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MARS 2016...
Cette
page concerne l'année 411 du calendrier julien. Ceci est une
évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que
d'un survol !
DES
EMPEREURS FUGACES.
Constantin
a été élevé à la pourpre en Grande-Bretagne et a amené avec lui
sur le continent le général Geronitus Britannique à qui il a
confié la protection de sa famille.
En
407, les légionnaires de Grande-Bretagne se mettent à élire des
empereurs à tour de bras. Il faut dire que la pression Barbare va
toujours s'accentuant... Que Rome est bien loin... Et que, tels les
carabiniers d'Offenbach, les renforts arrivent souvent trop tard…
Quand ils arrivent !
Attaqué
de toutes parts, l'Empire Romain d'Occident aux abois envisage même
de rapatrier les légions encore stationnées aux frontières les
plus éloignées pour mieux concentrer ses ultimes efforts militaires
sur la défense de l'Italie... C'est dire que l'Aigle impérial
Romain a du plomb dans l'aile !
Considérant
qu'ils n'ont plus rien de bon à attendre de Rome, les soldats de
Britannia proclament donc un empereur qui semble mieux prendre en
compte leurs intérêts et assurer la défense de l'île plus
efficacement que l'incapable, peureux et velléitaire Honorius.
Ils
choisissent d'abord un certain Marcus, mais celui-ci est exécuté
par ses soldats après seulement quelques semaines de « règne ».
Pour le remplacer, les inconstants légionnaires Bretons acclament un
autre militaire nommé Gratien. Lui aussi est trucidé par ses
électeurs et ne règne que 4 mois...
On
prétend que les soldats constatent alors avec une joie mêlée de
stupeur que l'un de leurs camarades, un simple soldat, porte le même
nom que ce grand empereur qui, un siècle plus tôt, a été acclamé
par les légions de Bretagne avant de devenir le maître suprême du
monde Romain et d'y imposer la Foi chrétienne. En effet, ce soldat
anonyme s'appelle Constantin, comme l'autre, celui que l'on surnomme
à juste titre « Grand » !
« Oh,
quelle heureuse surprise ! quelle extraordinaire coïncidence !
s'écrient alors les légionnaires, ravis. Que voilà un nom de bonne
augure, prometteur de gloire et richesse ! »
Et
d'acclamer unanimement le centurion ébahi qui devient, de par la
volonté de ses frères d'armes et avec son nom comme seule garantie
de son génie militaire ou de sa vertu chrétienne, Constantin III,
empereur Romain d'Occident.
Oui,
bon, naturellement, il ne faut pas accorder trop de crédit à cette
anecdote. À l'instar de ses malchanceux prédécesseurs Marcus et
Gratien, ce Constantin est probablement un officier supérieur, et le
récit de sa désignation « accidentelle » n'est sans
doute rien d'autre qu'une fable calomnieuse, propagée par
l'entourage de l'empereur légitime Honorius.
Bien
que le Constantin soit « élu » pour protéger la
Bretagne des invasions, son premier soin est de se rendre sur le
continent afin d'y faire reconnaître son autorité... Instinct de
survie ! Ses prédécesseurs ont été assassinés parce que leurs
troupes sont restées trop longtemps inactives, mais Constantin, lui,
ses braves, il va les emmener au combat, les jeter dans la bagarre,
là où ils auront mieux à faire que de s'occuper de politique.
Il
s'embarque avec quelques troupes d'élite, traverse la Manche,
débarque près de Boulogne et somme les cités Gauloises (du moins
celles qui n'ont pas été détruites, ravagées ou ruinées par le
déferlement incessant des hordes Barbares) de se soumettre à son
autorité. Toutes obtempèrent illico… Que peuvent-elles faire
d'autre ?
Malgré
la résistance de certains parents de feu l'empereur Théodose
l'Espagne reconnaît également l'autorité de Constantin III.
Celui-ci
confie aussitôt le gouvernement de cette province à son fils aîné
Constant qu'il a pris comme co-dirigeant (nommé César dès 408,
Auguste vers 409).
