jeudi 23 juillet 2015

EN REMONTANT LE TEMPS... 669

17 JUILLET 2015...

Cette page concerne l'année 669 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !

L'EXPANSION IRRÉPRESSIBLE DES MUSULMANS DANS LES PAYS BERBÈRES



L’arrivée de l’islam au VIIe siècle est un moment fondateur et essentiel dans la formation de la nation Marocaine. Mais avant que les troupes musulmanes n’atteignent les frontières du Maroc, ce dernier a déjà une identité, une histoire et une spécificité géographique et culturelle. Retour sur les origines d’un vieux pays et d'une très ancienne nation.

De nombreux historiens Marocains aiment rapporter, avec une certaine délectation, cette anecdote qui s’est déroulée dans la cour d’un calife abbasside à Bagdad. Un courtisan, croyant flatter le calife, explique à ce dernier que le monde ressemble à un immense oiseau, dont la tête se trouve en Orient, les deux ailes se déploient au Yémen et en Syrie, le cœur est en Irak, tandis que la queue se situe à son occident, le Maghreb. Un Marocain présent à la cour du calife intervient alors pour confirmer les propos du courtisan en disant : « Oui, le monde ressemble effectivement à un paon », allusion faite au chatouillant et bel éventail de plumes que forme la queue du paon, la partie la plus noble de cet oiseau. Le calife a souri de la remarque de son hôte Marocain et l’a récompensé, pour son mot d’esprit et sa fierté nationale. Comme l’indique cette anecdote, les Marocains ont toujours eu la conviction chevillée au corps d’appartenir à une entité géographique distincte et à une culture et une histoire spécifiques. Leur pays n’est pas exclusivement berbère, arabe, musulman, juif ou africain, mais il est tout ça à la fois. Un mélange, une synthèse.

Son ancien nom, Al Maghrib Al Aqsa, l’Extrême Occident, traduit cette singularité et cette spécificité, même aux yeux des étrangers qui le perçoivent comme une terre lointaine, excentrée, qui fascine et intrigue. Divers mythes et légendes expriment la curiosité que suscitait le « Far West » du monde : C’est là que vivait Atlas, le géant de la mythologie Grecque, qui donne son nom à la chaîne de montagnes, condamné par Zeus, pour son insoumission, à porter sur ses puissantes épaules la voûte céleste...
C’est à Tanger que Hercule a ouvert le détroit de Gibraltar en fendant d’un vigoureux coup d’épée deux montagnes, séparant ainsi définitivement l’Europe de l’Afrique.
Et c’est dans cette contrée que les Atlantes, peuple mythique descendant du dieu de l’océan, se sont installés pour fonder un empire puissant qui s’étale, selon la légende, du Sénégal aux îles britanniques...
L’histoire du Maroc, avant l’avènement de l’islam au VIIe siècle, démontre la spécificité culturelle et géographique du Maroc, « pays détaché de tout autre pays », comme le décrit Ibn Khaldoun. L’histoire ancienne démontre comment le Maroc s’est fait et formé de mélanges entre des vagues successives de races, de cultures, de religions et d’influences venant de tout horizon, et dont l’islam et l’arabité ne sont qu’une composante, essentielle et importante.

