mardi 22 mars 2016

EN REMONTANT LE TEMPS... 421

15 MARS 2016...

Cette page concerne l'année 421 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !

EXISTENCE CONTROVERSÉE DU ROI CONAN MERIADEC.


Conan Mériadec ou Mériadoc selon la graphie Armoricaine est inconnu de Nennius, d'Orose, de Bède et de Gildas le Sage ainsi que des historiens Francs comme Grégoire de Tours. Il est par contre longuement évoqué par Geoffroy de Monmouth dans son « Historia regum Britanniae » rédigée entre 1135 et 1138 où il est présenté comme le neveu du roi de l'île de Bretagne Octavius qui reçoit le royaume de Bretagne de Maximianus.
Selon Alan J. Raude « Gaufrei de Monmouth en fait un des personnages de sa fiction pseudo-historique Historia Regnum Britanniæ » , ce qui a brouillé sa réalité historique.
Conan apparaît ensuite pour la première fois en Bretagne dans 2 textes dont la datation est malheureusement très controversée : Le Livre des Faits d'Arthur connu par un manuscrit du XVe siècle, utilisé par Pierre Le Baud mais qui a été composé entre 954 et 1012 et le prologue de la Vita Goeznouei c'est-à-dire la vie de Saint Goueznou (1019)
Nous devons maintenant nous intéresser à l'Armorique (la Bretagne), dont l'histoire semble être liée à celle de la Bretagne (la Grande-Bretagne) entre la fin du IVe siècle et tout le long du Ve et VIe siècle. 

Geoffroy de Monmouth dans son Histoire des rois de Bretagne situe l'histoire de Conan Mériadec en 383, lorsqu'il est emmené par Magnus Maximus sur le continent. Ils débarquent en Armorique tenue par le Franc Himbaldus. Ce dernier est tué et la péninsule est conquise.
Magnus Maximus avant d'envahir la gaule et de s'installer à Trèves, attribue en récompense l'Armorique à Conan Mériadec voulant en faire une nouvelle Bretagne, tout en la repeuplant.

Le prestige de Geoffroy de Monmouth est tel que l'historicité douteuse de Conan Mériadec sera réaffirmée pendant des siècles par les historiens Bretons, même si on sait actuellement qu'il n'existe aucune preuve convaincante de l'existence de Conan, et l'on sait par ailleurs que Magnus Maximus débarque en fait vers l'embouchure du Rhin. Il est revendiqué par la noblesse féodale, vers les XIe-XIIe siècles, comme le fondateur du premier royaume Breton Armoricain, qui l'a constitué avec la volonté politique de créer « une seconde Bretagne » et « de la peupler uniquement de Bretons. » Conan Mériadec est d'autant plus pris au sérieux que la puissante famille de Rohan le considère comme son ancêtre direct.
Cette légende est donc à la fois créé pour affirmer les origines spécifiques des Bretons et l'antique généalogie de leurs ducs au Moyen-âge ou des lignages de certaines familles nobles... Pourtant, elle s'inspire d'un contexte qui lui est moins légendaire. Entre les années 370-400, Rome fait appel à des Bretons pour assurer la défense de la Gaule menacée. Nora Chadwick avance l'hypothèse d'une installation Bretonne en Armorique tolérée, sinon encouragée par Rome... La légende de Conan Mériadec, premier roi mythique de la petite Bretagne ou Armorique, puise son origine sur ces événements guerriers
Né en Grande-Bretagne à la fin du IVe siècle, il passe dans les Gaules vers 384, avec son parent, le tyran Maxime, dont il sert les intérêts, devenant duc d'Armorique (dux bellorum, c’est-à-dire chef de guerre) et a gouverné pendant 26 ans, sous la dépendance des Romains, la partie de l'Armorique connue depuis sous le nom de Bretagne.

