23
AVRIL 2016...
Cette
page concerne l'année 381 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
LES
VESTIGES DE CULARO SOUS GRENOBLE.
Cularo
(ou Cularone, forme latinisée) est le nom Gaulois de la ville de
Grenoble. Sa première référence officielle écrite remonte au 6
juin 43 av. J.-C., mais de nombreuses traces archéologiques laissent
penser que le site est habité bien avant, puisqu'installé sur une
route menant à Rome.
Ses
habitants font partie du peuple des Allobroges dont la ville
constitue une frontière avec les territoires des peuples des
Vertamocores et des Tricores.
À
la suite de la christianisation de Cularo, la bourgade change de nom
en 381 et devient Gratianopolis...
L'agglomération
primitive s'est installée sur une légère éminence alluviale,
haute d'environ 2,5 mètres par rapport au reste de la vallée,
et entourée par 3 cours d'eau.
L'Isère
encerclant le mont Rachais,
Le
Drac (Draquet ou Dravet à l'époque) occupant alors le site de
l'actuel cours Jean-Jaurès, mais divaguant au fil des décennies et
créant des marécages.
Le
ruisseau du Verderet venant d'Eybens et qui se jette au niveau de
l'actuelle passerelle Saint-Laurent (actuellement détourné pour se
jeter au niveau du musée de Grenoble).
À
ces contraintes de franchissement de cours d'eau, il faut rajouter
celles de l'accès physique par les massifs qui entourent cette vaste
vallée à la planéité parfaite.
Durant
la période de la préhistoire appelée mésolithique, des hommes
s’installent sur le site de l'actuelle métropole de Grenoble dans
des abris rocheux et des grottes, notamment à la Grande Rivoire sur
les hauteurs de Sassenage qui a abrité des hommes du mésolithique,
à partir de 8 000 av. J.-C. jusqu'à l'époque gallo-romaine.
En
1893, l'archéologue Hippolyte Müller découvre, à la balme de
l'Hermitage sur les hauteurs du Néron à Saint-Martin-le-Vinoux, des
artéfacts du Néolithique, de l'âge du bronze, de l'époque Romaine
et Burgonde. Quelques années plus tard, ce même archéologue
découvre en 1911 la Pierre du Bigot, du nom du hameau des hauteurs
de Saint-Martin-d'Hères, laissant penser à la présence d'hommes au
néolithique dans les environs de Cularo.
De
son côté, l'archéologue Aimé Bocquet publie en 1963 les
circonstances de la découverte 3 ans auparavant d'une nécropole
protohistorique à Saint-Paul-de-Varces, au pied de la montagne
d'Uriol. Les fouilles ont permis de trouver dans des éboulis
plusieurs dizaines de squelettes et du mobilier funéraire (bracelets
de bronze, épingles, rouelles, perles d'ambre, gobelet caliciforme,
etc.) daté entre 2 000 et 500 ans avant notre ère
(chalcolithique final, âge du bronze et premier âge du fer)... Ces
générations d'hommes, derniers chasseurs-cueilleurs devenus
agriculteurs-éleveurs ont donc arpenté la plaine marécageuse de
l'actuelle Grenoble qui portait alors le nom de Cularo. Le toponyme
Cularo est issu du gaulois cularo(n)- (cf. irlandais cularán
« concombre », breton keler, coloren « noix de
terre, truffe, tubercule »). Il signifiait vraisemblablement
« champ de courges », le terme s'étant conservé dans le
patois du Dauphiné sous la forme courla « courge ».
La
Gaule Narbonnaise et ses provinces à partir de 27 av. J.-C.
La
bourgade s'est probablement installée sur les 2 rives de l'Isère
mais les témoignages des fouilles archéologiques prouvent que
l'essentiel des zones d'habitation de Cularo se trouvent au sud de la
rivière. D'autre part, de nombreux objets liés à la présence d'un
site funéraire ont été retrouvés en 1949 de l'autre côté de
l'Isère, à environ 1 200 mètres à vol d'oiseau des remparts
de Cularo, sur l'actuelle commune de La Tronche, sur le site de la
clinique universitaire du Grésivaudan.
