2 FÉVRIER 2016...
Cette
page concerne l'année 465 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
POPULATIONS HÉTÉROCLITES DU NORD DE L'INDE.
Dans
la vallée du Gange, le roi de Magadha, Chandragoupta 1er fonde la
dynastie Goupta le 26 février 320. Durant les 15 années de son
règne, il s'impose dans le nord de l'Inde. Samoudragoupta, son fils
lui succède et étend l'empire en Inde du Nord. Il unifie les pays
du Gange et après de nombreuses guerres, soumet le Deccan, l'Inde
Centrale, l'Assam et le Népal. Chandragoupta II (Vikramâditya)
succède à son père vers 380. Il poursuit l'œuvre de ses
prédécesseurs et remporte une campagne majeure contre les Shaka
vers 400.
Koumarâgoupta
(vers 414-455) connaît les premières menaces d'invasion du nord
ouest, a la fin de son règne. Skandagoupta, au milieu du Ve siècle,
arrête par une nette victoire, les invasions des Huns Hephtalites
qui dévastent la plaine Indienne. Ces derniers s'installent en Perse
à la mort du Chah Yezdegerd II vers 457, puis occupent Gandhara,
attaquent à nouveau, pénètrent profondément dans l'Inde et
s'établissent dans la vallée de l'Indus vers 465.
Les
provinces de l'Empire retrouvent leur autonomie.
Les
Goupta se replient sur le Magadha et se divisent en 3 branches qui
somnolent jusqu'en 670. La capitale des Huns est Bâmiyân, leurs
possessions s'étendent jusqu'à la mer Caspienne. La partie de
l'Inde qu'ils contrôlent n'est qu'une dépendance. Au milieu du VIe
siècle les Huns sont éliminés par les Turcs.
Le
Gandhara (en sanskrit गन्धार
(Gandhāra))
est le nom antique d'une région située dans le nord-ouest de
l'actuel Pakistan et l'est de l'Afghanistan, incluant les vallées de
la Swat et de Kaboul jusqu'à l'Indus.
Ses
villes principales sont Purushapura l'actuelle Peshawar et, sur sa
frontière orientale, Taxila, toutes 2 centres commerciaux de premier
plan entre l'Inde et l'Occident au début de notre ère.
Le
« royaume » de Gandhara (il n'y a jamais eu de « roi »,
comme nous l'entendons en Occident) existe du premier millénaire
avant notre ère jusqu'au XIe siècle de notre ère, mais il
prend véritablement son essor après les successeurs d’Alexandre
le Grand (avec les royaumes Indo-Grecs) , au temps de l’empire
Kouchan aux Ier IIIe siècles de notre ère. Région
stratégique située au carrefour des grandes civilisations Indienne,
d'Asie Centrale, Perse et Gréco-Romaine, cette plaine riche et
convoitée est envahie à de nombreuses reprises. Ce royaume est sous
l'autorité des souverains Indo-Grecs jusque vers 30 avant notre ère,
puis sous celle des Kouchan au moins jusqu'au IIIe siècle...
Après
la conquête par Mahmoud de Ghazni en 1021 le nom de Gandhara
s'applique à une autre région. À l'époque d'Akbar le Gandhara
désigne la région située entre le Cachemire et Attock.
Le
bouddhisme du Gandhara et des régions avoisinantes, mélange
d'influences Indienne, Perse et Hellénistique, a vu la naissance du
Mahayana et a influencé de manière importante le bouddhisme
d'Extrême-Orient, les premiers missionnaires et traducteurs actifs
en Chine, ainsi que la majorité des sûtras, proviennent des régions
Indo-Grecques et Kouchanes.
L'influence
du Gandhara s'exerce aussi sur le bouddhisme Tibétain par
l'intermédiaire de l'école yogacara, fondée par Asanga et
Vasubandhu, 2 frères Gandharais. Les manuscrits bouddhiques les plus
anciens, qui sont aussi les manuscrits Indiens les plus anciens, ont
été trouvés au Gandhara.
