dimanche 27 mars 2016

EN REMONTANT LE TEMPS... 416


20 MARS 2016...

Cette page concerne l'année 416 du calendrier julien. Ceci est une évocation ponctuelle de l'année considérée il ne peut s'agir que d'un survol !

OROSE UN HISTORIEN PEU CONNU... MAIS QUAND MÈME

Le prêtre Orose (385-417) écrit en 416-17 à Carthage la première histoire universelle chrétienne, connue généralement sous le titre (d'Histoires contre les païens). (Historiarum libri septem aduersum paganos).
Les Histoires sont considérées au Moyen-Age et dans les Temps modernes comme le manuel classique d'histoire universelle et servent de source principale à de nombreux compilateurs. Cette œuvre capitale pour l'étude de la pensée occidentale n'a jamais été traduite en français, et n'a pas bénéficié d'une édition critique depuis plus d'un siècle...

On ne sait pas grand-chose du personnage ou plutôt, on ne possède d'informations à son sujet que pour quelques années, celles où il fréquente Augustin et Jérôme (414-418).
Son origine n'est pas fixée avec certitude. Saint Augustin dit qu'il est arrivé en Afrique, venant d'Espagne : ab ultima Hispania, id est ab Oceani litore (les témoignages relatifs à la vie d'Orose sont commodément rassemblés par M.-P. Arnaud-Lindet dans l'annexe I du tome I de son édition des Histoires). Certains pensent à Tarragone, en Catalogne, d'autres, à Braga, aujourd'hui au Portugal.
L'éditrice d'Orose dans la C.U.F. avance une 3e possibilité : Pour expliquer un passage des Histoires (III, 20, 6-7) où l'auteur parle d'une fuite en bateau pour échapper à des Barbares inconnus, elle songe à une origine nordique, Orose peut être né en Bretagne, avoir été enlevé par des Scots d'Irlande et avoir réussi à s'évader pour aboutir en Espagne.
Hypothèse sans doute un peu hasardeuse ! La date de naissance de notre historien n'est pas connue avec précision. Quand il arrive en Afrique en 414,  il est, dit Augustin, « un jeune prêtre, son fils par l'âge » (juvenis presbyter, filius aetate). Il doit avoir à l'époque entre 30 et 40 ans et être né vers 375/380.

Pourquoi Orose vient-il auprès de l'évêque d'Hippone ? Aucun texte ne le dit clairement. On peut cependant penser qu'il veut consulter Augustin sur des questions doctrinales, en particulier sur des hérésies qui se répandent alors en Espagne. C'est pour répondre à Orose en effet qu'Augustin rédige son petit ouvrage « Contre les Priscillianistes et les Origénistes ».
Orose fréquente Augustin quelque temps, puis le maître envoie son disciple poursuivre sa formation en Palestine, auprès de Jérôme.
Orose est entraîné là-bas dans une nouvelle querelle doctrinale, contre les Pélagiens, sa méconnaissance du grec le fait échouer dans son plaidoyer pour l'orthodoxie et il quitte Jérusalem pour revenir en Afrique (416), où il ramène des reliques récemment découvertes du premier martyr, Saint Étienne. Il veut ensuite retourner en Espagne, arrive aux Baléares (417) puis disparaît sans plus laisser de traces.

L'histoire d'Orose est un ouvrage de commande : Praeceptis tuis parui, beatissime pater Augustine.
Au lendemain de la prise de Rome et du sac de la ville par les troupes d'Alaric (août 410), une vive réaction s'est manifestée dans le monde païen. Cette catastrophe, dit-on, est liée au triomphe du christianisme, on a délaissé le culte des dieux traditionnels et ceux-ci punissent Rome en laissant s'abattre sur elle ces malheurs, qu'on ne peut au surplus ni prévoir ni conjurer puisque les rites divinatoires ne se pratiquent plus. L'évêque d'Hippone a déjà répondu à cette attaque au début de la Cité de Dieu. Ainsi, au second livre, s'adressant à l'âme de Rome, à la race des Régulus, des Scévola, des Scipion, des Fabricius, il fait cette supplique : « N'écoute pas ceux des tiens qui, dégénérés, calomnient le Christ et les Chrétiens, accusent cette époque comme une époque de malheur, ce qu'ils veulent, ce n'est pas tant une ère de tranquillité que la sécurité de leurs vices » (trad. de Labriolle).
Augustin a déjà évoqué plus haut le cas de Régulus pour montrer que sa piété ne l'a pas protégé du plus affreux des supplices, il a aussi montré que les Goths d'Alaric ont fait preuve de modération et qu'on en est redevable au Christ.

