1er JUILLET 2015
Cette
page concerne l'année 686 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
LES
INVASIONS MUSULMANES INSTIGATRICES DE ICONOCLASME BYZANTIN... TENTANT
PAR LA D'ATTAQUER LE CHRISTIANISME ORIENTALE
Au
début du VIIe siècle le patriarche Serge Ier de Constantinople
tente encore de mettre fin à la controverse du monophysisme qui
divise toujours la chrétienté en contournant la question de la
« nature » du Christ et propose le monothélisme (du grec
monos, « seul » et thelein, « vouloir ») qui
professe la seule volonté divine « seule volonté du Christ
incarné ». Le concile œcuménique de Constantinople de 680
condamne cette doctrine et confesse la pleine humanité du Christ en
lui reconnaissant une volonté humaine, faillible (colère face aux
marchands du Temple, « Eli, Eli, lama sabachtani ? » :
« mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ? ») distincte de
sa volonté divine, infaillible (chaque fois qu'il parle au nom du
« père »). Selon certains auteurs, le monothélisme se
prolonge dans le maronisme.
Au
VIIe siècle, l’iconoclasme est une réaction au culte des
images (ou « icônes »). Ce culte se manifeste de
diverses façons : De l’illumination de l’icône à la
prosternation, jusqu’à la conviction que l’icône a un caractère
agissant par elle-même. Les raisons de la crise ne sont pas claires.
On[Qui ?] a invoqué entre autres l’influence du judaïsme et
de l’islam.
Dès
686 les hordes musulmanes renforcent les querelles contre les images,
d'abord en Égypte qu'ils vienne d'envahir.
Les
premières mesures iconoclastes sont prises en 725 par l’empereur
Léon III.
Le
successeur de Léon, l’empereur Constantin V Copronyme, convoque un
concile qui fait de l’iconoclasme la doctrine officielle de
l’Empire d’Orient.
Sous
l’impératrice Irène a lieu une réaction : en 786-87, un
nouveau concile renverse la tendance et rétablit le culte des
images.
La
hiérarchie « orthodoxe » suit la volonté impériale.
En
815, un autre empereur, Léon V l’Arménien, revient à
l’iconoclasme.
En
845, le culte des images est définitivement rétabli.
Parmi
les innombrables et sempiternels arguments resservis systématiquement
par nos amis musulmans, celui consistant à accuser les chrétiens de
désobéir au commandement de Dieu interdisant la fabrication
d'images taillées.
Vous
ne vous ferez point d'idoles, vous ne vous élèverez ni image
taillée ni statue, et vous ne placerez dans votre pays aucune pierre
ornée de figures, pour vous prosterner devant elle, car je suis
l’Éternel, votre Dieu.
Lév
: 26.1
« L’idolâtrie est une perversion du sens religieux inné de l’homme. L’idolâtre est celui qui « rapporte à n’importe quoi plutôt qu’à Dieu son
indestructible
notion de Dieu » (Origène, Cels. 2, 40). »
L’utilisation
et la fabrication de statues religieuses est une pratique totalement
biblique :
En
Ex 25, 18-19, Dieu ordonne à Moïse de fabriquer des statues
d’anges, en l’occurrence de chérubins.
En
Nb 21, 8, Dieu demande à Moïse de fabriquer un serpent d’airain,
que les Israélites devaient regarder afin d’être guéris.
Les
juifs utilisent beaucoup d’images gravées dans le Temple de
Jérusalem, incluant des chérubins, des bœufs, des lions, des
palmiers et des fleurs (1 R 6 et 7)
Le
contexte dans lequel Dieu donne Son Commandement est important :
Il
nous faut également garder en mémoire les raisons pour lesquels
Dieu donne ce Commandement, dans un contexte où le polythéisme est
encore très présent chez un peuple resté esclave des
Égyptiens qui adorent tout un panthéon d’idoles.
L'interdiction
des images sculptées dans le deuxième commandement (Deut 5 :8) est
un avertissement solennel aux gens de ne représenter de faux Dieux
pour les idolâtrer. Ceci par contraste avec toutes les autres
religions d'Égypte qui ont fabriqué les images humaines, animales
fantasmagoriques de leurs divinités pour les adorer. Les statues,
images et icônes nous introduisent dans un esprit de
« représentation » de la famille céleste de Dieu (Heb
12 :11). Comme chaque fidèle catholique le sait, idolâtrer les
images est vraiment interdit (Ex20 :4).
Éléments
de réponses extraits du livre de l'abbé Pagès, Interroger l'Islam.
Les chrétiens adorent-ils des statues, sont-ils des idolâtres ?