En 409, les Armoricains, s'étant soulevés, ils ont conféré à Conan l'autorité souveraine qu'il a conservée jusqu'à sa mort en 421 pour la léguer à ses descendants, devenant ainsi princes puis rois et enfin ducs de Bretagne. Selon la légende il prend le titre de roi et a résidé à Nantes.
Suivant Alain Bouchart, historien du XVe siècle, il serait mort en 392 et donc n'aurait pu être fait roi en 409... ???

Une autre version présentée par Breuddwyd Macsen Wledig, un des contes du Mabinogion : Il aurait été chargé par Magnus Maximus de gouverner la Bretagne.

« C'est de Conan Mériadec que datent les invasions successives qui justifient le nom de Bretagne. Ce prince, qui jouit en Grande-Bretagne d'un assez grand crédit, propose, en 382 ou 383, à Maxime, gouverneur de l'île, de l'appuyer dans sa révolte contre l'empereur Gratien, et il lui fournit 10 000 hommes. Vainqueur et maître de plus de la moitié de l'empire d'Occident, Maxime accorde à son allié la souveraineté de la plus grande partie de l'Armorique, souveraineté que Conan sait faire reconnaître par Valentinien II et Théodose, et qu'il rend complètement indépendante sous le faible Honorius.

Dès lors affluent de Grande-Bretagne et d'Irlande en Armorique, non seulement des soldats, des artisans, des cultivateurs, des familles entières, mais encore de saints personnages, évêques, ermites, missionnaires, qui viennent y organiser l'administration ecclésiastique, y établir des monastères, y affirmer parmi les populations la foi chrétienne.
Idunet de Châteaulin - Guénolé de Landévennec - Brieuc de Saint-Brieuc - Pol ou Paul Aurélien de Saint-Pol-de-Léon - Corentin de Quimper - Malo ou Maclou d'Aleth - Samson de Dol - Ronan de Locronan et Saint-Renan - Gunthiern de Quimperlé - Mélanie (vulgairement Sainte Nonne de Dirinon), etc., ont ainsi quitté leur patrie pour le continent, où leurs enseignements et leurs exemples portent tant de fruits que l'Armorique, comme la Blanche Albion et la verte Erin, devient une terre de saints. »

Toujours d'après le récit semi-légendaire, Saint Brec'han (ou Brecan), éponyme de la montagne Brecon Beacons au Pays de Galles et roi de Domnonée, est l'un de ses enfants et Sainte Nonne, patronne de Dirinon (Finistère) sa petite-fille.
Bien que contestée dès le XVIIe siècle par Antoine-Paul Le Gallois, la « légende de Conan » dont la maison de Rohan revendique l'ascendance, leur permettant de défendre leur droit de préséance aux États de Bretagne et même de prétendre à la couronne ducale.
Elle leur permet de plus de se faire reconnaître « princes étrangers » par la cour de France comme descendants des anciens rois de Bretagne.

Au XIXe siècle pour Arthur de La Borderie, Conan Meriadec est aussi une fable qu'il réfute longuement.
Joël Cornette précise : « Il n'existe aucune preuve historique convaincante de l'existence de Conan, et l'on sait par ailleurs que Maxime débarque en fait vers l'embouchure du Rhin ».
Le thème des Bouches du Rhin est basé sur l'indication de l'historien Zosime. Le concept des Bouches du Rhin se développe à partir des propos de Strabon. Ces recoupements ont permis de localiser le lieu de débarquement à l'embouchure de la Somme, et l'identification d'Himbaldus au Vieux-Rouen-sur-Bresle, situé sur la route de la Manche à Paris. (cf. J.Cl. Even)... (entre l'embouchure du Rhin aux Pays-Bas et la Somme en France il y a quelque kilomètres que l'historien à allégrement franchi et qui prouve que les dates et les lieux dans la recherche des dates anciennes est sujette à réflexions et à recherche longues et approfondies.)
Selon Léon Fleuriot, plus nuancé, en 1980 : « Tout ce que l'on peut dire, en guise de conclusion sur Conan Meriadec, est ceci : Des chefs Bretons, en grand nombre, ont suivi Maxime sur le continent. Il n'est pas invraisemblable que l'un d'eux se soit appelé Conan, mais pourra-t-on jamais le prouver ? »
— Fleuriot 1980, p. 123