« Soukan al maghrib al awaloun » Sans remonter à des temps immémoriaux, il est généralement admis que les premiers habitants du Maroc sont les Berbères, un ensemble de populations apparues depuis plus de 9 000 ans en Afrique du Nord suite à des vagues migratoires venues du Proche-Orient. Le déplacement de groupes venant d’Orient et leur installation au Maroc constituent une caractéristique de l’histoire du pays au fil des siècles. Un autre courant migratoire préhistorique est venu de la Méditerranée pour s’agréger et se fondre aux populations venues de l’Orient, pour donner aux habitants du Maroc et du Maghreb une originalité physique et culturelle.
Dans son monumental Histoire des Berbères, Ibn Khaldoun attribue l’origine du mot « berbère » à la difficulté des dialectes parlés par les populations du
Maghreb, que les différents envahisseurs n’arrivent pas à déchiffrer et comprendre. Le grand historien explique alors que le mot « barbara » en arabe signifie des cris incompréhensibles ainsi que les rugissements du lion. Ibn Khaldoun reprend dans son explication une origine plus ancienne du mot berbère, qui dérive du mot latin Barbarus, signifiant étranger à la langue et à la culture des Grecs, et désignant aussi les populations qui vivent en dehors de l’empire Romain... La question de l’origine des Berbères a toujours été un enjeu crucial et important, qui dépasse le cadre de la connaissance scientifique. La recherche historique a été souvent mise à contribution pour servir des ambitions politiques et forger une vision idéologique de l’identité du Maroc et de son histoire. Ainsi, de nombreux auteurs ont voulu prouver l’origine Européenne des Berbères, en recourant parfois à des acrobaties scientifiques et des arguments vaseux. La présence de groupes au teint et aux yeux clairs dans certaines zones montagneuses du Maroc a été présentée comme la confirmation que les Berbères sont des descendants de tribus Celtes venant du nord de l’Europe. La recherche anthropologique et archéologique moderne a totalement démonté et invalidé l’hypothèse de l’origine Européenne des Berbères.

Dans l’Antiquité, la population Berbère d’Afrique du Nord est appelée « les Libyens ». Ce nom recouvre, chez les historiens Grecs et Romains, une vaste entité géographique qui s’étend sur ce qui correspond de nos jours au « Grand Maghreb ». Connus pour leurs qualités militaires et guerrières, les Libyens, ou « les Lebou », ont pu même accéder au pouvoir en Égypte, avec le roi Chéchonq Ier, pour fonder une nouvelle dynastie de pharaons en 950 avant J.-C. Cette date est considérée comme le début du calendrier Berbère.

Un autre nom, plus précis, est apparu chez les auteurs Grecs et Romains pour désigner la population qui se situe à l’ouest de l’Afrique du Nord : Les Maures. On ne connaît pas beaucoup de choses, à défaut de traces et de documents écrits, sur cet essaim de tribus Berbères qui habitent sur un territoire correspondant en grande partie au Maroc actuel. D’origine Phénicienne, le mot Maures signifie « les Occidentaux » et sert à distinguer géographiquement ce territoire des autres régions d’Afrique du Nord.
Le nom de ce peuple a un autre destin, quand les Espagnols l’utilisent, suite à la fin de la présence musulmane en Andalousie, pour désigner ce que nous appelons de nos jours les Maghrébins.
Située entre l’Atlantique et l'oued Moulouya, la population Maure est composée essentiellement d’agriculteurs, de pasteurs et de nomades. Le contact avec les Phéniciens, qui ont installé des comptoirs et des escales dans différents endroits du Maroc, a permis aux tribus Maures de développer des structures politiques et administratives qui se transforment à partir du IVe siècle avant J.-C en royaume. Les princes et les hauts fonctionnaires Maures utilisent le phénicien comme langue administrative et diplomatique, tandis que les différents dialectes berbères constituent la langue d’échange entre les populations. La chute de Carthage, qui a entraîné l’effondrement de la puissance Phénicienne et l’apparition de l’empire Romain, a permis au royaume des Maures d’émerger et de sortir de l’ombre. Les rois Maures vont alors entrer dans des alliances complexes avec les Romains pour élargir leur territoire au détriment des autres royaumes Berbères d’Afrique du Nord, et notamment les voisins Numides.

Pendant 3 siècles, la dynastie des Bocchus a régné sur le pays des Maures, qui ressemble beaucoup plus à une confédération de tribus dotée d’un chef qu’à une monarchie centralisée. La fondation du royaume des Maures et son étendue exacte demeurent peu connues en raison de la rareté et la quasi-inexistence même de documents écrits. Les quelques mentions qu’on retrouve chez des historiens Romains permettent de croire qu’il s’agit d’un royaume qui s’étend du nord du Maroc jusqu’à l’Atlas et dont l’oued Moulouya est une frontière naturelle qui le sépare de la Numidie, royaume Berbère Oriental, parfois allié et souvent concurrent.