Contrairement
à ce qu'imaginent les iconoclastes, Dieu n'a pas absolument interdit
les représentations figuratives (Ex 25.18-20 ; Nb 21.7-9), mais
a donné ce commandement : « Tu n'auras pas d'autres dieux
devant ma face. Tu ne te feras pas d'image taillée, ni aucune figure
de ce qui est en haut dans le ciel, ou de ce qui est en bas sur la
terre, ou de ce qui est dans les eaux au-dessous de la terre. Tu ne
te prosterneras point devant elles et tu ne les serviras point »
(Ex 20.3-4), ce qui signifie que le Dieu révélé à Moïse ne
S'identifie à aucune de ses créatures mais transcende tout ce qui
existe, en sorte que rien de ce qui existe ne peut adéquatement Le
représenter. « Vous ne ferez point à côté de moi de dieux
d'argent et vous ne ferez point de dieux d'or. » (Ex 20.23) :
La leçon est claire, il ne s'agit pas de ne rien représenter, mais
de ne pas fabriquer d'idoles. Il faut se rappeler que ce commandement
a été donné alors que l'humanité entière, avec la perte du
paradis terrestre, avait perdu la connaissance du vrai Dieu et
s'était soumise au pouvoir du Démon… Mais les hommes, toujours
désireux de rendre un culte à Dieu (car fondamentalement faits pour
adorer Dieu), parce qu'ils ne Le connaissaient plus, on fabriquaient
toute sortes d'objets sur lesquels reporter leur besoin d'adoration.
Depuis lors, le temps vient, où, à la demande du peuple élu, Dieu
daigne descendre du Ciel (Gn 11.5 ; Ex 33.18 ; Is 63.19) et
se rendre visible, Lui, l'Invisible, que cependant les élus ont déjà
vu Ex 24.11 ; Dt 31.15 ; Jn 8.56). Il le fait en la
personne de Jésus, « l'image du Dieu invisible » (Col
1.15 ; Jn 14.9 ; 12.45 ; 2 Co 4.4). Aussi, depuis la
bienheureuse Incarnation de notre grand Dieu et Sauveur, il est
devenu possible de représenter Dieu le Père — dont Jésus est
l'icône (Col 1.15) — en représentant Jésus, qui est Son Fils, et
de représenter l'Esprit-Saint par la colombe (Jn 1.32) ou le feu (Ac
2.3).
L'homme
est ainsi fait qu'il est un composé d'esprit et de matière. À
cause de cela, aucune connaissance ne nous vient à l'intelligence
sans passer par nos sens. C'est pourquoi, afin de se faire connaître
à nous, Dieu s'est rendu visible, tangible, audible. Grâce au
mystère de l'Incarnation, la Foi chrétienne a pu donner à l'art
son fondement et sa justification véritables, les plus élevés qui
soient : Révéler que Dieu est Beauté ! La beauté est,
en un certain sens, l'expression visible du bien. La vocation de
l'art est de « saisir les trésors du ciel de l'esprit, de les
revêtir de mots, de couleurs, de formes et de les rendre
accessibles ». La mission de l'artiste est de susciter
l'émerveillement, de réveiller le souvenir du paradis perdu, de
conduire l'âme à percevoir quelque chose de la Béatitude encore
invisible qui nous est offerte en Jésus, le Dieu invisible qui s'est
rendu visible. Aussi, contrairement à ce que pensent les musulmans
et tous les iconoclastes, l'art figuratif n'a pas plus à voir avec
l'idolâtrie que l'écriture a à voir avec la magie… sauf pour
ceux qui ne savent ou ne veulent pas lire.
1er
JUILLET 2015
Cette
page concerne l'année 686 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
Le
contexte dans lequel Dieu donne Son Commandement est important :
Il
nous faut également garder en mémoire les raisons pour lesquels
Dieu donne ce Commandement, dans un contexte où le polythéisme est
encore très présent chez un peuple resté esclave des
Égyptiens qui adorent tout un panthéon d’idoles.
L'interdiction
des images sculptées dans le deuxième commandement (Deut 5 :8) est
un avertissement solennel aux gens de ne représenter de faux Dieux
pour les idolâtrer. Ceci par contraste avec toutes les autres
religions d'Égypte qui ont fabriqué les images humaines, animales
fantasmagoriques de leurs divinités pour les adorer. Les statues,
images et icônes nous introduisent dans un esprit de
« représentation » de la famille céleste de Dieu (Heb
12 :11). Comme chaque fidèle catholique le sait, idolâtrer les
images est vraiment interdit (Ex20 :4).
Éléments
de réponses extraits du livre de l'abbé Pagès, Interroger l'Islam.
Les chrétiens adorent-ils des statues, sont-ils des idolâtres ?
