jeudi 9 juillet 2015

EN REMONTANT LE TEMPS... 680

7 JUILLET 2015...

Cette page concerne l'année 680 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !

BATHILDE REINE DES FRANCS ELLE AUSSI EN BUT AUX EXACTIONS D'EBROÏN

Bathilde (dite aussi autrefois Bauthieult, Bauteuch ou Baudour), née en 626 ou 635 en Angleterre, fille de Sisoigne, Prince d'Ascagnie et morte le 30 janvier 680 à Chelles, est une reine des Francs, épouse de Clovis II.

Les chroniques Mérovingiennes (Chronique de Frédégaire et Liber Historiæ Francorum) disent très peu de choses sur Bathilde. La principale source biographique est une Vita sanctæ Bathildis anonyme, écrite dès la fin du VIIe siècle, peu après sa mort (dite Vita A). Une version remaniée de cette hagiographie a été produite au début du IXe siècle (la Vita B) : Le remaniement porte sur le style, mais consiste aussi en l'ajout de détails dans le sens de l'exaltation du personnage.
Ces Vies ont eu une postérité littéraire dès le Moyen-Âge : On conserve une Vie de sainte Baltelt roine, en ancien franc et en prose, datant du XIIIe siècle, et un Miracle de Sainte Bauteuch du XIVe siècle. Bathilde apparaît aussi comme personnage dans des romans médiévaux comme Theseus de Cologne ou Ciperis de Vignevaux (XIVe siècle).

En 643, Fursy, un moine Irlandais, arrive en Gaule précédé d'une grande réputation. Erchinoald, le pieux Maire du Palais, le fait recevoir à la cour de Clovis II à la grande joie de Bathilde d'Ascanie qui souhaite s'entourer d'hommes réputés pour leur sainteté.

La Vita A, source primaire, est très succincte sur ses origines : Elle vient en Gaule vendue comme esclave (« vili pretio venumdata »), et sa provenance est indiquée par les expressions « de partibus transmarinis » et « ex genere Saxonum ».
Cette dernière information est confirmée par le Liber Historiæ Francorum (« accepitque uxorem de genere Saxonorum nomine Bathilde »). On en déduit qu'elle est originaire de l'Angleterre Anglo-Saxonne. L'hagiographe développe le thème religieux des petits et des humbles élevés aux honneurs par la Providence divine (« qui de parvis efficit magnos, immo qui de stercore elevat pauperem », etc...), ce qui fait penser à une origine très modeste du personnage. L'idée d'une origine plus illustre est glissée au passage parmi les ajouts de la Vita B (« Claro namque sanguine, licet alterius gentis serviret obsequiis »), mais rien n'est précisé. Dans la Vie de Sainte Baltelt roine du XIIIe siècle, on passe à l'idée d'un lignage royal, dans un scénario romanesque : « Cheste dame fut nee de Sessoigne et estraite de roiale lignie, et fut en sa jonece ravie des mescreans ». Ce qui n'empêche pas l'auteur, peu gêné par la contradiction, de reprendre le même thème religieux que l'hagiographie : « Car il fait des petiz grans [...], si comme nous veons qu'il est aempli en ceste glorieuse roine ». En plus de l'invention d'un lignage royal, on note dans ce texte tardif une confusion entre les Saxons d'Angleterre et la Saxe continentale (Sessoigne, en anglais Saxony), qui au surplus, au VIIe siècle, n'est pas encore évangélisée.
Elle est acquise comme servante, encore adolescente, par Erchinoald (ou Archambaut), maire du palais qui l'emploie pour lui servir à boire dans sa chambre (« eam instituit ut sibi in cubiculo pocula porrigeret »). Selon la Vie, après la mort de sa femme, il veut l'épouser, mais elle se dérobe en se cachant. Quelque temps plus tard, elle épouse Clovis II, roi de Neustrie et de Bourgogne (peut-être en 649).

