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MARS 2016...
Cette
page concerne l'année 435 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
Le concile d'Éphèse, depuis le scandale qui amène sa convocation jusqu'à la réconciliation officielle d'Alexandrie et d'Antioche, en janvier 433. Afin de mieux comprendre ce qui va suivre, passons brièvement en revue les faits auxquels se trouvent mêlés les Orientaux, depuis leur arrivée à Éphèse jusqu'à leur retour dans leurs diocèses.
Le premier document qui les recense est la Contestation des évêques qui veulent attendre Jean d'Antioche avant de procéder aux débats. 68 signatures sont apposées à cette protestation du 21 juin et on aurait pu en lire autant, selon toute vraisemblance, à la suite de la lettre qu'adresse Nestorius à Théodose pour lui dénoncer les manœuvres de ses adversaires.
Le
26 juin, Jean d'Antioche arrive à Éphèse, accompagné d'un
contingent des siens, Cyrille et Memnon se retrouvent déposés,
leurs partisans excommuniés. Le 1er juillet, par l'intermédiaire de
Palladius, les Orientaux adressent un rapport à Constantinople, sur
la tenue du concile.
La
plus grande partie des documents utilisés dans cet article provient
du Synodicon, plus exactement de la seconde partie de cette
collection... La première partie, on le sait, est un recueil de 76
pièces qu'on retrouve dans les collections grecques du Concile (la
derniière édition est celle de E. Schwartz, 1929), afin d'éviter
toute ambiguïté, les rares emprunts qui sont faits à cette
première partie sont désignés ci-dessous par le sigle C(bilectïo)
T(uroneasis). suivi du numéro de la pièce.
La
seconde partie contient 220 numéros (éd. Schwartz, Acta Cane, œc,
vol. IV, Collectionis Casinensis... 1922-1923) Quinze noms suivent
celui de Nestorius, mais, après le dernier. Le nombre des
signataires est de 53, parmi eux figure Rabbula d'Édesse (mort en
435), ce nom de Rabbula retient l'attention des historien, car le
personnage à joué un rôle important à ce moment là.
Chaque
parti reste sur ses positions et se croit sûr de l'emporter,
l'arrivée des légats Romains ne modifie guère les opinions ou les
effectifs, pas davantage au début d'août, l'arrivée du comte Jean,
porteur des sanctions souveraines contre Cyrille, Memnon et
Nestorius. Devant l'impossibilité de réconcilier, à Éphèse, les
2 camps adverses, l'autorité impériale décide que chacun d'eux
enverra, à Chalcédoine, une délégation, les Orientaux désignent
sept des leurs, dont Jean d'Antioche et Théodoret. Malgré leurs
efforts, les délégués perdent la partie et doivent rentrer,
humiliés, dans leurs diocèses, diminués aussi, par suite de la
défection de Rabbula d'Édesse...
Constantinople
s'adresse au vieil évêque de Bérée, Acace, pour tenter à nouveau
de réconcilier Orientaux et Cyrilliens afin de ramener la paix tant
désirable au sein de la catholicité... Jean d'Antioche demande
alors à Alexandre de Hiérapolis, à Théodoret, à bien d'autres
encore, de venir discuter avec lui concernant les modalités de
l'accord et de fixer la limite des concessions.
Dès
ce jour-là, l'épiscopat oriental se montre divisé sur l'attitude à
observer. Doit-on céder ? Où persévérer ? Union ou schisme ?
Telle est l'alternative qui s'impose dès ce moment, dont les 2
termes vont être, pendant 4 ans, âprement discutés. Finalement, le
sens de l'unité l'emporte.
Dans·
leur réponse à Acace, les évêques ont souligné qu'une seule
formule est à retenir, sur laquelle la discussion peut être
utilement engagée : La foi de Nicée interprétée à la lettre...
Suivent 33 signatures, on n'y trouve point celle de Rabbula, mais il
n'y a pas de certitude dont on puisse tirer argument de cette
abstention ; plus de 20 noms font défaut, parmi lesquels ceux de
Cyrille d'Adana - d'Esychius de Castabale - de Cyrus de Tyr qu'on ne
peut soupçonner d'hésitation dans la résistance aux Cyrilliens.
