mercredi 1 juillet 2015

EN REMONTANT LE TEMPS... 688




29 JUIN 2015

Cette page concerne l'année 688 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !

MONS, LA VILLE FONDÉE PAR SAINTE WAUDRU


Sainte Waudru abbesse à Mons (✝ 686) Waudru de Mons ou Waldeltrude ou Waldetrude ou sainte Waudru (en latin Waldetrudis), née à Cousolre en 612 morte le 9 avril 686 ou 688 à Mons (aujourd’hui en Belgique) sœur d'Aldegonde de Maubeuge. Connue en néerlandais comme sint Waldetrudis (ou sint Waltrudis), elle est aussi la Sainte Patronne de la ville Anversoise de Herentals où l'immense église principale porte le nom de Sint-Waldetrudiskerk (« Église Sainte-Waudru »).
Waudru est issue d'une famille de la haute aristocratie Franque. Son père, Walbert ou Waubert, semble avoir été maire du palais de Clotaire II et sa mère, Bertille, est la fille d'un roi de Thuringe (Radulf ou Raoul Ier de Thuringe). Une famille assez étonnante. Avec son époux, elle connaît la paix et le bonheur...
De Waudru, nous savons peu de choses, mais suffisamment pour que le « curriculum vitae » du personnage ait pu asseoir solidement une réputation. 
Née au début du VIIe siècle, elle est issue d'une famille riche, noble et influente. Sa destinée est le mariage et la maternité. Mais, épouse du noble Madelgaire (Vincent) et mère de 4 enfants. elle opte, comme Vincent, pour une autre vie. Car elle désire consacrer son existence à Dieu. En cela, elle est de son temps, de ce VIIe siècle qui voit éclore tant de saints, dans un contexte de renouveau spirituel.

L'Église ouvre son sein à son époux qu'elle sanctifie sous le nom de Saint Vincent.
Leur fils également, Saint Landry puis leurs deux filles s'appellent Sainte Madelberte et Sainte Adeltrude. D'ailleurs, les 3 enfants étant entrés au couvent, les parents font de même...
Saint Vincent à l'abbaye d'Haumont dans le nord de la France
Sainte Waudru fonde le monastère de Chateaulieu sur une colline où s'élève plus tard la ville de Mons. 
Saint Vincent, après un passage à Hautmont, a fondé une communauté autour de laquelle s'est construite la ville de Soignies.

À Châteaulieu dans le Hainaut, en 688, Sainte Waudru, sœur de Sainte Aldegonde, épouse de Saint Vincent Madelgaire et mère de 4 enfants. À l’imitation de son mari, elle se consacre à Dieu et reçoit l’habit monastique dans le monastère qu’elle a fait construire.

Sainte Waltrude sœur aînée de sainte Aldegonde, fille du comte Walbert et de la princesse Bertille. Dès sa jeunesse, elle se montre si portée à la dévotion, qu'elle se sépare souvent de la société pour faire ses prières et pour assister aux Divins Offices : Ce qui ne peut qu'être que très agréables à ses parents, personnes d'une piété rares.

Lorsqu'elle est en âge de se marier, elle épouse par obéissance le comte Madelgaire, aussi appelé Vincent, un des principaux seigneurs de la cour de Dagobert Ier. Le couple a 4 enfants, dont 3 se sont illustrés par leur sainteté :
Saint Landry, que les uns font évêque de Metz en Lorraine, et les autres évêque de Meaux en Brie.
Sainte Aldetrude et sainte Madelberte, qui se font religieuses sous la conduite de leur tante Sainte Aldegonde.
Le petit Dentlin, qui meurt peu après avoir reçu le Saint Baptême.