Contrairement
à ce qu'imaginent les iconoclastes, Dieu n'a pas absolument interdit
les représentations figuratives (Ex 25.18-20 ; Nb 21.7-9), mais
a donné ce commandement : « Tu n'auras pas d'autres dieux
devant ma face. Tu ne te feras pas d'image taillée, ni aucune figure
de ce qui est en haut dans le ciel, ou de ce qui est en bas sur la
terre, ou de ce qui est dans les eaux au-dessous de la terre. Tu ne
te prosterneras point devant elles et tu ne les serviras point »
(Ex 20.3-4), ce qui signifie que le Dieu révélé à Moïse ne
S'identifie à aucune de ses créatures mais transcende tout ce qui
existe, en sorte que rien de ce qui existe ne peut adéquatement Le
représenter. « Vous ne ferez point à côté de moi de dieux
d'argent et vous ne ferez point de dieux d'or. » (Ex 20.23) :
La leçon est claire, il ne s'agit pas de ne rien représenter, mais
de ne pas fabriquer d'idoles. Il faut se rappeler que ce commandement
a été donné alors que l'humanité entière, avec la perte du
paradis terrestre, avait perdu la connaissance du vrai Dieu et
s'était soumise au pouvoir du Démon… Mais les hommes, toujours
désireux de rendre un culte à Dieu (car fondamentalement faits pour
adorer Dieu), parce qu'ils ne Le connaissaient plus, on fabriquaient
toute sortes d'objets sur lesquels reporter leur besoin d'adoration.
Depuis lors, le temps vient, où, à la demande du peuple élu, Dieu
daigne descendre du Ciel (Gn 11.5 ; Ex 33.18 ; Is 63.19) et
se rendre visible, Lui, l'Invisible, que cependant les élus ont déjà
vu Ex 24.11 ; Dt 31.15 ; Jn 8.56). Il le fait en la
personne de Jésus, « l'image du Dieu invisible » (Col
1.15 ; Jn 14.9 ; 12.45 ; 2 Co 4.4). Aussi, depuis la
bienheureuse Incarnation de notre grand Dieu et Sauveur, il est
devenu possible de représenter Dieu le Père — dont Jésus est
l'icône (Col 1.15) — en représentant Jésus, qui est Son Fils, et
de représenter l'Esprit-Saint par la colombe (Jn 1.32) ou le feu (Ac
2.3).
L'homme
est ainsi fait qu'il est un composé d'esprit et de matière. À
cause de cela, aucune connaissance ne nous vient à l'intelligence
sans passer par nos sens. C'est pourquoi, afin de se faire connaître
à nous, Dieu s'est rendu visible, tangible, audible. Grâce au
mystère de l'Incarnation, la Foi chrétienne a pu donner à l'art
son fondement et sa justification véritables, les plus élevés qui
soient : Révéler que Dieu est Beauté ! La beauté est,
en un certain sens, l'expression visible du bien. La vocation de
l'art est de « saisir les trésors du ciel de l'esprit, de les
revêtir de mots, de couleurs, de formes et de les rendre
accessibles ». La mission de l'artiste est de susciter
l'émerveillement, de réveiller le souvenir du paradis perdu, de
conduire l'âme à percevoir quelque chose de la Béatitude encore
invisible qui nous est offerte en Jésus, le Dieu invisible qui s'est
rendu visible. Aussi, contrairement à ce que pensent les musulmans
et tous les iconoclastes, l'art figuratif n'a pas plus à voir avec
l'idolâtrie que l'écriture a à voir avec la magie… sauf pour
ceux qui ne savent ou ne veulent pas lire.
Bien
sûr, que Dieu se soit incarné dans le sein de la Vierge Marie et
que depuis lors l'Invisible se soit rendu visible, ne signifie pas
que l'on puisse Le voir seulement physiquement. Il n'est visible que
spirituellement, c'est-à-dire avec les yeux de la Foi chrétienne
qui a reconnu et vu Dieu en Jésus de Nazareth (1 Jn 1.1-2).
D’ailleurs, Dieu, qui a donné ce commandement de ne pas fabriquer
d’idoles, révèle Lui-même que lorsqu’Il parlait à Moïse,
celui-ci Le voyait à travers Son Image (Nb 12.8)… c'est-à-dire le
Christ. De même qu'en voyant Jésus celui qui a foi en Lui voit
Dieu, de même il est possible, à partir d'une représentation
figurative, de s'élever jusqu'à son modèle (Rm 1.20). Ainsi, à la
différence des idolâtres, ce ne sont pas les images ou les statues
en tant que telles que les chrétiens adorent ou prient, mais l'être
invisible qu'elles représentent. Lorsque vous regardez la photo d'un
être cher posée sur votre bureau, vous avez bien conscience que ce
n'est pas cette personne que vous regardez, mais son image, et vous
ne les confondez pas. Eh bien, pour les musulmans, cette simple
distinction est réputée impossible... De même que cette photo vous
fait penser à l'être qui vous est cher et le rend présent à votre
mémoire, de même les images que vénèrent les chrétiens rendent
présents à leur cœur les êtres invisibles qu'ils aiment. Est-ce
donc si difficile à comprendre ? (Pour la
plupart d'entre nous non parce que nous aimons dans ces images Dieu
qui donne aux dessinateurs aux peintres et aux sculpteurs la
possibilité de nous les faire voir, et projeter sur ces images les
prières que l'on adresse à Dieu).