Jusqu'à
la fin du IIIe siècle, Cularo est une bourgade ouverte, et comme
pour de nombreuses autres cités de la Gaule à cette époque, la
construction d'un mur fortifié est décidée afin de défendre les
habitants de la bourgade des raids des peuples Germaniques. Il doit
protéger contre les armes de jet et de propulsion de pierre, comme
les balistes, les scorpions, les catapultes ou les onagres. Mais fait
unique, les travaux sont financés par le pouvoir impérial.
La
construction du mur d'enceinte à Cularo se déroule entre 286 et
292, sous le règne commun des empereurs Dioclétien et Maximien. Son
nouveau statut de chef-lieu de cité est certainement la raison de
cette édification car il est bien peu probable que des empereurs se
soient intéressés à la sécurité d'un simple vicus (village).
D'autre
part, si Cularo avait continué de dépendre de Vienne, des
inscriptions sur les portes du rempart l'auraient mentionné.
À
une période de grande réforme administrative dans l'Empire Romain
avec le découpage en 3 de la cité de Vienne, Cularo est donc devenu
à la fin du IIIe siècle, le siège administratif et politique
d'un territoire qui comprend l'Oisans, le nord du Vercors, le massif
de la Chartreuse, la combe et la cluse de Savoie.
Le
rempart fait 9 à 10 mètres de hauteur depuis ses fondations,
il est épais de 4,50 mètres à la base et 2,50 m au sommet, et
mesure 1 150 mètres de long (en comparaison, Vienne :
7 200 m, Orléans : 1 100 m). Il est flanqué
d'une trentaine de tours de guet semi-circulaires d'un diamètre
d'environ 7,50 mètres et sa superficie ovale représente 9,09
hectares. La création de l'enceinte oblige la bourgade à se
resserrer un peu plus et à l'abandon de certains quartiers car au
fil des siècles, elle s'est étendue sur environ 15 hectares.
À
l'extérieur du rempart, la défense est renforcée par des douves
alimentées par les cours d'eau voisins. Deux portes monumentales
assurent l'accès à la bourgade, la porte Herculea, nommée en
hommage à Maximien, puis appelée plus tard porte Viennoise pour la
destination qu'elle prend, et la porte Jovia en hommage à
Dioclétien, nommée plus tard porte Traine (contraction de romaine).
La
porte Viennoise, positionnée place Notre-Dame, devant le Musée de
l'Ancien Évêché, démolie en 1804, elle donnait la possibilité
aux voyageurs d'aller au centre administratif de Vienne via l'unique
pont de bois sur l'Isère et la montée de Chalemont. Une fois le
pont franchi, elle permettait également en partant vers le
nord-ouest par la vallée du Grésivaudan de rejoindre l'Italie et
Rome via le Col du Petit-Saint-Bernard.
Lors
de sa démolition, des épitaphes ont été trouvées, dans les
fondations, laissant apparaître la présence de Triumvirs à Cularo,
ainsi que d'un habitant mort à Rome mais ayant un monument funéraire
à Cularo.
Au-dessus
de la porte, une pierre porte l'inscription : « Nos seigneurs,
l'empereur César Gaius Aurélius Valérius Dioclétien, pieux,
heureux, invincible, auguste et l'empereur César Aurélius Valérius
Maximien, pieux, heureux, invincible, auguste, après l'achèvement
des murs de Cularo et des bâtiments intérieurs élevés par leur
prévoyance, ont donné à la porte Viennoise le nom de porte
Herculéa. »...
La
porte Jovia, située à l'entrée de l'actuelle Grande rue devant la
place Grenette, a été démolie en 1591 au moment de la construction
de l'enceinte Lesdiguières. De cette porte les voyageurs partaient
pour Rome, via le col du Lautaret et le col du Montgenèvre.