Le progrès admirable de ses enfants dans toute sorte de vertus montre bien le soin que Sainte Waltrude apporte à leur éducation. Mais elle ne les instruit pas moins par son exemple que par ses paroles, car elle est fort adonnée à la prière, fuit le luxe, la bonne chère, et tous les divertissements de la vie... Elle jeûne souvent et donne à tous moments, par son hospitalité et par ses aumônes abondantes, des marques de sa charité et de sa miséricorde envers les pauvres.
SERRURE DE L'HÔTEL DE VILLE DE MONS
Elle ne se contente pas de s'adonner à ces exercices de la piété chrétienne : Elle y engage aussi son mari et le dégoûte si bien de tous les plaisirs et de toutes les grandeurs du monde, qu'ayant fait vœu avec elle d'une continence perpétuelle, il se retire enfin, par le conseil de Saint Aubert, évêque de Cambrai, dans le monastère de Haumont, près de Maubeuge, et prend le nom de Vincent. Lui aussi est honoré d'un culte public, au 14 juillet, sous le nom de Saint Vincent de Soignies, ville qui possède encore aujourd'hui ses reliques.

Pour sa Sainte épouse dont nous parlons, elle est encouragée d'abord par Saint Géry, ancien évêque de Cambrai, qui lui apparaît en songe, puis par un ange envoyé du ciel pour la consoler dans une persécution que le démon suscite contre elle... Elle abandonne entièrement le monde et, par le conseil de Saint Guislin, qui est alors abbé de Celle-lès-Mons, elle fait bâtir une maison à l'écart, sur une montagne appelée depuis Châteaulieu (Castri locus), et où l'on voit à présent la grande ville de Mons, en Hainaut. Mais comme elle trouve cette maison plus grande et plus magnifique qu'elle ne le désire et qu'elle l'a ordonné, parce qu'elle veut observer les règles de la pauvreté évangélique, elle n'y veut pas demeurer, et, la nuit même où elle en, sort, le toit du bâtiment tombe à terre. C'est pourquoi celui à qui elle a donné la charge de cet édifice en fait faire un autre moins somptueux et plus pauvre, avec un oratoire en l'honneur de Saint Pierre et de Saint Paul. Lorsqu'il est achevé, Saint Waltrude reçoit l'habit de religion et le voile sacré des mains de Saint Aubert, évêque de Cambrai, et se retire pour y vivre seule et solitaire, et ne s'y occuper que de la contemplation des vérités éternelles...

Cependant le démon, qui travaille perpétuellement à la perte des hommes, ne la laisse pas en repos :
Tantôt il lui met devant les yeux les délices et les honneurs qu'elle a abandonnés, et dont elle pourrait encore jouir si elle retournait dans le monde. D'autres fois, il lui représente l'amour de son mari, l'affection de ses enfants, la douceur de la conversation de tant de personnes qu'elle a autrefois fréquentées.
D'autre fois encore, il lui fait une peinture affreuse de la solitude afin de lui en donner du dégoût avec le désir de chercher compagnie hors de l'enceinte qu'elle s'est prescrite.
Enfin, il lui apparaît encore sous forme humaine et prend la hardiesse de la toucher de la main... Mais notre Sainte sort victorieuse et triomphante de toutes ces tentations, et, par l'oraison, le jeûne, les larmes, les macérations du corps et le signe de la croix, elle défait si bien cet ennemi, qu'il se retire toujours d'elle avec honte et confusion.

Après ces victoires, Dieu la reconnaissant digne de porter la qualité de maîtresse dans la conduite spirituelle, suscite de saintes femmes et de jeunes filles qui viennent se mettre sous sa direction. Ainsi, elle assemble en peu de temps une communauté de servantes de Dieu, avec lesquelles elle vit dans une grande humilité, patience, douceur, charité et ferveur d'esprit.

Sainte Aldegonde, sa sœur, qui, par ses bons avis, a édifié un autre établissement à Maubeuge, la visite souvent, pour en recevoir des instruction et lui rendre ses respects comme à sa mère, mais comme la maison de Maubeuge est plus belle, plus riche et mieux fondée que celle de Waltrude, elle veut la persuader de venir avec elle, et d'abandonner ce pauvre lieu où elle doit souffrir continuellement de grandes incommodités, c'est néanmoins inutilement : Car Sainte Waltrude, qui a l'amour de la pauvreté fortement imprimée dans le cœur, lui répond que « Jésus-Christ n'ayant eu à sa naissance qu'une pauvre étable, et ayant passé toute sa vie dans une grande indigence des choses les plus nécessaires au grand soulagement du corps, il n'est pas raisonnable qu'une vile créature comme elle recherche ses commodités, qu'enfin elle espère vivre aussi tranquillement dans sa petite solitude, que celles qui ont de beaux monastères et de riches abbayes ».

