dimanche 5 juillet 2015

EN REMONTANT LE TEMPS... 686


1er JUILLET 2015

Cette page concerne l'année 686 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !

LES INVASIONS MUSULMANES INSTIGATRICES DE ICONOCLASME BYZANTIN... TENTANT PAR LA D'ATTAQUER LE CHRISTIANISME ORIENTALE

Au début du VIIe siècle le patriarche Serge Ier de Constantinople tente encore de mettre fin à la controverse du monophysisme qui divise toujours la chrétienté en contournant la question de la « nature » du Christ et propose le monothélisme (du grec monos, « seul » et thelein, « vouloir ») qui professe la seule volonté divine « seule volonté du Christ incarné ». Le concile œcuménique de Constantinople de 680 condamne cette doctrine et confesse la pleine humanité du Christ en lui reconnaissant une volonté humaine, faillible (colère face aux marchands du Temple, « Eli, Eli, lama sabachtani ? » : « mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ? ») distincte de sa volonté divine, infaillible (chaque fois qu'il parle au nom du « père »). Selon certains auteurs, le monothélisme se prolonge dans le maronisme.

Au VIIe siècle, l’iconoclasme est une réaction au culte des images (ou « icônes »). Ce culte se manifeste de diverses façons : De l’illumination de l’icône à la prosternation, jusqu’à la conviction que l’icône a un caractère agissant par elle-même. Les raisons de la crise ne sont pas claires. On[Qui ?] a invoqué entre autres l’influence du judaïsme et de l’islam.
Dès 686 les hordes musulmanes renforcent les querelles contre les images, d'abord en Égypte qu'ils vienne d'envahir.
Les premières mesures iconoclastes sont prises en 725 par l’empereur Léon III.
Le successeur de Léon, l’empereur Constantin V Copronyme, convoque un concile qui fait de l’iconoclasme la doctrine officielle de l’Empire d’Orient.
Sous l’impératrice Irène a lieu une réaction : en 786-87, un nouveau concile renverse la tendance et rétablit le culte des images.
La hiérarchie « orthodoxe » suit la volonté impériale.
En 815, un autre empereur, Léon V l’Arménien, revient à l’iconoclasme.
En 845, le culte des images est définitivement rétabli.

Parmi les innombrables et sempiternels arguments resservis systématiquement par nos amis musulmans, celui consistant à accuser les chrétiens de désobéir au commandement de Dieu interdisant la fabrication d'images taillées.

Vous ne vous ferez point d'idoles, vous ne vous élèverez ni image taillée ni statue, et vous ne placerez dans votre pays aucune pierre ornée de figures, pour vous prosterner devant elle, car je suis l’Éternel, votre Dieu.
Lév : 26.1

« L’idolâtrie est une perversion du sens religieux inné de l’homme. L’idolâtre est celui qui « rapporte à n’importe quoi plutôt qu’à Dieu son
indestructible notion de Dieu » (Origène, Cels. 2, 40). » 

L’utilisation et la fabrication de statues religieuses est une pratique totalement biblique :

En Ex 25, 18-19, Dieu ordonne à Moïse de fabriquer des statues d’anges, en l’occurrence de chérubins.
En Nb 21, 8, Dieu demande à Moïse de fabriquer un serpent d’airain, que les Israélites devaient regarder afin d’être guéris.
Les juifs utilisent beaucoup d’images gravées dans le Temple de Jérusalem, incluant des chérubins, des bœufs, des lions, des palmiers et des fleurs (1 R 6 et 7)

Le contexte dans lequel Dieu donne Son Commandement est important :

Il nous faut également garder en mémoire les raisons pour lesquels Dieu donne ce Commandement, dans un contexte où le polythéisme est encore très présent chez un peuple resté esclave des Égyptiens qui adorent tout un panthéon d’idoles. 
L'interdiction des images sculptées dans le deuxième commandement (Deut 5 :8) est un avertissement solennel aux gens de ne représenter de faux Dieux pour les idolâtrer. Ceci par contraste avec toutes les autres religions d'Égypte qui ont fabriqué les images humaines, animales fantasmagoriques de leurs divinités pour les adorer. Les statues, images et icônes nous introduisent dans un esprit de « représentation » de la famille céleste de Dieu (Heb 12 :11). Comme chaque fidèle catholique le sait, idolâtrer les images est vraiment interdit (Ex20 :4).