Après la séance du 17 juillet, on trouve insérée une liste des
Orientaux. La lettre de l'empereur est adressée à un certain
nombre d'évêques de l'un et l'autre parti, probablement les plus
marquants, Rabbula est nommé parmi ces destinataires, 42 évêques
restent à Éphèse et entretiennent, par leur correspondance, le
zèle et la fermeté de la députation.
Cyrille
n'accepte pas de traiter sur ces bases. Reprenant point par point la
lettre qu'on lui adresse, il explique qu'on ne peut laisser dans
l'ombre certains faits, ni s'accommoder de silences ou de réticences
: La foi de Nicée, en effet, et son enseignement traditionnel ont
été corrompus par la doctrine de Nestorius. De cela, on ne peut
faire fi. Quant au reste, aux rancunes personnelles, qu'il n'en soit
plus question... Cette lettre de Saint Cyrille est à retenir et son
importance n'échappe point aux destinataires. Elle fait grand
honneur à celui qui l'a écrite et montre bien que l'ardeur de la
bataille une fois éteinte, l'évêque d'Alexandrie ne songe qu'à
refaire l'union, un moment brisée. Son attitude ne changera plus par
la suite. Des gens de bon sens, Acace de Bérée, Théodoret et Jean
d'Antioche comprennent aussitôt que Cyrille fait des concessions,
C'est pour eux, une preuve évidente de ses bonnes dispositions.
Pour
régler définitivement le conflit, Paul d'Émèse est envoyé à
Alexandrie. Le premier contact est assez pénible et bientôt il faut
constater que les préliminaires de la paix ne sont pas encore
conclusifs. Les propositions qu'apporte Paul d'Émèse sont déclarées
insuffisantes, d'autre part, la présence du tribun Aristolaüs,
chargé par l'empereur de hâter la fin des querelles, ne permet
guère de traîner en longueur la discussion, encore moins d'ajourner
les pourparlers. Et, peu à peu par des moyens détournés, on a
vent, autour d'Antioche et jusqu'en Mésie, des conditions que
doivent accepter Jean d'Antioche et Paul d'Émèse : La
reconnaissance de Maximien comme évêque de Constantinople,
l'acceptation du Théotocos, l'anathème contre les doctrines de
Nestorius.
Les
demandes d'information, et les protestations ne tardent pas à
assaillir Jean d'Antioche, on s'indigne de sa reculade, on s'inquiète
de ses abandons. Et Théodoret qui, jusque-là, s'est employé avec
un zèle admirable à démontrer à ses amis qu'un heureux changement
s'est produit dans les idées de Cyrille, Théodoret se rapproche de
l'opposition.
Le
chef de cette opposition est Alexandre d'Hiérapolis : Pour lui,
Cyrille est un hérétique, un nouvel Apollinaire, il n'y a, dit-il,
qu'à lire ses lettres et son commentaire de l’épître aux Hébreux
pour en être convaincu. Et Alexandre constate avec peine qu'on a
trop largement dépassé le programme naguère concerté à Antioche.
Sur
ce dernier point, Théodoret partage entièrement son avis ; il
repousse, lui aussi, les nouvelles conditions exigées par Cyrille.
Souscrire, en particulier, à la déposition de Nestorius lui paraît,
et lui paraîtra longtemps encore, indigne de son honneur. Si l'on
veut que nous condamnions, explique-t-il, ceux qui professent que le
Christ est simplement un homme, ou ceux qui divisent en deux fils
Notre-Seigneur Jésus-Christ et nient sa divinité, chacun de nous le
fera, sans scrupule aucun, mais si l'on a la prétention de nous voir
condamner, à la légère, un homme dont nous n'étions pas les juges
et dont les opinions sont droites, nous ne pouvons consentir à
pareille impiété...