RÉGION DE HADDA |
L'art
du Gandhara, le plus connu des arts Gréco-Bouddhiques, offre
l'intégration des formes artistiques la plus flagrante et la plus
importante entre l'Asie et l'Europe. Aujourd'hui cet art doit être
situé sur une aire précise : Le district de Peshawar, de la
passe de Khyber à l’Indus et de Kohat au col de Malakand. C'est
aussi plus ou moins le centre d'un vaste et fluctuant espace où
s'est développé l'art Gréco-bouddhique, à cheval sur le Pakistan
et l'Afghanistan actuels. Cet art Gréco-bouddhique s'est diffusé
sur les routes commerciales jusqu'en Asie Centrale Orientale, dans
l'actuel Xinjiang et dans l'ancien royaume de Dali, au Yunnan,
ailleurs en Chine et au Japon, avec des traits stylistiques
caractéristiques offrant la synthèse changeante des arts Indiens,
Hellénistiques, Romains et Iraniens, sur des thèmes iconographiques
et architecturaux Indiens où le bouddhisme a été l'un des motifs
essentiels.
C'est
en effet dans la région du Gandhara - ainsi qu'à Mathura - que sont
apparues les premières images du Bouddha sous forme d'un être
humain.
Et
c'est au Gandhara qu'est supposé se trouver le lac Dhanakosha, lieu
de naissance de Padmasambhava, fondateur du bouddhisme Tibétain.
La
question de l'identité des Hephthalites est l'une des plus ardues
qui soient car les textes Chinois les décrivant sont
contradictoires.
Ainsi,
le Chinois Wei Jie (?), bien qu’ayant personnellement conversé
avec des Hephthalites, ne réussit à les identifier, ce qui est tout
à fait significatif.
Cela
montre soit qu'ils n'appartiennent à aucun des grands groupes
linguistiques connus au VIe siècle, soit qu'ils ont alors perdu
leur identité linguistique.
Plusieurs
théories s'opposent, résumées par K. Enoki dans son article de
1959 « On the Nationality of the Ephtalites » dans les
Memoirs of the Research Department of the Toyo Bunko.
Il
tranche pour des raisons principalement ethnographiques en faveur
d'une origine Iranienne des Hephthalites. Mais une analyse récente
du texte du Tongdian montre que les Hephthalites viennent de l'Altaï
et parlent une langue proche de celle des Gaoju, eux-mêmes supposés
turcophones. Quoi qu'il en soit, il semble que les Hephthalites ont
rapidement perdu leur identité linguistique (de la Vaissière, 2007)
BOUDDHA DE LA VALLÉE DE SWAT |
Cette
coutume, semblable à la polyandrie des Tibétains, doit avoir la
même explication : Pour que l'héritage ne soit pas partagé,
les frères cadets n'ont pas de biens propres. Tout appartient à
l'aîné, y compris l'épouse. On sait maintenant grâce aux
documents Bactriens que cette coutume est locale, Bactrienne,
antérieure à l'arrivée des Hephthalites dans la région. Les
femmes ne vivent pas tout le temps avec leurs époux. Ils sont
parfois séparés de plus de 100 km.
Les
Hephthalites se coupent les cheveux ras et décorent leurs vêtements
avec des rubans et des cordons. Les tentes sont en feutre et
s'ouvrent à l'est. Celle du roi est de forme carrée, on suspend des
tapis de laine à ses quatre côtés.
Le
souverain et son épouse, qui possèdent des demeures séparées,
s'assoient sur des trônes en or. La reine porte une sorte de hennin
d'où retombent des voiles qui descendent jusqu'à terre et que
quelqu'un est chargé de relever.
Elle
est accompagnée par les épouses des principaux dignitaires. Parmi
les frères et les fils du roi, c'est le plus capable qui lui
succède.
La
nourriture des Hephthalites, comme celle des Mongols aujourd'hui, est
constituée de chair de mouton et de farine de blé. Comme les
Köktürks, ils gravent leurs contrats sur des plaquettes de bois.
Ils ont des livres en peaux de mouton.
La
justice est rendue de manière simple et sévère : Le coupable
d'un vol est coupé en deux et la victime reçoit dix fois ce qu'elle
a perdu. Une telle sévérité reflète le caractère guerrier des
Hephthalites.
