vendredi 31 juillet 2015

EN REMONTANT LE TEMPS... 659

27 JUILLET 2015...


Cette page concerne l'année 659 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !

SAINTE GERTRUDE ET SA VILLE

Saint Bavon de Gand (nom de naissance Allowyn, en latin Allowinus) né vers 589 en Hesbaye et décédé le 1er octobre 659 à Gand (actuelle Belgique) est un commerçant en plantes pictoriales, spécialité locale. Il est d'abord banni, puis devient Saint Patron des villes de Gand, de Haarlem et de Wilrijk, il est liturgiquement commémoré le 1er octobre. Contrairement à certaines affirmations, il n'est pas parent avec Pépin de Landen.

Devenu veuf, il résout de se convertir au christianisme après avoir écouté une prédication éloquente de Saint Amand. Allant plus loin, il distribue ses biens aux pauvres et il devient moine à Gand où il reçoit la tonsure des mains de Saint Amand qui évangélise les Magyars... Il vit plusieurs années, reclus dans la forêt de Torhout, avant de revenir toujours comme ermite dans une cellule près de Gand, où il meurt vers 654 (le 1er octobre 659 d'après une tradition incertaine). À Dunkerque, où Bavon réapparaît chaque année sous les traits du Reuze au moment du carnaval, la conversion du guerrier s'est déroulée auprès de Saint Éloi.

On le représente en ermite, souvent près d'un arbre creux, avec près de lui la pierre qui lui sert d'oreiller. Sa représentation en chevalier lui fait porter un faucon sur le poing car la chasse est son sport favori. Il est aussi représenté sur le panneau extérieur droit du Jugement dernier de Jérôme Bosch.

Gertrude de Nivelles, née à Landen vers 626 et décédée à Nivelles le 17 mars 659, est une moniale et Sainte Franque. Première abbesse de l'Abbaye de Nivelles, elle est la fondatrice et la Sainte Patronne de cette ville du Brabant (Belgique). Le jour de la fête votive sa statue est portée en procession dans les rues de Nivelles. Née en 626, elle est la fille de Pépin de Landen et d'Itte Idoberge (Sainte Itte), et donc la sœur de Begge d'Andenne (Sainte Begge) et de Grimoald Ier. Son père, maire du palais de Dagobert Ier roi d'Austrasie, est l'ancêtre de Charles Martel, de Pépin le Bref et de Charlemagne... Sainte Gertrude est donc issue d’une famille aisée qui occupe un château à Nivelles. Dès son adolescence, elle témoigne d'une disposition d'esprit profondément religieuse qui lui fait refuser les prétendants qui lui sont présentés. À la mort de son père, sa mère Itte, sur le conseil de Saint Amand, transforme le château familial en monastère mixte dont elle devient la première abbesse.
L'aristocratie Austrasienne tente de s'opposer à la fondation, pour éviter que des domaines importants tombent sous le contrôle de l'église, ou pour éviter que la famille des Pépinides n'augmente son prestige par cette fondation...
Pour éviter que Gertrude ne soit enlevée et mariée de force, Itte coupe elle-même la chevelure de sa fille, afin de montrer à tous la détermination de Gertrude à renoncer au mariage et à entrer en religion.

Peu après la fondation du monastère, Itte cède sa place à sa fille qui devient abbesse. Gertrude s’implique beaucoup dans la vie religieuse. Elle se lie d’amitié avec les Saints Moines Irlandais, Feuillien et Saint Ultan. Animée d'une insatiable soif de savoir, elle recherche une connaissance approfondie des Saintes Écritures : Le saint moine Feuillien lui est d'une aide particulière dans cette étude des Écritures. C'est de Gertrude que Saint Feuillien recevra le terrain de Fosses où il s'établit.
Reste que Gertrude est surtout reconnue et aimée pour l’aide qu’elle apporte aux plus démunis. Elle élève également sa nièce Sainte Vulfetrude et une jeune fille du nom d'Agnès.