On
retrouve les mêmes sentiments chez André de Samosate, s'il est
nécessaire de s'entendre sur une nouvelle formule de foi, plus
explicite que Nicée, suggère-t-il, qu'on se rallie à cette que
propose Théodoret, de cette manière, on évitera jusqu'à la menace
du schisme... Et André d'écrire dans ce sens à Alexandre
d'Hiérapolis. C'est, à vrai dire, peine perdue, car Alexandre ne
veut avoir aucun rapport avec ceux qu'il appelle « les hérétiques
» (Cyrille et les· siens). Cyrille est selon lui à éviter, pour
un peu, il aurait mis sur le même pied Jean, désormais qualifié de
traître, et, bien proches de lui, André et Théodoret qui pensent
encore à des rapprochements possibles avec Alexandrie
Théodoret
a assez d'autorité pour répondre à pareil éclat. Aussi
maintient-il que Cyrille a écrit à Acace de Bérée une lettre
irréprochable du point de vue de l'orthodoxie, et qui tranche sur
ses écrits antérieurs.
Non
pas reprend-il aussitôt, que ce soit une raison suffisante pour
s'incliner devant ses prétentions, ni, surtout, pour lui abandonner
Nestorius, néanmoins, il y a là un fait qu'on ne peut regarder
comme négligeable. A l'opiniâtre évêque d'Hiérapolis
s'adressent, de leur côté, les indécis comme Maxime d'Anazarbe,
les ennemis déclarés de toute entente avec Cyrille comme Hellade de
Tarse. Aux uns comme aux autres, la réponse d'Alexandre parvient,
impitoyable : On ne disserte pas avec l’Égypte.
Et
c'est bien en vain que Jean d'Antioche, mis au courant de toute cette
effervescence, essaie de tempérer l'ardeur combative d'Alexandre, en
tentant de lui suggérer, à son tour, que le venin apollinariste a
disparu de la plume de Cyrille, qu'il s'agit, désormais, de faire
l'union, et non point de songer à la vie désertique ou au martyre.
On est au début de l'année 433. La paix a été conclue entre Paul
d'Émèse et Cyrille... Sans attendre le retour du négociateur, Jean
d'Antioche juge bon d'avertir Théodoret de ce qui s'est passé. Il
n'est guère question, dans cette lettre, que des expressions
fâcheuses rejetées maintenant par Cyrille sur le reste, Jean élude
prudemment, en sorte qu'un lecteur moins averti puisse comprendre
qu'Antioche a remporté une victoire. Théodoret n'attend pas les
renseignements complémentaires qui lui sont promis pour répondre à
Jean.
Il
voit venir à lui des modérés comme André de Samosate, lequel,
malgré tout son amour de la paix, ne peut consentir à ce marché de
dupes conclu entre Antioche et Alexandrie, sans égard aux lutteurs
de la veille et aux dépens de la doctrine. Car, en fin de compte,
explique Alexandre, la foi sort amoindrie de ces colloques, par une
conclusion canonique incertaine qui, après tant de controverses, ne
peut servir de ralliement
Mélèce
de Mopsueste n'est pas moins emporté. Les tractations d'Alexandrie
lui ont paru suspectes, il a, maintenant, de bonnes raisons de croire
que les Orientaux ont été joués, puisqu'il tient entre ses mains
la lettre de Cyrille à ses clercs de Constantinople lesquels
s’inquiètent de son revirement, tout cela ne lui fait guère
prévoir la tranquillité. Plus clairement encore qu'auparavant,
Théodoret mesure combien on s'est égaré en ne s'en tenant pas,
fermement, aux délibérations d'Antioche... Le mal est fait, quelle
attitude s'impose désormais ? Il exprime donc à Alexandre son
désir de le rencontrer ainsi qu'André de Samosate soit à
Hiérapolis, soit à Zeugma. Alexandre les convoque l'un et l'autre à
Zeugma. André se réjouit de cette entrevue, au préalable il entend
bien, qu'on ne fera rien contre Nestorius, qu'on ne se lancera pas,
non plus, dans d'inutiles batailles de mots. Théodoret, qui a
rencontré, Alexandre, partage cet avis.