« …la
question de la vénération des icônes a à voir avec la vérité
même de l'Incarnation. […] abolir la vénération de l'icône du
Christ signifie effacer son œuvre rédemptrice elle-même, du moment
que, assumant la nature humaine, l'invisible Parole éternelle est
apparue dans la chair visible humaine et de cette manière a
sanctifié tout le cosmos visible. Les icônes, sanctifiées par la
bénédiction liturgique et par les prières des fidèles, nous
unissent avec la Personne du Christ, avec ses saints et, par leur
intermédiaire, avec le Père céleste et témoignent de l'entrée
dans la réalité divine de notre cosmos visible et matériel. »
(Benoît XVI,Audience générale du 27 mai 2009)
Il
n'y a ici-bas qu'une seule réalité visible que les chrétiens
adorent : le Pain et le Vin devenus Jésus (Jn 6.35,48,51). De
telles apparences n'ont rien en soi qui puisse donner le change avec
l'image du Démiurge tout-puissant et redoutable que les hommes ont
spontanément de Dieu, ou les musulmans d'Allah. Quoi de plus
étranger à l'idée du Dieu Tout-Puissant, en effet, que du pain et
du vin par lesquels le vrai Dieu, en toute douceur et humilité (Gn
14.18 ; Mt 11.29 ; Mt 26.26-28), vient se donner Lui-même
pour nourrir tout notre être de sa Vie divine ? « Je suis
le pain vivant, descendu du Ciel. Qui mange de ce pain, vivra
éternellement. Si vous ne mangez la chair du Fils de l’homme
et ne buvez son sang, vous n’aurez pas la vie en vous. Qui mange ma
chair et boit mon sang a la vie éternelle et Je le ressusciterai au
dernier jour. Car ma chair est vraiment une nourriture et mon sang
vraiment une boisson. Qui mange ma chair et boit mon sang demeure en
Moi et Moi en lui. De même que le Père est vivant et que Je vis par
le Père, de même celui qui Me mange vivra par Moi. » (Jn
6.51-57). Dans la Communion, nous recevons sa Vie et Lui reçoit
notre mort. Y a-t-il plus grande merveille que Dieu puisse faire pour
nous ? Y a-t-il un Dieu qui puisse être meilleur que ce
Dieu-là ?
L'affirmation
de la non validité de quelque traduction que ce soit du Coran va de
pair avec l'interdiction de représenter des créatures, car les
« refaire » ainsi est prétendre s'égaler à Dieu qui
seul peut donner forme à ce qui est. C'est aussi faire proliférer
des réalités rivales de ses créatures. L'interdiction de la
représentation de la figure humaine est implicitement liée chez les
musulmans à la possible consubstantialité de l'image et de son
modèle, à la substitution magique de l'un à l'autre. Comme si
l'image peut agir en tant qu'être vivant et disputer sa place à la
réalité.
Le
hadith de Abu Talha rapporte que le « Prophète » a dit :
« Les anges n'entrent pas dans une maison dans laquelle se
trouve un chien ou une image. »(Vol. 4, Livre 54, n° 539 ;
Récit de Maimuna, Muslim XXIV 5248). (Jésus
fils de Dieu à imprimé son visage sur le châle de Sainte Véronique
qui lui essuyait le visage lors du chemin de croix et Lui ces
disciples et ses saints ont demandé de laisser venir à lui les
petits enfants et que certains de ses disciples parlent des animaux
comme de leur frères là est la dimensions de Dieu dans toute sa
bonté et son amour pour nous ses enfants)
Il
n'est pas difficile de reconnaître les sources païennes de l'islam
dans la vénération, par exemple, de la pierre noire à La Mecque,
symbole féminin de la déesse Shaybah, recouverte de son voile noir,
le kiswa. Ainsi que le faisaient déjà leurs ancêtres arabes païens
aimant toucher la vulve de la déesse en gage de ses bénédictions,
aujourd'hui les musulmans se font une joie de terminer leur
pèlerinage à La Mecque en touchant et embrassant cet objet
sacré... ???!!! Comment ceux qui accusent les chrétiens
d'idolâtrie, parce qu'ils vénèrent la Croix du Christ par laquelle
le pouvoir du Diable a été ruiné, peuvent-ils se prosterner
eux-mêmes devant cette météorite déjà autrefois divinisée et
s'y frotter, l'embrasser et en faire rituellement 7 fois le tour lors
de leur pèlerinage ?
Toujours
à La Mecque, un peu plus loin, les mêmes musulmans lapident 3
stèles en béton représentant Satan, et ils stigmatisent, chez les
catholiques, l'utilisation de statues et de représentations ??? !!!
Pourquoi
ceux qui prétendent interdire l'utilisation d'images utilisent-ils
eux-mêmes celles, par exemple, de la lune, symbole d’Hubaal, ou de
l’étoile, symbole de Vénus, sa fille ? (Voir A 24)
Puisqu'Allah
utilise des images, et même pour se décrire lui-même (24.35), lui,
« l'impénétrable » (cf. 112.2), comment penser
qu'utiliser des images soit mauvais ?
