14
MAI 2016...
Cette
page concerne l'année 360 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
SAINTE-SOPHIE
BASILIQUE MOSQUÉE ET MUSÉE !!!
La
sacralité du lieu est dans le nom même. Sophia en latin, mot
lui-même hérité de l’ancien grec, et qui signifie « sagesse »,
a été choisi pour nommer cette église érigée il y a 1 500 ans en
l’honneur de la sagesse divine incarnée par Jésus-Christ.
Pourtant,
depuis 1935 aucun office religieux n’a été donné à l’intérieur
de l’édifice... Mustafa Kemal ayant choisi de la transformer en
musée.
La
sécularisation de ce monument incontournable du quartier historique
de Constantinople
Si,
en s’agenouillant lors de sa venue en 1969, le pape Paul IV a
questionné la religiosité de la basilique, depuis une vingtaine
d’années la mobilisation vient davantage du camp musulman.
Récemment, le député et vice-président de la commission des
pétitions Halil Urün a annoncé l’ouverture de discussions sur le
statut de Sainte-Sophie.
En
outre, on parle de plus en plus de l’éventualité d’une
reconversion en mosquée, rappelant un article de loi selon
lequel les lieux de culte ne peuvent être utilisés à d’autres
fins que leur fonction première... Au cœur du débat, la Turquie
retrace l’histoire de ce lieu hautement symbolique...
La
première pierre de Sainte-Sophie est posée sous l’Empire
Byzantin. En 324 Constantin décide de déplacer la capitale de son
empire de Rome à Byzance, ville en pleine expansion qui est
rebaptisée Constantinople en l’honneur de l’empereur après sa
mort. Son fils Constantin II ouvre les travaux et inaugure la
basilique Sainte-Sophie en 360.
LA COUPOLE |
Le
bâtiment est cependant détruit à deux reprises, et c’est
l’empereur Justinien qui relève le défi de sa reconstruction en
532 : L’édifice adopte sa forme définitive en 562, et son
statut de perle architecturale byzantine.
L’intérieur
comme l’extérieur se voient enrichis au fil des siècles. Au VIIe
siècle, les débats de représentation qui agitent l’Église
chrétienne conduisent les iconoclastes à faire effacer tous les
visages peints à l’intérieur de l’église pour les remplacer
par des formes géométriques, principalement des croix. Les murs de
la façade Ouest portent encore les stigmates de ces querelles
esthétiques.
Avec
son dôme de 32 mètres de diamètre longtemps resté unique au
monde, Sainte-Sophie est avant tout un lieu de culte. Elle joue
cependant également un rôle politique en tant qu’église
patriarcale des Chrétiens d’Orient. Symbole de la grandeur de
l’Empire Byzantin, c’est en son sein que Rome décide en 1452 de
sceller l’union des Églises. Cette décision politique prise en
temps de crise dans l’espoir de souder le camp chrétien ne réussit
cependant pas à empêcher la prise de Constantinople, sonnant
elle-même le glas de l’Empire...
PORTE DE SAINTE SOPHIE |
Le
29 mai 1453, le sultan Mehmet alors âgé de 24 ans s’empare de la
ville. Outre moult pillages, touché par la grâce de Sainte-Sophie
il décide non pas de sa destruction mais de sa conversion en...
mosquée
Véritable
trophée guerrier, en en faisant un lieu de culte musulman Mehmet le
Conquérant proclame la supériorité de l’Empire Ottoman sur
l’Empire chrétien déchu. D’autres conversions suivront,
notamment celle de l’église des Saints-Serge-et-Bacchus rebaptisée
« Petite Sainte-Sophie », ou encore celle de l’église
Saint-Sauveur-in-Chora.
En
1458, Constantinople devient capitale Ottomane, et par la même
occasion un épicentre politique et culturel du monde musulman.
En
1529 Soliman le Magnifique rapporte deux chandeliers de Budapest qui
trônent encore aujourd’hui près du minbar. C’est à cette
époque que Mimar Sinan, architecte du sultan, d’une part
entreprend les premières rénovations de l’édifice, d’autre
part propose pour les autres mosquées dont il dirige les travaux une
forme s’inspirant de la silhouette de Sainte-Sophie.
La
mosquée de Soliman à Istanbul en est l’une des plus éloquentes
illustrations.
Au
début du XVIIe siècle, Mehmed Aga, disciple de Mimar Sinan, dessine
les plans de ce qui deviendra la mosquée de Sultan Ahmet, souvent
appelée « mosquée bleue », faisant face à
Sainte-Sophie... Deux siècles plus tard, le dernier sultan Ottoman
Abdülmecid II lance une nouvelle phase de rénovations du bâtiment
sous les ordres des deux frères architectes Italiens Gaspare et
Giuseppe Fossati.