Il
demande à l'évêque de Hiérapolis de ne pas tarder. Dans une autre
lettre à celui-ci, il tente de convaincre que l'on peut maintenir la
communion avec Jean, pourvu que celui-ci demeure ferme dans le rejet
des anathématismes... Proposition ridicule, lui riposte Alexandre.
Les
évêques se rendent à Zeugma, Jean de Germankie se joint à eux,
mais Alexandre ne paraît pas. On est désormais en possession des
lettres de Cyrille dont Jean d'Antioche a promis l'envoi. Elles sont
lues avec attention, et Théodoret ne manque pas avec une loyauté
admirable, de souligner qu'elles offrent, du point de vue doctrinal
entière satisfaction. Mais, pourquoi faut-il que Cyrille, qui donne
ainsi des gages non équivoques de son orthodoxie, semble aussitôt
vouloir prendre sa revanche en demandant aux Orientaux de consentir à
la déposition de Nestorius, et à la condamnation de sa doctrine ?
C'est vraiment leur imposer une trop grande humiliation.
Voilà
ce qu'écrit Théodoret à Jean d'Antioche, il achève sa lettre en
le priant d'user vis-à-vis de l'opiniâtre vieillard d'Hiérapolis
de beaucoup d'indulgence. Le geste est méritoire.
Les
trois évêques font mieux encore : Ils écrivent, chacun séparément,
à Alexandre. leurs lettres sont une fervente supplication à établir
la paix, puisqu' aussi bien la foi est sauve, et de ne pas permettre
(que l'Église reste plus longtemps la risée des impies, des païens
et des Juifs). Alexandre leur réplique d'un ton bourru, demandant
tout simplement qu'on le laisse tranquille à l'avenir, toute lettre
qu'on pourra lui adresser sera désormais sans réponse.
Peu
de temps après, André de Samosate annonce qu'il a repris la
communion, non seulement avec Jean d'Antioche, mais encore avec le
Pape Sixte et Cyrille, avec Maximien de Constantinople, Rabbula
d'Édesse et Acace de Mélitène. Autant vaut, à son avis, être en
rapport avec ceux-là que de frayer avec des Juifs et des hérétiques
comme le fait l'évêque d'Hiérapolis. Jean de Germanicie suit,
bientôt après, son exemple, et deux évêques de la IIe Cilicie se
décident dans le même sens. L'épiscopat de Cappadoce et celui
d'Arménie se montrent, chaque jour, plus hésitants devant la voie à
prendre, il est vrai que des pressions s'exercent pour ramener tout
ce monde à l'unité.
Quant
à Théodoret, pareille attitude lui répugne comme incompatible avec
la dignité que doivent garder des gens qui ont donné leur avis en
connaissance de cause, et qui ne veulent pas changer à tout moment.
Il conseille donc de patienter, bien plus, de ne pas se soustraire à
la persécution qui menace il tient toujours la lettre de Cyrille
pour orthodoxe, mais le prix qu'on entend exiger pour l'union avec
Alexandrie (la condamnation de Nestorius) est inacceptable. Devant
les hésitations des uns, l'entêtement des autres, Hellade de Tarse
pense qu'une réunion des évêques scandalisés par l'attitude de
Jean d'Antioche peut avoir d'heureux résultats, on ne manque pas,
les décisions arrêtées en commun, d'en faire part au vénérable
évêque d'Hiérapolis. La réunion projetée a lieu à Anazarbe : On
y rappelle l'attitude déplorable de Cyrille, le parti sur lequel
s'est tenu l'épiscopat d'Orient.