Dans
l'affaire des caricatures Danoises de Mahomet jugées blasphématoires
par les musulmans, l'islam n'a-t-il pas manifesté un paradoxe qui
révèle ses profondes contradictions ? En effet, alors que
l'islam se présente comme LE culte rendu à la divinité unique, pur
de toute idolâtrie, voilà qu'il revendique pour Mahomet, qui n'est
qu'un homme, l'obéissance du premier des 10 commandements
interdisant de représenter Dieu, élevant ainsi Mahomet au
traitement qui n'est dû qu'à Dieu ! Or si Dieu est invisible
et ne peut de ce fait être représenté, Mahomet, qui est un homme,
visible, peut de ce fait être représenté. De plus, étant un
homme, comme le confessent encore les musulmans, il est non seulement
imparfait mais pécheur (33.56 ; 40.55), donc critiquable. En
prétendant que serait dû à une créature le respect qui n'est dû
qu'à Dieu, l'islam ne mérite-t-il pas sa terrible condamnation d'«
associationnisme » et d'idolâtrie dont il se vante cependant d'être
exempt ?
L'islam
se rend lui-même coupable de ce dont il accuse les chrétiens, le
blasphème, car il blasphème continuellement la Divinité du Christ,
niant sa Mort, sa Résurrection, et son enseignement, mais les
chrétiens ne vont pas pour autant assassiner les musulmans et
incendier leurs mosquées ! Si Jésus-Christ s'est laissé
insulter, ridiculiser, cracher au visage, couronner d'épines et
crucifier, c'est parce qu'Il est le vrai Dieu qui n'a pas besoin de
se défendre (Mt 26.53-54), puisqu'on ne peut rien contre Lui !
Ses adversaires recevant de par leurs méfaits mêmes leurs propres
châtiments. Par contre, une idole a besoin d'être défendue et
protégée par ses adorateurs… « Ces dieux-là sont comme une
colonne faite au tour, on les porte, car ils ne marchent pas »
(Jr 10.5) ! Et c'est sans doute pourquoi en Islam il est
interdit, sous peine des pires châtiments, d'oser toucher à l'aura
de Mahomet, du Coran, ou de l'islam, de peur que l'idole ne tombe...
S'il
faut proscrire toutes les images, ne faudrait-il pas éliminer alors
aussi tous les hommes, puisque ceux-ci sont faits à l'image de Dieu
(Gn 1.26-27 ; 1 Co 11.7 ; Jc 3.9) et qu'ils réfléchissent,
même contre leur volonté, du seul fait qu’ils existent, Sa gloire
et Sa bonté ? Et finalement, toutes les créatures ne
devraient-elles pas être éliminées, puisqu'en elles toutes se
révèlent aussi la Gloire et la Bonté de leur Créateur ? On
voit par là à quelles absurdités et monstruosités peut conduire
une lecture de la Parole de Dieu faite en dehors de l'Esprit qui l'a
inspirée. (Dieu est Tout et Partout dans l'air
que l'on respire dans l'eau que l'on boit et dans les aliments qui
nous nourrissent... Tout ce qui est nature et naturel, et dans
l’œuvre de l'Homme lorsque c'est Son Souffle qui le guide).
Les
reconquêtes d'Héraclius sont sans lendemain : Les territoires
recouvrés vont passer en une décennie aux mains des Arabes
musulmans, dont l'expansion fulgurante s'amorce quelques années
après la mort du prophète Mahomet. La Syrie est enlevée en 636, la
Palestine et Jérusalem en 638, la Mésopotamie en 639-640 ;
l'Arménie est envahie en 640, et l'Égypte en 642. Partout ils
assassinent brûlent les églises et les monastères
Les musulmans voient leurs armées engagées dans une campagne visant à la conquête de l'empire Sassanide (Perse). Ils ne veulent pas s'engager plus loin en Afrique du Nord, car le pouvoir musulman en Égypte est encore faible. Le calife émet des ordres stricts d'abandonner Tripoli, vers la fin de l'année 643, selon Muhammad Husayn Haykal et al Farouq Umar.
Pourtant
la tradition prophétique présente aussi le Jihad comme un moyen de
subsistance.
Le
Prophète dit :
Allah
a placé ma rizqi (= subsistance) sous ma lance.
Les
siras et autres ouvrages d'histoire islamiques montrent aussi que les
batailles permettent d'exiger des capitations des populations
assujetties.
Le
Prophète interdit de disposer à sa guise des prisonniers, et de
tuer les femmes et les enfants lors des batailles... Cependant les
captifs doivent devenir des esclaves ou être relâchés sous
rançon...
Dans
l'Ifriqiya les habitants Romanisés des villes et des plaines du
littoral se sont convertis au christianisme. Mais la domination
Romaine s'effondre. Avant l'invasion arabe de farouches guerriers,
les Levathae, les mêmes que les auteurs arabes appelleront plus tard
Louata, ruinent le grenier à blé de Rome. Ces nomades chameliers,
venus de l'est, pénètrent dans les terres Méridionales de la
Byzacène (= Kairouan) et de Numidie (= nord de l'Algérie) qui ont
été mises en valeur au prix d'un rude effort soutenu pendant des
siècles et font reculer puis disparaître l'agriculture permanente,
remplacée par une steppe désolée.