Les nombreux jeûnes qu'elle a pratiqués la diminue physiquement si bien qu'à l'âge de 30 ans elle laisse la direction de l'abbaye à sa nièce Vulfetrude qui devient abbesse. Elle meurt 3 ans plus tard, le 17 mars 659. Ses restes sont inhumés dans l'église abbatiale de Saint Pierre, qui prend le nom d'église Sainte-Gertrude au Xe siècle.
De Nivelles, le culte de Sainte Gertrude se répand dans le Brabant Occidental, puis dans le Brabant Septentrional dans les actuels Pays-Bas et le long des vallées du Rhin, de la Moselle, de l'Oise et de l'Aisne. Puis des pèlerins diffusent son culte dans toute l'Europe, si bien qu'elle devient la Sainte Patronne des voyageurs et que de nombreuses églises, chapelles et hôpitaux le long des grands axes commerciaux du Saint-Empire sont placés sous son patronage.

De la seconde moitié du XIe siècle jusqu'au XIVe siècle, un usage Germanique, appelé Gertrudisminne, consiste à boire une coupe de vin en l'honneur de Sainte Gertrude avant de partir en voyage ou dans une expédition militaire. Cet usage provient d'un légende la concernant : Un jour elle envoie certains moines Irlandais en mission pour un long voyage en mer, leur assurant sa protection. Attaqués par un monstre marin, ils le font disparaître en invoquant la sainte.

Au XVe siècle, cette même légende fait qu'elle est invoquée contre la fièvre, les invasions de rats et de souris dans les Pays-Bas, en Alsace et en Catalogne. Elle est également la protectrice des chats et devient à cette époque la patronne des fileuses parce que celles-ci ont interdiction de filer le 17 mars, date où les travaux d'hiver cessent, ainsi que celle des jardiniers, car les travaux agricoles reprennent vers cette même date. (Pour rappel, le 17 mars est le jour où l'on célèbre Sainte Gertrude.) Dans les Pays-Bas, la Rhénanie et l'Espagne, elle est représentée avec une crosse d'abbesse et un ou plusieurs rongeurs à ses pieds, parfois avec une couronne princière. En Alsace et dans le sud de l'Allemagne, les artiste préfèrent la représenter en nonne avec une quenouille et des rongeurs, tandis que les Scandinaves et les Allemands du nord préfèrent la représenter avec une église ou un hôpital. Des rats et des souris lui grimpent le long de la robe ou encore le long de la crosse qu'elle tient.

Elle est d'ailleurs rendue célèbre par ce pouvoir d'éloigner ces rongeurs. Pour se débarrasser des rats, l'on peut, selon une superstition Lorraine, réciter cette phrase : « Rat, rate ou souriate, souviens-toi que Sainte Gertrude est morte pour toi dans un coffre de fer rouge, je te conjure, au nom du grand Dieu vivant, de t’en aller hors de mes bâtiments et héritages ».

Selon certaines sources, si elle est représentée avec des rats et des souris, c'est peut-être parce que l'on a voulu symboliser le diable dont Gertrude parvient à triompher. Mais de nombreuses théories sont avancées. Notamment une, qui dit qu'en fait ce serait l'eau du puits de l'église répandue sur les champs et les maisons qui les a protégées. De nos jours, Sainte Gertrude est toujours vénérée chaque année dans la ville de Nivelles.
Autour de l'abbaye s'est développée une ville devenue importante vers 1220.
L'église Sainte-Gertrude est devenue une collégiale qui anime toujours le cœur de Nivelles. Les reliques de Sainte Gertrude y sont conservées dans une châsse. Celle-ci est transportée sur un char en procession dans la ville et à travers champs en suivant un parcours de plusieurs kilomètres correspondant au trajet qu'effectue l'abbesse pour rendre visite aux malades et aux pauvres. Cette procession annuelle, se déroulant le dimanche suivant la Saint Michel, trouve ses origines au XIIIe siècle et atteint son apogée au XVe siècle. Aujourd'hui, elle attire encore de 1 000 à 2 000 mille pèlerins.

Le 14 mai 1940, alors que commence la Seconde Guerre mondiale, le centre-ville est bombardé par l'aviation du Troisième Reich : La flèche gothique de la collégiale Sainte-Gertrude, touchée par une bombe incendiaire, s'effondre en flamme. Dès 1948, des travaux de restauration de la collégiale sont entamés. Exécutés en plusieurs campagnes, ils sont achevés en 1984. À cette occasion, l'édifice retrouve son style entièrement roman, tel qu'il était lorsque l'avant-corps à abside a été construit à la fin du XIIe siècle contre l'église abbatiale (du XIe siècle).