On
est au printemps de l'année 433. Euthère de Tyane et Hellade de
Tarse prennent le parti de s'adresser au Pape Sixte. Ils le conjurent
de délivrer Israël de l’Égypte, l'Église des anathématismes
qui constituent, pour la doctrine, une menace de corruption; ils
recourent à lui comme au suprême pilote, au juge intègre qui ne
peut refuser un examen scrupuleux des difficultés survenues depuis
les dernières années... Suit un récit des événements qui se sont
déroulés à Éphèse, on y met en évidence le rôle et l'attitude
de Jean et l'on conclut que Nestorius a été condamné, non jugé,
que son seul crime a été de résister aux doctrines cyrilliennes
des anathématismes. Le Pape est instamment prié de faire une
enquête, de rappeler les pasteurs iniquement expulsés, d'arrêter,
en définitive, le cours des maux qui menacent l'Église. L'épiscopat
d'Euphrate, des deux Cilicies, de la IIe Cappadoce, de Bithynie, de
Thessalie et de Mésie, professent, ajoutent les 2 évêques, des
sentiments analogues. La présence des évêques auprès de leur
troupeau étant indispensable dans le moment difficile vécu, la
lettre est remise à une délégation de clercs et de moines. Elle
est soumise à l'agrément de Théodoret et d'Alexandre, et, la
délégation après s'être arrêtée à Mopsueste, prend la route de
l'Occident; nous ignorons la suite de l'itinéraire, et, tout autant
quel accueil fait le Pape aux naïves doléances d'Euthère et
d'Hellade.
Quant
au formulaire de la foi, nous n'admettons pas qu'on ajoute ou qu'on
retranche quoi que ce soit au Symbole de Nicée dans lequel nous
avons été baptisés et vivons. Ce Symbole traditionnel, c'est celui
que nous ont transmis les Pères d'Occident et d'Orient, Damase,
Innocent, Ambroise, Méthode, Cyprien, Alexandre, Athanase,
Théophile, Nectaire, Jean, Atticus, Basile, Grégoire, Amphiloque,
Optimus, Eustathe, Mélèce et Flavien.
Et
après avoir transcrit le texte du Symbole, Jean poursuit : Quant à
nous, voici maintenant 4 années, depuis le retour de Paul d'Émèse,
que nous accomplissons notre tâche, toutes les circonscriptions
relevant d'Antioche ont fait la paix et satisfait aux exigences du
moment. Qu'on cesse donc toutes ces querelles, nous avons des
besognes autrement urgentes à accomplir, ici contre les païens, là
contre les Juifs, ailleurs contre les partisans impénitents de
Nestorius. Quel accueil est ménagé à la réplique de Jean ?
Nous l'ignorons. Pour le moment, du moins, la paix est faite, l'unité
catholique, troublée depuis bientôt 10 ans, rétablie.
Hélas
! comme si l'Orient avait reçu d'un mauvais génie l'amour inné de
la dispute et le goût de la querelle, on doit, sans trop tarder,
reprendre les armes un instant abandonnées. Cette fois, c'est
d'Osrhoène et d'Arménie que l'incendie va se propager.
École théologique de Nisibe — Wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/École_théologique_de_Nisibe
Elle
fut la continuatrice de l'école d'Édesse (dite aussi
école des Perses) après la ... Elle occupe une place importante
dans l'histoire de l'Église de l'Orient. ... de ses
adversaires sous l'épiscopat d'Ibas, évêque d'Édesse de 435 à
sa mort en 457. ... et plusieurs années avant 489 (date de
la fermeture de l'école d'Édesse sur ...
Nestorius.
www.cosmovisions.com/Nestorius.htm
C'était
la coutume des patriarches des Églises orientales de
s'adresser ainsi à l'évêque .... Sur ses instances, jointes à
celles de Cyrille, Nestorius fut transporté (435) dans ... V)
raconte les persécutions qu'il subit, et place la date de sa mort
vers l'année 454. ..
.
Au temps du concile d'Éphèse, Rabulas était évêque d'Édesse.Ibas
d'Édesse — Wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Ibas_d'Édesse
...
navigation, rechercher. Ibas fut évêque
d'Édesse de 435 à 457. ... Rabbula avait
condamné ces ouvrages et en avait fait brûler des
exemplaires. Ibas devenu ...
Termes
manquants : année
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