Au
VIIe siècle, la complexité sociologique, voire ethnique, du pays,
s'accroît encore. Aux Romano-Africains des villes et des campagnes,
et aux Maures non Romanisés issus des gentes paléoberbères, se
sont ajoutés les nomades Zénètes, les Laguantan et leurs émules,
les débris du peuple Vandale, le corps expéditionnaire et les
administrateurs Byzantins qui sont des Orientaux. Cette société
devient de plus en plus cloisonnée dans un pays où s'estompe la
notion même de l’État. Les sociétés paysannes sont parfois très
méridionales comme le montrent les Tablettes Albertini, archives
notariales sur bois de cèdre, trouvées à une centaine de
kilomètres au Sud de Tébessa.
Bien
sûr, que Dieu se soit incarné dans le sein de la Vierge Marie et
que depuis lors l'Invisible se soit rendu visible, ne signifie pas
que l'on puisse Le voir seulement physiquement. Il n'est visible que
spirituellement, c'est-à-dire avec les yeux de la Foi chrétienne
qui a reconnu et vu Dieu en Jésus de Nazareth (1 Jn 1.1-2).
D’ailleurs, Dieu, qui a donné ce commandement de ne pas fabriquer
d’idoles, révèle Lui-même que lorsqu’Il parlait à Moïse,
celui-ci Le voyait à travers Son Image (Nb 12.8)… c'est-à-dire le
Christ. De même qu'en voyant Jésus celui qui a foi en Lui voit
Dieu, de même il est possible, à partir d'une représentation
figurative, de s'élever jusqu'à son modèle (Rm 1.20). Ainsi, à la
différence des idolâtres, ce ne sont pas les images ou les statues
en tant que telles que les chrétiens adorent ou prient, mais l'être
invisible qu'elles représentent. Lorsque vous regardez la photo d'un
être cher posée sur votre bureau, vous avez bien conscience que ce
n'est pas cette personne que vous regardez, mais son image, et vous
ne les confondez pas. Eh bien, pour les musulmans, cette simple
distinction est réputée impossible... De même que cette photo vous
fait penser à l'être qui vous est cher et le rend présent à votre
mémoire, de même les images que vénèrent les chrétiens rendent
présents à leur cœur les êtres invisibles qu'ils aiment. Est-ce
donc si difficile à comprendre ? (Pour la
plupart d'entre nous non parce que nous aimons dans ces images Dieu
qui donne aux dessinateurs aux peintres et aux sculpteurs la
possibilité de nous les faire voir, et projeter sur ces images les
prières que l'on adresse à Dieu).
« …la
question de la vénération des icônes a à voir avec la vérité
même de l'Incarnation. […] abolir la vénération de l'icône du
Christ signifie effacer son œuvre rédemptrice elle-même, du moment
que, assumant la nature humaine, l'invisible Parole éternelle est
apparue dans la chair visible humaine et de cette manière a
sanctifié tout le cosmos visible. Les icônes, sanctifiées par la
bénédiction liturgique et par les prières des fidèles, nous
unissent avec la Personne du Christ, avec ses saints et, par leur
intermédiaire, avec le Père céleste et témoignent de l'entrée
dans la réalité divine de notre cosmos visible et matériel. »
(Benoît XVI,Audience générale du 27 mai 2009)
Il
n'y a ici-bas qu'une seule réalité visible que les chrétiens
adorent : le Pain et le Vin devenus Jésus (Jn 6.35,48,51). De
telles apparences n'ont rien en soi qui puisse donner le change avec
l'image du Démiurge tout-puissant et redoutable que les hommes ont
spontanément de Dieu, ou les musulmans d'Allah. Quoi de plus
étranger à l'idée du Dieu Tout-Puissant, en effet, que du pain et
du vin par lesquels le vrai Dieu, en toute douceur et humilité (Gn
14.18 ; Mt 11.29 ; Mt 26.26-28), vient se donner Lui-même
pour nourrir tout notre être de sa Vie divine ? « Je suis
le pain vivant, descendu du Ciel. Qui mange de ce pain, vivra
éternellement. Si vous ne mangez la chair du Fils de l’homme
et ne buvez son sang, vous n’aurez pas la vie en vous. Qui mange ma
chair et boit mon sang a la vie éternelle et Je le ressusciterai au
dernier jour. Car ma chair est vraiment une nourriture et mon sang
vraiment une boisson. Qui mange ma chair et boit mon sang demeure en
Moi et Moi en lui. De même que le Père est vivant et que Je vis par
le Père, de même celui qui Me mange vivra par Moi. » (Jn
6.51-57). Dans la Communion, nous recevons sa Vie et Lui reçoit
notre mort. Y a-t-il plus grande merveille que Dieu puisse faire pour
nous ? Y a-t-il un Dieu qui puisse être meilleur que ce
Dieu-là ?