Mais les exemples qu'il a produits ne lui paraissent pas suffisants : Il demande donc à Orose de dresser un catalogue sommaire (ordinato breviter voluminis textu) de tous les malheurs, y compris les catastrophes naturelles, qui ont frappé autrefois l'humanité. Celui-ci ira au-delà de ce qui lui est prescrit : Au lieu d'un bref volume, il compose sept livres et le simple catalogue devient une sorte d'histoire universelle.
Mais la thèse reste inchangée. Il faut montrer que les tracas d'aujourd'hui ne sont rien en comparaison des misères d'autrefois, que les hommes du passé, s'ils ne se plaignaient pas, étaient simplement plus courageux, et Orose de renvoyer le lecteur aux horreurs de la guerre de Troie, au sort de la Sicile, victime des tyrans puis ravagée par des guerres serviles, aux massacres de la première guerre Punique, aux différents incendies de Rome.
La matière est si abondante qu'il est obligé de choisir ses exemples et de les présenter de manière succincte. Mais il est une autre raison d'abréger quand il s'agit de l'histoire de Rome : Il serait inconvenant, en effet, de s'appesantir sur des événements qui ternissent l'image de la patrie et la mémoire de ces hommes qui sont « nos concitoyens et nos ancêtres ». C'est peut-être pour cela qu'il s'abstient de raconter la conjuration de Catilina, alors qu'il rapporte longuement la conquête des Gaules par César.

La longue période embrassée par Orose, 5 618 années est décomposée par l'auteur en 3 phases :
1. de la création du monde à la fondation de Rome
2. des origines de Rome au principat d'Auguste et à l'Incarnation
3. de la naissance de Jésus à l'époque contemporaine.

La première phase, la plus longue, est résumée dans le livre I, avec l'intercalation, au chapitre 2, d'une longue digression géographique, les 8 siècles de la seconde phase occupent les livres II à VI, l'époque impériale, jusqu'en 417, est traitée au livre VII.
Le cadre chronologique des Histoires vient de la Chronique d'Eusèbe continuée par Jérôme. Orose situe soigneusement les événements dans le temps par rapport à la date de la fondation de Rome. Pour le reste, les auteurs qu'il utilise sont, pour la plupart, des historiens païens. C'est Trogue-Pompée résumé par Justin qu'il suit principalement quand il traite de l'histoire de l'Orient, de la Grèce et de Carthage avant les guerres puniques : Il arrive qu'Orose recopie des passages entiers de son modèle. Pour l'histoire Romaine jusqu'à Auguste, c'est naturellement Tite-Live qui est surtout mis à contribution.
Enfin, pour la période suivante, Orose utilise le Bréviaire d'Eutrope, les Histoires de Tacite, les Vies des Césars de Suétone, ici et là, Orose invoque aussi des souvenirs personnels.
Orose n'est pas dénué de sens critique. C'est ainsi qu'il note volontiers les divergences de ses sources quant au nombre des morts sur les champs de bataille. Dans leurs récits de la guerre d'Achaïe, par exemple, les annalistes Claudius Quadrigarius, Valerius Antias (où Orose voit deux personnes distinctes) et Polybe ne sont d'accord ni sur le nombre des combats, ni sur le volume des pertes, mais Orose n'essaie pas d'y voir plus clair, il en conclut simplement que ces auteurs ne méritent pas confiance.
Il est parfois plus curieux et s'intéresse à la psychologie du narrateur : Dans le camp du vainqueur, on tait d'ordinaire le nombre des victimes, sauf s'il est très faible de façon plus générale, les historiens Romains, dit-il, sont soucieux de la gloire de leur patrie et ont tendance à minimiser les malheurs qu'elle a subis. Observations pleines de bon sens mais dont il ne faut pas surestimer la portée.
L'esprit critique d'Orose est en fait très variable. On le voit corriger un récit de Tacite à propos de Sodome et Gomorrhe et rejeter avec mépris la légende de Phaéton (ridiculam Phaethontis fabulam) mais, quelques lignes plus haut expliquer qu'il existe encore maintenant des traces indiscutables (certissima monumenta) du passage de la mer Rouge par les Hébreux : L'empreinte des roues de leurs chars reste marquée sur le rivage et même sous les flots, aussi loin que porte le regard. Il est vrai qu'au XVIIe siècle, Baronius croit bien que le Christ a laissé « une marque de son Ascension au Ciel, Les vestiges sacrés de ses pieds imprimés en terre, au lieu où il s'élève au Ciel, de dessus la montagne des Olives ».(Mont des Oliviers)