L'usurpateur
Constantin semble avoir aussi remporté quelques succès contre les
Barbares, mais on ne sait exactement si la retraite (très provisoire
d'ailleurs) de certaines tribus Germaniques est acquise à grands
coups d'épée ou achetée à grand renfort de pièces d'or.
Tout
faible qu'il soit, l'empereur légitime Honorius tente de récupérer
les provinces occidentales de son Empire. Il ordonne au général
Sarus, un Goth passé au service de Rome, de lui ramener la tête
(préalablement coupée, ça va de soi) de l'usurpateur Breton et de
la jeter à ses pieds... Mais Constantin III s'enferme dans
l'imprenable forteresse de Vienne. À 7 reprises, le général
« Romain » Sarus tente de l'en déloger, mais ses efforts
restent vains et il est contraint de battre en retraite à travers
les Alpes.
L'empereur
Breton le suit et pénètre en Italie à la tête de ses troupes,
sous le fallacieux prétexte de secourir Rome alors menacée par les
hordes d'Alaric. Il pousse jusqu'à la vallée du Pô, mais doit
revenir précipitamment en arrière pour faire face à une nouvelle
menace…
Printemps
: Le général Gerontius intervient en Gaule, bat Constant à Vienne
et le fait exécuter. Constantin se réfugie dans Arles où Gérontius
vient l'assiéger, tandis que le préfet du prétoire des Gaules
Decimus Rusticus s'enfuit sur le Rhin.
Surpris
devant Arles par l'armée de Constantius, Gerontius lève le siège
et s'enfuit en Espagne, où des soldats Gaulois le tuent.
Mai-juin :
Entrevue entre Pélage et Augustin d'Hippone à Carthage. Pélage
part ensuite pour Jérusalem.
1er-8
juin : Conférence de Carthage présidée par Marcellinus.
Condamnation du Pélagianisme et du Donatisme par Augustin. Il reste
alors 279 évêques donatistes.
Ceux
qui résistent sont pourchassés impitoyablement. La répression est
féroce, et en 413, l’Église latine triomphe.
Juin
(?)-août : L'usurpateur Constantin III est assiégé à Arles
pendant 3 mois par des troupes loyales à l'empereur Honorius
conduites par Constantius. Une armée de Francs et d'Alamans
rassemblée par le général Franc Edobich arrive du Rhin pour le
secourir mais est défaite devant Arles par Constantius et le maître
de cavalerie Ostrogoth Ulfilas.
Edobich
s'enfuit chez un de ses clients, le Romain Ecdicius, un propriétaire
terrien local, mais celui-ci le trahit et lui coupe la tête qu'il
livre aux généraux d'Honorius.
Isolé,
Constantin III se réfugie dans une église avec son second fils
Julien, puis se rend contre la promesse de la vie sauve.
Août
(?) : L'usurpateur Jovin est élu empereur à Mayence avec le
soutien de l'Alain Goar et du Burgonde Gunthiarus.
18
septembre : Les têtes de l'usurpateur Constantin III et de son
fils Julien sont exposées à Ravenne.
Automne :
Un synode réuni à Carthage désavoue Célestius, disciple de
Pélage, qui part pour Éphèse.
Touchés
par la famine, les peuples fédérés par Gerontius, entrés en
Hispanie, se sédentarisent : Royaume des Suèves en Galice
(Tarraconaise) et au nord du Tage avec Braga pour capitale (411-585),
des Vandales Silingues la Galice au Nord du Douro, des Alains de
Respendial dans la meseta centrale (Lusitanie et Carthaginoise), des
Vandales Asdingues en Andalousie (409-429)...
Constant
est un usurpateur Romain entre 407 - 411 aux côtés de son père
Constantin III.
Il
est le fils aîné de l'usurpateur Constantin III. Ex-moine tiré du
cloître par son père qui l'associe au pouvoir en été 407 comme
César.