Quand
un père ou une mère meurt, leurs fils se coupent une oreille et
choisissent un jour faste pour l'enterrement. Les riches sont inhumés
sous des tumulus en pierres.
Les
Hephthalites vénèrent le dieu du Ciel et le dieu du Feu. Chaque
matin, ils sortent de leurs tentes pour vénérer leurs dieux, puis
ils prennent leur premier repas. Ces cérémonies, de même que
l'orientation des tentes à l'est, sont certainement en rapport avec
le soleil levant. Toutefois, ils sont autour du Ve siècle en
grande partie convertis au christianisme nestorien.
Quand
les Hephthalites s'installent en Transoxiane, la dynastie Indienne
des Gupta est au faîte de sa puissance. L'inscription de Junagadh,
date d'environ 457, mentionne une victoire remportée par le roi
Skandagupta (vers 454-467) contre des tribus qui semblent avoir été
Hephthalites. Leur pénétration en Inde est permise par le déclin
des Gupta qui suit la mort de ce roi.
À
la fin du Ve siècle, un de leurs chefs, Toramâna, envahit le
Panjâb et s'y établit.
Son
fils Mihirakula — ou Mihiragula — lui succède vers 515.
STATUE D'UN MONASTÈRE D'HADDA |
En
528, une confédération de râjas Hindous renverse Mihirakula qui se
réfugie au Cachemire, où il s'empare du trône après quelques
années et à partir d'où il attaque l'État voisin du Gandhara, où
il pratique de terribles massacres. Un an plus tard, vers 540, il
meurt et les Hephthalites s'effondrent sous les coups des Turcs.
Notre
connaissance des Hephthalites provient majoritairement de la
numismatique, de quelques inscriptions trouvées au Panjâb et en
Inde centrale et des écrits du voyageur Chinois Xuanzang qui visite
l'Inde peu après la mort de Mihirakula.
Le
voyageur Grec Cosmas Indikopleustès, qui visite le pays vers 530,
fait la description d'un roi Hun blanc, qu'il nomme Gollas, il
perçoit un tribut en opprimant son pays au moyen d'une grande armée
composée d'une cavalerie et d'éléphants de guerre.
Il
est probable qu'il s'agisse de Mihiragula. D'après les monnaies
frappées par Mihirakula, qui porte l'emblème de Nandin, on pense
qu'il vénérait Shiva, bien que la première partie du nom provienne
peut-être de celui du dieu Perse Mithra. On a trouvé de nombreuses
pièces frappées par son père, Toramâna, au Cachemire, territoire
qui fait partie de la zone d'influence des Hephthalites. Mihirakula a
laissé en Inde la mémoire d'un souverain cruel qui a persécuté
sévèrement le bouddhisme.
Les
Grecs ont laissé une description des Hephthalites beaucoup plus
flatteuse, basée probablement sur le fait qu'ils sont une menace
contre l'ennemi Perse aux frontières de l'Empire Romain d'Orient,
mais trop lointain pour l'Empire lui-même. Procope de Césarée
affirme qu'ils sont bien plus civilisés que les Huns d'Attila.
Les
Huns blancs n'ont eu que peu d'influence sur la société Perse, mais
en Inde, ils sont à l'origine d'une modification du système des
castes en changeant la hiérarchie des familles régnantes.
Certains
Huns blancs sont restés en Inde et se sont fondus dans la
population, probablement à l'origine d'un ou plusieurs clans râjput.
Les
habitants du Gandhara sont installés depuis l'époque Védique sur
les rives de la rivière Kaboul, jusqu'à son confluent avec l'Indus.
Les
frontières du royaume varient suivant les époques, pouvant
s'étendre jusqu'à la vallée de la Swat ou inclure des parties du
nord-ouest du Pendjab, mais son centre reste situé sur le bassin de
Peshawar et Taxila. D'autres cités comme Hadda en Afghanistan, sont
des centres culturels importants. Ainsi le « Grand Gandhara »,
son aire culturelle, ne se limite pas au Pakistan, elle s'étend
aussi à l'Est sur l'Afghanistan, et au Nord sur l'ancienne Route du
Karakorum... Par aire culturelle il faut entendre l'espace où des
populations partagent un langage ( le Gandhari ), une écriture ( le
kharosthi), un langage artistique (l'art du Gandhara ) et une
histoire distincte (le Gandhara ayant été inclus dans l'Empire
achéménide).