Dans la préface du livre III, Orose fait une déclaration qui mérite d'être soulignée : Nous veillons, dit-il, à mettre en évidence le sens des événements et non leur apparence (vim rerum, non imaginem). On peut ajouter qu'il s'interroge plus sur le sens des faits que sur leurs causes, qu'il est plus philosophe ou théologien qu'historien.
Il lui arrive, certes, de chercher l'explication rationnelle d'un événement, l'origine, par exemple, de la 3e guerre punique qui, selon lui, n'est due qu'à la versatilité des Romains.
Mais, d'ordinaire, il invoque plutôt la volonté divine. Les invasions Barbares sous le règne de Gallien ? Elle se sont produites « avec la permission de Dieu » qui veut punir ceux qui ont pris part à la  persécution de Valérien. L'accession au trône de Philippe l'Arabe ? On aperçoit ici également le doigt de Dieu : Il faut que le millénaire de Rome soit célébré sous un empereur chrétien. Il y a, chez Orose, « une sorte de providentialisme naïf », note H.-I. Marrou (Saint Augustin, Orose et l'augustinisme historique, p.79).

Mais il y a plus. Orose perçoit dans l'histoire de l'humanité l'exécution d'un plan divin. S'inspirant de la prophétie de Daniel, commentée par Saint Jérôme,  il décrit la succession de quatre empires qu'il situe aux quatre points cardinaux :
L'empire Babylonien à l'orient.
Le Carthaginois au sud,
Le Macédonien au nord et enfin,
L'empire Romain en occident.
Ces empires viennent de Dieu et le 4e est prédestiné à voir s'accomplir le mystère de l'Incarnation.
C'est déjà en prévision de cet événement que Rome a été sauvée de la destruction lors de la guerre d'Hannibal et, 2 siècles plus tard, sous l'empereur Auguste, la paix étant partout rétablie, le monde est prêt pour la venue du Fils de Dieu. Orose insiste tellement sur les liens unissant le Sauveur et l'Empire qu'il fait de Jésus de Nazareth un citoyen Romain !

L'œuvre d'Orose a connu un énorme succès au moyen âge : Plus de 200 manuscrits des Histoires nous sont parvenus (cf. B. Guenée, Histoire et culture historique dans l'Occident médiéval, p.250).
Orose a servi de source à Grégoire de Tours - Bède le Vénérable - Otton de Freising, lequel va jusqu'à en faire « une des lumières vivantes dans l'Église de Dieu », la seconde étant Saint Augustin (H.-I. Marrou, Saint Augustin, Orose et l'augustinisme historique, p.86). Au IXe siècle, les Histoires sont traduites en vieil anglais par le roi Alfred, un siècle plus tard, en arabe, à la demande du calife de Cordoue.
Et le succès se prolonge au-delà du Moyen-Âge : Une vingtaine d'éditions imprimées s'échelonnent de 1471 à 1738 (A. Lippold, Orosio. Le storie contro i pagani, t.I,  p.XLVI).

Puis vient le temps du « purgatoire ». Orose est considéré comme un piètre historien. « A partir d'Orose, écrit F. Lot, tout sentiment véritable de l'histoire de l'Antiquité est perdu » (La fin du monde antique et le début du moyen âge, éd. Albin Michel, 1968, p.172). Plus sévère encore, le jugement de J.B. Bury : « Perhaps... the first attempt at a universal history, and... probably the worst » (History of the Later Roman Empire, Dover Publications, New York, 1958, t.I, p.306). On trouve heureusement quelque réconfort dans la remarque d'A. Lippold : « soltanto dopo la seconda guerra mondiale si è avuta una sorta di rinascita dell'interesse per la sua opera » (Orosio, p.XLVII).

Textes choisis (trad. M.-P. Arnaud-Lindet)

[T 1 - Prologue, 1-2  J'ai obéi à tes prescriptions, très saint père Augustin, et je souhaite l'avoir fait avec autant de réussite que de bonne volonté, quoique, dans ces deux perspectives, je ne sois pour ma part guère franchement troublé par la question de savoir si j'ai bien ou mal fait. Déjà, en effet, tu as pris toi-même la peine d'examiner si j'étais, ou non, capable de faire ce que tu me prescrivais, pour ma part, je me contente du témoignage de ma seule obéissance, dans la mesure, cependant, où je l'ai parée de bon vouloir et d'effort...

T 5 - I, 12, 1  Mais, quant à moi, je suis maintenant contraint de déclarer que dans l'intérêt d'apercevoir un terme, je laisse de côté bien des événements sur un si grand nombre de circonstances malheureuses de cette époque, et que je les abrège tous. Je ne pourrais en effet d'aucune manière avancer dans une forêt parfois si dense, si je ne survolais pas aussi, de temps en temps, des bois entiers, même drus...

LES BACCHANALES
T 10 - III, 8, 5-8  Mais, à la vérité, s'il est sans aucun doute évident que pour la première fois sous Auguste César, après la paix faite avec les Parthes, le monde tout entier, après avoir déposé les armes et renoncé aux discordes, établi dans une paix générale et une tranquillité nouvelle, obéit aux lois Romaines, préféra les institutions Romaines aux armes de l'indépendance et choisit des gouverneurs Romains après avoir rejeté ses chefs, enfin qu'il y eut pour toutes les nations, pour les provinces sans exception, pour d'innombrables cités, pour les peuples à l'infini, pour l'ensemble des terres, une volonté unique de se vouer à la paix et de songer à l'intérêt commun avec un zèle libre et honnête... que si encore, alors que ces choses arrivèrent sous le gouvernement de César, il est évident, grâce à une démonstration très claire, que la naissance de notre Seigneur Jésus-Christ dans ce monde a apporté la lumière proprement à l'empire de César : Quoique malgré eux, ceux que la haine induisait au blasphème seront contraints d'apprendre et d'avouer que cette paix du monde entier et cette sérénité tranquille n'ont pas existé par la grandeur de César mais par la puissance du fils de Dieu qui s'est manifesté dans les jours de César, et que le monde lui-même a obéi, dans une reconnaissance générale, non pas à l'empereur d'une seule ville, mais au créateur du monde entier qui, de même que le soleil levant baigne le jour de sa lumière, de même a, par son avènement miséricordieux, revêtu le monde d'une paix étendue. Cela sera présenté de manière plus complète quand on en sera arrivé là, par l'action du Seigneur lui-même....

T 15 - IV, 23, 8-10  Mais pour moi qui, malgré mon zèle à enquêter, n'en suis pas moins un homme d'esprit assez lent, la cause de la troisième guerre punique, une cause que Carthage aurait attisée  au point que l'on déciderait à bon droit de la détruire, ne m'est clairement apparue nulle part, et de voir que si, comme dans les guerres précédentes, une cause réelle eut attisé les sentiments des Romains contre une Carthage qui se redressait, point n'eût été besoin de délibération, me trouble même au plus haut point.
Mais, à vrai dire, alors que certains des Romains décidaient que Carthage devait être détruite pour la sécurité perpétuelle de Rome, d'autres, en revanche, à cause du souci perpétuel de la valeur militaire romaine, qu'il faisaient pour eux-mêmes toujours dépendre de la suspicion envers la ville rivale, toujours exercée par la guerre, ne fût changée en paresseuse indolence par la sécurité et la paix, jugeaient que Carthage devait être laissée intacte dans son statut : Je trouve que la cause de la guerre ne procéda pas d'un manquement au droit de la part des Carthaginois provocateurs, mais de l'humeur changeante des Romains qui s'engourdissaient...

T 20 - VI, 17, 9-10  Et cependant, le point de départ de tous ces maux est l'orgueil : C'est à partir de lui que s'enflammèrent les guerres civiles, à partir de lui qu'elles proliférèrent à nouveau. Il n'est donc pas injuste le massacre de ceux qui l'ont suivi injustement, si la rivalité de l'ambition suscitée par eux-mêmes est punie en eux-mêmes, jusqu'à ce que ceux qui refusèrent la collégialité apprennent à supporter la souveraineté, et que, la totalité du pouvoir une fois remise à un seul, tous les hommes se soumettent à un mode de vie de très loin différent, en sorte que tous cherchent humblement à plaire et non pas à faire assaut d'insolence. Mais pour un si salutaire enseignement de l'humilité, il est besoin d'un maître. C'est pourquoi, après que le régime de César Auguste eut été organisé opportunément, le Seigneur Christ naquit, lui qui, alors qu'il était de nature divine, a assumé par humilité la nature humaine afin qu'alors seulement, la doctrine de l'humilité devienne plus appropriée, au moment précis où, à travers le monde entier, le châtiment de l'orgueil était un exemple pour tous...

T 25 - VII, 39, 15-18  Le troisième jour après l'entrée des Barbares dans la Ville, ils s'en allèrent de leur propre gré après avoir incendié un certain nombre d'édifices, il est vrai, mais il n'y eut là rien d'importance comparable à ce qu'avait causé le hasard pour la 700e année de sa fondation. De fait, si j'examine en détail l'embrasement accompli par l'empereur Néron pour se distraire, sans aucun doute cet incendie qu'avait provoqué la débauche du Prince ne pourra en rien être mis sur le même plan que celui que causa de nos jours la colère du vainqueur. Je ne dois pas non plus, dans un rapprochement de ce genre, rappeler l'incendie des Gaulois qui, pendant presque toute la durée de l'année qui le suivit, eurent en leur possession les cendres écrasées de la Ville incendiée et détruite. Et, afin qu'il ne vienne à personne l'idée de douter que cela a été permis aux ennemis pour la correction de la cité orgueilleuse, débauchée et blasphématrice, au même moment les lieux les plus prestigieux de Rome qui n'avaient pu être incendiés par les ennemis furent détruits par la foudre...]


OROSE
bcs.fltr.ucl.ac.be/ENCYC-1/Orose.htm
Lagarrigue G., Orose, Histoires (Contre les Païens). .... T 6 - I, 17, 1-3 Cependant, en 430 avant la fondation de Rome, l'année de l'enlèvement d'Hélène, ...
Termes manquants : ordonnance
Histoires (Contre les Païens). Tome I : Livres I-III
www.lesbelleslettres.com/livre/?GCOI=22510100584690
J.-C.) écrivit en 416-17. à Carthage. la première histoire universelle chrétienne. connue généralement sous le titre d'Histoires (contre les paiens). (Historiarum libri septem aduersum ... L'ANNÉE PHILOLOGIQUE · REVUE DES ETUDES ...
Termes manquants : ordonnance
Les Histoires contre les Païens d'Orose - Manuscrit : Ville de ...
manuscrit.ville-laon.fr/_app/ms/OEB/Ms137/en_savoir.../CDms137.pdf
Les Histoires contre les Païens (Historiae adversus Paganos) d'Orose, écrivain chrétien espagnol ... L'année suivante, Orose retourna auprès de saint Augustin, muni des reliques ... cette année-là. Ses Histoires ont été composées vers 416- .... L'ordonnance très géométrique de cette page évoque les pages- tapis de l'art ...

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