La châsse de Sainte Gertrude, joyaux de l'art gothique, laissée dans sa cachette que l'on croyait sûre, fond sous l'effet de la chaleur de l'incendie de la collégiale... Les reliques de la sainte pourront heureusement être récupérées. Plutôt que de restaurer la châsse, trop abîmée, il est décidé d'en confier la construction d'une nouvelle à Félix Roulin en 1978. Cette nouvelle châsse, appelée contemporaine, contient des fragments de l'ancienne châsse sur ses parois avant et arrière, et est constituée d'un élément central contenant les reliques et de 4 éléments articulés permettant de lui faire prendre 3 formes (horizontale, châsse classique et verticale) suivant les circonstances.

Les bâtiments de l'abbaye sont détruits et ne seront pas reconstruits. Seuls ont été épargnés et conservés les cloîtres du XIIIe siècle autour desquels ont été construit le nouvel hôtel de ville remplaçant ainsi les murs de l'abbaye qui
fermaient l'extérieur des cloîtres (avec, au sud, le mur de la collégiale).

Au milieu du VIIe siècle, le territoire de la ville actuelle de Nivelles se situe au cœur de l'Austrasie Franque. Les « maires du palais » de la dynastie déchue des Mérovingiens deviennent peu à peu propriétaires de vastes domaines agricoles sur lesquels ils règnent en maîtres des gens et des choses. Ainsi, le « maire du palais », Pépin dit « le vieux », possède-t-il une immense « villa »(= grand domaine) de quelque 7 800 hectares sur le territoire de l'actuelle ville de Nivelles et des villages environnants. Il meurt en 640, laissant une veuve, Itte (ou Iduberge ou Ide), originaire d'Aquitaine, et 3 enfants : Grimoald, Begge et Gertrude.

Entre 647 et 650, l'évêque de Maastricht, Amand, lui aussi originaire d'Aquitaine, persuade Itte de fonder une communauté d'hommes et de femmes qui trouve logiquement un abri dans les murs de la « villa » de Pépin. Gertrude en devient la première abbesse. Les fouilles archéologiques menées à partir de 1941 permettent de se faire une idée plus précise de ce qu'a été le monastère à ses débuts...
Le premier oratoire, dont on a découvert les restes sous la collégiale, est dédié à Saint Pierre et a une fonction principalement cimetériale. C'est là que l'on enterrait les membres de la communauté. Le second oratoire, dédié cette fois à Saint Paul, est réservé à la communauté masculine. Quant à l'oratoire dédié à Notre Dame, il est réservé à la communauté féminine.

Gertrude morte en 659 est enterrée dans la chapelle funéraire dédiée à Saint Pierre, comme le sera aussi Ermentrude, vers l'an mil, petite-fille du roi de France Hugues Capet.
La présence de cette tombe abbatiale va conditionner toute l'évolution architecturale de l'église : L'afflux des pèlerins entraîne des adaptations et des agrandissements continuels. Le prestigieux édifice roman, consacré en 1046, n'est que l'ultime étape de cette évolution.

Quant à l'abbaye, fondée par des membres de la famille des maires du palais, elle devient abbaye impériale par l'accession au trône de leurs descendants.
Dans le courant du XIe siècle, les religieuses et les moines, qui suivent la règle Colombano-Bénédictine aux VIIe et VIIIe siècles, font place à des chanoinesses et à des chanoines, dont le statut admet la propriété personnelle.
Au début du XIe siècle, à la suite, semble-t-il, d'un incendie catastrophique, on entreprend la construction d'une nouvelle église.