Pendant longtemps, le royaume des Maures est ami et soutien des Romains dans leurs différentes luttes en Afrique du Nord. Ainsi, à la fin du IIIe siècle avant J.-C, le roi Baga a fourni à Scipion l’Africain, le célèbre général Romain, des contingents de combattants pour livrer un combat final contre la puissante Carthage... La victoire des Romains sur Carthage et la destruction de cette dernière ont dessiné un nouveau visage de la Méditerranée et de l’Afrique du Nord. Un empire est né de cette victoire. L’alliance des Maures avec l’empire Romain a permis à la dynastie des Bocchus d’étendre son royaume, de grignoter sur le territoire des voisins et de gagner en pouvoir et en influence. Le déclenchement d’un conflit, entre Rome et le royaume Berbère de Numidie, a été une occasion saisie par les Bocchus pour étaler d’une façon spectaculaire le domaine des Maures.
C’est alors que vers 109 avant J.-C, Jugurtha, le jeune roi numide, refuse le plan proposé par Rome de partager son royaume entre différents héritiers, déclenchant ainsi une longue guerre avec les Romains.
Jugurtha se tourne alors vers son voisin et beau-père Bocchus Ier, roi des Maures, pour l’aider et le soutenir dans son combat. Mais le roi Maure, craignant une réaction dévastatrice de Rome et pensant d’abord à son propre intérêt politique, a fini par livrer son gendre Jugurtha à ses ennemis. La contrepartie de la trahison a été grande : Bocchus Ier a reçu des Romains toute la partie occidentale du royaume Numide, qui s’étend sur une grande partie de l’Algérie actuelle. Les nouveaux sujets des rois Maures ont perdu progressivement leur ancienne appellation et le nom de leur royaume déchu, la Numidie, va disparaître pour devenir le pays des Maures... L’emprise des Romains ne cesse de grandir et leur contrôle sur l’Afrique du Nord atteint des proportions considérables. La chute du royaume des Maures en l’an 40 avec l’assassinat de Ptolémée, le dernier souverain de la dynastie des Bocchus, a mis fin aux royaumes Berbères et placé l’Afrique du Nord sous administration Romaine directe.

Pays excentré, bordé de mers et traversé par de massives chaînes montagneuses, représentant peu d’intérêt économique pour les grandes puissances de l’époque, le Maroc antique n’a subi qu’une faible influence culturelle et politique de ses envahisseurs : Les Romains, les Vandales et les Byzantins ont pu successivement occuper le Maroc et empêcher la résurgence de royaumes Berbères, mais sans parvenir à marquer profondément sa composition ethnique ou opérer des transformations radicales au niveau de son identité et sa culture... Seul l’islam et les vagues successives de migration arabe réussiront à s’agréger à la composante Berbère et fonder les bases de la nation Marocaine. Malgré une présence de plus de 5 siècles, les Romains n’ont marqué le Maroc que d’une façon superficielle et l’impact de leur colonisation a été très ténu.

La région « Maurétanie tingitane » qui correspond au Maroc, selon le découpage administratif Romain, a été moins latinisée et moins imprégnée par la culture de l’empire, que l’Algérie et la Tunisie. L’occupation Romaine est restée confinée à un territoire étroit dans certaines villes comme Tingis (Tanger), Lixus (Larache) et Volubilis.
On trouve alors peu de trace de monuments d’envergure que les Romains ont laissés dans d’autres pays, comme les aqueducs, les ponts ou les grandes routes. Deux mondes coexistent dans ce contexte : Une civilisation Romaine cloîtrée dans quelques villes-garnisons réservées aux militaires et aux fonctionnaires venus de la métropole et une population qui a gardé intacts ses coutumes, ses traditions et ses dialectes. Les marques de la présence Romaine se sont amoindries et effacées avec le rétrécissement de l’empire et l’arrivée de nouveaux conquérants.