En
un mot, sans obtenir de statut politique officiel, Sainte-Sophie
complétée de minarets et de plateaux calligraphiés est devenue un
lieu cher aux Ottomans.( ???!!!)
LA COUPOLE |
En
1923 quand Mustafa Kemal dit Atatürk proclame la République de
Turquie, la place de cet héritage historique, Ottoman et plus
spécifiquement musulman, devient politique.
Une
question se pose alors : Que faire d’un lieu hautement
symbolique mais religieux dans une République laïque ? Une
solution est alors envisagée par Atatürk, et adoptée par le
Conseil des Ministres en 1931 : Sainte-Sophie devient un musée.
Depuis
70 ans, plus d’office religieux donc, ni chant du muezzin ni
cantiques, mais le lieu est ouvert au public. Sainte-Sophie est
devenue un des hauts lieux touristiques Stambouliotes, remportant
même le titre de meilleur musée de Turquie.
La
fréquentation connaît ces dernières années une forte augmentation
: Elle est passée de 1,8 millions en 2005 à 3,2 millions de
visiteurs en 2011. Une visite en audio guide permet de suivre les
évolutions tant architecturales que religieuses et politiques subies
par cet édifice si convoité.
Si
cette « muséalisation » permet donc une grande
accessibilité du public à ce morceau d’Histoire, depuis une 20e
d’années des manifestations ont lieu régulièrement pour réclamer
la réouverture d’un espace de prière. Le vice Premier Ministre et
le porte parole du gouvernement, M. Bülent Arinç a fait mention de
cette éventualité en décrivant Sainte-Sophie comme « triste »,
mais souhaitant « la voir bientôt sourire de nouveau ».
Désormais
institution publique régie par le ministère de la Culture et du
Tourisme, les débats mettant en cause son caractère séculier
trahissent un profond questionnement sur la place du religieux dans
la sphère publique.
Aya
Sofya, autrefois monument de la chrétienté, puis source de fierté
sous l’ère Ottomane, et enfin figure marquante de la politique de
sécularisation d’une République naissante, incarne une histoire
qui, telle un palimpseste, n’a cessé d’être réécrite. La
controverse actuelle sur un éventuel changement de statut nous
rappelle que l’identité de Sainte-Sophie, au-delà de sa valeur
patrimoniale, a toujours constitué un enjeu tant symbolique que
politique...
Solène
Jimenez
Le
musée Sainte-Sophie (du grec Ἁγία Σοφία
/ Hagía Sophía, qui signifie « sainte
Sagesse », « Sagesse Divine », nom repris en turc
sous la forme Ayasofya) est une grande
église chrétienne de Constantinople construite dans un premier
temps au IVe siècle, puis reconstruite bien plus grande au
VIe siècle où elle a acquis sa forme actuelle, elle est
devenue mosquée au XVe siècle sous Mehmet II.
Son
esplanade est à la mesure de la gloire de Byzance. Souvent surnommée
la Grande Église, la basilique est dédiée au Christ, « Sagesse
de Dieu », selon la tradition théologique chrétienne. La
dédicace du sanctuaire est célébrée le 25 décembre...
La
première basilique de l'histoire chrétienne, qui est consacrée à
la « Sagesse Divine » a été voulue par l'empereur
Constantin en 330, après sa conversion au christianisme. Elle fut
probablement érigée sur les ruines d'un ancien temple d'Apollon,
sur une colline surplombant la mer de Marmara. C'est l'empereur
Constance II qui consacre ce premier édifice, le 15 février 360.
C'est alors la plus grande église de la ville, elle est communément
appelée Μεγάλη Ἐκκλησία
(Megálē Ekklēsíā, « la Grande Église »). On suppose
qu'il s'agit d'un bâtiment en pierre au toit de bois.
Au
début du Ve siècle, l'empereur Flavius Arcadius ratifie la
déposition et l'exil de l'archevêque de Constantinople Saint Jean
Chrysostome, à la suite d'un bras de fer avec le patriarche
Théophile d'Alexandrie que Jean a été chargé de juger...
L'édifice est alors incendié lors d'une émeute en 404.
reconstruit
en 415 par l'empereur Théodose II le bâtiment retrouve un plan
basilical classique sous la direction de l'architecte Roufinos.
La
basilique est consacrée le 8 octobre 415. Un siècle plus tard,
elle subit une nouvelle fois le même sort funeste, le 13 janvier 532
pendant la sédition Nika, qui a embrasé la ville de Constantinople
pendant 6 jours... Des vestiges subsistent devant le mur Ouest de
l'édifice actuel depuis 1935.
De
ces ruines, on distingue un escalier de 5 marches accédant à un
portique, et 3 portes vers le narthex. Le bâtiment faisait 60 mètres
de large...