L'affirmation
de la non validité de quelque traduction que ce soit du Coran va de
pair avec l'interdiction de représenter des créatures, car les
« refaire » ainsi est prétendre s'égaler à Dieu qui
seul peut donner forme à ce qui est. C'est aussi faire proliférer
des réalités rivales de ses créatures. L'interdiction de la
représentation de la figure humaine est implicitement liée chez les
musulmans à la possible consubstantialité de l'image et de son
modèle, à la substitution magique de l'un à l'autre. Comme si
l'image peut agir en tant qu'être vivant et disputer sa place à la
réalité.
Le
hadith de Abu Talha rapporte que le « Prophète » a dit :
« Les anges n'entrent pas dans une maison dans laquelle se
trouve un chien ou une image. »(Vol. 4, Livre 54, n° 539 ;
Récit de Maimuna, Muslim XXIV 5248). (Jésus
fils de Dieu à imprimé son visage sur le châle de Sainte Véronique
qui lui essuyait le visage lors du chemin de croix et Lui ces
disciples et ses saints ont demandé de laisser venir à lui les
petits enfants et que certains de ses disciples parlent des animaux
comme de leur frères là est la dimensions de Dieu dans toute sa
bonté et son amour pour nous ses enfants)
Il
n'est pas difficile de reconnaître les sources païennes de l'islam
dans la vénération, par exemple, de la pierre noire à La Mecque,
symbole féminin de la déesse Shaybah, recouverte de son voile noir,
le kiswa. Ainsi que le faisaient déjà leurs ancêtres arabes païens
aimant toucher la vulve de la déesse en gage de ses bénédictions,
aujourd'hui les musulmans se font une joie de terminer leur
pèlerinage à La Mecque en touchant et embrassant cet objet
sacré... ???!!! Comment ceux qui accusent les chrétiens
d'idolâtrie, parce qu'ils vénèrent la Croix du Christ par laquelle
le pouvoir du Diable a été ruiné, peuvent-ils se prosterner
eux-mêmes devant cette météorite déjà autrefois divinisée et
s'y frotter, l'embrasser et en faire rituellement 7 fois le tour lors
de leur pèlerinage ?
Toujours
à La Mecque, un peu plus loin, les mêmes musulmans lapident 3
stèles en béton représentant Satan, et ils stigmatisent, chez les
catholiques, l'utilisation de statues et de représentations ??? !!!
Pourquoi
ceux qui prétendent interdire l'utilisation d'images utilisent-ils
eux-mêmes celles, par exemple, de la lune, symbole d’Hubaal, ou de
l’étoile, symbole de Vénus, sa fille ? (Voir A 24)
Puisqu'Allah
utilise des images, et même pour se décrire lui-même (24.35), lui,
« l'impénétrable » (cf. 112.2), comment penser
qu'utiliser des images soit mauvais ?
Dans
l'affaire des caricatures Danoises de Mahomet jugées blasphématoires
par les musulmans, l'islam n'a-t-il pas manifesté un paradoxe qui
révèle ses profondes contradictions ? En effet, alors que
l'islam se présente comme LE culte rendu à la divinité unique, pur
de toute idolâtrie, voilà qu'il revendique pour Mahomet, qui n'est
qu'un homme, l'obéissance du premier des 10 commandements
interdisant de représenter Dieu, élevant ainsi Mahomet au
traitement qui n'est dû qu'à Dieu ! Or si Dieu est invisible
et ne peut de ce fait être représenté, Mahomet, qui est un homme,
visible, peut de ce fait être représenté. De plus, étant un
homme, comme le confessent encore les musulmans, il est non seulement
imparfait mais pécheur (33.56 ; 40.55), donc critiquable. En
prétendant que serait dû à une créature le respect qui n'est dû
qu'à Dieu, l'islam ne mérite-t-il pas sa terrible condamnation d'«
associationnisme » et d'idolâtrie dont il se vante cependant d'être
exempt ?
L'islam
se rend lui-même coupable de ce dont il accuse les chrétiens, le
blasphème, car il blasphème continuellement la Divinité du Christ,
niant sa Mort, sa Résurrection, et son enseignement, mais les
chrétiens ne vont pas pour autant assassiner les musulmans et
incendier leurs mosquées ! Si Jésus-Christ s'est laissé
insulter, ridiculiser, cracher au visage, couronner d'épines et
crucifier, c'est parce qu'Il est le vrai Dieu qui n'a pas besoin de
se défendre (Mt 26.53-54), puisqu'on ne peut rien contre Lui !
Ses adversaires recevant de par leurs méfaits mêmes leurs propres
châtiments. Par contre, une idole a besoin d'être défendue et
protégée par ses adorateurs… « Ces dieux-là sont comme une
colonne faite au tour, on les porte, car ils ne marchent pas »
(Jr 10.5) ! Et c'est sans doute pourquoi en Islam il est
interdit, sous peine des pires châtiments, d'oser toucher à l'aura
de Mahomet, du Coran, ou de l'islam, de peur que l'idole ne tombe...