Vers 429, les Vandales, hordes de tribus Germaniques dont le nom est synonyme de destruction, déprédation et pillage, ont envahi le Maroc à la recherche de terres fertiles et de ressources naturelles. Ils se dirigent après vers l’est, pour atteindre l’ancienne Carthage, et ne laissent derrière eux que désolation et ruines. Malgré une présence de plus d’un siècle en Afrique du Nord, les Vandales ne laisseront que peu de traces de leur passage au Maroc.

Les Byzantins, héritiers de l’empire Romain, essayeront de restaurer la gloire et le prestige de leurs ancêtres en partant à la reconquête du Maghreb. Mais ils n’auront que peu de réussite au Maroc et leur zone d’influence est restée limitée à Tanger et Sebta, en raison de la forte résistance opposée par les tribus Berbères.
Le champ est alors ouvert à de nouveaux conquérants, venus d’Orient, galvanisés par leur religion qu’ils ont pour ambition de répandre et y convertir d’autres peuples : les musulmans.

Après la mort du prophète Mohammed, les musulmans vont se lancer, tous azimuts, dans des conquêtes fulgurantes et rapides, avec des troupes légères et peu fournies en hommes et en armes.
En quelques mois seulement et avec une petite armée composée de 4 000 hommes, les guerriers musulmans ont pu venir à bout des Byzantins en Égypte et annexer l’ancienne terre des pharaons au jeune empire musulman. Mais les choses sont différentes et compliquées au Maghreb face à la farouche résistance indigènes. Pour l’armée musulmane, il a fallu plus d’un demi-siècle de
combats, de raids et de négociations pour contrôler définitivement l’Afrique du Nord : Autant de temps nécessaire pour conquérir la Syrie, l’Égypte, l’Iran et l’Espagne réunis ! Oqba Ibn Nafiî, personnage légendaire et combattant fervent et obstiné, symbolise la dureté de la tâche et la violence de la résistance opposée par les Berbères.

Nommé par le calife Yazid en 669, Oqba s’est lancé dans une vaste offensive générale au Maghreb. Après avoir défait les Byzantins et construit Al Kairouan, la ville Tunisienne, il pousse un long raid vers la pointe occidentale du Maghreb et atteint Tanger, puis chevauche jusqu’au sud du Maroc, pour arriver aux « pays des Noirs ». Selon la légende rapportée par des historiens musulmans, Oqba avance avec son cheval dans les flots de l’Océan Atlantique, ou « la mer des ténèbres » selon l’appellation arabe, et prend à témoin Dieu que s’il avait la possibilité d’étendre sa conquête au-delà de l’océan il n’aurait pas hésité à le faire... En route vers Al Kairouan, Oqba est tué, près de Biskra en Algérie, dans un combat contre la tribu des Awraba dirigée par Kousseila, le chef Berbère.
Après la mort de Oqba, de nouvelles campagnes militaires musulmanes sont menées au Maghreb et peu d’entre elles atteignent le Maroc. L’alliance des Byzantins et des tribus Berbères a donné du fil à retordre aux troupes envoyées par les califes de Damas et retardé la domination musulmane sur l’Afrique du Nord.
Une femme s’est illustrée dans la résistance des tribus Berbères de l’Aurès, en Algérie, et a obligé les troupes musulmanes à battre en retraite. Dihiya ou Damiya, selon les sources, surnommée Kahina par les historiens musulmans, est passée dans la mythologie Maghrébine pour avoir fait face, jusqu’à sa mort, à l’avancée des troupes musulmanes. Mais une nouvelle et dernière offensive a œuvre de Moussa Ibn Noussaïr en 704, impétueux, fin négociateur et chef militaire déterminé, réussit à conquérir tout le Maroc et à convaincre les Berbères de se convertir à l’islam... La nouvelle religion adoptée par les Berbères leur offre alors un lien solide permettant de transcender les divisions locales et tribales et de cimenter les différentes composantes de la population vivant au Maroc.
Beaucoup de Berbères ont intégré l’armée musulmane et participé activement et ardemment aux conquêtes menées sous la bannière de l’islam. L’un d’entre eux, Tariq Ibn Ziad, sera même chargé par Moussa Ibn Noussaïr de lancer les troupes à la conquête de l’Espagne... Tout un symbole !