Après
les émeutes de Nika en 532, l'empereur Justinien entreprend de
refonder l'édifice dont il pose lui-même la première pierre. La
coupole, datant du VIe siècle culmine à 55 mètres au dessus
du sol.
Le
23 février 532, à peine quelques jours après la destruction de la
seconde basilique, l'empereur Justinien prend la décision de la
reconstruire, cette fois beaucoup plus grande et majestueuse que les
deux précédentes, dédiée à la Sagesse Divine.
Un
espace carré central de 100 pieds byzantins (30 mètres de
longueur) est couvert par un dôme de 55 mètres de hauteur et
prolongé vers l'Est et l'Ouest de 2 demi-dômes de 50 pieds
byzantins. Le tout est inscrit dans un espace rectangulaire de
77 mètres de longueur sur 71 mètres de largeur.
Justinien
choisit comme architectes le physicien Isidore de Milet et le
mathématicien Anthémius de Tralles, qui meurt au bout d'un an.
Les
architectes dessinent un bâtiment inspiré du Panthéon de Rome et
de l'art chrétien primitif d'Occident. Ce style qui connaît une
certaine diversité de conceptions et de plans, est aujourd'hui
qualifié de « Byzantin ».
Cette
architecture byzantine a inspiré, à son tour, des architectes
Arabes, Vénitiens et Ottomans... La construction de l'église est
décrite par l'historien Byzantin Procope de Césarée, dans son
ouvrage Sur les monuments (Περὶ κτισμάτων,
De Ædificiis).
Des
tremblements de terre, en août 553 et le 14 décembre 557, causent
des fissures sur le dôme principal et la demi-coupole de l'abside.
Le
7 mai 558, un nouveau séisme provoque la destruction totale du dôme
central, qui s'écroule sur l'ambon, l'autel et le ciborium, les
détruisant entièrement.
L'empereur
ordonne une restauration immédiate, faisant appel à Isidore le
Jeune, neveu d'Isidore de Milet. On utilise cette fois des matériaux
aussi légers que possible, et on donne à l'édifice ses mesures
actuelles : Rehaussé de 6,25 m, le dôme atteint alors sa
hauteur totale de 55,6 m.
Cette
reconstruction donne à l'église sa forme définitive, qui remonte
donc au milieu du VIe siècle. Le poète Byzantin Paul le
Silentiaire compose un long poème épique connu aujourd'hui sous le
nom d'Ecphrasis.
Sainte-Sophie
est le siège du patriarche orthodoxe de Constantinople et le lieu
d'accueil principal des cérémonies impériales Byzantines, comme le
couronnement des empereurs. L'église joue aussi le rôle de lieu
d'asile pour les malfaiteurs.
Le
long héritage de Sainte-Sophie, successivement basilique chrétienne,
mosquée et musée très fréquenté, pose un défi délicat en
termes de restauration. L'héritage iconographique de mosaïques
chrétiennes est progressivement dévoilé mais des créations
artistiques musulmanes doivent être détruites pour les mettre au
jour.
En
2012, une centaine de militants issus du Parti de la grande unité,
un « groupuscule islamiste et nationaliste violent » font
campagne pour que le musée redevienne une mosquée, notamment en
organisant une prière musulmane sous la coupole Byzantine.
En
2013, Bülent Arınç, vice-Premier ministre et porte-parole du
gouvernement islamo-conservateur de Recep Tayyip Erdoğan déclare
envisager que cette transformation ait lieu. À cet effet, une
commission parlementaire a été créée.
Sainte-Sophie
est l'un des plus grands exemples de l'architecture byzantine :
Sa somptueuse décoration intérieure de marbre couvrant tout les
sols et les murs.
Ses
mosaïques sur fond d'or couvrant autrefois toutes les voûtes et
coupoles (aujourd'hui en grande partie couvertes sous les enduits ou
disparues).
Ses
colonnes monumentales de porphyre et autres roches précieuses.
Ses
nombreuses fenêtres.
Sa
couverture en coupole et demi-couples, et, surtout l'immensité du
volume intérieur qui a pu être dégagé, sont d'une immense valeur
autant technique qu'artistique.
La
basilique de Justinien est à la fois le point culminant des
réalisations architecturales dérivée de l'Antiquité Tardive
Romaine, et le premier chef-d'œuvre de l'architecture Byzantine qui
marque profondément tout le Moyen-Age qu'elle inaugure d'un point de
vue architectural.
Son
influence s'est exercée profondément et de manière durable, sur
l'architecture orthodoxe Orientale, mais aussi tout autant sur celles
de l'Église catholique et du monde musulman, et elle est restée un
modèle in-surpassé et admiré durant des siècles...
Les
colonnes monumentales sont constituées de différents granites,
marbres, porphyres, et l'on peut calculer que les plus importantes
pèsent au moins 70 tonnes. 8 d'entre elles, d'ordre corinthien,
ont été transportées depuis les temples de Baalbek.
Toutes
les surfaces intérieures sont plaquées de marbres polychromes, avec
des porphyres rouges et verts et des mosaïques d'or qui couvrent la
structure de mortier et de brique.
Les
gros piliers centraux se trouvent ainsi camouflés et leur aspect
considérablement allégé.
LOGES DE LA FAMILLE IMPÉRIALE |
À
l'extérieur, l'architecte a recours au simple stucage des murs, qui
révèle le dessin des voûtes et des coupoles. Le revêtement
externe jaune et rouge a été ajouté par l'architecte Suisse
Gaspare Fossati au cours de sa restauration de la basilique, au
XIXe siècle.
La
coupole semble ne reposer sur aucun appui solide, mais flotte en
apesanteur au-dessus de sa galerie d'arcades ininterrompues de 40
fenêtres qui contribuent largement à inonder de lumière
l'intérieur polychrome de la basilique. Elle est assise sur 4
pendentifs triangulaires concaves, solution déjà appliquée par les
architectes Romains dans des constructions de moindre ampleur, bien
connue sous les noms de « rachat du plan carré » ou
« rachat de l'octogone », classique dans les
constructions Byzantines. Dans le cas de Sainte-Sophie, les
pendentifs reportent les forces exercées par la coupole sur 4
piliers massifs disposés aux 4 angles et contrebutés par des
demi-coupoles à l'Est (abside) et à l'Ouest (entrée du bâtiment).
Nombre
d'objets précieux ou miraculeux, reliques, icônes, sont venus
enrichir progressivement le fabuleux trésor de la basilique. Une
quantité de mosaïques et autres décors figuratifs sont ajoutés
dans la seconde moitié du IXe siècle, notamment une célèbre
image du Christ dans la coupole centrale, d'autres de saints
orthodoxes, de prophètes, de Pères de l'Église et de figures
historiques liées à l'Église orthodoxe, comme le patriarche Ignace
de Constantinople ou encore des scènes de l'Évangile dans les
galeries.
Au
cours des siècles, l'église est décorée de riches mosaïques. La
totalité des voûtes et coupoles sont couvertes de mosaïques à
fond d'or.
Elles
figurent la Vierge Marie, Jésus, les saints, ou bien des empereurs
et impératrices, ou encore de motifs végétaux et géométriques
dans un style purement décoratif.
Les
deux médaillons, de chaque côté des épaules du Christ, figurent,
à sa gauche, l'archange Gabriel, tenant une houlette, et à sa
droite, sa mère, Marie. L'ensemble forme ainsi la scène de
l'annonciation. Cette mosaïque exprime le pouvoir temporel conféré
par le Christ aux empereurs Byzantins.
La
mosaïque de la Théotokos (la Vierge et l'Enfant) est la première
mosaïque de la période post-iconoclaste. Elle a été inaugurée le
29 mars 867 par le patriarche Photius et les empereurs Michel III et
Basile Ier. Cette mosaïque est située très en hauteur, dans la
demi-coupole de l'abside. Marie est assise sur un trône sans
dossier, tenant l'enfant Jésus sur ses genoux. Ses pieds reposent
sur un piédestal. Tant le socle que le trône sont ornés de pierres
précieuses.
Ces
mosaïques sont considérées comme une reconstruction des mosaïques
du VIe siècle qui sont détruites au cours de la période
iconoclaste. Les figures des mosaïques sont disposées sur le fond
d'or original du VIe siècle. Les portraits des archanges
Gabriel et Michel (en grande partie détruits), sur le bêma de
l'arche, datent également du IXe siècle...
La
basilique sainte Sophie bientôt (re)transformée en mosquée?
www.egliserusse.eu/.../La-basilique-sainte-Sophie-bientot-re-transformee-en-mosquee...
29
sept. 2013 - En 360 ap. JC. à l'endroit exact ..... Depuis les
années 1930, l'édifice de la basilique Sainte-Sophie est utilisé
comme musée. Après l'arrivée au ...
Sainte-Sophie,
palimpseste des religions - Aujourd'hui la Turquie
aujourdhuilaturquie.com/fr/sainte-sophie-palimpseste-des-religions/
28
janv. 2015 - La première pierre de Sainte-Sophie est posée sous
l'Empire byzantin. ... Son fils Constantin II ouvre les travaux et
inaugure la basilique Sainte-Sophie en 360. ... La fréquentation
connaît ces dernières années une forte ...
Sainte-Sophie
(Constantinople) — Wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Sainte-Sophie_(Constantinople)
Le
musée Sainte-Sophie (du grec Ἁγία Σοφία / Hagía Sophía,
qui signifie « sainte Sagesse » .... La construction ne prit que 5
années et 10 mois. Les décors intérieurs, particulièrement les
mosaïques, ne furent achevés que sous le règne de l'empereur ...
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