L'église de la Martyre, autrefois Trêve de Ploudiri, évêque de Léon , est ainsi appelée par corruption, au lieu d'église du martyr, et reconnaît pour patron Saint Salomon, roi de Bretagne et martyr. Ce prince, petit-fils de Conan Mériadec, lui succède vers l'année 421. Attentif à maintenir l'union entre ses sujets et les Romains maîtres encore d'une partie de la Gaule, il cimente leur alliance en épousant la fille d'un patrice nommé Flavius et en renouvelant le traité que son aïeul a fait avec l'empereur Honorius. C'est sous son règne que le chef de l'apôtre Saint Mathieu est transporté dans la Bretagne Armorique par des marchands qui l'ont prise en Égypte.
Salomon reçoit cette précieuse relique comme un don du ciel et la fait déposer avec honneur dans l'église de Léon , d'où elle est ensuite transférée à l'abbaye de Saint Mathieu du Finistère (Loc-Vazè-pen-ar-bet.)

Pour marquer à Dieu sa reconnaissance, Salomon abolit la coutume barbare , venue des Romains, de vendre les enfants de ceux qui ne pouvent payer au fisc les sommes qu'ils doivent pour leurs impôts. Ces malheureux étaient conduits dans un port voisin du Conquet, nommé par cette raison portz Keinvan ( le port des Lamentations), et sont achetés par des étrangers qui viennent faire ce commerce infâme...
Salomon combat avec le même zèle plusieurs abus qui sont produits dans son royaume. Il voit surtout avec peine que les superstitions païennes ne sont abolies

En s'appuyant du témoignage de nos vies légendaires, M. de Courcy n'a pas prétendu leur accorder une créance absolue. Tant de bienfaits auraient dû lui assurer l'affection de ses peuples, il n'en est cependant rien. Sous prétexte de fidélité à leurs vieilles pratiques, des séditieux viennent l'assiéger en 434 dans son château de Castel-ar-Roué, et se portent d'abord au village nommé depuis Ros-Guenel (le tertre de l'appel), parce que c'est de là que les chefs de la révolte ont appelé leurs complices aux armes.
Le château est forcé et le saint roi massacré au lieu où est aujourd'hui posé le grand autel de l'église de la Martyre, en breton : llis ar Merzer Salaun (l'église de Salomon le martyr). La tradition ajoute que la bataille livrée en cette circonstance est si meurtrière, qu'un torrent de sang fait tourner le moulin de Guernevez, qui a depuis gardé le nom de Is-Goad ( la vallée du sang)... Grallon, comte de Cornouailles, qui a accompagné Conan en Armorique, a succédé a Salomon. Il est soupçonné d'avoir trempé dans le meurtre de son prédécesseur. Aussi quand le notable Flavius, patrice de Rome, apprend la façon dont les barons de Bretagne ont occis et mis à mort le bon roy qui a épousé sa fille, il avertit un de ses parent Romain très puissant prince appelé Valentianus.
César Valentianus et Flavius possèdent beaucoup de cités, ports et havres dans les Pouilles et la Calabre, ils arment un grands nombre de galères et navires, et descendent en Bretagne, où ils font plusieurs désolations et ruines. »

L'empereur Valentinien déclare en effet, la guerre à Grallon et envoie en 436 sous le commandement de Litorius pour venger la mort de son allié et châtier ces rebelles, une armée, qui en extermine un grand nombre... Le corps du vertueux roi Salomon est plus tard inhumé avec respect dans le lieu même où il a perdu la vie, on y construit l'église qui porte depuis son nom, et ses reliques y sont toujours vénérées.
Alors est accomplie la prophétie de Merlin : Après succédera Salomon qui, par félonie, sera occis, il subsistera un mont de terre qu'on nommera Merzer-Salaun.