Le
« Grand Gandhara » s'étend donc, au-delà du bassin
de Peshawar jusqu'à Taxila, sur les nombreux sites de la vallée de
la rivière Swat au Pakistan et aussi sur l'Est de l'Afghanistan,
incluant en particulier les sites de Hadda (à proximité de
Jellalabad ), Shotorak (près de Begram) et Ghazni (au Sud-ouest de
Kaboul) ainsi que l'unique colonne subsistant encore il y a peu :
Celle de Minar-i Cakri, près de Kaboul.
On
peut aussi inclure les sites de la vallée de la Kunar, et de la
région de Bajaur. Par ailleurs, à l'Est, les populations du
Gandhara ont laissé des monuments bouddhistes portant des
inscriptions qui ont fait l'objet d'études précises par les
chercheurs de l'Université de Heidelberg. Ces stupas sont situés
sur la grande route du Karakorom en direction du Xinjiang (le site de
Gilgit, entre autres). Enfin l'aire culturelle du Gandhara ne doit
pas être étendue jusqu'à la Bactriane, en particulier dans sa
partie Sud : Chaqalaq Tepe et Haïbak. De même Bamiyan ne
relève pas de l'aire culturelle du Gandhara.
Situé
sur la route commerciale du nord de l'Inde, le Gandhara a été et
reste aujourd'hui un centre d'activités commerciales internationales
et un important nœud de communication entre la Perse et l'Asie
centrale.
Leurs
traits sont décrits comme mongoloïdes et leur teint brun, avec une
absence de barbe. Selon nos connaissances actuelles, 20 à 25% des
Huns retrouvés dans les tombes étaient de type mongoloïde, la
majorité étant de type Européen. Les Huns et les Alains diffusent
l’usage de la déformation crânienne parmi les Germains orientaux,
surtout chez les femmes.
Ces
derniers abandonneront cette pratique après la défaite des Huns. La
langue hunnique, jamais écrite, nous est peu connue. Les noms des
rois Huns retranscrits approximativement par les Grecs et les Romains
témoignent d’une langue turque (liée au protobulgare et au
mongol).
Les
Huns sont des éleveurs consommant principalement de la viande (en
abondance, qu’ils mangent crue et qu’ils font aussi sécher) et
des produits laitiers. La chasse a également une grande importance
dans leur économie, notamment la chasse des grands-roi pour
l’alimentation de l’armée (cette chasse royale est une sorte de
grande manœuvre préliminaire à la guerre). Leur bétail fournit
également le cuir, la laine et les os.
Le
cuir servait à la fabrication des bottes, du harnachement, du
carquois.
La
laine à celle du feutre des tentes, des capes et peut-être des
tapis.
L’archéologie
témoigne de l’arrivée et de la progression des Huns en Europe au
IVe siècle. D’importants vestiges Hunniques ont été découverts
dans plusieurs centres : Dans la région de Saratov et celle de
Volgograd, sur les 2 rives d’un gué important de la Volga, dans la
région centrale du Caucase du Nord, près de la Caspienne, au
Daghestan, dans la région du bas Dniepr à la Crimée,
(Dniepropetrovsk, Zaporojie, Kherson), également sur la presqu’île
de Crimée, entre le Boug méridional et le Prout, sur les bords du
Dniestr et du Prout en Moldavie et en Roumanie, dans la vallée du
Buzăul qui relie les Carpates du sud-est et le coude du Danube en
Dobroudja, en Olténie enfin.
L'aspect
dominant chez les Huns, est leur efficacité militaire due à
l’excellence de leurs archers à cheval, à la résistance et au
nombre de leurs chevaux, et à leurs qualités de cavaliers,
facilitées par l’emploi de selles à arcades hautes.