S'il
faut proscrire toutes les images, ne faudrait-il pas éliminer alors
aussi tous les hommes, puisque ceux-ci sont faits à l'image de Dieu
(Gn 1.26-27 ; 1 Co 11.7 ; Jc 3.9) et qu'ils réfléchissent,
même contre leur volonté, du seul fait qu’ils existent, Sa gloire
et Sa bonté ? Et finalement, toutes les créatures ne
devraient-elles pas être éliminées, puisqu'en elles toutes se
révèlent aussi la Gloire et la Bonté de leur Créateur ? On
voit par là à quelles absurdités et monstruosités peut conduire
une lecture de la Parole de Dieu faite en dehors de l'Esprit qui l'a
inspirée. (Dieu est Tout et Partout dans l'air
que l'on respire dans l'eau que l'on boit et dans les aliments qui
nous nourrissent... Tout ce qui est nature et naturel, et dans
l’œuvre de l'Homme lorsque c'est Son Souffle qui le guide).
Les
reconquêtes d'Héraclius sont sans lendemain : Les territoires
recouvrés vont passer en une décennie aux mains des Arabes
musulmans, dont l'expansion fulgurante s'amorce quelques années
après la mort du prophète Mahomet. La Syrie est enlevée en 636, la
Palestine et Jérusalem en 638, la Mésopotamie en 639-640 ;
l'Arménie est envahie en 640, et l'Égypte en 642. Partout ils
assassinent brûlent les églises et les monastères
Les musulmans voient leurs armées engagées dans une campagne visant à la conquête de l'empire Sassanide (Perse). Ils ne veulent pas s'engager plus loin en Afrique du Nord, car le pouvoir musulman en Égypte est encore faible. Le calife émet des ordres stricts d'abandonner Tripoli, vers la fin de l'année 643, selon Muhammad Husayn Haykal et al Farouq Umar.
Pourtant
la tradition prophétique présente aussi le Jihad comme un moyen de
subsistance.
Le
Prophète dit :
Allah
a placé ma rizqi (= subsistance) sous ma lance.
Les
siras et autres ouvrages d'histoire islamiques montrent aussi que les
batailles permettent d'exiger des capitations des populations
assujetties.
Le
Prophète interdit de disposer à sa guise des prisonniers, et de
tuer les femmes et les enfants lors des batailles... Cependant les
captifs doivent devenir des esclaves ou être relâchés sous
rançon...
Dans
l'Ifriqiya les habitants Romanisés des villes et des plaines du
littoral se sont convertis au christianisme. Mais la domination
Romaine s'effondre. Avant l'invasion arabe de farouches guerriers,
les Levathae, les mêmes que les auteurs arabes appelleront plus tard
Louata, ruinent le grenier à blé de Rome. Ces nomades chameliers,
venus de l'est, pénètrent dans les terres Méridionales de la
Byzacène (= Kairouan) et de Numidie (= nord de l'Algérie) qui ont
été mises en valeur au prix d'un rude effort soutenu pendant des
siècles et font reculer puis disparaître l'agriculture permanente,
remplacée par une steppe désolée.
Au
VIIe siècle, la complexité sociologique, voire ethnique, du pays,
s'accroît encore. Aux Romano-Africains des villes et des campagnes,
et aux Maures non Romanisés issus des gentes paléoberbères, se
sont ajoutés les nomades Zénètes, les Laguantan et leurs émules,
les débris du peuple Vandale, le corps expéditionnaire et les
administrateurs Byzantins qui sont des Orientaux. Cette société
devient de plus en plus cloisonnée dans un pays où s'estompe la
notion même de l’État. Les sociétés paysannes sont parfois très
méridionales comme le montrent les Tablettes Albertini, archives
notariales sur bois de cèdre, trouvées à une centaine de
kilomètres au Sud de Tébessa.
686
— Wikipédia fr.wikipedia.org/wiki/686
Cette
page concerne l'année 686 du calendrier julien. ... les croix sont
détruites ; les portes des églises doivent recevoir l'inscription :
Mahomet est le grand apôtre de Dieu. Jésus est apôtre de Dieu. Et
Dieu n'engendre, ni n'est engendré.
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02/07/15
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aux musulmans - islam & verite
www.islam-et-verite.com/pages/...et...a.../repondre-aux-musulmans.html
Jésus
n'est pas mort sur la Croix ni ressuscité, vous adorez un "cadavre
juif" ... Dieu n'a pas de Fils, Il n'est pas engendré et Il
n'engendre pas ! ... Jésus a annoncé Mahomet quand il a annoncé le
Paraclet ... de notre grand Dieu et Sauveur, il est devenu possible
de représenter Dieu le Père — dont Jésus est l'icône (Col ...
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