Le chroniqueur Sigebert de Gembloux nous apprend qu'elle est consacrée en 1046 par l'évêque de Liège Wazon en présence de l'empereur Henri III.
Le XIe siècle constitue l'apogée de l'abbaye. Le domaine étend ses possessions en Frise, en Zélande, dans la vallée de la Moselle et jusqu'au Rhin. A Nivelles, une ville se forme autour du noyau que constitue l'abbaye : Un « vicus » (agglomération marchande) sous Charles le Chauve (IXe siècle), un « burgus vel villa » (XIe siècle), un « oppidum » (XIIe siècle - avant 1182 en tout cas) avec un rempart long de près de 2 kilomètres, percé de 7 portes et de 11 tours. Du point de vue politique, la ville s'inscrit dans le système défensif des ducs de Brabant et cette protection va permettre à la cité de s'accroître notablement au début de XIIIe siècle.

Le mouvement commercial Brabançon, dont Nivelles est à l'origine, soit un axe nord-sud s'étendant jusqu'en Angleterre, se déplace sur l'axe est-ouest de la voie Cologne-Bruges. La ville atteint alors, en un très court délai, un niveau de prospérité tel qu'elle ne pourra pas le maintenir, se voyant supplantée par les autres communes du Brabant.
En pleine phase de développement de la ville se marque la décadence de l'abbaye qui abandonne progressivement l'exploitation directe de son domaine pour devenir un rentier du sol. Dans le même temps, l'abbaye se sécularise et souffre, de surcroît, de graves dissensions intestines.
A Nivelles, les véritables représentants de l'autorité communale sont les jurés, les rentiers et les maîtres des métiers qui apparaissent au XIVe siècle, ils s'occuperont tant des finances que des fortifications et des travaux publics. Les échevins auront de l'importance plus tard.

En 1262 se situe le soulèvement de la « commune » de Nivelles : Les habitants affrontent directement et violemment l'autorité abbatiale, jusqu'en 1265, chartes et traités conclus avec d'autres villes ainsi que le sceau communal créé pour la circonstance sont finalement détruits. Le règne de la duchesse Jeanne marque la période de la plus grande puissance de la commune Nivelloise. Les concessions qu'elle obtient, tant de la souveraine du Brabant que des abbesses, assurent le renforcement définitif de ses libertés. Les deux industries Nivelloises les plus prospères, à cette époque, sont la tannerie et plus particulièrement l'industrie de la toile fine, laquelle confère à la ville une véritable renommée internationale. Las, les conflits nombreux du XVe siècle vont finir par obérer Nivelles, l'appauvrir et dépeupler les campagnes...

Nivelles n'échappe pas au protestantisme jusqu'en 1580, elle subit plusieurs sièges difficiles provoqués par les troubles religieux et les aléas des guerres. La prospérité en subit un lourd préjudice, la population diminuant dans de telles proportions qu'il faut réduire de 5 unités le nombre des paroisses.
La trêve des 12 ans va profiter à la cité, Nivelles reprend vie en ce début de XVIIe siècle et voit revivre son commerce tout en saluant la naissance de plusieurs institutions : Le séminaire épiscopal, les couvents des Jésuites et des Annonciades etc...

En 1647, l'émeute provoquée par les fabricants de fil, suivis aussitôt par leurs ouvriers, va inciter un grand nombre d'artisans à gagner les régions de Cambrai et de Valenciennes, exil qui va coûter très cher aux activités économiques de la ville. Les guerres du XVIIe siècle transforment les Pays-Bas Espagnols en un immense et cruel champ de batailles, Nivelles n'échappe pas à la souffrance qu'engendre les occupations militaires successives. Le régime Autrichien apporte des réformes d'ordre administratif, ecclésiastique, institutionnel et judiciaire. Ainsi, sous le règne de l'impératrice Marie-Thérèse, le règlement de 1778 bouleverse les traditions au profit de l'influence du gouvernement et de l'abbesse, supprimant le corps des jurés et restituant aux échevins leurs prérogatives.
Le nouveau Magistrat ne résistera cependant pas aux réformes voulues par Joseph II ainsi qu'à la tourmente révolutionnaire. Le réseau des voies de communication routière s'améliore, Nivelles est réunie à Bruxelles par la chaussée de Mont-Saint-Jean, aux carrières et aux charbonnages du Hainaut par la chaussée de Bray et son embranchement vers Feluy, à Namur par la chaussée des Quatre-Bras...