Éléments de réponses extraits du livre de l'abbé Pagès, Interroger l'Islam. Les chrétiens adorent-ils des statues, sont-ils des idolâtres ?
Contrairement à ce qu'imaginent les iconoclastes, Dieu n'a pas absolument interdit les représentations figuratives (Ex 25.18-20 ; Nb 21.7-9), mais a donné ce commandement : « Tu n'auras pas d'autres dieux devant ma face. Tu ne te feras pas d'image taillée, ni aucune figure de ce qui est en haut dans le ciel, ou de ce qui est en bas sur la terre, ou de ce qui est dans les eaux au-dessous de la terre. Tu ne te prosterneras point devant elles et tu ne les serviras point » (Ex 20.3-4), ce qui signifie que le Dieu révélé à Moïse ne S'identifie à aucune de ses créatures mais transcende tout ce qui existe, en sorte que rien de ce qui existe ne peut adéquatement Le représenter. « Vous ne ferez point à côté de moi de dieux d'argent et vous ne ferez point de dieux d'or. » (Ex 20.23) : La leçon est claire, il ne s'agit pas de ne rien représenter, mais de ne pas fabriquer d'idoles. Il faut se rappeler que ce commandement a été donné alors que l'humanité entière, avec la perte du paradis terrestre, avait perdu la connaissance du vrai Dieu et s'était soumise au pouvoir du Démon… Mais les hommes, toujours désireux de rendre un culte à Dieu (car fondamentalement faits pour adorer Dieu), parce qu'ils ne Le connaissaient plus, on fabriquaient toute sortes d'objets sur lesquels reporter leur besoin d'adoration. Depuis lors, le temps vient, où, à la demande du peuple élu, Dieu daigne descendre du Ciel (Gn 11.5 ; Ex 33.18 ; Is 63.19) et se rendre visible, Lui, l'Invisible, que cependant les élus ont déjà vu Ex 24.11 ; Dt 31.15 ; Jn 8.56). Il le fait en la personne de Jésus, « l'image du Dieu invisible » (Col 1.15 ; Jn 14.9 ; 12.45 ; 2 Co 4.4). Aussi, depuis la bienheureuse Incarnation de notre grand Dieu et Sauveur, il est devenu possible de représenter Dieu le Père — dont Jésus est l'icône (Col 1.15) — en représentant Jésus, qui est Son Fils, et de représenter l'Esprit-Saint par la colombe (Jn 1.32) ou le feu (Ac 2.3).

L'homme est ainsi fait qu'il est un composé d'esprit et de matière. À cause de cela, aucune connaissance ne nous vient à l'intelligence sans passer par nos sens. C'est pourquoi, afin de se faire connaître à nous, Dieu s'est rendu visible, tangible, audible. Grâce au mystère de l'Incarnation, la Foi chrétienne a pu donner à l'art son fondement et sa justification véritables, les plus élevés qui soient : Révéler que Dieu est Beauté ! La beauté est, en un certain sens, l'expression visible du bien. La vocation de l'art est de « saisir les trésors du ciel de l'esprit, de les revêtir de mots, de couleurs, de formes et de les rendre accessibles ». La mission de l'artiste est de susciter l'émerveillement, de réveiller le souvenir du paradis perdu, de conduire l'âme à percevoir quelque chose de la Béatitude encore invisible qui nous est offerte en Jésus, le Dieu invisible qui s'est rendu visible. Aussi, contrairement à ce que pensent les musulmans et tous les iconoclastes, l'art figuratif n'a pas plus à voir avec l'idolâtrie que l'écriture a à voir avec la magie… sauf pour ceux qui ne savent ou ne veulent pas lire.

1er JUILLET 2015

Cette page concerne l'année 686 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !


Le contexte dans lequel Dieu donne Son Commandement est important :

Il nous faut également garder en mémoire les raisons pour lesquels Dieu donne ce Commandement, dans un contexte où le polythéisme est encore très présent chez un peuple resté esclave des Égyptiens qui adorent tout un panthéon d’idoles. 
L'interdiction des images sculptées dans le deuxième commandement (Deut 5 :8) est un avertissement solennel aux gens de ne représenter de faux Dieux pour les idolâtrer. Ceci par contraste avec toutes les autres religions d'Égypte qui ont fabriqué les images humaines, animales fantasmagoriques de leurs divinités pour les adorer. Les statues, images et icônes nous introduisent dans un esprit de « représentation » de la famille céleste de Dieu (Heb 12 :11). Comme chaque fidèle catholique le sait, idolâtrer les images est vraiment interdit (Ex20 :4).
 
Éléments de réponses extraits du livre de l'abbé Pagès, Interroger l'Islam. Les chrétiens adorent-ils des statues, sont-ils des idolâtres ?
Contrairement à ce qu'imaginent les iconoclastes, Dieu n'a pas absolument interdit les représentations figuratives (Ex 25.18-20 ; Nb 21.7-9), mais a donné ce commandement : « Tu n'auras pas d'autres dieux devant ma face. Tu ne te feras pas d'image taillée, ni aucune figure de ce qui est en haut dans le ciel, ou de ce qui est en bas sur la terre, ou de ce qui est dans les eaux au-dessous de la terre. Tu ne te prosterneras point devant elles et tu ne les serviras point » (Ex 20.3-4), ce qui signifie que le Dieu révélé à Moïse ne S'identifie à aucune de ses créatures mais transcende tout ce qui existe, en sorte que rien de ce qui existe ne peut adéquatement Le représenter. « Vous ne ferez point à côté de moi de dieux d'argent et vous ne ferez point de dieux d'or. » (Ex 20.23) : La leçon est claire, il ne s'agit pas de ne rien représenter, mais de ne pas fabriquer d'idoles. Il faut se rappeler que ce commandement a été donné alors que l'humanité entière, avec la perte du paradis terrestre, avait perdu la connaissance du vrai Dieu et s'était soumise au pouvoir du Démon… Mais les hommes, toujours désireux de rendre un culte à Dieu (car fondamentalement faits pour adorer Dieu), parce qu'ils ne Le connaissaient plus, on fabriquaient toute sortes d'objets sur lesquels reporter leur besoin d'adoration. Depuis lors, le temps vient, où, à la demande du peuple élu, Dieu daigne descendre du Ciel (Gn 11.5 ; Ex 33.18 ; Is 63.19) et se rendre visible, Lui, l'Invisible, que cependant les élus ont déjà vu Ex 24.11 ; Dt 31.15 ; Jn 8.56). Il le fait en la personne de Jésus, « l'image du Dieu invisible » (Col 1.15 ; Jn 14.9 ; 12.45 ; 2 Co 4.4). Aussi, depuis la bienheureuse Incarnation de notre grand Dieu et Sauveur, il est devenu possible de représenter Dieu le Père — dont Jésus est l'icône (Col 1.15) — en représentant Jésus, qui est Son Fils, et de représenter l'Esprit-Saint par la colombe (Jn 1.32) ou le feu (Ac 2.3).

L'homme est ainsi fait qu'il est un composé d'esprit et de matière. À cause de cela, aucune connaissance ne nous vient à l'intelligence sans passer par nos sens. C'est pourquoi, afin de se faire connaître à nous, Dieu s'est rendu visible, tangible, audible. Grâce au mystère de l'Incarnation, la Foi chrétienne a pu donner à l'art son fondement et sa justification véritables, les plus élevés qui soient : Révéler que Dieu est Beauté ! La beauté est, en un certain sens, l'expression visible du bien. La vocation de l'art est de « saisir les trésors du ciel de l'esprit, de les revêtir de mots, de couleurs, de formes et de les rendre accessibles ». La mission de l'artiste est de susciter l'émerveillement, de réveiller le souvenir du paradis perdu, de conduire l'âme à percevoir quelque chose de la Béatitude encore invisible qui nous est offerte en Jésus, le Dieu invisible qui s'est rendu visible. Aussi, contrairement à ce que pensent les musulmans et tous les iconoclastes, l'art figuratif n'a pas plus à voir avec l'idolâtrie que l'écriture a à voir avec la magie… sauf pour ceux qui ne savent ou ne veulent pas lire.

Bien sûr, que Dieu se soit incarné dans le sein de la Vierge Marie et que depuis lors l'Invisible se soit rendu visible, ne signifie pas que l'on puisse Le voir seulement physiquement. Il n'est visible que spirituellement, c'est-à-dire avec les yeux de la Foi chrétienne qui a reconnu et vu Dieu en Jésus de Nazareth (1 Jn 1.1-2). D’ailleurs, Dieu, qui a donné ce commandement de ne pas fabriquer d’idoles, révèle Lui-même que lorsqu’Il parlait à Moïse, celui-ci Le voyait à travers Son Image (Nb 12.8)… c'est-à-dire le Christ. De même qu'en voyant Jésus celui qui a foi en Lui voit Dieu, de même il est possible, à partir d'une représentation figurative, de s'élever jusqu'à son modèle (Rm 1.20). Ainsi, à la différence des idolâtres, ce ne sont pas les images ou les statues en tant que telles que les chrétiens adorent ou prient, mais l'être invisible qu'elles représentent. Lorsque vous regardez la photo d'un être cher posée sur votre bureau, vous avez bien conscience que ce n'est pas cette personne que vous regardez, mais son image, et vous ne les confondez pas. Eh bien, pour les musulmans, cette simple distinction est réputée impossible... De même que cette photo vous fait penser à l'être qui vous est cher et le rend présent à votre mémoire, de même les images que vénèrent les chrétiens rendent présents à leur cœur les êtres invisibles qu'ils aiment. Est-ce donc si difficile à comprendre ? (Pour la plupart d'entre nous non parce que nous aimons dans ces images Dieu qui donne aux dessinateurs aux peintres et aux sculpteurs la possibilité de nous les faire voir, et projeter sur ces images les prières que l'on adresse à Dieu).

« …la question de la vénération des icônes a à voir avec la vérité même de l'Incarnation. […] abolir la vénération de l'icône du Christ signifie effacer son œuvre rédemptrice elle-même, du moment que, assumant la nature humaine, l'invisible Parole éternelle est apparue dans la chair visible humaine et de cette manière a sanctifié tout le cosmos visible. Les icônes, sanctifiées par la bénédiction liturgique et par les prières des fidèles, nous unissent avec la Personne du Christ, avec ses saints et, par leur intermédiaire, avec le Père céleste et témoignent de l'entrée dans la réalité divine de notre cosmos visible et matériel. » (Benoît XVI,Audience générale du 27 mai 2009)

Il n'y a ici-bas qu'une seule réalité visible que les chrétiens adorent : le Pain et le Vin devenus Jésus (Jn 6.35,48,51). De telles apparences n'ont rien en soi qui puisse donner le change avec l'image du Démiurge tout-puissant et redoutable que les hommes ont spontanément de Dieu, ou les musulmans d'Allah. Quoi de plus étranger à l'idée du Dieu Tout-Puissant, en effet, que du pain et du vin par lesquels le vrai Dieu, en toute douceur et humilité (Gn 14.18 ; Mt 11.29 ; Mt 26.26-28), vient se donner Lui-même pour nourrir tout notre être de sa Vie divine ? « Je suis le pain vivant, descendu du Ciel. Qui mange de ce pain, vivra éternellement. Si vous ne mangez la chair du Fils de l’homme et ne buvez son sang, vous n’aurez pas la vie en vous. Qui mange ma chair et boit mon sang a la vie éternelle et Je le ressusciterai au dernier jour. Car ma chair est vraiment une nourriture et mon sang vraiment une boisson. Qui mange ma chair et boit mon sang demeure en Moi et Moi en lui. De même que le Père est vivant et que Je vis par le Père, de même celui qui Me mange vivra par Moi. » (Jn 6.51-57). Dans la Communion, nous recevons sa Vie et Lui reçoit notre mort. Y a-t-il plus grande merveille que Dieu puisse faire pour nous ? Y a-t-il un Dieu qui puisse être meilleur que ce Dieu-là ?

L'affirmation de la non validité de quelque traduction que ce soit du Coran va de pair avec l'interdiction de représenter des créatures, car les « refaire » ainsi est prétendre s'égaler à Dieu qui seul peut donner forme à ce qui est. C'est aussi faire proliférer des réalités rivales de ses créatures. L'interdiction de la représentation de la figure humaine est implicitement liée chez les musulmans à la possible consubstantialité de l'image et de son modèle, à la substitution magique de l'un à l'autre. Comme si l'image peut agir en tant qu'être vivant et disputer sa place à la réalité.

Le hadith de Abu Talha rapporte que le « Prophète » a dit : « Les anges n'entrent pas dans une maison dans laquelle se trouve un chien ou une image. »(Vol. 4, Livre 54, n° 539 ; Récit de Maimuna, Muslim XXIV 5248). (Jésus fils de Dieu à imprimé son visage sur le châle de Sainte Véronique qui lui essuyait le visage lors du chemin de croix et Lui ces disciples et ses saints ont demandé de laisser venir à lui les petits enfants et que certains de ses disciples parlent des animaux comme de leur frères là est la dimensions de Dieu dans toute sa bonté et son amour pour nous ses enfants)

Il n'est pas difficile de reconnaître les sources païennes de l'islam dans la vénération, par exemple, de la pierre noire à La Mecque, symbole féminin de la déesse Shaybah, recouverte de son voile noir, le kiswa. Ainsi que le faisaient déjà leurs ancêtres arabes païens aimant toucher la vulve de la déesse en gage de ses bénédictions, aujourd'hui les musulmans se font une joie de terminer leur pèlerinage à La Mecque en touchant et embrassant cet objet sacré... ???!!! Comment ceux qui accusent les chrétiens d'idolâtrie, parce qu'ils vénèrent la Croix du Christ par laquelle le pouvoir du Diable a été ruiné, peuvent-ils se prosterner eux-mêmes devant cette météorite déjà autrefois divinisée et s'y frotter, l'embrasser et en faire rituellement 7 fois le tour lors de leur pèlerinage ?

Toujours à La Mecque, un peu plus loin, les mêmes musulmans lapident 3 stèles en béton représentant Satan, et ils stigmatisent, chez les catholiques, l'utilisation de statues et de représentations ??? !!!

Pourquoi ceux qui prétendent interdire l'utilisation d'images utilisent-ils eux-mêmes celles, par exemple, de la lune, symbole d’Hubaal, ou de l’étoile, symbole de Vénus, sa fille ? (Voir A 24)

Puisqu'Allah utilise des images, et même pour se décrire lui-même (24.35), lui, « l'impénétrable » (cf. 112.2), comment penser qu'utiliser des images soit mauvais ?

Dans l'affaire des caricatures Danoises de Mahomet jugées blasphématoires par les musulmans, l'islam n'a-t-il pas manifesté un paradoxe qui révèle ses profondes contradictions ? En effet, alors que l'islam se présente comme LE culte rendu à la divinité unique, pur de toute idolâtrie, voilà qu'il revendique pour Mahomet, qui n'est qu'un homme, l'obéissance du premier des 10 commandements interdisant de représenter Dieu, élevant ainsi Mahomet au traitement qui n'est dû qu'à Dieu ! Or si Dieu est invisible et ne peut de ce fait être représenté, Mahomet, qui est un homme, visible, peut de ce fait être représenté. De plus, étant un homme, comme le confessent encore les musulmans, il est non seulement imparfait mais pécheur (33.56 ; 40.55), donc critiquable. En prétendant que serait dû à une créature le respect qui n'est dû qu'à Dieu, l'islam ne mérite-t-il pas sa terrible condamnation d'« associationnisme » et d'idolâtrie dont il se vante cependant d'être exempt ?

L'islam se rend lui-même coupable de ce dont il accuse les chrétiens, le blasphème, car il blasphème continuellement la Divinité du Christ, niant sa Mort, sa Résurrection, et son enseignement, mais les chrétiens ne vont pas pour autant assassiner les musulmans et incendier leurs mosquées ! Si Jésus-Christ s'est laissé insulter, ridiculiser, cracher au visage, couronner d'épines et crucifier, c'est parce qu'Il est le vrai Dieu qui n'a pas besoin de se défendre (Mt 26.53-54), puisqu'on ne peut rien contre Lui ! Ses adversaires recevant de par leurs méfaits mêmes leurs propres châtiments. Par contre, une idole a besoin d'être défendue et protégée par ses adorateurs… « Ces dieux-là sont comme une colonne faite au tour, on les porte, car ils ne marchent pas » (Jr 10.5) ! Et c'est sans doute pourquoi en Islam il est interdit, sous peine des pires châtiments, d'oser toucher à l'aura de Mahomet, du Coran, ou de l'islam, de peur que l'idole ne tombe...

S'il faut proscrire toutes les images, ne faudrait-il pas éliminer alors aussi tous les hommes, puisque ceux-ci sont faits à l'image de Dieu (Gn 1.26-27 ; 1 Co 11.7 ; Jc 3.9) et qu'ils réfléchissent, même contre leur volonté, du seul fait qu’ils existent, Sa gloire et Sa bonté ? Et finalement, toutes les créatures ne devraient-elles pas être éliminées, puisqu'en elles toutes se révèlent aussi la Gloire et la Bonté de leur Créateur ? On voit par là à quelles absurdités et monstruosités peut conduire une lecture de la Parole de Dieu faite en dehors de l'Esprit qui l'a inspirée. (Dieu est Tout et Partout dans l'air que l'on respire dans l'eau que l'on boit et dans les aliments qui nous nourrissent... Tout ce qui est nature et naturel, et dans l’œuvre de l'Homme lorsque c'est Son Souffle qui le guide).

L'irruption de l'islam (636-642)
Les reconquêtes d'Héraclius sont sans lendemain : Les territoires recouvrés vont passer en une décennie aux mains des Arabes musulmans, dont l'expansion fulgurante s'amorce quelques années après la mort du prophète Mahomet. La Syrie est enlevée en 636, la Palestine et Jérusalem en 638, la Mésopotamie en 639-640 ; l'Arménie est envahie en 640, et l'Égypte en 642. Partout ils assassinent brûlent les églises et les monastères

Les musulmans voient leurs armées engagées dans une campagne visant à la conquête de l'empire Sassanide (Perse). Ils ne veulent pas s'engager plus loin en Afrique du Nord, car le pouvoir musulman en Égypte est encore faible. Le calife émet des ordres stricts d'abandonner Tripoli, vers la fin de l'année 643, selon Muhammad Husayn Haykal et al Farouq Umar.
Pourtant la tradition prophétique présente aussi le Jihad comme un moyen de subsistance.
Le Prophète dit :
Allah a placé ma rizqi (= subsistance) sous ma lance.
Les siras et autres ouvrages d'histoire islamiques montrent aussi que les batailles permettent d'exiger des capitations des populations assujetties.
Le Prophète interdit de disposer à sa guise des prisonniers, et de tuer les femmes et les enfants lors des batailles... Cependant les captifs doivent devenir des esclaves ou être relâchés sous rançon...

Dans l'Ifriqiya les habitants Romanisés des villes et des plaines du littoral se sont convertis au christianisme. Mais la domination Romaine s'effondre. Avant l'invasion arabe de farouches guerriers, les Levathae, les mêmes que les auteurs arabes appelleront plus tard Louata, ruinent le grenier à blé de Rome. Ces nomades chameliers, venus de l'est, pénètrent dans les terres Méridionales de la Byzacène (= Kairouan) et de Numidie (= nord de l'Algérie) qui ont été mises en valeur au prix d'un rude effort soutenu pendant des siècles et font reculer puis disparaître l'agriculture permanente, remplacée par une steppe désolée.
Au VIIe siècle, la complexité sociologique, voire ethnique, du pays, s'accroît encore. Aux Romano-Africains des villes et des campagnes, et aux Maures non Romanisés issus des gentes paléoberbères, se sont ajoutés les nomades Zénètes, les Laguantan et leurs émules, les débris du peuple Vandale, le corps expéditionnaire et les administrateurs Byzantins qui sont des Orientaux. Cette société devient de plus en plus cloisonnée dans un pays où s'estompe la notion même de l’État. Les sociétés paysannes sont parfois très méridionales comme le montrent les Tablettes Albertini, archives notariales sur bois de cèdre, trouvées à une centaine de kilomètres au Sud de Tébessa.
Bien sûr, que Dieu se soit incarné dans le sein de la Vierge Marie et que depuis lors l'Invisible se soit rendu visible, ne signifie pas que l'on puisse Le voir seulement physiquement. Il n'est visible que spirituellement, c'est-à-dire avec les yeux de la Foi chrétienne qui a reconnu et vu Dieu en Jésus de Nazareth (1 Jn 1.1-2). D’ailleurs, Dieu, qui a donné ce commandement de ne pas fabriquer d’idoles, révèle Lui-même que lorsqu’Il parlait à Moïse, celui-ci Le voyait à travers Son Image (Nb 12.8)… c'est-à-dire le Christ. De même qu'en voyant Jésus celui qui a foi en Lui voit Dieu, de même il est possible, à partir d'une représentation figurative, de s'élever jusqu'à son modèle (Rm 1.20). Ainsi, à la différence des idolâtres, ce ne sont pas les images ou les statues en tant que telles que les chrétiens adorent ou prient, mais l'être invisible qu'elles représentent. Lorsque vous regardez la photo d'un être cher posée sur votre bureau, vous avez bien conscience que ce n'est pas cette personne que vous regardez, mais son image, et vous ne les confondez pas. Eh bien, pour les musulmans, cette simple distinction est réputée impossible... De même que cette photo vous fait penser à l'être qui vous est cher et le rend présent à votre mémoire, de même les images que vénèrent les chrétiens rendent présents à leur cœur les êtres invisibles qu'ils aiment. Est-ce donc si difficile à comprendre ? (Pour la plupart d'entre nous non parce que nous aimons dans ces images Dieu qui donne aux dessinateurs aux peintres et aux sculpteurs la possibilité de nous les faire voir, et projeter sur ces images les prières que l'on adresse à Dieu).

« …la question de la vénération des icônes a à voir avec la vérité même de l'Incarnation. […] abolir la vénération de l'icône du Christ signifie effacer son œuvre rédemptrice elle-même, du moment que, assumant la nature humaine, l'invisible Parole éternelle est apparue dans la chair visible humaine et de cette manière a sanctifié tout le cosmos visible. Les icônes, sanctifiées par la bénédiction liturgique et par les prières des fidèles, nous unissent avec la Personne du Christ, avec ses saints et, par leur intermédiaire, avec le Père céleste et témoignent de l'entrée dans la réalité divine de notre cosmos visible et matériel. » (Benoît XVI,Audience générale du 27 mai 2009)
Il n'y a ici-bas qu'une seule réalité visible que les chrétiens adorent : le Pain et le Vin devenus Jésus (Jn 6.35,48,51). De telles apparences n'ont rien en soi qui puisse donner le change avec l'image du Démiurge tout-puissant et redoutable que les hommes ont spontanément de Dieu, ou les musulmans d'Allah. Quoi de plus étranger à l'idée du Dieu Tout-Puissant, en effet, que du pain et du vin par lesquels le vrai Dieu, en toute douceur et humilité (Gn 14.18 ; Mt 11.29 ; Mt 26.26-28), vient se donner Lui-même pour nourrir tout notre être de sa Vie divine ? « Je suis le pain vivant, descendu du Ciel. Qui mange de ce pain, vivra éternellement. Si vous ne mangez la chair du Fils de l’homme et ne buvez son sang, vous n’aurez pas la vie en vous. Qui mange ma chair et boit mon sang a la vie éternelle et Je le ressusciterai au dernier jour. Car ma chair est vraiment une nourriture et mon sang vraiment une boisson. Qui mange ma chair et boit mon sang demeure en Moi et Moi en lui. De même que le Père est vivant et que Je vis par le Père, de même celui qui Me mange vivra par Moi. » (Jn 6.51-57). Dans la Communion, nous recevons sa Vie et Lui reçoit notre mort. Y a-t-il plus grande merveille que Dieu puisse faire pour nous ? Y a-t-il un Dieu qui puisse être meilleur que ce Dieu-là ?

L'affirmation de la non validité de quelque traduction que ce soit du Coran va de pair avec l'interdiction de représenter des créatures, car les « refaire » ainsi est prétendre s'égaler à Dieu qui seul peut donner forme à ce qui est. C'est aussi faire proliférer des réalités rivales de ses créatures. L'interdiction de la représentation de la figure humaine est implicitement liée chez les musulmans à la possible consubstantialité de l'image et de son modèle, à la substitution magique de l'un à l'autre. Comme si l'image peut agir en tant qu'être vivant et disputer sa place à la réalité.

Le hadith de Abu Talha rapporte que le « Prophète » a dit : « Les anges n'entrent pas dans une maison dans laquelle se trouve un chien ou une image. »(Vol. 4, Livre 54, n° 539 ; Récit de Maimuna, Muslim XXIV 5248). (Jésus fils de Dieu à imprimé son visage sur le châle de Sainte Véronique qui lui essuyait le visage lors du chemin de croix et Lui ces disciples et ses saints ont demandé de laisser venir à lui les petits enfants et que certains de ses disciples parlent des animaux comme de leur frères là est la dimensions de Dieu dans toute sa bonté et son amour pour nous ses enfants)

Il n'est pas difficile de reconnaître les sources païennes de l'islam dans la vénération, par exemple, de la pierre noire à La Mecque, symbole féminin de la déesse Shaybah, recouverte de son voile noir, le kiswa. Ainsi que le faisaient déjà leurs ancêtres arabes païens aimant toucher la vulve de la déesse en gage de ses bénédictions, aujourd'hui les musulmans se font une joie de terminer leur pèlerinage à La Mecque en touchant et embrassant cet objet sacré... ???!!! Comment ceux qui accusent les chrétiens d'idolâtrie, parce qu'ils vénèrent la Croix du Christ par laquelle le pouvoir du Diable a été ruiné, peuvent-ils se prosterner eux-mêmes devant cette météorite déjà autrefois divinisée et s'y frotter, l'embrasser et en faire rituellement 7 fois le tour lors de leur pèlerinage ?

Toujours à La Mecque, un peu plus loin, les mêmes musulmans lapident 3 stèles en béton représentant Satan, et ils stigmatisent, chez les catholiques, l'utilisation de statues et de représentations ??? !!!

Pourquoi ceux qui prétendent interdire l'utilisation d'images utilisent-ils eux-mêmes celles, par exemple, de la lune, symbole d’Hubaal, ou de l’étoile, symbole de Vénus, sa fille ? (Voir A 24)

Puisqu'Allah utilise des images, et même pour se décrire lui-même (24.35), lui, « l'impénétrable » (cf. 112.2), comment penser qu'utiliser des images soit mauvais ?

Dans l'affaire des caricatures Danoises de Mahomet jugées blasphématoires par les musulmans, l'islam n'a-t-il pas manifesté un paradoxe qui révèle ses profondes contradictions ? En effet, alors que l'islam se présente comme LE culte rendu à la divinité unique, pur de toute idolâtrie, voilà qu'il revendique pour Mahomet, qui n'est qu'un homme, l'obéissance du premier des 10 commandements interdisant de représenter Dieu, élevant ainsi Mahomet au traitement qui n'est dû qu'à Dieu ! Or si Dieu est invisible et ne peut de ce fait être représenté, Mahomet, qui est un homme, visible, peut de ce fait être représenté. De plus, étant un homme, comme le confessent encore les musulmans, il est non seulement imparfait mais pécheur (33.56 ; 40.55), donc critiquable. En prétendant que serait dû à une créature le respect qui n'est dû qu'à Dieu, l'islam ne mérite-t-il pas sa terrible condamnation d'« associationnisme » et d'idolâtrie dont il se vante cependant d'être exempt ?

L'islam se rend lui-même coupable de ce dont il accuse les chrétiens, le blasphème, car il blasphème continuellement la Divinité du Christ, niant sa Mort, sa Résurrection, et son enseignement, mais les chrétiens ne vont pas pour autant assassiner les musulmans et incendier leurs mosquées ! Si Jésus-Christ s'est laissé insulter, ridiculiser, cracher au visage, couronner d'épines et crucifier, c'est parce qu'Il est le vrai Dieu qui n'a pas besoin de se défendre (Mt 26.53-54), puisqu'on ne peut rien contre Lui ! Ses adversaires recevant de par leurs méfaits mêmes leurs propres châtiments. Par contre, une idole a besoin d'être défendue et protégée par ses adorateurs… « Ces dieux-là sont comme une colonne faite au tour, on les porte, car ils ne marchent pas » (Jr 10.5) ! Et c'est sans doute pourquoi en Islam il est interdit, sous peine des pires châtiments, d'oser toucher à l'aura de Mahomet, du Coran, ou de l'islam, de peur que l'idole ne tombe...