Ogée, dans son Dictionnaire de la Bretagne, prétend que les Templiers ont possédé l'église de la Martyre, on voit, en effet, de chaque côté du portail latéral, la croix orientale ou pattée de l'ordre du Temple, et l’édifice actuel remonte d'ailleurs en grande partie au XII siècle. Nous croyons du moins que la porte de la tour, la tour elle-même et les arcades de la nef jusqu'au chœur, sont de cette époque.

Pierre Le Beau, dans son Histoire de Bretagne : Une partie des prophéties de Merlin ne peut être que historique car cet enchanteur a vécu depuis Salomon Ier.

On connaît une charte du duc Conan IV octroyée en 1160, en faveur des établissements des chevaliers du Temple, en Bretagne, mais aucun de ceux qu'ils possèdent dans le Léon n'y est mentionné, parce que le Léon forme alors un état séparé et a des princes indépendants des ducs.

En 1839, il a été trouvé dans cette paroisse 250 à 300 deniers d'argent, bas aloi, dont quelques-uns frappés aux noms de Philippe-Auguste et de Saint Louis, rois de France, Henri, roi d'Angleterre, Herbert, comte du Mans, Thibaut, comte de Champagne, Geoffroy, évêque de Châlons-surMarne, et Robert de Meaux, sire de Selles.
Mais le plus grand nombre de ces pièces sont des monnaies de Rennes et de Nantes qui peuvent remonter au règne de Conan IV, c'est-à-dire, au XIIe siècle.

Revenant à Conan-Mériadec, il est, selon toutes les probabilités, le premier roi chrétien de l'Europe. Avant la fin de l'année 383, ce prince a achevé de conquérir l'Armorique, jusqu'alors défendue sur plusieurs points par les Romains et les Gaulois, leurs alliés. Le monarque Breton fait terminer les fortifications et le port de Brest, commencés par César.

En 396 il assemble les seigneurs et les évêques à Rennes pour l'abolition du culte celtique. Les druides et les druidesses y comparaissent aussi.
Plusieurs des premiers se convertissent par suite de cette assemblée, et deviennent prêtres chrétiens.
Mais les vierges-prêtresses de l'île de Sein, qui comprennent que le pouvoir va leur être arraché, parce que le christianisme n'admet point le sacerdoce des femmes, ne se soumettent pas.
La grande druidesse Uheldeda se déchaîne avec fureur contre Conan, l'accable d'anathèmes prophétiques, et jure qu'elle et ses prêtresses s'engloutiront sous les ruines de leur temple, plutôt que de l'abandonner.
Cette menace n'est pas vaine, et après l'assemblée de Rennes, tout ceux qui sont restés fidèles au sacerdoce druidique se retirent sur l'île de Sein : Druides, bardes et prêtresses, groupés autour d'Uheldeda, y attendent, dans la persistance de leurs croyances, ce martyre que les chrétiens reçoivent de leur côté sur l'autel du vrai Dieu.
Tous sont massacrés en 421, et cette même année Conan meurt au château de Mériadec : c'est le terme qu'Uheldeda a assigné à sa vie.

Les Romains ont été chassés de la Bretagne par Conan, malgré le secours des Vandales et des Alains, dès lors même une colonie de Francs est établie à Rennes, tandis que les Wisigoths envahissent les parties méridionales du royaume, que Conan laisse à Salomon, son petit-fils.

Malgré la proximité du fleuve, il ne paraît pas que ce peuple soit navigateur avant la période Gallo-Romaine, selon les plus anciens historiens, les Namnètes ne se livrent pas même à l'agriculture : Ils vivent des produits naturels de la terre, mais surtout de la chasse et de la pêche.
Pour remonter le cours des temps et chercher l'origine particulière des Namnètes, il faut citer, en consultant les vieux chroniqueurs ou les légendes, des relations invraisemblables. Les uns supposent que l'an du monde 2888, un Brutus de Troie, arrière petit-fils d'Enée, entre dans la Loire avec ses Troyens, bat un Gofforius Pictus, qui règne sur la rive gauche, pénètre jusque chez les Turones, fonde Tours en mémoire de Turnus, un de ses guerriers, et occupe toutes les rives du Liger jusqu'à l'Océan.
D'autres, repoussant cette tradition profane , pour en admettre une biblique, racontent que Namnès, descendant de Japhet, petit-fils de Noé , peuple la partie de l'Armorique située sur la rive septentrionale de la Loire, et que la colonie qu'il établit sur ce littoral prend le nom de Namnètes, de celui de son chef... Ceci se passe, ajoutent ces intrépides fabricants d'origines, au temps où l'orgueilleuse entreprise de la tour de Babel vient d'être arrêtée par la confusion des langues, ce qui prévient, comme chacun sait, l'escalade du ciel...