Durant la Révolution Brabançonne, le parti de van der Noot triomphe à Nivelles où l'on s'efforce d'anéantir toutes les réformes introduites par Joseph II.
L'Occupation Française se traduit, quant à elle, par la rupture définitive avec l'Ancien Régime et la naissance d'une démocratie moderne.
Le début du XIXe siècle voit la ville de Nivelles rentrer dans le rang, ses principales institutions religieuses, notamment le Chapitre en 1798, ayant été supprimées.
Les remparts sont détruits par les Français entre 1810 et 1812, ne laissant subsister que des fragments du mur d'enceinte et la tour du Diable (ou Simone), encore visitable de nos jours.

L'artisanat reste cependant vivace, pour longtemps. Vient la Révolution Belge de 1830 : La ville de Nivelles, une des premières, envoie à Bruxelles un groupe de patriotes décidés, qui se distinguent par leur ardeur au combat. La révolution industrielle, caractérisée notamment par l'avènement du machinisme, va faire de Nivelles un pôle industriel appréciable à travers la montée en régime des Ateliers Métallurgiques, future « La Brugeoise et Nivelles » spécialisée dans la chaudronnerie en général, la construction métallique et surtout le matériel de chemin de fer, jusque et y compris les locomotives électriques encore en service de nos jours.
L'année 1988 lui sera cependant fatale pour d'obscures raisons communautaires, malgré l'intérêt porté par la firme Bombardier...

En début de XXe siècle, Nivelles est une ville de province calme et productive avec de petits moyens. La Première Guerre mondiale va porter un premier coup aux efforts consentis, mais pas de manière vraiment durable. Par contre, la Deuxième Guerre mondiale va marquer de façon indélébile tant la ville elle-même que sa population. Le 14 mai 1940 est LE jour d'horreur : Tout est détruit par l'aviation allemande dans un rayon de 300 mètres, à quelques rares exceptions près, autour d'une collégiale dont il ne reste plus que les murs. C'est l'apocalypse... Les Nivellois vont s'en remettre difficilement, brusquement plongés qu'ils sont dans un environnement où le mot « provisoire » est de toutes les conversations.
20 longues années après, la ville revient définitivement à elle : Le centre a retrouvé une certaine cohérence urbanistique, les diverses activités économiques reprennent, ce qui persuade enfin les gens de l'extérieur qu'il fait, à nouveau, bon vivre à Nivelles.
Une politique économique judicieuse, dans les années '50-'60, va ainsi procurer à la ville meurtrie une série de débouchés sociaux de grande valeur : La reprise des Papeteries Delcroix par le grand papetier Wiggins Teape, la création, un des premiers en Belgique sur le modèle Américain, d'un parc industriel non polluant qui va aller d'extension en extension, aujourd'hui encore... Le tout assurant la création et le maintien d'emplois bien nécessaires à une ville trop longtemps figée par le malheur.
En septembre 1984, dans la liesse générale, l'inauguration de la collégiale restaurée marque, sans aucun doute, le renouveau définitif de la cité des Aclots car cette restauration monumentale du véritable cœur de la ville constitue, à peu de choses près, la dernière étape d'une opération « reconstruction » menée à bien et à la satisfaction de tous, Jean y compris, là-bas au sommet de sa tour.



Bavon de Gand
fr.academic.ru/dic.nsf/frwiki/196360
Saint Bavon de Gand, né vers 589 en Hesbaye et décédé vers 654 à Gand ... Le farouche Allowyn devint le doux saint Bavon. il vécut plusieurs années, reclus dans la ... Il est mort vers 654 (le 1 octobre 659 d'après une tradition incertaine) et ...

Saint Bavon. Ermite à Gand († 659) - La lumière de Dieu
lalumierededieu.eklablog.com/saint-bavon-ermite-a-gand-659-p394269
Saint Bavon de Gand, né vers 589 en Hesbaye et décédé vers 654 à Gand ... Le farouche Allowyn devint le doux saint Bavon. il vécut plusieurs années, reclus …

Gertrude de Nivelles — Wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Gertrude_de_Nivelles
Gertrude de Nivelles, née à Landen vers 626 et décédée à Nivelles le 17 mars 659, est une moniale et sainte franque. Première abbesse de l'Abbaye de ...




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