En effet, toute pauvre qu'elle soit, elle trouve de quoi faire beaucoup de charités aux mendiants, aux malades et aux prisonniers, et Dieu, pour seconder son zèle, a quelquefois multiplié l'argent entre les mains de celui qu'elle charge de la distribution de ses aumônes... Elle fait aussi d'autres miracles : Car elle délivre un pauvre homme, qui l'invoque, de la puissance d'un démon qui le maltraite honteusement, et elle le guérit ensuite d'une violente maladie qui le tourmente.
Deux enfants, déjà moribonds, lui ayant été présentés par leurs mères, elle leur rend la santé par ses prières, son attouchement sacré et l'impression du signe de la croix. 
Enfin, après une vie si sainte, Dieu l'appelle au ciel pour lui donner l'éternité, le 6 avril 686.

Comme sa petite communauté est environnée d'une grande ville qui porte le nom de Mons, Sainte Waltrude (ou Waudru) en est devenue la Sainte Patronne, on la considère comme sa fondatrice, et est honorée en ces qualité par tous ses habitants. Son culte remonte à l'époque même de son bienheureux trépas. Elle a été de tout temps célèbre, non seulement à Mons où ses reliques sont conservées, mais encore dans tous les pays circonvoisins.

En 1349, le 7 octobre, les reliques de Sainte Waltrude sont portées en procession dans les rues de Mons, pour implorer la miséricorde de Dieu contre la peste qui fait d'affreux ravages. Une multitude d'habitants de la ville et des villages voisins accourent en cette circonstance pour rendre hommage à l'auguste Sainte » de sorte que véritablement, c'est à son culte que cette ville est redevable qu'elle soit la capitale de la province, et que les faveurs continuelles qu'en reçoivent les habitants lui témoignent leurs respects et leurs vénérations " (P. de Boussu. Histoire de Mons).

Les reliques de Sainte Waltrude reposent toujours à Mons, dans une magnifique châsse d'un merveilleux travail. Un reliquaire particulier renferme le chef de notre Sainte qui a été séparé du corps. À sa mort, la vox populi déclare Waudru Sainte. Aye, une cousine, lui succède à la tête de la communauté féminine, l'abbaye étant mixte à l'origine.
Ce n'est qu'en 1039 que l'Église officialise la canonisation par l'intermédiaire de l'évêque de Cambrai. Sa cousine et successeur sera, elle aussi, canonisée.


Chaque année, le lendemain de la fête de la Très-Sainte-Trinité, on fait une procession dans Mons, dans laquelle les précieuses reliques sont portées par un char (appelé aussi le Car d'or) et tiré par les plus beaux chevaux des brasseurs de la ville. La collégiale Sainte-Waudru est l'un des plus remarquables monuments religieux de Belgique. Elle est construite au XVe siècle sur les dessins et les plans de l'architecte Jean Dethuin.

Il faut bien comprendre ce qu'est une vita : Ce n'est pas une biographie, mais bien une légende, littéralement un texte écrit pour être lu. Le moine qui rédige ce texte veut souligner en quoi la vie de Waudru est exemplaire, en quoi elle est un modèle de sainteté à imiter. A cette fin, il ajoute aux événements et au caractère de son héroïne, quelques anecdotes édifiantes, liées surtout à la période où Waudru cherche à réaliser son idéal de vie monastique.

De nombreuses légendes relatent que des souterrains percent le sous-sol de la région, du beffroi de Mons au Mont Panisel (une colline au sud-est de Mons), comme de Mons à Saint-Ghislain, appelée Ursidongus à l'époque de Waudru. L'une de ces légendes raconte que Waudru et Ghislain étaient amants et que pour se retrouver, ils effectuaient le trajet dans un de ces souterrains, se rencontrant à peu près à mi-chemin. Ghislain lui demandait alors si elle voulait « commettre le péché de chair », ce à quoi Waudru aurait répondu « Quare non ? » (Pourquoi pas ? en français). « Quare non » serait à l'origine du nom de Quaregnon, commune située entre Mons et Saint-Ghislain.

L'histoire retient que l'époux de sa cousine Aye, un certain Hydulphe, lui fait bâtir un monastère sur la colline de Mons. Autour de ce dernier va se développer un embryon de cité.
Entre le Xe et le XIIIe siècle, les religieuses régulières se sécularisent
progressivement. La première mention que l'on trouve au sujet des chanoinesse
remonte à une charte de 1123, dans laquelle l'évêque de Cambrai ratifie la
donation - du bénéfice et de l'église Saint-Pierre près de l'église de Sainte- Waudru avec tout ce qui en dépend

En 1574, un incendie se déclare dans la Grand-Rue et commence à se propager dans le quartier jusqu'à la rue de la Guirlande. Les Chanoinesses amenèrent une relique de Sainte Waudru qu'elles plongèrent dans le puits d'où l'on prenait l'eau pour éteindre le feu. Par leurs prières à leur Sainte Patronne, les habitants se rendirent bientôt maîtres du sinistre.
Libération de quatre brasseurs (cinquième miracle, lu au coin des rues des Capucins et des Sœurs Grises) Au XVIe siècle, quatre brasseurs accusés d'un crime capital sans que les preuves n'en fussent formellement établies, parvinrent à s'échapper de leur prison et au lieu de s'enfuir, chargés de chaînes se présentèrent devant l'autel de Sainte Waudru qui, de son vivant, avait consacré tant de ses efforts et de ses biens à la délivrance de prisonniers. Les quatre brasseurs supplièrent donc sainte Waudru, implorant qu'elle les libère. On vit alors les chaînes se briser et tomber à terre. Sainte Waudru avait ainsi fait reconnaître leur innocence.

Ainsi, une fontaine située à Casteau (ou à Mons même selon les auteurs), appelée alors source de Sainte Waudru, visitée par les personnes malades souhaitant obtenir leur guérison miraculeuse par l'intercession de Sainte Waudru, voit-elle, au début du onzième siècle, son eau changée en sang. Façon pour la sainte d'annoncer une guerre imminente.
Un enfant nouveau-né, sur le point de mourir sans être baptisé, est protégé, à la demande de sa mère, par Sainte Waudru. Non seulement, il reçoit le Baptême mais, devenu adulte, sera prêtre et vivra jusqu'à un âge avancé.
Ce miracle était jadis le quatrième lu pendant la procession de la Trinité. Un autre enfant, sur le point de mourir car ne se nourrissant plus, est guéri par l'intercession de Sainte Waudru et retrouve l'appétit. Waudru et sa sœur Aldegonde demandent par l'intermédiaire de la Vierge Marie et du Christ, que Thierry d'Avesnes soit puni parce qu'il s'en est pris aux biens des chanoinesses. Les deux sœurs obtiennent le châtiment demandé dès que la femme du Comte (qui priait constamment pour le salut de son mari) est répudiée parce que ne pouvant lui donner de descendance. Dès le divorce prononcé, le Comte reçoit sa punition et trouve la mort (1090) lors d'une chasse dans le bois de Mormal.

On rapporte encore qu'une reine de France (Isabelle de Hainaut -1170-1190-, épouse de Philippe-Auguste -1165-1223), en 1187, ne pouvant avoir d'enfant, et donc sur le point d'être répudiée, obtient de Dieu par l'intercession de Sainte Waudru « une heureuse grossesse ». Elle met au monde un fils prénommé Louis (futur Louis VIII -1187-1226). Waudru est dès lors, pour un long moment, considérée comme protectrice de la France, comme c'était le cas pour Mons et pour le Hainaut.
Lors de la Procession de 1597, alors que le Car d'Or, portant la châsse, arrive aux Bruyères de Casteau, un adolescent tombe. Une roue « ayant passé et repassé sur l'enfant », il reste immobile sans qu'aucune lésion ne soit constatée. Il en est quitte pour une belle peur et poursuivit à pied le reste de la procession, remerciant Waudru qui l'a protégé.