Les plus vieux témoignages sur l'ancienneté de la présence juive au Maroc sont épigraphiques. Ce sont ceux des inscriptions funéraires en hébreu et en grec qui ont été trouvées dans les ruines de Volubilis et qui remontent au IIe siècle avant notre ère. Mais la tradition orale des juifs du Maroc fait remonter la présence juive à l'arrivée des premiers bateaux Phéniciens, il y a donc plus de 3 000 ans ! Durant toute une partie de l'époque Phénicienne, puis durant toute la présence Romaine, les villes de Chellah (Salé), de Lixus (Larache), de Tingis (Tanger) ont été très certainement des centres de négoce importants pour les juifs du Maroc, qui pratiquent surtout le commerce de l'or et du sel.
Lorsque les Vandales surviennent, ils trouvent des alliés parmi les juifs, et ceux-ci vont connaître une totale liberté de culte pendant un siècle. Mais quand, en 533, le général Bélisaire est envoyé en Afrique du Nord par Justinien, l'empereur de Byzance, pour chasser les Vandales, les juifs vont entrer dans une période très douloureuse de leur histoire. A la veille de la conquête musulmane, plusieurs tribus juives Berbères sont identifiées à travers tout le Maghreb. (Ils vont penser que les musulmans seront pour eux des alliés et des chefs bien plus supportables que les Byzantins... ils découvriront vite qu'il n'en est rien !)

Oqba Ibn Nafi Al Fihri ou Oqba Ibn Naafi, né en 622 et décédé en 683, est un général arabe envoyé, à la tête des armées musulmanes, par Muawiya Ier, calife omeyyade de Damas dans le but de propager l'islam et d'étendre ses territoires.

Sa première campagne a été une campagne de reconnaissance. La seconde est une campagne de conquête, commandée par Muhawiya ben Hudayi. Les Byzantins font débarquer des renforts, commandés par un général venu de Grèce qui commet la même erreur que le patrice Grégoire en combattant en rase campagne. Les arabes ne vont cependant pas avoir les moyens suffisants pour avancer plus avant, trop loin de leur base. L'idée d'occupation permanente est décidée, ce sera le but de la troisième campagne en 669 et 672, confiée à Oqba ben Nafi composée de 10 000 cavaliers et de plusieurs milliers de fantassins.
Ils bâtissent Kairouan, il y a donc volonté de conquête de la région par l'implantation d'une base moins éloignée que l'Arabie.

En 672, le Oqba ben Nafi est remplacé par Abû al-Muhajir qui lance la première véritable campagne de conquête... Ce remplacement est expliqué par des intrigues politiques au sein du califat, et à la suspicion de celui-ci sur une éventuelle volonté indépendantiste de 0qba ben Nafi, fondateur de Kairouan.

Royaumes et dynasties du Moyen Age - Skikda, Stora, Algérie
skikda.boussaboua.free.fr/algerie_histoire_souverains_moyen_age.htm
Puis derrière leur chef Okba Ibn Nafi, ils traversent comme une flèche l'Afrique et clament ... 669 - 675, Oqba Ben-Nafa, 744 - 755 ... Au cours des années qui suivront les tribus berbères se convertissent à l'Islam et rallieront l'armée omeyyade.

Les Kabyles, enjeux et paradoxes d'une appellation ...
www.yennayer.fr/spip.php?article939
Deux années plus tard, une deuxième expédition arabe fut organisée. L'exarque ... La troisième expédition arabe eut lieu en 669. Les guerriers arabes étaient commandés cette fois-ci, par un chef de guerre redoutable, Uqba Ibn Nafi'.

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