La
cavalerie Hunnique est opérationnelle été comme hiver. Sa rapidité
lui permet de prendre ses adversaires par surprise. La tactique des
Huns consiste à attaquer en groupes de 500 à 1 000 cavaliers,
convergeant de diverses directions. Ils ouvrent la bataille de loin
par des nuées de flèches au tir précis. Quand leur adversaire
ripostent, ils s’écartent, comme en fuite, et l’attirent à
proximité d’autres groupes qui les attendent embusqués.
Dans
d’autres cas, les troupes de réserve attaquent le camp ennemi
pendant que son armée poursuit les autres. L’ennemi ainsi
désorganisé, les Huns font volte-face, et attaquent l’adversaire
de plusieurs directions en même temps, le massacrant avec leurs
longues épées.
Les
Huns emploient la terreur pour briser toute résistance, par
l’incendie et le massacre des populations civiles. Ils utilisent
des arcs asymétriques « reflex » à raidisseurs d’os,
des carquois en écorce de bouleau ou en cuir, et différents types
de pointes de flèches : Pointes en fer à 3 ailettes (les plus
utilisées), plates losangiques et massives en forme de clous, et
celles en os servant pour la chasse.
L’épée
longue et relativement mince, à double tranchant et souvent munie
d’une garde de fer, est l’arme offensive principale des cavaliers
Huns avec l’arc et les flèches. Elle est accompagnée d’un
coutelas à un seul tranchant, spécifiquement Hunnique, et de
lances.
Il
n’y a pas de trace, écrite ou archéologique, de l’utilisation
de boucliers. Des cuirasses à écailles de fer se trouvent déjà
dans les tumuli kourganes d’époque Hunnique d’Asie centrale de
Ketmentöbe-Aktchikarassou, des fragments de cottes de mailles ( à
Fiodorovka) et de cuirasse (à Pokrovsk-Voskhod) ont été retrouvés.
Le
seul casque Hunnique Oriental connu, de type composite fait de plaque
de fer, a été retrouvé dans une tombe de Kichpek.
Aujourd’hui
cependant, la majorité de la communauté scientifique (historiens,
archéologues et linguistes) estime que les Huns d’Europe, les Huns
d’Asie (Xiongnu) et les Huns blancs (Hephtalites) sont le même
peuple en raison des dernières découvertes : Une lettre en
sogdien du IIIe siècle raconte l’attaque des Xiongnus contre une
caravane dans le Turkestan Chinois. Dans cette lettre, les Xiongnus
sont nommés par le terme « xwn », les annales Chinoises
parlent de l’attaque des Xiongnus contre les Alains.
Les
historiens Romains ont aussi relaté cet événement, mais dans la
version latine ce sont les Huns qui détruisent le royaume Alain, les
archéologues ont découvert des pièces de monnaies dans les
tombeaux Hunniques de l’Europe centrale. Ces pièces, d’origine
Sassanide, Sogdienne, Kouchane et Indienne, témoignent en faveur du
fait que les Huns blancs qui combattent en Asie centrale sont les
mêmes que les Huns d’Europe.
Les
auteurs byzantins (comme par exemple Procope au VIe siècle)
rapportent que les Hephtalites ne ressemblent pas aux Huns d’Attila
(Ve siècle). Cela pourrait être dû au fait que les premiers sont
hindouistes et les derniers de religion chamanique.
Empire
hunnique — Wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Empire_hunnique
Dans
les années 370, le royaume des Greuthungues, au nord de la mer
Noire, alors .... 465 : les Huns conquièrent la plaine de Gandhara
en Inde du Nord.
Gandhara
— Wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Gandhara
Situé
sur la route commerciale du nord de l'Inde, le Gandhara a été et
reste ... Cependant la plaine du Gandhara ayant été submergée
d'innombrables fois par ...... Notes sur la topographie de l'ancienne
Kandahar », Arts asiatiques - Année …
L'Inde
antique - Miltiade
miltiade.pagesperso-orange.fr/Indeantiq.htm
Voici
une introduction à l'histoire militaire de l'Inde avant la conquête
musulmane. ... L'Inde du Nord reste morcelée à l'arrivée
d'Alexandre III de Macédoine. ... il fait la conquête de la vallée
de l'Indus et obtiendra Gandhara et Arachosia après .... victoire,
les invasions des Huns Hephtalites qui dévastent la plaine indienne.
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