Envoyé
en Hispanie l'hiver suivant afin de s'emparer du pouvoir et de l'ôter
à l'Empire et aux barbares qui s'y dirigent. La conquête du nord de
la péninsule est rapide et les quelques troupes locales se rallient
à lui. Il s'empare sur place des parents d'Honorius Didymius et
Vérènianus et les ramène à son père à Arles, qui les fait
immédiatement exécuter...
Son
père lui donne l'ordre de repartir en Hispanie en 408 avec un
nouveau général, Justus, ce qui scandalise le général Gerontius,
commandant les garnisons des Pyrénées. Celui-ci soulève alors ses
troupes contre lui et proclame empereur Maxime à Tarragone. Constant
ne peut débloquer le passage des montagnes vers l'Hispanie. Il est
reconnu cependant Auguste par son père en 409 et rentre en Gaule.
Lors
de l'avance de Gerontius en 410, il se retranche dans Vienne qui est
rapidement assiégée et bat l’armée de Constant devant la ville
qui tombe bientôt : Constant est fait prisonnier et décapité
par ordre de Gerontius cette même année...
Constantin
III se réfugie à Arles. Gérontius s’apprête à commencer le
siège d’Arles lorsque l’armée d'Honorius, dirigée par le
général Constantius (futur Constance III) survient. Gerontius prend
la fuite et Constantin III, après avoir négocié la reddition
d'Arles, est livré à Honorius qui le fait exécuter en novembre
411.
Gerontius
(forme latine du nom celtique Gerontios gallois Geraint breton
Gerent), général Romain d'origine Bretonne, probablement
Britannique de naissance, a été l'un des partisans de Constantin
III, général romain qui s'est révoltés contre l'empereur Romain
d'Occident Honorius en 407... Proche du futur empereur Théodose Ier
depuis 386 il est en orient dux, gouverneur et chef de la flotte de
la mer Noire.
Après
une disgrâce il rentre en Occident et est nommé comes du Tractus
Armoricanus. Après 395 deux de ses filles décident de devenir
nonnes et il les déshérite.
Considéré
comme brave, compétent, orgueilleux et ambitieux, il est partisan de
Constantin III, il mène des troupes depuis la Bretagne pour faire
lever le siège de Valence par Sarus à l'automne 407, puis poursuit
celui-ci jusqu'aux Alpes mais Sarus lui échappe. Dès lors, il est
appelé à diriger la défense du passage des Pyrénées avec ses
troupes venues des Gaules malgré les récriminations des légions
d'Ibérie qui souhaitent que cette garde leur soit confiée selon
leur coutume, et non à un étranger (hiver 407).
Mais
en 408, le retour de Constant avec un nouveau général le scandalise
et il décide de se révolter contre Constantin III. Ayant noué
d'excellents rapports avec les Barbares occupant l'Aquitaine, il leur
permet alors de passer au-delà des Pyrénées afin de bloquer les
troupes de Constant en Ibérie. Il proclame empereur à Tarragone
l'usurpateur Maxime.
À
la fin du printemps 409, Géronte se révolte contre Constantin III,
nommant comme empereur Maximus, l'un de ses parents... Constantin
vient de nommer Constance Augustus et l'envoie en Hispanie avec les
troupes fidèles pour réprimer la rébellion de Gerontius, dont les
raisons ne sont pas claires... Soit que l'élévation au trône de
Constant provient du résultat de la rébellion de Gerontius, ou que
cela soit à cause de la nomination de Constance...
Afin
de contrer Constantin III Gerontius alliés aux Francs qui ont occupé
la Gaule 407 contraint l'empereur à réduire sa pression sur lui, ce
qui permet aux Francs et à leurs alliés la pénêtration en
Hispanie, où ils deviennent un problème.
Succédant
à Marcus et à Gratien, 2 autres usurpateurs proclamés et aussitôt
assassinés par l’armée de Bretagne, il est proclamé empereur par
ses troupes en 407.
Pour
aller défendre la Gaule envahie par les Barbares, il quitte la
Bretagne avec toutes ses troupes, laissant celle-ci sans défense.
Constantin III s’établit à Trèves, l’empereur Honorius ne
conservant sous son autorité que l’Italie et l’Afrique.
Constantin III charge le chef Franc Edobich de garder le Rhin.
En
408 , il suit le fils de Constantin, nouvellement nommé caesar
Constance II , en Espagne. Cette province est au pouvoir de
Constantin, mais quelques membres de la Chambre des Théodose , les
cousins d'Honorius, Didyme et Verenianus, sont révolté.
Géronte, qui est le commandant en chef des troupes réelle, a
combattu les rebelles au cours de 2 batailles.
Dans
la première, il est vaincu, mais dans la seconde, il remporte une
victoire importante dans Lusitania, où il a rappelé quelques
troupes de la Gaule, et capturé les chefs rebelles.
En
408, il doit déplacer la capitale des Gaules, de Trèves à Arles,
et, après avoir résisté à Sarus, envoyé par Stilicon pour
réprimer sa rébellion, au siège de Vienne, il étend son autorité
sur l’Hispanie.
Fin
409, il ne peut cependant arrêter l’invasion des Vandales, des
Alains et des Suèves, qui s’installent en Espagne.
Il passe l'année 410 à se défendre contre Constance, alors qu’il se rend en Italie pour secourir Rome des invasions barbares ou pour y asseoir son autorité, accompagné de son fils Constant, qu’il a fait César dès 408, son général, Gerontius, qui gouverne l’Espagne en son absence, proclame empereur Maxime à Tarragone. Il passe ensuite au nord des Pyrénées avec une armée composée en partie de Barbares ayant envahi l'Espagne afin d'en finir avec Constantin III, et en 411 Gerontius réussi à assiéger le jeune Auguste à Vienne, le bat, le capture et le tue. Gérontius s'en va ensuite à Arles, où il assiège Constantin... Constantin se rend...
Cependant,
le général Honorius Constantius est arrivé d'Italie avec une
armée. Être en même temps assiégeants et assiégée, la plus
grande partie des soldats de Gerontius l'abandonnent et se dirigent
vers Constance, Gérontius est obligé de fuir vers l'Espagne avec
quelques fidèles.
Lorsque
les troupes Hispaniques apprennent la défaite de Gerontius, ils
décident de se débarrasser de lui.
Gérontius
bat l’armée de Constant devant Vienne et tue celui-ci. Constantin
III se réfugie à Arles, demande des secours à Edobich, mais ce
dernier est battu et tué par l'armée de Constance. Gérontius
s’apprête à commencer le siège d’Arles lorsque l’armée
d'Honorius, dirigée par le général Constantius (futur Constance
III) survient. Gerontius prend la fuite et Constantin III, après
avoir négocié la reddition d'Arles, est livré à Honorius qui le
fait exécuter en novembre 411. Pour marquer les esprits, l'empereur
Théodose ordonne un châtiment cruel pour le sort de Constantin
III : il est ainsi traîné par un char dans les rues d'Arles,
et crucifié pendant 15 jours à l'entrée de la ville, puis jeté
dans le Rhône. le message est terrible, et dissuade l'émergence
d'autres usurpateurs.
Selon
Sozomen, les troupes Espagnoles bloquent Gerontius et ses
collaborateurs dans une maison. Gerontius garde les agresseurs à
distance en leur tirant des flèches du toit de la maison, mais quand
les flèches ont été épuisés, Ses troupes se débandent et il
doit fuir en Espagne. Trahi par ses derniers fidèles, il se défend
comme un lion et lorsque l'on incendie sa résidence il tue à leur
demande son épouse Nonechia et son serviteur Alain avant de se
suicider en 411.
Gérontius
est allé à Hispanie comme général du fils de Constantin, le
caesar Constance II , en vue de réprimer la révolte de certains
membres de la Chambre des Théodose fidèles à Honorius . Après la
fin de la révolte, il se rebelle et combat pendant 3 ans contre
Constance
Maxime,
un autre usurpateur Romain du début du Ve siècle, est acclamé
empereur à Tarragone en 409 par Gerontius, le général de
l'usurpateur Constantin III, qui administre l'Hispanie en l'absence
de celui-ci...
À
la mort de son protecteur en 411, il se cache auprès des Barbares
occupant l'Hispanie, mais à la mort de Constantius (futur Constance
III), il tente à nouveau sa chance. Mais est bientôt livré à
Honorius qui le fait exécuter à Ravenne après l'avoir exhibé au
cirque, en 422.
Les
provinces qui n'ont pas vu d'empereur, depuis longtemps, s'imaginent
qu'il est plus avantageux pour elles d'en choisir un qui se mettant à
la tête des légions Romaines repousserait les ennemis qui pénètrent
de toutes parts... Tandis qu'Honorius enfermé dans son palais n'a
pas le courage d'en sortir, les Bretons donnent le branle en
choisissant pour empereur un certain Constantin, dont le principal
mérite est de porter ce nom, qui est encore très honoré en
Grande-Bretagne.
Au
lieu de descendre les Gaules contre les Barbares, Constantin trouve
plus utile et plus facile pour lui de soumettre l'Espagne à laquelle
ils n'ont pas encore touché.
Il
y envoie son fils Constance et le général Gerontius, qui y bat et
fait prisonniers Didyme et Verenianus parents d'Honorius.
Gerontius
a dans son armée les troupes de Goths qui ont été à la solde des
Romains, au temps de l'invasion des Vandales. Elles traitent les
Hibères plutôt comme des ennemis que comme les sujets de
Constantin, et pour s'assurer l'impunité, elles appellent en Espagne
tous leurs compatriotes répandus dans les Gaules. Les Vandales et
les Alains s'étant réunis à elles, ils mettent à contribution
tout le pays, depuis les Pyrénées jusqu'à la mer Atlantique...
Cependant
les villes encore moins épargnées par les soldats Romains qui y
sont en garnison, et par les receveurs des deniers publics, croient
la domination des Barbares plus supportable que la Romaine et leur
ouvrent leurs portes sans soutenir de siège.
Les
Barbares partagent l'Espagne entre eux, de manière que les Suèves
et les Vandales occupent la Galice, les Alains le Portugal et les
environs de Carthagene, les Vandales, dits Silinges, l'Andalousie...
Le
soulèvement de Constantin augmente les embarras des Romains, qui ne
peuvent déjà faire face à la multitude de leurs autres ennemis.
Alaric,
devenu plus menaçant que jamais, demande de grosses sommes d'argent,
et se rapproche de l'Italie, pour appuyer sa demande par son épée.
Honorius
est à Rome, où Stilicon se rend, la cour promet à Alaric 8 000
marcs d'or... Les sollicitations de Stilicon, en faveur d'un Barbare,
portent au dernier degré l'animosité contre lui.
On
le tient pour un traître, ayant attiré les Barbares dans l'empire,
afin d'y préparer pour son fils Eucher, le chemin au trône.
Ses
ennemis se font écouter de l'empereur Honorius, qui a successivement
épousé Les 2 filles de Stilicon. Ils sont surtout indignés qu'il
fasse plus de cas des Barbares au service de Rome, que des soldats
Romains mêmes.
Le
nombre des Barbares s'est considérablement accru en Italie, où l'on
trouve plein de Goths et de Huns. On leur confie les charges les plus
importantes, peu importe s'ils sont chrétiens ou païens.
Stilicon,
Barbare lui même, fils d'un Vandale qui s'est élevé au service de
Rome, a une garde de Huns...
Constantin
III (usurpateur romain) — Wikipédia
https://fr.wikipedia.org/wiki/Constantin_III_(usurpateur_romain)
Gérontius
s'apprête à commencer le siège d'Arles lorsque l'armée
d'Honorius, dirigée par le général Gerontius —
WikipédiaConstantius (futur Constance III) survient. Gerontius
prend …
L'Esprit
des journaux, françois et étrangers
https://books.google.fr/books?id=wgoJAAAAQAAJ
1784
- Periodicals
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