Quant à la logique de cette série d'événements, l'hagiographe est très vague et se contente d'un commentaire religieux : Par sa pudeur et son humilité auprès d'Erchinoald, elle s'est rendue digne d'une élévation encore plus grande. Certains historiens pensent qu'Archambaut l'a présentée au jeune roi (ou à sa mère Nanchtilde) pour favoriser son propre rôle politique.
La Chronique de Frédégaire qualifie Bathilde de « reginam prudentem et elegantem ». Selon la tradition, elle a grandement influencé son époux pour qu'il mène le royaume d'une main ferme.

D'après une légende apparue vers le XIIe siècle, dite des « énervés de Jumièges », elle le pousse à sanctionner durement ses 2 plus jeunes fils qui se sont rebellés contre lui : Les nerfs des jambes brûlés, ils sont abandonnés dans une barque sur la Seine, et recueillis à l'abbaye de Jumièges.
Clovis et Bathilde sont présents lors de leur entrée à l'abbaye. Cette histoire est invraisemblable de bout en bout (leur fils aîné Clotaire III a 5 ans à la mort de son père), mais elle est insérée à la fin du Moyen Âge dans les Vies latines et françaises de Bathilde.

Elle a 5 enfants dont :
Clotaire III, roi de Neustrie et de Bourgogne.
Childéric II, roi d'Austrasie.
Thierry III qui succède à Clotaire III.

Lorsque Erchinoald voit que la passion du jeune roi prend un caractère sérieux, il pense que l’ascendant de Bathilde peut être utile au prince, et conserver aussi celui du maire. Il encourage Clovis dans la pensée d’élever Bathilde au trône. Un honneur si peu attendu n’altère pas la modestie de Bathilde, rien ne change dans ses manières, elle ne fait servir son crédit qu’au soulagement des pauvres et au bien de la piété. Le mariage eut lieu en 651. Peu de temps après son union avec Clovis II qui n’a encore que 17 ans, ce roi est atteint d’une maladie de langueur, qui altère les facultés de son esprit et lui fait peu à peu perdre presque entièrement la raison...
Bathilde, si jeune elle-même, consulte dans ce malheur la piété et la bonté de son cœur, elle laisse au maire Erchinoald la partie la plus difficile de l’autorité, elle se réserve le soin de veiller attentive auprès du roi et d’adoucir son malheur, autour d’elle tout respire la décence : Point de scandale, point de division. Elle a pour tous de douces paroles, elle accorde les grâces au nom du roi, elle fait agréer ses refus par des manières agréables. Bathilde, respectée et chérie, maintenant tout en paix autour d’elle, et n’ayant d’autre douleur que celle de voir l’état pénible du roi, et un dérangement dans les saisons n'amène la famine dans les états de Clovis... Bathilde persuade Clovis de faire servir au soulagement des pauvres, quelques-unes des richesses de l’église de Saint-Denis, à sa demande, on enlève une voûte de pur argent construite par Dagobert Ier pour le tombeau des 3 martyrs Denis, Rustique et Éleuthère.

L’abbé de Saint-Denis lui-même, Agulf, est chargé d’en distribuer le prix, mais la reine, qui a fait servir aux besoins pressants des pauvres cet argent consacré à l’ornement des autels, veut offrir un dédommagement à l’abbaye. Clovis II tient un plaid où, par le libre concours des leudes, il règle que l’abbaye de Saint-Denis ne relève d’aucun évêque, que son abbé portera la crosse et la mitre, qu’il aura le rang et la dignité de prélat, et que le monastère sera maître exclusif et perpétuel, sans redevance ni partage, de toutes les choses qui sont actuellement en sa possession ou qu’il pourra acquérir...

C’est ainsi que Bathilde agrandit le pouvoir de cette abbaye célèbre, au sein de laquelle ont été élevés plusieurs de nos rois, et d’où sont sortis des hommes illustres. Le nom de Suger seul rendrait l’abbaye de Saint-Denis recommandable, les travaux des religieux de Saint-Denis nous ont fourni des chroniques précieuses.

À la mort de son époux, en 657, elle exerce la régence au profit du seul Clotaire et soutenue par Erchinoald, pour éviter de démembrer le royaume. Mais il semble qu'elle subisse la fronde des grands d'Austrasie qui veulent leur propre souverain. Afin de conserver la paix et l'unité du Regnum, elle accepte de laisser Childéric, son second fils, monter sur le trône d'Austrasie, sous la tutelle de Wulfoald.
La reine ne manque pas de conseillers ecclésiastiques :
L'évêque de Rouen Saint Ouen,
L'évêque de Noyon Saint Éloi,
L'évêque de Paris Chrodobert
L'abbé Genès.

En 656, Saint-Léger est appelé à la cour de Neustrie par Bathilde d'Ascanie pour aider à l'éducation des enfants royaux.

Elle veille donc au respect des règles dans le clergé, et favorise l’Église en relevant des monastères et en en fondant de nouveaux. Elle évite les conflits, veille à l’application de la justice, et envoie des missionnaires en Allemagne.
Bathilde fait interdire la vente d’esclaves chrétiens sur les marchés extérieurs. La reine rachète beaucoup de captifs. De plus, elle libère de nombreux chefs de famille emprisonnés à cause de dettes fiscales, en dénonçant le principe de l'impôt payé en fonction du nombre de personnes au foyer, ce qui a parfois pour conséquence qu'on laisse mourir les nouveaux-nés. Enfin, elle combat la simonie dans le clergé.
Elle fonde 2 monastères royaux :
Abbaye de Corbie (moines, entre 657 et 661)
Abbaye de Chelles (moniales, entre 657 et 660).
De nombreux établissements religieux sont également soutenus par la reine:
Abbayes royales de Saint-Denis - de Saint-Martin de Tours - de Jumièges - de Saint-Wandrille - de Fontenelle - de Luxeuil - de Jouarre - de Saint-Benoît-sur-Loire
Basiliques de Saint-Germain d'Auxerre - de Saint-Médard de Soisson - de Saint-Aignan d'Orléans

Vers 660 un événement fâcheux l’engage à abandonner le gouvernement quelque temps après. A la mort du dernier évêque d’Autun, deux compétiteurs se sont disputé le siège épiscopal, et ont poussé leurs débats jusqu’à se défier en duel : L'un tue l’autre, le second est exilé et ce scandale, qui a divisé la ville, demande une main ferme et prudente pour être réparé. Bathilde juge que Léodgar est le seul capable de ramener la paix elle lui fait accepter le siège d’Autun en 661.
La confiance qu’elle a n'est pas trompée. Léodgar adoucit les esprits, affermit les peuples dans la piété, donne l’exemple de la vertu, mais la difficulté même de la position exige sa présence à Autun et son éloignement de la cour.
La reine, qui lui a adjoint dans le conseil Sigebrand, évêque de Paris, espère encore contenir le génie d’Ébroïn. Mais les artifices secrets du maire sont près de porter leur fruit. Sigebrand, dont la calomnie a voulu flétrir le caractère, n’a d’autre tort que celui de manquer de discrétion et de modestie.
Il est fier de la confiance royale, et connaît le mauvais vouloir du maire : Il offense par sa vanité la susceptibilité des leudes, et par ses imprudences il donne prise à la malignité de leurs discours.

Ébroïn sait se servir de leur jalousie pour se défaire de son rival. Un jour que l’évêque vient de quitter la cour pour se rendre dans son évêché de Paris, la reine voit tout à coup entrer chez elle des hommes couverts de sang. Ce sont les principaux de ses leudes. Ces hommes insolents lui disent : « Ne reconnais-tu pas ce sang ? C’est celui de l’évêque Sigebrand, dont les conseils te séduisent, toi-même, ô reine ! qu’as-tu à faire ici ? Ne peux-tu laisser le roi à la garde de ses leudes, et le palais n’est-il pas suffisamment gouverné par le maire Ébroïn ? »...