Au-dessus
de la porte, une pierre portait l'inscription : « Nos
seigneurs, l'empereur César Gaius Aurélius Valérius Dioclétien,
pieux, heureux, invincible, auguste et l'empereur César Aurélius
Valérius Maximien, pieux, heureux, invincible, auguste, après
l'achèvement des murs de Cularo et des bâtiments intérieurs élevés
par leur prévoyance, ont donné à la porte romaine le nom de porte
de Jovia. »
Dans
la précipitation de la construction, toutes sortes de matériaux
sont utilisés, y compris des morceaux d'édifices publics ou de
sépultures. Malgré tout, la construction est très soignée, et sa
solidité n'en sera pas affectée puisqu'elle protége ses habitants
pendant encore 13 siècles.
En
1804, lors de la démolition de la porte Viennoise ou Herculea, un
cadran solaire romain datant du IIe siècle a été découvert
dans ses fondations. En calcaire, monté sur un socle de forme
cubique, une sphère forme un cadran gradué de forme hémisphérique
au-dessus duquel est fixé un gnomon métallique, aujourd'hui
disparu.
Ce
cadran est conservé de nos jours sous les arcades du cloître du
musée Dauphinois.
D'autre
part, en matière d'itinéraires, il existe également une troisième
voie romaine partant de Cularo qui rejoint Massalia (Marseille) via
le Col de la Croix-Haute. Mais pour les historiens, le cheminement de
cette dernière reste encore incertain dans la vallée de Cularo, du
fait de la difficulté à franchir le Drac et d'un possible
changement de chemin des voyageurs au fil des siècles.
Une
activité fluviale existe à Cularo avec un port de commerce situé
vers l'actuelle place de Bérulle, d'abondantes trouvailles en
céramique (coupelles) ainsi que des amphores en apportent la preuve.
L'Isère
est navigable d'Albertville jusqu'au Rhône. Bateliers, meuniers,
potiers, carriers, tisserands, agriculteurs, une foule de marchands
et de transporteurs, le tout assure à la bourgade une prospérité
toute relative.
D'autre
part, à l'entrée de la ville, sur le site de l'actuelle porte de
France, se trouve une carrière exploitée dès cette époque par les
carriers.
La
présence d'un bureau de douanes, celui du Quarantième des Gaules
chargé de lever un impôt de 2,5 % sur la valeur des
marchandises en transit, atteste de l'importance du point de passage.
Un
cippe funéraire, connu sous le nom de cippe du quarantième des
Gaules, a en effet été élevée à la mémoire d'un percepteur,
Caius Sollius Marculus à la fin du IIe siècle.
Visible
de nos jours au musée de l'Ancien Évêché, il s'agit en fait du
seul objet connu d'époque où figure en toutes lettres le nom de
Cularo.
Des
indices de confort urbain comme des domus, c'est-à-dire hôtels
particuliers, avec chauffage et peintures murales probablement du
IIe siècle et l'analyse du matériel épigraphique attestent de
la présence de notables qui exercent des magistratures à Vienne, et
même dans les provinces du monde Romain.
Une
peinture murale d'environ 2 mètres de long a été retrouvée sur
l'actuelle place Sainte-Claire en 1989. Visible au musée de l'Ancien
Évêché, elle montre un décor végétal composé de buissons et de
fleurs stylisées. Des objets typiques provenant de Milan ont été
retrouvés comme des fibules à arc bouleté.
L'épigraphie
donne connaissance de 88 inscriptions funéraires, dont les familles
sont des notables comme les Attii, et ne représentent donc pas
l'ensemble de la société de Cularo. Jusqu'à la christianisation
débutée à Cularo dans le dernier quart du IVe siècle, les
divinités les plus invoquées sont Mercure, Mars, Jupiter et
Saturne. Une base cubique de statue est visible au musée Dauphinois,
monument dédié à Saturne et demandé par un chevalier Romain,
Decimus Decmanius Caper.
Épitaphe
d'un magistrat de Cularo du IIe siècle au Musée Dauphinois.
