Charlemagne, premier empereur Romain Germanique, comme une continuation de l'État impérial Romain.
Peter Heather se prononce pour une interprétation, d'une évolution logique du pouvoir central Romain vers des pouvoirs locaux, représentés par les royaumes dits « Barbares » romanisés poussés par 2 siècles de contacts (et de conflits) avec des tribus Germaniques, les Huns, et les Perses. Sans leurs interventions, il pense que l'Empire Romain d'Occident aurait persisté dans une forme peut-être différente...
D'un point de vue de l'historiographie, la principale question dont les historiens s'occupent en analysant toutes les théories est l'existence prolongée de l'Empire Romain d'Orient, qui dure encore mille ans après la chute de l'Occident.

Dans l'ouvrage Banque et banquiers de Babylone à Wall Street, Alfred Colling attribue le déclin progressif de Rome à l'interdiction par les évêques de cette ville (mais non de Constantinople) du prêt à intérêt, qui aurait selon lui paralysé la vie économique occidentale et précipité le déclin.
Les théories reflètent parfois les ères dans lesquelles elles sont développées. Les critiques de Gibbon sur la Chrétienté reflètent les valeurs du Siècle des Lumières, ses idées sur le déclin dans la vigueur martiale ont pu être interprétées par certains comme un avertissement au grandissant Empire Britannique.

Au XIXe siècle les théoriciens socialistes et anti-socialistes tendent à blâmer la décadence et d'autres problèmes politiques. Plus récemment, l'intérêt environnemental est devenu populaire, avec la déforestation, l'érosion et la paléoclimatologie (changement de climat au IIIe siècle avec des sécheresses prolongées) proposées comme des facteurs majeurs, ainsi que les épidémies tels des cas anciens de peste bubonique, résultant en un décroissement déstabilisant de la population, et la malaria est aussi citée.

Ramsay MacMullen suggère en 1980 que cela est dû à la corruption politique. (c'était la mode du moment) Les idées à propos de la transformation sans fin distincte doivent beaucoup à la pensée postmoderne, qui rejette les concepts de la périodisation. Ce qui n'est pas nouveau, ce sont les tentatives pour découvrir les problèmes particuliers de Rome, avec Juvénal au début du IIe siècle, au sommet du pouvoir Romain, critiquant l'obsession du peuple envers le « pain et les jeux » (panem et circenses) ainsi que les dirigeants ne cherchant qu'à assouvir ces obsessions.

Au Ve siècle, le système financier marche mal dans l’Empire Romain d'Occident. Les mines, poissons des rivières, sols et forêts sont des ressources en déclin, les dépenses croissantes (notamment pour les guerres et la protection des frontières) ont ruiné de nombreux contribuables. Lors du Bas-Empire, la généralisation de l’étatisme s'est accompagnée de dépenses publiques en hausse continuelle. (c'est aussi d'actualité aujourd'hui) La pression fiscale exercée sur les propriétaires entraîne la diminution du rendement des petits domaines, voire la désertion de leurs terres par les petits propriétaires qui se placent sous la protection d’un riche terrien ou rejoignent les bandes de Bagaudes. (et oui c'est comme cela lorsque l’État se meut en usurier)

L’État a confié la perception aux administrations municipales (curies) qui, pour faire rentrer l’impôt, procèdent avec une impitoyable dureté. (c'est du copié collé) Les contribuables qui ne paient pas sont jetés en prison, frappés de verges, vendus comme esclaves, voire condamnés à mort (certes les peines sont moins lourdes mais le résultat est le même) (sous Valentinien Ier).
On confisque leurs biens. Devant l’échec des curiales à faire rentrer l’impôt, l’État se retourne contre eux. Ils cherchent à fuir les responsabilités des fonctions municipales, se cachent, se réfugient au « désert » (dans les forêts ou zones inhabitées), dans l’armée, l’administration ou l’Église.

Le pouvoir central, pour les maintenir à leur poste, leur fait la chasse : Interdiction aux curiales d’entrer dans l’armée ou dans l’administration.
De se faire tabellions.
Fabricants d’armes.
Avocats,
De se retirer à la campagne sous peine de confiscation de leurs biens ruraux, perquisitions dans les couvents...
Leurs biens sont saisis et affectés en garantie à l’entrée normale des impôts.

L’État cherche à augmenter l’effectif des curiales en recrutant tous ceux qui possèdent le cens requis par la loi,
Ceux qui ont recueilli des biens provenant de curiales (héritage, legs, fidéicommis, donations).
Ceux qui exerçant certaines professions semblent qualifiés pour les fonctions de curiales.
Ceux qui ont quitté leur cité d’origine pour en éluder les charges et certaines catégories de condamnés, comme les fils de soldats qui se mutilent pour échapper au service militaire.


Le 4 septembre 476, un chef barbare, Odoacre, dépose l'empereur Romain d'Occident, un enfant dénommé Romulus Augustule.
Celui-ci quitte son palais de Rome pour un couvent Napolitain, avec une confortable pension.

Odoacre, roi des Hérules, (tribu Germanique), est un ancien dignitaire de la cour d'Attila.
Entré au service des Romains, il porte au pouvoir le patrice Oreste et met sur le trône le fils de ce dernier, ledit Romulus Augustule.
Mais comme les revendications de la garde Germanique dont il a le commandement n'ont pas été satisfaites, Odoacre entre presque aussitôt en conflit avec son débiteur.
Il se fait proclamer roi par ses troupes le 23 août 476 puis bat et tue Oreste à Pavie avant de déposer son fils, le malheureux Romulus Augustule...
Respectueux des formes, Odoacre renvoie les insignes de la fonction impériale à Zénon, l'empereur d'Orient qui règne à Constantinople, signifiant de la sorte que les 2 moitiés de l'empire Romain sont désormais réunies.
Elles ont été séparées à la mort de Théodose le Grand, près d'un siècle plus tôt (395), cet empereur ayant partagé l'empire entre ses 2 fils.

Dans les faits, la déposition de Romulus Augustule enregistre la mort de l'empire Romain d'Occident (l'enfant-empereur évoque par ses prénoms le fondateur éponyme de la Ville Éternelle et l'illustre fondateur de l'empire).
Odoacre, qui a reçu de Zénon le titre de patrice des Romains, s'établit à Ravenne et réorganise la péninsule Italienne. Il va jusqu'à conquérir la Sicile et la Dalmatie.
Ce faisant, il devient une menace pour l'empire d'Orient lui-même. L'empereur de Constantinople appelle à la rescousse un autre Barbare, Théodoric, de la lignée royale des Ostrogoths. Il va déchaîner une nouvelle guerre civile en Italie.

Voici la liste des pays actuels qui ont été soumis un jour ou l'autre, en tout ou en partie, à l'autorité directe ou indirecte de l'Empire Romain :
En Europe :
L'Angleterre et le pays de Galles - le Portugal – l'Espagne – l'Andorre - la France – Monaco – l'Italie – Saint-Marin - le Vatican – Malte - la Belgique - la partie sud des Pays-Bas - le Luxembourg - la partie sud-ouest de l'Allemagne (rive gauche du Rhin, rive droite du Danube) - la Suisse - le Liechtenstein – l'Autriche - la Hongrie, la Slovénie, la Croatie, la Bosnie-Herzégovine, la Serbie et le Kosovo - le Monténégro - la partie sud de la Roumanie - la Bulgarie – l'Albanie - la Macédoine - la Grèce – Chypre - des portions de la Russie et de l'Ukraine...
En Asie :
La Turquie - la Syrie - le Liban - Israël et les territoires Palestiniens - la Jordanie - la partie nord-ouest de l'Arabie saoudite – l'Arménie - la Géorgie – l'Azerbaïdjan - des portions de l'Irak et de l'Iran.

En Afrique :
L'Égypte - la partie nord de la Libye - la Tunisie - la partie nord de l'Algérie et la partie nord du Maroc.

4 septembre 476 - Fin de l'Occident romain - Herodote.net
www.herodote.net/4_septembre_476-evenement-4760904.php
Le 4 septembre 476, un chef barbare, Odoacre, dépose l'empereur romain d'Occident, un enfant dénommé Romulus Augustule. Celui-ci quitte son palais de ...

L'histoire de 476 - Chronologie de 476 - Une Chronologie ...
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L'histoire de 476 - Chronologie de 476 - Une Chronologie de l'histoire de l'année 476 - KronoBase.








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