S'il faut proscrire toutes les images, ne faudrait-il pas éliminer alors aussi tous les hommes, puisque ceux-ci sont faits à l'image de Dieu (Gn 1.26-27 ; 1 Co 11.7 ; Jc 3.9) et qu'ils réfléchissent, même contre leur volonté, du seul fait qu’ils existent, Sa gloire et Sa bonté ? Et finalement, toutes les créatures ne devraient-elles pas être éliminées, puisqu'en elles toutes se révèlent aussi la Gloire et la Bonté de leur Créateur ? On voit par là à quelles absurdités et monstruosités peut conduire une lecture de la Parole de Dieu faite en dehors de l'Esprit qui l'a inspirée. (Dieu est Tout et Partout dans l'air que l'on respire dans l'eau que l'on boit et dans les aliments qui nous nourrissent... Tout ce qui est nature et naturel, et dans l’œuvre de l'Homme lorsque c'est Son Souffle qui le guide).

L'irruption de l'islam (636-642)
Les reconquêtes d'Héraclius sont sans lendemain : Les territoires recouvrés vont passer en une décennie aux mains des Arabes musulmans, dont l'expansion fulgurante s'amorce quelques années après la mort du prophète Mahomet. La Syrie est enlevée en 636, la Palestine et Jérusalem en 638, la Mésopotamie en 639-640 ; l'Arménie est envahie en 640, et l'Égypte en 642. Partout ils assassinent brûlent les églises et les monastères

Les musulmans voient leurs armées engagées dans une campagne visant à la conquête de l'empire Sassanide (Perse). Ils ne veulent pas s'engager plus loin en Afrique du Nord, car le pouvoir musulman en Égypte est encore faible. Le calife émet des ordres stricts d'abandonner Tripoli, vers la fin de l'année 643, selon Muhammad Husayn Haykal et al Farouq Umar.
Pourtant la tradition prophétique présente aussi le Jihad comme un moyen de subsistance.
Le Prophète dit :
Allah a placé ma rizqi (= subsistance) sous ma lance.
Les siras et autres ouvrages d'histoire islamiques montrent aussi que les batailles permettent d'exiger des capitations des populations assujetties.
Le Prophète interdit de disposer à sa guise des prisonniers, et de tuer les femmes et les enfants lors des batailles... Cependant les captifs doivent devenir des esclaves ou être relâchés sous rançon...

Dans l'Ifriqiya les habitants Romanisés des villes et des plaines du littoral se sont convertis au christianisme. Mais la domination Romaine s'effondre. Avant l'invasion arabe de farouches guerriers, les Levathae, les mêmes que les auteurs arabes appelleront plus tard Louata, ruinent le grenier à blé de Rome. Ces nomades chameliers, venus de l'est, pénètrent dans les terres Méridionales de la Byzacène (= Kairouan) et de Numidie (= nord de l'Algérie) qui ont été mises en valeur au prix d'un rude effort soutenu pendant des siècles et font reculer puis disparaître l'agriculture permanente, remplacée par une steppe désolée.
Au VIIe siècle, la complexité sociologique, voire ethnique, du pays, s'accroît encore. Aux Romano-Africains des villes et des campagnes, et aux Maures non Romanisés issus des gentes paléoberbères, se sont ajoutés les nomades Zénètes, les Laguantan et leurs émules, les débris du peuple Vandale, le corps expéditionnaire et les administrateurs Byzantins qui sont des Orientaux. Cette société devient de plus en plus cloisonnée dans un pays où s'estompe la notion même de l’État. Les sociétés paysannes sont parfois très méridionales comme le montrent les Tablettes Albertini, archives notariales sur bois de cèdre, trouvées à une centaine de kilomètres au Sud de Tébessa.



686 — Wikipédia fr.wikipedia.org/wiki/686
Cette page concerne l'année 686 du calendrier julien. ... les croix sont détruites ; les portes des églises doivent recevoir l'inscription : Mahomet est le grand apôtre de Dieu. Jésus est apôtre de Dieu. Et Dieu n'engendre, ni n'est engendré.
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Répondre aux musulmans - islam & verite
www.islam-et-verite.com/pages/...et...a.../repondre-aux-musulmans.html
Jésus n'est pas mort sur la Croix ni ressuscité, vous adorez un "cadavre juif" ... Dieu n'a pas de Fils, Il n'est pas engendré et Il n'engendre pas ! ... Jésus a annoncé Mahomet quand il a annoncé le Paraclet ... de notre grand Dieu et Sauveur, il est devenu possible de représenter Dieu le Père — dont Jésus est l'icône (Col ...

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