Il est plus rationnel de penser avec les historiens de l'antiquité, que les Namnètes, comme les autres Armoricains, comme les Celtes en général, descendent de ces Scythes qui, pour échapper aux rigueurs de leur inhospitalière patrie, ont inondé, cataclysme humain, les contrés où le soleil est moins avare de sa chaleur vivifiante, et où la terre promet une moins parcimonieuse récompense au labeur.
Les Namnètes, lorsque les Romains les soumettent, occupent un territoire joignant à l'est, le pays des Andes (Andecavi), au nord, celui des Redones (Rennois) et des Venètes (habitants de Vannes), à l'ouest, ils sont bornés par le fleuve Hérius (La Villaine), et à l'occident, ils s'étendent jusqu'à l'embouchure de la Loire.
Des découvertes récentes ont fait connaître avec précision l'emplacement sur lequel se trouve le chef-lieu des Namnètes, on doit penser qu'il couvre le plateau sur lequel s'élève l'église cathédrale de Saint-Pierre.
Jusqu'à l'établissement du christianisme dans cette partie de l'Armorique, l'existence politique de ce peuple ne présente que des errements obscurs : Les plus anciens historiens rapportent que la capitale des Namnètes devient, grâce à la civilisation Romaine, une ville importante et célèbre, qu'elle renferme de magnifiques monuments, que le commerce la rend florissante, qu'enfin cette prospérité dure tant que les reflets de l'empire brillent dans cette contrée...
Jusqu'au règne de Conan, les destinées des Namnètes s'enveloppent de nouveau d'un voile épais, que l'histoire ne soulève qu'à l'époque où ce prince, qui a choisi Nantes pour sa capitale, s'y fait couronner roi de Bretagne. Mais ce nouveau souverain ne peut s'asseoir paisiblement sur son trône : Inquiété par les Goths d'Aquitaine, il doit reprendre les armes, et marcher contre ces aventuriers. Il les bat, fait sur eux la conquête du pays de Retz, contigu à celui des Namnètes, et le réunit à son royaume.

La Bretagne doit à ce souverain quelques sages institutions, ayant joui de la paix de 409 à 415, il profite du repos de ses armes, pour faire renaître l'empire des lois (sans doute romaines), pour asseoir des bases de gouvernement, enfin pour donner à la religion chrétienne toute l'influence qu'elle peut avoir sans nuire à son autorité. Conan fait battre à Nantes des monnaies d'or et d'argent, en un mot ce prince use sagement du pouvoir qu'il tient de la conquête, et qui, malgré les formes d'un gouvernement aristocratique, est consolidé par l'assentiment des peuples.
Vers 420, la puissance de ce souverain est telle que les Romains jugent prudent de reconnaître son indépendance. Peu de temps après cette conclusion, Conan meurt à l'âge de 65 ans, après en avoir régné 38.


Conan Mériadec — Wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Conan_Mériadec
Conan Mériadec (Cynan Meiriadog en gallois) est un roi légendaire de la ... conféré à Conan l'autorité souveraine qu'il aurait conservée jusqu'à sa mort en 421 ...
Termes manquants : année

La Loire historique: pittoresque et biographique, d'après ...
https://books.google.fr/books?id=oXIDAAAAYAAJ
1844 - ‎Loire River (France)
Revenant à Conan-Mériadec , nous devons dire qu'il fut, selon toutes les ... en 421, et cette même année Conan mourut au château de Mériadec : c'était le ...

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