L’audace de ce crime imprime dans le cœur de la reine une horreur si profonde, elle a si peu mérité cet outrage, qu’elle se sent offensée dans ses sentiments les plus secrets. Elle reconnaît l’influence d’Ébroïn ; elle ne croit pas devoir soutenir la lutte, elle aime mieux abandonner le pouvoir dans lequel elle n’a jamais vu que l’accomplissement de ses devoirs comme épouse, comme reine et comme mère, déjà quand elle a nommé Léodgar à l’évêché d’Autun, c’était en partie pour le soustraire aux menées d’Ébroïn, et pour ne pas laisser plus longtemps en présence l’un de l’autre deux hommes opposés de sentiments et tous deux incapables de céder : L’un, parce qu’il a l’audace du crime, l’autre, parce qu’il porte dans ses censures l’inflexibilité d’une vertu rigide.
Le meurtre de Sigebrand apprend à la reine que son autorité sera désormais impuissante pour protéger ses amis.

Elle quitte la grandeur avec joie, car bien souvent, au milieu des ennuis que lui donne le soin de déjouer les complots d’Ébroïn, elle s’est promis que dès qu’elle le pourra, elle descendra du trône et consacrera tous ses jours à la piété.
Elle laisse le royaume à son maire en 664, et en Bourgogne, dans une jolie vallée, où la reine Clotilde avait autrefois fondé le monastère de Chelles (transformé par Bathilde en abbaye royale et doté d’une basilique en 662), elle va prendre le voile et vivre comme la plus humble des religieuses.

Curieusement, la Vie de Saint Wilfrid d'York, du moine Anglo-Saxon Eddius Stephanus, donne de Bathilde une tout autre image : Le jeune Wilfrid est dit être resté pendant 3 ans se former auprès de « Dalfinus », évêque de Lyon, qui veut faire de lui son héritier, mais la reine Balthide, nouvelle Jézabel, fait à cette époque exécuter 9 évêques, dont Dalfinus, Wilfrid doit s'enfuir (« Nam illo tempore malivola regina nomine Baldhild Ecclesiam Domini persecuta est : sicut impiissima regina Gezabel prophetas Dei occidit, ita ista [...] novem episcopos occidere jussit, ex quibus unus est iste Dalfinus »).

Ce « Dalfinus » n'est sûrement autre que Saint Ennemond, qui est exécuté vers 658, donc sous la régence de Bathilde. Cette histoire est reprise par Bède le Vénérable (Histoire ecclésiastique du peuple Anglais, V, 19), qui précise d'ailleurs que l'évêque Dalfinus est décapité, et qui incrimine aussi nommément Bathilde (« Namque Baldhild regina missis militibus episcopum jussit interfici »).
Cependant, il est peu probable qu'une reine qui ayant fait exécuter plusieurs évêques soit canonisée, les historiens modernes incriminent plutôt le maire du palais Ébroïn, connu pour ses violences...

La dernière intervention politique de la reine est mentionnée dans une charte de l'évêque d'Amiens Berthefrid datée de 664, au sujet de l'abbaye de Corbie.
La Vita Bathildis ne précise pas la raison pour laquelle la reine quitte le pouvoir. La situation autour d'elle devenant de plus en plus violente.
Vers 665, l’évêque de Paris Sigebrand (Sigobrandus), l'un de ses conseillers, est assassiné.
Aussi se retire-t-elle dans le monastère de Chelles fondé par elle auparavant, en dépit de sa volonté.
La sœur Bathilde y passe ses dernières années, en tant qu'humble religieuse servant l'abbesse Bertille, d'autres sœurs, les hôtes et notamment les pauvres.

Ayant contracté une grave maladie, elle y meurt le 30 janvier 681, vers l'âge de 50 ans, et est inhumée dans un mausolée placé au fond de l'abside orientale de l'église de la Sainte-Croix près de l'abbaye de Chelles.
« Post præclara omnium virtutum opera, usque ad evangelicam perfectionem voluntarie se sancto proposito subdidit, ut vera Dei famula sub sancta religione beatam vitam feliciter consummavit. (au terme de ses actes glorieux dans le siècle, elle a recherché la perfection évangélique, et telle une servante de Dieu a achevé sa vie en moniale). » Antienne du Benedictus de l'office auprès de l'ancienne abbaye de Chelles

Comme Radegonde, Bathilde est canonisée comme cette reine, elle finit dans un monastère une vie commencée dans la captivité, et dont une partie s’écoule sur le trône, mais une grande nuance marque le caractère de ces deux femmes. Sainte Radegonde, d’une âme ferme et d’un génie élevé, tourne toute son énergie vers les moyens de quitter le trône, et ne déploie ses rares talents que dans le gouvernement de son monastère. Sainte Bathilde, douée des vertus les plus douces, et qui semble ne vivre que pour la modestie et l’humilité, est appelée à gouverner et ne s’ensevelit dans le cloître que pour échapper aux embarras du pouvoir.

Cette Sainte Reine Mérovingienne est entourée d'un culte par les premiers membres de la maison Carolingienne. D'abord, certaines princesses deviennent abbesses de l'abbaye de Chelles fondée par elle. Surtout, le monastère accueille Gisèle, la sœur de Charlemagne. Ensuite, la translation de ses ossements vers une nouvelle chapelle, en tant que reliques, est effectuée le 17 mars 833 en présence de l'évêque de Paris.
Enfin, la célébration définitive du 30 janvier, déjà mentionnée en 822 par l'abbé de Corbie, ainsi que celle du 17 mars, la fête de la translation, sont établies sous le règne de Louis le Pieux.
Une particularité de l'office à Chelles est ses répons avec lesquels sont célébrée la vie de cette sainte selon la Vita Bathildis, par exemple « elle qui a fui le mariage avec un prince, épouse, par la volonté de Dieu, un roi pour le salut du peuple ».

Bathilde est canonisée définitivement au XIe siècle par le pape Nicolas II.
Au regard des antiennes de la fête de Sainte Bathilde, le 30 janvier, l'abbaye Saint-Pierre de Solesmes adopte deux antiennes dans le tome V de l'Antiphonale monasticum sorti en 2008, la première édition critique du chant grégorien. D'une part, il s'agit d'un autre texte pour le Benedictus. D'autre part, une antienne pour l'hymne Magnificat des vêpres...

Désagréable surprise, jeudi dernier 9 juin, pour les fidèles de l’église Sainte-Bathilde, qui ont trouvé les restes de deux statues vandalisées, retrouvées dans le jardin qui se trouve derrière le lieu de culte. La première est une statue représentant Sainte-Bathilde sur laquelle a été retrouvée du liquide inflammable ainsi que des traces de combustion.
Une autre statue, de Sainte-Thérèse, a été cassée en plusieurs morceaux et est également roussie en divers endroits.
Ces actes, qui se seraient déroulés vers 13 heures, étaient accompagnés d’une grande banderole à l’écriture confuse, accrochée à l’intérieur de l’édifice moderne. Le message s’inspirait vaguement d’un précepte de l’Ancien Testament selon lequel il est interdit de représenter Dieu. Son auteur a probablement voulu dénoncer la « vénération des idoles ». Il a signé « Amen ».
Philippe de Kergorlay, le curé de Chelles, s’est rapidement exprimé sur le sujet pour rassurer ses ouailles. « Nous ne nous laisserons pas intimider par des délinquants. Il n’est pas question de restreindre notre liberté de culte », a ainsi déclaré l’homme de foi, qui a également rappelé qu’à « travers le culte des images, c’est la reconnaissance de l’Incarnation du Fils unique de Dieu qui est affirmée ».
Au commissariat de Chelles, chargé de l’enquête, on pense qu’il s’agit là « d’un acte isolé commis par un déséquilibré » plutôt que le début d’une campagne de vandalisme antichrétien. (réaction policière très politiquement correcte mais si peu vraisemblable !)


Bathilde — Wikipédia

https://fr.wikipedia.org/wiki/Bathilde
Sainte Bathilde, Reine de France, statue en pied (1848), Jardin du ... Dans la Vie de sainte Baltelt roine du XIIIe siècle, on passe à l'idée d'un lignage royal, ...
Sources - ‎Débuts - ‎Régence - ‎Moniale

Sainte Bathilde : une esclave qui devint reine - L'envers de l ...
enviedhistoire.canalblog.com › Reines de Jadis
3 déc. 2006 - Née vers 626, Bathilde est la fille de Sisoigne prince d'Ascainie, seigneur de Saxe. Elle n'est encore qu'une enfant lorsque est capturée par ...

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire