dimanche 26 juillet 2015

EB REMONTANT LE TEMPS...666

20 JUILLET 2015...


Cette page concerne l'année 666 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !

666 REVELATEUR DU MAL OU DU BIEN ?!


Dans le Nouveau testament, le dernier livre de la Bible (chapitre 13, verset 18), Saint-Jean évoque ainsi le « nombre de la bête ». D'après Saint-Jean, « C'est le moment d'avoir du discernement : Celui qui a de l'intelligence, qu'il interprète le chiffre de la bête, car c'est un chiffre d'homme : Et son chiffre est six-cent soixante-six. »

Le symbole 666 a été créé par les premiers chrétiens persécutés par Néron, qui l'identifient au Diable à partir d'une association de chaque lettre de l'alphabet, un multiple de 9 dans l'ordre numérique. C'est ainsi qu'en additionnant les nombres multiples de neuf associés aux lettres du mot « Lucifer » on obtient 666.

Le nombre de la Bête ou chiffre de la Bête est contenu dans l'Apocalypse de Jean, au chapitre 13, verset 18. Ce nombre est « six cent soixante-six » ou, en chiffres arabes, « 666 », quoique quelques manuscrits du IVe siècle comportent le nombre « 616 » ou encore « 665 ». Cette marque (Ap 13:11-18), relevant de la spéculation littéraire chiffrée, commune chez les auteurs d'apocalypses, doit permettre d'identifier la Bête de l'Apocalypse (sans qu'il soit précisé laquelle) dans une symbolique, déjà présente dans le livre de Daniel, qui représente un pouvoir politique. Ce nombre de la Bête a donné lieu par la suite à beaucoup d'interprétations à travers les siècles... 666 est aussi dans la Bible (Ancien testament) le nombre de talents d'or qui revient chaque année au roi Salomon (Livre des rois I 10-14). On appelle hexakosioihexekontahexaphobie la peur du nombre 666.

Les versets 17 et 18, en grec ancien, sont les suivants : « 17 καὶ ἵνα μή τις δύνηται ἀγοράσαι ἢ πωλῆσαι εἰ μὴ ὁ ἔχων τὸ χάραγμα, τὸ ὄνομα τοῦ θηρίου ἢ τὸν ἀριθμὸν τοῦ ὀνόματος αὐτοῦ. 18 ὧδε ἡ σοφία ἐστίν· ὁ ἔχων νοῦν ψηφισάτω τὸν ἀριθμὸν τοῦ θηρίου, ἀριθμὸς γὰρ ἀνθρώπου ἐστίν· καὶ ὁ ἀριθμὸς αὐτοῦ ἑξακόσιοι ἑξήκοντα ἕξ. »
La traduction de la Traduction œcuménique de la Bible donne pour les versets 15 à 18 :
La traduction de Louis Segond, en 1910, est la suivante (13:15-18) 6 :
« Et il lui est donné d’animer l’image de la bête, afin que l’image de la bête parle, et qu’elle fasse que tous ceux qui n’adorent pas l’image de la bête soient tués. Et elle fait que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, reçoivent une marque sur leur main droite ou sur leur front, et que personne ne puisse acheter ni vendre, sans avoir la marque, le nom de la bête ou le nombre de son nom... C’est ici la sagesse. Que celui qui a de l’intelligence calcule le nombre de la bête. Car c’est un nombre d’homme, et son nombre est six cent soixante-six. »
La traduction de la Bible du Semeur donne pour les versets 17-18 : « Et personne ne peut acheter ou vendre sans porter ce signe : Soit le nom de la bête, soit le nombre correspondant à son nom.

Le nombre est écrit de différentes façons suivant les manuscrits. Dans les manuscrits Grecs, le nombre « ἑξακόσιοι ἑξήκοντα ἕξ » est souvent rendu dans la forme numérique « χξς ». Un fragment provenant du site Oxyrhynchus donne, par exemple, une version différente : « 616 », écrit « χις ».

En grec comme en hébreu, chaque lettre a une valeur numérique suivant son rang dans l'alphabet, et le chiffre d'un nom est le total de ses lettres. De nombreux calculs, toujours aléatoires, ont été faits à partir de ce chiffre pour tenter d'en découvrir le sens, proposant plusieurs identifications de la Bête.

L'Apocalypse, composée au Ier siècle sous le règne de Domitien est rédigée
par Jean le visionnaire qui est très tôt identifié par la tradition à l'apôtre et évangéliste Jean bien que la valeur historique de cette tradition soit douteuse. Néanmoins, il semble que ce soit bien le pouvoir impérial que le rédacteur du texte met en cause. Jean le visionnaire traite de cet affrontement en reprenant la forme du livre de Daniel et présente une première bête polymorphe (reprenant l'intégralité du bestiaire présenté par Daniel) qui monte de la mer et représente le pouvoir impérial dans le cadre de la fin de l'histoire. Dans ce cadre, le suicide de Néron est clairement évoqué quand la bête a la gorge coupée. L'évocation, de l'empereur est renforcée par le nombre 666 qui révèle, suivant la guématrie en hébreu ou l'isopséphisme en grec, le nom de César-Néron, dans un nombre qui, par opposition au chiffre symbolisant la perfection, symbolise l'imperfection suprême.

La seconde bête qui vient bientôt agir pour le compte de la première symbolise l'entourage de Néron, peut-être, ainsi que le propose Marie-Françoise Baslez... Un astrologue de Néron,Tibérius Claudius Balbillius, qui a possiblement été en contact avec des chrétiens à Rome et qui peut incarner le faux prophète et le thaumaturge évoqué le texte.

L'auteur de l'Apocalypse évoque bel et bien Néron (qui ne doit pas être réduit à l'image d'histrion véhiculé par sa légende romaine) dont le retour, suivant les oracles sibyllins évoquant un Néron redivivus, est annonciateur de la guerre eschatologique qui précède l'établissement de la paix universelle. La plupart des spécialistes s'accordent sur ce point...

Selon l'encyclopédie Pauly-Wissowa, de 1918, le procédé de l'isopséphie « réduite » (ou du nombre pythmèn) est bien connu à l'époque de la rédaction de l'Apocalypse : Les trois noms Néron Claude Auguste (ΝΕΡΩΝ ΚΛΑΥΔΙΟΣ ΣΕΒΑΣΤΟΣ), abondamment attestés par la numismatique de l'empereur, ont la valeur 666 sur la base suivante: ΝΕΡΩΝ = 1005 = 6, ΚΛΑΥΔΙΟΣ = 735 = 6, ΣΕΒΑΣΤΟΣ = 978 = 6.

On a remarqué en outre que d'autres noms ou titres de l'empereur ont cette valeur en grec : ΑΥΓΟΥΣΤΟΣ (1644 = 6), transcription grecque du titre latin Augustus (en grec normalement sebastos), ΛΕΥΚΙΟΣ (735 = 6) et ΔΟΜΕΤΙΟΣ (699 = 6), forme grecque de ses deux noms avant son accession au trône impérial. Suétone, au chapitre 39 de sa Vie de Néron, rappelle précisément qu'il est l'objet de nombreuses moqueries, où l'on retrouve dans un cas au moins, le procédé isopséphique (L'isopséphie repose sur le principe selon lequel les nombres, dans certaines langues, sont exprimés par des lettres ): « Au milieu de ces désastres, ce qui étonne, ce qu'on ne sait trop remarquer, c'est que Néron ne supporte rien avec plus de patience que les satires et les injures, et que jamais il ne montre plus de douceur qu'envers ceux qui le déchirent dans leurs discours ou dans leurs vers.

On affiche ou on répand contre lui beaucoup d'épigrammes grecques et latines telles que celles-ci
[…] Neron idian metera apekteine. »

Les spéculations sur le « fameux chiffre de la Bête : 666… ou 616 d'après une lecture moins sûre » relèvent pour André-Marie Gerard d'une « gématrie familière aux Gréco-Latins comme aux Juifs » en permettant de voir dans les chiffres 666 ou 616, selon que l'on passe par l'hébreu, le grec ou le latin, les mots « César-Néron », « César divinisé » mais aussi « les initiales latines de Domitien César, et l'indication en chiffres romains de la dernière année du règne de cet empereur : la seizième », autrement dit la date probable de la rédaction définitive de l'Apocalypse.