Comme on le voit, les miracles de Waudru sont nombreux et montrent à quel point la sainte s'est toujours révélée proche de ceux qui plaçaient en elle leur confiance… Mais le plus beau, le plus actuel, le plus authentique de ses miracles aujourd'hui est probablement la cohésion qui unit les Montois à la Trinité autour de Waudru, source de la cité montoise, et de Saint-Georges, symbole de la cité actuelle… Pour se rendre compte de la ferveur des Montois envers Waudru, il suffit d'assister à la cérémonie de la descente de la châsse … Moment magique, moment hors du temps … Rencontre de Waudru avec ses Montois… Rencontre des Montois avec leur Sainte Patronne…

L’Histoire est passée par là et laisse un inventaire désolant : Pillages, vols et destruction ont marqué le coeur historique de Mons. C’est probablement dans ces drames que la ville a puisé l’énergie de son folklore très vivant, donnant à son patrimoine un dynamisme étonnant.
On ne possède que peu de traces de ce qui aurait été le reliquaire médiéval de Sainte-Waudru (612-688). On sait qu’en 1250, Marguerite de Constantinople dote d’un somptueux écrin la tête de la sainte et qu’en 1451, lors des assises de la Toison d’Or à Mons, Philippe le Bon fait don au trésor d’un reliquaire.

La période napoléonienne laisse revenir à la surface quelques pièces miraculées. Les reliques de la Sainte sont replacées en 1804 dans un coffre en bois doré et y restent en l’état jusqu’en 1887, année du douze centième anniversaire de la naissance de Sainte- Waudru, fondatrice de la ville de Mons. Il est alors convenu de confier à l’orfèvre liégeois, J. Wilmotte, le soin de concevoir une châsse- reliquaire inspirée de la tradition médiévale.

Mais, à Mons, le drame de la dispersion d’une grande partie du trésor a ravivé la nécessité de lui redonner du sens en ravivant les rites anciens. Le samedi, veille de la Trinité, la foule remplit la collégiale pour la traditionnelle cérémonie de la « Descente de la châsses-reliquaires des deux Saints Patrons du Hainaut, Sainte-Waudru et Saint-Vincent, pour obtenir, grâce à leur intercession, la cessation de l’épidémie de peste qui dévastait alors la région. Ainsi est née la tradition de cette procession annuelle en hommage à Sainte-Waudru en reconnaissance de la grâce obtenue. Depuis 1352, la date du cortège est fixée au dimanche de la Trinité (voir WAW n° 20).
Le Trésor de la collégiale de Mons, outre la châsse-reliquaire de Sainte-Waudru, expose La Benoîte Affique, une broche qui aurait servi d’agrafe du manteau de Sainte- Waudru. Une bague en or au chaton bleu sombre qui aurait appartenu à la sainte a servi d’anneau épiscopal au premier évêque concordataire de Tournai. Cette pierre ronde gravée en creux est sertie d’or et de pierres fines a valeur de relique.
Mons rejoint ainsi les cités honorées par cette confrérie chevaleresque d’envergure Européenne dont le trésor, demeurées possession des Habsbourg, est exposé au Schatzkammer, à Vienne.
Après les excès de la révolution de 1789, Victor Hugo déclare la guerre aux démolisseurs du patrimoine médiéval. La notion de protection du patrimoine et d'un classement est une idée neuve qui n'aura force de loi qu'au XXe siècle


Waudru de Mons — Wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Waudru_de_Mons
Waudru de Mons ou Waldeltrude ou Waldetrude ou sainte Waudru (en latin ... 612 ,, morte le 9 avril 686 ou 688 à Mons (aujourd'hui en Belgique) dont elle est la .... Les Bollandistes fixent l'année de naissance de Waudru en 622, elle aurait …

Lecture des miracles — Site officiel de la Ville de Mons
www.doudou.mons.be › ... › Ducasse rituelle › Procession du Car d'Or
Morte un 9 avril vers 688, Waudru, dont on situe généralement la naissance vers 612, bénéficiait de quatre fêtes au cours de l'année. Le 9 avril, jour de sa mort, ...

Sainte WAUDRU (VAUDRU, WALTRUDE) de MONS, abbesse
har22201.blogspot.com/.../sainte-waudru-vaudru-waltrude-de-mons.htm...
9 avr. 2015 - Le tableau ayant été souvent restauré au fil des années, l'inscription est ... À Châteaulieu dans le Hainaut, en 688, sainte Waudru, sœur de ...

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire