EN REMONTANT LE TEMPS... 366

8 MAI 2016...

Cette page concerne l'année 366 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !

COMMENT NAQUÎT LA BASILIQUE « SANTA MARIA MAGGIORE »

LE PAPE LIBÈRE

« « Varcosolium de Celerina, qui s'ouvre dans une galerie de la catacombe de Prétextât, a déjà fait couler de l'encre. A bon droit, d'ailleurs, car les fresques qui le décorent s'offrent à la curiosité des iconographes aussi bien qu'aux recherches des historiens : Aux premiers, elles présentent un motif unique en son genre, qui montre Suzanne et les vieillards sous la forme d'un agneau encadré par deux loups, aux seconds, elle pose des problèmes assez complexes, liés à la présence, sur la façade de Varcosolium, d'un personnage qui pourrait bien être le pape Libère (352-366) » ».

Libère (« Liberius ») est évêque de Rome (pape) de 352 à sa mort en 366. Il succède à Jules Ier après avoir été élu le 17 mai 352. C'est le premier à désigner Rome comme le « siège apostolique ».

La Vierge Marie lui apparaît dans un songe durant la nuit du 4 et du 5 août, lui demandant de construire une chapelle... La même nuit, selon l'histoire ecclésiastique, se produit une chute de neige miraculeuse sur les sept collines de Rome.

Libère achève la construction de la basilique Sainte-Marie-Majeure 2 années plus tard. Cette basilique majeure de Rome est appelée « Basilique Libérienne ».

Combatant l'arianisme de l'empereur Constance celui-ci l'exile de 355 à 358 à Beroia en Macédoine. Il doit négocier son retour à Rome et partager l'administration de l'Église avec l'antipape Félix II. Mais le peuple de Rome prend rapidement parti pour Libère et chasse Félix.

À sa mort en 366, son trône est réclamé par Damase Ier et Ursin.

Selon la tradition, c'est Libère qui, en 354, fixe la fête de la naissance du Christ au 25 décembre...

A l'origine, les évêques sont inhumés dans la Catacombe de Priscille à Rome, dont Libère premier pape à ne pas avoir été fait saint de l’Église Catholique.

BASILICA  SANTA MARIA MAGGIORE

Rome idolâtre a sur sept collines étalé son faste et bâti les temples de ses dieux sept églises apparaissent comme les points culminants sur lesquels Rome purifiée appuie sa base désormais véritablement éternelle.
Or cependant, par leur site même, les basiliques de Pierre et de Paul, celles de Laurent et de Sébastien, placées aux quatre angles extérieurs de la cité des Césars, rappellent le long siège poursuivi 3 siècles autour de l'ancienne Rome et durant lequel la nouvelle est fondée. Hélène et son fils Constantin, reprenant le travail des fondations de la Ville Sainte, en ont conduit plus avant les tranchées, toutefois l'église de Sainte-Croix-en-Jérusalem, celle du Sauveur au Latran, qui sont leur œuvre plus spéciale, n'en restent pas moins encore au seuil de la ville forte du paganisme, près de ses portes et s'appuyant aux remparts : Tel le soldat qui, prenant pied dans une forteresse redoutable, investie longtemps, n'avance qu'à pas comptés, surveillant et la brèche qui vient de lui donner passage, et le dédale des voies inconnues qui s'ouvrent devant lui...

Qui plantera le drapeau de Sion au centre de Babylone ?

Qui forcera l'ennemi dans ses dernières retraites, et chassant les idoles vaincues, fera son palais de leurs temples ?

Ô vous à qui est dite la parole du Très-Haut : Vous êtes mon Fils, je vous donnerai les nations en héritage (Psalm. II.),

Ô très puissant, aux flèches aiguës renversant les phalanges (Psalm. XLIV.), écoutez l'appel que tous les échos de la terre rachetée vous renvoient eux-mêmes : Dans votre beauté, marchez au triomphe, et régnez. Mais le Fils du Très-Haut a aussi une mère ici-bas, le chant du Psalmiste, en l'appelant au triomphe, exalte aussi la reine qui se tient à sa droite en son vêtement d'or : Si de son Père il tient toute puissance (Matth. XXVIII, 18.), de son unique mère il entend recevoir sa couronne (Cant. III, 11.), et lui laisse en retour les dépouilles des forts (Psalm. LXVII, 13 ; Isaï LIII, 12.).

Filles de la nouvelle Sion, sortez donc, et voyez le roi Salomon sous le diadème dont l'a couronné sa mère au jour joyeux où, prenant par elle possession de la capitale du monde, il épouse la gentilité (Cant. III, 11.)...

Jour, en effet, plein d'allégresse que celui où Marie pour Jésus revendique son droit de souveraine et d'héritière du sol romain !

A l'orient, au plus haut sommet de la Ville éternelle, elle apparaît littéralement en ce matin béni comme l'aurore qui se lève, belle comme la lune illuminant les nuits, plus puissante que le soleil d'août surpris de la voir à la fois tempérer ses ardeurs et doubler l'éclat de ses feux par son manteau de neige, terrible aussi plus qu'une armée (Cant. VI, 9.), car, à dater de ce jour, osant ce que n'avaient tenté apôtres ni martyrs, ce dont Jésus même n'avait point voulu sans elle prendre pour lui l'honneur, elle dépossède de leurs trônes usurpés les divinités de l'Olympe.

« Comme il convient, l'altière Junon, dont l’autel déshonore l'Esquilin, la reine de ces dieux du mensonge fuit la première à l'aspect de Marie, cédant les splendides colonnes de son sanctuaire à la seule vraie impératrice de la terre et des deux ».

Quarante années ont passé depuis ces temps de Silvestre où « l'image du Sauveur, tracée sur les murs du Latran, apparaît pour la première fois, dit l’Église, au peuple romain » (Lectiones IIi Noct. in Dedic. basilicae Salvatoris.). Rome, encore à demi païenne, voit aujourd'hui se manifester la Mère du Sauveur, sous la vertu du très pur symbole qui frappe au dehors ses yeux surpris, elle sent s'apaiser les ardeurs funestes qui font d'elle le fléau des nations dont maintenant elle aussi doit être la mère, et c'est dans l'émotion d'une jeunesse renouvelée qu'elle voit les souillures d'autrefois céder la place sur ses collines au blanc vêtement qui révèle l’Épouse (Apoc. XIX, 7-8.).

Déjà, et dès les temps de la prédication apostolique, les élus que le Seigneur, malgré sa résistance homicide, recueille nombreux dans son sein, connaissent Marie, et lui rendent à cet âge du martyre des hommages qu'aucune autre créature ne recevra jamais : Témoin, aux catacombes, ces fresques primitives où Notre-Dame, soit seule, soit portant l'Enfant-Dieu, toujours assise, reçoit de son siège d'honneur, la louange, les messages, la prière ou les dons des prophètes, des archanges et des rois (Cimetières de Priscille, de Néréc et Achillée, etc.).

Déjà dans la région Transtibérine, au lieu où sous Auguste a jailli l'huile mystérieuse annonçant la venue de l'oint du Seigneur, Calliste élève vers l'an 222 une église à celle qui demeure à jamais le véritable fons olei, la source d'où sort le Christ et s'écoule avec lui toute onction et toute grâce.

La basilique que Libère, aimé de Notre-Dame, a la gloire d'élever sur l'Esquilin, n'est donc pas le plus ancien monument dédié par les chrétiens de Rome à la Mère de Dieu, la primauté qu'elle prend dès lors, et conserve entre les églises de la Ville et du monde consacrées à Marie, lui est acquise par les circonstances aussi solennelles que prodigieuses de ses origines...

La basilique de Sainte-Marie-des-Neiges, appelée aussi de Libère son fondateur, ou de Sixte troisième du nom de celui qui la fait restaurer, doit à ce dernier de devenir le monument de la divine maternité proclamée à Ephèse, le nom de Sainte-Marie-Mère, qu'elle reçoit à cette occasion, est complété sous Théodore Ier (642-649), qui l'enrichit de sa relique la plus insigne, celui de Sainte-Marie de la Crèche : Nobles appellations que résume toutes celle de Sainte-Marie Majeure, amplement justifiée par les faits que nous avons rapportés, la dévotion universelle, et la prééminence effective que lui maintiennent toujours les Pontifes Romains.
La dernière dans l'ordre du temps parmi les sept églises sur lesquelles Rome chrétienne est fondée, ne cède le pas au moyen âge qu'à celle du Sauveur, dans la procession de la grande Litanie au 25 avril, les anciens Ordres Romains assignent à la Croix de Sainte-Marie sa place entre la Croix de Saint-Pierre au-dessous d'elle et celle de Latran qui la suit (Museum italicum : Joann. Diac. Lib. de Eccl. Lateran. XVI, de episcopis et cardinal, per patriarchatus dispositis ; romani Ordin. XI, XII.).

Les importantes et nombreuses Stations liturgiques indiquées à la basilique de l'Esquilin, témoignent assez de la piété romaine et catholique à son endroit.

Elle a l'honneur de voir célébrer des conciles en ses murs et élire les vicaires de Jésus-Christ ; durant un temps ceux-ci l'habitent, et c'est la coutume qu'aux mercredis des Quatre-Temps, où, la Station reste toujours fixée dans son enceinte, qu'ils y publient les noms des Cardinaux Diacres ou Prêtres qu'ils ont résolu l'ordination (Paulus de Angelis, Basilicae S. Mariœ Maj. descriptio, VI, v.).

Quant à la solennité anniversaire de sa Dédicace, objet de la fête présente, on ne peut douter qu'elle n'ait été célébrée de bonne heure sur l'Esquilin. Elle n'est pas encore universelle en l’Église, au XIIIe siècle.

Grégoire IX en effet, dans la bulle de canonisation de Saint Dominique qui est passé le 6 août de la terre au ciel, anticipe sa fête au 5 de ce mois comme étant libre encore, à la différence du 6 déjà. C'est seulement Paul IV qui, en 1558, fixe définitivement au 4 août la fête du fondateur des Frères Prêcheurs, or la raison qu'il en donne est que la fête de Sainte-Marie-des-Neiges, s'étant depuis généralisée et prenant le pas sur la première, peut nuire dans la religion des fidèles à l'honneur dû au saint patriarche, si la fête de celui-ci continue d'être assignée au même jour (Pauli IV Const. Gloriosus in Sanctis suis.). Le bréviaire de Saint Pie V promulgue peu après pour le monde entier l'Office dont voici la Légende...

Sous le pontificat du Pape Libère, le Ier patrice Romain et son épouse d'égale noblesse, n'ayant point eu d'enfants auxquels ils puissent laisser leurs biens après eux, vouent leur héritage à la très Sainte Vierge Mère de Dieu, la suppliant par de ferventes et assidues prières de signifier en quelque manière l'œuvre pie à laquelle elle préfère qu'on emploie cet argent. Ils prient avec une ferveur nouvelle, multiplient leurs jeûnes et leurs bonnes œuvres, dans le but d'apprendre de la Reine du Ciel Elle-même comment Elle veut que leur fortune soit employée....

La bienheureuse Vierge Marie, écoutant avec bonté ces prières et ces vœux partis du cœur, y répond par un miracle.

Aux nones d'août, époque habituelle pour Rome des plus grandes chaleurs, la neige couvre de nuit une partie de la colline Esquiline.

Cette même nuit, la Mère de Dieu donne en songe avis à Jean et à son épouse, séparément, qu'ils ont à construire au lieu qui sera couvert de neige une église consacrée sous le nom de la Vierge Marie : Ainsi veut-elle être instituée leur héritière. Jean l'ayant fait savoir au Pape Libère, celui-ci déclare avoir eu la même vision...
Solennellement accompagné des prêtres et du peuple, il vient donc à la colline couverte de neige, et y détermine l'emplacement de l'église qui est élevée aux frais de Jean et de son épouse.

Sixte III la restaure plus tard. On l'appelle d'abord de divers noms :

Basilique de Libère.

Sainte-Marie de la Crèche, parce que les restes précieux de la crèche qui ont servi de berceau au Sauveur du monde y sont apportés de Bethléem et y sont conservé encore dans une châsse d'argent.

Mais de nombreuses églises ayant été bâties dans la Ville sous le nom de la Sainte Vierge Marie, pour que la basilique l'emporte sur les autres de même nom en dignité et par l'éclat de sa miraculeuse origine, soit aussi distinguée par l'excellence de son titre, on la désigne alors sous celui d’Église de Sainte-Marie- Majeure, parce qu'elle est, tant par sa beauté que par son antiquité, la première des nombreuses églises dédiées, à Rome, sous l'invocation de Marie. Après la basilique incomparable de Saint-Pierre et celle de Latran, la plus vénérable de toutes par son ancienneté.

On célèbre la solennité anniversaire de sa dédicace en souvenir du miracle de la neige tombée en ce jour...

PIERRE DU VARCOSOLIUM DE CELIRINO

Né à Rome vers 305, Damase est diacre du pape Libère (352-366) qu’il accompagne en exil (355), rentré assez vite à Rome, il prend du service auprès de l’antipape Félix II (355-365) mais se réconcilie avec le pape Libère quand celui-ci est autorisé à rentrer à Rome...

A la mort de Libère (24 septembre 366) éclatent de violents désordres : Les fidèles du défunt pape, réunis dans la basilique Julienne, élisent le diacre Ursin à sa succession et le font sacrer, les autres où l’on voyait beaucoup de partisans du défunt antipape, choisissent Damase et soudoient un bande de voyous qui font l’assaut de la basilique Julienne où, pendant 3 jours, ils massacrent des ursiniens.

Le 1er octobre 366, après que ses partisans se soient emparé de la basilique du Latran, Damase est sacré et, avec l’appui du préfet de la ville, fait chasser Ursin et ses fidèles de Rome d’où les derniers disparaissent dans la prise de la Basilique Libérienne (26 octobre 366).

Pour les chrétiens du IVe siècle, les catacombes sont des cimetières où ils enterrent chaque jour les leurs qui veulent reposer près des martyrs, mais l'accès est malaisé (éboulements, dégradations, vétusté).

Après la paix Constantinienne, de somptueuses basiliques sont édifiées en l'honneur des martyrs : Saint-Pierre, Saint-Paul, Saint-Laurent, Sainte-Agnès ...

Doit-on multiplier ces monuments qui demandent d’énormes dépenses ?... Le pape Damase préfère restaurer le culte des martyrs dans les catacombes elles-mêmes et il entreprend des fouilles systématiques pour découvrir les tombes inconnues ou méconnues.

Dans la Via Salaria vetus, la catacombe des Saints Prothe et Hyacinthe est explorée, restaurée et embellie. On relie les salles par des escaliers qui facilitent la marche et la circulation des pèlerins.

Au cimetière de Saint-Sébastien, Damase met à jour et honore les reliques du pape Saint Eutychien (mort en 283).

Non content de restaurer et de canaliser la dévotion populaire, le maître-d'œuvre compose et appose une bonne cinquantaine d'inscriptions.

Tibulle, poète élégiaque du Ier siècle avant Jésus-Christ, exprime le souhait : Fac lapis inscriptis stat super ossa notis, (Fais en sorte que, grâce aux inscriptions sur pierre, nos restes soient identifiés), ce sera l'actif souci du pape Damase.

[Les fragments découverts dans la crypte des papes du cimetière de Calliste permettent de reconstituer l'hommage de Damase aux témoins ici rassemblés : Ci-gît, réunie, une foule de saints... Si vous les cherchez, leurs corps sont réunis dans ces vénérables tombes. Quant à leurs âmes sublimes, les célestes royaumes les ravit.

Ci-gisent les compagnons de Sixte, de l'ennemi, ils portent les trophées.

Ici, nombre d'hommes illustres gardent les autels du Christ.

Ci-gît un évêque dont la vie s'écoule en longue paix.

Ici, les Saints Confesseurs, transférés de Grèce, reposent.

Ici, vous trouverez : Jeunes gens, enfants, vieillards, chaste génération qui pudeur a gardé.

Ici, je l'avoue, Moi, Damase, j'aurais souhaité faire ensevelir mes restes. Je m'en suis abstenu, soucieux de ne pas troubler les pieuses cendres des saints.]

Sur la tombe d'un prêtre, via Latina, Damase fait graver cette épitaphe : Marcellin et Pierre, écoutez le récit de votre triomphe ! Dans mon enfance, le bourreau lui-même m'a raconté ce qui suit :

Le persécuteur acharné a ordonné de vous trancher la tête au milieu des broussailles pour que votre tombeau ne soit pas retrouvé. Joyeux, vous avez vous-mêmes creusé la fosse. Après avoir, un moment, reposé sur cette blanche sépulture, vous avez averti Lucile, lui demandant de faire transférer vos restes. Elle les ensevelit alors, sur la via Labricane.

Si Damase n'est pas un très grand versificateur, il a le génie et le courage du restaurateur, soucieux de canaliser la piété populaire par le culte des saints et les pèlerinages à leurs tombes. On lui doit aussi la fondation de Sainte-Anastasie, de Saint-Laurent-in-Damaso, de Saint-Clément, de Sainte-Pudentienne et du baptistère de Saint-Pierre.

NOTRE DAME DES NEIGES.

Son rôle n'est-il pas celui d'un pontife éclairé qui, non seulement prescrit la doxologie (formule de louange) Gloria Patri, à la fin des psaumes, mais surtout établit des rapports étroits entre Église et État, après l’extirpation des vieilles hérésies.

Il meurt le 11 décembre 384, presque octogénaire sous l’empereur Théodose, dit Saint Jérôme.

Le 11 décembre 1813, un décret rend au culte l'église Notre-Dame du Salut, à Fécamp, et un habitant de Fécamp rapporte sur l'autel la statue que, pendant la Révolution, il a sauvée au péril de sa vie. La fête patronale s'y célèbre le 25 mars.

23 septembre. Saint Libère, pape, fondateur de l'église Sainte-Marie ...

hodiemecum.hautetfort.com/.../23-septembre-saint-libere-pape-fondateur-de-l-eglise-s...

23 sept. 2009 - 366. Papes : Saint Jules Ier (prédécesseur) ; saint Damase Ier .... Aussitôt que Libère eut quitté l'Italie, l'empereur flt sacrer un anti-pape, Félix, ...

Ursin (antipape) - Wikiwand

www.wikiwand.com/fr/Ursin_(antipape)

Il exerce le pontificat de 366 à 367. ... En 381, lors du concile d'Aquilée, Ursin est déclaré antipape. ... L'antipape Félix II est imposé comme son successeur.

Félix 5 (antipape - Premier Millénaire Chrétien

www.itt.vjf.cnrs.fr/index.php?lvl=more_results&mode...user...Félix+5+(antipape

16 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'Félix 5 (antipape'. Affiner la ... Amédée VIII-Félix V, premier duc de Savoie et pape (1383-1451) : colloque international, ...