Lors des guerres de religion, catholiques et protestants utilisent le nombre de la Bête, les uns comme les autres, pour s'accuser mutuellement d'incarner l'Antéchrist. Un certain Petrus Bungus, catholique, s'efforce de démontrer que 666 est synonyme de Luther selon l'alphabet numéral latin : LVTHERNVC = 30 + 200 + 100 + 8 + 5 + 80 + 40 + 200 + 3 = 666. En sens inverse, les Réformés assimilent le pape, c'est-à-dire le « vicaire du Fils de Dieu » (Vicarius Filii Dei), au nombre de la Bête, selon le calcul suivant : VICarIUs fILII DeI = 5 + 1 + 100 + 1 + 5 + 1 + 50 + 1 + 1 + 500 + 1 = 666.

Au Moyen Âge, Mahomet est identifié à l'Antéchrist par des chrétiens, notamment par le pape Innocent III. Comme son nom peut se dire « Maometis » ou « Moametis » en grec, le calcul est le suivant : MAOMETIS = 40 + 1 + 70 + 40 + 5 + 300 + 10 + 200 = 666. Cette interprétation a cours au moins jusqu'au XIXe siècle. ( à voir comme ce conduisent certains bandits se réclamant de lui on pourrait croire qu'il y ait quelque concordances)

Irénée de Lyon
Dans la seconde moitié du IIe siècle, dans son traité Contre les hérésies, le millénariste Irénée de Lyon, qui professe une autorité absolue des Écritures, évoque le chiffre de la bête à plusieurs reprises dans son livre V, Ch. 29, 2. Irénée a connu dans certains manuscrits la variante 616. Mais il en parle avec blâme, disant qu'elle est minoritaire, qu'elle ne remonte pas à Jean l'évangéliste et que c'est probablement une erreur de scribe. 616 et le traité De Monogramma Christi.

On considère parfois que le chiffre 616 évoque le nom de César-Dieu, selon l'équivalence des lettres grecques. C'est sans compter sur le traité De Monogramma Christi attribué à Jérôme de Stridon : Dans cet opuscule, six cent seize (616, écrit χιϛ) est le nom usurpé par l'Antéchrist du verset 18 dans le chapitre 13 de l'Apocalypse (usurpat). Par isopséphie réduite, 616 donne 13 et 13 est le chiffre du Dieu Un (hébreu אחד), que l'on retrouve dans l'épigraphie (grecque) chrétienne sous la forme ΧΜΓ (643, équivalant à 13 par isopséphie réduite), le ח hébreu ayant la forme approximative d'un Μ en palmyrénien (écriture araméenne de Palmyre). Ce sigle est parfois lu comme un acrostiche pour Christ Michaël Gabriel, mais l'hypothèse de son équivalence avec le terme hébreu repose sur une attestation assez explicite. Il est possible que cette équivalence explique la variante 616 au lieu de 666 dans la tradition manuscrite du passage 13, 18 de l'Apocalypse.

Le chiffre de la bête sur la quatrième pièce de la tenture de l'Apocalypse exposée à Angers. IVe Tenture de l'Apocalypse représentant le nombre 666, est une tapisserie médiévale représentant l'Apocalypse de Jean réalisée à la fin du XIVe siècle.
Du fait de l'intérêt qu'il suscite, des coïncidences mathématiques impliquant le nombre de la bête ont été mises en évidence. On peut par exemple citer :
Ce nombre a servi à beaucoup d'interprétations fantaisistes, permettant de suggérer à volonté qu'il désigne Napoléon Bonaparte, démonstration que Tolstoï parodie dans son ouvrage Guerre et Paix, ou toute autre personne sur laquelle on désire jeter le discrédit.

Rien à voir avec je ne sais quelle prophétie Maya, ou des élucubrations d'illuminés. Au point qu'aux États-Unis, ces 3 chiffres 666 inscrits sur un CD peuvent suffire à le faire interdire à la vente par certaines chaînes de supermarchés. Pour comprendre,  remontons à la source : La Bible. Précisément à l'Apocalypse, selon Saint Jean. Chapitre 13, verset 18 : « Que celui qui a de l'intelligence calcule le nombre de la bête. Car c'est un nombre d'homme, et son nombre est six cent soixante-six. »

C'est au mois de juillet 1999, que certains ont eu la révélation du 666 de l'Apocalypse avec la langue française.
Qui a pensé des années auparavant ? Que la Gématrie, une science kabbalistique ancestrale et oubliée ait pu un jour renaître de ses cendres ? et en notre nouveau millenium ? à l'ère de l'an 2000 ? une science qui n'a plus rien à nous dire, disait-on dans les hautes sphères kabbalistiques ! Mais grâce à ses concordances alpha numérales des plus extraordinaire ?