La
bourgade n'est pas orthonormée par ses rues mais constituée d'îlots
de maisons, la disposition précise de l'habitat intra-muros reste
encore hypothétique. Comme partout ailleurs, les axes routiers
sortant de Cularo définissent des nécropoles mais du fait de la
présence d'une rivière, ces sites sont installés sur la rive
droite, très vite surélevée de quelques mètres par rapport à la
plaine, les mettant à l'abri des crues.
Ainsi
des mausolées sont construits au IVe siècle sur le site de
l'actuel musée archéologique Grenoble Saint-Laurent.
LA FONTAINE DU LION |
Dans
la montée de Chalemont, la chapelle Saint-Antoine attestée au
XIVe siècle est le site d'une découverte de tombes dans des
coffres de tuiles. Á La Tronche, sur le site du cimetière ancien de
Saint-Ferréol, encore en usage, une épitaphe du VIe siècle
est découverte au XIXe siècle.
A
environ 200 mètres du musée archéologique de Saint-Laurent, le
site de Saint-Sixte découvert par Hippolyte Müller et fouillé
après sa mort révèle des murs et des tombes en coffre de tuiles et
de dalles. Cependant, selon l'usage antique qui établit une stricte
séparation entre l'espace des morts et celui des vivants, un seul
cas d'inhumation a été retrouvé sur la rive gauche de l'Isère,
près de la porte Viennoise, à l'extérieur du rempart.
Au
début du IVe siècle, Cularo est suffisamment importante pour
abriter un cantonnement permanent de troupes militaires dans ses
parages, la cohorte prima Flavia Sapaudica. Son emplacement au
carrefour de routes alpines contrôlant l'accès vers l'Italie semble
en être la raison puisque dès la sécession de l'Empire des Gaules
vers 260, Cularo est déjà devenue occasionnellement une ville de
garnison. À partir de 381, la bourgade d'environ 2 000
habitants, va prendre le nom de Gratianopolis en l'honneur de
l'empereur Romain Gratien (Flavius Gratianus en latin). Bien qu'aucun
document n'atteste de son passage à Cularo lors de son déplacement
en 379 dans la vallée du Rhône, les édiles locaux ont probablement
entamé la démarche afin de le remercier de les avoir dotés d'un
évêché qui va jouer un rôle capital dans la christianisation de
tout leur territoire.
REMPART ROMAIN DE GRATIANOPOLIS |
Avant
l'intervention de l'empereur Gratien, la bourgade est administrée
par des co-évêques suffragant de Vienne. Le premier évêque connu
de Cularo est Domninus (Domnin), originaire d'Embrun, sa présence
est attestée au Concile d'Aquilée de septembre 381. Moins d'un
siècle plus tard, l'abdication de l'empereur Romulus Augustule le 4
septembre 476 marque la fin de l'empire Romain d'Occident.
Le
rempart reste globalement en place durant exactement 13 siècles,
malgré deux extensions au cours du Moyen Âge. Sa construction est
très dissuasive car il ne sera jamais attaqué au cours de
l'histoire. Aujourd'hui, seuls quelques vestiges discrets de
l'enceinte subsistent comme ceux d'une tour dégagée en 1963 au bout
de la rue La Fayette vers le passage Sainte-Claire, ceux d'une tour
habillée conservée sur toute sa hauteur au 9 place des Tilleuls ou
ceux de la base d'une tour de guet intégrée au XVIIe siècle dans
l'hôtel de Lesdiguières, ainsi que la base d'une autre tour de guet
visible de nos jours dans le sous-sol du musée de l'Ancien Évêché.
Depuis 1999, c'est également dans le sous-sol de ce musée que l'on
peut visiter le baptistère du IVe siècle et ses annexes,
accessibles pour les visiteurs par la poterne ou porte piétonne
utilisée par les habitants de Cularo. Ultime témoignage des
premiers temps chrétiens à Cularo, ce baptistère laisse découvrir
l'évolution de la liturgie qui passe d'un baptême par immersion à
un baptême par aspersion.
Une
tuyauterie de plomb et la diminution des dimensions de la cuve
pentagonale accompagnant cette évolution reste bien visibles. Il a
été plusieurs fois remanié, en fonction de l'évolution du rituel,
et utilisé peut-être jusqu'au Xe ou au XIe siècle au plus
tard, avant de disparaître des mémoires : Les cartulaires de
l'Église de Grenoble, constitués sous l'épiscopat de Saint Hugues
(1080-1132) ne font aucune allusion à un baptistère.
La
Table de Peutinger, copie du XIIIe siècle d'une ancienne carte
Romaine où figurent les routes et les villes principales de l'Empire
Romain affiche le terme de Culabone au site de Cularo.
Bien
qu'aucun vestige monumental d'importance des IIIe siècle et
IVe siècle ne soit parvenu jusqu'à notre époque à cause de
la reconstruction de la ville sur elle-même, un archéologue
s'intéresse cependant à ses origines dès le début du XIXe siècle.
En
1803, Jacques-Joseph Champollion rédige Dissertation sur un monument
souterrain existant à Grenoble, relatif aux restes archéologiques
d'une église paléo-chrétienne sur la rive droite de l'Isère et
non d'un temple païen, apportant l'information que l'emplacement de
cette église Saint-Laurent ne préjuge pas de l'emplacement de
Cularo, puisque les chrétiens ont coutume de bâtir des églises
hors de l'enceinte des villes.
En
1807 à la demande de son ami le préfet Joseph Fourier, Champollion
sort le livre Antiquités de Grenoble ou histoire ancienne de cette
ville d'après ses monuments, avec une approche pragmatique et
scientifique de Cularo.
7
ans plus tard, alors que son frère Jean-François est en poste à
Grenoble, il écrit un second ouvrage généraliste sur Cularo
intitulé Nouveaux éclaircissements sur la ville de Cularo,
aujourd'hui Grenoble dans lequel il traite la question de savoir
quand Cularo est devenu Gratianopolis. Au fil du temps et des
nouvelles découvertes d'objets dans le sol, d'autres historiens
poursuivent cette étude du Grenoble antique comme Jean
Pilot-de-Thorey qui sort en 1829 Histoire de Grenoble et de ses
environs, depuis sa fondation sous le nom de Cularo jusqu'à nos
jours, suivi en 1833 des deux tomes de Recherches sur les antiquités
dauphinoises.
À
la fin du siècle, l'archiviste Auguste Prudhomme écrit en 1888
Histoire de Grenoble, reprenant dans son approche chronologique
l'ensemble de l'évolution de Cularo.
À
la fin du XIXe siècle, Hippolyte Müller, membre de la Société
Dauphinoise d'éthnologie et d'anthropologie, commence sa carrière
d'ethnographe qui aboutit à de nombreuses publications sur ses
découvertes archéologiques en Dauphiné.
Ajouter une légende |
En
1911, le géographe et écrivain Henri Ferrand reprend dans son livre
Grenoble capitale des Alpes françaises une description de Cularo
assez proche de celle de Pilot-de-Thorey. Au début du XXe siècle,
une succession de travaux d'ampleur donnent l'opportunité de
fouilles archéologiques et de découvertes d'objets au centre ville
donnant l'occasion à une nouvelle génération d'archéologues
d'offrir une abondante bibliographie sur l'époque gallo-romaine de
Grenoble.
Nouveaux
éclaircissements sur la ville de "Cularo", aujourd'hui
Grenoble
https://books.google.fr/books?id=1ATeP6XMnkYC
Jacques-Joseph
Champollion-Figeac - 1814
...
l'ensemble des faits et des témoignages que j'ai recueillis à cet
égard , que Cularo doit à Gratian le nom de Gratianopolis que cette
ville porta dès l'année 381 ...
Gratianopolis
— Wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Gratianopolis
Gratianopolis
est le nom gallo-romain et étymon de la ville de Grenoble, à partir
de 381. ..... Année de la conspiration de Jean-Paul Didier. ↑ Paul
Dreyfus ...
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