Comme :
L U C I F E R 108+ 189+ 27+ 81+ 54+ 45+ 162  = 666
J E S US 90+ 45+ 171+ 189+ 171 = 666
La Gématrie nous revient à la veille de ce 3e millénaire (1999) et certes ses supports préférés sont l'informatique et l'internet.
Si vous ne connaissez pas son histoire depuis 1999 à aujourd'hui alors tenez bon la rampe .. Dans le monde croyant on s'en interroge et le commun des mortels se demande ce que ce calcul alphanuméral tente « bien que mal » de nous dire.(?) 

La table de 9, est en multiple de 9.
A=9, B=18, C= 27, jusqu'à Z = 234.
Soit, de 9 en 9.
La Table de 9:
6+6+6=18  1+8=9
Quel est l'origine du nombre 666? D'où vient il? 
Le fameux 666 dont il s'agit de « calculer » et d'en découvrir le mystère figure dans les versets de l’Apocalypse de Saint Jean, c'est le dernier Livre de la Bible. Livre inspiré de la Divinité. [Apocalypse. « C’est la révélation de ce qui est caché » en Grec.] 

Le prophète de l’Apocalypse, s’est installé en Grèce dans la petite île de Patmos, après y avoir été emprisonné par les Romains, il y rédige ses textes avec son disciple Prophore vers l'an 95 de notre ère. 

Dans ce verset, le 666 écrit en toute lettre a un calcul caché qui doit nous servir à identifier et à faire parler l’esprit de « la bête ». Une bête antique, une bête dont le serpent de la Genèse s'est servit pour posséder tous les pouvoirs sur l'homme et le monde. 
En somme, le dernier Livre du Livre de la Bible, rejoint celui du début : La Genèse, nous verrons cela bien plus loin... si ça vous dit.
« Car c'est un nombre d'homme...»
Beaucoup d’idées toutes faites ont finies par déformer l’esprit kabbalistique du « véritable » 666.
Certains le voient sur une plaque d’immatriculation, dans une date de naissance, ou à être tatoué sur le front, sur le crâne... Eloignons-nous s'il vous plaît de ces fantaisies Hollywoodiennes ! « Ces transformations » et « manipulations » ont faussées le sens du message. Le nombre est devenu maléfique, c'est un nombre déchu, et lorsqu'il nous apparaît, les dits plus avertis prétendent que le diable veut nous jouer un mauvais tour, nous donner des coups. Que de superstitions... totalement infondées, avec tout cela on doute que ce fameux 666 vienne bien de textes sacrés. 
(coups = 666 = tour) Avec la Table de 9

Le 666 est un nombre qui appartient à « l'univers mystique » et ce système de choses et ses démons ne veulent pas que l'homme connaisse son mystère, il y a un combat contre sa véritable essence. Le plus souvent les chrétiens exaltent ce nombre en le représentant comme foncièrement mauvais, paradoxe d'aujourd'hui, on s'en sert même pour dénoncer l'église catholique en l'attaquant à coup de six cent soixante six ...
« Que celui qui n'a jamais péché lui jette la première pierre ...  ». 
Le six cent soixante six, que beaucoup ont transformé en six, six, six, possède un caractère plus subtil.
Pour démasquer le 666, il nous faut  donc « le calculer ». 
La Gématrie a naturellement établie certaines relations dans le passé avec ce nombre, comme vous allez le voir, et la gématrie fonctionne, mais sait on pourquoi ? 
Le nombre 666, dit Saint Jean, « est un nombre d’homme ». 
Il est au singulier. Pourquoi ? Saint Jean le décrit ainsi pour signifier qu'il ne s'agit pas d’une quantité de personnes, mais d’un nombre qui est attribué à l’homme lui-même, à son lien qu'il a avec la bête. 

Nombre d'homme ou Marque du diable
G U E R R E
63+ 189+ 45+ 162+ 162+ 45 = 666
D E S I R S
36+45+171+81+162+171 = 666
E N V I E S
45+126+198+81+45+171 = 666
La Gématrie est un outil de décodage indispensable pour apporter les preuves nécessaires et montrer que notre parler français est doué de l'esprit, c'est un langage de révélations.
La Gématrie peut devenir de la véritable magie, c'est croyez moi une science plus évoluée que celles des hommes, sans réellement faire partie des sciences mathématiques, elle apporte mystérieusement des réponses par les nombres et les lettres. Que serions nous dans notre monde sans lettres et nombres ? 
Il y a dans les mythes des mystères concernant le langage, Dieu est maître du langage, c'est lui qui donne cette faculté et c'est même rapporté dans l’Écriture biblique, il y est dit également qu'à l'origine des temps grâce au parler Unique et Originel, l'homme en avait acquit des connaissances particulières, langage qui a été donné au premier homme en guise de manuel de vie.
Revenons en à la Gématrie.
Elle eût une renaissance au moyen-Âge, les mystiques juifs ou non, pratiquent la guématriah. 
D'où vient la Gématrie ?
Nous connaissons les lettres numérales, nous retrouvons cela dans le grec ancien et le latin où C, D, I, L, M, O, V, et X sont donc également des chiffres.
Le langage hébraïque, ne contient pas de signes distinctifs pour représenter les chiffres comme en occident, ils le sont par les 22 lettres de l’alphabet qui représentent les valeurs numérales. Que les juifs ont adoptés vers l'an 140 av J.C.
Un alphabet qui ne comporte pas de voyelle. Pratiquer la guématriah, pour le kabbaliste Judéo-chrétien, c'est donner un sens (Kabbalistique) aux mots et principalement aux textes Bibliques.
Car pour le kabbaliste, la bible est codée. Il y a une corrélation en guématriah qui apparaît dans la Genèse
 ( le 318 et Eliézer - Chap. XIV /Gen. La Bible) (Un texte supprimé par les copistes)

Au chapitre XIV, le texte à la fin du verset, nous apprend que Loth a été capturé  par un roi ennemi et qu'un rescapé en informe Abraham, qui entreprend de le libérer en réunissant « 318 guerriers nés de sa maison » et c'est la victoire !.
Au chapitre XV/2 le texte à la fin du verset n'offrant pas, disent les traducteurs de sens satisfaisant, ils ont préféré le supprimer. Dans ce verset Abraham, explique à son Dieu, qu'il a pour héritier de sa maison Eliéser. (« et le fils … de ma maison c'est damas Eliéser ») Ce nom « d'Eliéser » n'apparaît qu'une seule fois et par une précision étonnante sa valeur numérique est de 318.
Il va sans dire que beaucoup ont tenter d'expliquer ce phénomène divin. La Gématrie est une science (qui est tenue pour oubliée pendant des siècles) qui certes ressemble par sa pratique, à l’Arithmologie, appelée communément : La numérologie, que la tradition attribue à Pythagore. Le créateur des sciences mathématiques. 
Pythagore enseignait que les nombres sont les éléments de toutes choses, ainsi que notre monde n’est qu’arithmétique. 
Il est donc arrivé à la conclusion que l’univers, est régit par les nombres, qui en sont le principe, l’essence et la racine invisible de toutes choses.  Mais la Gématrie à la différence de la numérologie étudie les lettres et les nombres pour les lier aux mystères divins. 
Alors que la numérologie est l’étude de thèmes personnels par les chiffres.  La numérologie est une parente pauvre de la Gématrie. Le mot Gématrie, vient du grec, c’est une altération de  géometria – géométrie.

La définition exacte du mot Gématrie et son étymologie est inscrit en premier sur le site gématrie.online.fr en juillet 1999 et la même définition est adopté quelques années plus tard par le dictionnaire Larousse. Certains l’ont traduit en français, à partir du mot hébraïque,  par « Guématrie », mais l’orthographe
exact de ce mot est bien « Gématrie ». Il faut savoir qu’il est orthographié de cette façon, dans pratiquement toutes les bibles commentées, en rapport avec le verset « du 666 » de Saint Jean, en 13/18 dans son Apocalypse.

La pratique de la Gématrie a pour but de convertir un mot en un nombre comme vous l'avez vu. Elle donne à un mot une équivalence numérale et pour cela la Gématrie se sert de tables alphanumérales, où chaque lettre de l'alphabet est égale à un chiffre, à un nombre. 
Simple non ? Presque un jeu.. spirituel, plus, un exercice ésotérique, qui vous donne ou redonne goût à la vérité. 
Le kabbaliste le sait aujourd'hui, c'est la révélation de notre 3e millenium. Depuis l'an 2000 on en reparle, grâce à Gématrie.online, sa pratique à commencée en été 1999 avec des programmes en ligne, c'est plus facile de faire de la Gématrie avec son PC, qu'avec sa calculatrice... Et donc il est normal que nous ayons beaucoup plus d'avance sur les gémâtres du Moyen-Âge. C'est un signe immense, la Gématrie se doit d'avoir une renaissance dès l'apparition d'Internet. 
La Gématrie s'est offerte au monde de l'occident et cela avec la langue Française, mais on constate par la suite, si vous vous y intéressez un peu, nous avons des règles simples et efficaces à observer pour voir les secrets de la solution. L'Alpha et l'Oméga. Pour le Gémâtre de confession judaïque faisant de la kabbalah il se doit lui, de pratiquer sa science divine sous conditions de respecter scrupuleusement certaines règles, de se vouer à la septième voie et ainsi à terme de cette quête trouver le véritable nom de Dieu. Ainsi la Guématriah, sixième voie de la Kabbalah mène au nom caché de Dieu. Cela selon l'ancestrale tradition. Ainsi le Gémâtre et kabbaliste « français »
n'échappe pas à cette dernière règle, il nous faut le Vrai Nom de Dieu, mais là attention !! Faut il avoir le don. 

L'antique guématriah est dans un autre siècle en quête du nom de Dieu.
Le kabbaliste pouvant se lier avec le Grand Esprit de l'univers utilise la guématriah.
Cette sixième voie de la kabbalah étudie ce qui se trouve être de l’Écriture Biblique et du talmud.
Une science considérée comme exégète pour le kabbaliste judaïque, pratiquant la kabbalah. 
Afin de former une explication et des commentaires sur la tradition. La Gématrie est par conséquent une voie Kabbalistique, il ne peut y avoir de Gématrie sans Kabbale.
Personne ne peut prétendre aujourd'hui que la Gématrie ne peut pas être pratiquée avec plusieurs langages. 
C'est ce qui intrigue énormément la classe judaïque et cela depuis 1999. On ne sait d'où il on pris cela;, mais les Kabbalistes pratiquant aujourd'hui la Guématriah judaïque disent dans leurs récents ouvrages qu'il y a 72 langages liés à la Gématrie, paradoxalement ils expriment qu'il n'y a qu'une seule et unique Kabbalah, celle des juifs, des hébreux.

Comme le romain, le grec et le latin, l'hébreu à l'origine possède une table unique par le fait que chacune des 22 lettres de son alphabet a une équivalence chiffrée. En langage hébraïque les lettres sont aussi des chiffres et des nombres, alors que pour l'alphabet occidental, il en est tout autrement, nos chiffres sont totalement à part de notre alphabet. 
Le commun des mortels s'adonnant à la Gématrie doit savoir que ses résultats obtenus auront toujours une explication kabbalistique et qu'il ne faut pas s'aventurer dans la Gématrie à la légère. Il nous faut avant tout nous servir de la Gématrie pour obtenir des réponses sur le mythe et la connaissance cachée. Gémâtres et kabbalistes ne sont pas dissociables.

La Gématrie date de l’antiquité et c’est à partir du premier siècle après J.C. que les Chrétiens commencent à l’utiliser, elle se montre efficace pour identifier les démons de ce monde.
Ce qui semble probable puisque qu’en pratiquant la Gématrie, nous obtenions « le chiffre de la bête » en le liant au nom de Néron, mais en rapport aux valeurs numériques de l’Hébreu, en utilisant uniquement les consonnes de « César Néron » soit :  Si l’on prend la « forme Latine » nous obtenons comme résultat le nombre 616. Mais l'on sait aujourd'hui qu'il est impossible que ce personnage est un quelconque rapport avec la mystique du nombre six cent soixante six, Néron étant mort prêt de 50 ans avant la rédaction des textes de l’apocalypse.
C’est surtout à cause de cela que l’on a cru pendant longtemps qu’il était associé
au nom d’un « anti-christ » ou d'un empereur Romain parce qu’un « anti-christ » est pour le chrétien, principalement « une autorité » qui nie que Jésus est « le fils de Dieu ».
L’autorité Romaine est donc toute désignée puisque Rome est aux temps de la rédaction de l’apocalypse, l’une des nations les plus puissantes et représente l’ennemi juré des chrétiens. 
Les Chrétiens en date des temps où le texte de Saint Jean a été rédigé ont donc employés la Gématrie pour tenter de déchiffrer ce fameux 666, inscrit dans le livre de l’Apocalypse.
Ils savent que Saint Jean de Zébédée appelle à pratiquer cette science pour que l’on puisse par son calcul identifier « la bête ».
Les premiers Gémâtres-Chrétiens, ont commencé à appliquer le nombre 666 en le reliant aux Romains et à leurs dictateurs. L’un des résultats le plus significatif est celui où l’addition des 6 premiers chiffres Romains, donnent exactement : 666.
Certains peuvent prétendent que ma table de 9 avec LUCIFER = 666  n’exalte qu’une coïncidence face au chiffre du diable, au nombre d'homme.

Si nous conservons les résultats en Gématrie avec les 6 chiffres romains.
En suivant ce principe avec la table de 9 et en conservant, non pas leurs valeurs numériques, mais leur correspondances en lettres de l'alphabet, le résultat donne également 666. 

De la Gématrie venue tout droit de l’antiquité en liaison directe avec notre millénaire « tout neuf » !
N'est-ce pas un miracle de chiffres et de lettres ? Comment le hasard a-t-il fait pour que nous obtenions une telle équivalence entre nos lettres et celles de la Rome antique, aux temps où les chrétiens sont martyrisés? Le hasard existe-t-il vraiment ? En êtes-vous certain ?
Les gémâtres de l'antiquité donne leur héritage, remettent le « flambeau », l'épée qui doit nous servir à combattre le diable pour prendre connaissance de ce qu'il nous cache. 
« ce sont des lettres occidentales beaucoup de langages possèdent ces lettres » et d'autres ajouteront « que cela ne montre pas une relation spéciale avec la langue Française ».
Ah .. 
Alors là donc il va falloir user de finesse pour vous montrer quel est le langage dont il faut se servir pour avoir des révélations, pour nous guider à la vérité. Comme on le lit et voit tout au long de cette lecture, c'est le Français qui a la solution.
Le 666 se trouve dans l'Apocalypse et il est dit qu'il faut le calculer avec le don de l'esprit. 

On a une preuve irréfutable, que le 666 elle est lié directement a notre langage.
TAPISSERIE REPRÉSENTANT LE CHIFFRE 666
En prenant la principale phrase du verset où le 666 est mentionné en français, ce verset donne le total exact du nombre 666.  Avec la table en base 1. 
Soit A = 1, B = 2, C = 3, de 1 en 1 jusqu’à Z = 26.

« Car c’est un nombre d’homme et son nombre est six cent soixante six ».[13/18-Apo]
L’addition des 53 lettres de cette phrase donne 666 avec la table de 1.

T R A H I R
180+162+9+72+81+162 = 666
R A P T S
162+9+144+180+171=666
H E R O I N E
72+45+162+135+81+126+45=666
O P I U M
135+144+81+189+117=666
V I A N D E S

189+81+9+126+36+45+171=666

Nombre de la Bête — Wikipédia https://fr.wikipedia.org/wiki/Nombre_de_la_Bête
L'évocation, de l'empereur est renforcée par le nombre 666 qui révèle, suivant .... de Domitien César, et l'indication en chiffres romains de la dernière année du ...
Pourquoi le 666 est-il le chiffre du diable ? | France info
www.franceinfo.fr/.../pourquoi-le-666-est-il-le-chiffre-du-diable-12-09-...
9 déc. 2012 - Au point qu'aux Etats-Unis, ces trois chiffres 666 inscrits sur un CD peuvent suffire à le faire ... Le chiffre de cette Bête, indique l'auteur, est 666.

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